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lundi, 17 octobre 2016

Le Journal du Chaos de cette semaine

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LES « SAUVAGEONS » DE BERNARD CAZENEUVE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le « crêpage de chignons » entre Trump et la Clinton, la bataille de chiffonniers aux primaires de la « droite et du centre » comme les lamentables confessions de François Hollande à des journalistes, ont quelque peu occulté les graves événements survenus à Viry-Châtillon ou, en tout cas, les ont relégués au second plan d’une actualité brûlante, brûlante comme les véhicules de police volontairement incendiés par des...  «  sauvageons » !

C’est ainsi que l’inénarrable ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, le « Buster Keaton » du gouvernement, a qualifié la douzaine de voyous cagoulés qui, en pleine journée, ont lancé des cocktails Molotov sur deux voitures de police en faction à un carrefour « sensible » de cette banlieue parisienne. La volonté de tuer des policiers et de les «  griller comme de vulgaires merguez » était évidente. Ces assassins animés d’une farouche haine anti-flic, en bloquant les portières des véhicules pour empêcher notamment un jeune adjoint de sécurité d’en sortir, ont administré au public français leur volonté criminelle d’en découdre avec les « bleus ». Et tout ce que trouve à dire le « premier flic de France », c’est de qualifier de « sauvageons » ces barbares qui ne mériteraient que le châtiment suprême !

Mais voilà, tétanisés par la peur de commettre une bavure et de se retrouver devant les Assises en position d’accusés, les agents n’ont pas fait usage de leurs armes alors qu’ils étaient, largement, en état de légitime défense, on le serait à moins… A croire que les socialistes n’aiment les militaires et les policiers qu’allongés dans leurs cercueils recouverts du drapeau tricolore !

« Que fait-on de « sauvageons ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ? », écrivait Caroline Parmentier dans le numéro du 12 octobre du quotidien Présent. La situation, gravissime, exige des mesures énergiques ; ne sommes-nous pas sous le régime de l’état d’urgence ? Il y a une vingtaine d’années on recensait, en gros, 177 000 mineurs compromis dans des actes de délinquance dont les deux tiers avaient plus de dix ans. De nos jours, c’est plus de 240 000 qui sont annuellement impliqués. Les zones de non droit et autres « quartiers sensibles », ces fameux « territoires perdus de la République », il faut les re-con-qué-rir ! Et il n’y a pas trente-six solutions : une seule, l’état de siège.

L’Algérie d’hier comme modèle ?

En 1957 la « bataille d’Alger » a été gagnée par l’armée à qui le gouvernement - socialiste ! – avait donné les pleins pouvoirs pour éradiquer le terrorisme qui frappait la capitale de la grande province française. Le pouvoir gaulliste n’hésita pas à investir le populaire quartier « pied noir » de Bab-El-Oued pour écraser la résistance française à l’abandon. Mêmes méthodes ou presque au service de deux causes ô combien différentes.

Mais la méthode pour contrôler toutes ces zones de dissidence, de commerces parallèles, de banditisme, est identique : bouclage du quartier, investissement immeuble par immeuble, cage d’escalier par cage d’escalier, palier par palier, appartement par appartement, cave après cave… Et, après les fouilles, centres provisoires d’internement pour vérification des identités des suspects.

Il faut que les forces de l’ordre aient les moyens juridiques et matériels de pénétrer dans tous ces quartiers pour y rétablir l’ordre et la sécurité. Sans cela, le quotidiens des Français et des autres habitants va déboucher sur une sorte de guerre civile larvée, une situation à la libanaise ou à la yougoslave, avec toutes les dérives criminelles imaginables et la perte de souveraineté de l’Etat avec un grand « E ». Mais il faut une volonté politique, la volonté de rompre avec la doxa dominante, d’arrêter de pratiquer la politique de l’excuse envers des populations dites défavorisées. (Défavorisés ces jeunes à qui la France offre une scolarisation gratuite, des équipements sportifs de qualité, des loisirs, l’espoir d’un avenir dans un pays « civilisé » - pour combien de temps encore ? – et des soins, eux aussi gratuits, de bon niveau ?).

La liste des méfaits commis par toutes ces bandes ethniques qui refusent l’assimilation républicaine et se réfugient dans la violence et le terrorisme est longue comme un jour sans pain. Quel candidat à la Présidence de la République aura le courage de dire la vérité, de prendre « le taureau par les cornes » ? Robert Paturel, écrivain, un ancien du RAID, toujours dans PRESENT, s’adressait ainsi à ses collègues :-«  Amis policiers et gendarmes, n’oubliez jamais qu’il vaut mieux être jugé par douze que porté par six »… Si l’Etat ne rétablit pas la sécurité, si la justice ne fait pas son travail, si les prisons continuent d’êtres bondées faute de places, au bord de l’explosion, les braves gens deviendront alors des « gens braves » et s’armeront, comme aux Etats-Unis ou en Israël. Est-ce la solution ? Aujourd’hui seuls les voyous sont armés. Demain, le « Far-West » dans nos rues ?

Encore une fois, c’est à l’Etat et à lui seul de garantir la qualité de vie et la sécurité de ses citoyens. Pour cela il faut qu’il s’en donne les moyens. Il va falloir patienter : les cancres qui siègent dans bon nombre de nos institutions ne sont pas sur cette ligne. Pourtant, une démocratie ne peut survivre qu’en mettant sa force au service du droit. Le droit des personnes à sortir quotidiennement de chez elles sans avoir une boule au ventre. Il est vrai que les excellences qui prétendent nous gouverner n’ont pas cette angoisse, protégées qu’elles sont par des cohortes de gardes du corps !

Ce n’est pas en mettant un couvercle sur la marmite ou en cachant la poussière sous le tapis que l’on redonnera l’espérance aux Français ! Messieurs Hollande et Cazeneuve, un peu de courage, vous avez encore six mois pour ne pas laisser dans nos mémoires la trace de votre indiscutable laxisme envers les voyous et les terroristes !

13:59 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Même au Québec, ils ne sont pas les bienvenus...

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Des militants du mouvement Atalante et de la Fédération des Québécois de souche cliquez ici ont déployé des banderoles pour manifester leur hostilité à l'implantation de l'islam dans leur pays...

12:05 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vivre ensemble ou changer de pays ?

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Bruno Mégret

« Vivre ensemble », tel est le nouveau mot d’ordre de la classe politique et médiatique ! Face aux problèmes de cohabitation créés par l’immigration, face à la pression identitaire de l’islam qui s’impose dans notre vie collective, la nouvelle rengaine des politiques et des journalistes fait maintenant entendre le son du « vivre-ensemble ». Si des attentats se produisent, il faut refuser, nous enjoint-on, de céder aux terroristes qui veulent nous opposer les uns aux autres et afficher au contraire notre volonté de vivre ensemble. Si des troubles surviennent dans les banlieues, réaffirmons à tous la nécessité du vivre-ensemble, nous rappelle-t-on, là encore.

Le « vivre-ensemble » est en effet devenu l’alpha et l’oméga de nos dirigeants, la voie à suivre pour résoudre, selon eux, toutes les difficultés que suscite la société multiculturelle d’aujourd’hui.

Assimilation, intégration, vivre-ensemble

Mais que nous cache-t-on derrière ce slogan ? Il paraît à priori bien anodin et semble même relever de l’évidence : les habitants de la France vivent en effet ensemble sur le sol français. Que cette formule soit utilisée à propos de l’immigration et de l’islamisation doit cependant nous inciter à la méfiance. Et de fait, ce mot d’ordre dissimule en réalité un projet destructeur particulièrement inquiétant. Car cette théorie du « vivre-ensemble » vient en effet remplacer la formule classique de l’intégration comme celle de l’assimilation.

Dans la première moitié du siècle dernier, le concept d’assimilation prévalait : concept par lequel les immigrés polonais, italiens, espagnols ou portugais sont devenus français sans difficultés majeures. Selon ce principe, l’étranger adopte progressivement l’identité française pour se mêler au peuple qu’il a choisi de rejoindre et en faire pleinement partie.

Cette conception a été abandonnée depuis les années 1970 pour laisser la place au principe d’intégration. Dès lors l’étranger peut conserver son identité d’origine mais il doit parallèlement s’adapter aux coutumes et aux règles du pays qui l’accueille afin de s’y insérer au mieux.

Or depuis que l’islam est devenu une donnée majeure du processus migratoire, cette seconde conception a, elle aussi, été abandonnée pour une troisième formule, celle du « vivre-ensemble », notion que l’on rabâche aux Français à longueur de journée.

Or, même si ses promoteurs le nient, cette conception est celle du communautarisme : chacun conserve son identité, ses usages et ses valeurs, mais tous doivent se tolérer mutuellement, s’accepter et même s’aimer pour vivre ensemble harmonieusement sur le même sol.

Un nouveau pays

De ce point de vue, cette notion diffère fondamentalement de celle de l’assimilation et de l’intégration. D’abord, l’effort d’adaptation n’est plus demandé aux seuls étrangers, il l’est tout autant aux Français de souche. Ensuite, il ne s’agit plus pour la nation d’incorporer au mieux des personnes étrangères, il s’agit en réalité de créer un nouveau pays. Sans le dire explicitement les apprentis sorciers du Système s’efforcent maintenant de construire sur le sol national une nouvelle société africano-islamo-hexagonale qui se définirait simplement comme un territoire régi par un état de droit permettant à tous de vivre ensemble.

Les Suédois, qui sont manifestement en avance sur nous, ont été récemment la cible d’une campagne d’opinion sous forme de message publicitaire télévisé pour leur expliquer ce processus :

« Il n’y a plus de retour en arrière, est-il expliqué dans ce film, la Suède ne sera plus jamais comme avant. Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir. Etre suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »

Le choix ultime

Alors, certes, cette campagne baptisée « Le nouveau pays » n’est pas celle du gouvernement suédois et il n’y en a pas encore eu de comparables en France. Mais tel est bien le sens du « vivre-ensemble ». Sans doute dans un premier temps se contentera-t-on d’habituer les Français à cette nouvelle formule et ensuite seulement leur expliquera-t-on, comme aux Suédois, ce qu’elle signifie réellement pour l’avenir. Les immigrés notamment musulmans ne s’assimileront pas à la France telle que nous en avons hérité. « Un nouveau pays est à construire et vous, Français, devrez vous y adapter ». En ce sens l’islam n’est pas foncièrement un problème puisque nous devons construire quelque chose de nouveau où il devra, d’une façon ou d’une autre, trouver sa place.

Il est clair que les tenants du Système sont ainsi arrivés au point ultime du processus idéologique dans lequel ils se sont engagés. Confrontés à la contradiction fondamentale qui existe entre le maintien de la France telle qu’elle est et la présence croissante d’immigrés sur notre sol, ils ont dû faire un choix. Mais plutôt que d’en tirer la conclusion qu’il faut arrêter toute nouvelle immigration, voire commencer un processus de rémigration, ils préfèrent renoncer au maintien de ce que nous sommes et s’engager dans la voie aventureuse de la construction d’une nouvelle entité en rupture totale avec les racines de notre nation.

En choisissant ce chemin, ô combien périlleux et néfaste, le Système révèle son échec, sa faiblesse et son monstrueux cynisme. Espérons que ce projet, lorsqu’il sera plus explicite et mieux compris des Français, provoquera enfin la colère et la révolte du peuple.

Source Polémia cliquez ici

08:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La "Manif pour Tous" hier à Paris

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Carl Lang et Robert Ménard ensemble 

pour l'abrogation de la "loi Taubira"

07:59 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |