jeudi, 30 juin 2016
BUDAPEST 1956 : INSURRECTION de David Irving. Traduction du texte original inédit publiée par Synthèse nationale
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"INSOUMIS", le CD du Dr Merlin est à nouveau en vente
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mercredi, 29 juin 2016
Sortie de l’Europe : pourquoi Mélenchon ne veut surtout pas d’un référendum ?
Pierre Cassen Riposte laïque
Sur ses affiches, Jean-Luc Mélenchon associe parfois son nom au peuple. Dans ses discours, à la tribune, le pupitre contient souvent cette phrase : une solution, le peuple ! On pouvait donc penser que le président du Parti de gauche, qui paraissait, sur les plateaux de télévision, se réjouir du Brexit, allait en profiter pour demander un référendum, pour que le peuple français décide librement s’il veut rester dans l’Europe, ou en sortir. Or, il ne l’a pas fait, contrairement à Marine Le Pen. Pourquoi ?
La réponse est fort simple. Jean-Luc Mélenchon, qui avait voté « oui » à Maastricht en 1992, a toujours été, parce qu’internationaliste, un fervent partisan de l’Europe. Sa seule différence avec les dirigeants de l’Union européenne, c’est qu’il rêve d’une autre Europe, plus sociale et moins libérale.
Mais il ne veut surtout pas, comme l’ont choisi plus de 17 millions d’électeurs anglais, la sortie de l’Europe, et le retour au souverainisme, pour notre pays la France. Il ne peut reconnaître que, derrière ce vote, il y a une demande identitaire, le refus de l’invasion migratoire et de l’islamisation des pays européens, encouragé par Bruxelles… et lui-même, Jean-Luc Mélenchon. Donc la fin du traité de Schengen et des frontières passoires. Donc le refus d’accueillir, comme l’impose Merkel, avec la complicité de Juncker et d’Erdoğan, des millions de clandestins appelés « migrants », majoritairement hommes seuls, musulmans qui, paraît-il, fuiraient la guerre !
Ceux qui, tel Nigel Farage et l’UKIP, ont impulsé cette campagne, en Grande-Bretagne, sont ses pires adversaires politiques. Il les qualifie, au mieux, de « populistes » et de « xénophobes ». En France, ses militants, alliés aux gauchistes, n’hésitent pas, dès qu’ils le peuvent, à exercer, par la violence, des pressions pour empêcher ce courant de s’exprimer. Même Nicolas Dupont-Aignan avait été éjecté d’un rassemblement de soutien au peuple grec, parce qu’accusé d’être de droite, et souverainiste. Donc forcément facho ! Même au sein du Front de gauche, Mélenchon et ses amis n’ont pas voulu de Jacques Nikonoff, pourtant marxiste, ancien président d’ATTAC, candidat à la présidentielle 2017, qui demandait la sortie de l’Europe et de l’euro, au nom de la souveraineté de la France. Viré !
Mélenchon, pas davantage que Tsípras ou Podemos, ne dérange ceux qui, depuis vendredi, insultent les électeurs anglais, osent demander un nouveau vote, ou, comme Peter Sutherland, haut dirigeant de Goldman Sachs et ancien commissaire européen à la concurrence (naturellement libre et non faussée), qui dit crûment qu’« il va falloir annuler le Brexit d’une façon ou d’une autre ». Tout simplement parce que, internationalistes, ils partagent avec ces dirigeants libéraux la même volonté de détruire les Etats-nations et l’homogénéité de leur peuple. Finalement, derrière leurs divergences sociales, Sutherland et Mélenchon se complètent remarquablement, pour lutter contre leur ennemi commun, les souverainistes.
C’est pourquoi les Français ne doivent surtout pas compter sur le président du Parti de gauche pour demander un référendum sur la sortie de l’Union européenne. Tout simplement parce que le candidat à la présidentielle 2017 veut bien que le peuple soit la solution, mais à condition qu’il vote bien… Et comme, pour le moment, comme il a pu le constater à Hénin-Beaumont, ce peuple français choisit de plus en plus la préférence nationale plutôt que les faux discours sociaux immigrationnistes, Mélenchon ne se battra pas pour lui donner la parole !
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Sortie prochaine du nouveau numéro de Réfléchir et Agir
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Parution prochaine de l'intégralité des articles de Pierre Drieu la Rochelle
Nombre d'amis de Synthèse nationale ont reçu ces jours-ci par la Poste une offre de souscription pour un projet éditorial ambitieux : l’intégrale des articles de Pierre Drieu la Rochelle en six volumes chronologiques totalisant plus de 3000 pages. Face aux nombreuses communications reçues à ce sujet par la rédaction, nous retranscrivons l'échange internet qu'ont eu, ce matin, Roland Hélie et Lionel Bosserelle, du Comptoir des éditeurs, au sujet de cette publication dont l'annonce fait beaucoup de bruit dans le Landerneau nationaliste.
Roland Hélie : Il s’agit d’une souscription ?
Lionel Bosserelle : Oui. Les travaux de relecture et de maquette ne sont pas finalisés, certains articles parus dans la presse argentine ou allemande dont les versions originales n’existent plus sont en cours de retraduction vers le français et il nous reste même encore à nous procurer quelques textes… Nous avons donc prévu la parution pour le mois de septembre.
On pourra acheter cette imposante série à la Xe Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale à Rungis le 3 octobre ?
Oui, je m'y rendrai avec grand plaisir, comme l'année dernière, mais ce serait dommage pour vos lecteurs d’attendre la rentrée puisque les cent premiers souscripteurs recevront un exemplaire numéroté du tirage de tête et parce que le prix de la série à parution sera de 180 € (plus 15 € de port pour ceux qui ne seront pas à Rungis) alors que, jusqu'au 10 juillet, la série coûte seulement 150 € port compris…
Dites-nous en plus sur les textes que vous éditez dans ces 6 volumes…
La plupart des livres de Drieu sont des recueils d’articles ou de nouvelles parus préalablement dans la presse. Les romans eux-mêmes ont en majorité bénéficié d’une publication en feuilleton dans des périodiques avant de paraître en librairie. Mais les recueils ne reprennent pas tous les articles et même ceux qu'ils contiennent sont parfois tronqués ! La méthode choisie (ordre chronologique des parutions dans la presse) était donc le meilleur moyen d’essayer de publier tout Drieu… Il manque L’homme couvert de femmes, Le feu follet, une partie des poèmes des premiers volumes, et deux ou trois autres petites choses, mais tout ça se trouve très facilement, en collections de poche très souvent. À côté de ça, on a des centaines de pages qu’on ne trouve nulle part ailleurs que dans la presse de l’entre-deux-guerres et donc, dès le mois de septembre, dans cette série Drieu en kiosque…
N’est-ce pas un peu dommage de ne pas avoir rajouté ces quelques textes qui ont paru directement en recueil ? Vous auriez pu annoncer la publication des Œuvres complètes de Drieu la Rochelle…
Voilà bien une remarque d’éditeur, mon cher Roland ! Mais des Œuvres complètes, ça comprend aussi les correspondances, les inédits, de nombreuses notes sur les corrections apportées au premier jet des manuscrits, etc. Il faut disposer des archives de l’auteur. Seules les éditions Gallimard pourraient entreprendre un tel travail…
Mais justement, Gallimard a bloqué la réédition des textes de Drieu pendant des années !
Oui, ils ont eu les droits exclusifs de tous les textes jusqu’au 1er janvier de cette année, date à laquelle l’œuvre de Drieu est tombée dans le domaine public. Et effectivement, à part la publication sensationnelle du Journal de Drieu en 1992, aucun des recueils politiques n’a reparu. Il y a bien eu des rééditions pirates soi-disant éditées en Roumanie, quelques volumes publiés par Jean-Gilles Malliarakis avant que l’harmonisation européenne ne fasse passer la durée des droits d’auteur à 70 ans et qu’il a continué à vendre après (Notes pour comprendre le siècle, notamment) et la publication des derniers éditoriaux pour Révolution nationale aux éditions de l’Homme libre, mais je me demande vraiment comment ils ont pu obtenir l’autorisation… Un recueil d’articles également, qui a paru en 2010 chez Krisis, mais il y a beaucoup de textes du Figaro, la série de reportages de Marianne, et très peu de textes politiques, finalement, en dépit du titre choisi (Textes politiques)… La parution du volume de la Pléiade il y a deux ans était bien décevante aussi : rien d'un peu inédit ni surtout rien de polémique…
Vous annoncez d’autres parutions dans cette collection «En kiosque »…
Oui. Brasillach, essentiel mais beaucoup plus facile à réaliser que Drieu parce qu’il a écrit dans beaucoup moins de publications différentes; Jean Fontenoy parce que j’avais publié ses romans il y a seize ans et que son fils m’avait fait un procès, soucieux de faire disparaître la mémoire de son père de l’espace médiatique; Ramon Fernandez, camarade de Drieu au PPF, dont on ne connaît plus du tout aujourd’hui les textes politiques… et d’autres encore dont je ne peux pas parler pour le moment.
Où peut-on trouver des précisions sur cette édition et les modalités de souscription ?
Ceux qui n’ont pas reçu la brochure par la poste pourront la télécharger et imprimer le bon de souscription sur comptoirdesediteurs.com. Mais attention : la souscription prend fin le 10 juillet…
Je suis sûr que les nombreux bibliophiles que compte notre lectorat sauront saisir cette opportunité !
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Après la sortie cette semaine de son nouveau livre "LE GRAND REMBARQUEMENT", Emmanuel Albach s'explique :
Le titre de votre livre, Le Grand rembarquement, semble faire écho au Grand Remplacement de Renaud Camus. Est-ce par hasard ?
Non bien sûr. J’avoue humblement que Renaud Camus m’a inspiré. Mais mon titre ne fait pas seulement écho : il parle aussi d’une fin heureuse, alors que le principe du grand remplacement, et tout ce que l’on entend un peu partout sur le caractère inéluctable de notre fin proche en tant que nation, nous décrit un avenir noir. Or rien n’est inéluctable. Rien n’est irréversible, c’est ce que nous apprend l’histoire : le destin d’une nation dépend de la volonté de ses membres. Ils peuvent se laisser mourir, ou se dresser. "Aux armes, citoyens !", dit notre hymne, non ?
Hola ! Votre roman appelle les Français aux armes ? Vous allez tomber dans l’incitation à la sédition !
On ne peut plus citer notre hymne national ? Et puis c’est un roman. Et l’on n’y trouvera rien qui tombe sous le coup de la loi. Mais voyez dans quelle situation nous nous trouvons : on nous oblige à accepter des trucs dégueulasses qui deviennent des normes, et l’on nous interdit d’en parler. Ce carcan que personne n’aurait pu imaginer il y a encore trente ans, emprisonne notre nation autant que la loi martiale d’un occupant : on en est réduit à chuchoter dans son coin, entre gens proches. Même au travail – je dirai même surtout au travail - on ne peut plus rien dire : il y a toujours des mouchards prêts à vous dénoncer à "la kommandantur". On se tait, on attend le moment où l’on pourra parler à nouveau. Et l’on entend que les collabos… ou les soit-disants « grands cerveaux », les stratèges qui nous expliquent où l’Histoire nous guide. Mais l’Histoire n’existe pas : cette idée d’une direction qui s’imposerait à nous, est un concept de ce phraseur de Marx.
L’Histoire n’existe pas ? Pourtant la France a une histoire, non ?
Cela, c’est celle qu’on voit dans le rétroviseur, celle qui est passée. L’histoire pour Marx, c’est un futur tout écrit : celui de la disparition inéluctable de notre monde occidental. Il devait nous détester énormément ! Or la vérité c’est plutôt « Fortuna imperatrix mundi » : la (bonne ou mauvaise) fortune, impératrice du monde. Qu’est-ce que cela veut dire ? Sinon que le hasard, la bonne fortune – ou la volonté de Dieu, diront les chrétiens - est plus puissante que les rois, et que des renversements « de fortune » sont toujours possibles. Des « fortunes », des opportunités se présentent, et c’est alors le moment de les saisir pour renverser une situation qui semblait perdue. Le destin des hommes reste toujours entre leurs mains. Au fond, nous sommes libres. C’est la peur qui nous rend impuissants, la crainte qui habite chacun d’être repéré par le Système qui nous oppresse, et qu’il lui pourrisse la vie… Pourtant qu’est-ce qui pourrait nous arriver de pire que de laisser un occupant voler leur avenir à nos enfants ? A quoi aurait servi notre vie si nous trahissions notre patrie ? Pour elle, pour cette terre où reposent nos ancêtres, pour nos enfants, nous n’avons pas le droit d’avoir peur. Pour eux, il faut savoir répondre à l’appel de notre hymne.
Rien n’est irréversible ? Quand même, arrivé à un certain stade, souvent on ne peut plus changer grand-chose.
Si vous aviez demandé en 1950 aux Français s’ils croyaient qu’un jour un million de leurs compatriotes d’Algérie devraient quitter les lieux en quelques mois, en laissant tout derrière eux, et abandonnés par l’Etat, personne n’y aurait cru. Personne. Cela semblait impossible. Les Français d’Algérie, qui y avaient construit un pays moderne, pensaient que leur œuvre les rendait définitivement légitimes sur cette terre. Ils étaient sûrs que les musulmans étaient conscients de ce qui avait été accompli et dont ils profitaient : l’eau courante, l’électricité, les hôpitaux, l’instruction, une alimentation saine… Cet acquis semblait donner un droit irréversible aux Français d’Algérie. Un « droit acquis ». Et pourtant, ils sont tous repartis en quelques mois… Un million de personnes, à une époque où le transport aérien était embryonnaire et le transport maritime minuscule au regarde de ce qu’il est devenu aujourd’hui… Alors, l’irréversibilité, moi je n’y crois pas. Il suffit de circonstances, et l’impossible devient d’un seul coup la seule solution possible…
C’est cela le Grand Rembarquement ? Un exode massif ? Une re-migration ? Le drame des pieds noirs inversé ?
Je ne peux pas vous raconter toute l’histoire. Il s’agit d’un roman, d’un « thriller », avec des rebondissements et une fin inattendue. Je ne peux pas trop déflorer l’intrigue… Cela raconte surtout comment des politiciens, qui n’entendent rien – c’est normal les Français en sont réduits à chuchoter, ils deviennent inaudibles ! - sinon les « communautés » qui obtiennent tous d’eux et qui ne savent donc plus rien de la France réelle, mais qui se prennent néanmoins pour de grands stratèges historiques, peuvent se croire tout permis avec notre nation, au point de la cabrer et qu’elle rejette toute autorité étatique ! Une erreur de trop, celle que l’on ne peut pardonner, c’est la fameuse « fortuna » que j’évoquais au début de cet entretien. Celle qui permet un renversement de fortune, et à un peuple de reprendre son destin en mains.
C’est donc l’histoire d’une révolution ?
Je suis convaincu que quelque chose va se passer et que la France, révulsée par ce qu’on lui fait avaler, va se mettre à vomir et que partout des gens vont entrer sans retenue en colère contre l’ennemi qui veut l’asservir. Il suffira d’abord qu’ici et là, la colère surpasse la peur. Et que quelques-uns osent… Et alors s’enclenchera quelque chose que plus rien n’arrêtera.
Emmanuel Albach à Beyrouth en 1976
Ce qui est étonnant dans votre histoire c’est que cette révolte n’est pas organisée, elle est spontanée. N’est-ce pas un peu illusoire ?
N’allez pas chercher les guides qui démarreraient une libération dans la classe politicienne. Cette dernière n’a trop souvent dans la tête qu’orgueil ou cupidité. Mais certains ont senti depuis longtemps ce qui se préparait alors que d’autres ne verront jamais rien. Alors je vois bien ceux qui ont pressenti les événements encadrer tout cela à un moment donné, ou se servir de ce qui se passe. Mais ils ne lanceront jamais cette révolte qui seule peut renverser la situation, et ils n’auront jamais l’audace de faire ce que la situation impose. C’est Du Guesclin qui a libéré la France de Charles V, un bouseux de Breton, un petit noble guère plus riche qu’un fermier de l’époque, entré en guerre avec une cinquantaine de copains et dont l’exemple a galvanisé les soldats de France. Pourtant, en son temps, la victoire anglaise semblait irréversible, tout comme au temps de jeanne d’Arc. Un bouseux illettré (il savait juste signer) et une gamine un peu folle, ont décidé que rien n’était irréversible. Pas des stratèges, je vous dis ; pas des gens comme il faut ; pas de grands bourgeois érudits. Une fille et un gars au grand cœur, qui n’avaient peur de rien, et qui n’avaient rien à perdre, sauf l’honneur de leur patrie !
Votre précédent ouvrage relatait votre engagement au Liban, en 1976, aux côtés des phalangistes libanais. Quel rapport avec ce roman ?
Le carcan du Liban s’appelait la Ligue Arabe, l’ONU, la diplomatie américaine, etc… Il était interdit aux Libanais de se rebeller, et de toutes les façons le destin inéluctable, irréversible, des chrétiens d’Orient c’était « naturellement » d’être chassés du Moyen Orient, « terre d’islam ». Mais contre tous, contre toute attente, et contre toute « raison » ils ont décidé de se battre. Ils se sont battus avec un tel courage, avec une telle colère qu’ils ont fini par convaincre le monde entier que les choses n’allaient pas se passer comme « l’histoire » était censée l’écrire. Et finalement, après quelques péripéties, ceux qui se sont embarqués, ce ne sont pas eux… J’ai appris une grande leçon d’histoire auprès de mes camarades libanais : il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre.
Le Grand rembarquement, Emmanuel Albach, Editions Dualpha cliquez là, 332 pages, 26 €, diffusé par Synthèse éditions cliquez ici
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Le précédent livre d'Emmanuel Albach Beyrouth 1976 des Français aux côtés des Phalangistes, édité par les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici
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mardi, 28 juin 2016
Un peu d'histoire
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Petite rectification : Georges Feltin-Tracol demain jeudi à la matinale de Radio Libertés
Notre ami Georges Feltin-Tracol, auteur de nombreux ouvrages don Bardèche et l'Europe cliquez ici et En Libertée surveillée cliquez là édités dans la collection Les Bouquins de Synthèse nationale, sera jeudi 30 juin (et non mercredi 29 comme initialement annoncé), invité par Arnaud Menu au cours de la matinale de Radio Libertés (7 h - 9 h)
Radio Libertés cliquez ici
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Samedi prochain, en Savoie
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lundi, 27 juin 2016
Pour amplifier notre combat, nous avons besoin de votre aide
Depuis dix ans, Synthèse nationale existe et se développe que grâce aux soutiens de ses lecteurs.
Ces soutiens se manifestent soit par la souscription à des abonnements à nos revues, Synthèse nationale et les Cahiers d'Histoire du nationalisme cliquez ici, soit en achetant les livres que nous éditons (ou ceux que nous proposons) sur le site synthèse-diffusion.com cliquez ici, soit en adhérant à l'association des Amis de Synthèse nationale cliquez là.
Cette aide nous permet certes de réaliser nos projets éditoriaux et militants mais nous avons besoin de plus de moyens pour amplifier notre combat. A titre d'exemple, une journée annuelle comme celle que nous organisons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis, près de Paris, nécessite un investissement de 15 000 euros. Pour un parti du Système, c'est peu, pour une association non-conformiste comme la nôtre, c'est énorme.
Voilà pourquoi nous lançons un appel aux dons auprès de nos lecteurs et amis. Durant toute la période estivale, les articles que nous publierons sur ce blog Synthèse nationale seront ponctués par le petit cadre ci-dessous. Nous comptons sur votre aide militante pour nous permettre d'aborder l'avenir de manière encore plus combattive. Il vous suffit de cliquer sur le cadre et vous pourrez faire un don en ligne (site sécurisé). Merci d'avance à tous.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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PENDANT L’EURO ET LE RAMADAN A MOLENBEEK, ON PENSE KULTUR
Pieter Kerstens
Notre correspondant en Belgique
Commune célèbre dans le monde entier par sa pépinière de djihadistes takfiristes et wahhabites, toujours féconde en nouvelles recrues, Molenbeek va développer l’une de ses deux bibliothèques. En effet le bâtiment de la rue des Béguines va voir sa surface agrandie de 400m2.
Selon la bourgmestre (maire) Françoise Schepmans réformatrice-libérale : « Ce projet me parait important et me tient à cœur en tant que fille de bibliothécaire. Les jeunes lisent de moins en moins, alors que c’est par la lecture qu’on maîtrise correctement la langue ».
Les 100.000 Molenbeekois (à forte majorité maghrébine) disposent de deux bibliothèques francophones l’une dans le haut et l’autre -rue des Béguines- dans le bas de la commune.
Ils ont aussi 22 mosquées et 6 centres culturels islamistes à leur disposition.
« Dans ces nouveaux quartiers de la municipalité, l’offre culturelle est moins importante que dans le centre historique. Il y a juste cette bibliothèque et le Karreveld (centre culturel ndlr) alors qu’ailleurs, il y a par exemple la Maison des Cultures (pluriethniques ndlr) et la bibliothèque ZEP (Zone d’Education Prioritaire) qui travaillent avec les écoles en discrimination, explique la bourgmestre ayant succédé en 2012 à l’ancien maire PS, Philippe Moureaux, premier bourgmestre musulman de Belgique.
Nous n’allons pas augmenter le nombre de livres (OUF) mais l’espace d’accueil. Les jeunes auront de la place pour lire des quotidiens (?) ou faire leurs devoirs (?) ajoute-t-elle.
Différents ateliers ont lieu chaque mois dans les 2 bibliothèques : ciné-clubs, contes pour enfants ou conférences pour adultes. Mais combien de prêts de livres, chaque année ? Peu…
Cet agrandissement pour un montant de 3.400.000 € vise à booster l’offre culturelle de la commune, ce qui valorise le m2 multiculturel, sans nouveaux livres, à 8.500 € d’argent public !
Alors que cette élue « libérale » persiste dans ses chimères et ses utopies depuis plusieurs années, les Flamands, eux, investissent dans leur économie, en inaugurant le 10 juin dernier la plus grande écluse du monde à Anvers.
Avec ses 68 mètres de large pour 500 mètres de long et une profondeur de 17,8 mètres, l’écluse Kieldrecht permettra dorénavant à des navires plus nombreux et plus grands d’accéder à la rive gauche de l’Escaut sans être affectés par les marées d’une amplitude de 6 mètres et éviter ainsi une attente pouvant atteindre 12 heures pour sortir vers la mer du Nord.
Ce chantier colossal aura duré cinq ans et nécessité 22.000 tonnes d’acier, 795.000 m3 de béton, 9,3 millions de m3 de terre excavée et 44.000 m2 d’asphalte, le tout pour un investissement de 382 millions d’euros, ce qui revient à un coût de 632 € par m3, avec deux pont, l’électromécanique et toutes les infrastructures inclus (et avec les manuels d’entretien…).
Cette imposante installation, qui pourra contenir 3 bateaux, va renforcer la compétitivité du port d’Anvers qui a enregistré un transit de 208 millions de tonnes en 2015, soit le deuxième port européen derrière Rotterdam, en créant aussi des centaines de nouveaux emplois.
19:19 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du chaos de cette semaine
Pour le lire cliquez ici
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Un nouveau numéro de la revue L"Héritage (Renouveau français)
En savoir plus cliquez ici
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samedi, 25 juin 2016
Il y a une constance dans l'Histoire : l'inattendu !
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La condamnation à deux mois de prison fermes confirmée à l'encontre d'Alexandre Cabriac
Alors que militants cégétistes et autres extrémistes de gauche mettent les rues de France à feu à et à sang depuis des semaines, le fondateur des Jeunesses nationalistes (JN) et ancien conseiller régional, Alexandre Gabriac, la Cour d'appel a confirmé sa condamnation à deux mois de prison ferme pour une prétendue « manifestation interdite » en septembre 2012 à Paris.
Le jour de la manifestation « interdite », Alexandre Gabriac se trouvait avec des journalistes dans un restaurant éloigné du lieu de rassemblement prévu. C’est alors que d’importantes forces de leur police politique avaient surgi et avaient violemment agressé le chef des Jeunesses nationalistes. Interpellé, il avait été placé durant de longs jours en garde à vue puis déféré.
À travers la capitale, la tchéka avait raflé tout ce qui ressemblait à des patriotes (y compris l’avocat maître P-M Bonneau), soit 57 personnes en tout, sans raison et dont aucune n’a été poursuivie.
La manifestation interdite avait pour but de dénoncer les zones de non-droit et le racisme anti-blanc.
Les nationalistes savent qu’à la longue liste des cités occupées, il ne faudra pas oublier d’ajouter les tribunaux qui devront eux aussi être délivrés d’une présence antifrançaise particulièrement nocive et désastreuse pour notre nation.
Pour participer au combat pour la liberté d'expression cliquez ici
Source Thomas Joly cliquez là
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Comment a-t-on pu en arriver là ?
Chronique de Thierry Gobet
L’assassinat du commandant de police et l’égorgement de son épouse à leur domicile de Magnanville (78) par un islamiste - fiché faut-il le rappeler - est un acte d’une telle gravité qu’il oblige à établir un constat, un constat sévère sur la situation actuelle de notre pays, voire même en Europe, sans oublier les Etats-Unis avec la fusillade d’Orlando, mais où notre responsabilité n’est pas ici directement engagée. L’assassinat du couple de policiers à leur domicile est un fait d’autant plus grave et emblématique qu’il ne s’agit pas d’un fait unique, «accidentel», provenant d’un « déséquilibré » - tel que l’on a coutume de définir ce genre d’individus pour étouffer les origines de leurs actes - mais d’une nouvelle agression criminelle s’ajoutant à d’autres de la même veine. Je fais référence à l’égorgement d’un alpiniste français dans l’atlas algérien par son propre guide, aux attentats du Bataclan (130 morts), ainsi que dans les restaurants parisiens (20 morts) le 13 novembre 2015, à la décapitation d’un chef d’entreprise en juin 2015 dont la tête avait été exposée sur une grille avec des inscriptions musulmanes. A ce sujet, les médias avaient déclaré que le chef d’entreprise avait repris son employé d’une façon «sévère», suite à une faute professionnelle. Rien de plus naturel… Après cette exécution j’avais déclaré à un ancien chef d’Etat-Major de l’Armée que nous étions «en situation de guerre», ce à quoi il ne me fit aucune objection. On a entendu déclarer dans les médias que les accidents de la route le week-end occasionnaient plus de morts qu’au Bataclan… Ce genre de réflexion, à elle seule, suffit à montrer l’état de décadence avancée de notre société, que je qualifierais de pathologique.
La situation est tellement grave que la majorité de la population préfère ne pas voir la réalité en face (1), abandonnant son destin à une classe politique absolument pas à la hauteur de la situation, tant par sa formation, que prisonnière d’une idéologie délétère, et de la captation de notre souveraineté tant politique que financière (2).
Il n’existe pas plus de situation spontanée en politique qu’il n’existe de génération spontanée en science. Toute situation politique n’étant que le résultat, l’aboutissement de situations politiques antérieures, elles-mêmes produites par des décisions politiques, validées par les électeurs.
Nous nous bornerons ici à n’en citer que quelques-unes :
- Le 18 mai 2016, une voiture de police est incendiée à Paris avec des policiers à l’intérieur. Les coupables arrêtés sont relâchés dans la journée. Sans commentaires …
Pourquoi ces individus très dangereux issus de l’immigration musulmane bénéficient-ils d’un tel régime de faveur ?
Les pays du Golfe (Arabie Saoudite, Qatar) qui soutiennent et financent les mouvements islamistes, financent également l’Occident, dont les grandes banques après la crise financière de 2008, de même que les médias et les politiques, mais cela n’est pas suffisant pour expliquer le phénomène.
Ainsi, l’ancien ministre socialiste Jean Glavany a-t-il déclaré : « L’islam contribuera à l’affaiblissement du catholicisme ».
L’idéologie de la culpabilisation du Blanc, raciste et colonialiste selon la vision marxiste de la colonisation européenne - a annihilé l’instinct naturel de défense de l’occidental (« L’Occident est émasculé » déclarait Soljenitsyne il y’a déjà 30 ans) et a fait de l’immigré une victime avec tous les droits. Depuis 1981 les socialocommunistes ont érigé ce dogme en principe de politique.
- Alors qu’un jeune délinquant immigré s‘était tué en voiture lors d’une poursuite avec les gendarmes, le Président Mitterrand avait reçu ses parents à l’Elysée. Pas un tel honneur pour les familles de pompiers ou sauveteurs en mer morts en service…
- L’ex-ministre socialiste de la Justice Taubira fut la championne d’une justice inversée en faveur des délinquants - dont une majorité est issue de l’immigration - au détriment des honnêtes gens.
- Quant à la présumée Droite, Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur a supprimé la dite « double peine », le retour au pays des grands délinquants, pour cause de «traumatisme des familles». Pas de traumatisme pour les Français d’Algérie, pour qui c’était «le cercueil ou la valise»…
- Sous Nicolas Sarkozy toujours, trois policiers furent mis en accusation avec renfort de propagande dans les grands médias pour « faits de violence » sur la personne de délinquants d’origine maghrébine condamnés à 12 ans de prison.
Tous ces politiques, vraie gauche - fausse droite confondues, ont bien été élus et réélus par le peuple et soutenus par leurs administrations, dont la police. Donc tous ont leur part de responsabilité dans ce qui arrive aujourd’hui.
Ici encore, les Présidentielles de 2017 ne changeront rien. Seul un bouleversement profond du système sauvera notre pays et sa civilisation.
(1) Cf. chronique du 18 mars 2016 : « Encore un instant Monsieur le bourreau… »
(2) Cf. chronique du 27 mai 2016 : « la France vassale »
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LE PORTE AVION AMERICAIN DE SA MAJESTE PREND LE LARGE
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Le Royaume uni va-t-il devenir le 51e Etat des Etats-Unis avec le Canada, - la colonie de son ancienne colonie en quelque sorte -, chipant ce statut sous le nez de Porto Rico ? Membre de l’Union européenne il l’était, avec des privilèges par rapport à ses petits copains de classe, il part.. David Cameron a perdu de justesse un pari fou. Mais l’unité du Royaume est-elle préservée, car il sera facile pour l’Ecosse, compte tenu de ses larges prérogatives, de prendre prétexte du départ de l’Angleterre de l’U-E pour quitter le giron londonien.
Dans un premier temps les velléités séparatistes seront mises sous le boisseau, mais le temps d’un nouveau référendum arrivera bien vite ! En revanche, la courte victoire du camp du NON à l’Europe va renforcer tous les pays eurosceptiques qui, à leur tour, vont réclamer les mêmes avantages que ceux délégués au Royaume Uni après de nombreuses négociations. Il faudra du courage à la France pour revendiquer les mêmes compétences et s’affranchir de cette insupportable tutelle bruxelloise, cette commission anonyme de 28 membres – un par pays – qui fait la pluie et le beau temps, édicte des directives transposables dans chaque pays. Junte anonyme non élue, la Commission est par contre représentative de cette oligarchie européiste au fonctionnement et à la désignation anti démocratique. C’est bien simple, l’Union européenne, c’est l’URSS sans le goulag ! Si nous sommes pragmatiques, il n’y a qu’une seule forme valable pour faire fonctionner l’Europe, c’est l’adhésion à l a carte, chaque pays en toute souveraineté déléguant au pool européen les compétences qu’il veut, compétences qu’il pourrait récupérer en toute souveraineté. L’Europe qui marche, c’est l’Europe des projets concrets : AIRBUS, le CERN, l’ESA etc… L’Euro ? La charrue a été mise avant les bœufs, il fallait harmoniser le social et le fiscal AVANT d’imposer la monnaie unique à la place d’une monnaie commune. Tout est à refaire.
Renversons la table pour construire une autre Europe, celle des réalités, de l’indépendance par rapport aux blocs, celle d’une défense commune pour des objectifs géopolitiques communs. Sans cela, chaque Etat membre doit reprendre ses billes ! Le BREXIT est une chance pour un nouveau départ d’une vraie COMMUNAUTE européenne, non d’un ersatz de fédération !
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vendredi, 24 juin 2016
"Jakadi des millions"... une nouvelle chanson des Brigandes
16:50 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BREXIT : POUR LA SOUVERAINETÉ ET LE DROIT DES PEUPLES À DISPOSER D’EUX-MÊMES
Carl Lang, Président du Parti de la France
A l’issue du vote historique des électeurs du Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord qui viennent de décider de quitter l’Union européenne, Le Parti de la France réaffirme son attachement au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et au respect du principe de souveraineté nationale.
Brexit : Pour la souveraineté et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
Certaines réactions d’hystérie politique et médiatique à l’encontre des peuples du Royaume-Uni sont une intolérable ingérence dans les affaires intérieures d’un royaume souverain.
C’est d’ailleurs au nom de ce même principe de souveraineté que les peuples d’Ecosse et d’Irlande du Nord appellent à nouveau aujourd’hui à la sortie du Royaume-Uni au motif qu’ils ont voté non à la sortie de l’Union européenne.
En application de l’article 50 du Traité de Lisbonne, le gouvernement du Royaume-Uni va devoir engager avec les instances européennes le processus de négociation afin de fixer les modalités du retrait ainsi que de leurs relations futures. Ce seront les conditions du divorce qui devront être approuvées par le Parlement européen avant d’être officielles. Tout ne fait que commencer.
Le grand coup de pied dans la fourmilière européenne donné par ce vote de Brexit est l’occasion de ré-ouvrir le nécessaire débat sur les politiques et les institutions européennes qui sont aujourd’hui calamiteuses.
Le Parti de la France rappelle sa volonté de construire une nouvelle Europe des nations souveraines et des peuples libres, une Europe qui défende l’identité et les valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, une Europe libérée de la tutelle de l’OTAN, une Europe refusant la Turquie en son sein et établissant un partenariat privilégié, économique, politique et de sécurité avec la Russie.
Si le Royaume-Uni conformément à son histoire et à sa géographie a choisi de couper le lien continental en privilégiant le Commonwealth et l’axe atlantique avec les USA, l’occasion nous est donnée de refondre le projet européen autour de notre bloc continental de civilisation.
Etant aujourd’hui libérés de nos obligations européennes vis-à-vis du Royaume Uni, Le Parti de la France demande au gouvernement français de dénoncer immédiatement le traité du Touquet signé le 4 février 2003 qui transforme de fait Calais en ville frontière de la Grande Bretagne et les douaniers et policiers français en garde-frontières britanniques. Il appartient désormais au gouvernement britannique de gérer sur le territoire britannique le flux des dizaines de milliers de migrants qui souhaitent rejoindre la Grande-Bretagne. Il en va de l’intérêt national français et il serait temps, sur cette question devenue insupportable des migrants, que le gouvernement français défende les intérêts de la France.
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Jean-Marie Le Pen adresse message de félicitations aux Britanniques
COMMUNIQUE DE PRESSE DE JEAN-MARIE LE PEN
PRESIDENT D’HONNEUR DU FRONT NATIONAL
DEPUTE FRANÇAIS AU PARLEMENT EUROPEEN
Je félicite le peuple britannique pour son courage et son esprit de résistance face aux incroyables pressions médiatiques et politiques qu’il aura su finalement déjouer : aujourd’hui le BREXIT, demain le FRAXIT !
Une certaine Europe est en déroute : celle des élites mondialisées dont la bureaucratie bruxelloise était le bras armée contre l’âme des nations et des peuples. Le replâtrage n’est désormais plus possible.
Un nouveau rêve européen se lève : celui de l’Europe boréale, si nécessaire aux équilibres et à la paix du Monde.
Sur ce sujet capital, le peuple français doit être consulté sans attendre par la seule voie acceptable, celle du référendum.
Le journal de bord de cette semaine :
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LA VOIX DU PEUPLE, LA VOIE DE LA LIBERTE
Pierre Vial, Président de Terre et peuple
Consternation de toutes celles et de tous ceux qui, à un titre ou à un autre, sont partie prenante dans le fonctionnement du Système : le peuple anglais et le peuple gallois ont osé l’impensable. Ils ont osé dire non au Système, dont une des illustrations majeures est l’Union Européenne.
Pourtant tout avait été fait pour les dissuader de ce crime de lèse-majesté, tous les épouvantails avaient été brandis. En vain : avec flegme et bon sens, les « gens d’en bas » ont envoyé « les gens d’en haut » se faire foutre. C’est donc possible et ce premier enseignement du référendum britannique met la panique au sein de l’Etablissement car il démontre la force du populisme.
Un populisme qui dit non à la City et donc au pouvoir du fric, non à Bruxelles et donc à la tyrannie bureaucratique et technocratique prétendant penser et décider à la place du peuple. Non à l’immigration et à la destruction des identités nationales. Et les gens du Système avouent redouter l’onde de choc : les Anglais montrent aux autres peuples d’Europe qu’il est possible de se libérer et de choisir une Europe des peuples et des patries.
Et l’appel à un référendum se répand comme une traînée de poudre de pays à pays. Car il est temps de mettre au pied du mur ceux qui se gargarisent en permanence avec le mot « démocratie » : « Vous êtes démocrates ? Alors donnez la parole au peuple ». Un refus montrerait que les populistes ont raison et qu’ils représentent donc l’avenir.
Décidément le 23 juin 2016 s’inscrit d’ores et déjà comme un grand jour dans l’Histoire du combat pour la liberté et l’identité.
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QUELLE BELLE MATINEE !
Directeur de Synthèse nationale
Quelle belle matinée qui commence bien ! Sur les ondes (sauf sur Radio Libertés bien sûr) l'ensemble des commentateurs s'étrangle, la haute-finance s'inquiète et... les droites nationales européennes jubilent. Vraiment, pour une fois, les Anglais sont nos amis. Un tel cadeau de si bon matin cela fait longtemps que nous n'en avons pas reçu d'outre-Manche.
Mais ne nous relâchons pas pour autant. Les "démocrates" soumis au mondialisme sont très forts pour retourner à leur avantage une décision populaire qui va à l'encontre de leurs projets. Rappelez-vous avec quelle arrogance ils se sont moqués des résultats du référendum de 2005 en France. On commence déjà à nous expliquer qu'il faudra au moins deux ans pour que la décision du peuple britannique se concrétise. En deux ans, beaucoup de magouilles peuvent avoir lieu...
Quoi qu'il en soit, cette victoire du Brexit démontre elle aussi que le monde est en train de changer. Partout le processus de destruction des nations et des identités voulu par l'hyper-classe affairiste se heurte à la volonté des peuples. Il est temps de réfléchir à une autre Europe...
13:15 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du Brexit au Frexit !
Communiqué de Bruno Gollnisch, Député européen
Brexit : le peuple britannique a démontré ses capacités de résistance à une campagne de pressions sans précèdent, qui jouait sans vergogne de toutes les peurs injustifiées et de prédictions aussi calamiteuses que fantaisistes.
Une majorité inflige aujourd’hui un camouflet sévère et mérité aux Euro-mondialistes qui depuis des années dévoient la coopération européenne, en édifiant méthodiquement la bureaucratie d’un « Super-État », véritable prison des peuples, tout en ouvrant les frontières à tous les flux de personnes, de marchandises et de capitaux, fussent-ils dévastateurs.
Le Front National a été le premier à dénoncer cette évolution et à proposer une autre politique. Puisse-t-il enfin être entendu !
13:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Plus que jamais, sortir de cette Europe là...
Communiqué de Bernard Antony, Président de l'AGRIF
L’AGRIF, qui défend comme universelles les valeurs de l’identité et de l’enracinement, socles des libertés réelles, accueille avec une très grande joie le résultat du référendum en Grande-Bretagne.
C’est là une grande victoire de la liberté contre le néo-totalitarisme de plus en plus insupportable de l’inhumaine eurocratie bruxelloise.
La défense et le renouveau de l’identité française et chrétienne passent par la réalisation du cri jadis lancé par nous au Parlement Européen et dans la revue Reconquête : « Sortons de cette Europe-là ! ». Et nous précisions : « Cette Europe sans frontière, à la concurrence sans frein, à l’immigration sans limite ».
L’élection à Londres du maire musulman Sadiq Khan a sans doute joué hier dans le vote de réflexe de liberté du peuple britannique. Très vite, en effet, ce doucereux musulman « patte blanche », soi-disant modéré, a dévoilé par plusieurs gestes symboliques explicites et décisions ramadanesques son désir de conformer la vie de ses concitoyens aux exigences de l’islam.
Ce n’est ni de la xénophobie, ni du racisme que de réagir contre l’avancée déjà très discernable vers une société islamo-conforme telle que la vise pour toute l’Europe le dictateur turc Erdogan. Ce dernier ne pousse-t-il pas des millions de musulmans sur notre Europe, selon les axes des anciennes conquêtes ottomanes ? Ce, avec la complicité objective de madame Merkel dans la continuité des pactes germano-turcs ?
Il faut maintenant œuvrer pour que soit redynamisée une Europe de la paix, de la puissance et des libertés.
Cela passe par une politique d’élaboration empirique de pactes d’intérêts communs, en différents domaines, industriels, économiques et sociaux et surtout de défense et de sécurité ; et de promotion de la culture de vie entre nations dont les racines et valeurs chrétiennes sont porteuses d’avenir.
Rendons grâce au peuple britannique d’avoir aujourd’hui refusé le néo-totalitarisme du « meilleur des mondes » du Big Brother européiste comme il sut jadis résister à l’Allemagne nazie.
12:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Brexit, une gifle du pays réel au pays légal
Alain Escada, Président de Civitas
La nouvelle est tombée ce matin : le référendum organisé ce 23 juin au Royaume-Uni a donné gagnante la sortie de ce pays de l’Union Européenne.
C’est une victoire des paysans, des pêcheurs, des artisans, des petits commerçants, des petites entreprises, des ouvriers, des employés, des “sans dents”, des familles, des patriotes et du bon sens.
C’est une défaite des mondialistes, des banksters, des multinationales, de la gauche internationaliste et apatride, des lobbies interlopes, des promoteurs du vice, des forces occultes, de la synarchie, du syncrétisme religieux, des médias du système et de la jet-set décadente et cosmopolite.
CIVITAS félicite les électeurs britanniques pour cette victoire du pays réel sur le pays légal. Une victoire qui fait du bien au moral.
Il faut maintenant espérer que le pays réel ne sera pas spolié de cette victoire par des politiciens corrompus, comme cela fut le cas en France et aux Pays-Bas lors de précédents référendums.
Il faut surtout avoir bien en tête que le système vient de recevoir une gifle mais qu’il n’est pas à terre, loin de là. La propagande va redoubler d’efforts dans les prochaines heures et prendre prétexte du Brexit pour justifier de nouvelles mesures urgentes en faveur du renforcement du mondialisme contre le prétendu “repli sur soi”. Des représentants de la haute finance vagabonde aux tenants de la haine de Dieu, de la Patrie et de la Famille, en passant par les troupeaux de bien-pensants manipulés, tous vont se donner la main pour utiliser ce Brexit à leur profit.
A nous de résister et de préparer la suite !
11:25 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BREXIT : réaction de Philippe Milliau (Groupe Libertés)
La réaction de Philippe Milliau Président du Groupe Libertés
Le contexte : avant que d’en sortir, la question me parait être d’abord de savoir si la Grande Bretagne aurait dû y rentrer…
En termes géopolitiques, la séparation entre le bloc américain et le bloc continental européen est-elle l’Atlantique ou la Manche ? La question mérite d’être posée…
En termes ethniques, culturels et religieux, la proximité des Anglais et des Américains n’est-elle pas une évidence ?
Dans l’histoire, l’attitude anglaise vis-à-vis du continent a été équivoque et à géométrie variable. Dans sa période la plus récente, elle a été sur un plan politique, économique, financier et migratoire complice du grand frère américain plus que partie prenante européenne.
Tout d’abord hostile à son adhésion, la Grande-Bretagne est rentrée pour y imposer sa vue strictement commerçante d’une Europe sans pouvoir politique. Par les votes, ses vétos, le soft power qu’elle a exercé auprès des instances européennes, la puissance anglaise, non seulement ne s’est pas intégrée, mais a en permanence et sur tous sujets travaillé contre une véritable souveraineté européenne, contre la monnaie européenne sans même daigner y rentrer, contre le conditions de sa puissance, contre son harmonisation sociale et fiscale, mais pour l’élargissement sans fin de l’Union européenne au détriment de sa profondeur. Pour comble, l’obtention grâce à de honteuses complicités dans les pouvoirs politiques des autres nations, du retour (I want my money back) des deux tiers de la différence entre ce que les Anglais paient et ce que qu’ils reçoivent de l’Union européenne et, autre dérogation, du droit de quitter à sa convenance (opting out).
Comme Nicole Fontaine et les disciples de Dominique Venner aujourd’hui ou le général De Gaulle hier, j’estime qu’une Grande-Bretagne hors d’Europe, c’est une grande chance (la dernière ?) de sauver et relancer un vrai projet européen, indépendant et puissant. Le monde bouge, partout. Il est plus que temps pour le continent européen de poursuivre un projet commun, s’il ne veut pas être hors jeu dans ce siècle qui voit ressurgir une multipolarité à taille continentale. Refonder l’empire carolingien, une Europe resserrée, dynamique, homogène, voici l’urgence.
Réaction publiée sur EuroLibertés cliquez là
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L’EURO 2016 : RIEN A « FOOT » ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Coincé entre Roland Garros et la Grande Boucle, l’Euro 2016 colonise le petit écran et monopolise les ondes : Slovaquie/Angleterre le lundi 20 juin, Croatie/Espagne le mardi 21, Suède/Belgique le mercredi 22 etc… sans oublier la finale du TOP-14 en Rugby, ni les commentaires sans fin sur les chaines d’infos en continu….Je glose, tu commentes, il parle, nous « tchatchons »… L’overdose footballistique nous submerge tandis que d’ autres se peignent le visage de tricolore comme une lointaine tribu exotique partant en guerre. On entend des hurlements, des cris de joie, des éructations, des « on a gagné » à n’en plus finir si l’un des joueurs affublé du maillot bleu marque un but… Des supporters vont à la castagne et transforment des lieux de vie en lieux de désolation, tels des « gros bras» cégétistes dépassés par les évènements. Et tout ça pendant l’état d’urgence où les foules sont à la merci d’un excité du turban…
Un sport de millionnaires
Ce sport de millionnaires – les joueurs ne sont pas au SMIC et les places ne sont pas données – est devenu une drogue collective qui transforme des citoyens normaux en zombies parfois très lourdement avinés… Que demande le peuple, en panne d’horizons lointains depuis que les Empires sont morts et que l’indépassable horizon de la réussite semble se résumer pour beaucoup en une bagnole, des meubles Ikea dans la cuisine, un écran plat et des congés payés au Club Med ? Le peuple comme sous les dynasties romaines, demande du pain et des jeux. Le pain, pour l’instant, tout le monde y a droit, pour l’instant… Les jeux aussi, même si ceux des nôtres qui ne demandent rien y auront droit quand même… En Hollandie, football obligatoire à tous les étages,comme jadis le gaz dans les garnis ! Au moins dans les arènes, les gladiateurs risquaient leur peau et César, d’un geste du pouce, usait de son droit de vie ou de mort à l’égard du combattant tombé au sol. Sans aller jusque-là, bien sûr – heureusement, autres temps autres mœurs ! – que risquent les néo gladiateurs aux maillots numérotés dont certains, ceux des Suisses, note comique, sont d’une qualité douteuse ? Une fracture, une entorse, un hématome, un petit bobo, mais surtout la perception d’un gros chèque qui transforme des gamins de banlieue mal élevés en de richissimes parvenus, frimeurs, gros consommateurs de belles filles et de grosses cylindrées. Quelle notion peuvent-ils avoir de la valeur de l’argent ? Si ceux qui sont chargés de gérer leur petite fortune ne veillent pas au grain, beaucoup de ces footeux risquent de se retrouver « à la cloche » une fois leur heure de gloire passée car, dans ce sport comme dans d’autres gangrénés par l’argent, le poids des ans est un irrépressible rouleau compresseur, un sens unique vers la sortie et la déprime.
Une équipe qui ne reflète pas tout à fait la diversité française
Le match de football est élevé au niveau de la célébration d’une grande messe, avec ses rites, ses prêtres et ses fidèles. L’équipe nationale, celle des tricolores très… multicolores, joue aussi le rôle d’une armée affrontant l’ennemi : on doit battre l’équipe adverse, il en va de l’honneur national. Le tout sous les yeux du souverain présent dans les tribunes officielles ou tout au moins le pantin qui remplit la fonction, honorant ses courtisans et la presse de ses commentaires avisés. Les hymnes nationaux sont joués même si, parfois, ils sont si peu chantés par certains joueurs, nous donnant à penser que ces derniers ne doivent pas vraiment se considérer comme étant vraiment « d’chez nous » et réaliser l’honneur qu’ils ont d’être là….C’est le patriotisme au niveau des crampons ! Comme l’écrit mon collègue Alain Sanders dans le quotidien PRESENT, « la classe politico-médiatique s’émerveille que quatre footeux musulmans de l’équipe de France (…) aient annoncé qu’ils ne feraient pas le ramadan pendant l’Euro ». Ah, les braves gens… « Admirable » poursuit Sanders qui, toujours dans les colonnes de son journal, s’était interrogé comme moi, sur la composition de cette équipe qui devrait refléter la diversité française. Or, il est banal de constater que des jeunes Français d’origine africaine ont été nombreux à être sélectionnés par Didier Deschamps dans l’équipe nationale. Nos compatriotes d’ascendance asiatique, et ils sont nombreux – ah, l’Indo ! – pourraient protester et s’indigner de n’avoir aucun des leurs dans l’équipe, non ? Comble du culot, c’est le médiatique Éric Cantona, vieille gloire du foot reconvertie dans le cinéma, qui a accusé l’entraineur de « racisme » pour n’avoir pas sélectionné Benzema et Ben Arfa pour l’Euro ! On sait à ce sujet pourquoi les intéressés n’ont pas été retenus. De qui se moque-t-on ? S’il y a bien une équipe sportive largement ouverte sur le multiculturalisme, c’est bien la sélection française. Tout observateur honnête ne pourra que le confirmer. Dans le monde sportif, seule l’équipe des Springboks compte un nombre disproportionné de rugbymen blancs alors que ces derniers ne représentent plus que 9 % de la population. Mais il faut dire que ce sport concerne d’abord les Afrikaners et, en quelque sorte « les coagule », alors que les Noirs Sud-africains, comme partout sur le continent, sont bien plus attirés par le football. Les joueurs français d’origine africaine, antillaise ou réunionnaise sont-ils meilleurs que des métropolitains ? Peut-être après tout, je ne suis pas compétent pour en décider. Mais il n’en demeure pas moins que les Bleus envoient un message au monde et ce message est, quelque part, qu’on le veuille ou non, « idéologique », la France change et elle s’éloigne de la définition qu’en donnait hier et jadis le général De Gaulle. D’autre part, cette équipe « black-blanc-beur » qui sous l’autorité de Zidane, « Zizou » pour les intimes, donna la victoire à la France contre le Brésil en 1998 au mondial de football, n’est-elle devenue aujourd’hui, qu’une bande de vedettes qui « se conduisent comme des vauriens tout en suscitant l’extase de la foule », comme l’a dit la philosophe Chantal Delsol ? Pauvres téléspectateurs submergés de buts, de coups francs, de corners et autres hors-jeu et, surtout, pauvre France !
A CE PROPOS, C'EST ASSEZ URGENT :
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Comme toujours, BHL s'est trompé !
Défaite probable du Brexit. Déroute, donc, des souverainistes, des xénophobes, des racistes. Reste, maintenant, á refonder l'Europe.
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 23 juin 2016
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Yvan Benedetti salue le Brexit
#Brexit Messieurs les Anglais ont tiré les 1er. A qui le tour! La Nation renaîtra sur le cadavre de l'UE. L'espérance est #nationaliste!
— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) 24 juin 2016
09:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Brexit : le réveil des peuples !
Lors du référendum d'hier, le verdict du peuple britannique a été sans appel : la souveraineté nationale des États européens est incompatible avec l'appartenance à l'Union européenne…
Retour sur les conséquences politiques en France tout au long de la journée sur Synthèse nationale avec les commentaires de tous les ténors de la droite nationale et identitaire…
09:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |