mardi, 26 juillet 2011
Droite nationale infos, un nouveau site d'information nationaliste dans les Alpes-Maritimes :
Droite nationale infos : cliquez ici
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samedi, 23 juillet 2011
AVEZ-VOUS PENSE A VOUS ABONNER ?
Synthèse nationale n°23 vient de sortir :
Vous retrouverez des articles de Patrick Parment, Marc Rousset, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Patrick Gofman, Jean-Claude Rolinat, Philippe Randa, Lionel Baland, Pieter Kerstens, Francis Bergeron, l'écrivain nationaliste polonais Michael Kovalczyk et, bien sûr, l'éditorial de Roland Hélie...
Les interventions de Véronique Bouzou, enseignante et écrivain, et de Annick Martin, Vice présidente du MNR, lors du colloque sur les 35 ans du regroupement familial organisé à Paris par Synthèse nationale en avril dernier...
Un entretien avec Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, sur le rassemblement en gestation de la Droite nationale...
126 pages, 12 €, à partir de samedi à la librairie Primatice, 10, rue Primatice 75013 Paris (métro Place d'Italie).
ABONNEZ-VOUS !
Abnt simple (6 numéros) : 50 €, abnt de soutien, 100 €
Chèque à l'ordre de Synthèse nationale
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)
Bulletin d'abonnement : cliquez ici
Vous pouvez aussi vous abonner en ligne
(colonne de droite de ce site)
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vendredi, 22 juillet 2011
La surprenante raison de notre endettement...
Actuellement en France nous avons 1 800 milliards de dettes souveraines.
Savez-vous que, à cause de la « loi Rothschild » datant de la Présidence de Georges Pompidou, l'Etat est obligé d'emprunter sur les marchés en payants des intérêts à des préteurs de la finance internationale, ce qui fait que la France ne rembourse actuellement que les intérêts de la dite dette. Il est est bon de rappeler qu’avant d’être Président de la République française, Pompidou avait été employé par la Banque Rothschild.
Cette loi sur la réforme de la Banque de France date donc du 3 janvier 1973. Lorsqu’on la regarde de plus près, on découvre en particulier cet article 25, très court, qui bloque toute possibilité d'avance au trésor : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l'escompte de la banque de France." Stupéfiant.
Ce qui signifie que l'article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l'État français, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts, alors qu'avant cette loi, quand l'État empruntait de l'argent, il le faisait auprès de la Banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.
Autrement dit : auparavant, l'État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées. Celles-ci en profitent pour s'enrichir aux dépends de l'État en lui prêtant, avec intérêt, l'argent dont il a besoin.
Cette décision correspond à une privatisation de l'argent et ramène la nation au même rang que n'importe lequel de ses citoyens.
L'accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là. Voici en effet un graphique représentant l'évolution de la dette, avec et sans intérêt. La courbe rouge représente bien sûr la dette constatée, calculée avec les intérêts.
Que serait la dette avec et sans intérêt ?
Explications du graphique et conclusion
Le graphique montre bien que les intérêts de la dette payés à des financiers apatrides est ce qui fait que la France est encore lourdement endettée.
Il y avait en 1979 239 milliards d'euros de dette, la dette fin 2008 était de 1 327 milliards d'euros !
Ainsi entre 1980 et 2008 la dette a augmenté de 1 088 milliards d'euros et nous avons payées 1 088 milliards d'euros d'intérêts.
1327 - 1306 = 21 Milliards d'Euros !
Si cette loi anti-nationale n’avait pas été votée en 1973, la dette serait quasiment inexistante aujourd'hui. Déjà, à cette époque, la classe politique de notre pays, dans laquelle les gaullistes étaient dominants, était à la solde de la haute finance internationale…
Capitalistes, mondialistes, financiers apatrides, la France appartient au peuple français et pas aux institutions financières !
La Nouvelle Droite Populaire combat les banksters !
Source NDP Alsace cliquez ici
11:40 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 18 juillet 2011
Retenez cette date :
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2011,
A PARIS
5ème JOURNEE
NATIONALISTE ET IDENTITAIRE
organisée par
Synthèse nationale
La 4ème JNI du 11 novembre 2010 : cliquez ici
12:33 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 12 juillet 2011
Face à la répression dont il est victime, le Parti de la France apporte son soutien au Front comtois...
Le Parti de la France apporte son soutien au Président du Front Comtois, Gaëtan Perret, victime de scandaleuses poursuites judiciaires notamment en raison de deux affiches de résistance nationale intitulées "Ici c'est la Comté... Pas Alger !" pour l'une et "Islam hors d'Europe !" pour l'autre (cliquez ici pour connaître tous les détails de cette affaire).
Tenter de museler ainsi les légitimes actions de résistance nationale et européenne, en organisant la persécution judiciaire contre des militants patriotes constitue une insupportable atteinte à la liberté d'expression politique et aux droits du peuple français et des peuples d'Europe à rester eux-mêmes.
Ces manœuvres intolérantes et antinationales démontrent une fois de plus la pertinence et la nécessité de l'engagement des Français dans la lutte contre la colonisation migratoire et islamique de notre pays.
23:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 06 juillet 2011
FACE A LA REPRESSION : NOUS SOMMES TOUS DES NATIONALISTES COMTOIS !
Camarades nationalistes, patriotes et identitaires,
Suite à l’acharnement médiatique qu’avait orchestré, en début d’année, l’Est Républicain en collaboration avec le SCALP contre le Front Comtois, nous venons d'apprendre que notre camarade Gaëtan Perret, Président du FC, est convoqué le 8 septembre prochain devant le tribunal de Montbeliard, poursuivi par le commissaire de cette ville et par 12 associations spécialisées dans la lutte contre la liberté d'expression, pour "incitation à la haine raciale". La cause : deux affiches éditées par le FC. L'une proclamant une évidence : "Ici c'est la Comté... pas Alger", et l'autre une revendication « Islam hors d'Europe » et un billet d'humeur, plutôt bien tourné d'ailleurs, publié sur le site du FC (cliquez ici).
L'indépendance de la Justice est une fiction lorsqu'il s'agit de procès visant la résistance nationaliste et identitaire et qui sont fait par les collabos patentés du Système en place. Nous savons tous que la mission principale de ces officines consiste à détruire nos racines et les traces encore existantes de notre civilisation européenne au profit de la culture du mensonge énorme et odieux, de la corruption, de la perversion et d'une façon générale, de l'inversion des valeurs.
C'est donc une éprouvante et difficile épreuve à laquelle Gaëtan et le FC auront à faire face !
Une bonne nouvelle toutefois : un avocat de Nancy, spécialiste de la liberté d’expression, est prêt à prendre la défense de nos camarades comtois. Nous pensons que vous serez tous d'accord avec nous : en plus du temps perdu, de la tension et du stress occasionnés par cette pénible épreuve, nous trouverions scandaleux que le FC dusse en supporter seul le poids financier.
Face à l'adversité, soyons solidaires. N'abdiquons pas l'honneur d'être une cible. Dès maintenant, faisons un don auprès du trésorier du Front Comtois Paul-Arnaud. L'argent récolté servira à payer les déplacements entre Montbéliard et Nancy, les frais de justice et d'éventuelles amendes.
Paul-Arnaud informera régulièrement chaque donateur du montant des sommes versées et dépensées.
La solidarité nationaliste doit s'organiser partout à travers la France. Nous demandons à chacun d'entre vous, si vous le pouvez, de faire un geste pour aider nos camarades. Si chacun apporte un soutien, même modeste, ils réussiront à faire face à la répression.
C''est par notre générosité que nous prouvrons aux militants comtois que nous ne les laissons pas tomber. Sinon, notre combat est vain.
Si tous les nationalistes, oubliant leurs différents, décident de faire front et de cultiver l'espérance, rien n'est irrémédiablement perdu. Tant qu'il y aura des nationalistes, la France ne sera pas complètement morte.
Notre combat, ne l’oublions jamais, c’est d’abord et avant tout la défense de notre identité, de notre héritage historique, culturel, ethnique, contre tous ceux qui prétendent avoir des droits sur nous et qui entendent nous faire disparaître.
Aujourd'hui, plus que jamais :
Mobilisation totale contre les laquets
du mondialisme destructeur des peuples !
Solidarité militante avec nos camarades du Front comtois
victimes de la répression antinationale !
L'équipe de Synthèse nationale
Pour vos dons par CB, rendez-vous sur notre site internet (cliquez ici), par virements bancaires, cliquez là. Par chèques à l’ordre de «Front Comtois» à adresser à Front Comtois, 6 impasse des Aguyots, 25250 L'Isle sur le Doubs
JEUDI 8 SEPTEMBRE, 14 h, TENEZ-VOUS PRETS,
TOUS AU TRIBUNAL DE MONTBELIARD
PROCES DU FRONT COMTOIS =
PROCES DU PEUPLE FRANCAIS !
21:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 05 juillet 2011
Au-delà des compromissions avec le Système, une espérance nouvelle !
Par Roland Hélie
Editorial publié dans le n°23
de Synthèse nationale (cliquez ici)
Le mal récurrent qui atteint toute organisation reposant sur un engagement radical est, à un moment ou a un autre, la recherche de la respectabilité. Cette sacrosainte respectabilité qui, soit disant, doit lui permettre de passer du stade d’éternel opposant à l’échelon supérieur, voire à arriver au pouvoir.
A priori, l’idée ne manque pas de logique et peut être séduisante. Une fois le plein des soutiens, électoraux et autres, réalisé, il peut apparaitre nécessaire de ratisser plus large si on veut augmenter son influence. Bien sûr, pour cela un certain nombre de concessions doivent être faites. Mais les fins stratèges nous rétorquent à chaque fois que cela répond à une subtile tactique destinée à gruger les adversaires et que l’on peut être rassurés : les fondamentaux, eux, ne seront jamais égratignés. Des cadres « intelligents » sont mis en place pour prendre la relève des quelques timorés qui avaient certes permis au mouvement de percer mais dont le passé jugé « sulfureux » escamote, dit-on, toutes chances de réussir. Ainsi, la route vers la victoire est empruntée et plus rien ne pourra arrêter le mouvement en marche…
Combien de fois a-t-on entendu ce genre de propos lénifiants ?
En réalité, les choses ne se passent jamais comme cela. Très vite l’organisation qui s’engage sur cette voie hasardeuse de la quête effrénée de la respectabilité perd son identité et, par là même, sa raison d’être. A force de vouloir adopter les bonnes manières qui lui permettraient d’exceller dans le petit monde de la bienpensance, à force de se recentrer pour rassurer les honnêtes citoyens jusque là effarouchés par les idées qu’elle professait, l’organisation finit par se banaliser et entrer totalement dans le Système qu’elle était censée vouloir détruire.
Les exemples sont nombreux dans l’histoire politique française. A gauche, nous pourrions citer le cas de la Ligue communiste révolutionnaire devenue, il y a quelques années, le Nouveau parti anticapitaliste (tout un programme…), avec le jeune et pimpant Besancenot à la place de cette vieille lune ridée de Krivine. On voit les résultats. Alors que la LCR, après des années de stagnation commençait péniblement à percer électoralement, bénéficiant sans doute de l’agonie sans fin du Parti communiste, le NPA a fait un flop monumental. A tel point que, exit Besancenot, c’est Mélenchon, un autre « ex »-trotskiste mais lambertiste celui-là, qui remet le PC en selle pour la prochaine présidentielle. Krivine doit « avoir les boules ». Tant pis pour lui, on ne va pas pleurer sur son sort.
La droite nationale n’échappe pas à cette maladie
A droite de la droite les exemples de relookages, ou de recentrages, sont aussi nombreux et à chaque fois cela se termine mal.
Je me souviens personnellement, pour y avoir participé, de l’expérience, dans les années 70, du Parti des forces nouvelles. Ce parti très militant et très motivé occupait alors la première place au sein de la droite nationale. Il disposait d’un capital militant conséquent et surtout d’une volonté légitime de jouer un rôle politique digne de ce nom. Cependant, les principaux responsables du PFN étaient « traumatisés » par deux échecs successifs qu’ils avaient vécus : l’échec (somme toute relatif) des premiers pas électoraux du Front national en mars 1973, puis la dissolution d’Ordre nouveau en juin de la même année. C’est ainsi qu’ils s’évertuèrent, dans un premier temps, à tenter de dépoussiérer la droite nationale et à donner au PFN une image « moderne et design » pour reprendre l’expression en vogue à cette époque. « Le passé, toujours, le chérir, ne jamais l’oublier, mais jamais le formuler… » s’exclamait à la tribune du congrès fondateur du parti, en novembre 1974, l’un de ses principaux responsables. Les résultats furent fulgurant : 10 ans plus tard le Front national, son rival tant honni, envoyait 35 députés à l’Assemblée nationale et le PFN disparaissait de la scène politique. L’intention était sans doute louable, mais les résultats furent, hélas, décevants. Cet exemple mérite d’être médité.
Nous pourrions aussi rappeler le recentrage, en pleine campagne présidentielle de 1965, de Jean-Louis Tixier-Vignancour qui entraina une dégringolade catastrophique en quelques semaines : d’environs 17% d’intentions de vote dans les sondages, il ne récolta que 5% dans les urnes. La droite nationale mit 20 ans à se remettre de cet épisode peu reluisant… Nous pourrions citer de multiples autres exemples tout aussi édifiants les uns que les autres. Ces différentes expériences malheureuses devraient éclairer ceux qui rêvent sans cesse au grand ripolinage politique et idéologique qui permettrait à notre famille politique de triompher et de remettre enfin la France sur les rails.
Quelques succès électoraux attisent, il est vrai, les ambitions et certains, ou certaines, pensent qu’en sacrifiant quelques idées fortes, on arriverait ainsi plus vite au pouvoir. Hélas, les choses ne sont pas aussi simples.
En fait, lorsque l’on édulcore un peu trop nos fondamentaux, fait-on encore partie de la grande famille de la droite nationale, nationaliste et identitaire ? C’est la question que l’on peut légitimement se poser au sujet du Front national depuis quelques mois. De reniements en concessions (lire à ce sujet l’entretien que nous a accordé Robert Spieler dans ce numéro de Synthèse nationale) celui-ci finit par tellement ressembler à un parti du Système que l’on peut se demander pourquoi il n’est pas encore totalement inclu dans le Système puisque tel semble être le vœu le plus cher de ses nouveaux dirigeants. La réponse réside peut être tout simplement dans le fait que le Système lui demande encore un peu plus de gages ? Encore un peu plus de soumission ? Dans ce cas, pourquoi s’arrêteraient-ils, l’un et l’autre, en si bon chemin puisque tel semble être le prix à payer pour ne plus être traité en parias et en empêcheurs de tourner en rond.
Là est justement la ligne de partage. Soit le mouvement national a vocation à se confondre dans le Système, soit il entend rester la seule alternative crédible à ce Système. Dans le premier cas, la stratégie choisie par Marine Le Pen et ses amis est certainement la meilleure. Mais après, après que le Système l’aura bien digérée, il ne faudra pas venir se plaindre. Pour notre part, fidèles à nos principes, à nos espérances, et surtout à notre raison d’être, nous choisissons le second. Nous nous battons pour la destruction de ce Système dont le seul objectif est de broyer les identités, de détruire les nations et de transformer le monde en un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel tous les hommes seraient égaux, indifférenciables, dociles et formatés. Un monde merveilleux dans lequel il n’y aurait plus que des gentils consommateurs juste bons à enrichir les comptes des quelques actionnaires des multinationales. Un monde extraordinaire dans lequel il n’y aurait plus de noirs, ni de jaunes, ni de blancs mais que des individus sans racines, déculturés et malléables à souhait. Bref, un monde fait de bons sentiments, de repentances permanentes et de prosternation devant les maîtres que sont les banquiers, les usuriers, l’hyper classe et ses serviles chiens de gardes que sont les média aux ordres. Un monde parfait où il n’y aurait, surtout, plus de nationalismes, de patriotismes ou autres attachements identitaires… En un mot, un monde dans lequel nous n’aurions plus notre place.
Une nouvelle espérance est en train de naître
Alors, dans ces conditions, vous comprendrez que nous ne pouvons accepter aucune compromission avec ce Système. Non seulement nous devons nous battre pour l’abattre, mais nous devons aussi et surtout nous battre pour créer les conditions de l’avènement d’un ordre nouveau capable de restaurer les valeurs fondamentales qui ont fait la force de notre civilisation européenne et la gloire de notre nation française. Nous nous battons pour une révolution identitaire capable de redonner aux hommes la fierté de leurs racines. Nous nous battons pour une véritable révolution sociale qui remettrait le mérite au premier plan et qui appliquerait la préférence nationale dans tous les domaines. Nous nous battons pour une révolution nationale et européenne capable de redonner à notre nation et à notre continent leurs places, et toutes leurs places, dans le monde.
La réussite d’un tel projet passe par la construction d’un appareil politique fort, déterminé et conséquent, un appareil imperméable aux sirènes du Système et déterminé à mener à bien cette indispensable révolution que nous préconisons ici. Cet appareil est en gestation. Depuis quelques mois, autour due la Nouvelle Droite Populaire qui incarne le courant nationaliste radical, autour du Parti de la France, présidé par Carl Lang, qui rassemble un nombre grandissant de militants nationaux sincères hostiles aux dérives du Front, autour du MNR, autour de nombreux autres mouvements locaux ou nationaux, d’associations culturelles et politiques, de cercles et de journaux, une nouvelle espérance est en train de naître. Pour notre part, à Synthèse nationale, nous apporterons notre contribution totale au lancement de cette vaste confédération qui regroupera toutes celles et tous ceux qui refusent la soumission au Système dans laquelle quelques mauvais bergers voudraient conduire le mouvement national. Il en va de l’avenir de notre peuple, de notre nation et de notre civilisation.
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Appel d'un chroniqueur à Synthèse nationale :
Sympathique collaborateur de la revue Synthèse nationale venant s'installer à Paris recherche un logement (deux pièces, rive gauche si possible) à louer à un prix raisonnable...
Peut-être que, parmi nos lecteurs, un propriétaire recherche un locataire de bonne lignée.
Si c'est le cas, vous pouvez écrire à synthesenationale@club-internet.fr
Nous ferons suivre. Merci d'avance.
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lundi, 04 juillet 2011
Revue de presse : "Nous sommes la véritable extrême droite"...
Par Christophe Payet et David Doucet
Préférence nationale : cliquez ici
Aussi loin que remontent ses premiers combats politiques, Jean-Marie Le Pen a toujours rejeté l’appellation d’extrême droite qu’il jugeait trop connotée, pour se revendiquer de la «vraie droite». Aujourd’hui les différents partis ou groupuscules ayant rompu (de gré ou de force) avec le Front ne cherchent plus à récuser cette étiquette.
Lundi, le Mouvement national républicain (MNR) d’Annick Martin (anciennement dirigé par Bruno Mégret), le Parti de la France (PdF) de Carl Lang et la Nouvelle droite populaire (NDP) de Robert Spieler et Roland Hélie se sont rassemblés à quelques centaines de mètres de la place de la République, à Paris, pour annoncer la constituion d'une "plateforme électorale commune" (cliquez ici) et se présenter comme la véritable extrême droite.
«Le FN a trahi le combat national»
«Le FN est victime d’une forme de subversion interne, dénonce le directeur de la publication de Rivarol, Jérôme Bourbon au début de ce colloque. Désormais son programme se rapproche de plus en plus de celui de Pim Fortuyn et des droites néo-populistes, c’est une forme de trahison.» Pour lui, la stratégie de dédiabolisation de Marine Le Pen est vouée à l’échec: «Si on fait des concessions dans l’opposition, on en fera encore davantage au pouvoir. Marine Le Pen suit la trajectoire de Gianfranco Fini qui a réussi la destruction de l’extrême droite italienne. Nous devons résister à cela !»
Quitte à désormais revendiquer haut et fort leur appartenance à l’extrême droite. «Je suis un extrémiste de droite et j’en suis fier», déclare ainsi le délégué général de la NDP, Robert Spieler. «Oui je suis d’extrême droite, et nous ne devons pas renoncer à ce que nous sommes», renchérit Pierre Vial, président de l’association paganiste Terre et peuple et membre de la direction de la NDP, en marge de son allocution.
Le programme de Marine Le Pen semble devenu trop fade pour cette branche réprouvée et marginalisée de l’extrême droite française. À plusieurs reprises, les différents orateurs ont tancé les reformulations sémantiques du FN Mariniste. «Le Front national n’ose plus parler de “préférence nationale” et préfère l’évocation d’une “priorité citoyenne” telle que l’a formulée Louis Aliot (Marine Le Pen évoque, elle, la “priorité nationale”, ndlr). Nous n’avons plus rien à voir avec cela.»
Au-delà des différentes étiquettes, il s’agissait surtout d’un rassemblement de théoriciens qui n’ont pas hésité à embrasser la marginalité politique afin de défendre leurs idées. Même s’ils étaient un peu moins de 200 dans la petite salle où s’est tenu leur colloque, ils sont convaincus de détenir la vérité. Tôt ou tard, leur combat finira par payer. «Même si cela doit prendre des siècles», estime Pierre Vial.
Combat total
«On se regroupe peut-être de façon modeste. Mais je vous rappelle que Jean-Marie Le Pen a débuté en 1974 avec 0,74% des voix. Mieux vaut commencer avec de faibles résultats mais sur une base solide de convictions fortes» tente de rassurer d’emblée Jérôme Bourbon. Il cite alors le créateur de la Phalange fasciste espagnole, José Antonio Primo de Rivera: «“La révolution est l’œuvre d’une minorité inaccessible au découragement.” Et bien soyons cette minorité et gardons au cœur l’espérance française et l’espérance chrétienne.»
Afin toutefois de ne pas rester éternellement minoritaire, cette nouvelle union politique commence à dessiner une stratégie. «Nous avons décidé de la création d’une confédération commune dans l’esprit de l’UDF, c’est-à-dire qu’elle pourra regrouper des partis, des groupes mais aussi des associations qui continueront à garder leur identité», se projette ainsi Roland Hélie, responsable de la NDP et créateur de la Synthèse nationale, une revue qui tente depuis des années de fédérer ces différents partis.
«Notre combat sera total: familial, spirituel, culturel et politique. Nous allons nous engager dans un processus de rassemblement de la droite nationale pour rendre la France aux Français», confirme un Carl Lang, qui se verrait bien candidat face à Marine Le Pen en 2012.
Tout le gratin de l’extrême droite était en tout cas présent pour saluer l’évènement. Parmi lesquels le militant royaliste Franck Abed, l’écrivain négationniste Hervé Ryssen, l’ancien leader des skinheads parisiens Serge Ayoub, Édouard Klein et ses amis gudards, l’un des responsables de La Desouchière et le professeur Jean Haudry, qui appartenait par le passé au GRECE.
La gauche comme modèle
Au programme: toutes les recettes que Jean-Marie Le Pen n’aurait, selon eux, jamais écouté. A savoir l’investissement de la sphère culturelle et le travail de terrain. Pierre Vial, qui fut responsable de la formation au FN, veut en faire une «méthode de travail» pour la future coalition d’extrême droite.
Pour lui, la conquête du pouvoir culturel est la priorité. Et dans ce domaine, une seule famille politique a fait figure de modèle : la gauche. «La gauche a su appliquer ce principe fondamental. La conquête du pouvoir culturel permet celle du pouvoir politique.» Le patron de Terre et peuple se réfère même au théoricien communiste Antonio Gramsci, avant d’ajouter «sans complexe » avoir «des leçons à prendre !» La salle applaudit avec enthousiasme.
Pour étayer son argumentation, Pierre Vial évoque alors deux «anciens camarades devenus ministres». «Camarade Alain» et «camarade Gérard», comprendre Alain Madelin et Gérard Longuet, tous deux anciens militants d’Occident. Début 1981, il essaie de les convaincre de l’importance du pouvoir culturel. Mais la droite reste obsédée par l’économie et laisse la culture aux partisans du programme commun. Quelques mois plus tard François Mitterrand est au pouvoir. «Eux (la gauche, ndlr) ont compris que cela passait par là. Ils ont commencé dès 1945. Progressivement, méthodiquement, efficacement.»
Pierre Vial continue son spectacle, anecdotes et exemples potaches à l’appui. «Le combat politique est partout. Dans les feuilletons, avec ces policiers si sympathiques, où il y a le bon nègre et le bon maghrébin…» Les rires se multiplient, dans une salle qui applaudit comme un seul homme. «A côté d’eux il y a des policiers qui sont des beaufs. Ce sont des gaulois évidemment. Pas doués, pas malins. Même un peu raciste parfois, allez savoir.» Une fois la blague achevée, Pierre Vial en vient à sa conclusion: «En fait de distraction, on a un bourrage de crâne systématique et permanent.»
Gagner des petites mairies
Cette approche métapolitique est caractéristique du Groupe de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE), un club de réflexion qui visait la reconquête des esprits et dans lequel Pierre Vial a occupé le poste de secrétaire général de 1978 à 1984.
«On doit faire venir à nous les gens par étapes. Doucement. Gentiment», poursuit le fondateur de Terre et peuple, sans doute conscient de pouvoir faire peur. «Si on arrive d’un coup avec notre programme brandi, je ne suis pas sûr que cela marche très bien. Il faut leur expliquer un certain nombre de choses par le biais de la vie quotidienne.»
Autre priorité de ce travail de fourmis: l’implantation dans les municipalités rurales. «Il faut gagner des mairies de villages de 100 ou 200 habitants», recommande Pierre Vial, qui regrette que le Front national n’ait jamais opté pour cette stratégie. «Le jour où on aura besoin de signatures, ce sera intéressant. Il faut commencer à la base. Et ensuite on grignote. Les communistes ont fait ça pendant bien longtemps.»
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Réunion de Synthèse nationale du 27 juin dernier : interventions de Martine Lehideux, Jérôme Bourbon et Pierre Vial...
Mme Martine Lehideux, Vice Présidente du Parti de la France
Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol
Pierre Vial, Président de Terre et peuple
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samedi, 02 juillet 2011
L'UNION EN MARCHE : AU-DELA D'UNE IDEE, UNE REALITE !
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Lundi 27 juin, à Paris, la Droite nationale, nationaliste et identitaire était rassemblée à l'initiative de Synthèse nationale...
Intervention d'Annick Martin, Vice Présidente du MNR
Intervention de Robert Spieler, Délégué général de la
Nouvelle Droite Populaire
Intervention de Carl Lang, Président du Parti de la France
Demain : Martine Lehideux, Jérôme Bourbon et Pierre Vial
Réalisation Franck Abed
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