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mardi, 18 septembre 2018

SORTIE PROCHAINE DU NOUVEAU LIVRE DE GEORGES FELTIN-TRACOL : LA TROISIÈME VOIE SOLIDARISTE (collection IDÉES)

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POUR LA TROISIÈME VOIE SOLIDARISTE :

Au début du XXIesiècle, dans une France à la fois bloquée par des syndicats officiels minoritaires, défigurée par de hauts-fonctionnaires bureaucrates et soumise aux injonctions voraces des firmes transnationales, la question sociale reste d’une brûlante actualité et se découvre complémentaire avec l’enjeu écologique et l’impératif identitaire.

Pendant qu’un étatisme collectivisant gaspille les ressources nationales et les offre aux oligarchies cosmopolites, les prescripteurs d’opinion valorisent toujours l’horreur libérale et célèbrent un étatisme néo-libéral largement intrusif dans la vie privée des habitants.

Georges Feltin-Tracol récuse autant le mirage collectiviste que le remède étatiste et les illusions libérales. Il propose au contraire de renouer avec la vieille tradition française de la troisième voie. Celle-ci se présente sous différentes facettes (le gaullisme de gauche, les solidarismes, l’approche socio-économique du frontisme à certains moments de son histoire, etc.). 

À la fois ouvrage d’histoire des idées politiques contemporaines et approche raisonnée de certaines solutions d’ordre coopératif, Pour une troisième voie solidaristeremet à l’honneur des réflexions économiques et sociales plus que jamais anticonformistes.

Table des matières :

Quelle troisième voie pour le XXIesiècle ?

Saluons le Bastion social de Lyon !

Que fleurissent mille Bastions sociaux !

Quand le socialisme n’était pas la gauche

Sur le socialisme européen de Jean Mabire

Positions tercéristes entre marxisme et libéralisme

Socialisme, libéralisme ou troisième voie ?

La troisième voie selon Bruno Mégret

L’entreprise au-delà des ruines

Qu’est-ce que le solidarisme ?

Aux sources russes du solidarisme

Le grand retour du solidarisme

Notes sur le gaullisme de gauche

L’ergonisme de Jacob Sher

L'AUTEUR :

Collaborateur à la revue Synthèse nationale, aux Cahiers d’histoire du nationalisme et au magazine nationaliste-révolutionnaire Réfléchir & Agir, Georges Feltin-Tracol dirige aussi le site Europe Maxima. Ses plus récents ouvrages sont Éléments pour une pensée extrême(Le Lore, 2016), L’Europe, pas le monde(Le Lore, 2017) et Elementos para un pensamiento extremo(Fides, 2018).

170 PAGES, 20 € + 4 € DE PORT)

Les Bouquins de Synthèse nationale (Collection IDÉES)

Sortie : le 10 octobre 2018

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L’enseignement de la langue arabe dans les écoles de la République française

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Bernard Plouvier

L’école a pour vocation d’apprendre quelque chose d’utile à ses élèves. Les humanités, l’instruction civique, en plus des données techniques (mathématiques, physique-chimie, biologie) sont les rudiments de l’enseignement secondaire.

En revanche, la langue des immigrants est une affaire de famille, sauf à vouloir former des agents commerciaux ou des spécialistes en cultures exotiques, ce qui relève de l’enseignement supérieur spécialisé.

C’est le cas de l’arabe, langue de la religion mahométane et d’une partie considérable de nos hôtes, plus ou moins désirés. Ces immigrés ont été initialement appelés par un patronat esclavagiste, puis l’on a parlé, chez un consortium de vieilles filles et de militants voués au cosmopolitisme, de l’intérêt d’accueillir des « réfugiés », sans trop s’appesantir sur le motif de leur expatriation, ni même sur les dates de naissance, puisqu’on a fait passer pour des « mineurs d’âge » des centaines de milliers d’adultes en Europe occidentale et scandinave.

L’immigration pour cause économique s’est transformée en une invasion, trop souvent violente : on le sait depuis les années 1980, où ont débuté les émeutes raciales et où se sont créées des zones de non-droit sur le territoire français (et belge). Avec les années 2014 sq., s’est implantée en Europe la pratique mensuelle des actes terroristes, au nom d’une religion d’essence médiévale, c’est-à-dire à la fois très violente et obscurantiste dans ses dogmes et ses pratiques.

On aurait pu penser qu’en France, les gouvernements de la République auraient à cœur de défendre la Nation autochtone – seule légitime détentrice du Pouvoir, seule souveraine, si l’on en croit les jolies phrases de la Constitution – des excès en tous genres commis par les envahisseurs et de garantir cette laïcité dont on nous avait rebattu les oreilles.

Bien au contraire, les titulaires apparents du pouvoir, élus par une majorité d’aveugles, crétinisés par une propagande absurde, ont favorisé par tous les moyens, et continuent de le faire, l’implantation des immigrés d’origine extra-européenne, qui ne sont ni porteurs de civilisation, ni décidés à s’intégrer à la Nation, comme le prouve l’exigence linguistique, tarte à la crème de la presse bobo-gaucho-cosmopolite depuis près d’un lustre.

Effectivement, les nombreuses associations d’immigrés ou de pro-immigrés réclament l’enseignement de l’arabe dès l’école primaire. Sauf à nier l’évidence, le mépris pour le français, langue officielle de la République, et l’appétence pour une langue exotique témoignent d’un refus d’intégration à la culture européenne.

De fait, l’invasion de Maghrébins et de Proche Orientaux est puissamment soutenue par l’islamo-pétrodollar et par les retombées du trafic de haschich. Cet argent sert d’argument massue à ceux qui souhaitent islamiser l’Europe et métisser ses populations, un argument fort bien perçu par les corrompus de la Ripoublique.

La morale de cette triste histoire est elle aussi évidente : il appartient aux électeurs de réagir, de façon démocratique, avant qu’il ne soit trop tard et que ne vienne l’heure de la violence.       

11:49 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEAN-MARIE LE PEN INTERVIENDRA LE DIMANCHE 14 OCTOBRE LORS DE LA 12eJOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS (94)

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00:19 Publié dans 12 - La 12e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sanctions contre la Hongrie : le système a peur…

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Jean-François Touzé
Secrétaire national du Parti de la France
 
En votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes.
 
En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
 
Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
 
Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
 
Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
 
Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
 
Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
 
Et nous, nous ne céderons rien.
 
NDLR : Sur la Hongrie, lire le livre de Jean-Claude Rolinat, La Hongrie, sentinelle de l'Europe

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00:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |