jeudi, 13 juin 2013
Pour le gouvernement, l'affaire Méric devient de plus en plus une affaire merdique...
Synthèse nationale
La procédure de dissolution engagée aujourd’hui par le gouvernement dit français à l’encontre des mouvements Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires et Troisième Voie peine à masquer l’échec de la tentative de manipulation de l’opinion entreprise par ce même gouvernement dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler "l’affaire Méric".
On pourrait dire que deux thèses s’opposent dans l’analyse des circonstances du décès de ce militant «antifasciste», si une analyse même superficielle du profil des protagonistes et des circonstances du drame ne mettaient en évidence qu’une de ces deux thèses n’en est pas une puisqu’elle est simplement la froide description de faits incontestables. Nous parlons là de l’exposé de la situation fait par Serge Ayoub qui a démontré à un parterre de journalistes venus de toute l’Europe qu’il était l’exact inverse de ce pour quoi on voulait le faire passer…
La présentation des faits ultra-majoritaire dans la classe politico-médiatique s’apparente, quant à elle, parfaitement à une thèse – au sens scientifique du terme –, puisque c’est une idée a priori qu’on cherche à démontrer par l’expérience. Et que cette démonstration, l’on n’arrive pas à la faire… Tout simplement parce que cette idée a priori est entièrement fausse… et est le simple reflet de la haine de ceux qui se font appeler "les antifas" à l’encontre des patriotes français et européens.
La manipulation entreprise par le système à l’occasion de l’affaire Méric éclate au grand jour :
Manuel Valls parle d’assassinat, induisant l’idée qu’Esteban, l'un des jeunes nationalistes, est venu à la sortie de la vente privée dans le but de mettre fin aux jours de Clément Méric. Il l’aurait fait en tant qu’adhérent d’une structure criminelle dont l’objectif serait l’éradication violente des militants d’extrême-gauche et accessoirement de toutes les «minorités visibles». Tâche titanesque s’il en est pour un groupe d’une trentaine d’individus… Ces assertions sont grotesques. La situation est en réalité exactement l’inverse de ce que l’on veut nous faire croire.
Ce n’est pas Esteban mais Clément Méric qui militait dans une organisation paramilitaire dont les membres cagoulés s’exhibent sur internet armés de bidules, triques et autres bâtons. Ce ne sont ni le JNR ni Troisième Voie qui fichaient leurs futures victimes et publiaient leurs photos sur internet pour appeler à l’action violente contre eux… Si l’on en croit le site du journal Libération, le groupe Action antifasciste Paris-Banlieue auquel appartenait Clément Méric serait en fait la résurgence sous un autre nom de la tribune Auteuil du Parc des princes, dissoute en 2010… après que ses membres ont causé la mort d’un de leurs adversaires dans une rixe !
Esteban avait été ainsi ciblé comme victime potentielle et sa photo ainsi que celle de sa copine Katia – qui a subi les premières provocations des agresseurs – étaient publiées sur un site «antifa». Homme d’honneur, Esteban est venu secourir son amie en danger… en danger comme tous ceux qui sont dans le collimateur des justiciers auto-proclamés constituant ces groupes d’extrême-haine.
La vente privée était utilisée par les «antifas» comme un traquenard. Sachant que ceux qu’ils poursuivent de leur vindicte avaient un engouement pour les marques proposées, il guettaient leurs proies dans l’appartement où la promotion commerciale se déroulait. Preuve incontestable : un patriote avait déjà été agressé à cette vente avant le guet-apens du 5 juin. Il s’était rendu au commissariat de police faire une déclaration qui a été enregistrée dans le registre des mains courantes.
Pour revenir au jour du pugilat, il convient de préciser que les agents de la sécurité de la manifestation commerciale ont protégé les patriotes et expulsé les trublions gauchistes. Les patriotes ne sont redescendus dans la rue qu’une demi-heure après la première agression quand, sous-estimant la volonté de leurs agresseurs d’en découdre, ils les pensaient partis.
On le voit : rien ne justifie que l’on qualifie à longueur de journée Esteban d’«agresseur» (que l’on atténue faussement la formule en ajoutant «présumé» ne change rien) et que l’on présente Clément Méric comme un «étudiant modèle».
Cet étudiant modèle était bien rarement plongé dans ses livres, puisqu’il n’est pas un film tourné à l’occasion d’agression physique contre les cortèges pacifiques de la Manif pour Tous où l’on ne le voie, le visage maladroitement masqué, chercher à perturber l’expression de la courageuse contestation démocratique de la rupture civilisationnelle qu’Hollande et son aréopage d’illuminés veulent nous imposer.
Cette affaire, si elle s’était déroulée telle qu’on nous l’a décrite, tomberait miraculeusement à propos pour le gouvernement hollandais pour détourner l’attention non seulement de la faillite économique dans laquelle il a plongé le pays, mais aussi des dommages collatéraux de cette politique, c’est à dire les mesures «sociétales» de la culture de mort, destinées à donner des gages aux électeurs de gauche qui ne peuvent guère se reconnaître dans la politique libre-échangiste des larbins gradés du mondialisme de l’équipe (Z)Ayrault.
Ils en avaient rêvé, ils ont cru que le miracle se produisait ! L’occasion de charger une nouvelle fois le bouc émissaire «fasciste» de tous les maux de la république. La machine à laver les cerveaux était en marche et l’on pouvait s’attendre à une des grandes kermesses comme celles que le système nous a infligées lors de la manipulation de Carpentras ou de l’entre-deux-tours de la présidentielle de 2002, quand les instituteurs emmenaient leurs élèves défiler contre le résultat des élections…
Cette manipulation à la sauce hollandaise, un juge d’instruction l’a faite capoter. Preuve que nos institutions ne sont pas si mauvaises que ça…
Honneur à cet homme intègre qui, en appréciant honnêtement la situation a été le grain de sable qui a bloqué la machine. Il reste à nous expliquer comment trois personnes peuvent être complices d’un coup de poing donné en état de légitime défense… Mais n’en demandons pas trop d’un coup. La manipulation hollandaise est enrayée, le président normal ne pourra que difficilement se targuer, comme le fit jadis Adolf Hitler, d’un attentat pour interdire l’opposition.
Le coup d’État a échoué. L’affaire Meric est devenue l’affaire merdique…
La demande de dissolution n’est plus qu’un baroud d’honneur, le service minimum des fausses élites en place : faire chaque jour son petit coup de communication pour tenter de faire croire qu’il y a quelqu’un aux manettes du pays. On les comprend, du reste : faire interdire des mouvements authentiquement socialistes, quand on veut dissimuler qu’on a cessé de l’être, cela pourrait permettre d’éviter la comparaison…
Voilà venu pour le camp national l’heure de la réaction : dans ce pays qui ne parle que de protection des minorités, dont les journalistes, à longueur d’antenne ou de colonnes invoquent la présomption d’innocence, refusent les amalgames quand il s’agit de masquer les méfaits de l’immigration sur notre pauvre France ; dans ce pays, les nationaux restent les boucs émissaires du système, ceux que l’on livre à la vindicte populaire quand le peuple, étrillé par la mondialisation, a besoin de se défouler un peu. Des citoyens de seconde zone qui ne disposent pas de la protection des autorités, et à qui l’on dénie même le droit de légitime défense.
Cela doit cesser et cela cessera ! Nous ne serons pas les Palestiniens de l’Europe !
Pour en finir avec cette triste affaire, nous remarquerons seulement la bêtise extrême des groupes antifas qui, tout en se proclamant anti-capitalistes, bétonnent les positions du gouvernement, petit exécutant de la domination mondiale du syndicat des marchands de poudre à laver et de frites congelées…
Lénine les aurait appelés des idiots utiles. Utiles au système mais sûrement pas à la révolution que ces imbéciles heureux font, en réalité, seulement mine d’appeler de leurs vœux.
Nous nous consolerons assez facilement de la mort de Clément Méric… et de celle de ce régime de faux-culs mais de vrais pourris qui finira bien par survenir un beau jour de printemps français.
08:15 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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