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jeudi, 02 février 2017

Niort : un aimable bombage qui ne passe pas inaperçu...

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Ce n'est pas bien de salir les murs diront, parfois à juste titre, certains... Néanmoins cela fait toujours plaisir de tomber sur des bombages sympathiques. C'est le cas de celui réalisé dans le sous-terrain de la gare de Niort et relevé aujourd'hui sur Facebook... 

Il convient de rappeler que le lieu n'est pas anodin. Certains lecteurs de Synthèse nationale se rappelleront sans doute de cette soirée épique du 12 avril 1979 au cours de laquelle un affrontement d'une rare violence s'est déroulé dans le hall de la gare du chef-lieu des Deux-Sèvres entre une quinzaine de militants nationalistes du Parti de Forces nouvelles et une quarantaine de gauchistes. Il y eu quatre blessés qui durent être hospitalisés (trois chez les agresseurs gauchistes et un chez les patriotes) L'événement fit à l'époque grand bruit dans la presse locale et il fut même relaté dans Le Figaro du lendemain.

Ce soir là s'était en effet tenu, dans une salle privée, malgré l'interdiction du maire (PS) René Gaillard, un meeting de l'Eurodroite (du nom de la liste du PFN menée par le regretté Jean-Louis Tixier-Vignancour aux élections européennes de juin 1979). Humiliés, les socialistes envoyèrent leurs petits valets d'extrême gauche agresser les militants nationalistes alors que ceux-ci raccompagnaient l'orateur national du parti qui allait prendre un train de nuit pour Paris. L'affrontement fut bref et les gauchistes, avinés voire drogués, en prirent plein la gueule, cela à tel point qu'ils durent s'enfuirent lamentablement... On en rigole encore.

Voilà pourquoi, trente huit ans plus tard, ce bombage ne peut que rendre fort aise ceux qui se sont battus, ce 12 avril 1979, contre les sbires de l'ancienne municipalité socialo-communiste.

Pour information, sachez qu'en 2014, lors des dernières élections municipales, la dynastie Gaillard qui régnait en maitre sur la ville de Niort depuis des décennies a été enfin éjectée dès le premier tour. Et, cerise sur le gâteau, notre camarade Jean Romé Charbonneau (FN) a été élu à cette occasion conseiller municipal. Comme quoi, à Niort aussi, les temps changent...

Synthèse nationale

23:48 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Lyon, les militants du GUD et du Comité "Lyon avec Jeanne" interviennent pour défendre l'honneur de Jeanne d'Arc

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Une trentaine de valeureux militants du GUD, du Comité "Lyon avec Jeanne" et de l'Action française a fait irruption à l'Opéra de la capitale des Gaules ce jeudi soir pour protester contre la représentation de la grotesque pièce de Roméo Castellucci dénigrant Jeanne d'Arc.

Les forces de police venues en nombre pour protéger la salle ont chargé sans ménagement, à coup de matraques et de gazeuses, les jeunes lyonnais qui, par leur action courageuse, ont sauvé l'honneur de leur ville...

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Mario Borghezio interrogé par Lionel Baland sur EuroLibertés

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Mario Borghezio, vous êtes député européen de la Ligue du Nord. Vous êtes arrivé à vous faire élire dans le centre de l’Italie ?

Oui, à Rome et dans le centre de l’Italie.

Comment la Ligue du Nord a-t-elle pu pénétrer électoralement dans ces régions autrefois peu ouvertes au léghisme ?

Parce que nous sommes devenus un petit Front National. Nous sommes arrivés à nous faire entendre par l’ensemble du peuple italien. Notre mouvement est né et a de profondes racines au nord de l’Italie, mais depuis que Matteo Salvini dirige le parti, nous parlons à tout le pays.

J’ai commencé, un peu ouvert la route lors des élections européennes où je suis élu dans le centre du pays. Je pense qu’il y a un espace politique énorme pour la Ligue à Rome et au sud de Rome, car, un peu comme en France où Marine Le Pen représente le souverainisme face au mondialisme, il y a la nécessité de nouveaux partis. Des anciens électeurs de gauche nous ont rejoints ou votent désormais pour le M5S de Beppe Grillo.

Pensez-vous que la Ligue du Nord prendra aussi des voix dans le sud de l’Italie ?

Oui, mais il faut choisir de bons dirigeants. Et nous en avons. Dans le Sud, encore plus que dans le Nord, il y a une désaffection envers les anciens politiciens et partis.

Dans le Sud, il y a aussi un parti intitulé Frères d’Italie-Alliance Nationale ? Allez-vous travailler ensemble dans le futur ?

Frères d’Italie-Alliance Nationale est un parti qui a presque disparu. Je pense que quelque chose de nouveau est nécessaire. Nous avons de bons contacts avec sa dirigeante, Giorgia Meloni, mais ce n’est pas un mouvement qui est en forte croissance. Je pense qu’il faut créer quelque chose de nouveau. Cela pourra être une nouvelle Ligue pour le sud.

Vous ne pensez pas faire des listes ensemble lors des élections européennes ?

Vous savez, le scrutin aura lieu dans deux ans et demi et du temps est nécessaire pour créer un nouveau rassemblement.

Le Mouvement 5 étoiles de Beppe Grillo est-il opposé à l’immigration ?

Non, il est équivoque. Il ressemble un peu à l’ancienne Démocratie chrétienne, qui faisait campagne un mois avant les élections contre le communisme, puis après le scrutin oubliait cela. Le M5S se prononce contre l’immigration un mois avant les élections, afin de capter des voix, puis vote contre le délit d’immigration clandestine. Donc leur position n’est pas sérieuse.

Le fait qu’un élu du M5S ait rejoint le groupe auquel les élus de la Ligue du Nord appartiennent au sein du Parlement européen ne pose-t-il pas problème ?

Non, car ses positions sont très proches de celles de la Ligue du Nord. C’est une bonne acquisition pour le groupe.

Vous étiez autrefois avec Silvio Berlusconi, et, maintenant, vous êtes en bagarre pour le contrôle du centre-droit ?

Oui, mais nous sommes encore en bon rapport avec les électeurs de Monsieur Berlusconi, les hommes qui ont pris part à la bataille de Forza Italia. Mais, c’est Silvio Berlusconi qui est devenu un peu trop ami avec le gouvernement [de centre-gauche] pour ses intérêts personnels et celui de son groupe Mediaset. Nous sommes un parti et pas un groupe médiatico-financier. Nous sommes un mouvement libre. Nous ne sommes pas au service d’intérêts particuliers. Silvio Berlusconi a le conditionnement d’un patron de grand groupe et est prisonnier des choix économiques et médiatiques du gouvernement.

Pourquoi est-ce qu’Angelino Alfano [ex-dauphin de Silvio Berlusconi, désormais ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale] est allé avec la gauche ? Est-il en sous-main toujours proche de Silvio Berlusconi ?

Non. Il est n’est pas lié à Silvio Berlusconi. Il est devenu un appui important de la gauche. Il se dit du centre, mais il est essentiel pour la majorité de gauche.

En Autriche, le Burgenland est gouverné par les sociaux-démocrates du SPÖ et les patriotes du FPÖ. Pensez-vous qu’une situation semblable est imaginable en Italie ? La Ligue du Nord peut-elle diriger des régions ou villes avec le centre-gauche ?

C’est très difficile, car, au niveau régional, des décisions importantes sur l’immigration sont prises en matière d’accueil et avec cette gauche italienne, il est impossible de travailler ensemble sur ce sujet.

Et avec le M5S ?

Dans le futur, peut-être, mais ils n’ont pas de positions claires en matière d’immigration. Je ne peux pas répondre pour le moment à cette question. L’avenir nous le dira.

Je pense qu’il est nécessaire d’avoir une grande Ligue forte comme l’est le Front National en France. Et alors, tout le monde devra raisonner en tenant compte de nos idées.

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Eléments sur Méridien zéro demain vendredi.

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18:26 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'écrivain Richard Dessens invité à l'émission Synthèse sur Radio Libertés jeudi prochain 2 février

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Faut-il des « Représentants du peuple » ?

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Il aura fallu plus de deux millénaires pour que soit, en apparence, mise en application la phrase d’Aristote : « La peuple des citoyens est seul détenteur de la puissance légitime » (in Politique).

Auparavant, de délicieux roublards usurpaient l’autorité au nom de l’excellence de leur lignée, de leur fortune ou d’un prétendu ordre divin, ou encore par la merveilleuse légitimité d’élections truquées, comme ce fut le cas dans ces « démocraties grecques » ou cette République romaine, qui enchantent les historiens universitaires, oublieux d’un petit détail, minime on en conviendra volontiers. En Athènes, à Corinthe, à Thèbes ou à Rome etc., le bon peuple des citoyens, assemblés par classes de richesse, n’avait que le droit de choisir entre quelques candidats présélectionnés par un Sénat ou tirés au sort par un collège de pontifes… et, comme par hasard, le sort ou la sélection n’amenaient jamais que des noms de riches ou de très riches.  

Au XIIIe siècle, l’aristocratie, le haut-clergé, l’Université, les municipalités d’Angleterre et du Pays de Galles imposèrent à Jean Sans-Terre une assemblée décidant la levée, l’assiette et la répartition des impôts et disputant au monarque la souveraineté. Ces Communes, composées de riches ou de leurs porte-parole, n’ont jamais prétendu représenter le menu peuple, dont l’avis n’intéressait personne.  

Manifestement, sur ce dernier point, rien n’est changé dans la plupart des pays dits de « démocratie ». Quelques professionnels de la politique – 600 petits rois-députés et autant de chenus sénateurs, pour l’exemple français ; nettement moins pour l’exemple allemand – tranchent souverainement de problèmes aussi graves que la peine de mort, l’avortement de complaisance, l’immigration d’origine extracontinentale, la destruction du tissu industriel du pays, la défense et le risque d’introduction d’ennemis potentiels au sein des forces armées etc., sans prendre le moins du monde l’avis du souverain légitime : la Nation.

Alors que l’on ne vienne pas nous dire qu’il est sans importance d’opiner sur le sujet de la représentation du peuple souverain et sur les conditions de sa désignation.

Dans un monde idéal, la Nation - composée des seuls autochtones et de quelques individus naturalisés après quelques décennies de bons et loyaux services rendus à la Nation souveraine et à l’État – n’aurait qu’à remettre, pour une durée limitée, l’ensemble des pouvoirs à un homme jugé exceptionnel, un être digne de confiance du fait de sa probité et de sa compétence. Dans une telle Utopie, la notion de contrepouvoir ou de surveillance ne se poserait pas : le potentat prendrait l’avis de la Nation pour chacun des grands choix de société. Les rares lecteurs qui ont davantage de connaissances historiques que ceux, innombrables, qui sont intoxiqués par un dogme politico-sociologique ont reconnu la théorie du populisme.

En pratique, il est fort rare que l’homme providentiel ne devienne pas mégalomaniaque ou ne soit plus ou moins vite exclu du Pouvoir par des rivaux jaloux ou par l’intervention occulte d’une grande puissance prédatrice. Mustafa Kemal fut un populiste très bienfaisant jusqu’à sa mort, étant juste un peu rude avec les allogènes et les fanatiques religieux trop remuants ; Juan Perón et Getulio Vargas furent des exemples de populistes très efficaces, chassés du Pouvoir par les services secrets made in USA.

Il est évident que les riches et les super-riches n’aiment pas trop les populistes et préfèrent les régimes où les représentants du peuple sont nombreux et influents, capables de plaider la cause des hommes et des femmes d’affaires auprès des nombreux relais administratifs. Comme les media qui comptent sont aux mains des riches, très logiquement, le bon peuple hurle qu’il veut des représentants.

Longtemps, on décida que seuls les riches étaient intelligents, sages et avisés. En conséquence, ils étaient seuls dignes d’élire ces merveilleux représentants. Ce fut le système censitaire, qu’au XXe siècle, certains techniciens voulurent réactualiser par un système corporatiste de représentation nationale, qui avait au moins en sa faveur la légitimité du travail, d’autant que nombre de ses partisans réclamaient le droit de vote pour les mères de famille élevant leur(s) enfant(s).  

La mode contemporaine est au suffrage universel, simplement limité par l’âge de la majorité, variable selon les pays. Se pose de ce fait un énorme problème : toutes les voix doivent-elles compter ?

Dans le cas d’une réponse positive, le bon sens, la logique veulent que l’on tranche en faveur du régime électoral à la proportionnelle intégrale… ce qui fait hurler les sceptiques, qui prétendent que cela multiplie inutilement les partis et n’entraîne que des gouvernements de coalition. À ceux-là, il est simple de répondre qu’en cas de crise majeure de société, l’unité se fait autour d’un seul thème : la survie de la Nation. Hors crise, les avis divergent et c’est naturel. La Ve République française n’a pratiquement eu que des gouvernements de coalition, où une part était presque toujours faite au marécage centriste.

L’unique différence entre des scrutins à la proportionnelle et des scrutins d’arrondissement, tient à la féodalité qu’entretient ce dernier mode d’élection… et, la nature humaine étant ce qu’elle est, la corruption est d’autant plus grande que les agents corrupteurs peuvent compter sur l’assise de l’élu, soit son emprise sur « son secteur » et sa longévité.         

Si l’on veut absolument d’une représentation du peuple, il faut déterminer son rôle avec précision : législatif, budgétaire ou surveillance intégrale de l’exécutif, en se souvenant que plus une assemblée joue de rôles différents, plus l’exécutif est faible : c’est le véritable sens du mot jacobinisme. Item, il faut procéder de la façon la plus démocratique qui soit pour sa désignation. Il faut, enfin, limiter la durée d’éligibilité des candidats et décider de ce que doivent être leurs qualifications, en répondant à cette épineuse question : comment un individu qui n’a jamais travaillé efficacement pour la société pourrait-il lui rendre le moindre service ?

Le système français est indéniablement très mauvais : corrompu, inefficace et inexpert, parce qu’il est composé de professionnels de la politique, de causeurs, d’esbroufeurs et non de citoyens qui ont fait leurs preuves dans le monde du travail. Après tout, si l’on ne veut que du théâtre, il existe de bons professionnels, assurément meilleurs comédiens que les clowns qui s’agitent dans les assemblées et les coulisses.  

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Samedi 11 février à Chambéry : création de la section Civitas

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00:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon, vendredi 3 février, conférence de Pierre Vial sur Patrick Pearse

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Ce vendredi 3 février à 19h30 : nouvelle conférence du Cercle du Coeur Rebelle au local Le Pavillon Noir ! Pierre Vial interviendra sur l'engagement du nationaliste Patrick Pearse pour une Irlande libre. Entrée gratuite.

00:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Civitas annonce ses premiers candidats pour les législatives de juin prochain

Isère, 2e circonscription :

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Alexandre Gabriac, candidat CIVITAS aux législatives 2017 sur la deuxième circonscription de l’Isère (Échirolles, Eybens, Saint-Martin-d’Hères, Vizille) Alexandre Gabriac, 26 ans, est marié, père d’un enfant et travaille dans le secteur commercial.

Il milite depuis ses 13 ans dans la mouvance nationale, a été candidat à plusieurs élections dans l’Isère et a été élu plus jeune conseiller régional de France en 2010 sur la liste de Bruno Gollnisch. Par la suite, il a créé et dirigé les Jeunesses Nationalistes, dissoutes par le gouvernement socialiste via décret présidentiel en 2013.

Alexandre Gabriac a pris des responsabilités au sein de CIVITAS en 2016 pour continuer son combat sur nos principes politiques sans concession.

Sa suppléante, Christiane Canestrari, 30 ans, mère de trois enfants, travaille dans le secteur de l’enfance. Elle a milité quatre ans au Front National et a été élue conseillère municipale d’Échirolles en 2014. Elle a quitté le néo-FN en octobre 2014 pour fonder le groupe d’élus nationalistes indépendant Échirolles Fait Front ; elle a déjà été suppléante aux élections départementales de 2015, sur le canton d’Échirolles également.

00:20 Publié dans Législatives 2017 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |