vendredi, 29 octobre 2021
Le Pays malouin en force pour acclamer Eric Zemmour à Pleurtuit (35) vendredi après-midi
Malgré les quelques dizaines de pitoyables manifestants communistes, LGBT et verts tenus à distance par un imposant service d'ordre, les forces nationales et identitaires de la région malouines se sont retrouvées nombreuses (plus de 800 personnes) vendredi après-midi au centre Delta de Pleurtuit pour écouter et acclamer Eric Zemmour lors de la conférence organisée par l'historien, bien connu des Bretons, Reynald Secher sur la culture.
Nous reviendrons très vite sur cette belle réunion à l'issue de laquelle Eric Zemmour a dédicacé des centaines d'exemplaires de son livre "La France n'a pas dit son dernier mot".
Une satisfaction pour Synthèse nationale : le stock de livres "Pourquoi Eric Zemmour ? La droite nationale à l'heure du choix" cliquez ici que nous venons d'éditer et qui était proposé sur le stand librairie a été liquidé en quelques dizaines de minutes...
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jeudi, 28 octobre 2021
Samedi 30 octobre : Eric Zemmour à Nantes
Source Breizh Info cliquez là
Le 30 octobre 2021, à 17h, Eric Zemmour donnera une conférence au Zénith de Nantes Métropole, qui se situe ZAC d’Ar Mor, Boulevard du Zénith, Saint-Herblain 44800, France.
Il viendra y présenter son livre « La France n’a pas dit son dernier mot » mais aussi évoquer l’actualité, et sans soute sa probable candidature à l’élection présidentielle, qui semble de plus en plus forte, eu égard des intentions de vote dans les récents sondages.
Retenez votre place cliquez ici
Pour rappel, Eric Zemmour sera également la veille à l’Espace Delta, à Pleurtuit (35).
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mercredi, 27 octobre 2021
IL EST SORTI... COMMANDEZ LE NOUVEAU LIVRE "POURQUOI ÉRIC ZEMMOUR , LA DROITE NATIONALE À L'HEURE DU CHOIX"...
00:43 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 25 octobre 2021
Eric Zemmour à Drancy et en Seine-St-Denis
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mercredi, 20 octobre 2021
Eric Zemmour en Bretagne, vendredi 29 octobre à Pleurtuit (35)
Il reste quelques places, inscrivez-vous vite cliquez ici
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mardi, 19 octobre 2021
Eric Zemmour à Béziers avec Robert Ménard
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lundi, 18 octobre 2021
Jean-Frédéric Poisson à propos de Eric Zemmour
Source cliquez ici
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samedi, 16 octobre 2021
SORTIE PROCHAINE DU NOUVEAU LIVRE : "POURQUOI ÉRIC ZEMMOUR, LA DROITE NATIONALE À L'HEURE DU CHOIX"
En avril 2022, à l’occasion de l’élection présidentielle, nous allons faire un choix crucial pour l’avenir de notre nation et celui de notre civilisation. Soit nous continuons dans la voie du mondialisme à outrance, avec toutes ses conséquences funestes, soit nous revenons à une politique véritablement nationale et identitaire.
En dix ans, la droite nationale, aveuglée par une chimérique quête de respectabilité, a perdu toute sa crédibilité. Le temps est sans doute venu d’envisager les choses autrement. Un sursaut s’impose…
AVEC DES CONTRIBUTIONS DE :
Cécile Antoine, ancienne collaboratrice au Parlement européen
Jacques Bompard, maire d'Orange
Franck Buleux, enseignant, écrivain
Catherine Dahmane, militante identitaire alsacienne
Alain Favaletto, ancien responsable du FN en Alsace
Nicolas Égon, militant Génération Z en Normandie
François Floc'h, militant en Bretagne
Thomas G., ancien cadre de Debout la France
Romain Guérin, auteur, compositeur
Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
Bruno Hirout, secrétaire général du Parti de la France
Valérie Laupies, conseillère municipale de Tarascon
Iannis Morleau, responsable nationaliste en Bourgogne
Patrick Parment, directeur du Journal du Chaos
Lliorenç Perrié-Albanel, écrivain, militant identitaire catalan
Philippe Gérard, conseiller municipal de Cambrai
André Posokhow, contributeur à Polémia et à Riposte laïque
Alaric Py, militant de Génération Z en Normandie
Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur du site EuroLibertés
Jean-Paul Tisserand, cadre du Centre national des Indépendants
Victor, militant de Génération Z en Normandie
194 pages, 20,00 €
Commandez-le dès maintenant !
(sortie le 28 octobre)
Le commander en ligne cliquez ici
11:37 Publié dans Livres, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 14 octobre 2021
La Corse avec Eric Zemmour
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mercredi, 13 octobre 2021
Eric Zemmour en Languedoc
12:19 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 08 octobre 2021
Zemmour versus Marine Le Pen – La diabolisation : s’y soumettre ou y faire face ?
Jean-Yves Le Gallou Polémia cliquez ici
Quand Marine Le Pen a hérité du Front national, elle y a trouvé un pactole électoral. Mais aussi la diabolisation. Elle avait le choix de l’affronter ou de s’y soumettre. Elle a choisi la stratégie de la « dédiabolisation ».
Marine Le Pen sur le toboggan
Pour cela, elle a commencé par se distancier de certains propos de son père – jugés pas toujours bienvenus et encore moins bien interprétés – puis elle a l’a exclu du parti.
Comme cela lui a paru ne pas suffire et que ses contradicteurs lui demandaient des gages supplémentaires, elle a entrepris de lisser ses propos sur tous les sujets, y compris et surtout sur l’immigration.
Ainsi elle n’a cessé de nier farouchement l’existence d’un quelconque « Grand Remplacement » et elle a jugé l’islam parfaitement compatible avec la République.
C’est ainsi qu’oublieux de défendre la laïcité, son premier lieutenant Jordan Bardella s’est incliné respectueusement devant une assesseur voilée pour signer un cahier d’émargement lors des dernières élections régionales. Pour la plus grande satisfaction des islamistes qui avaient monté ce piège médiatique !
Quant à Philippe Olivier, beau-frère et mentor de Marine Le Pen, il a déclaré au Monde (le 26 février 2021) que si sa candidate était élue, elle ne remettrait pas en cause les pouvoirs des juges, du Conseil constitutionnel, du Conseil d’État, de la Cour européenne des droits de l’homme… ce qui revenait à dire qu’elle ne ferait rien !
Et en même temps, Marine Le Pen s’est tenue prudemment à l’écart de tous les mouvements sociaux, au risque de décevoir tous ceux qui y participaient : pas de soutien à la Manif pour tous, ni aux gilets jaunes, pas plus qu’aux anti-passe sanitaire.
Sa devise peut être ainsi résumée : lisser, lisser vous dis-je.
Plus grave encore, Marine Le Pen a cru – naïvement peut être, stupidement certainement – qu’elle se dédiaboliserait en procédant à une chasse aux sorcières dans ses propres rangs.
À chaque élection, des officines d’extrême gauche s’amusent à traquer sur Facebook le moindre propos un peu polémique ou taquin de ses candidats. Et à la première alerte, ils sont lâchés.
Marine Le Pen croit ainsi se dédiaboliser en dénonçant « l’extrême droite » dans ses rangs ou à sa périphérie. Sans voir qu’elle-même étant assimilée à cette terrifiante « extrême droite », elle participe à sa propre diabolisation en diabolisant ses proches et ses voisins. La stratégie qui consiste à hurler avec les loups n’est jamais gagnante. Pas plus que celle consistant à livrer ses voisins à la répression comme elle l’a fait en interdisant à ses élus de participer à la manifestation de soutien à Génération Identitaire, mouvement scandaleusement dissout par le gouvernement.
Au final, dix ans après son accession à la tête du Front national (rebaptisé par antiphrase « Rassemblement »), le bilan de Marine Le Pen est terrible : elle a vidé les idées, vidé les cadres (75 % des élus régionaux ont été éliminés en juin 2021), vidé les caisses et pour finir vidé les urnes.
Notons que ce dernier point est bien antérieur à l’arrivée d’Éric Zemmour sur le marché électoral : le RN a chuté aux municipales de mars 2020 ainsi qu’aux départementales et aux régionales de juin 2021…
Pour une raison simple : à force d’avoir mis de l’eau dans son encre, Marine Le Pen n’imprime plus.
Zemmour prend l’ascenseur
Le parcours d’Éric Zemmour est rigoureusement inverse. Pendant que Marine s’affadissait chaque jour davantage, lui tenait des propos de plus en plus carrés.
Je me souviens l’avoir rencontré en 2008/2009 pour lui parler alors d’une candidature aux élections européennes de juin 2009.
L’idée lui avait paru à l’époque peu intéressante, sinon saugrenue… J’avais alors souligné auprès de lui le risque pour sa carrière médiatique d’une diabolisation croissante. De fait, il a connu depuis quelques déboires au Figaro, à I-Télé, sur France 2 et à RTL. Mais sa réponse à ma mise en garde avait été cash, très cash : « Je peux dire des choses que vous ne pouvez pas dire. Je dois les dire et je les dirai. »
Le moins qu’on puisse dire est qu’il a effectivement tenu parole !
Il a bousculé le politiquement correct tous azimuts, sur l’identité, l’immigration, le féminisme, l’historiquement correct, les délires écologiques et sociétaux. Et surtout il n’a jamais plié : devant aucun lobby, qu’il soit « anti-raciste », LGBTQ, féministe, ou étranger. Pas davantage devant les juges (sa seule erreur fut de ne pas faire appel de sa première condamnation).
Il applique avec constance la devise de la reine d’Angleterre et de la monarchie britannique : « Never explain, never complain ». Ce qui lui donne une force incroyable.
Éric Zemmour ne se laisse pas neutraliser et aborde de front tous les sujets : le Grand Remplacement, la dictature des juges, la délinquance immigrée, la fraude sociale, les excès de l’État providence, les délires des foldingos – écolos ou LGBTQ –, le nucléaire, les éoliennes…
Ce n’est peut-être pas encore un programme mais, déjà beaucoup plus qu’un diagnostic, c’est un projet : rendre sa place à la France et leur fierté aux Français.
Éric Zemmour évite aussi la pasteurisation qui vide les salles et plombe l’audimat des émissions de télévision. Il évite la posture défensive et la perte de temps qu’elle engendre.
Il préfère la contre-attaque affirmant froidement aux journalistes qu’il « se fout de la diabolisation ». Ce qui lui donne une force incroyable car c’est d’abord en s’implantant dans la tête du « diabolisé » que le virus de la diabolisation gagne la partie.
Bien sûr, la bataille électorale n’est pas encore gagnée. Elle ne fait que commencer.
Certains se rassurent en évoquant la chute du troisième homme de 2002, Jean-Pierre Chevènement. Mais son créneau électoral – la souveraineté sans l’identité – était étroit.
Le positionnement d’Éric Zemmour aujourd’hui fait davantage penser à celui de Sarkozy en 2007, la sincérité en plus.
Un discours fort et clivant réduisant l’espace centriste à 18 % (Bayrou) et celui du Front national à 10 % (Jean-Marie Le Pen qui avait alors comme « conseiller stratégique » une certaine Marine…).
À l’époque Sarkozy avait rassemblé près de 32 % des suffrages, c’est sans doute le potentiel électoral d’Éric Zemmour aujourd’hui.
Un potentiel qu’il devra aller chercher avec les dents. Car si Éric Zemmour s’installe en position de challenger de Macron, les relais médiatiques de la Macronie se déchaineront et tous les coups (bas si possibles) seront permis contre lui. En politique il faut savoir encaisser ! Éric Zemmour devra encaisser et ses soutiens aussi.
Il a largement montré qu’il avait la capacité d’encaisser sans plier, ce qui est l’essentiel. Quant à ses soutiens ils devront affronter la rumeur des batailles. Les meilleurs sauront eux aussi faire face !
Pour une fois, les élections présidentielles promettent d’être passionnantes. Et c’est à droite que les grands enjeux se posent.
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mercredi, 06 octobre 2021
Samedi 9 octobre : Eric Zemmour à Ajaccio
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Mardi 19 octobre : Eric Zemmour à Versailles
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mardi, 05 octobre 2021
Lundi soir, au Palais des Congrès de Paris, devant 4000 personnes : la rencontre Eric Zemmour / Michel Onfray
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lundi, 04 octobre 2021
Sacré Serge...
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dimanche, 03 octobre 2021
Samedi, Eric Zemmour était à Lille
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samedi, 02 octobre 2021
Présidentielle : Jean-Marie le Pen se dit prêt à soutenir Éric Zemmour s’il est « mieux placé » que Marine Le Pen
Valeurs actuelles cliquez ici
Jean-Marie Le Pen n’a pas dit non plus son dernier mot ! Dans un entretien exclusif au Monde jeudi 30 septembre, le patriarche de l’extrême droite française affirme qu’il s’exprimera jusqu’au moment où il finira dans la « caisse en bois ». Il évoque sans fard le sujet Zemmour, très sensible au sein du Rassemblement national (RN). Et annonce, l’air de rien : « Si Eric est le candidat du camp national le mieux placé, bien sûr, je le soutiendrai. » Cette déclaration peut avoir l’effet d’une bombe, alors que l’essayiste n’est plus qu’à un point de Marine Le Pen dans un sondage Ipsos pour Le Parisien.
Discours « rafraîchissant »
« Marine a abandonné ses positions fortifiées et Eric occupe le terrain qu’elle a quitté », estime le « Menhir ». Il n’a jamais pensé que celui qu’il considère comme un « ami » penserait un jour à briguer l’Elysée. « Mais il est monté sur la barricade en disant des choses que personne n’osait dire, à part moi. Il dit ce que je pense, mais avec une audience supérieure », explique le cofondateur du Front national (FN).
Jusqu’à présent, Jean-Marie Le Pen rechignait à apporter clairement son soutien au polémiste. Il soutenait mordicus sa fille et grognait contre ces « trublions » qui participent à la division du camp national et comparait Zemmour aux « vedettes du spectacle ». « Va-t-il savoir encaisser ? Ce n’est pas si évident que ça, et moi j’en sais quelque chose parce que j’ai commencé à 0,74 % », relève-t-il aujourd’hui. La figure du FN a en tout cas choisi son camp.
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jeudi, 30 septembre 2021
Synthèse nationale (et ses amis) dans Charlie hebdo
C'était dans Charlie il y a deux semaines, mais on vient juste de nous le faire parvenir...
Sur la fête en question cliquez là et cliquez ici
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mardi, 28 septembre 2021
L'ascension d'Eric Zemmour dans les sondages ne s'arrête pas : normal, il incarne le retour de la France...
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Eric Zemmour agressé à Paris par un thuriféraire du Coran...
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samedi, 25 septembre 2021
Bernard Antony revient sur le débat Eric Zemmour/Mélenchon
Source cliquez ici
Deux jours à déguster son livre, (non sans un moment de hoquet…) et la soirée d’hier pour suivre son débat avec Mélenchon, ma semaine aura décidément été très occupée par les écrits et les propos télévisuels d‘Éric Zemmour.
Je ne le regrette pas : à l’oral, comme il l’est à l’écrit, il a été le plus souvent excellent.
Je connais Éric Zemmour depuis bien longtemps, lorsqu’il couvrait quelquefois les universités d’été du Front National que j’ai dirigées pendant dix-neuf ans.
Je n’ai jamais cédé au masochisme de convier à déjeuner en ces occasions les journalistes de la « grosse presse » qui, pour la plupart, n’étaient là qu’en mission de dénigrement sinon de désinformation. Éric Zemmour faisait partie des rares avec lesquels les échanges étaient toujours sans chausse-trappes et avec lui, toujours agréables.
Je lui rappelais il y a peu dans un bistrot proche du Figaro que j’aimais dire : « Au moins Zemmour, ça rime avec humour ! ». Et notre conversation ne manqua pas de ces bons éclats de rire dont il sait ponctuer, quand cela s’y prête, ses entretiens. Je reviendrai sur son livre mais sans plus attendre je veux en venir à hier au soir.
Éric a sur l’essentiel enfoncé Mélenchon.
Et d’abord en lui rappelant la monstruosité des crimes du communisme dont il fut, lui Mélenchon, le collabo. Les crimes de Staline bien sûr, et pas, cher Éric, par dizaines de milliers mais par dizaines de millions de victimes. Et les crimes de Trotski aussi, par trop souvent occultés en raison de son élimination par Staline et de l’habileté trotskiste à refaire le passé de la Révolution.
Zemmour a ensuite enfoncé Mélenchon sur son néologisme de « créolisation », concept fumeux pour recouvrir l’idéologie du métissage (laïque et obligatoire !).
Pitoyable Mélenchon ayant manifestement lu quelque bouquin genre « l’islam pour les nuls », et incapable de réfuter Zemmour sur le fait que l’islam est d’abord fondamentalement politique, comme je l’ai, je crois, démontré dans mes livres sur le sujet.
Pitoyable Mélenchon ne sachant pas ou ne voulant pas savoir la place fondamentale de l’oumma dans la réalité islamique.
Les échanges sur l’insécurité n’ont pas plus été à l’avantage du député de Marseille, se voulant émouvant comme un enfant de chœur dans la description romantique de sa police idéale. Notons au passage que devant les aboiements et même les injures du gros bolcho Mélenchon (« Petit bonhomme ! »), Zemmour garda un calme remarquable de superbe escrimeur, répondant aux moulinets désordonnés de son adversaire par des touches bien envoyées.
Mélenchon en devenait même par moments émouvant en reconnaissant qu’il s’était si souvent trompé, qu’il avait le droit de changer.
Certes ! Mais alors comment ses partisans ne penseraient-ils pas qu’il pourrait bien un jour ne plus défendre ses positions actuelles ?
Mais faudra-t-il pour cela attendre que l’oumma soit forte d’une population de vingt, trente ou quarante millions de fidèles ?
En attendant, sur les questions économiques, le coelacanthe marxiste-léniniste nous fit le plaisir de revenir à la vieille thématique socialo-communiste pour une économie collectivisée, planifiée.
C’est sur ce terrain que nombre de commentateurs ne connaissant pas Zemmour l’attendaient. Je n’avais pour ma part aucune inquiétude. Pour le plus grand dépit de ses contempteurs, Éric s’avéra magistral.
De ce qui précède, certains pourraient-ils s’aventurer à conclure que je serais devenu quelque peu zemmourolâtre ?
Que nenni !
Pourquoi donc dans son superbe livre « La France n’a pas dit son dernier mot » faut-il qu’il se laisse aller à écrire : « Oury est au cinéma ce que de Gaulle fut à la politique : le grand réconciliateur » ? Que Zemmour admire le rôle du général pendant la guerre, ou encore son bilan économique des années soixante-cinq, soixante-dix, c’est une chose, mais le qualifier de « grand réconciliateur », c’est énorme !
Lors de notre prochaine émission de la réplique sur Radio-Courtoisie, mercredi 6 octobre, nous dirons combien Éric Zemmour a encore une fois produit un livre de haute volée. Mais nous consacrerons tout de même quelques minutes à la question du « grand réconciliateur ». Preuve que si nous sommes volontiers zemmourophiles, nous ne sommes pas prêts de devenir zemmourolâtres.
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vendredi, 24 septembre 2021
Eric Zemmour a réduit à zéro Mélanchon(e) hier soir sur BFM : un grand moment !
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mercredi, 22 septembre 2021
Sandrine Rousseau, c’est les Soviets plus les éoliennes ! Tous président !
Source Eléments cliquez ici
On rit sans doute de bon cœur dimanche dernier dans les alcôves du pouvoir macronien, mais aussi, dans les bureaux du Parti socialiste, et peut-être même, chez les adorateurs du gourou « Insoumis ». Le premier tour de l’emphatique « primaire de l’écologie », riche de 106 649 votants, a en effet donné lieu à une divine surprise. Prenant le contrepied des sondages, le scrutin déboucha sur un résultat très serré qui laisse augurer un dénouement plus qu’incertain. Yannick Jadot, le favori, qualifié par la presse de modéré et de réaliste, se trouvera opposé à l’inénarrable Sandrine Rousseau, considérée comme plus radicale et qui le talonne de 3 000 voix.
Ce résultat ne devrait pourtant pas surprendre ceux qui suivent les péripéties du mouvement EELV depuis sa création. En 2011 déjà, Eva Joly, inquisitrice et sèche comme un pasteur luthérien d’antan, l’avait emporté contre le consensuel et télégénique Nicolas Hulot, coqueluche des médias, qui avait tout, en tous cas les sondages, pour prétendre à la magistrature suprême, mais dû rester marchand de gels douches, pour un temps.
Entre opportunistes et fanatiques
Ces épisodes ne font que mettre en exergue les deux grandes factions qui luttent pour dominer la nébuleuse EELV. On compte d’un côté ceux que les journaux qualifient de pragmatiques, des libéraux, favorables à un marché régulé, qui osent s’afficher à une manifestation de soutien à un policier tué et qui aspirent avant tout à « verdir » le système. M. Jadot appartient à ce camp. D’un autre côté, on trouve les gauchistes, habilement surnommés « pastèques » en raison de leur idéal politique profond, la volonté de transformer la société et de faire table rase de tout ce qui a eu le malheur d’exister avant eux. XX Rousseau1 en est ; XY Piolle également. Cette tendance, celle des Verts historiques, est d’ailleurs idéologiquement majoritaire dans le parti et se voit renforcée dans cette primaire à faible participation où les plus politisés se mobilisent davantage et imposent leurs thèmes au plus grand nombre.
Chez les partisans de M. Jadot, il y a, semble-t-il, un intérêt pour une certaine écologie, mais qui a la particularité d’avoir l’échine souple. Les représentants de cette mouvance, longtemps relégués à des entremets sans saveur, ont voulu et pu goûter aux homards, tant sous François Hollande ou Emmanuel Macron. Ces esprits pratiques, à défaut d’être passionnés par l’environnement, sont de brillants arrivistes. Il faut les croire sur un point : ils souhaitent désormais jouer les premiers rôles.
Les amis de XX Rousseau sont d’une tout autre trempe. L’écologie pour eux n’est qu’un prétexte, une porte d’entrée pour mener différents combats. Ces Verts, pâles épigones de Trotski, désirent bouleverser la société de fond en comble, renverser la table et effacer un monde ancien, déjà fatigué. Leur soutien revendiqué à la « pensée » woke, aux thèses des décoloniaux, à un antiracisme racialiste, leur complaisance coupable face à un islam rétrograde et leur adhésion à toutes les théories d’outre-Atlantique visant à nier l’existence des différences sexuelles sont les marques d’un dogmatisme forcené, d’une haine à peine voilée envers le pays qui leur permet d’exprimer leurs opinions.
Un fauteuil pour eux
Ces deux lignes politiques, loin de s’opposer, se recoupent fréquemment dans leur radicalité et possèdent les mêmes impasses programmatiques, qu’il convient de mettre à nue.
La problématique énergétique, éminente à plus d’un titre (économie, géopolitique…), est balayée en un revers de main par les deux candidats. Pour XX Rousseau, grande prêtresse, le nucléaire relève de l’« hérésie » et doit être abandonné dès que possible. Pour Yannick Jadot, ce n’est qu’une question de temps, mais on doit tendre vers le 100 % renouvelables. Ces postures font néanmoins fi d’évidences : le nucléaire n’émet quasiment pas de CO², les énergies renouvelables, pour la plupart d’entre elles, sont intermittentes et ne permettront pas de répondre à la demande des ménages et des entreprises, ou, devront être couplées à des centrales thermiques polluantes.
De fait, on observe dans cette primaire une défaite de la raison, sommée de s’effacer derrière un catéchisme absurde. XX Rousseau, symptomatique de cet obscurantisme d’un nouveau genre, affirmait récemment que le monde « crève de trop de rationalité et de la place occupée par les ingénieurs ». Dans la patrie de Descartes – certainement canceled pour elle, car le philosophe était un « mâle blanc » –, c’est un comble.
La pensée magique a également la part belle chez EELV. Les deux candidats s’opposent farouchement au libre-échange, destructeur pour notre environnement, M. Jadot évoquant même la nécessaire fin d’une « mondialisation néolibérale écocidaire ». Sur ce point, on peut tout à fait les suivre. Là où on commence à se perdre, c’est quand les mêmes déclarent en chœur leur attachement à la construction européenne et leur volonté de la transformer de l’intérieur. N’est-ce pas l’Union européenne qui a permis une accélération formidable du libre-échange critiqué ? Une grande partie de nos partenaires de l’UE n’y sont-ils pas favorables, entravant toute possibilité de changement au sein de cette organisation ? On comprend ici toute la limite des Verts. Péremptoires en façade, mais défenseurs du statu quo dans les faits.
Le sociétalisme, maladie infantile des Verts
Le programme des candidats illustre par ailleurs un certain refus de la complexité du monde et la volonté de traiter certaines thématiques de façon binaire, ce qui peut paraître étonnant pour XX Rousseau, mais logique pour les enfants de soixante-huitards qu’ils sont : les policiers (blancs) sont violents et discriminent au faciès, les migrants sont des victimes et doivent être accueillis sans distinction, le RSA distribué à tous ; on rase gratis et on offre des droits, sans aucune contrepartie.
Une mesure évoquée par XX Rousseau, sans rapport aucun avec l’écologie, comme la majorité de ses propos, livre une image typique de ce que serait une société dirigée par ces Verts. XX Rousseau, pour permettre aux femmes violées de mieux se défendre devant la justice, propose qu’en cas d’affaire de viol, la charge de la preuve repose sur l’accusé et que l’homme (évidemment) incapable de justifier son innocence soit condamné. Cette législation nous ramènerait en 1793, du temps de la loi des suspects, mais pour une juste cause, cela va sans dire.
Et pourtant, les Français sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à la préservation de leur cadre naturel. La machine à laver les cerveaux, que ce soit à l’école ou dans les médias, produit inexorablement ses effets. Les faits aussi, soyons honnêtes, peuvent légitimement inquiéter : surpopulation, raréfaction des ressources, montée des eaux, dérèglement climatique… Il ne s’agit pas de nier ces questions, mais de constater que les Verts discutent beaucoup du sociétal, et assez peu de l’environnement, si ce n’est en proposant des solutions fantaisistes, pour des problèmes bien concrets, d’où leur relative marginalisation.
Sandrine Rousseau, fille cachée d’Eva Joly
Avec XX Rousseau et ses saillies doctrinaires, celle-ci est assurée. On peut le déplorer, ces sujets étant trop importants pour être mis de côté ou pis, accaparés par ces individus. EELV prétend sauver la « planète » et changer le climat, mais dédaigne la France, ses terroirs et ses paysages. L’écologie de ces personnes hors-sol, en phase avec celle de leurs électeurs, issus des métropoles, pourrait se résumer à un écoféminisme mâtiné d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques.
Un espace existe pour la naissance d’un grand mouvement, dégagé des marottes des Verts, qui prônerait le respect des identités de notre pays, celle de son peuple, mais aussi de ses paysages, de son patrimoine, de sa faune, de sa flore et de ses coutumes. Une écologie populaire, enracinée dans les territoires et qui serait à proprement parler révolutionnaire.
En 2012, Eva Joly s’était ridiculisée du haut de ses 2,31 %. Qu’adviendra-t-il en 2022 ? Marx, paraphrasant Hegel, assurait que l’histoire se répète deux fois, en tragédie, puis en farce. Il avait tort. L’histoire de ce parti n’a rien de tragique.
1. Sandrine Rousseau ayant fait sienne la proposition d’Éric Piolle de supprimer des documents d’état civil les appellations Monsieur et Madame, trop peu « inclusives », je me permets de leur appliquer cette réforme en remplaçant ces termes par une dénomination chromosomique, scientifique et plus difficilement contestable. Quoi que…
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samedi, 18 septembre 2021
Vendredi soir à Toulon, Eric Zemmour a fait salle comble
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vendredi, 17 septembre 2021
Incapable de financer sa campagne, Marine Le Pen appelle Macron à l'aide
Le blog de Thomas Joly cliquez ici
Depuis des années, le RN a toutes les difficultés du monde à financer ses campagnes, ce parti surendetté étant considéré comme persona non grata par la plupart des institutions bancaires. Marine Le Pen, dans un courrier envoyé le 2 septembre demande donc à Emmanuel Macron de veiller à ce que le Parlement crée de « nouvelles possibilités de financement ». (Source)
Sous sa seule présidence et sa seule responsabilité, Marine Le Pen a fait du RN le parti le plus endetté de France, alors même que toutes ses campagnes électorales ont été remboursées et qu'il bénéficie du financement public. Mais où sont passés ses 25 millions d'euros de dettes ?
On imagine bien Clémenceau, en 1917, demander un prêt à la Bundesbank pour pouvoir continuer la guerre contre le Reich…
Si elle avait des convictions et un tant soit peu confiance en son score, elle emprunterait en son nom propre en gageant ses biens. Mais pour cela, il faudrait un peu de courage...
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La France n'a pas dit son dernier mot...
09:32 Publié dans Livres, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 09 septembre 2021
La couverture du livre d'Eric Zemmour dont la sortie est prévue la semaine prochaine
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17:02 Publié dans Livres, Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 19 août 2021
Les GAFAM prennent peur : Instagram ferme le compte d'Eric Zemmour
Ce matin, Instagram a pris la décision arbitraire de bannir le compte officiel d' Eric Zemmour. Les GAFAM se sont engagés dans une lutte féroce contre les peuples qui ne veulent pas mourir. Ils peuvent me censurer, mais ils ne peuvent pas faire taire tout un peuple. #STOPcensure
12:35 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 11 août 2021
NOUVEAU SOUTIEN À LA CANDIDATURE D'ERIC ZEMMOUR : BRIGITTE BARDOT
15:51 Publié dans Présidentielle 2022 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 08 août 2021
Multiplication des soutiens locaux à Eric Zemmour : une page FB dans le Trégor
Pour la consulter cliquez ici
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