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mardi, 09 septembre 2014

LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !

Korbo mendicite rom.4.11.2013.jpgPieter Kerstens

Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.

Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.

Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de  multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.

L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.

Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.

 « Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »

A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.

15:47 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de lundi soir :

01:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Rivarol de cette semaine, un article sur le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire

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Le numéro 2 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme est consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire…

Samedi 18 mars 1978, dans la fraicheur matinale, sur une petite route près de Caudebec-en-Caux (Seine-Maritime), une terrible explosion secoue la quiétude de ce paisible bout de campagne normande. Un attentat à la voiture piégée vient de mettre fin à la vie de François Duprat et blesser très grièvement son épouse qui était à ses côtés. Trente six ans plus tard ce crime n’a toujours pas été élucidé.

Cet attentat n’était pas l’œuvre d’amateurs ou d’apprentis terroristes à la petite semaine. Il s’agissait d’un vrai travail de professionnels. Ceux qui en sont à l’origine devaient sans nul doute avoir de bonnes raisons pour agir ainsi… Certes, ce samedi 18 mars 1978 correspondait à la veille d’élections législatives qui risquaient de voir le pouvoir giscardien de l’époque renversé par une coalition socialo-communiste, mais est-ce suffisant pour établir une relation de causes à effets entre ces deux événements ? Rien ne le prouve. Mais alors, qui était donc François Duprat pour que des moyens aussi sophistiqués soient employés pour l’éliminer ?

Professeur d’Histoire, écrivain, auteur d’une quinzaine d’ouvrages qui font encore souvent aujourd’hui références, directeur de plusieurs publications nationalistes, collaborateur régulier à divers journaux dont Rivarol ou Défense de l’Occident, la revue de Maurice Bardèche, membre du Bureau politique d’un Front national qui était alors encore marginal, François Duprat était avant tout le théoricien français du nationalisme-révolutionnaire. Et c’est à cet aspect de Duprat que s’intéresse la seconde livraison des Cahiers d’Histoire du Nationalisme, la nouvelle revue lancée sous l’égide de Synthèse nationale au mois de mai dernier par Roland Hélie. 

Réalisé sous la direction d’Alain Renault, qui fut Secrétaire général du FN à la fin des années 70 et sans doute l’un des plus proches collaborateurs et amis de François Duprat, ce second Cahier, fort bien illustré et comprenant plusieurs textes inédits, privilégie avant tout ce qui peut être utile au militant d’aujourd’hui. Il se divise en trois parties.

La première est consacrée au nationalisme-révolutionnaire. François Duprat se rattachait au courant « néo-fasciste ». Mais il savait que ce terme, employable dans les discussions doctrinales internes, n’était pas très facile à utiliser pour la propagande externe. Il est en effet parfaitement inutile de perdre son temps à vouloir aller à contre courant en cherchant à imposer un terme qui fait peur. L’essentiel n’est pas « d’avoir raison » mais qu’on « nous donne raison ». Voilà pourquoi Duprat s’employa à substituer au terme « néofascisme » celui de « nationalisme-révolutionnaire ». Et pour être parfaitement cohérent, il adapta le nationalisme-révolutionnaire aux réalités politiques et géopolitiques de la seconde moitié du XXe siècle.

Nous en arrivons donc à la deuxième partie. Celle-ci aborde l’épineux problème du sionisme. Dès la Guerre des Six jours, en juin 1967, François Duprat, n’hésite pas aller à l’encontre d’une grande partie de sa famille politique. Alors que toute la Droite nationale, de Tixier-Vignancour à François Brigneau, prend fait et cause pour Israël, Duprat condamne ouvertement ce qu’il appelle « l’agression sioniste ». Cette prise de position, audacieuse à l’époque, est partagée par Pierre Sidos et Maurice Badèche. Bien sûr aujourd’hui les choses ont bien évoluées. Il est intéressant de lire, ou relire, les textes publiés alors par Duprat tant ceux-ci demeurent d’actualités en cette nouvelle période de troubles au Proche-Orient. Dans ce domaine aussi Duprat était un précurseur.

Enfin la troisième partie, le plus longue, est consacrée au Parti révolutionnaire. Outil indispensable de la victoire, François Duprat concevait le parti révolutionnaire comme le noyau dur du mouvement de masse. Un peu comme l’était Ordre nouveau au moment de la création du Front national au début des années 70.

Les textes de cette troisième partie dévoilent aussi la stratégie de Duprat : développer un thème de campagne fort (ce sera la lutte contre l’immigration) et choisir une zone géographique sur laquelle, tant que le parti reste faible, les efforts d’implantation seront concentrés (ce sera la Normandie, sa région d’adoption). Certes, à l’époque où ces textes ont été écrits, la perspective d’un mouvement national ralliant les masses populaires semblait bien téméraire. Mais en politique il ne faut jamais se décourager et la suite des événements va très vite lui donner raison. Quelques années plus tard, ce sera « le coup de tonnerre de Dreux » et le début de la percée fulgurante du FN.

Hélas, tout cela Duprat ne le verra pas. Sa fin tragique et prématurée l’empêchera d’assister à la réalisation de ce qu’il avait élaboré. Mais ce qui fut la genèse du Front national ne doit pas tomber dans l’oublie ou, pire encore, l’indifférence. Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme, fidèle à leur vocation, nous font revivre cette période controversée. Ils rendent ainsi hommage au théoricien et au stratège que fut François Duprat.

Guirec Sèvres

François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire, Cahiers d’Histoire du nationalisme n°2, 206 pages 20,00 € (+ 3,00 € de port) à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris (chèque à l’ordre de Synthèse nationale). Le premier numéro, consacré à Léon Degrelle, est toujours disponible aux mêmes conditions.

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Rivarol n°3153 cliquez ici, 3,50 €, en vente chez les marchands de journaux

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Le retour du Journal du Chaos :

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Pas de livraison de Mistral à la Russie : le mur de la stupidité est enfoncé

Mouvement_national_républicain.pngUn communiqué du MNR :

Le 3 septembre dernier, l'Elysée a décidé de suspendre la livraison à la Russie du premier Mistral, « Vladistok », un bâtiment de projection et de commandement (BPC), estimant que les conditions pour un accord n'étaient « pas à ce jour réunies ».

L'annonce a été « saluée par les partenaires européens et les États-Unis » (Le Monde). Le Monde indique qu' « Une annulation menacerait 1 000 emplois et coûterait près de 2 milliards d'euros ». et que « Le contrat russe a été une véritable bouffée d'oxygène à Saint-Nazaire, garantissant 1 000 emplois pendant quatre ans. »  Le contrat prévoit  la poursuite de la construction d'un deuxième Mistral pour les Russes.

Au moment où, comme chacun sait, la situation économique et sociale de la France est très dégradée, on se demande comment nos gouvernants ont pu prendre une telle décision, qui risque de plus de nous décrédibiliser pour l'avenir auprès de nos autres clients éventuels.

Avec tous les patriotes, protestons de toutes nos forces contre une décision contraire à l'intérêt national, et dictée par l'étranger

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