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vendredi, 19 février 2021

Sommes-nous condamnés à subir cette violence au quotidien ?

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Jean Chichizola

Tags injurieux, véhicules brûlés, menaces, agressions physiques... Le tout sur fond de pressions communautaires, criminelles, racistes ou de mécontentements plus quotidiens... Jeudi, avant de faire un point sur l’islam radical, Gérald Darmanin a tenu à rencontrer des élus de Seine-Saint-Denis confrontés à la montée des violences dans l’exercice de leurs fonctions.

Le 16 février, Alain Ramadier, député LR du département, a posé une question au gouvernement sur la succession d’actes perpétrés contre la municipalité LR de Bondy (pneus crevés, projectiles dans les vitres, harcèlement, cyberharcèlement, menaces, voitures brûlées, intimi- dations, injures publiques...). Le 9 février, Rachid Younsi, adjoint au maire chargé des finances, était attaqué dans l’hôtel de ville par deux individus qui l’ont étranglé et bourré de coups de poing. Il s’est vu prescrire huit jours d’ITT et a porté plainte.

Jeudi, le dialogue républicain fonctionnait pleinement avec la présence de représentants de La République en marche, des Républicains, de La France insoumise, de l’UDI, du PS et du PCF. Tous notaient une aggravation de la situation et soulignaient le fait que ces exactions visaient tous les élus quelles que soient leurs étiquettes politiques.

« Le climat à changé »

Le préfet de Seine-Saint-Denis, Georges-François Leclerc, insistait sur «la nécessité de porter plainte et de ne pas se désister » pour permettre aux enquêteurs et à la justice d’agir. Le maire de Bondy, Stephen Hervé, a remarqué que certains des agresseurs présumés auraient déjà été mis en cause dans d’autres agressions mais cette fois contre un conseiller municipal de Bobigny, élu sur la liste du nouveau maire PCF. Députée LFI, Sabine Rubin, a rappelé d’autres menaces ou agressions comme celle ayant visé le maire divers gauche de L’Ile-Saint-Denis, Mohamed Gna- baly, qui a porté plainte après avoir découvert son portail maculé de croix gammées et de l’inscription « A MORT». Ou celle du maire PCF de Noisy-le-Sec visé par des tirs de mortiers tirés visiblement par des trafiquants de drogue dérangés dans leur trafic. ancien maire des Pavillons-sous-Bois, le sénateur LR, Philippe Dallier, qui fut élu pour la première fois conseiller municipal en 1983, explique que «le climat a changé. Des bandes violentes cher- chent à mettre la main sur les élus, pour occuper des emplois, obtenir de l’argent. Cela n’existait pas dans les années 1980 ou 1990. La solution, c’est la rapidité de la riposte, l’interpellation des auteurs et des condamnations sévères ». Le ministre de l’Intérieur évoque lui aussi un « changement de climat » en soulignant que « ces attaques contre des élus, urbains comme en Seine-Saint- Denis, à Rillieux-la-Pape ou à Valence, ou en milieu rural, comme à Signes en 2019, s’accompagnent d’une hausse générale des agressions contre les personnes dépositaires de l’autorité, policiers et gendarmes, pompiers, enseignants... Il faut être intransigeant sans chercher d’excuses aux agresseurs et réaffirmer l’autorité ». Au- delà des mots, les bases de la police et de la gendarmerie nationales ont intégré les numéros de téléphone des maires de France pour que leurs appels soient traités prioritairement et les procureurs de la République ont reçu pour consignes de traiter en urgence toute plainte ou signalement portés à leur connaissance.

Source : Le Figaro 19/02/2021

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jeudi, 18 février 2021

Face aux "arguments" de Darmanin, Génération Identitaire répond...

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16:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'université française « gangrenée par l'islamo-gauchisme »

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Paul Vermeulen

Il n’est que temps mais peut-être malheureusement trop tard tant la jeunesse étudiante française est endoctrinée par ce que le ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal nomme « l’islamo-gauchisme », conception politique totali- sante, par nature exclusive des autres, partie prenante de l’indigénisme et des courants dits post-coloniaux, très présents aussi dans les rangs de LFI : Frédérique Vidal a annoncé, dimanche 14 février 2021, sur CNews, qu’elle demandait au centre national de la recherche scientifique de mener « une enquête sur l’islamo-gauchisme à l’université ». L’idée est en soi louable, même si l’on peut d’emblée douter des conclu- sions à venir d’une enquête qui sera justement menée par l’un des fleurons, l’un des pôles universitaires parmi les plus gangrénés par l’islamo-gauchisme et l’indigénisme, le CNRS. Il y a belle lurette que pour être coopté au CNRS, il convient de montrer patte noire décoloniale et genrée. De même, d’avoir été très attentif à tout ce que l’on a pu dire, depuis l’école maternelle, au sujet de l’islam et des musulmans.

Ce dimanche 14 février, une phrase de la ministre de l’Enseignement supérieur a particulièrement retenu l’attention de médias eux-mêmes massivement bien- veillants, au moins, vis-vis des théories qui conduisent à vouloir déboulonner les statues, changer les noms des rues ou des écoles et réécrire l’Histoire enseignée dans l’Education nationale, sous l’angle des diffé- rentes minorités, lesquelles aimeraient conduire la barque de ce qui devrait se penser en France. La phrase ? « L’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble. L’université n’est pas imperméable. L’université fait partie de la société. » C’est dans ce cadre que les gauches radicales, le « gau- chisme » et les musulmans menant une guerre de conquête en France, puisque c’est la nature même de l’islam, se rencontrent et luttent de concert : cela s’appelle « l’intersectionnalité des luttes ». Kesako La pratique contemporaine des groupuscules révolutionnaires : des groupes, aux intérêts apparemment différents, mais ayant des luttes communes s’unissent dans le cadre de ces dernières, durant un temps donné. Des alliances de circonstance. Ici, l’islam et la gauche radicale s’unissent pour déstabiliser la société française. Or, cet islamo-gauchisme est extrêmement présent dans les facultés, ce que confirmait la ministre de l’Enseignement supérieur : « Ce qu’on observe à l’ université, c’ est que des gens peuvent utiliser leurs titres et l’aura qu’ils ont. Ils sont minoritaires et certains le font pour porter des idées radicales ou des idées militantes de l’islamo-gauchisme en regardant toujours par le prisme de leur volonté de diviser, de fracturer, de désigner l’ennemi etc. » Autrement dit, ils n’enseignent pas, ils militent en utilisant des postes payés par l’Etat. Leur but ? Diffuser des conceptions politiques confinant à la haine de la France. Ils ne sont pas si rares : Lyon 2 en est un archétype, où il n’y a plus de cours de sciences humaines mais des cours indigénistes.  

Source : Présent 18/02/2021

13:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Institut Iliade organise son VIIIe colloque annuel le 10 avril prochain à Paris.

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« AU-DELÀ DU MARCHÉ - L’économie au service des peuples »

A la faveur des bouleversements du « Siècle de 14 », les valeurs d’argent ont progressivement subverti les hiérarchies traditionnelles, fondées sur des critères éthiques et la notion de bien commun : sens de l’honneur, courage, exigence d’excellence, amour du beau, respect du sacré, fidélité aux siens et à la patrie. Tout ou presque est devenu marchandise, y compris ce qui n’a pas de prix. Il en résulte pour les peuples une aliénation et une perte d’identité qui prennent des formes multiples : conception de la « vie bonne » remplacée par la consommation frénétique, identités réduites aux marques que l’on porte et aux caprices individuels, disparition des anciens métiers au profit de « bullshit jobs » sans signification, destruction ou effacement de tout ce qui n’a pas d’utilité marchande immédiatement quantifiable : patrimoine, paysages, structures familiales, cultures et nations.

L’objectif de ce colloque est d’appeler à prendre le contre-pied de cette évolution délétère, afin de remettre l’économie au service des peuples. Il ne s’agit nullement de céder à la tentation du rejet des réalités économiques : une telle attitude serait profondément « impolitique », c’est-à-dire incompatible avec la vie de la Cité. Une économie prospère est l’une des conditions de la grandeur d’une civilisation et de la puissance d’un peuple, souverain sur sa terre. Mais pour être source de grandeur, l’économie doit être mise au service de valeurs plus hautes ; elle doit être ancrée dans un projet de civilisation, devenir porteuse de sens pour la communauté et chacun de ses membres. Ce sont ces voies alternatives que nous avons pour vocation d’explorer, pour qu’elles contribuent au réveil des peuples européens.

Avec les interventions de  Ferenc Almássy, Alain de Benoist, Charles Beigbeder, François Bousquet, Nicolas Buriez, Jean-Baptiste Fantun, Jean-Yves le Gallou, Pascal Gauchon, Jean Hubert, Hervé Juvin, Elisabeth Lefebvre, Marion Maréchal, Véronique Monvoisin, Gérald Olivier, Héléna Perroud, Olivier Rey, Philippe Schleiter, François de Voyer...

Ouverture des portes : 9 h 30
Fin des interventions : 18 h 30
Fermeture des portes : 19 h 00

Contact, demandes d’interviews et renseignements complémentaires : contact@institut-iliade.com

11:26 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 17 février 2021

LA MANIF DE SAMEDI CONTRE LA MENACE DE DISSOLUTION DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE : 14 H, PLACE DENFERT-ROCHEREAU

23:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le sauvetage des Juifs de France

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Voici un sujet qui ne manque jamais de susciter une quelconque polémique. D’autant qu’un idiot utile comme Jacques Chirac, allant à l’encontre de la doxa gaulliste, avait dénoncé la responsabilité de Vichy dans la rafle du Vel d’Hiv en 1942, légitimant ainsi que l’Etat français ce n’était pas De Gaulle à Londres mais bien le maréchal Pétain à Vichy. Ça avait secoué sec dans les rangs gaullistes. André Posokhow, dans Présent (16/02), fait le point sur cette question en se référant aux meilleures sources et dénonçant ainsi quelques légendes.

A lire ICI

09:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CONTRE LA DISSOLUTION : VENEZ SOUTENIR GÉNÉRATION IDENTITAIRE CE SAMEDI À PARIS

 

Un communiqué de Génération identitaire :

Génération Identitaire organise une grande manifestation ce samedi (20 février) à Paris à 14 h 00 pour protester contre la procédure de dissolution engagée à son encontre par le ministre de l’Intérieur. 

Venez dire que vous refusez que l’on criminaliste le refus de l’invasion migratoire.

Venez dire que vous refusez que l’on bâillonne des lanceurs d’alerte.

Venez dire que notre civilisation et notre pays méritent qu’on les défende.

Cette très grave décision doit concerner tous ceux qui refusent de se soumettre à l’idéologie dominante. Ils sont les prochains sur la liste. 

Rejoignez-nous massivement ce samedi à 14 h 00 à Paris pour dire NON à Darmanin et au gouvernement.

09:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour : « Je considère que l’invasion migratoire peut être mortelle pour les peuples européens »

Source Breizh-info

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09:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi des Cendres. Jusqu'au bout soyons fidèles.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Pour les enfants que nous étions au tout début des années 60 - louveteaux de surcroît, élèves studieux et plus ou moins disciplinés de l'enseignement catholique, auditeurs attentifs des cours d'un catéchisme qui nous apprenait encore l'indissociabilité de l'amour de la lumière du Dieu du Ciel et de celui de la Patrie catholique et française toujours, le mercredi des Cendres était un jour important dont nous ressentions en nous mêmes la signification profonde qui dépasse largement  le juste et nécessaire rappel que nous sommes "poussière et retournerons à la poussière".
 
En apposant sur nos fronts la marque sacrée, notre aumônier réveillait la promesse de notre baptême et ouvrait devant nous un chemin: quarante jours de préparation, de sacrifices raisonnables, de résolution et surtout d'espérance.
 
Nous n'avons rien oublié.
 
Jusqu'au bout, soyons forts, humbles et fiers dans le même temps. Jusqu'au bout, restons fidèles.
 
Bon carême !

09:34 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce qui caractérise l'esprit bourgeois :

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• Morale de l’intérêt

• Recherche individualiste de la sécurité et du bien-être immédiat

 • Sensibilité aux modes éphémères

 • Refus des risques

 • Consumérisme passif et ostentatoire

 • Conformisme envers l’idéologie dominante

 • Souci d’apparaitre politiquement correct

 • Absence totale de patriotisme et de conscience ethnique

 • Snobisme culturel

 • Esprit de calcul

 • Conception négociatrice des rapports humains et de l’existence

 • Narcissisme

 • Place prépondérante dans l’échelle des valeurs

 • Indifférence aux solidarités communautaires

 • Humanitarisme de façade

 • Ignorance du don

 • Préservation parcimonieuse de la vie

 • Esprit d’entreprise limitée à l’accroissement de richesse

 • Désir de sécurité

 • Tendances cosmopolites

 • Indifférence aux attaches, aux enracinements

 • Détachement envers tout attachement religieux de nature collective ou gratuite

 • Ignorance complète du sacré et des sentiments poétiques

 • Inaptitude à l’esthétique

09:30 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 16 février 2021

Un grand entretien avec Jean-Marie Le Pen sur France Culture

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Pour lire cet entretien cliquez ici

18:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’échec du populisme de gouvernement

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Georges Feltin-Tracol

Le 17 octobre 2020 se tenaient en Nouvelle-Zélande des élections législatives. Depuis trois ans, le Premier ministre travailliste, Jacinta Ardern, gouvernait en coalition avec New Zealand First (NZF) de Winston Peters, un parti populiste nationaliste modéré. Pour bénéficier d’une réelle stabilité, Jacinta Ardern avait aussi noué un accord complémentaire avec les Verts, habituels adversaires de NZF, qui apportaient leur soutien au cas par cas.

En tant que vice-Premier ministre, Winston Peters a exercé pendant près de six semaines la fonction de chef du gouvernement par intérim quand s’achevait la grossesse de Jacinta Ardern. Au cours deces trois années de coopération, les neuf députés de NZF ont souvent avalé des couleuvres, voire des boas, comme la limitation du port d’arme, la réglementation plus stricte de la vente des dites-armes et la surveillance des opinions sur Internet. Il a résulté de cette expérience ministérielle que NZFperde tous ses sièges d’élus et ne réalise que 2,66 % des suffrages.

Porté par la nouvelle icône planétaire de la gauche féministe, égalitaire et multiculturaliste, le Parti travailliste recueille 49,10 % des suffrages, soit une hausse de 12,20 points, et gagne dix-huit sièges. Avec soixante-quatre députés, Jacinta Ardern obtient la majorité absolue dans le cadre d’un mode de scrutin largement proportionnel. En progrès de 1,3 point, les Verts gagnent deux sièges, soit dix élus et 7,57 %. Les deux derniers enseignements de ce scrutin sont, d’une part, l’échec cinglant du Parti national de centre-droit (trente-cinq députés, soit une perte de vingt-et-un sièges, 26,81 % et 17,60 points de moins) et, d’autre part, l’apparition d’une formation libérale centriste, l’ACT New Zealand de David Seymour (7,98 % et dix sièges). Ainsi, même à l’autre bout de la Terre, le globalisme, le mondialisme et le gendérisme s’implantent-ils avec facilité.

Les élections néo-zélandaises démontrent une nouvelle fois que le national-populisme ne peut pas souscrire à un accord gouvernemental en tant que partenaire minoritaire sous peine de perdre élus et électeurs. Il y a vingt ans, le conservateur autrichien Wolfgang Schlüssel s’alliait avec Jörg Haider, le charismatique dirigeant du parti national-libéral FPÖ. Tout l’Univers s’éleva contre la nomination de six ministres FPÖ ! Jamais à court d’idées néfastes, le calamiteux Jacques « Sniff-Sniff » Chirac suggéra aux autres membres de l’Union dite européenne d’ostraciser les ministres autrichiens.

Malgré ces pressions inacceptables et grâce au soutien constant de la CSU bavaroise, le chancelier fédéral autrichien Schlüssel mèna une politique libérale-conservatrice qui séduisit ministres et notables du FPÖ. Aux législatives de 2002, le bilan fut effroyable pour la droite nationale. Le FPÖ stagna à 10,01 % pour dix-huit députés (moins 16,90 points et une perte de trente-quatre sièges). Reconduit dans ses fonctions de chancelier, Schlüssel poursuivit son alliance avec les nationaux-libéraux. Puis, en 2005, Haider et ses partisans abandonnèrent le FPÖ et lancèrent le BZÖ (Mouvement pour l’avenir de l’Autriche). Aux législatives de 2006, avec 4,10 %, le BZÖ gagna sept sièges. Deux ans plus tard, il réalisa son meilleur résultat (10,70 % et vingt-et-un députés) avant de s’effondrer dès 2013 (3,50 %).

Le « populisme de gouvernement » a aussi échoué en Italie avec la rupture de l’alliance entre la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement Cinq Étoiles. Cette alliance était prometteuse si le M5S n’était pas aussi hétéroclite sur le plan des idées et des pratiques politiques. Gérée par une mairesse Cinq Étoiles, Rome reste dans un état de délabrement avancé. La municipalité préfère avantager les non-Italiens aux Romains. En Norvège, le Parti du Progrès, à l’origine hostile à la fiscalité, et en Finlande, les Vrais Finlandais, ont eux aussi noué des ententes ministérielles qui se caractérisèrentensuite par des revers électoraux cinglants au point que les Vrais Finlandais se scindèrent entre « modérés » et « radicaux ». Pour couler les formations populistes, les inviter à gouverner semble une tactique plus efficace que les maintenir au-delà d’un stupide « cordon sanitaire ». Toutefois, cette tactique commence à montrer ses limites.

C’est la raison pour laquelle il faut suivre avec attention les événements politiques à venir outre-Quiévrain. Fruit d’une alliance incongrue entre sept partis (!), le gouvernement fédéral belge ne dispose que d’une majorité relative en Flandre. Les sondages présentent les républicains indépendantistes du Vlaams Belang en tête aux prochaines élections générales devant les autonomistes conservateurs-libéraux de la NVA (Nouvelle Alliance flamande) du maire d’Anvers Bart De Wever qui ont appartenu à une précédente coalition ministérielle fédérale entre 2014 et 2018 avec le très falot Charles Michel. Cela n’empêcha pas ce dernier d’appliquer un programme globaliste pro-migrants. La montée en puissance en Wallonie de la gauche radicale du Parti du Travail de Belgiquerendra les prochaines négociations gouvernementales à l’échelle fédérale problématiques.

Le populisme médiatique ne doit donc pas compter sur une illusoire « union des droites ». Son espérance d’occuper quelques strapontins ministériels paraît encore bien lointaine. Il est temps de se tourner vers une aristocratie de militants formés, convaincus et dévoués.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°201, mise en ligne sur TVLibertés, le 9 février2021.

18:41 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France, plaque-tournante de la pédophilie ? avec Maxime Montaut

En savoir plus sur l'association Wanted Pedo : wanted-pedo.com

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17:29 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 15 février 2021

Un message de Génération identitaire

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Darmanin minable inquisiteur

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Pierre Vial

Gérald Moussa Darmanin, ministre de l’Intérieur propulsé par Macron, est fils d’Annie Ouakid et petit-fils de Moussa Ouakid, Algérien. Ce qui a beaucoup facilité sa carrière, en tant que produit exemplaire de la diversité. Il illustre parfaitement un des principes de base de la Macronie : brasser du vent et parler beaucoup pour abuser le bon peuple (c’est le cas du projet de loi contre « les séparatismes ») mais ne jamais agir contre les fondements de l’idéologie multiraciale, qui est le catéchisme des prophètes du mondialisme, dont Macron n’est que le porte-parole.

Sa dernière trouvaille (qui lui a été soufflée par ses maîtres) : interdire Génération Identitaire, qui a commis un crime impardonnable : agir spectaculairement contre les envahisseurs (baptisés « migrants » par les agents médiatiques de l’Anti-France) qui accentuent toujours plus leur pression, avec l’appui des ligues de vertu « antiracistes », qui haïssent le monde blanc, pour coloniser notre terre et soumettre notre peuple.

Nous saluons l’action courageuse et exemplaire de Génération Identitaire et lui apportons notre totale solidarité. Il faut être bête comme un Darmanin pour croire qu’une interdiction ministérielle peut empêcher la survie d’un mouvement de résistance. Le combat continue et ce n’est pas le minable inquisiteur Darmanin qui pourra arrêter la lutte pour la vie menée par les femmes et les hommes de notre sang.

17:38 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VOX ARRIVE EN TÊTE DE L’OPPOSITION EN CATALOGNE

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Robert Neboit

Les élections régionales catalanes du 14 février se traduisent par la continuation d’une majorité indépendantiste. Les trois partis de cette mouvance, l’historique ERC (Gauche Républicaine Catalane) avec 33 députés, Junts per Cat (Ensemble pour la Catalogne) du "président en exil" de la "République catalane" Charles (Carles) Puigdemont avec 32 députés et la CUP (Candidature d’Unité Populaire) un conglomérat de gauchiste "nationaliste" et "féministes" avec 4 députés, obtiennent une majorité en sièges de 74 sur 135 même s’ils restent minoritaires en votes avec 47,60 % des voix. En effet la répartition des sièges par circonscriptions défavorise la capitale Barcelone où la langue espagnole prédomine au profit de "des provinces catalanes" de Gérone, Lérida et Tarragone, plus petites et plus indépendantistes. Il faut noter que ces trois partis ouvertement sécessionniste peuvent compter avec l’appui de deux alliés informels le PSC et ECP-PEC. Le PSC (Parti Socialiste de Catalogne) a doublé sa représentation en passant de 17 à 32 députés. Autrefois nettement différencié des indépendantistes, il a évolué vers un crypto indépendantisme sous couvert de fédéralisme. Enfin les gauchistes "fédéralistes" de ECP (En Comu podem, Ensemble nous pouvons) liés à Podemos et qui sont prêt à s’allier avec les indépendantistes obtiennent 8 députés.

La principale nouveauté de ce scrutin est la remarquable percée de Vox. Il réussit un coup de maître pour sa première participation électorale aux élections catalanes. Avec 11 députés et 7,7 % des voix il devient le premier parti de l’opposition à l’indépendantisme, devançant le Parti Populaire, premier parti de la droite parlementaire qui n’obtient qu’un ridicule 3,9 % des voix et 3 députés. Ciudadanos (Citoyens) du centre gauche anti-indépendantiste s’écroule passant de 36 à 6 députés.

La lutte pour la prise de contrôle de l’opposition face calamiteux gouvernement du socialiste Padro Sanchez, allié au gauchiste Pablo Iglesias, et au danger sécessionniste qui existe, entre le Parti populaire et Vox tourne à l’avantage de ce dernier. Il faut dire que les électeurs ont pu constater avec le temps que le Parti populaire ne représentait qu’une fausse droite, hypocrite et timorée, toujours prête aux compromissions quand ce n’est pas la trahison.

17:35 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

COVID : la psychiatrisation de la dissidence

L'État totalitaire déploie une arme bien connue en URSS pour faire taire la dissidence : la psychiatrie punitive.

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12:20 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pédophilie : la chute des intouchables ? avec Xavier Raufer

"Le Samedi Politique" s’intéresse à un sujet particulièrement sensible : les affaires de pédocriminalité qui touchent des personnalités de l’élite parisienne.

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12:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Retour sur un évènement lourd de conséquences.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le 15 février 1989, la Russie achevait le retrait de ses troupes d'Afghanistan. Quelques mois plus tard, revenant sur cet événement, j'écrivais dans mon premier éditorial d'Espace Nouveau, le mensuel que nous venions de fonder Roland Hélie et moi, ma certitude que ce départ était une mauvaise nouvelle pour le monde blanc car il laissait la place au pire ennemi de l'Europe : l'islamisme. 
 
Omnubilés par la menace soviétique pourtant déclinante - cette menace que nous avions si longtemps et si légitimement combattue de toutes nos forces militantes - ne percevant pas encore que l'emprise communiste sur notre civilisation était en passe, non de disparaitre mais de se perpétuer sous une autre forme et sous d'autres masques - ceux du progressisme, des droits de l'homme et d'un nouvel internationalisme - instrumentalisés par la propagande américaine, intoxiqués par la CIA, influencés par un certain air du temps où se mêlaient archéo-atlantisme de la droite et néo-antistalinisme bien tardif des intellectuels ex-maoïstes devenus révisionnistes de la cause des peuples et glorificateurs des moujahidines, ossifiés dans le conformisme de la guerre froide sans voir que le monde était en plein bouleversement, un certain nombre de nos amis me reprochèrent cet article qui établissait pourtant clairement les risques à venir, définissait les enjeux et montrait les intentions à long terme de Washington. 
 
J'avais pourtant raison. La suite l'a malheureusement montré.

10:38 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ASSEZ DE MESURES LIBERTICIDES, SOUTIEN À GÉNÉRATION IDENTITAIRE MENACÉE DE DISSOLUTION

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La pétition de soutien à GI cliquez ici

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dimanche, 14 février 2021

Le gouvernement veut dissoudre Génération identitaire

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François Bousquet
 
C’est fait. Le gouvernement vient de lancer la procédure de dissolution de Génération identitaire. La dissolution, c’est la peine de mort pour un mouvement politique. Il y a cinquante ans, ses membres auraient été des héros, disait Zemmour, aujourd’hui ce sont des parias.
 
Gérald Darmanin est un homme émotif – et pressé. Le 26 janvier, il se disait « scandalisé » par les opérations anti-migrants de Génération identitaire dans les Alpes et les Pyrénées. Le pauvre d’homme ! Tartuffe s’est toujours scandalisé d’un rien, c’est même à cela qu’on reconnaît le personnage de Molière. Très bien ! Mais un ministre de l’Intérieur, voilà qui ne laisse pas se surprendre. On attendrait d’un tel homme, « premier flic de France », qu’il se scandalise plutôt du flot de migrants qui font des selfies en passant nos frontières. Ça n’est apparemment pas le cas : les passeurs de migrants ont droit à tous les égards médiatiques. Les sentinelles symboliques au contraire qui veillent à nos frontières sont le seul danger. Ainsi ce 26 janvier Darmanin annonçait-il manu policiari, fort de ses pouvoirs de censure administrative, qu’il n’hésiterait pas à dissoudre Génération identitaire. Quinze jours plus tard, le 12 février, ses services, inhabituellement diligents et efficaces, lançaient la procédure de dissolution du mouvement.

Si jamais le ministre de l’Intérieur devait parvenir à ses fins, ce n’est pas seulement Génération identitaire qui serait dissoute, mais bel et bien notre identité. Car c’est de cela qu’il s’agit. La dissolution, c’est ce qui nous menace tous : dissolution de la France, dissolution de l’Europe, dissolution de notre être même. Ainsi l’exigerait le destin liquide des identités solides. La dissolution, c’est l’épée de Damoclès suspendue sur tous les courants identitaires. Interdit de revendiquer une identité autre que celle de l’état civil. Nouvel avatar de la « cancel culture », cette fois-ci portée au plus niveau de l’État : nous effacer, nous bannir, nous dissoudre dans le Grand Tout diversitaire.

Nous ou les « z’autres » ?

Pourquoi frapper Génération identitaire ? Parce que c’est frapper l’identité au cœur. Génération identitaire s’est imposée depuis des années comme l’organisation la plus dynamique, la plus structurée, la plus imaginative, la seule susceptible de rivaliser en termes d’efficacité avec nos adversaires, dans la défense de nos identités menacées. L’attaquer, c’est attaquer notre avant-garde militante ; c’est accélérer le mouvement de dissolution. La dissolution est un processus physico-historique par lequel une identité millénaire incorporée dans un solvant républicain doit se transformer en une formule hybride, schizo et sans-frontiériste. Tel est le devenir français et européen, à ce qu’il semble, selon notre ministre.

Alors, Darmanin pire que Castaner ? Castaner, le « Kéké de la République », prédécesseur de Darmanin place Beauvau, s’était contenté d’assurer que les manifestations « indigénistes » contre le racisme et les violences policières ne seraient pas sanctionnées, Darmanin fait mieux. Lui, il sanctionnera les indigènes que nous sommes et les organisations qui les défendent. Nous ou les « z’autres » ? Les z’autres ! La République a choisi son camp.

Darmanin a beaucoup à se faire pardonner. Carriériste furieux, certes comme la République en a toujours fabriqué treize à la douzaine, avec cependant chez lui une voracité si transparente qu’elle en devient gênante. C’est qu’il revient de loin. Le gaullisme, le bonapartisme, l’Action français, la Manif pour tous : c’est tout son passé-passif qu’il est en train de liquider. Quand un homme trahit à ce point, il éprouve toujours le besoin d’en effacer les traces.

Comment ne défendrait-on pas Génération identitaire ? Génération identitaire, c’est nous, c’est nos enfants. Intergénération identitaire !

Source Éléments cliquez ici

Quelques réactions :

• Jean-François Touzé (membre de la direction du Parti de la France)

Nos jeunes camarades de Génération Identitaire, enfermés dans un certain autisme militant, n'ont jamais fait preuve d'une grande solidarité envers les mouvements ou personnalités natios précédemment ciblés par le pouvoir. Il va pourtant de soi que notre soutien doit être total et sans réserve. La dissolution de GI serait un acte arbitraire de plus de la part d'un régime en voie accélérée de totalitarisme progressiste.

• Thomas Joly (Président du PdF)

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• Gilles-William Goldnadel (avocat, polémiste)

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• Marion Maréchal (ancien député)

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• André Bercoff (journaliste, chroniqueur, écrivain)

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• Julien Rochedy (essayiste)

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21:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

D’un inceste, l’autre : quand accusation vaut condamnation...

balance-justice.jpgLa chronique de Philippe Randa

Les accusations d’ignominies sexuelles – et la pire de toutes, l’inceste ! – se suivent, se ressemblent, mais les mis en cause ne réagissent pas tous de la même façon. Le silence d’Olivier Duhamel n’a pu qu’accréditer sa culpabilité, alors que l’acteur Richard Berry, accusé – ainsi que son ancienne épouse la chanteuse Jeanne Manson – de viol et d’agressions sexuelles plus de trente ans auparavant par sa fille aînée Coline, a immédiatement clamé son innocence, démenti tout acte incestueux de sa part et écrit au Procureur de Paris pour qu’une enquête soit ouverte, malgré la prescription des faits.

Faisant monter une pression médiatique qui ne demande que cela, Me Karine Shebabo, avocate de la « présumée victime » Coline Berry, n’a pas hésité à affirmer que si l’on interroge le personnel de la protection de l’enfance, membres de la brigade des mineurs ou juges, « ils vous diront qu’à 99,99 %, il est très rare d’avoir des dénonciations mensongères quand on parle d’infractions sexuelles sur mineur au sein des familles. »

Elle se demande par ailleurs quel enfant « inventerait » de telles accusations contre un parent uniquement par vengeance ?

Avec de telles affirmations péremptoires, pourquoi continuer de gâcher l’argent du contribuables à diligenter enquête et procès, la cause étant entendue (à 0,01 % d’erreur, on ne va pas chipoter pour si peu, n’est-ce pas !) : une accusation vaudrait donc automatiquement condamnation.

N’en doutons pas, Me Karine Shebabo aurait fait merveille au procès d’Outreau, resté célèbre pour ses dysfonctionnements, la  majorité des accusés ayant été innocentés après plusieurs années de prison ou de détention préventive !

Quant à la famille proche, belle-famille, ex de l’un ou ex de l’autre et « pièces rapportées » – de Josiane Balasko à Jeanne Manson – elle se déchire désormais à qui mieux-mieux dans les médias, soutenant le « présumé coupable » ou la « présumée victime »… et démontrant que les haines, les jalousies et les règlements de compte au sein d’une famille « people » n’ont vraiment rien à envier à ceux d’une famille du fin fond des bords de la Vologne (Affaire du petit Grégory)…

EuroLibertés cliquez ici

19:35 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

2.800 milliards : l’écrasante et irremboursable dette française

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Marc Rousset

Wall Street et le CAC 40 ont conclu, la dernière semaine, sur de nouveaux records. Donc, tout va très bien grâce aux vaccins ! Si l’on en croit une vidéo du Dr Christian Vélot, généticien à l’université Paris-Saclay, on va effectivement très vite vacciner tous azimuts avec différents types de vaccins. Mais les gouvernements prennent le risque – extrêmement faible pour un individu, mais possible et probable pour des milliards de vaccinés -, avec les vaccins non classiques très majoritairement utilisés actuellement (à l’exception, donc, des vaccins classiques), de créer – il suffit d’une seule fois – de nouveaux virus et de nouvelles pandémies mondiales…

L’exubérance irrationnelle, au-delà des bulles boursières, a pour nom Tesla™, Elon Musk et Bitcoin. Elon Musk vient d’investir 1,5 milliard de dollars sur le Bitcoin? qui a atteint les 44.000 dollars? alors que le président de Tesla™ avait pourtant déclaré, fin décembre 2020, que « le Bitcoin est presque autant de la merde que les Fiat ». Le Bitcoin n’est pas une monnaie mais un actif spéculatif sans valeur réelle comme l’or ou l’argent, principalement utilisé, selon la nouvelle secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen, « pour le financement d’activités illicites ».

Le chômage est pourtant toujours bien présent sur le marché de l’emploi américain, mais peu importe pour les boursiers et les spéculateurs ! L’or, en revanche, stagne et attend son heure puisque les services de la Monnaie (US Mint) ont vendu, en 2020, 845.000 onces de pièces d’or American Eagle, contre 150.000 onces en 2019. Si l’on en croit la corrélation toujours étroite entre l’or et les bons du Trésor américain sur cinq ans protégés contre l’inflation (TIPS), l’or devrait coter 2.000 dollars l’once, au lieu de 1.820 dollars.

La vérité, ce ne sont pas les vaccins salvateurs mais un monde qui repose sur un volcan de dettes et de taux d’intérêt. Prenons, d’une façon schématique, l’exemple de la dette française publique de 2.800 milliards d’euros avec un budget de l’État, en 2020, qui s’élevait à 250,7 milliards d’euros. Les taux d’intérêt ridicules actuellement payés, voire négatifs, s’élèvent à seulement 38 milliards d’euros. Mais avec le taux d’intérêt moyen à long terme, depuis des siècles, des dettes à long terme qui s’élève à environ 6 %, cela nous donnerait, pour une année normale, une charge d’intérêts de 168 milliards d’euros, soit 67 % du budget général de l’État ! D’où les cris d’orfraie de ceux qui demandent l’annulation des dettes publiques, mais Christine Lagarde a déclaré que l’annulation de la dette française envers la BCE (30 % du montant total), selon les traités de la zone euro, est inenvisageable ! 70 % de la dette est détenue par des assureurs français ou des investisseurs étrangers.

Annuler les dettes, c’est ruiner tous les épargnants français de l’assurance-vie, ce qui semble réjouir l’économiste communiste Thomas Piketty. De plus, nos partenaires européens ne seraient pas d’accord et il faudrait que la France comble les pertes de capitaux propres causées à la BCE, suite à l’annulation de ses créances sur la France. Quant aux investisseurs spoliés, pour continuer à prêter à la France : terminé, et bonjour les dégâts ! Les taux d’intérêt français à dix ans sont remontés à leurs niveaux de septembre 2020, de même que les taux américains ont retrouvé leurs plus hauts en un an. En clair, la dette française est écrasante et irremboursable.

En Italie, Mario Draghi, le « sauveur de la nation, « Super Mario », a fait plonger le coût de la dette italienne à 0,427 %, soit moins d’un point d’écart avec les taux allemands de référence. Mais la dette stratosphérique de 2.600 milliards d’euros représente 160 % du PIB italien, contre 120 % pour la France. Avant la crise du Covid-19, les taux italiens étaient à 2,5 %, et 7 % pendant la crise de la zone euro. Draghi a réalisé l’union sacrée de tous les partis, mais une fois la période de grâce terminée, on voit mal comment il pourra éviter la banqueroute avec une coalition de partis adversaires, une croissance nulle, des déséquilibres structurels et une démographie catastrophique.

Le monde fourmille de cygnes noirs en embuscade et devrait connaître des mouvements sociaux suite au chômage, des krachs boursiers suite à l’augmentation déjà commencée des taux d’intérêt et peut-être des pandémies nouvelles suite à l’utilisation trop rapide de vaccins non classiques, le point Oméga étant l’insolvabilité généralisée et l’effondrement du Système. Mais les Bourses, comme en 1929, continuent de monter…

Lire Boulevard Voltaire cliquez ici

16:03 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

QUAND OLIVIER DUHAMEL VOULAIT PRENDRE LA TÊTE DES PUF... RETOUR SUR UN PERSONNAGE RÉPUGNANT DU RÉPUGNANT "CAMP DU BIEN"

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11:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le populisme n’est que le symptôme de notre malaise

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Chloé Morin, 32 ans, membre de la fondation Jean Jaurès, a été en charge de l’opinion publique au sein du cabinet des Premiers ministres de gauche Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls, de 2012 à 2016. Dans un livre, Les inamovibles de la République (Aube ed.) elle dénonçait l’influence des hauts fonctionnaires dans les décisions des ministères dont la caractéristique majeure était d’ignorer tout de la réalité et donc des effets de leurs décisions sur le terrain. Dans cet entretien, elle montre que notre démocratie est en crise pour la bonne raison que la voix du peuple est entièrement confisquée par des institutions qui ne fonctionnent plus. D’où l’émergence de ce courant qu’on appelle le populisme qui n’est jamais que la voix du peuple face à ses soi-disant élites.

A lire ICI

10:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Vial mis à la question par nos amis de Breizh-Info.com

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Source Breizh info cliquez ici

Nous nous faisons écho récemment de la parution du 86e numéro de la revue Terre et Peuple, sur le thème des communautarismes.

Pas simplement une revue mais aussi un mouvement culturel et politique, Terre et peuple a été fondé en 1994 par Pierre Vial, maître de conférences en histoire médiévale à l’Université Jean-Moulin – Lyon III durant 34 ans. Ce dernier, militant identitaire de toujours, a également participé à la fondation du GRECE, mais aussi de mouvements de jeunesse, avant d’être conseiller régional (FN) mais aussi conseiller municipal, à Villeurbanne, dans les années 90.

Nous l’avons interrogé pour connaitre son regard, ses idées, sur le monde d’aujourd’hui et sur celui qui attend demain, notre jeunesse chère au cœur de Pierre Vial.

Breizh-info.com : Si vous deviez vous présenter à nos lecteurs, que diriez-vous ?

Pierre Vial : J’essaye d’être ce que Gramsci appelle un intellectuel organique, c’est à dire quelqu’un qui concilie la réflexion et l’action. D’où mon travail métapolitique et mon engagement politique, que j’ai toujours menés de front même si, selon les périodes, l’un ou l’autre était plus apparent. J’ai toujours eu peu d’estime (pour rester gentil) pour les révolutionnaires en chambre, qui prétendent « penser » (il y aurait beaucoup à dire sur cette prétention) mais qui surtout ne veulent pas se salir les mains en allant au charbon, tout en critiquant ceux qui y vont. Et puis agir c’est donner des coups mais aussi en prendre. Alors, on n’est jamais trop prudents…

En 1994 vous avez fondé le mouvement Terre et peuple, et la revue qui va avec. Quelle est son actualité ?

Terre et Peuple illustre ce que je dis dans la réponse précédente. Aujourd’hui plus que jamais s’engager sur le terrain sans savoir, très précisément, pourquoi on le fait, est inutile et ne peut que servir l’ennemi, trop content d’affirmer que le militant identitaire a de gros muscles et un pois chiche en guise de cerveau. C’est pourquoi nous apprenons à nos camarades à toujours se guider sur cette boussole qu’est notre doctrine racialiste, folkiste, résumée par Terre (l’enracinement) et Peuple (l’identité raciale).

Depuis votre engagement en politique il y a fort longtemps, le monde, et particulièrement l’Europe, ont évolué à grande vitesse. Mais n’avez-vous pas l’impression, ces dernières années, d’assister à une accélération encore plus rapide de l’Histoire ?

Il y a certes une accélération de l’Histoire qui est due à l’engrenage dans lequel s’est jetée à corps perdu la société matérialiste, capitaliste, libérale qui nie les périls et qui finira par mourir de son inconscience, ce dont je me félicite.

Quel regard portez-vous sur l’opposition politique et militante à ce gouvernement, et plus globalement, à l’oligarchie, aujourd’hui en France et en Europe ?

Tous ceux, quelle que soit leur étiquette, qui se dressent contre le Système méritent d’être approuvés et soutenus. Mais le Système a une grande capacité à récupérer et neutraliser les forces qui s’opposent à lui. La première nécessité est donc d’ouvrir les yeux de ceux qui veulent rester libres, de leur montrer où sont les vrais enjeux, quels sont les maîtres du jeu. Pour renverser la table où est organisé un jeu truqué. Cela s’appelle une révolution.

Comment percevez-vous la multiplication des interdictions, des censures, des répressions visant les dissidents au sens large, finalement de cette guerre que mène main dans la main GAFA et gouvernements d’Occident ?

Les maîtres du Système ont peur. Ils ont peur que les peuples se réveillent (c’est le populisme), demandent des comptes et appliquent une justice expéditive. Il leur faut donc museler, embastiller voire assassiner tous ceux qui refusent la servitude. 

Vous consacrez le dernier numéro de votre revues aux communautarismes. A une période où les tenants de la République française entendent mener une guerre sans merci aux séparatismes, les Européens doivent-ils envisager de refonder des communautés organisées, sur leurs propres terres ?

Les Tartuffes qui prétendent lutter contre les séparatismes ont tout fait pour que les envahisseurs imposent toujours plus leur arrogante présence sur notre terre. Ils feignent de s’inquiéter : y aura-t-il une guerre des races ? Mais cette guerre est là, chaque jour, dans nos rues. Va-t-on la subir ou faire face ? Les Blancs ne peuvent compter que sur eux-mêmes, en s’organisant efficacement car ils ne peuvent évidemment pas compter sur des autorités qui ont perdu toute crédibilité.

Vous avez fondé et animé des mouvements de jeunesse. Quel message d’espoir auriez-vous à lui faire passer justement à cette jeunesse, que l’on veut aujourd’hui enfermer pour sauver quelques octogénaires, et à qui identité, vitalité, culture, éducation et même perspectives économiques ont été progressivement supprimées ou dévoyées ?

La jeunesse est le seul espoir d’un peuple et c’est pourquoi le Système fait tout pour la dévoyer, l’asservir, la contrôler. Il faut donc dire et redire, sans se lasser, aux garçons et aux filles de notre sang : révoltez-vous, libérez-vous et le vieux monde s’écroulera sous vos coups.

Propos recueillis par YV

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samedi, 13 février 2021

A propos du Mouvement social italien : la préface de Roland Hélie du livre de Massimo Magliaro consacré à l'histoire du MSI paru en Italie en 2018

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Ah le MSI ! On peut dire qu’il nous a fait rêver, nous autres militants français, ce Mouvement Social Italien... En effet, à l’époque où les organisations nationalistes avaient beaucoup de mal à émerger en France, nous avions tous les yeux rivés sur ce qui se passait au-delà des Alpes. Le MSI, c’était un peu grand frère que nous espérions un jour pouvoir imiter...

J’avais à peine quinze ans lorsque j’ai entendu parler pour la première fois du MSI. C’était au début des années 1970, dans un reportage à la télévision française consacré aux événements qui se déroulaient alors à Reggio de Calabre. On y voyait des jeunes missinistes, qualifiés sur un ton méprisant par les journalistes de « néo-fascistes », s’activer pour défendre leurs idées. Comment était-ce possible ? Après tout les lavages de cerveaux que nous avions subit en France depuis 1945, et aussi en Europe, il existait des jeunes, en Italie, qui se réclamaient fièrement du fascisme, fut-il « néo »...  Je voulais en savoir plus et l’occasion allait vite se présenter.

Quelques semaines plus tard, au hasard d’échanges inter-scolaires, je rencontrai une jeune Milanaise de passage en France pour apprendre notre langue. Je m’empressais de l’interroger sur ce phénomène qui me fascinait en me disant que, offusquée par une telle curiosité, elle allait honteusement m’envoyer promener. Il n’en fut rien. La belle Italienne, certes un peu étonnée par ma témérité, s’illumina et me parla avec enthousiasme de l’homme qu’elle admirait le plus dans l’histoire de son pays, Bénito Mussolini, et aussi de celui dans lequel elle plaçait tous ses espoirs : Giorgio Almirante. Voilà un langage auquel nous n’étions pas vraiment habitués chez nous. Dans les jours qui suivirent, convaincu que le Système nous mentait sur le fascisme, j’adhérais à Ordre nouveau et, après la dissolution, au Parti des Forces nouvelles...

Plus de 45 ans ont passé... 45 ans de militantisme au cours desquels j’ai maintes fois eu l’occasion de rencontrer des cadres et des militants du MSI. J’ai fait la connaissance de Giorgio Almirante lors d’un congrès près de Rome en 1982 où, avec Jean-Louis Tixier-Vignancour, nous représentions la France. Puis, en 1984, le jour tant attendu arriva. Aux élections européennes, la Droite nationale faisait son irruption, avec Jean-Marie Le Pen, sur la scène politique française. "L’Eurodroite" devenait une réalité...

Chez moi, un soir de mai 1988, j’avais entrepris de classer dans un album des photos récentes qui s’étaient amoncelées sur mon bureau. Parmi celles-ci, il y en avait une, prise lors du congrès de Sorrente en décembre 1987, sur laquelle je figurais en compagnie de Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national décédé depuis, et Giorgio Almirante. Je dois dire, toute vanité mise à part, que j’étais assez fier d’être sur cette photo avec ces deux personnages illustres. Mais ma joie fut de courte durée car, quelques minutes après avoir refermé mon album, en écoutant le journal télévisé j’apprenais la mort d'Almirante, celui qui avait tant marqué l’histoire de l’Italie et qui fut notre exemple à tous en Europe. Le hasard fait parfois curieusement les choses... Quelques mois plus tard, Jean-Pierre nous quittait à son tour.

Je n’oublierai jamais les quelques conversations que j’ai eu avec Giorgio Almirante. C’est pour honorer sa mémoire que, l’an passé, la revue Synthèse nationale que je dirige aujourd’hui, a organisé à Paris un grand banquet pour marquer les 70 ans de la création du MSI cliquez là et que nous avons consacré, à cette occasion, un numéro des Cahiers d’Histoire du nationalisme à cette grandiose épopée cliquez ici.

Et lorsqu’il y a quelques jours, mon camarade, mon ami, mon frère de combat Massimo Magliaro m’a fait l’honneur de me demander de préfacer son livre consacré au MSI (1), c’est bien entendu avec joie que j’ai accepté.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Paris, le 19 décembre 2018

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Giorgio Almirante, Jean-Pierre Stirbois, Roland Hélie au congrès du MSI à Sorrente en décembre 1987.

(1) La fiamma che non si arrende, Massimo Magliaro, Edition Pagine, Rome, 2019.

20:08 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Salvini se couche.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Pour prix de son soutien à Draghi et de son ralliement au Système, Matteo Salvini obtient l'aumône de trois petits ministères pour la Lega : le tourisme, le handicap et le développement.
 
Salvini c'est fini parce que Salvini c'est Fini en pire qui, à  force de louvoyer dans une douteuse union des droites au sein de laquelle il fit perdre son âme au MSI et son attractivité électorale à l'Alliance nationale pour le seul bénéfice de Berlusconi et de son clan affairiste, sombra dans le fossé des renégats.
 
L'union des droites est un mirage. Le populisme est un naufrage. Vive le nationalisme !
 
 
163236782.80.jpgNDLR SN : en adoptant cette stratégie hasardeuse, Salvini offre une voie royale à l'héritier du MSI, Fratelli d'Italia, présidé par Georgia Meloni, désormais seul mouvement national et populaire d'opposition en Italie...
 
 
 
 
L'histoire du Mouvement social italien (MSI) :

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Pour l'acheter cliquez ici

18:53 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Boulevard Voltaire présente le nouvel album d'Ignace

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

Avec Chard, qui officie fidèlement à Présent, sans oublier Pinatel, autre dessinateur historique de la presse non conformiste en quasi-retraite, Ignace peut faire figure de dernier des Mohicans. En effet, ce petit diable persiste à exercer ses talents chez nos confrères de TV Libertés et de France Soir, même si le quotidien jadis fondé par Pierre Lazareff n’est plus, aujourd’hui, qu’un site Internet comme les autres, alors qu’il vendait jusqu’à un million d’exemplaires chaque jour, au siècle dernier.

Ignace, donc, vient de publier son dernier recueil de dessins. Comme toujours, le crayon y est habile et l’humour acéré. Pourtant, il n’y a rien de méchant en ce dessinateur connu dans toutes les rédactions dissidentes pour être le plus gentil des hommes. Ce qu’il confirme en déclarant : « Le côté gentil me poursuit. On me reproche de rendre nos adversaires trop sympathiques, notamment les femmes. Dieu merci, je n’éprouve de haine envers personne. Néanmoins, en ces temps de dictature sanitaire, les protagonistes politiques et scientifiques deviennent caricaturaux. Ils jouent les protecteurs paternalistes, mais sont perçus comme des catéchistes rigoristes, qui nous promettent l’enfer si on ne respecte pas les gestes barrières. J’essaie dans mes dessins de mettre en lumière cet aspect. Et à l’inverse, je soigne un professeur Raoult qui “a de la gueule”, comme on dit, avec son look tout à fait à part. C’est une façon de lui rendre hommage, ainsi qu’à tous ceux qui résistent courageusement au sanitairement correct. »

Homme de droite revendiqué, on ressent pourtant dans ses dessins une forte influence de Marcel Gotlib, l’une des plus belles plumes du défunt hebdomadaire Pilote, avant qu’il n’aille fonder L’Écho des savanes, puis Fluide glacial, et qui n’était pas tout à fait de droite, lui. Pour Ignace, rien de rédhibitoire : « Lorsque j’étais en cinquième, on remarquait mes dessins et un camarade de classe trouvait que j’avais le “style de Pilote”, mais je ne connaissais pas ce fameux Gotlib. Ce n’est qu’un peu plus tard que j’ai découvert les BD du maître. J’ai eu l’impression de rencontrer un père ; ou plutôt, j’étais son jumeau, arrivé une génération trop tard. Le créneau étant déjà pris, je n’avais plus rien à apporter. Et puis le temps m’a fait comprendre que je n’avais ni son génie ni sa personnalité. »

Pourtant, le jeune Ignace continue de creuser son sillon politique : « À seize ans, je m’étais converti au royalisme puis, par ricochet, au catholicisme intégral. Je commençais à voir dans le dessin une finalité ajoutée à l’humour, celle de faire passer des messages ou des idées. Par ailleurs, c’était un moyen de gagner ma vie. Ayant été un élève médiocre et peu manuel, il n’y avait que le dessin pour me sortir de l’impasse. J’ai donc suivi une école de dessin publicitaire, histoire de me préparer à un métier digne de ce nom, tout en pensant bifurquer dès que possible vers le dessin d’opinion. »

Pour Ignace comme tant d’autres de ses confrères, le passage de la presse papier à celle Internet ne se fait pas tout seul : « Cela a été une véritable mue. Dans la presse papier, on peut se “lâcher”. Il faut simplement éviter les procès. Je passais presque pour une tête brûlée. Tandis que sur les réseaux sociaux, on est vu du monde entier. C’est la raison pour laquelle, sans doute, on me qualifie maintenant de gentil. Et puis je dis souvent qu’on peut choquer sans manquer à la charité. »

On ne saurait mieux dire que cet artiste, dont le recueil de dessins est un régal de chaque instant. La marque des grands, probablement.

Pour commander cet album, cest simple cliquez ici

11:34 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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