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lundi, 05 octobre 2020

Bergoglio, agent de la contre-civilisation.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'imprégnation marxiste des murs du Vatican est ancienne et la pestilence des "fumées de Satan" n'a, certes pas, commencé à empoisonner le Saint-Siège en 2013 avec l'élection de Jorge Bergoglio. 
 
Depuis sept ans pourtant, la violence des attaques portées par ce dernier contre les éléments vitaux de l'édifice catholique, les principes et les valeurs qui encadrent la foi chrétienne et lui permettent de se perpétuer a été décuplée. 
 
Aujourd'hui, sans autre masque que celui d'un évêque de Rome faisant office de Pape, le mal se propage par la voix sombre, l'esprit ténébreux et l'action obscure d'un homme qui entend faire de l'Eglise le véhicule politique des forces du bouleversement.
 
Avec l'encyclique "Fratelli Tutti" "Tous frères", François accentue son offensive contre la Tradition, l'ordre naturel et les socles millénaires de la civilisation.
 
Offensive contre les piliers de force de la morale chrétienne et contre les institutions spirituelles et laïques qui nous sont des armatures de vie... Offensive contre les opposants à l'œuvre de déconstruction générale en cours... Offensive contre les mouvements populaires de résistances occidentales.
 
Jamais Bergoglio ne sera aller aussi loin dans sa condamnation des principes nationaux sur lesquels repose tant bien que mal l'ordre civilisationnel. L'objet de ce texte est clair. Il est direct. Il a, dans l'esprit de François, valeur impérative. Il s'agit d'organiser la décomposition européenne par la submersion migratoire et l'avènement d'une nouvelle ère universelle.
 
Pour lui, "les limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un usurpateur. Personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né puisque chaque pays est également celui de l’étranger. Il est donc important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de citoyenneté et de renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités. Les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir".
 
Ainsi parle François, Pape du tohu-bohu.
 
Les catholiques encore loyaux à l'égard de la  Rome inversée qui règne en partie depuis Vatican II n'ont plus d'autres choix que d'entrer en résistance et de refuser de devenir les instruments de la fin de l'Occident. Faute de quoi, ils ne seront plus catholiques.

18:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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