jeudi, 23 juin 2016
Pierre Cassen (Riposte laïque) lors de la manifestation de vendredi dernier à Paris contre les crimes islamistes
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Alain Escada, Président de Civitas, et la situation actuelle :
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Dr Jean-François et Mister Kahn
La chronique de Philippe Randa
Jean-François Kahn a été un chantre de gauche – enfin d’une certain gauche assumée – au siècle dernier : fondateur de L’Événement du jeudi en 1984, puis de Marianne en 1997, ces deux hebdomadaires de presse ont toujours fustigés la droite dite extrême qui commençait pour eux à la droite de Bernard Stasi… Puis JFK soutint François Bayrou à l’élection présidentielle de 2007 avant d’être investi par le Modem en 2009 pour se faire élire au Parlement européen (où il ne siègera pas)… Depuis, électron libre de la politicosphère, le voici tenant des propos très sarkozinophiles dans les colonnes du Figaro…
Dans cet interview, le Dr Jean-François d’hier « centriste » et d’avant-hier « de gauche », a bel et bien vécu : « Sur le fond, je partage certaines propositions de Nicolas Sarkozy. Mais je regrette que celles-ci ne soient pas suivies d'acte. Et plus encore que les actes soient parfois en opposition radicale avec les discours »… Mister Kahn d’aujourd’hui, on le découvre avec quelque étonnement, tient donc le même constat qu’une certaine Marine Le Pen : les promesses que Nicolas Sarkozy a faites, il ne les a pas tenues et, tout comme la présidente du FN, il le regrette amèrement. Mais qu’à cela ne tienne, pour lui, la chose est entendue : Sarkozy « va gagner la primaire de la droite - sauf problèmes judiciaires… (…) C'est quelqu'un qui ose tout, face à des gens qui n'osent rien. Il bénéficie d'une véritable dynamique. »
« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » ! Étonnant monsieur Kahn qui confirme à l’évidence ce diction populaire !
Au fait, son ralliement à Marine le Pen, c’est pour quand ?
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Que le Brexit passe ou pas…
Nicolas Gauthier Eurolibertés cliquez ici
Que le Brexit passe ou pas, cela modifiera-t-il les rapports complexes entre Angleterre et Europe ? Rien n’est moins sûr.
« Entre le Grand large et l’Europe, nous choisirons toujours le Grand large », assurait jadis Winston Churchill au général De Gaulle. Certes ! Il n’empêche qu’une éventuelle sortie de la Grande-Bretagne des instances européennes ne saurait tout résoudre des problèmes européens : tout d’abord parce que Londres, au contraire de la majeure partie de nos capitales, a su conserver sa monnaie et surtout parce que la City, quelle que soit l’issue du référendum, demeurera capitale mondiale de la finance.
De même, ce que voulait l’Angleterre aux premières heures de la construction européenne – un vieux continent réduit à un espace voué au libre-échangisme, soit une puissance économique n’ayant pas vocation à devenir puissance politique –, continuera à demeurer loi d’airain.
Dans une remarquable tribune intitulée, Le Brexit et l’Europe : la tour de Babel du libéralisme, publiée sur le très sérieux site iris-France.org, Institut de relations internationales et stratégiques, Rémi Bourgeot rappelle : « La vision anglaise commerciale dépasse en fait le cadre de l’UE et s’étend de plus en plus à l’échelle du monde, suivant l’idée que l’Europe, bien que toujours importante, a perdu de sa pertinence face à la mondialisation. »
Bref, l’Angleterre, si elle quittait l’Europe, ne ferait jamais que sauter d’un bateau faisant naufrage.
Plus intéressant encore, cette phrase du même Rémi Bourgeot : « En Angleterre, la campagne du Brexit a été menée par des eurosceptiques qui soutiennent le libre-échange sans réserve et sont bien moins hostiles à l’immigration que leur base politique. » Rien que de très logique : malgré tous ses défauts, la Commission européenne tente encore, et réussit parfois, à faire pièce à un capitalisme mondialisé de plus en plus débridé. À cet état de fait, s’ajoute un autre élément à prendre en considération, l’alliance tacite entre Londres et Berlin. Les premiers envient aux seconds leur puissance industrielle ; les seconds admirent la faculté des premiers à sans cesse tirer leur épingle du jeu, à avoir un pied en Europe quand ça les arrange, à en avoir un autre ailleurs pour peu que cela soit susceptible de servir leurs intérêts. La France, en revanche, fait l’unanimité des gouvernants de ces deux pays, contre elle, il va de soi.
Trop tatillonne en matière législative, la France est ainsi empêcheuse de mondialiser en rond. Les attaques contre Monsanto, c’est nous. La remise en cause d’une agriculture intensive et polluante, c’est nous. La dénonciation du modèle d’élevage allemand – genre Ferme des mille vaches –, c’est nous. La taxation des multinationales qui font leur pelote en Europe pour ensuite se défiscaliser aux Bahamas, c’est nous. Le premier parti politique populiste, eurosceptique, pas loin de tirer la nappe avant de renverser la table européenne, c’est le Front national ; soit, toujours nous.
Du modèle français, il ne reste évidemment plus grand-chose. De cet héritage gaullo-communiste, nous ayant légué un appareil industriel – aéronautique, automobile, chemins de fer, conquête spatiale, armement, énergie nucléaire, recherche médicale, industrie pétrolière, etc. –, ne demeure plus que plaquette de beurre abandonnée au Soleil. Pourtant, des pans entiers de ce consortium persistent à survivre et il suffirait d’un peu de volonté politique pour qu’il retrouve de sa superbe. Mais ça, il est à craindre que les Anglais ne le tolèrent pas, n’ayant jamais supporté une puissance continentale assez forte pour menacer leurs intérêts à termes plus ou moins lointains. Pas plus que les Allemands qui, nous ayant depuis longtemps damé le pion en la matière, se refuseront immanquablement à voir la France retrouver la place qui fut si longtemps la sienne.
Alors, Brexit ou pas, il y a fort à parier que l’Angleterre ne trouve rien à y perdre. Pour la France, en revanche, il se trouve tant d’amis européens pour éviter que nous puissions y dénicher quelque chose à gagner… Réponse ce dimanche prochain et, surtout, dans les mois à venir.
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Les Cahiers d'Histoire du nationalisme à l'honneur ce matin sur Radio Libertés
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Samedi 25 juin à Lyon : tournoi annuel de football du GUD
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mercredi, 22 juin 2016
Le premier volume de "BUDAPEST 1956 INSURRECTION" de David Irving est en vente à la Librairie Facta
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mardi, 21 juin 2016
Depuis ce matin, une nouvelle radio au service de la contre-information : RADIO LIBERTES
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Synthèse nationale sera présente aux 50 ans de Diffusion de la Pensée française à Chiré en Montreuil (86) début septembre...
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Démence, niaiserie ou machiavélisme monnayé ?
Dr Bernard Plouvier
Un certain nombre de dirigeants politiques et religieux font douter le public éclairé ou de leur bon sens ou de leur sincérité. Il en va ainsi de la Chancellière germanique, du locataire actuel du Vatican ou d’une quantité ahurissante de seconds couteaux, comme nos Hollande, Valls et autres Juppé.
Ne pas apercevoir le danger évident que l’islam conquérant fait courir aux Occidentaux, réfuter la réalité de l’immigration-invasion de l’Europe occidentale et scandinave, nier la délinquance quotidienne et la criminalité des migrants africains, proche- et moyen-orientaux, en très grande majorité musulmans, peut résulter de diverses raisons.
En médecine, nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire. Le délire aigu relève dans la quasi-totalité des cas de l’usage des stupéfiants ou d’une encéphalite, souvent virale. Mais nos dirigeants, effectifs ou supposés, délirent de façon chronique, ce qui évoque une démence, une tumeur cérébrale ou les complications cognitives d’une maladie métabolique ou d’une dégénérescence cérébrale, comme la maladie de Parkinson. Bref, il est urgent de faire passer une IRM cérébrale et un entretien psychiatrique aux délirants authentiques. Toutefois, s’agit-il pour tous d’un délire vrai ? On peut en douter.
Comparer la niaiserie chrétienne de l’agapè à l’islam djihadiste, comme il semble que le pape actuel l’ait fait, relève non pas d’un défaut de connaissances (ce serait une absurdité, s’agissant d’un jésuite), mais soit d’un dérèglement cognitif (la « folie » en terme vulgaire, trop général pour être médicalement satisfaisant) soit d’une subtilité politique, dont le machiavélisme laisse pantois… et pas d’admiration.
Que la Chancellière teutonne, qu’un scribouillard ou un vulgaire politicien français courent après un Prix Nobel de la paix, cela peut se comprendre. C’est d’un excellent rapport, en publicité et en royalties sonnantes et trébuchantes. Un souverain pontife peut, vanité aidant, ne pas dédaigner non plus ce genre de gloriole… il a bien accepté un Prix Charlemagne.
Toutefois, les prestations des uns et des autres, si elles ne relèvent pas de la pure psychopathologie – même si les coïncidences existent, l’on a du mal à envisager que plusieurs dirigeants politiques soient atteints simultanément de délire -, font penser à une planification, à une orchestration.
Certes, aucun complot à l’échelle planétaire n’a jamais existé, n’est même envisageable étant donnée la haine que se vouent mutuellement les Divas de la finance, du négoce, de la production et du maniement des opinions publiques. Tout Pouvoir divisé, réparti sur plusieurs titulaires, est forcément multidirectionnel.
Toutefois, après l’expérience néoconservatrice et pro-sioniste des USA (soit les règnes des deux Bush encadrant la double prestation de Clinton), il semble qu’une majorité de dirigeants économiques aient concerté la destruction de l’Europe par l’islam, excellent agent de pourrissement des sociétés par sa barbarie et fabuleux outil de déclin scientifique et technique par son obscurantisme médiéval. Il faut croire que l’Europe, dont le déclin paraît monstrueux aux Européens teintés de culture historique, a encore un potentiel qui terrifie les maîtres de la globalo-mondialisation.
À l’évidence, ce potentiel, c’est la race européenne, qui est à la source de la plus fabuleuse civilisation intellectuelle et technique de l’humanité. Si d’autres ont perçu cette évidence, il serait bon que les autochtones d’Europe se pénètrent de cette réalité, qu’ils reprennent confiance en eux et rien qu’en eux, refusant l’occupation étrangère autant que les charmes pervers du métissage.
L’on comprend ainsi qu’un pape latino-américain joue sa partition démagogique, tiers-mondiste, non pas « au service de l’islam » (ce qui est une formulation absurde), mais au service de la globalo-mondialisation, dont l’islam n’est qu’un pion parmi d’autres, mais probablement le plus intéressant pour le moment. Après tout, la pure doctrine chrétienne a toujours été universaliste, antinationale et métisseuse.
Pour d’autres pitres politiques, l’argent doit jouer un rôle, ou la psychopathologie, ou encore une repentance elle-même pathologique par son intensité et sa durée.
Plutôt que de surenchérir en qualificatifs injurieux et en habiles paradoxes, il est urgent de réfléchir à ce qu’est notre monde : un peu plus de 7 milliards d’individus, dirigés par quelques milliers de super-hyper-riches et puissants (dont le pape), qui manipulent des dizaines de milliers de collaborateurs du milieu du spectacle : politique, media, et le show-business où le sport de compétition et les religions se disputent la première place. Manifestement, les maîtres n’ont pas encore décidé qui des clergés ou des gladiateurs seront leurs meilleurs agents de propagande.
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lundi, 20 juin 2016
PIERRE CASSEN invité par le Parti de la France
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Un Baupin peut en cacher un autre
Le billet de Patrick Parment
Non mais t’as vu sa tronche ? Avec un pareil attirail, ça respire le refoulé qui se prend taule sur taule avec les gonzesses ! Alors, forcément, un jour, ça craque.
Cette gueule chafouine respire le délateur, celle de l’élève toujours au premier rang et prompt à balancer : « M’sieur, j’l’ai vu, c’est lui ! », c’est Aignan dans le Petit Nicolas.
En entrant chez les écolos, Baupin s’ouvrait enfin les voies d’une partouze pas que politique : amour libre, mœurs légères, mais grande susceptibilité sur le droit des femmes à pisser debout. Sauf que dans l’arrière boutique, on trouve un gonze qui use et abuse de son pouvoir pour obtenir – enfin – des faveurs sexuelles de ces dames sur l’air de : « Tu suces, salope, où j’te vire ! »
La morale de cette histoire sans morale, est que le Landerneau politique n’est pas différent de ce qui se passe dans les administrations et les entreprises. Que l’on se pose la question de savoir pourquoi ces dames, écolos-bobos, si promptes d’ordinaire à revendiquer leurs droits, se sont-elles tues ?
Enfin, que risque Baupin face à des faits qui sont prescrits ? Au fait, elle est où la question ?
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LES BRIGANDES SUR TV LIBERTES
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La gangrène des Institutions
Dr Bernard Plouvier
C’est devenu l’un des plus inquiétants symptômes de notre décadence d’Européens occidentaux : la police est de plus en plus orientée vers des objectifs politiques et non plus vers la protection des honnêtes citoyens laborieux. La justice est passée à un degré supérieur d’abjection : de politisée qu’elle était depuis la période soixante-huitarde, elle est devenue crétinisée.
Comment, de façon objective, qualifier autrement que par l’expression de la plus crasse stupidité les jugements les plus aberrants rendus depuis 2014, soit la première année de la nouvelle vague d’émeutes, d’attentats et d’exactions perpétrée par des musulmans en Europe occidentale ?
La haine des autochtones exprimée par les immigrés de couleur, le racisme anti-Blancs ne font qu’exceptionnellement l’objet de poursuites judiciaires et, dans ce cas, les sanctions ressemblent plus à un symbole qu’à une peine : c’est, en bonne logique, un encouragement à la récidive.
Il ne se passe pas de semaine, depuis 2015, sans que l’on ait à déplorer, en France, une tuerie : soit un règlement de comptes entre nobles et vertueux immigrés trafiquants de drogues ou d’armes, soit l’assassinat d’un ou de plusieurs autochtones (de tous âges et sexes) par un fruit pourri de cette immigration extra-européenne, censée « enrichir la France »… il s’agit apparemment de la France des pompes funèbres, grâce au maniement en virtuose du couteau à cran d’arrêt ou d’une arme à feu sur la personne d’autochtones désarmés (on admire le courage de ces vaillants soldats d’allah).
Dans ce cas (ou ces cas) hebdomadaire(s), la presse fait très souvent preuve d’une retenue de pucelle quant à l’origine du meurtrier. S’il passe un jour en justice, la presse « oublie » le sujet, préférant traiter de la énième conquête de notre gras Président ou de la foucade du jour de son premier ministre, à moins que les honorables nervis de la CGT ne saccagent une ville ou qu’une « cité sensible » ne s’offre une fiesta où l’on casse, incendie et saccage, aux frais de la princesse : la collectivité des contribuables.
Soyons honnêtes : Outre-Rhin, ce n’est guère mieux. La Chancellière, devenue folle en 2015, accueille en masse d’honorables musulmans en rut et il est de bon ton de minimiser les viols subséquents. Pas question de dire, dans la presse bien-disante, que si le populisme a fait une percée exceptionnelle en Autriche, c’est à cause de la multitude de viols commis en ce pays par les fils de l’islam en cours de transit ou d’installation-invasion.
Mieux encore, dans un article du 20 juin paru sur Eurolibertés, Lionel Baland nous apprend qu’un tribunal de Fribourg en Brisgau vient d’assimiler un violeur (syrien musulman) de 20 ans à un « mineur d’âge », alors que pour les lois syrienne et allemande, il est à l’évidence majeur – au point de pouvoir signer un bail de location dans la vile de Weil am Rhein cliquez ici.
Le 31 décembre 2015, lui et trois autres fils de l’islam, mineurs ces trois-là, ont violé deux gamines blanches de 14 et 15 ans, idiotes au point d’avoir accepté une invitation au domicile du « majeur-mineur ». Ce tour de passe-passe juridique, qui s’accorde si bien avec la politique de la Chancellière de Berlin, a permis d’offrir le sursis au violeur, les trois autres auteurs de ce viol en tournante bénéficiant automatiquement de cette mesure, étant donné leur âge tendre.
Stricto sensu, cela revient à dire qu’il n’en coûte qu’un petit désagrément de violer une « meuf à cul blanc » et de passer ainsi, aux yeux des autres fruits pourris de l’immigration-invasion, comme des « durs », prêts à récidiver à la moindre occasion. De même qu’en France, les casseurs et incendiaires, presque jamais pris ou poursuivis, deviennent des voyous professionnels : des bons à rien faire d’autre que de saccager le bien d’autrui et le bien commun.
En une époque où il est dangereux de déambuler dans les rues ou de voyager dans les transports en commun, en une époque où des nationaux sont quotidiennement agressés par des envahisseurs frustes et violents, le laxisme politico-judiciaire est, non pas une faute, mais un crime.
Comment ne pas s’interroger sur les motivations des politiciens français qui ont au moins les apparences du pouvoir ? Faut-il croire, comme l’affirment de multiples sources, que le parti au pouvoir, celui des hyper-efficaces Hollande, Valls et Cazeneuve, serait soutenu financièrement par des évergètes islamo-pétroliers. On comprendrait mieux pourquoi les fils pourris de l’islam peuvent se permettre n’importe quoi en toute impunité dans ce qui est encore NOTRE pays.
Il incombe au citoyen d’en tirer la leçon qui s’impose.
Dr Bernard Plouvier
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dimanche, 19 juin 2016
On commence à se l'arracher...
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Bistro Libertés : Martial Bild reçoit Gabrielle Cluzel
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samedi, 18 juin 2016
L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait... Le nouveau livre du Dr Bernard Plouvier
« La responsabilité de la guerre de 1914-1918 est largement partagée par tous les parlementaires qui, en tous pays, ont voté les crédits de guerre à l’unanimité »
Entretien avec le Dr Bernard Plouvier, auteur de La fin d’un monde. L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait aux éditions Dualpha. (Propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Selon vous, la Grande Guerre aurait été la plus inévitable de toutes les guerres ?
Dr Bernard Plouvier : Effectivement, pour des raisons économiques (en Russie et en Grande-Bretagne), pour des raisons d’impérialisme territorial (en Russie, en Serbie, en Grande-Bretagne pour ce qui est des colonies), et surtout pour des raisons sociologiques (un peu partout en Europe).
Durant les années 1910-14, les jeunes hommes de toutes les classes sociales s’ennuient dans une société plutôt fermée, où tout semble prévisible, et n’ont guère d’objection (sauf les anarchistes, mais ils boudent absolument tout !) à une « guerre franche et joyeuse », puisque tous les « spécialistes » (économistes et financiers, généraux et diplomates, même prêtres et philosophes) affirment sur tous les tons que, du fait de son coût prohibitif, une guerre entre États industrialisés ne peut qu’être courte.
Et les chefs politiques, dans cet ensemble ?
À l’exception de rares bellicistes parmi les politiciens de Londres, de Saint-Pétersbourg et surtout de Belgrade, ils sont tous très peu enthousiastes, voire pacifistes. Ni le tsar Nicolas II (qui est un imbécile), ni le sénile François-Joseph d’Autriche-Hongrie, ni le Kaiser Guillaume II, ni Raymond Poincaré ne sont des foudres de guerre, quoi qu’on en ait dit ensuite. Seuls, d’ailleurs, les deux derniers sont réellement intelligents. À Londres, les politiciens sont au service de la ploutocratie, et à Belgrade ce sont de purs aventuriers.
Ni responsables ni coupables, donc à Paris, Vienne ou Berlin ?
Responsables, en faible partie, ils le sont. En tous cas, cette responsabilité est largement partagée par tous les parlementaires qui, en tous pays, ont voté les crédits de guerre à l’unanimité. Coupables, ils le furent de n’avoir pas suffisamment répété à leurs opinions publiques les dangers d’une guerre moderne. Mais ces dangers (bien connus depuis la Civil War des USA – la « Guerre de sécession » – ou la guerre de Mandchourie) étaient minimisés par tout le monde.
Alors, qui étaient les bellicistes en 1914 ?
De très nombreux industriels et négociants à Saint-Pétersbourg et Moscou ou à Londres. Mais les financiers étaient plutôt pacifistes, alors qu’ils seront des bellicistes enragés de 1933 à 1939. De nombreux généraux et amiraux des États-Majors Généraux à Saint-Pétersbourg, Vienne, Londres et Paris… et, à un moindre degré, à Berlin, où l’on était bien plus hésitant. Le gouvernement serbe, encouragé par l’ambassadeur et les attachés militaires russes à Belgrade a volontairement et sciemment mis le feu aux poudres.
Enfin, et surtout, était avide d’action brutale la fraction mâle et jeune des opinions publiques en tous pays, sauf peut-être en Transleithanie (le royaume de Hongrie). À l’exception de délicats esthètes littéraires, les jeunes ouvriers, paysans et petits-bourgeois avaient conservé de bons souvenirs de leur service militaire. De ce fait, une campagne guerrière d’un trimestre, au plus d’un semestre, ne pouvait que leur apporter ce parfum d’aventures, ce goût de l’imprévu que la vie quotidienne était bien incapable de leur procurer… et le cinéma était alors tellement rudimentaire qu’il offrait davantage matière à rire qu’à rêver.
C’est en cela que la guerre de l’Année 1914, qui marque l’An 1 du XXe siècle, était réellement inévitable.
La fin d’un monde. L’An 1914 : la guerre dont tout le monde voulait du Dr Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 576 pages, 39 euros.
Vous pouvez le commander en ligne en cliquant ici
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Un entretien entre Franck Abed et Francis Bergeron sur Léon Degrelle
Franck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots pour ceux qui croient vous connaître et pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?
Francis BERGERON : Adolescent, j’ai milité dans quelques groupuscules anticommunistes, à une époque où le philocommunisme était la chose la mieux partagée du monde, alors même qu’au Vietnam, au Cambodge, au Laos, au Mozambique, en Angola, en Afghanistan, la poussée bolchevique semblait irrésistible. Cela m’a conduit ensuite à des engagements plus « musclés, avec à la clé les geôles soviétiques, et la guerre au Liban. Mais c’était il y a longtemps… Aujourd’hui j’écris des livres. Et sur le plan professionnel je participe à la direction d’un groupe international.
Pour quelles raisons avez-vous décidé d’écrire une biographie sur Léon DEGRELLE ?
J’ai écrit une biographie de Hergé et un essai sur la géopolitique dans l’oeuvre de Hergé. Or Hergé, dans sa jeunesse, a été très lié à Léon Degrelle. Cette amitié, et l’idée que Degrelle ait pu servir de modèle au personnage de Tintin m’ont donné envie de me plonger dans la vie de cet homme politique belge.
Comment définiriez-vous la doctrine défendue par Léon DEGRELLE ? Comprenez-vous qu’on puisse la classer à gauche ?
Il y a plusieurs rexismes. Le rexisme d’origine se situe plutôt du côté de Maurras et des catholiques sociaux. Degrelle éprouve une profonde admiration pour l’Action française, et en particulier pour Léon Daudet. Par la suite, il va s’éloigner de la hiérarchie catholique ; et l’organisation qu’il a créée va ressembler de plus en plus à ces groupes fascistes que l’on trouve à l’époque, dans la plupart des pays européens. A partir de 1937, une partie des militants catholiques s’éloignent de REX, tandis que ce parti attire d’anciens communistes, et va ressembler un peu au PPF de Doriot. Il y a comme toujours, dans les partis de ce type, un mélange de nationalisme et de socialisme, à des degrés divers. Mais REX, c’est vrai, fait partie des rares mouvements fascistes imprégnés de christianisme. On pense à la Garde de Fer roumaine ou à la Milice de Darnand. Alors qu’en règle générale, les ligues fascisantes ou authentiquement fascistes développaient une idéologie plutôt matérialiste et en tout cas antichrétienne.
Mais ce qui est intéressant dans le rexisme, ce qui lui est propre, c’est cette aspiration à la grandeur, à la croisade, à la construction d’une « grande Bourgogne », sorte d’empire wallon renouant avec un passé très lointain. Venant d’un si petit pays, cette incongruité est assez fascinante. La toute petite ville de Bouillon, dans les Ardennes belges, est la ville de Godefroy de Bouillon et de Léon Degrelle. Ces deux soldats se ressemblent, au fond. L’appétence pour un destin hors du commun, venue de là où on ne l’attend pas du tout.
Léon DEGRELLE a soutenu le nazisme. Toutefois il se considérait comme catholique. Or le nazisme, en tant qu’idéologie et doctrine, a clairement été condamné – à l’instar du communisme et du libéralisme – par Notre Sainte Mère l’Eglise avec l’encyclique Mit brennender Sorge de Pie XI.
Comment expliquez-vous cette incohérence philosophique et intellectuelle manifeste (incohérence qui persiste encore dans certains cénacles nationaux) ?
Oui c’est exact, il y a incompatibilité. Je ne connais pas les milieux nationaux qui, aujourd’hui, tenteraient ce grand écart idéologique. Je n’ai jamais rencontré d’adeptes du nazisme et encore moins d’adeptes d’un syncrétisme entre le catholicisme et le nazisme. Ce que l’on sait aujourd’hui du nazisme et aussi l’échec politique et militaire engendré par ce totalitarisme, la ruine de l’Europe, et son affaiblissement durable, générés par la seconde guerre mondiale, ne prêtent guère à séduction.
Avant la guerre, il pouvait bien évidemment en être autrement : Robert Brasillach est ébloui par les cathédrales de lumière de Nuremberg. Alphonse de Chateaubriant voit en Hitler une figure quasiment christique. Léon Degrelle fait partie de ceux qu’impressionne le culte du chef, en Allemagne, cet ordre nouveau qui s’y construit, la fierté retrouvée de tout un peuple, face à la menace soviétique. C’est cela qui le séduit chez les tenants d nazisme avant tout. Mais Degrelle n’est guère théoricien. L’allure, les uniformes, l’effort collectif, la croisade héroïque, voilà qui lui parle sans doute beaucoup plus que toutes les théories racialistes ou impérialistes. Mais il est vrai que, pendant la guerre, il proclamera la germanité des Wallons, sans doute dans l’espoir que soit donnée à la Belgique, dans l’Europe nouvelle qu’il croit voir se dessiner, une place significative.
Quels furent les atouts et les qualités de DEGRELLE pour devenir une personnalité politique qui compte dans la Belgique d’entre deux guerres ?
Les atouts de Degrelle tiennent à sa personnalité, à commencer par cet optimisme à tous crins, par ce culot incommensurable. C’est un homme qui ne doute jamais. Son courage physique, et aussi sa résistance physique sont exceptionnels. Par ailleurs il va se révéler excellent journaliste, et orateur très puissant. Son charisme est impressionnant. Et puis, comme il aimait à le dire, « la chance m’aime bien ». Même si le bilan, au final, est celui d’un terrible échec, Degrelle a vécu quinze années assez fabuleuses, et il a su ensuite les raconter et les magnifier, contribuant à créer ce mythe formidable.
Beaucoup de choses sont dites et écrites au sujet des rapports entre Léon DEGRELLE et HERGE. Qu’en fut-il réellement ?
Les deux hommes se sont connus très jeunes, à vingt ans, en travaillant dans le même journal catholique bruxellois, le XXe Siècle. Ils étaient très liés, et Hergé n’a jamais renié cette amitié, malgré la divergence des destins. D’ailleurs l’une des caractéristiques d’Hergé, c’est sa fidélité en amitié. Il suffit de penser à l’histoire de ses relations avec son ami chinois Tchang.
Longtemps après la création de TINTIN, DEGRELLE a souvent dit et écrit qu’il en avait été le modèle. Qu’en pensez-vous ?
Ce n’est pas complètement faux. Hergé, « voyageur immobile » trouvait son inspiration autour de lui. Et cet ami et collègue de bureau, du même âge que lui, partant au Mexique chez les Christeros, puis en Amérique du Nord, pouvait constituer une sorte de modèle vivant au moment où Hergé commence à imaginer son héros, jeune homme de son temps, reporter et aventurier. Il y donc certainement un peu de Degrelle chez Tintin. mais on sait aussi qu’Hergé s’est inspiré de son frère Paul. Et puis comme Flaubert et madame Bovary, « Tintin, c’est moi », a-t-il souvent expliqué. Titntin, c‘est Hergé, un jeune homme fidèle à sa promesse scoute, ayant pour vocation de défendre la veuve et l’orphelin.
Existe-t-il des mouvements et/ou des personnalités politiques actuels en Belgique ou ailleurs qui se revendiquent de DEGRELLE et du Rexisme ?
Il doit y en avoir, mais je n’en ai pas rencontré. Alors que j’ai connu des adeptes du VERDINASO de Joris Van Severen, l’équivalent flamand de Degrelle, assassiné en 1940 à Abbeville. J’ai cru comprendre, en lisant Robert Poulet ou Pol Vandromme, que Degrelle n’a pas laissé que de bons souvenirs, en Belgique, aussi bien chez ses opposants que chez ceux qu’il a entrainés dans une aventure qui s’est révélée sans issue. La fin du rexisme ressemble à la fin de notre Milice : une sorte de guerre civile où il ne fait pas bon être dans le camp des perdants. D’abord parce que l’Histoire est écrite par les vainqueurs. Ensuite parce que l’épuration belge sera affreusement sévère, plus épouvantable encore que l’épuration française. Cela a laissé de terribles séquelles, meurtri des familles, des générations de Belges. Et qu’on le veuille ou non, Degrelle a sa part de responsabilités.
Finalement si DEGRELLE est toujours autant apprécié en France, cela ne tient-il pas au fait qu’il incarne le perdant magnifique haut en couleurs comme notre pays les aime tant ?
Oui, il y a de cela, certainement. Mais surtout Degrelle a été le metteur en scène de sa propre gloire. Dans des livres remarquables : La Guerre en prison, La Campagne de Russie, La Cohue de 1940, il raconte le fascinant destin d’un jeune Belge qui se retrouve directeur de journaux à vingt ans, grand reporter, chef d’un important parti politique à trente, et combattant héroïque sur le Front de l’Est. Quinze années intenses où cet homme est allé jusqu’au bout de ses engagements, et a miraculeusement survécu. Degrelle ? Quel phénomène !
Qui suis-je ? Léon Degrelle, par Francis Bergeron, éditions Pardès, 120 pages, 12 €
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Le Journal du Chaos de cette semaine
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vendredi, 17 juin 2016
Le nouveau CD des Brigandes est en vente :
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Dieppe : l'Etat ne tient plus la situation en main, il interdit la manifestation patriotique...
Quelques affiches avaient fait leur apparition ces derniers jours : à l’appel de Pegida France (déclinaison nationale du mouvement « contre l’islamisation de l’Occident » apparu récemment en Allemagne), une manifestation était prévue le samedi 2 juillet à Dieppe, pour dire « stop à l’invasion migratoire ». C’était sans compter l’interdiction prononcée par Nicole Klein, préfète de la région Normandie et de Seine-Maritime.
La décision a été confirmée hier par la sous-préfecture de Dieppe : celle-ci invoque notamment « un risque sérieux de heurts et d’incidents violents » entre les partisans de Pegida et les multiples associations qui œuvrent aujourd’hui en soutien aux migrants basés à Dieppe. Une telle manifestation aurait par ailleurs nécessité la présence « en nombre » des forces de l’ordre, déjà pleinement mobilisées par l’Euro de football et l’état d’urgence, rappelle-t-on à la sous-préfecture de Dieppe.
Pour Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, associé à la démarche de Pegida, cette interdiction est « une décision politique lamentable » destinée à « entraver la liberté d’opinion ».
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Déréliction occidentale versus islam conquérant
Dr Bernard Plouvier
Certains commentateurs semblent percevoir de-ci de-là un frémissement d’auto-défense des Blancs dans leurs territoires envahis d’allogènes violents, frustes et fanatiques. Ni la situation des USA, ni celle de l’Europe occidentale et scandinave ne paraissent entrer dans ce schéma, qui s’avère exact en Europe danubienne et orientale.
Ne serait-ce pas du côté de l’intolérance qu’il faudrait chercher la cause de cette différence de comportement ? Une foi - politique ou religieuse, c’est tout un – procure l’impression forte de mener le bon combat, avec son corolaire : une tolérance très faible, voire nulle, pour le déviant social ou l’ennemi idéologique.
L’angoisse existentielle pousse la plupart des humains à se croire, sinon indispensables, du moins utiles à la marche de l’Univers, à se représenter comme étant un chaînon, minuscule mais nécessaire, entre l’Alpha (l’origine de l’Univers) et l’Oméga (le glorieux finale où triomphe le Bien, ou quelque autre grand principe analogue). C’est la raison d’être de toute religion ; c’est ce qui assure la pitance et l’importance sociale des clergés.
Mais la grande aventure politique procure exactement la même sensation, amputée de la notion d’éternité, puisque l’espérance de vie de chaque grande civilisation dépasse rarement quelques siècles. À l’échelle humaine, c’est déjà beaucoup, suffisamment pour y engager son existence. Après tout, il est assez peu de grandes causes qui procurent un sens à la vie.
Beaucoup d’humains revendiquent une récompense surnaturelle, puisqu’il n’y a pas grand-chose à espérer de la reconnaissance de ses congénères et fort peu de la justice immanente. Les religions apportant une espérance eschatologique (un Paradis après la mort du corps) seront toujours achalandées : le triomphe actuel de l’islam, religion médiévale et à très faible valeur intellectuelle ajoutée, prouve à quel point l’obscurantisme n’effraie pas le chaland, si on lui offre en contrepartie la carotte paradisiaque.
D’autres humains se satisfont de la notion du devoir bien accompli, la difficulté ayant toujours résidé dans l’objet de ce devoir. Le XXe siècle, qui fut celui des grandes expériences politiques, s’est achevé par la ruine des populismes impérialistes, fondés sur la lutte des races et la lutte des classes. On peut biffer ces expériences, sans refuser d’en tenter d’autres : aucun savant digne de ce nom n’a jamais renoncé à poursuivre sa quête parce qu’une hypothèse s’était avérée fausse.
Le manichéisme des totalitarismes (religieux ou politique, on le répète : le phénomène est de même essence) enchante les esprits primaires : l’antithèse entre les « bons » et les « méchants » a toujours fait recette. C’est comme cela que les Alliés ont axé leur propagande débile durant les deux guerres mondiales du XXe siècle ; ce fut également le credo de la « guerre froide ». C’est comme cela que fonctionne l’actuelle religion de conquête, l’islam. Ce système ami-ennemi, simpliste et rudimentaire puisque faisant appel à l’archéo-cortex, sera toujours d’un excellent rapport sociologique, alimentant la cohésion du groupe et stimulant son ardeur combative.
Toute civilisation décline quand elle baisse sa garde, tolérant la pensée d’allogènes. Tout ce qui est à la fois mal défendu et raffiné cède devant la force brutale du barbare agressif et avide. Le retour en force de la grande politique doit s’accompagner d’une vigoureuse intolérance envers l’ennemi. Sans objectif et sans ennemi, aucune collectivité n’est dynamique… on n’a pas attendu les théoriciens du XXe siècle pour s’en rendre compte.
Depuis la plus haute Antiquité, l’alternative est inchangée, parce qu’il s’agit de l’unique vérité historique, universelle et diachronique : ou l’on accroît sa puissance ou l’on périt, la stagnation n’est que le début de la chute.
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Pour marquer le 60e anniversaire du soulèvement de la Hongrie, Synthèse nationale réédite le livre de David Irving : Budapest 1956, INSURRECTION...
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Belgique, samedi 2 juillet, c'est la fête de Nation
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jeudi, 16 juin 2016
Bruno Mégret : "Il faut cesser d’affirmer que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam"
Bruno Mégret Le Chêne (n°83) cliquez ici
Le terrorisme est devenu aujourd’hui une préoccupation majeure des Français et de ce fait un enjeu central du débat politique. Et à juste raison car la menace est maintenant claire et durablement installée. Le ministre de l'Intérieur, le premier Ministre et le président de la République expliquent d’ailleurs à longueur d'antenne que la France serait en guerre. Mais il ne s'agit là que de simples paroles. Car, si nous sommes en guerre, il conviendrait de désigner clairement l'ennemi et de prendre les mesures défensives et offensives qui s'imposent. Or, rien de tel n’a été accompli. Il y a certes l'état d'urgence, mais il ne fait que redonner à la police un minimum de moyens d'action que les dirigeants du système lui avaient retiré par l'accumulation de lois prétendument protectrices des libertés. Quant à la politique menée en Syrie et en Irak, elle est timide et ambiguë. Combattre Bachar el-Assad, seul capable de faire reculer l’Etat islamique sur le terrain, revient pratiquement à soutenir Daesch. Et ce ne sont pas les quelques bombardements symboliques que nous lui infligeons qui peuvent avoir une quelconque efficacité stratégique. Si Daesch n’avait que la France comme adversaire, il pourrait prospérer.
Il n’y a cependant pas lieu de s’étonner de cette impéritie car la situation dramatique que nous connaissons est la conséquence directe de la politique voulue par les dirigeants du système. Le terrorisme est en effet le fruit vénéneux de la politique d’immigration qu’ils conduisent depuis quatre décennies. En faisant venir sur notre sol des millions et des millions d'étrangers dont beaucoup sont musulmans, on a installé l’islam dans notre pays. Un islam dont chacun sait qu’il est incompatible avec les valeurs de notre civilisation, avec les principes de la République et avec notre mode de vie européen. Un islam qui véhicule de surcroît un projet hégémonique, offensif et guerrier à l’encontre de ceux qu’il considère comme des «infidèles». Ce sont donc bien les dirigeants du système qui ont semé les germes de la haine et du terrorisme.
Plus grave encore, les gouvernements successifs, refusant de voir le danger, ont tenu à ces populations un discours de faiblesse et d’autoculpabilisation. Au lieu de parler avec fermeté aux étrangers nouveaux venus en les sommant de se soumettre à nos valeurs et à nos lois pour prix des avantages économiques et sociaux qu’ils recevaient, on leur a laissé croire qu'ils n’avaient aucun devoir à notre égard et qu'ils avaient même tous les droits en réparation des prétendues injustices passées et présentes commises à leur encontre. On leur a ainsi instillé l’idée qu'ils étaient victimes de l’action colonisatrice de notre pays et qu’il subissaient aujourd’hui l’intolérance et le racisme de nos compatriotes. Les tenants du politiquement correct ont ainsi délibérément suscité au sein de ces populations un ressentiment profond à notre égard qui prend chez certains la dimension d'une haine agressive et meurtrière. De ce fait, une partie non négligeable de la population musulmane présente sur notre sol considère comme légitimes les actions terroristes lancées contre nous. Aussi faut-il cesser d’affirmer comme le fait encore M. Hollande que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Il a au contraire tout à y voir puisqu’il se nourrit idéologiquement des sourates les plus agressives du Coran et qu’il trouve ses militants et ses soutiens parmi les adeptes de cette religion.
Face à cette situation profondément dégradée, il est donc illusoire de penser qu’on pourra résoudre le problème par de simples mesures sécuritaires. Il est en effet pratiquement impossible d'empêcher quelques individus inconnus des services de police de se procurer des armes et de se livrer à des exactions meurtrières. En réalité, le terrorisme ne pourra être durablement éradiqué que si l’on accepte d’en comprendre les causes et que l’on s'attaque enfin à la racine du mal. Si le terrorisme vient de la politique d’immigration conduite par nos dirigeants et s’il est lié à l’islam qu’ils ont ainsi installé sur notre sol, il est temps d’en tirer les conséquences par trois mesures d’envergure.
Il faut d’abord stopper toute nouvelle immigration. Chacun sait maintenant que ce phénomène provoque dans notre pays d’innombrables drames dont le terrorisme. Il est dès lors indispensable «d’arrêter les frais» et de cesser d’aggraver chaque jour un peu plus le problème en augmentant le nombre d’étrangers et de musulmans présents sur notre territoire.
Ensuite, il faut changer radicalement le discours officiel des autorités à l’égard des immigrés et exiger d’eux qu’ils respectent nos lois, nos valeurs et notre identité.
Enfin il convient d’être dorénavant très clair à l’égard de la religion islamique sur notre sol. Il faut dire aux musulmans qu’ils sont minoritaires dans une nation européenne et chrétienne et qu’ils doivent donc, comme le Coran les y autorise, renoncer à appliquer les préceptes de la charia contraires aux lois et aux principes de notre pays. Et pour ceux qui refuseraient d’adapter ainsi leur pratique, il est temps d’en revenir à un principe simple : l’assimilation ou le départ. Dans cet esprit, il est nécessaire de fermer les mosquées, d’expulser les imams et de dissoudre les associations qui refuseraient de s’engager dans cette voie, la seule qui permette à l’islam de subsister sur notre sol sans compromettre le maintien de notre nation.
Qui pourra mettre en œuvre une telle politique de sauvegarde de la France ? Sûrement pas ceux qui sont responsables des agressions qu’elle subit.
Source LVCI cliquez là
09:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 15 juin 2016
La France s’enfonce dans la barbarie
Dr Bernard Plouvier
La nuit de la Saint-Sylvestre 2015, tandis que des hordes d’immigrés presque tous musulmans s’attaquaient à des centaines d’Allemandes et en violaient des dizaines à Cologne, Hambourg et autres lieux, une crapule sabotait l’installation électrique de l’hôpital de Millau (dans l’Aveyron), risquant de bouter le feu à un centre de soins hébergeant une quarantaine de personnes.
Au mois de juin 2016, d’autres crapules, des gauchistes ameutés par des slogans de syndicalistes, ont brisé les fenêtres de l’hôpital Necker à Paris. Appelons les êtres et les choses correctement : une crapule est un être pervers – soit un individu qui est dangereux pour la santé d’autrui, éventuellement pour la sienne. S’attaquer à un centre de soins ou à un soignant, c’est volontairement ôter une chance d’être secouru à qui est malade, blessé ou en détresse.
On ne cesse de nous tympaniser lorsqu’une synagogue ou une mosquée sont vandalisées (en se moquant des dizaines d’églises et de cimetières chrétiens profanés chaque année depuis plus de dix ans). Il est infiniment plus grave de s’en prendre à l’organisation des soins. Tout le monde ne croit pas en une quelconque divinité… et les musulmans font tout pour que l’on haïsse le nom d’allah. Mais tout le monde a, un jour ou l’autre, besoin de se faire soigner.
En 1914-15 – ça n’a plus été le cas ensuite -, les médecins et brancardiers capturés par une armée ennemie lors d’opérations militaires étaient renvoyés dans leur pays d’origine, via la Suisse. Durant la guerre suivante où un degré de plus dans l’horreur fut escaladé, l’on filma des aviateurs alliés qui tiraient sur des ambulances, notamment lors du bombardement de terreur de Dresde, en février 1945… mais les esprits étaient chamboulés par l’état de guerre.
De nos jours, on n’hésite plus à s’attaquer aux vieillards et aux enfants, on saccage et on incendie par simple ivresse de puissance (toute temporaire soit-elle) et l’on s’en prend aux soignants ou aux malades.
Certes, depuis les années 1980, de nombreuses cités sont périodiquement mises à feu et à sang par les fruits pourris de l’immigration exotique. Certes, les crapules djihadistes assassinent à tout-va et d’autres crapules violent de façon pluriquotidienne en France.
Mais faut-il que des Blancs se jettent eux aussi dans la plus immonde barbarie ? Si des syndicalistes, des activistes trotskistes, des crétins désœuvrés ont un surcroît d’énergie à dépenser, qu’ils le fassent en organisant des milices d’autoprotection contre les trafiquants d’armes et de drogue, contre les racketteurs, contre les centres de prêche du Djihâd.
Si les Français de souche européenne se jettent aussi dans la bagarre, qu’au moins ils le fassent dans l’intérêt de la Nation et non pour le plus éculé des slogans, celui qui a provoqué directement 100 à 120 millions de morts au XXIe siècle : la sordide lutte des classes.
La France est en péril de destruction par l’islam djihadiste et par l’effet d’une immigration-invasion. C’est infiniment plus grave qu’un texte de loi mal torché, issu d’un pseudo-pouvoir qui a peu de chances d’être reconduit, l’an prochain, dans son exceptionnelle faculté de nuisance.
19:32 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi prochain, 17 juin, à 19h, plusieurs mouvements patriotes rendront hommage à Paris aux policiers assassinés
Précisions sur ce rassemblement cliquez ici
19:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand va-t-on comprendre, en Occident, que la guerre des races et des religions est en cours ?
Dr Bernard Plouvier
Combien faudra-t-il encore d’attentats, d’assassinats d’Européens de souche, civils ou policiers, combien de viols en série, pour que même le plus borné, le plus idéaliste des citoyens comprenne que l’Europe est en état de guérilla civile permanente depuis une demi-douzaine d’années ?
Il est évident que les gouvernements d’Occident ont eu grand tort d’aider les monstres de bêtise ou de cynisme de New York et de Washington à mettre le Maghreb et l’Afrique noire, le Proche- et le Moyen-Orients à feu et à sang. Mais ce sont les sieurs Sarkozy et Hollande, Blair et Cameron, ainsi que d’autres pions des USA qui, en, bonne logique, devraient servir de cibles aux terroristes nationalistes, arabes et africains, et aux islamistes.
Or ceux-ci ont privilégié l’attaque des obscurs citoyens, en représailles des victimes civiles d’Afghanistan, de Libye, de Syrie et d’Irak. Effectivement, le chiffre des morts par « dommage collatéral » ou par le blocus économique de ces pays lointains semble atteindre le million.
En quoi les peuples d’Europe sont-ils coupables de ces morts ? C’est bien difficile à dire. Seuls ceux qui ont voté pour tel ou tel pantin manipulé de New York ou de Washington pourraient à la rigueur être jugés responsables… mais aucun électeur ne pouvait deviner que le guignol qu’il avait soutenu allait engager les forces armées contre des objectifs strictement dépourvus d’intérêt national.
La vengeance aveugle est la pire des stupidités. Au racisme anti-Blancs et à l’islam djihadiste, il est possible de répondre par des mesures draconiennes. Pour l’instant, on ne s’y essaie pas dans cet Occident amolli, aveuli par un demi-siècle de propagande à l’eau de rose. Bien au contraire, on accumule les inepties.
Presque partout, en Occident, l’on engage massivement des rejetons de l’immigration musulmane dans les forces de police, dans l’armée, dans le gardiennage de prison (où 80% des enfermés sont issus de l’immigration). Pire, les vigiles privés sont majoritairement recrutés dans le vivier où le Djihâd embauche : des jeunes issus de l’immigration exotique (variante : « des minorités ethniques »)… l’on retrouve cette même curiosité au Bataclan, en novembre 2015, que dans la boite pour invertis d’Orlando, en juin 2016 ! Quelqu’un va-t-il, un jour, tirer la leçon d’un passé trop proche pour qu’on ait eu le temps de l’oublier ?
La guerre civile est un jeu dangereux qui peut se jouer à plusieurs. Il est très périlleux, lorsque l’on est minoritaire dans un pays, de s’attaquer à la majorité. De silencieuse et assoupie, elle peut passer à l’état d’éveil furieux.
08:55 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Donald Trump remet en cause la politique américaine en matière d'immigration...
Le candidat républicain à l’élection présidentielle, Donald Trump, a tenu un important discours dans l’état du New Hampshire sur le combat contre l’islamisme.
« Nous devons également dire comment l’islam radical atteint nos frontières. Nous faisons venir l’islam radical en Occident par un système d’immigration en faillite […] En un an, le nombre de migrants d’Afghanistan aux États-Unis a été multiplié par cinq. Le nombre d’Afghans qui soutiennent une stricte application de la charia [la loi islamique, NDLR] s’élève, selon une étude du centre de recherche Pew, à 99%. Si nous voulons rester une société libre et ouverte, nous devons contrôler nos frontières. »
Source cliquez ici
08:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |