mercredi, 24 mai 2023
Le rapport Durham confirme la corruption des services de renseignement américains
Ludovic Lavaucelle dans LSDJ
Le rapport Durham fait peu de bruit en France. Ses conclusions sont pourtant explosives.
Le procureur spécial John Durham était chargé de faire la lumière sur les accusations portées contre le candidat antisystème du Parti républicain qui allait devenir Président. D’après le camp démocrate, alors qu’on était dans la dernière ligne droite de la campagne de 2016, Donald Trump était une marionnette de Vladimir Poutine. Comment ? Les Russes auraient détenu un enregistrement vidéo de Trump à Moscou en compagnie de prostituées qu’ils utilisaient pour faire chanter le candidat avec l’espoir d’avoir un Président américain « à leurs bottes » une fois élu. Les adversaires de Trump se sont servis de ces soupçons pour mettre en cause sa légitimité et le FBI a docilement lancé une enquête dès le début 2017 qui a duré pendant la majeure partie des 4 ans qu’aura passés Donald Trump à la Maison Blanche…
Cette investigation a conclu à l’absence de tout élément pouvant soutenir les accusations.
Mais le rapport Durham ne fait pas que blanchir Donald Trump, précise le rédacteur-en-chef du Washington Examiner (voir l’article en lien). Il démontre que tout avait été orchestré par le clan Clinton à l’été 2016. Hillary Clinton voulait détourner l’attention sur des soupçons de financements illégaux de sa campagne (argent venant précisément de l’étranger). Dès le mois d’août 2016, le Président Obama et Joe Biden (alors Vice-Président) ont été informés par le patron de la CIA des soupçons contre Trump. Le dossier était particulièrement faible et la CIA ne pouvait pas ne pas savoir que les sources étaient biaisées puisqu’elles provenaient exclusivement du camp démocrate. Le FBI a immédiatement pris le relai de la CIA pour l’enquête… L’attitude du FBI a été pour le moins légère dans l’analyse des sources recueillies – comparée à la diligence dont il a fait preuve pour classer les affaires concernant Hillary Clinton. Comble de l’ironie, certaines « sources » de l’accusation semblent liées à la Russie. On peut donc penser que ces années de soupçons à l’encontre de la Maison Blanche ont été une bénédiction pour le Kremlin qui a vu le président des États-Unis empêtré dans des affaires intérieures avec, pour corollaire, une division profonde entre les Américains…
Cette affaire est bien plus grave que le Watergate car elle démontre à quel point l’appareil sécuritaire américain cherche à influencer directement le processus démocratique.
La chute de Richard Nixon avait clos l’ère d’une certaine infaillibilité présidentielle (« ce qu’un Président fait ne peut pas être illégal »). On est loin d’un assainissement de la vie politique américaine puisqu’on comprend aujourd’hui que les services de renseignement agissent en dépit des règles les plus élémentaires qui s’imposent à eux. Une autre preuve de cette dérive a été le dévoilement des liens entre le FBI et les médias sociaux pour faire taire les révélations sur le contenu du portable de Hunter Biden juste avant les élections de 2020…
Les soupçons de corruption s’accumulent sur la famille Biden.
On vient d’apprendre que le patron de la China Merchants Bank a fait un don de 5,5 millions de dollars entre 2018 et 2019 à l’université de Pennsylvanie, au sein de laquelle Joe Biden avait fondé un « think tank ». Ce patron de banque chinois est un membre influent d’un club d’entrepreneurs lié au Parti Communiste Chinois (PCC). Une autre société chinoise, Cathay Fortune, a fait un don d’1 million de dollars en 2019. Cette dernière est un actionnaire important d’une société minière chinoise, la CMOC Group Limited, qui a acheté une mine congolaise avec l’aide d’une firme d’investissement dans laquelle Hunter Biden avait des intérêts… Les relevés bancaires – obtenus et analysés par le comité de surveillance de la Chambre des Représentants – démontrent que la famille Biden a reçu en tout près de 10 millions de dollars en provenance de Chine et de Roumanie alors que Joe Biden était Vice-Président…
Face à des soupçons aussi graves, quelle confiance accorder à des services censés enquêter au nom du peuple américain – puisque leur incompétence, voire leur corruption, est avérée par le rapport Durham ?
L’implication des services de sécurité dans les rouages de la démocratie américaine n’a pas baissé depuis la fin de la Guerre Froide. On peut même parler d’emprise avec l’enchaînement de crises depuis la chute de l’URSS. En 1310, la puissante république de Venise avait mis en place un conseil de sécurité doté de pouvoirs extraordinaires – « les Dix » – à la suite d’un complot visant à renverser le gouvernement. L’état d’urgence allait durer près de 500 ans et une oligarchie de quelques familles puissantes de régner sur une « Sérénissime » en déliquescence… Abandon des élections pour nommer le Doge au XVᵉ siècle, luttes intestines entre clans dirigeants et grandes fêtes de plus en plus folles pour le peuple jusqu’à l’arrivée des troupes napoléoniennes... « Ce qu’on dit être nouveau en ce monde, c’est l’Histoire qu’on ignore » (Harry Truman).
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17-18 juin : la Vendée se souvient
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À l'occasion de la sortie du livre "Transgression" : Pierre Cassen et Bernard Germain invités jeudi soir au Forum du Parti de la France
Dans le Forum du PdF du jeudi 25 mai, Alexandre Hinger reçoit Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Bernard Germain (Coordination Partout Callac).
L'émission sera consacrée à leur dernier ouvrage écrit en commun « Transgression… Voyages du camp du bien vers le camp du mal » et traitera également de l'actualité politique.
C'est jeudi à 21h et c'est sur Telegram :
Commandez le livre Transgression cliquez ici
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Disparition du Professeur Jean Haudry
Le professeur Jean Haudry est décédé mardi matin à l'âge de 88 ans. Chercheur de renom, il a consacré sa vie et ses études à la civilisation indo-européenne. Il enseigna des années durant à l'université de Lyon III (1966-1998). Il a été aussi l'auteur de nombreux ouvrages de références sur les origines de notre civilisation.
Membre du GRECE, il participa aux lancements des revues Nouvelle école et Éléments. Ami de Pierre Vial, il est intervenu régulièrement aux Tables-rondes de Terre et peuple. Il participa aussi, dans les années 1990, au Conseil scientifique du Front national. À plusieurs reprise, il nous fit l'honneur d'assister à nos journées annuelles de Synthèse nationale.
Roland Hélie
Le site de l'Institut Iliade a publié un bel article sur la vie et la carrière de Jean Haudry cliquez ici
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" Instrumentalisation de Lola sur France 5 : je n’ai jamais vu une émission aussi abjecte "
Bernard Germain
La première fois, Lola est morte dans des conditions atroces, sauvagement assassinée par une Algérienne en situation de clandestinité. Elle n’avait donc rien à faire sur notre territoire national. De plus elle était frappée d’une OQTF et si cette obligation de quitter le territoire avait été appliquée, Lola serait toujours parmi nous.
Mais comme les frontières du pays ne sont plus surveillées, à cause d’une décision de l’Europe, comme le délit de clandestinité a été supprimé par la « Gôche » (Hollande), comme de multiples associations continuent à œuvre inlassablement à l’arrivée de toujours plus d’immigrés, comme la justice ne protège pas les Français et ne fait pas appliquer les OQTF, tout cela a coûté la vie à une gamine de 12 ans.
Il aurait été logique que la France entière descende dans la rue et manifeste comme cela s’est passé au moment des attentats contre Charlie Hebdo. Parce que Lola ça aurait pu être n’importe quel gosse de France. Alors chacun était en droit de s’identifier aux parents et au calvaire qu’ils enduraient avec le meurtre de leur enfant. Et d’exprimer son dégoût des conséquences de la politique de l’Europe, de la servilité des hommes politiques français qui appliquent cette politique, de l’incroyable fonctionnement de la justice et de l’action de toutes ces associations pro-migrants.
À l’inverse, une véritable chape de plomb est tombée sur notre société. Tout a été fait pour que les français ne puissent pas manifester et exprimer leur indignation ni leur ressentiment face à cet évènement odieux et insupportable. Tous ceux qui osèrent se rassembler pour honorer la mémoire de Lola et dénoncer les causes de sa mort, furent diabolisés. Même le RN, devant l’ampleur de cette campagne, refusa de manifester dans les rues.
Telles furent les conditions de la première mort de Lola et ses suites immédiates.
Dimanche soir, sur France 5 - chaîne de service public payée par nos impôts - s’est déroulé une émission intitulée « La fabrique du mensonge », consacrée à l’affaire Lola.
J’ai beau remuer les souvenirs de toute ma vie, je n’arrive pas à me remémorer une émission aussi abjecte. Son objet n’était nullement de rendre hommage à Lola. Encore moins de dénoncer les coupables de sa mort, à commencer par cette Algérienne (une « déséquilibrée » bien sûr... dixit France 5) mais aussi toute la chaîne que j’ai indiquée qui se termina par cet horrible évènement.
Non, l’objet de cette émission était, à l’occasion du meurtre de Lola, de « dénoncer l’existence d’une fachosphère en France ». En clair, le prétexte fut le meurtre de Lola, mais l’objectif était en réalité une opération politique afin d’affoler les Français avec de prétendus fascistes qui menaceraient le pays.
Peut-on dire plus clairement que Lola a été instrumentalisée à cette occasion pour servir une cause politique et des gens qui ne redoutent pas d’utiliser la mort d’une gosse pour leur propagande délirante et honteuse.
Quelqu’un osera-t-il me dire que ce n’est pas de la « récupération » cette émission de France 5 ? Il se trouve que « la récupération » est l’accusation préférée des bien pensants vis à vis de ceux qui défendent leur pays. Cela ne fait que confirmer l’adage bien connu qui veut qu’on ne critique jamais autant que ses propres turpitudes.
On en a eu une invraisemblable confirmation dimanche soir sur France 5.
Karim Rissouli, le « journaliste » - moi je dirais plutôt le propagandiste en chef -, qui présenta l’émission et anima le débat qui s’est déroulé à la suite, a fait un travail formidable… dans l’abject et la désinformation du public. Un véritable artiste cet homme.
Sa méthode est des plus simples et on la vit tout au long du reportage : « Pas de récupération, ni d’utilisation de la mort de Lola à des fins politiques ».
Hier à l’occasion de chaque attentat islamiste on entendait : « Pas d’amalgame », «Vous n’aurez pas ma haine » et la bonne réaction c’était de mettre des bougies et des nounours… en attendant les prochains morts.
C’est pour cela que mon ami, Patrick Jardin - dont la fille est morte au Bataclan fauchée par les balles des islamistes - a été traîné dans la boue par tant de collègues bien pensants de Karim Rissouli au motif qu’il est indécent de dire : « jamais je ne pardonnerai ».
On se souviendra au passage qu’Eric Zemmour alors qu’il était allé se recueillir devant le Bataclan en Novembre 2021, fut dénoncé et critiqué par Raquel Garrido - députée LFI - parce que ce geste « empêchait la réconciliation » avec les terroristes du Bataclan. Et bien nous, on ne veut pas se réconcilier avec les terroristes.
Je rappelle que depuis l’affaire Merah en 2012, il y a eu entre 300 et 400 morts en France, tombés sous les balles ou les coups de couteau, d’islamistes. Et plus de 1 000 blessés dont certains estropiés à vie.
Comme Patrick Jardin, on ne va pas oublier et on ne pardonnera jamais.
Lorsque des Français tombent, on manifeste, on honore leur mémoire et on demande des comptes à tous ceux qui en sont les responsables à un degré plus ou moins grand.
Hier, c’était « Pas d’amalgame », aujourd’hui on entend « Pas de récupération », afin de tuer dans l’œuf toute volonté ou possibilité de mobiliser contre les conséquences de l’invasion migratoire. Karim Rissouli, les invités de son débat et tous ceux qui ont contribué à la réalisation de cette émission sordide sont dans le camp du « bien ».
Le camp de ceux qui diabolisent les gens comme nous, et nous dénoncent comme étant des « fachos ». Le camp de ceux qui veulent se « réconcilier » avec les terroristes, ceux qui répètent en boucle « Pas d’amalgame », « Vous n’aurez pas ma haine » ou « Pas de récupération ». Ceux qui ajoutent que « l’islam est une religion de paix et d’amour ».
Le moins qu’on puisse dire c’est que l’émission de Karim Rissouli n’y a pas été avec le dos de la cuillère et n’a pas fait dans le détail. Tout le mode y est passé.
Tout d’abord, Samuel Lafont (Reconquête) ainsi que Damien Rieu (Reconquête) pour le travail qu’ils ont fait sur les réseaux sociaux afin d’informer les Français et contribuer à leur mobilisation.
Eric Zemmour lui-même fut vilipendé pour avoir inventé le terme de « francocide ». Tout comme Renaud Camus pour son concept de « Grand remplacement ». Et puis, il y eut le couplet sur les médias d’ultra-droite, CNews et Valeurs actuelles en tête, sans oublier Riposte Laïque, « site complotiste d’ultra droite ». Et puis, Vincent Bolloré l’homme qui consacre tant d’argent pour propager ces idées nauséabondes.
Et puis Cyril Hanouna pour avoir condamné à l’antenne ce meurtre immonde et dit qu’un procès devrait être organisé immédiatement et que cette Algérienne devrait être condamnée à perpétuité. Et puis,… j’arrête là. Je pourrais remplir une page complète.
Arrivé à ce stade, le lecteur pourrait se demander : « comment se fait-il que ces gens « bien pensants » soient à ce point aveugles ? Comment se fait-ils qu’ils nient la simple réalité et le plus élémentaire bon sens ? Comment se fait-il qu’ils diabolisent ainsi quiconque veut dénoncer des faits horribles, tels la mort de Lola ? » La réponse est fort simple et est écrite en toutes lettres sur le site de France Télévisions dans l’article consacré à cette émission : « Quand l’extrême droite récupère ça, elle attaque aussi les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte, où il y a toutes les populations qui sont représentées, qui vit ensemble. »
C’est donc cela la raison de cette émission pourrie : En dénonçant l’assassinat de Lola, l’extrême droite attaque « les valeurs du quartier. C’est un quartier qui est mixte (…) qui vit ensemble ».
Donc dénoncer le meurtre de Lola, c’est attaquer l’idéologie de ceux qui veulent que les Français vivent ensemble avec ceux qui viennent de l’autre bout du monde et dont certains les assassinent.
L’émission qu’a produite France 5 était donc une émission politique, à la gloire de l’idéologie immigrationniste et du vivre ensemble.
Idéologie qui est responsable de tant de malheurs pour nos compatriotes à travers tout le pays que les journaux relatent quotidiennement. Voilà ce qu’est devenu le service public dans le domaine des médias : une machine de propagande politique « bien pensante » qui intoxique chaque jour les Français et les désinforme.
Dimanche soir, avec son émission, France 5 a tué une seconde fois Lola, au nom de la bien pensance et de l’immigrationnisme, en « récupérant » le meurtre d’une enfant de 12 ans à des fins politiques. Odieux et ignoble…
00:09 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 23 mai 2023
Jean-Dominique Michel : « L’évolution de notre société à travers le Covid »
Si la crise n'était pas sanitaire (létalité égale à celle de la grippe annuelle), comment expliquer ce qui nous est arrivé et continue sous d'autres formes (guerre, énergie, climat) ?
Après être resté très longtemps prudent à ce sujet, je me risque à avancer certains éléments de réponse et de formuler certaines hypothèses…
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lundi, 22 mai 2023
Viande Halal obligatoire dans une cantine d’un collège de Bordeaux ?
Michel Festivi
Le collège Emile Combes de Bordeaux a proposé, comme plat principal, sans aucune autre alternative, un sauté de bœuf halal.
La porte-parole de l’association des Parents vigilants en Gironde s’en est indignée : « On bafoue le principe de la laïcité et c’est assumé », a-t-elle proclamée. Effectivement dans un collège qui porte le nom du Pape de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, c’est d’autant plus choquant.
Mais on est habitué « au deux poids deux mesures », et l’on sait que tous les coups sont permis et réservés au catholicisme uniquement.
Le département de la Gironde a, comme il fallait s’y attendre, déploré « une erreur de communication du logiciel Pronote », c’est bien entendu la faute de l’informatique ! Il prétend qu’il y aurait aussi au menu de nos chères têtes blondes « des aiguillettes de poulet », selon l’article du Figaro du 21 mai 2023.
On rappelle que la méthode halal d’abattage « consiste en un large égorgement de la trachée jusqu’à l’œsophage de l’animal ». Or ne serait-ce qu’au niveau de la sacro-sainte souffrance animale, cela n’est pas sans poser certaines difficultés. L’institution publique cautionnerait-elle la souffrance animale ?
En effet, en principe le critère halal n’admet pas l’étourdissement de l’animal préalablement à sa mise à mort.
Une députée UDI en 2020 s’en était inquiétée et avait posé une question au ministre de l’Agriculture (Question N° 27093 du 3/3/2020.) Ce dernier y a répondu en précisant que « conformément (à la réglementation européenne), l’étourdissement des animaux est obligatoire. »
Mais bien évidemment, il existe une exception s’agissant « du libre exercice des cultes ». Cela nécessite un abattage dans un établissement agrée : « respectant l’ensemble des mesures en matière de bientraitance animale ». La contradiction de cette exception n’a visiblement pas interpellé nos éminentes élites européennes, ni le ministre. Car comment peut-on respecter la « bientraitance animale », sans étourdir l’objet de l’égorgement ? C’est mutadis mutandis comme si l’on opérait un individu sans anesthésie, à vif.
Le ministre s’est aussi répandu sur les mesures qui doivent être prises pour la sécurité alimentaire, car l’on sait que ce type d’abattage favorise les contaminations bactérielles, comme l’avait soulignée la députée dans sa question.
Dans un livre datant de 2017, intitulé, Le marché halal ou l’invention d’une tradition, Le Seuil, Florence Bergeaud-Blackler avait mis en exergue « l’invention d’un marché » et « l’invention d’une norme » faisant apparaître des luttes stratégiques et économiques d’importance entre divers acteurs du monde islamique, tels les frères musulmans, certains états, ainsi que les pouvoirs publics.
Selon cette chercheuse du CNRS, ce sont les conceptions fondamentalistes qui ont fini par s’imposer.
Et c’est bien là tout le problème.
18:36 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alexandre Havard : " LE GRAND COMBAT ARRIVE"
interview entière ici
D'origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Juriste de formation, il a exercé le métier d’avocat plusieurs années avant de se consacrer au développement du système de Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.
« Je pense que la société va vers un chaos total provoqué par ces manipulateurs, mais qu’il y a d’autres personnes au-dessus d'eux qui veulent ce processus pour se présenter comme des “sauveurs”, poursuit Alexandre Havard. Ces “sauveurs” sont très différents, ils ont l’air bons, ils ont l’air capables, ils sont très attrayants. Ce sont les plus dangereux. Beaucoup de gens regardent les manipulateurs, mais pas ceux qui viendront après. C’est là que sera le grand combat. »
18:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
INTERDICTION DU COLLOQUE DE L'ILIADE : LE RÉCIDIVISTE DE LA PLACE BEAUVAU PERSISTE
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Il fallait oser... il l'a fait. Darmanin, le petit monsieur qui sert actuellement de ministre de l'Intérieur, était vexé car, la semaine dernière, il avait été ridiculisé par l'annulation de son interdiction de la commémoration de la Fête nationale de Jeanne d'Arc par l'Action française cliquez ici.
Après avoir sans doute ruminé sa vengeance toute la semaine, il a récidivé dimanche en interdisant au dernier moment le colloque de l'Institut Iliade. Colloque organisé à Paris pour commémorer le dixième anniversaire de la mort de Dominique Venner et qui, comme chacun peu l'imaginer, était de nature à renverser la République...
Décidément, après Valls et autres Cazeneuve hier, on croyait en avoir fini avec les apprentis Staline. Mais, force est de reconnaître que, une fois de plus, le pire est toujours à craindre. Avec Darmanin, un pas vient d'être franchi vers l'abolition de nos Libertés...
Ces interdictions infondées montrent la vraie nature du régime Macron. Celui d'une dictature (au visage poupin certes) aux abois. En effet ces domestiques zélés du mondialisme que sont les gouvernants actuels de la France ne savent plus quoi inventer pour masquer leur catastrophique faillite politique, économique, sociale et sociétale. Ils n'ont plus que la solution dite "du bouc émissaire", qui a fait ses preuves en d'autres temps... Et le bouc émissaire d'aujourd'hui, c'est la Résistance nationale et identitaire...
Pendant ce temps, dans toute la France, les racailles, les Blacks blocs, les antifas, les bandes de dealers sèment la terreur et la mort... Le bilan de cette fin de semaine est édifiant mais de cela, Darmanin s'en moque éperdument puisqu'il a sauvé la démocratie en interdisant le colloque de l'Iliade. Pauvre petit monsieur...
Il est vraiment temps d'en finir avec ces fossoyeurs patentés qui détruisent à longueur de journées notre nation et notre civilisation. Un jour viendra où ils devront rendre des comptes...
12:30 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
22 mai 1988 : disparition de Giorgio Almirante
Source Jeune nation cliquez ici
Giorgio Almirante nait le 27 juin 1914 à Salsomaggiore en Émilie-Romagne. Il vient d’une famille d’acteurs et de patriotes.
A Turin, il passe sa maîtrise de lettres en 1937, avec un mémoire sur la lecture de Dante au XVIIe siècle. Parallèlement à ses études, il commence une carrière de journaliste, collaborant au quotidien fasciste Il Tevere (Le Tibre), où il travaille jusqu’en 1943, date à laquelle il en est le rédacteur en chef.
Il est signataire en 1938 du Manifeste sur la race, il est secrétaire de rédaction jusqu’en 1942 de la revue La défense de la race.
Après avoir pris part à la Campagne d’Afrique du Nord, Almirante adhère à la République sociale, créée au lendemain de l’armistice du 8 septembre 1943. Il passe à Salò et s’engage dans la Garde nationale républicaine avec le grade de capomanipolo. D’abord chef de cabinet du ministre de la Culture populaire de Mussolini, il devient lieutenant de la brigade noire dépendant de ce même ministre. C’est dans les rangs de cette entité qu’il va lutter contre les résistants, notamment en Val d’Ossola et dans la région de Grosseto.
Giorgio Almirante passe dans la clandestinité, du 25 avril 1945, date de l’armistice définitif, jusqu’en septembre 1946.
Le 26 décembre 1946, il participe à Rome à la création du MSI, qu’il dirige jusqu’en 1950, puis à nouveau de 1969 à 1987.
Il entre à la Chambre des députés dès la première législature en 1948 et est systématiquement réélu jusqu’à sa mort.
Pendant sa longue permanence à la tête du MSI, Almirante sut faire valoir sa personnalité posée et consensuelle, indispensable dans un parti au sein duquel, surtout après la fusion avec les royalistes en 1971, militent des personnalités aux origines politiques extrêmement diverses et aux caractères tout aussi variés. Il est l’artisan de ce qui a été défini comme la « politique du costume croisé », à mi-chemin entre l’héritage fasciste et l’ouverture sur le système.
Au début des années 1970, par respect pour la discipline de parti, il s’exprime contre l’introduction du divorce. Sa position d’ouverture avait en effet été mise en minorité au sein du MSI pendant les discussions. Lui-même bénéficiera des possibilités offertes par la loi Fortuna-Baslini pour divorcer de Gabriella Magnatti, sa première femme, et se remarier avec Assunta Stramandinoli, veuve du marquis de Médicis mais qu’il a connue à l’époque où ils étaient encore mariés.
En 1972, grâce notamment à la fusion avec le parti royaliste (PDIUM), le MSI obtint son meilleur score aux élections législatives sous l’étiquette MSI-Droite Nationale, avec 56 députés et 26 sénateurs.
Devenu le principal symbole de la droite anti-communiste, Almirante est souvent attaqué par les forces de gauche, et notamment celles d’extrême-gauche, qui l’accusent entre autres d’avoir été un « fusilleur » sous la République de Salò. Almirante répondit à ces accusations par procès et par la publication d’un livre, Autobiographie d’un fusilleur : « Un titre doublement menteur puisque ce n’est pas une autobiographie et que je ne suis pas un fusilleur ».
Le Procureur général de Milan de l’époque décide alors de demander à la Chambre l’autorisation d’engager une procédure contre lui pour tentative de reconstitution du Parti Fasciste. Celle-ci est accordée le 24 mai 1973 mais l’enquête ne débouche sur rien et l’affaire est classée.
Vers la fin des années 1970, en pleine crise du terrorisme, les fameuses Années de plomb, Almirante prend parti pour le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes reconnus coupables d’assassinat. Il s’oppose aussi à la légalisation de l’avortement en Italie.
Son état de santé le contraint en 1987 à abandonner la direction du parti à son dauphin Gianfranco Fini, alors secrétaire du Front de la Jeunesse du MSI. Ce choix revenant à couper les ponts avec le passé, car « personne ne pourra traiter de fasciste quelqu’un né après-guerre. » Fini dira de lui qu’il était « un grand Italien » et « le leader de la génération qui a refusé de se rendre. »
Il meurt à Rome, le 22 mai 1988, après une opération subie à Paris.
La cérémonie de ses obsèques se tient à Rome, dans l’église de la piazza Navona. Il est inhumé au cimetière communal de Campo Verano de Rome.
Sur Giorgio Almirante et le MSI :
Pour le commander cliquez ici
11:54 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 21 mai 2023
Eric Zemmour invité du Grand Jury RTL, LE FIGARO, LCI
18:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les migrants dans les châteaux, mais une famille française de 5 enfants à la rue
Bernard Germain
Nous sommes à Villers-Saint-Paul, dans l’Oise (60). Plus précisément sur le parking du super marché. Un peu à l’écart on voit deux véhicules camping-car, mais plus petits. Entre les deux véhicules, sur la place libre, des enfants jouent. Ils sont cinq. À côté deux adultes. Un homme et une femme. Ce doit être les parents. Mais que font-ils là ? ... On dirait qu’ils ont élu domicile à cet endroit. Il se trouve que c’est exactement cela.
Oui, en France, en 2023, une famille avec 5 enfants vit sur un parking de supermarché. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le père a perdu son emploi. En dans la foulée ils ont du quitter leur logement car il était le seul à travailler, la mère s’occupant de ses 5 enfants.
Depuis, le mari a retrouvé un emploi. Il est chauffeur de bus. Donc il peut payer un logement. Sauf qu’il n’y en a pas. Un couple avec 5 enfants, on ne peut pas les loger dans un studio. Et les grands appartements sont rares et surtout... ces parents ne sont pas prioritaires.
Ceux qui sont prioritaires, ce sont des gens qui viennent de l’autre bout de la terre, qui n’ont jamais cotisés et dont la plupart ne travaillent pas, vivant d’aides et de prestations sociales.
Cette histoire tragique m’en rappelle une autre. J’avais écrit un article à ce sujet : cliquez ici
Il s’agissait d’une famille française, en Bretagne à Ploërmel, qui travaillait et par honnêteté avait accepté de quitter le logement qu’elle occupait avec ses quatre enfants pour satisfaire la demande du propriétaire de récupérer son bien, mais sans prendre la précaution la précaution d’avoir un nouveau logement avant de déménager.
Résultat : obligée de vivre sur un terrain déclaré insalubre dans une caravane. Pourquoi ? parce que tous les logements sociaux sont attribués en priorité aux migrants, dont il faut « prendre soin ». Alors, il n’y avait pas de logement pour eux qui payent des cotisations sociales et qui venaient de recevoir la médaille de la famille par le maire de leur commune.
Je peux également citer un autre article que j’avais écrit sur un problème similaire. cliquez là
Là il s’agissait d’un homme vivant à Paris. Victime d’un accident du travail il avait perdu son logement et s’était retrouvé à la rue. Oui, ... SDF pour cause d’accident du travail.
Après 2 ans passés hiver comme été dans la rue, il s’était rétabli et pouvait à nouveau travailler. Mais il avait un problème. Pour signer son contrat de travail il lui fallait une adresse. Donc impossible de retrouver du travail.
Sauf que pas de travail implique une absence de ressource. Donc personne ne voulait lui louer un bien immobilier. Une histoire de fou, lui interdisant de retrouver une vie normale et de quitter la rue. Vous me direz peut-être : « Il y a des services sociaux qui peuvent le loger et le sortir de sa situation d’extrême pauvreté ».
Oui, vous avez raison. Mais cet homme a fait le tour de tous les services. La réponse était invariablement la même : « Vous n’êtes pas prioritaire. Ce sont les migrants qui le sont ». Donc, il n’y a rien pour eux.
Trois histoires. Trois situations identiques.
Des personnes qui ont travaillé ou travaillent depuis de longues années. Donc qui ont cotisé ou cotisent.
Un problème survient et l’enfer leur tombe sur la tête. Ils se retrouvent dans la précarité, abandonnés par l’État et tous les services sociaux.
L’État… parlons-en. Il ne fait rien pour ces français, il les abandonne et au fond n’en a rien à faire.
Par contre les migrants, ça c’est important. Le château ci-dessus, situé à Saint-Jean-le-Vieux (01)est classé aux monuments de France. C’est dans ce château que le préfet de l’Ain va héberger des migrants. Les habitants sont furieux, le maire se dit impuissant face à la décision de la préfète. Là, on touche le fond.
Des migrants dans un château classé monument historique. Tandis que les français, sont à la rue, sur un terrain insalubre ou sur un parking de super marché s’ils rencontrent le moindre problème. Quelle honte !
Il est urgent d’arrêter cette immigration folle et d’obliger les délinquants, OQTF et autres indésirables à quitter notre territoire dans les meilleurs délais.
Quant aux français il faut appliquer la préférence nationale, c’est à dire leur donner la priorité pour tout ce qui relève du social, notamment l’accès aux logements sociaux.
Si on arrive à en finir avec la misère en France, il sera toujours temps de s’occuper du reste du monde. En attendant, il est insupportable de constater l’existence de cas comme ceux que je viens de mentionner. Ce ne sont que trois exemples. Combien sont-ils comme eux dans toute la France ? C’est un vrai scandale.
12:13 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Europe, civilisation des libertés
Un communiqué de l'Iliade :
Le Préfet de Police, sur ordre du ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin, veut interdire à Paris, par arrêté, un événement culturel organisé par l’Institut Iliade.
L'Iliade défend la civilisation des libertés, la civilisation européenne, et attend la réponse du tribunal administratif saisi afin de faire valoir ses droits et les libertés publiques.
Consacré à Dominique Venner, écrivain et historien, mais aussi éveilleur, qui n’a cessé de mettre en garde la population des « périls immenses pour notre patrie française et européenne » à venir, ce moment d’hommage à une personnalité reconnue est prévu aujourd’hui 21 mai à 15 heures, Pavillon Wagram à Paris.
L’Institut Iliade, organisme de formation de la jeunesse qui œuvre à une meilleure connaissance de l’histoire, des valeurs et de la culture de la civilisation européenne, fait sienne la devise de Guillaume d’Orange, « nous maintiendrons ».
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Immigration : l’exemple danois
A l’origine, le Danemark, ce petit pays de 5 millions d’habitants, était l’un des plus accueillants d’Europe en matière d’immigration. Avec la Suède qui est en train de revoir, elle aussi, sa politique migratoire. Quelques années plus tard, en raison des dégâts sociaux que provoque cette immigration, le pays a fait marche arrière et n’a pas fait dans la dentelle, elle est drastique. Sa politique anti-migratoire est mise en œuvre, non pas par un régime fasciste, mais les gouvernements sociaux-démocrates, à l’image de sa première ministre, Mette Frederiksen. Cotti, Marleix, Retailleau en rêvent…
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Source : Journal du dimanche, 21/5/2023
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samedi, 20 mai 2023
Vu par Ignace...
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Journal du chaos
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Quand le chocolat n’adoucit pas les mœurs…
La chronique de Philippe Randa
Certes, c’est parce qu’il est le petit-neveu de Brigitte Macron, actuelle Première dame, que Jean-Baptiste Trogneux a été pris à partie, puis agressé physiquement, devant le magasin de chocolats fins de sa famille à Amiens, le 15 mai dernier.
Agression semble-t-il aussi stupide que minable et lâche qui a fait justement et unanimement réagir élus et responsables politiques, tous surenchérissant tant et plus sur leur effarement, leur indignation, leur révolte et réclamant avec toute la conviction dont ils sont capables que les agresseurs soient sanctionnés avec une extrême sévérité.
Et l’on peut imaginer bien évidemment que celles et ceux qui comparaîtront en Justice pour cet acte misérable récoltent effectivement des peines exemplaires, ne serait-ce que pour dissuader à l’avenir d’autres coléreux d’imiter leurs mauvaises manières.
Tout honnête homme (comme toute honnête femme, bien sûr) n’imaginerait pas que de simples « rappels à la loi » soient prononcés comme dans tant d’autres cas d’agressions physiques, non plus que de simples peines de travaux d’intérêt général ou de prison avec sursis, voire qu’il n’y ait pas de condamnations faute de preuves… ou encore que les futurs condamnés ne soient jamais enfermés car si leur peine était « inférieure ou égale à six mois (qu’ils doivent), sauf impossibilité résultant de la personnalité ou de la situation du condamné, faire l’objet d’une des mesures d’aménagement » (loi pénitentiaire du 24 novembre 2009, modifiée par loi du 23 mars 2019, selon l’article 132-19 du Code pénal).
Toutefois, à y regarder de plus près, 4 des 8 personnes interpellées dès le lendemain 16 mai grâce aux caméras de surveillance, ont été relâchées après avoir affirmé qu’elles étaient seulement intervenues pour « protéger » une personne « poussée » par Jean-Baptiste Trogneux qui devient ainsi, selon elles, le premier agresseur en titre.
Une adolescente de 16 ans, sera, elle, présentée à un Juge pour enfants. La fessée n’étant plus à la mode à l’époque actuelle, les craintes d’un châtiment exemplaire ne devraient pas plus gravement perturber ses nuits que ses journées.
Trois autres participants ont, eux, été placés en détention provisoire, mais l’un est un « travailleur handicapé » et un autre, une « personne sous curatelle » : on imagine difficilement, pour eux aussi, qu’un châtiment trop fâcheux leur soit asséné, au risque de déclencher alors l’ire des multiples associations de défense des minorités si présentes dans notre patrie autoproclamée des droits de l’homme (Blanc de plus de 50 ans souvent excepté).
Quant au troisième « justicier » anti-Trogneux incarcéré, pour peu qu’il soit lui aussi d’une minorité quelconque (ethnique, religieuse, sexuelle, médicale), qu’il n’ait pas sniffé exagérément de cocaïne (circonstance désormais aggravante, voir jurisprudence Palmade) ou encore qu’il n’ait jamais douté du réchauffement climatique, peut-être pourrait-il également espérer ne pas moisir trop longuement derrière des barreaux qu’on devine assez encombrés…
Comme on le sait (ou pas !), il est interdit de commenter une décision de justice si, par des critiques, on cherchait à la discréditer « publiquement […] dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la justice ou à son indépendance », selon le Code pénal… mais peut-on au moins envisager qu’en l’occurrence, les avocats des prévenus sachent suffisamment semer le trouble dans l’esprit des juges pour tirer au mieux leurs clients du pétrin dans lequel ils se sont fourrés en s’attaquant à un membre de la famille présidentielle.
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De la diversité des frontières
de Georges Feltin-Tracol
Quand l’histoire rencontre le droit, la géographie trinque ! En particulier si cela concerne les frontières, ces délimitations politiques conclues entre États voisins ou bien ces bornages administratifs opérés entre régions, provinces ou pays fédérés au sein d’un même État. En fonction de l’échelle pratiquée, on peut remarquer que le tracé frontalier peut ne pas être rationnel.
C’est le thème principal de l’Atlas des frontières insolites de Zoran Nikolić (Armand Colin, 2022, 210 p., 22,90 €) traduit de l’anglais par Philip Essertin. En lisant son sous-titre, on comprend que l’ouvrage aborde « Enclaves, territoires inexistants et curiosités géographiques ». Sous cette dernière appellation, l’auteur y intègre la principauté d’Andorre avec ses deux co-princes (l’évêque d’Urgell en Espagne et le chef d’État français) et la république monastique autonome du Mont-Athos dont l’accès est toujours interdit aux femmes en dépit des hurlements hystériques fréquents des prétendantes au matriarcat wokiste.
Zoran Nikolić explique qu’une enclave est un « territoire entièrement entouré par le territoire d’un autre pays ». Les cas ne manquent pas selon une démarche multiscalaire. Dans les Pyrénées françaises se trouve l’enclave espagnole de Llívia (12 km² et 1 500 habitants) qui relève de la Généralité de Catalogne. Au bord du lac de Lugano, Campione d’Italia est une ville italienne de 1,6 km² en Suisse. « Bien qu’elle soit localisée à moins d’un kilomètre du reste de l’Italie, de hautes montagnes empêchent un accès direct à son pays d’origine. Les habitants de Campione sont contraints de parcourir près de quinze kilomètres pour atteindre la ville italienne la plus proche. »
Büsingen am Hochrhein est la seule commune allemande à ne pas appartenir à l’Union dite européenne et à voir son club de football évoluer dans le championnat helvétique. En effet, c’« est une ville […] entourée de territoires suisses, c’est-à-dire les cantons de Schaffhouse, de Thurgovie et de Zürich. […] Elle est séparée du reste de l’Allemagne par une bande de terre qui n’a que 700 m de large dans sa partie la plus étroite ».
L’auteur aurait pu donner d’autres exemples d’enclaves à l’échelle infra-étatique. En dehors du cas assez connu de Valréas, parcelle du Vaucluse située en Drôme méridionale, il existe les deux enclaves bigourdanes des Hautes-Pyrénées dans les Pyrénées-Atlantiques ou trois communes du département du Nord enclavées dans le département du Pas-de-Calais. Il aurait pu évoquer l’enclave genevoise de Céligny dans le canton de Vaud, de trois enclaves du canton de Fribourg dans le canton de Vaud toujours et une dans le canton de Berne. Il mentionne bien le Land allemand de Brême et de ses deux portions territoriales (Bremerhaven et Fehrmoor) situées à une trentaine de kilomètres plus au nord de la ville à l’embouchure de la Weser. Il oublie l’enclave angolaise du Cabinda.
Zoran Nikolić tient à distinguer l’enclave de la « semi-enclave », ce « territoire physiquement séparé de son pays d’origine, mais qui n’est pas complètement encerclé par le territoire d’un autre pays ». On peut ainsi arriver en Alaska par la voie maritime en partant de l’État étatsunien de Washington sans jamais traverser le Canada. Dépendances des États-Unis enchâssées au Canada, Points Robert se trouve au Nord de la Baie de Boundary tandis que l’« Angle nord-ouest » situé dans le Manitoba est relié au Minnesota à travers le lac des Bois. À la différence de la République de Saint-Marin, Gibraltar et la principauté de Monaco sont aussi des semi-enclaves, car accessibles depuis les eaux internationales.
L’auteur se penche sur la « contre-enclave », à savoir une « enclave à l’intérieur d’une enclave ». Outre la présence militaire turque occupant le Nord de Chypre depuis 1974, l’île natale d’Aphrodite compte deux enclaves britanniques que sont les bases d’Akrotiri et de Dhekelia. Or, dans ce dernier territoire, existent quatre contre-enclaves chypriotes dont une centrale électrique. La situation est plus complexe encore avec la ville de Baerle. Il y a Baerle-Nassau aux Pays Bas et Baerle-Duc en Belgique. Mais « la partie néerlandaise accueille vingt enclaves belges à l’intérieur desquelles nous comptons environ dix contre-enclaves néerlandaises ». Par conséquent, « lorsque la frontière traverse une maison, sa “ citoyenneté “ est déterminée par la position géographique de sa porte d’entrée » qui peut parfois changer selon le goût fiscal du propriétaire…
L’atlas s’intéresse par ailleurs aux exclaves. Il s’agit d’une « partie d’un territoire d’un État dont l’accès à son territoire d’origine ne peut se faire qu’en passant par un autre territoire ou État ». Non loin de sa frontière, la Russie possède au Bélarus une exclave de 4,5 km² inhabitée depuis l’accident nucléaire de Tchernobyl en 1986 nommée Sankovo et Medvezhe. Moscou détient au moins trois exclaves en Estonie avec Dubki près du lac Peïpous, le triangle de Lutepää et la zone de Santse Boot. Les Occidentaux surveillent avec attention ces trois portions territoriales russes à l’heure de fortes tensions géopolitiques. L’oblast russe de Kaliningrad et la Crimée annexée ne sont que des « semi-exclaves » puisque le premier reste en contact avec la Russie via la mer Baltique alors qu’un pont routier et ferroviaire long d’une vingtaine de kilomètres franchit le détroit de Kertch et relie la seconde au reste de la Fédération de Russie. La France des communes connaît elle aussi des exclaves. Par exemple, en Haute-Loire, la commune d’Aiguilhe en comprend deux séparées par Le Puy-en-Velay, Polignac et Espaly-Saint-Marcel.
Jusqu’en 2015, le long de la frontière entre l’Inde et le Bangladesh se répartissaient au moins une centaine d’enclaves bangladaises et plus de cent trente enclaves indiennes dont plusieurs se caractérisaient par leur statut d’exclaves et de contre-enclaves. Ce phénomène frontalier singulier était appelé « Miettes de terre ». Un traité a mis un terme à ces anomalies géopolitiques. Mais perdure encore l’enclave bangladaise de Dahagram-Angarpota...
Outil intéressant pour mieux connaître les incongruités géographiques, mais sans être exhaustif, cet Atlas des frontières insolites offre des cas pertinents dont l’étude confirme que les territoires se plient, s’il le faut aux contraintes, de l’histoire, de la politique et des traditions, n’en déplaise aux No Border détraqués...
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°74, mise en ligne le 16 mai 2023 sur Radio Méridien Zéro.
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vendredi, 19 mai 2023
L’entrisme des Frères musulmans en France
Menacée de mort pour ses écrits, la spécialiste de l’islamisme, Florence Bergeaud-Blackler, pointe l’influence « considérable » de l’idéologie frériste sur des millions de personnes en France. Elle répond ici aux questions de Jean Chichizola et Christophe Cornevin pour Le Figaro (17/5/2023).
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jeudi, 18 mai 2023
Jean-Eude Gannat nous parle du C9M
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Saint-Brevin : le seul responsable, c'est le maire Yannick Morez et son équipe
Un communiqué de Riposte laïque :
Yannick Morez a été reçu, deux mois après l'incendie de sa maison, par le Premier ministre Elisabeth Borne et la commission des lois du Sénat. Il a cité, de manière accusatoire, le nom de notre site, devant certains médias et les sénateurs. Cela nécessite donc une réponse, que nous délivrons à travers ce communiqué de presse. cliquez ici
Si on en croit le président de la République, le Premier ministre et l'ensemble des médias et du monde politique, le maire de Saint-Brevin incarnerait la démocratie et la République, qu'il faudrait protéger contre les violences d'extrême droite que subiraient les élus favorables à l'installation de clandestins dans leur ville. C'est une inversion accusatoire classique, car à Callac ou à Saint-Brevin, les seules violences commises l'ont été par des manifestants d'extrême gauche, qui ont agressé, en toute impunité, les forces de l'ordre et des manifestants hostiles au plan Horizon ou au Cada.
Le maire de Saint-Brevin incarne une conception de la politique qui est tout le contraire de la démocratie. Il n'a pas été élu pour installer un centre d'accueil de 110 demandeurs d'asile près d'une école et d'une forêt protégée. Il a refusé d'entendre l'association de Préservation de la Pierre Attelée, qui a demandé à des multiples reprises d'être reçu en mairie. Il a refusé d'organiser une consultation citoyenne sur cette question. Il a demandé au préfet d'interdire des distributions de tracts contestant le Cada dans sa commune. Il a fait pression sur le représentant de l'Etat pour qu'il interdise la manifestation, légalement déposée, des opposants au Cada, mais n'a pas eu un mot contre les celles, non-déclarées et violentes, de la gauche et de l'extrême gauche. Il a renvoyé, dans ses communiqués officiels, dos-à-dos les agresseurs gauchistes et les manifestants agressés.
Encore plus grave, il accuse, sans la moindre preuve - alors que la gendarmerie privilégie d'autres pistes - ce qu'il appelle l'extrême droite, en fait la mouvance patriotique, d'être responsable de l'incendie de sa maison, attisant la haine contre des militants et des organisations qui mènent un combat démocratique contre ce que Macron appelle la transition démographique dans nos campagnes, qui s'apparente à un grand remplacement, ou à un changement de peuple imposé.
Il faut rappeler que l'Association des Maires de France signalait que depuis 2020, 1293 maires avaient démissionné de leur mandat, souvent pour des causes de violences, d'agressions physiques et d'intimidations au moins aussi graves, si ce n'est parfois davantage, que les désagréments dénoncés par le maire de Saint-Brevin. Or, leur démission n'a pas dérangé l'Etat, qui méprise les maires, leur impose les décisions des préfets, et leur substitue les structures bureaucratiques des Communautés d'Agglomération.
Cette fois, pour instrumentaliser la question migratoire, le pouvoir utilise l'inadmissible incendie de la maison du maire de Saint-Brevin pour intimider les populations qui refusent l'installation de migrants dans leur commune, dans une grossière manipulation dont le point culminant sera une manifestation appelée par le maire de Nantes, Johanna Rolland - qui a transformé sa ville en coupe-gorge - le 24 mai prochain.
Les Français, hostiles comme à Callac à 80 % à toute immigration dans les campagnes, ne seront pas dupes, malgré la propagande politico-médiatique, à cette grossière manipulation, et comprendront que le seul responsable des violences de Saint-Brevin, c'est Yannick Morez, qui, se vante d'abandonner son mandat et de quitter la France, laissant l'équipe municipale, sa ville et la population dans le chaos qu'il a créé.
Riposte laïque cliquez ici
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Des nouvelles de Callac : la gauchiste Laure-Line Inderbitzin insulte le maire et le préfet
Bernard Germain
Nous vivons dans un pays invraisemblable dans lequel on voit un ministre de l’Intérieur interdire 5 manifestations de « fachos » jamais coupables d’aucune dégradation, feux de poubelles, bris de vitrines ou violences en tous genres. Juste pour délit d’opinion.
Par contre, le même ministre de l’Intérieur reste sans réaction face aux antifas et à l’extrême gauche qui en 14 manifestations ont blessé plus de 2.000 policiers et gendarmes.
Eux sont parfaitement connus et identifiés. Mais rien n’est fait contre eux. Quant à ceux qui sont arrêtés en flagrant délit lors des manifestations, ils sont relâchés par les juges pour « manque de preuves ».
Ils sont notamment (parmi d’autres) membres de la « Jeune Garde », antifas lyonnais ultra-violents, dont le chef est un ami de Mélenchon et a été reçu à l’Assemblée nationale, invité par le député Aurélien Taché.
La folie qui s’est emparée de notre pays est loin de s’arrêter là. Il y a aussi le problème des maires. Depuis les dernières élections municipales de 2020, l’Association des maires de France a indiqué que 1293 maires avaient démissionné. Sans parler des élus municipaux qui ne sont pas maires. Personne n’en parle. Tout le monde s’en moque.
En revanche, on parle de la démission de certains maires, comme Yannick Morez, le maire de Saint-Brévin. Lui, à l’inverse des autres, son cas est monté en épingle. Aujourd’hui il est même reçu par le Premier ministre à Matignon.
En effet, il a démissionné et va même quitter sa ville. Officiellement parce que quelqu’un a mis le feu à ses deux voitures et brûlé une partie de la façade de sa maison. Acte débile que nous condamnons.
Mais ce maire accuse aussi l’État de l’avoir abandonné, alors qu’il mettait en œuvre la transition démographique promue par Macron.
La vérité est sans doute un peu différente. Il a fuité de son entourage que sa décision de démissionner et de partir avait été prise bien avant l’incendie. En clair, c’est bien commode pour justifier sa décision de pouvoir invoquer l’incendie et « l’abandon de l’État ». C’est une hypothèse certes, mais c’est une hypothèse sérieuse. En tout cas, certains ont bien compris comment instrumentaliser ce départ.
Ainsi, une formidable manipulation est en préparation. Elle va prendre la forme d’une gigantesque manifestation le 24 mai à Saint-Brevin. En apparence pour soutenir le maire, mais en réalité pour envoyer un message à tous les Français pouvant se résumer ainsi : « Si vous vous opposez à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants, c’est que vous êtes comme ceux qui ont mis le feu aux voitures et à la maison du maire, partisan des CADA, des « fachos ».
L’objectif est clairement d’intimider ceux qui s’opposent à l’installation de CADA et à l’arrivée de migrants dans nos campagnes. Il y a d’ailleurs de fortes chances qu’on voit à cette manifestation des ministres et peut-être même le Premier. Le tout largement relayé par la presse bien pensante, afin de faire bonne mesure et que le message passe d’un bout à l’autre de la France.
Cette mobilisation du 24 mai est d’autant plus importante - pour remonter le moral des maires et les rassurer – que certains maires commencent sérieusement à s’inquiéter et ne veulent pas connaître le sort de celui de Saint-Brévin. Ce qui pourrait les rendre moins « disponibles et volontaires » pour l’installation de CADA dans leurs communes.
C’est par exemple le cas de celui de Beyssenac en Corrèze (365 habitants), Francis Comby. Comme le rapporte Libération du 12 mai 2023 : « En Corrèze, un maire ne veut pas « subir le même sort que celui de Saint-Brevin » ». Dans son village le préfet a décidé l’installation d’un CADA, provoquant l’indignation et une large mobilisation de la population.
Le maire aussi, ainsi que son conseil, est contre ce CADA. Ce qui ne l’a pas empêché de déposer plusieurs plaintes contre des opposants au projet de CADA. Ce maire va devoir choisir définitivement son camp. On ne peut pas porter plainte contre les opposants aux CADA et se dire contre le CADA. Marier l’eau et le feu est mission impossible.
D’autres maires ont joué le jeu et été de fervents partisans de l’invasion migratoire. Certains d’entre eux le regrettent amèrement aujourd’hui.
C’est le cas du maire de Callac, Jean-Yves Rolland. Sans doute pas un mauvais bougre, mais qui a eu la bêtise ou la faiblesse de laisser libre cours à l’action de l’une des membres de sa majorité, la célèbre Laure-Line Inderbitzin. Une gauchiste exaltée.
Celle-là c’est un cas.
Imaginez-vous qu’elle est depuis des mois en arrêt maladie. Mais elle est également professeur à Callac. Donc ses élèves sont lourdement pénalisés par son absence.
Et les parents d’élèves pour leur part sont fous-furieux. Pourquoi ? Parce que Laure-Line est peut-être malade, mais en tout cas pas assez pour ne pas se faire voir en public à 3 occasions, hors de ses heures de sortie.
Une fois à chanter dans les bars le soir (filmé et diffusé par TF1), une fois au conseil municipal le soir où il s’est réuni à huis clos et une troisième fois en accordant récemment une interview à Médiapart, à Paris (visible sur YouTube).
Manifestement les règles c’est fait pour les autres. Mais pas pour elle qui n’en a rien à faire.
Et personne ne bouge ni ne lui rappelle qu’il est interdit d’agir ainsi. Aucune sanction de la part de la Sécurité Sociale, ni de la part de l’Éducation nationale. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
N’oublions pas que la dame a aussi été l’une des organisatrices de deux contre-manifestations à Callac, non déclarées, au cours desquelles de violents affrontements ont eu lieu entre gendarmes et antifas, les copains de Laure-Line.
Là non plus, aucune poursuite de la part du procureur de Saint-Brieuc. Elle est pas belle la vie pour Laure-Line ?
A cela il convient d’ajouter que Laure-Line s’est trouvé un nouveau souffre douleurs : le maire de Callac.
Oui, oui. Celui qui a jeté l’éponge face à la mobilisation des habitants et des patriotes contre le projet Horizon qui voulait amener plusieurs centaines d’immigrés à Callac et en faire le « premier village multiculturel ».
Pour Laure-Line, que le maire ait jeté l’éponge, c’est impardonnable. Et elle le poursuit de sa vindicte.
Ainsi lors de son interview à Médiapart elle a déclaré : « Nous élus, on se doit de ne pas plier, jamais ! Au mois de janvier le maire a jeté l’éponge, c’est à dire que le maire a reculé face à ces pressions fascistes. Ce qui est une erreur impardonnable ».
Erreur impardonnable ? ça c’est pour le maire qui va certainement apprécier.
Dans une mairie normale, une telle déclaration devrait être suivie de la suppression immédiate de la délégation de l’élu qui en est l’auteur. Il trouve que Laure-Line est deuxième adjointe au maire. Qu’attend le maire pour lui retirer sa délégation ?
Mais attaquer ainsi son maire ne suffit pas à Laure-Line. Comme elle est gourmande, elle attaque aussi le préfet… s’il vous plaît.
Ainsi, toujours dans le même débat elle déclare : « Certains préfets sont des personnes honorables. Jean Moulin était bien préfet. Nous avons un préfet dans les Côtes d’Armor qui a clairement, volontairement retiré notre fiche d’action de projet Horizon. C’est à dire qu’il s’est permis de retirer un projet qui avait été décidé par un projet municipal souverain. C’est quelqu’un qui minimise les actions de l’extrême droite, c’est quelqu’un qui accepte et autorise le 5 novembre à Callac une manifestation d’extrême droite ».
C’est le préfet des Côtes d’Armor va être content d’apprendre qu’il n’est pas une personne honorable. Et quand on oppose à sa personne celle de Jean Moulin, chacun comprendra que cela signifie qu’il aurait plutôt à voir avec la collaboration, voir le nazisme directement. Ben voyons…
Quand je vous disais que c’était un cas cette Laure-Line. Vous voyez, je n’exagérais pas. Et puis il y a par exemple M. Puisay, le maire Penestin (56).
Voyez-vous, il a commis lui aussi une énorme erreur. Il a vendu le presbytère à l’évêché, à un prix déterminé par un organisme indépendant. Mais il n’y a rien d’illégal à cela. Quel est son crime alors ?
C’est simple, il ne l’a pas vendu à une association à migrants. Et ça c’est un crime impardonnable pour une partie de l’opposition, celle de prétendus écologistes, agressifs et sectaires.. Trois personnes de sa majorité sont passées dans l’opposition.
Les agressions contre lui ont commencé d’abord par des agressions verbales, limite physiques, alors qu’il se rendait à la messe. Puis, cerise sur le gâteau, il s’est retrouvé avec une plainte de l’une des trois personnes qui ont quitté sa majorité pour… agression sexuelle.
Le pauvre homme n’a pas supporté autant de bassesse et a tenté de se suicider. cliquez ici
Mais là ça n’intéresse personne. Il peut crever, tout le monde s’en fout.
De même que tout le monde se fout que des accusations ignobles puissent amener quelqu’un à vouloir en finir avec la vie. Il faut dire que dans son cas, il n’est pas possible de monter une opération pour dénoncer l’extrême droite. Alors, circulez, il n’y a rien à voir.
Certains maires sont défendus, surtout s’ils sont pour l’immigration, les autres peuvent crever. Pauvre France !
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11:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le lycée Averroès de Lille dans le collimateur de la Justice administrative financière ?
Michel Festivi
A la suite de l’enquête judiciaire et de la garde à vue de cinq responsables de la mosquée de Villeneuve-d’Ascq, qui devront comparaître l’an prochain devant la juridiction pénale, pour divers délits économico-financiers (Cf les lourds secrets du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, vitrine lilloise des Frères musulmans » dans le Figaro du 4 mai 2023, c’est désormais au tour du lycée Averroès de Lille d’être confronté à la Chambre régionale des comptes.
Ce lycée musulman sous contrat, qui s’était vu octroyer un prêt par le centre islamique de Villeneuve-d’Ascq, semble avoir une trésorerie qui a connu « une dégradation brutale et continue » depuis 2015, selon le rapport de la juridiction administrative financière (Cf le Figaro du 17 mai 2023 « Au lycée Averroès de Lille, lectures salafistes et petits arrangements entre amis »).
Ce lycée avait été crée après qu’une vingtaine de jeunes filles furent expulsées de leur lycée en raison du port du voile. La première rentrée scolaire date de 2003. En 2008, cet établissement obtint un contrat d’association avec l’état. Lycée et collège (qui lui n’est pas sous contrat), totalisent plus de 800 élèves.
La Chambre régionale des comptes a relevé des distorsions financières préoccupantes qui font dépendre cette structure scolaire de financements de l’étranger, notamment via le Qatar, ou des collectes de fonds auprès de mosquées allemandes ou hollandaises. Sur 10 ans d’exercice, ces « dons » représenteraient 6 millions d’euros. Dans son livre, Qatar Papers, Georges Malbrunot l’évoque. On apprend au passage, que depuis 2010, les subventions publiques se sont élevées à plus de 6,5 millions d’euros.
De plus, la Chambre régionale aurait mis en exergue : « de nombreuses erreurs ou irrégularités » ce que détaille précisément cet article du Figaro. Elle dénonce aussi une gouvernance en vase clos, qui visiblement n’entend pas partager le pouvoir, contraire aux règles réglementaires ou légales. Mais le plus grave et le plus inquiétant sont les révélations sur les discours tenus aux élèves. Le cours « d’éthique musulmane » (qui serait facultatif), est clairement en adéquation avec la vision rigoriste de l’islam salafiste.
Les règles préconisées par l’un des ouvrages étudiés notamment en classe de seconde, énoncent la prohibition de la mixité au travail, l’interdiction par une femme de se faire ausculter par un médecin homme, ainsi que la condamnation de l’apostasie (le fait pour un musulman de changer de religion) par la peine de mort, car « celui qui cesse d’être musulman doit être exécuté conformément à la peine légale prévue pour l’apostasie ». Pourtant les statuts et les textes de l’association proclament l’attachement de ce lycée « aux valeurs républicaines » …. Ah la taqia quand tu nous tiens !
Comme le souligne cet excellent article du Figaro : « Ces éléments illustrent…le fonctionnement nébuleux d’un réseau de mosquées et d’établissements musulmans, régis par les principes de l’islam frériste et regroupés au sein de la Ligue islamique du Nord, antenne locale des musulmans de France (ex UOIF)… »
Gageons, que s’il s’était agit d’un lycée catholique qui avait ainsi contrevenu aux règles « des valeurs de la république (sic) », au nom de la Bible ou des Evangiles, il y aurait belle lurette qu’il aurait été interdit et dissous. Mais comme pour « l’extrrrrême drrrroite » face aux casseurs de l’extrême gauche c’est la politique des deux poids deux mesures qui prime dans nos ministères. En tout cas, comme le souligne Madame Florence Bergeaud-Blackler dans un entretien à lire absolument du 17 mai au Figaro : « Les Frères musulmans veulent rendre nos sociétés « charia-compatibles ». Si l’état ne prend pas rapidement le taureau par les cornes, plutôt que de s’en prendre à des organisations de droite, qui n’ont jamais attenté à l’ordre, à la loi et à l’état de droit, cela arrivera plus tôt que prévu.
11:26 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les bonnes intentions d’un président
En annonçant la lutte contre les fraudeurs, la réindustrialisation du pays et l’encouragement à favoriser l’enseignement professionnel, Emmanuel Macron a pris de bonnes mesures. Toutefois, le combat à mener n’est pas que là. Il est aussi dans la désertification de nos campagnes, dans les villes qui se meurent et les collectivités territoriales qui cachent leur misère à coups d’emplois publics. Par-delà, le problème de fond, cela reste la logique néolibérale qui est en train de détruire nos sociétés occidentales. Natacha Polony fait le point.
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Source : Marianne 18/5/2023
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mercredi, 17 mai 2023
La vérité sans voile
Laurence de Charette
Sans doute la litanie des chercheurs bannis de l’université pour leur langage de vérité ne surprend-elle malheureusement plus... La pusillanimité de la Sorbonne devant la conférence de l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler sur l’entrisme des Frères musulmans illustre par trop parfaitement le propos même de l’auteur dans son dernier ouvrage (Le Frérisme et ses réseaux, l’enquête, préfacé par Gilles Kepel) : la terrible progression de l’emprise des mouvements islamistes en France et la cécité qui nous frappe depuis si longtemps devant l’adversité. Menacée de mort, insultée, Florence Bergeaud-Blackler n’est pourtant pas tout à fait pionnière en la matière. D’autres, avant elle, ont soulevé le voile. Ils ont mis en lumière le déploiement de l’islam politique en écosystèmes aux financements opaques et aux visées séparatistes, son aptitude à asservir nos institutions à son propre dessein – un dessein que les services de renseignements français comme européens ont au reste parfaitement et unanimement documenté : l’islamisation progressive de nos sociétés.
Et pourtant, il faut encore constater que le double discours - technique plus spécifique, mais identifiée, des Frères musulmans - et la victimisation dont se repaît le fondamentalisme atteignent toujours mieux leur but : la paralysie de toute autorité, le renoncement, la capitulation drapée dans les habits de l’« ouverture » ou, pis, de l’« humanisme ». La réislamisation des nouvelles générations et la montée du communautarisme qui menace aujourd’hui l’universalisme républicain ont prospéré avec la coupable complicité de l’islamo-gauchisme et dans le déni des autorités, volontiers généreuses avec des associations dont elles se gardent - par crainte du fameux procès en « islamophobie » - de chercher les véritables intentions. L’exemple du lycée Averroès de Lille montre combien les subventions publiques ont pu s’accommoder du voisinage de fonds privés opaques et de dérives salafistes. L’exécutif s’attaque aujourd’hui de plus près aux circuits financiers qui alimentent la confrérie frériste : il était temps. Nul doute cependant que, sans un véritable retournement politique, cette opération, si salutaire soit-elle, ne suffira pas à enrayer la progression du fondamentalisme.
Source Figaro 17/5/2023
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Déclaration du Général Flynn sur le rapport Durham
Le lieutenant-général Michael T. Flynn (à la retraite) a publié la déclaration suivante en réponse au rapport publié par l'avocat spécial John Durham :
Sarasota, Floride, le 15 mai 2023 - Aujourd'hui, l'avocat spécial John Durham a publié son rapport sur ses conclusions concernant l'enquête du FBI sur le complot de collusion Trump-Russie. Le résultat est saisissant. Il n'y a jamais eu de base pour enquêter sur le président Trump, moi ou qui que ce soit d'autre dans la campagne Trump sur de fausses allégations de collusion russe qui étaient une fiction inventée par la campagne d'Hillary Clinton et poursuivie par un FBI et un ministère de la Justice armés et politisés. Ce n'était pas seulement un crime contre le président Trump, ma famille et moi, mais aussi contre le peuple américain et notre système constitutionnel de gouvernement. Il ne faut plus jamais permettre que cela se reproduise.
Ce rapport fournit une justification supplémentaire que l'enquête du FBI qui m'a ciblée et persécuté, moi et ma famille, n'aurait jamais dû avoir lieu. Bien que j'apprécie la justification supplémentaire expliquée dans ce rapport, grâce au travail dévoué de John Durham et de son équipe, je suis toujours en colère que cela ait jamais été autorisé à se produire en premier lieu. Le peuple américain a été privé de millions de dollars des contribuables à cause de ce canular destiné à cibler le président Trump, moi et nos partisans.
Ma famille et moi avons été attaqués pendant des années à cause de mensonges. Où allons-nous pour la justice ? Comment récupérer ces années perdues de ma vie ? C'est pourquoi j'ai poursuivi le ministère de la Justice pour qu'il y ait des comptes à rendre si notre république constitutionnelle veut survivre. Le FBI a traîné mon nom dans la boue pendant des années alors que toute la base de leur enquête était fondée sur un mensonge. Un mensonge dont ils étaient au courant.
Notamment, le rapport déclare catégoriquement que le FBI n'a jamais eu aucun type de preuve que j'ai participé à un complot avec la Russie. Au lieu de cela, le FBI a apparemment poursuivi son enquête parce que j'étais un membre de la campagne Trump qui s'était rendu en Russie. Le FBI a ouvert cette enquête frauduleuse contre moi et la campagne Trump, bien qu'il n'ait fourni aucun briefing défensif, ni avant ni après l'ouverture de l'enquête, au président Trump ou à quiconque dans la campagne. Fait important, le rapport soulignait à la page soixante-six que les enquêtes sur moi et d'autres personnes dans la campagne Trump "n'avaient abouti à la collecte d'aucune information à charge".
Le rapport lui-même fournit des preuves que le FBI n'avait pas suffisamment de renseignements sous-jacents pour ouvrir une enquête, que le FBI n'a correctement analysé aucune information et que le FBI avait une prédisposition biaisée à ouvrir une enquête.
Nous devons rétablir la responsabilité dans ce pays avant qu'il ne soit trop tard. Nous ne pouvons pas permettre que des chasses aux sorcières initiées par notre système judiciaire se produisent simplement sur la base de préjugés politiques.
Ce rapport fournit ce que nous savions tout au long de l'enquête Trump sur la Russie était un complot, non basé sur des faits, mais plutôt politiquement motivé. Les médias partisans essaieront d'enterrer ce rapport et espèrent que le peuple américain l'oubliera rapidement. Nous devons résister à cette tentation. Ce rapport doit être un cri de ralliement pour tous les Américains épris de liberté, de tous les partis et de toutes les convictions, pour lutter contre un système fédéral d'application de la loi et de justice politisé. Si nous ne ripostons pas maintenant, l'Amérique que nous aimons risque d'être perdue à jamais. »
12:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
UN CONTRAT SUR LA TÊTE POUR CE QU'ELLE SAIT SUR LE POUVOIR ! AVEC CHRISTINE DEVIERS-JONCOUR
Christine Deviers-Joncour est devenue célèbre du fait de son implication dans l’affaire Elf. Elle est soupçonnée d’avoir profité directement ou indirectement d’importantes commissions provenant de ce groupe chimique et pétrolier public ainsi que du groupe d’armement Thomson pour avoir fait du lobbying en faveur de frégates militaires destinées à Taïwan.
Aujourd’hui, elle parle de ce passé, mais aussi de ce livre qu’elle présente où elle parle des élites, de l’esclavage de ces élites, du mondialisme, de l’oligarchie et des sectes.
Source : geopolitique-profonde
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mardi, 16 mai 2023
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Ils étaient trotskistes. L’un, Pierre Cassen, à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), l’autre, Bernard Germain, à l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du « mal », le camp national et identitaire.
Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien-pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.
C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre-arguments du débat.
Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensurent, s’interdisent de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affublés des qualificatifs de « raciste » ou « extrême droite ».
Ce faisant, ils acceptent de s’enfermer dans une prison idéologique d’où est bannie toute réflexion critique et tout véritable débat. Ces gens sont en fait des victimes du totalitarisme intellectuel ambiant.
Si seulement ils osaient étudier les problèmes sans se contenter de réciter la messe des bien-pensants, ils vivraient sans doute une évolution de leurs certitudes vers une véritable opinion.
Au travers de nombreux sujets Pierre Cassen et Bernard Germain exposent leurs opinions, expliquent pourquoi ils ont changé et interpellent les membres du camp du « bien » en les invitant à répondre à de nombreuses questions.
Un livre important pour qui veut retrouver sa liberté de pensée et pouvoir se faire sa propre opinion sans se soucier du qu’en dira-t-on ou de la peur d’être diabolisé par les geôliers de la pensée.
Préface de Jean-Yves Le Gallou
Avec des témoignages de :
Hugue Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, Santiago Cartagena, ancien militant communiste chilien, aujourd’hui membre de Vox (parti national espagnol), Gérard Delépine, chirurgien, Patrick Gofman, écrivain et essayiste, Pascal Hilout, apostat, Patrick Loiseau, écrivain, Lucien Samir Oulahbib, universitaire, docteur en sociologie.
21:21 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La tentation fasciste des nationaliste irlandais : un entretien avec Sylvain Roussillon sur TV Libertés
19:28 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Saint-Brévin-les-Pins, une énorme manipulation de l’opinion se prépare.
Bernard Germain,
porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez là
Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment l’abandon de son mandat et son départ de Saint-Brévin. Officiellement parce qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.
En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation (en fait nationale) à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.
Comment se fait-il - selon l’association des maires de France - que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ? La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.
Nous avons déjà connu une opération similaire en mai 1990 avec l’affaire de Carpentras.
La sépulture d’un homme - juif - mort depuis 15 jours, avait été violée (ainsi qu’un grand nombre d’autres tombes) et son corps avait été retrouvé mutilé et empalé sur un piquet de parasol. Ce qui était insupportable. L’émotion, à l’époque avait été immense. S’en était suivie une incroyable campagne contre le racisme et l’anti-sémitisme, accusant nommément le FN de Jean-Marie Le Pen de ces faits épouvantables. Élément extraordinaire, François Mitterrand Président de la République, avait même participé à une manifestation nationale Place de la Nation à Paris, à cette occasion. Au final, lorsque les coupables furent trouvés, ils n’avaient aucun lien avec le FN.
Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées. Cet incident - que nous condamnons totalement comme toute forme de violence - se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.
Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres.
Aujourd’hui à Saint-Brévin, comme hier à Carpentras contre le FN, le message qu’enverra la manifestation du 24 mai est totalement prévisible. Il va diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron, soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.
Ce message sera évidemment largement relayé par tous les organes de presse pro-immigration.
Son objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA, que s’ils agissent dans ce sens il seront vus pour ce qu’ils sont : des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Afin de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation.
La coordination Partout Callac n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.
Elle invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin, la Bretagne reste la Bretagne et la France reste la France. Sans se laisser intimider.
18:37 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |