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lundi, 17 septembre 2018

Dimanche 14 octobre : l'événement de rentrée de la Droite nationale

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14:26 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Me Frédéric Pichon : « Dans le procès Méric, on a fait celui des idées, pas celui des faits »

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Un entretien avec Maître Frédéric Pichon sur Boulevard Voltaire cliquez ici

 

 

 

 

Le procès des meurtriers de Clément Méric vient de se terminer. 11 ans de prison pour Esteban Morillo, 7 ans pour Samuel Dufour, et l’acquittement pour Alexandre Eyraud. Qu’avez-vous pensé du verdict ?

J’ai été un peu choqué par ce verdict. Il me semble quand même assez élevé compte tenu des circonstances. Je n’avais pas trop d’illusions sur la possibilité que la légitime défense soit retenue. A mon sens, elle aurait parfaitement pu et dû être plaidée. Elle ne l’a peut-être pas été suffisamment. Mais je ne fais aucun grief aux avocats de la défense qui ont fait un bon travail. Je crois tout de même qu’ils auraient dû pointer un peu plus lors des débats l’agressivité et la nature même des antifas qui ont un rôle évident dans ce drame.

On est dans un dossier dans lequel les personnes condamnées ont tout fait pour éviter cette bagarre. Cela résulte notamment de l’audition des vigiles qui ont été cuisinés par l’avocat des parties civiles.

Il n’y a pas eu d’acharnement. Seuls deux coups ont été portés. Concernant le poing américain, il y a plus qu’un doute, il n’y a aucun élément. Selon les principes généraux du droit pénal, si un doute existe, il doit profiter au prévenu. On a en fait appliqué l’inverse, le doute a profité à l’accusation. J’ai l’impression qu’on a fait le procès des idées et non pas le procès des faits.

Il y a eu beaucoup de réactions suite à ce procès. Des internautes se sont émus de l’exceptionnelle sévérité de la justice. Tous les juristes seront d’accord. La loi a été appliquée stricto sensu, voire avec une rigueur dont la justice française ne nous avait pas habitués.

Même si ce n’est pas en France, un migrant a écopé de 8 ans de prison en Allemagne pour avoir tué une Allemande. Dans cette histoire, on est face à des coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Voilà la vraie qualification. On voit bien que dès le départ c’était floué au niveau des qualifications.

J’étais dans ce dossier comme avocat de Katia Veloso, la petite amie d’Esteban. La première juge d’instruction était, me semble-t-il, assez correcte et impartiale. On lui a adjoint une deuxième juge d’instruction beaucoup plus politisée. Tout un contexte politique et idéologique a nui à la sérénité de l’instruction.

On ne peut pas dire que ce sont des juges qui sont aux ordres puisque ce sont des jurés d’assises, c’est à dire des citoyens élus comme vous pourriez l’être ou moi-même. Il y a toujours une part de hasard dans cette désignation. A priori ils n’ont pas eu beaucoup de chance de ce point de vue. On ne sait pas non plus quelle fut l’influence du président de la cour d’assises. Certaines influencent, d’autres laissent une certaine liberté. Je ne veux pas porter de jugement, car je n’ai aucun élément pour le présumer.

En tout état de cause, le verdict me paraît un peu sévère compte tenu des circonstances de ce dossier. Il n’y a pas eu d’acharnement. Il y a eu une agression initiale qui émane incontestablement de Clément Méric et de sa bande. Les accusés ont tout fait pour éviter la bagarre. Par conséquent, ce verdict me semble excessivement sévère. Je ne sais pas s’ils ont l’intention d’interjeter appel, mais à mon sens, cela mériterait un appel.

Hormis l’appel et un jugement plus clément, il ne semble plus avoir grand-chose à espérer.

S’ils ne font pas appel, ils pourront espérer une réduction de peine en détention. Mais avec une peine de 11 ans de prison, après avoir effectué 4 ans, il en reste encore beaucoup. Je ne laisserais pas passer cela. Même s’ils bénéficiaient de réductions de peine, retourner en prison alors qu’ils en étaient sorti, je ne sais pas comment il pourront faire pour se reconstruire par la suite.

11:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bruno Hirout, membre du bureau politique du Parti de la France, invité de Réinfo...

10:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nieppe 2018 : une belle journée de résistance nationale et identitaire près de Lille

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La 6e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale s'est déroulée dimanche 16 septembre à Nieppe près de Lille. Comme chaque année, les militants et sympathisants nordistes de la cause nationale se sont déplacés nombreux pour assister à cette réunion organisée par notre revue. Notons la présence aussi de plusieurs élus locaux, ce qui prouve l'intérêt grandissant que suscite notre action dans la région.

Le thème de cette journée était : "Face au formatage de la pensée dominante, la réinformation est une priorité militante". Il faut dire que l'actualité récente et l'inique verdict dans le procès Méric a donné du "grain à moudre" aux orateurs. Nous sommes en effet là devant la parfaite illustration du thème de la journée.

Ainsi, se succédèrent à la tribune : Luc Pécharman, délégué régional de Synthèse nationale, qui ouvrit la séance, Arnaud Raffard de Brienne qui a écrit plusieurs livres qui font références sur la désinformation, Marie-Jeanne Vincent, de l'excellent site Nous sommes partout qui mène un combat exemplaire à Calais (là aussi, la désinformation des médias aux ordres va bon train) prirent la parole lors de la première session.

Puis, au cours de la seconde, le Dr Jean-Pierre Cousteau, fils de Pierre-Antoine Cousteau et neveu du commandant, qui fait un énorme travail en collaboration avec les Editions Via Romana pour faire connaitre l'oeuvre de son père, nous a fait un passionnant exposé sur la vie de celui-ci. Vint ensuite l'aspect purement politique de la réunion avec le discours très "militant" de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France. Enfin, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, a conclu la journée en revenant sur le procès Méric en dénonçant la manipulation de l'information sur ce sujet. Il insista aussi sur la nécessité de s'engager, chacun selon ses possibilités et dans le domaine qui l'intéresse le plus, pour notre cause. Jamais la situation a été aussi propice au développement de notre combat. Cela dépendra de la mobilisation de chacun...

La journée s'est déroulée dans une ambiance à la fois studieuse, militante et sympathique. La 7e journée est dores et déjà programmée pour le dimanche 28 avril 2019. D'ici là, nombreux seront nos amis du Nord qui se déplaceront le dimanche 14 octobre à Rungis, près de Paris, pour assister à notre 12e Journée nationale et identitaire...

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02:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Partout en France : les premiers actes de soutien à Estéban et Samuel, victimes de la "justice" du Système

Paris, Place St Michel:

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Bordeaux :

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Lille :

Une quête pour les prisonniers politiques a été faite lors de la journée régionale de Synthèse nationale à Nieppe dimanche après-midi...

01:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |