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mercredi, 20 juin 2018

Bon anniversaire à Jean-Marie Le Pen

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" Quand les automobilistes français vont ralentir à 80, moi, j'accélère à 90. "

Jean-Marie Le Pen

19:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 22 juin : conférence d'Alain Escada à Paris

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18:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LETTRE D’AMERIQUE

ROLINAT J CL 1.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

Je viens d’achever mon 12e voyage aux Etats-Unis d’Amérique, ce pays-continent d’où nous vient le pire comme le meilleur, toujours avec quelques années de décalage. 

Les temps ont changé

Mais les temps ont changé. Depuis 1989,  le mur de Berlin est tombé et, un à un, les pays captifs de l’Europe de l’Est ont recouvré la liberté. Aujourd’hui l’OTAN, l’outil militaire de l’Alliance Atlantique,  apparait bien  plus comme une camisole de force  que comme une assurance-vie.

La menace soviétique n’existe plus et la Russie, sous la houlette de Vladimir Poutine, aspire à redevenir la Russie de toujours, une grande puissance continentale avec laquelle, naturellement, nous devrions commercer et coopérer au lieu de la considérer comme une pestiférée, et lui appliquer un embargo contraire à nos intérêts bien compris. Il est d’ailleurs étonnant, à ce sujet, de constater que certains talentueux  journalistes de notre famille de pensée au sens large du terme, aient les yeux de Chimène pour Washington, et que leur tropisme pro-américain obscurcisse leur jugement. Car enfin, la donne a changé, et les Américains sous la conduite de Donald Trump, redeviennent des Américains, c’est-à-dire une puissance consciente de sa force, leader autoproclamé et imposé du « monde libre », en un mot, une nation « impériale », voire impérialiste. On peut aimer le cinéma américain, parcourir avec jubilation l’immensité du pays, s’intéresser à l’originalité de ses institutions, sans pour autant adouber sa politique étrangère, essentiellement égoïste. Mais là, quoi d’étonnant, quoi de plus naturel ? Trump fait ce qu’il a dit et il défend les intérêts de son pays, - « America first » -, ce dont devraient s’inspirer nos propres dirigeants et tous les eurocrates de la galaxie Bruxelloise.

Des constantes et des variables

Des constantes dans l’attitude des Américains à l’égard du touriste étranger ? Oui, leur gentillesse et leur promptitude désintéressée, en général, à aider et à renseigner le visiteur, à s’efforcer même de balbutier  parfois quelques mots de français. Une main-mise japonaise confirmée sur le parc automobile et la domination des SUV et autres 4 x 4.

Et puis, tout y est toujours plus grand, tout est toujours excessif, voire extravagant. Le football américain comme le base-ball, me sont toujours aussi hermétiques et ces sports continuent de déchainer, dans les gradins des  stades, des grandes comme des petites villes, l’enthousiasme des locaux,  à grands renforts de démonstrations de « pom-pomgirls ». Les chaines de télévision sont toujours aussi nombreuses et les coupures de pub obsédantes. Le lent changement de population, comme chez nous, se poursuit et les villes, les grosses métropoles en tout cas, sont de plus en plus cosmopolites.

San-Francisco, par exemple, a un tiers de ses habitants  d’origine asiatique, et New-York comme Los Angeles sont des « villes-monde ». A la moitié du siècle, les Blancs ne seront plus que  49 % de la population, une population vieillissante. On comprend, dans ces conditions, les velléités de Trump à vouloir réguler sinon stopper, l’immigration. Un mur, comme le démontre celui réalisé en Hongrie, n’est pas une chimère quant à son efficacité. Qu’attend le congrès pour voter son financement ? Ce pays qui fut un creuset de peuples européens, le célèbre melting-pot, est aujourd’hui très largement multiracial, et les communautés ne  se retrouvent que sur les plus petits dénominateurs communs, le drapeau étoilé et le passeport bleu. Les variables s’observent dans la rue. La tendance à l’obésité, cette fois,  semble irréversible, frappant surtout la communauté noire,  mais pas que: les « belles du Sud » de jadis ont parfois tendance à avoir un bassin aussi large que celui du Mississippi ! L’économie repart à la hausse et le taux de chômage est de 3,8 %, hausse  également du salaire horaire moyen  à 26,92 dollars, baisse des impôts sur les sociétés, un « cadeau » du milliardaire américain qui a permis à celles-ci d’augmenter leurs salariés….

Contrairement aux tracasseries françaises, c’est simple comme « bonjour » pour créer son entreprise. Mais  si les clignotants économiques sont au beau fixe, il ne faudrait pas pour autant oublier qu’il existe une Amérique pauvre, qui habite dans des caravanes, des mobil home, et qui ne se soigne pas, faute de mutuelle. A San-Francisco encore, les homeless pulullent dans les rues comme les détraqués mentaux d’ailleurs, phénomène qui s’explique par l’insuffisance ou l’absence d’investissements sociaux. Le pays n’est pas homogène, ni culturellement, ni géographiquement bien sûr, encore moins ethniquement parlant.

Nos intérêts divergent

C’est un pays fascinant auquel nous devons beaucoup, certes. Mais l’inverse est aussi vrai : sans la politique d’aide de Louis XVI aux insurgents, - et Louisville dans le Kentucky, par exemple, rend hommage à notre souverain par une belle statue-, les treize colonies anglaises initiales, auraient pu avoir un autre destin. Mais il ne faudrait pas oublier que les USA d’aujourd’hui ont des intérêts qui divergent des nôtres : sur l’Iran, - et là l’Europe aurait une occasion unique de démontrer son utilité -, sur nos relations avec la Russie, sur la défense etc… Les Etats-Unis veulent appliquer un protectionnisme économique, droit  qu’ils refusent de reconnaitre  aux autres. Céder à leur pression, c’est se tirer une balle dans le pied ! Ne raisonnons plus comme si les Russes étaient toujours de méchants bolcheviks, les Iraniens chiites des « vilains » infréquentables, et les Saoudiens sunnites de« gentils » businessmen. Cessons d’être tétanisés par les menaces washingtoniennes, entamons le bras de fer avec Trump, cet homme-là ne connait que les rapports de force. Il a été élu par l’immense majorité de « petits blancs » contrel’establishment : c’est peut-être sympathique, mais cela ne doit pas nous dissuader, nous Français et Européens, de privilégier NOS intérêts.

Quand on voit que la BNP a dû payer une colossale amende pour pouvoir continuer ses activités dans les cinquante Etats, que Peugeot semble reculer sur le marché iranien, et que la vente des Airbus à ce pays est menacée, nous ne sommes pas rassurés !

18:50 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon : LE BASTION SOCIAL OCCUPE LE TOIT DE FORUM RÉFUGIÉS !

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Un communiqué du Bastion social :
 
Les militants du Bastion Social occupent ce mercredi le toit de l'immeuble abritant Forum Réfugiés, rue Garibaldi, à Lyon afin de dénoncer cette association subventionnée sans-frontièriste qui sert d'appel d'air à l'immigration clandestine.
 
Des millions de français vivent sous le seuil de pauvreté, fermons les complices de l'immigration afin que les aides sociales, l'accès au logement, l'emploi, la santé soient réservés uniquement à nos compatriotes !
 
Exigeons la préférence nationale pour que les nationaux redeviennent maîtres de leur destin et maîtres chez eux ! 

11:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : UNE NOUVELLE REVUE D'HISTOIRE EST NÉE

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PRÉSENTATION DE STORIA RIVISTA

A l'origine de cette heureuse initiative, un groupe d'hommes et de femmes de convictions dont certains sont issus du MSI, le Mouvement social italien. Parmi eux, notre ami Massimo Magliaro que les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien. Nous lui avons posé quelques questions...

Massimo bonjour, présentez-nous cette revue qui était en gestation depuis quelques temps et qui vient de sortir.

Cette nouvelle revue voit le jour en Italie veut être une revue à la fois de divulgation et d’approfondissement. C'est un projet ambitieuse et unitaire.

Son nom : Storia Revista (Histoire Revue) et sa publication bimestrielle. Elle compte un peu moins de deux cents pages.

Le "chemin de fer" de chaque numéro sera le suivant : la première partie est un recueil d’articles sur des hommes, des idées des faits qui concernent la droite en Italie et dans le monde ; la deuxième est un dossier monothématique consacré à un évènement, une célébration, un contexte raconté et analysé d’un point de vue de droite.

Pourquoi ambitieuse ?

Parce que la droite italienne (NDLR : comme partout en Europe) doit avoir l’ambition de retrouver ses valeurs, ses idées et son histoires qui l’ont maintenue unie et vivante pendant si longtemps. La droite doit aujourd’hui demander à l’Histoire, avant tout à son Histoire, les réponses nécessaires pour retrouver le langage perdu de sa propre unité et les raisons profondes de la convivialité, langage et raisons qui lui ont permis d’affronter avec dignité le monde qui continuait à l’assiéger impitoyablement.

Et tout ceci est fort ambitieux.

Mais il s’agit également d’un projet unitaire. Dès lors que ce ne sera pas uniquement la voix d’une « petite partie » de notre famille. Ce sera  la voix de toutes les expériences idéales qui ont rempli la vie, les rêves, les projets de ce milieu, qui lui ont donné la force et qui lui ont permis de vivre son propre temps avec fierté et orgueil alors que tout lui était âprement hostile.

Cette cohérence idéale, ce sens très fort d’appartenance enraciné dans ses gens constituent précisément aujourd’hui le patrimoine principal à récupérer et dans lequel puiser pour construire les routes de l’avenir.

Pourquoi le nom Histoire Revue ?

Revue signifie relue, étudiée de nouveau, analysée de nouveau, revisitée. Nous ne nous contentons pas des jugements codifiés, des stéréotypes moraux imposés par le «culturellement correct». L’Histoire, l’histoire avec un H majuscule, ne cesse jamais de parler, de fournir des éléments, des suggestions, du matériel varié. Elle ne cesse jamais d’être interprétée, comprise, jugée. C’est un livre qu’il faut ouvrir et rouvrir, toujours, qu’il ne faut jamais mettre de côté. C’est un terrain qu’il faut sans cesse labourer car il donne toujours ses fruits.

L’Histoire n’est pas seulement le passé; elle est le présent et aussi l’avenir.

Un présent qui n’a pas de passé n’aura jamais de futur, lit-on dans la présentation.

L’horizon dans lequel s’inscrit la revue est vaste, il part naturellement de l’Italie mais il se dilate dans le monde, là où il y a une droite à raconter.

Massimo, vous assurez la direction de la revue, mais qui sont les autres promoteurs de cette aventure éditorialiste ?

Histoire Revue s'est dotée d’un Comité directeur composé, outre moi-même, d’Alessandro Amorese, Adalbelto Baldoni, Mario Bozzi Sentieri, Roberto Rosseti et Marco Valle.

Nombreux sont les collaborateurs, surtout des jeunes. Même des étrangers.

C’est la jeune et aguerrie maison d’édition Eclettica Edizioni, de Massa, en Touscanie, déjà connue en Italie pour avoir fait publier des textes très intéressants et qui ont remporté un grand succès, qui en a assuré la publication. Il s’agit entre autres de la maison d’édition qui d’ici la fin de l’année publiera en exclusivité l’édition italienne des « Mémoires » de Jean Marie Le Pen.

Le premier numéro, qui sera présenté dans quelques jours à Rome et puis au fur et à mesure dans le reste de l’Italie, s’ouvre précisément sur la publication en exclusivité (NDLR : rédigée par le directeur, Magliaro) du chapitre des « Mémoires » de Le Pen consacré à la naissance du Front national (auquel sa fille, Marine, vient de changer le nom) et continue avec le premier fascicule d’une histoire ultra-documentée du Msi écrite par Baldoni, un texte inédit d’Amorese sur la monnaie clandestine frappée dans l’après-guerre par le Msi d’Apuania, le portrait du premier «federale» du Msi de Cagliari, Marigo, rédigé par Giuseppe Serra, le récit, signé par Bozzi Santieri, du rôle joué à droite par le quotidien milanais du soir La Notte, un essai de Nazzareno Mollicone sur la politique démographique du Fascisme, une analyse de la droite hongroise d’hier et d’aujourd’hui conduite par Marco Valle, et un inédit sur le jeune Johnny Halliday lorsqu'il était militant de la droite radicale française.

La deuxième partie de la revue est entièrement consacrée aux années ‘68. Le dossier a pour titre «Le singe de ’68. Cinquante ans après l’Italie paye encore le compte».

On y trouve des essais et des articles de Baldoni, Gennaccari, Amorese, Rossetti, Volante, Barbetti et Magliaro. Le dossier est enrichi de témoignages de certains des protagonistes de ces faits (entre les quels Jack Marchal), une anthologie de philosophes, d’historiens, d’économistes, de sociologues, d’essayistes, (Spirito, D’Eramo, Rasi, Ginsborg, Bedeschi, Vulpitta, Gnerre, Cipriani, Veneziani, De Mattei, Corrêa de Oliveira, Del Noce, De Turris, Bardèche, Duprat, Evola) et enfin une table ronde avec la participation de Pietro Cerullo, Gennaro Malgieri, Bozzi Sentieri et Adriano Scianca.

Chaque numéro deStoria.Revue coûtera 13 euros. L’abonnement annuel par contre 60 euros.

Le dossier du deuxième numéro, dont la sortie est imminente, sera consacré à Giorgio Almirante et à Pino Romualdi à l’occasion du trentenaire de leur mort.

Rappelons que nous devons à Massimo Magliaro la rédaction d'un Cahier d'Histoire du nationalisme (n°11) consacré à l'histoire du Mouvement social italien cliquez ici. Ce Cahier de 220 pages est sorti en février 2017 à l'occasion du 70e anniversaire du MSI fêter, à Paris à l'initiative des Amis de Synthèse nationale cliquez ici.

04:43 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |