Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 20 juin 2016

La gangrène des Institutions

11.jpg

Dr Bernard Plouvier

C’est devenu l’un des plus inquiétants symptômes de notre décadence d’Européens occidentaux : la police est de plus en plus orientée vers des objectifs politiques et non plus vers la protection des honnêtes citoyens laborieux. La justice est passée à un degré supérieur d’abjection : de politisée qu’elle était depuis la période soixante-huitarde, elle est devenue crétinisée.

Comment, de façon objective, qualifier autrement que par l’expression de la plus crasse stupidité les jugements les plus aberrants rendus depuis 2014, soit la première année de la nouvelle vague d’émeutes, d’attentats et d’exactions perpétrée par des musulmans en Europe occidentale ?

La haine des autochtones exprimée par les immigrés de couleur, le racisme anti-Blancs ne font qu’exceptionnellement l’objet de poursuites judiciaires et, dans ce cas, les sanctions ressemblent plus à un symbole qu’à une peine : c’est, en bonne logique, un encouragement à la récidive.

Il ne se passe pas de semaine, depuis 2015, sans que l’on ait à déplorer, en France, une tuerie : soit un règlement de comptes entre nobles et vertueux immigrés trafiquants de drogues ou d’armes, soit l’assassinat d’un ou de plusieurs autochtones (de tous âges et sexes) par un fruit pourri de cette immigration extra-européenne, censée « enrichir la France »… il s’agit apparemment de la France des pompes funèbres, grâce au maniement en virtuose du couteau à cran d’arrêt ou d’une arme à feu sur la personne d’autochtones désarmés (on admire le courage de ces vaillants soldats d’allah).

Dans ce cas (ou ces cas) hebdomadaire(s), la presse fait très souvent preuve d’une retenue de pucelle quant à l’origine du meurtrier. S’il passe un jour en justice, la presse « oublie » le sujet, préférant traiter de la énième conquête de notre gras Président ou de la foucade du jour de son premier ministre, à moins que les honorables nervis de la CGT ne saccagent une ville ou qu’une « cité sensible » ne s’offre une fiesta où l’on casse, incendie et saccage, aux frais de la princesse : la collectivité des contribuables.

Soyons honnêtes : Outre-Rhin, ce n’est guère mieux. La Chancellière, devenue folle en 2015, accueille en masse d’honorables musulmans en rut et il est de bon ton de minimiser les viols subséquents. Pas question de dire, dans la presse bien-disante, que si le populisme a fait une percée exceptionnelle en Autriche, c’est à cause de la multitude de viols commis en ce pays par les fils de l’islam en cours de transit ou d’installation-invasion.

Mieux encore, dans un article du 20 juin paru sur Eurolibertés, Lionel Baland nous apprend qu’un tribunal de Fribourg en Brisgau vient d’assimiler un violeur (syrien musulman) de 20 ans à un « mineur d’âge », alors que pour les lois syrienne et allemande, il est à l’évidence majeur – au point de pouvoir signer un bail de location dans la vile de Weil am Rhein cliquez ici.

Le 31 décembre 2015, lui et trois autres fils de l’islam, mineurs ces trois-là, ont violé deux gamines blanches de 14 et 15 ans, idiotes au point d’avoir accepté une invitation au domicile du « majeur-mineur ». Ce tour de passe-passe juridique, qui s’accorde si bien avec la politique de la Chancellière de Berlin, a permis d’offrir le sursis au violeur, les trois autres auteurs de ce viol en tournante bénéficiant automatiquement de cette mesure, étant donné leur âge tendre.

Stricto sensu, cela revient à dire qu’il n’en coûte qu’un petit désagrément de violer une « meuf à cul blanc » et de passer ainsi, aux yeux des autres fruits pourris de l’immigration-invasion, comme des « durs », prêts à récidiver à la moindre occasion. De même qu’en France, les casseurs et incendiaires, presque jamais pris ou poursuivis, deviennent des voyous professionnels : des bons à rien faire d’autre que de saccager le bien d’autrui et le bien commun.    

En une époque où il est dangereux de déambuler dans les rues ou de voyager dans les transports en commun, en une époque où des nationaux sont quotidiennement agressés par des envahisseurs frustes et violents, le laxisme politico-judiciaire est, non pas une faute, mais un crime.

Comment ne pas s’interroger sur les motivations des politiciens français qui ont au moins les apparences du pouvoir ? Faut-il croire, comme l’affirment de multiples sources, que le parti au pouvoir, celui des hyper-efficaces Hollande, Valls et Cazeneuve, serait soutenu financièrement par des évergètes islamo-pétroliers. On comprendrait mieux pourquoi les fils pourris de l’islam peuvent se permettre n’importe quoi en toute impunité dans ce qui est encore NOTRE pays.

Il incombe au citoyen d’en tirer la leçon qui s’impose.

Fin-Monde-An-14-quadri.jpgLe nouveau livre du

Dr Bernard Plouvier

Cliquez ici

09:09 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.