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mardi, 18 décembre 2018

Jeudi prochain, 20 décembre, Philippe Bornet invité de Synthèse sur Radio Libertés

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19:51 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’Occident proxénète

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Bernard Plouvier

Effaré de l’aide nord-américaine qu’il recevait de 1917 à 1922 (et ensuite, mais durant ses dix-huit derniers mois de vie, il était trop gâteux pour continuer ses réflexions), Wladimir Oulianov-« Lénine » disait : « Les capitalistes nous vendront jusqu’à la corde pour les pendre ».

De fait les prêts des banques new-yorkaises permettaient à la jeune Russie soviétique d’acheter à crédit – et souvent à prix bradés – des biens d’équipement... et, après tout, du matériel d’exécution, c’est un bien d’équipement comme un autre, fort utile en certaines circonstances, comme notre proche avenir risque de nous le démontrer.

Car de nos jours, emmenés par la crème des capitalistes des USA, les grandes sociétés jouent avec le feu. Mais l’islam a remplacé, en capacité de séduction pour nos maîtres et en capacité de nuisances pour le bon peuple, l’immondice marxiste.

Google vient de lancer une alerte destinée aux fils et filles d’un certain allah pour leur permettre de dénoncer les sites blasphématoires et les propos injurieux pour leur si douce et si tendre religion. Les barres Toblerone, l’un des joyaux des très mercantile Helvètes, est désormais certifié halal, comme des dizaines de marques de foies gras et la production de quantité de boucheries industrielles.

L’on pourrait multiplier les exemples de ce qu’il faut bien appeler une prostitution à visée commerciale. Nos merveilleux politiciens, fortement branchés sur la quête de fonds électoraux en provenance des milliardaires en islamo-pétrodollars ne se conduisent pas mieux : une fois élus, ils ouvrent les terres d’Occident aux hordes d’envahisseurs.

Divers rappeurs beuglent : « La France est une putain » ! Ils sont bien loin de la réalité. C’est tout l’Occident qui est prostitué, vendu, trahi par ses soi-disant élites au nouvel Empire du mal. Après les invasions mongoles, après la barbarie marxiste, les hommes et les femmes d’Europe doivent affronter un retour en force de l’islam conquérant

Hélas, cette fois-ci, il n’y a ni Charles Martel ni Cid Campeador, mais des financiers prêts à vendre n’importe quoi, y compris les Nations d’Occident, pourvu qu’ils continuent à s’enrichir fabuleusement.       

16:50 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le n°50 de l'Aristoloche

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13:40 Publié dans L'Aristoloche (Pierre de Laubier) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quelques livres utiles pour vos cadeaux de Noël et de fin d'année...

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Vous pouvez les commander en ligne cliquez ici

13:16 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A Bruxelles : gigantesque démonstration de force contre le Pacte génocidaire de Marrakech

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La presse européenne n’a pas donné beaucoup de place à la manifestation populaire contre la pacte de Marrakech qui a paralysé le cœur de Bruxelles. Pourtant, il s’agit de la première révolte populaire contre un pacte qui veut notre mort comme peuple. Seuls les journalistes anglais du Daily Mail lui ont accordé l’importance qu’elle méritait. Ci-après un extrait de leur reportage.

Le dimanche 16 décembre, à l’appel des nationalistes flamands, près de dix mille personnes se sont rassemblées à Bruxelles pour manifester leur opposition au pacte mondial des Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. On remarquait dans le cortège des élus du Vlaams Belang comme Filip De Winter et des jeunes de la NV-A dont le part a quitté la coalition gouvernementale en raison de son opposition à la signature par la Belgique du pacte.

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11:29 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gilets jaunes : l'analyse du Parti de la France sur la dernière journée d'actions...

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Jean-François Touzé, secrétaire national du PdF
 
Au lendemain d'un acte V marqué par un net étiolement du mouvement en partie dû à une certaine lassitude, mais surtout au sens des responsabilités de la majorité des Gilets jaunes qui veulent le rapport de force mais pas le chaos et au refus de l'OPA lancé par l'extrême gauche, il est temps de dresser, du point de vue politique et national qui est le nôtre, un bilan de ces cinq semaines de mobilisation.
 
Les points positifs
  • Le réveil du peuple français. Cette France oubliée, silencieuse, cette France majoritaire et pourtant marginalisée par les pseudo-élites, cette France « périphérique », ce pays réel s'est levé, a crié sa colère et hurlé son ras-le-bol. Cette France assommée de taxes, étranglée par les carcans administratifs punitifs, bâillonnée dans son expression et méprisée par les chapeaux à plumes de Paris, cette France en première ligne de toutes les crises et confrontée, au quotidien, aux méfaits de l'immigration et du mondialisme s'est levée et, désormais, quel que soit l'avenir des Gilets jaunes en tant que tel, ne se couchera plus.
  • Les quelques mesurettes d’annulation des hausses (taxe sur le carburant et CSG pour les retraités les plus modestes) et la vraie fausse hausse du SMIC de 100 euros arrachées au gouvernement. Ce qui est pris n'est plus à prendre même si tout cela peine à être mis en œuvre et aura un prix (10 milliards d'euros) qui sera prélevé dans la poche du contribuable, ce qui revient à déshabiller Pierre pour habiller Paul.
  • Le recul du gouvernement. Les Gilets jaunes ont eu raison de l'arrogance macronienne et des certitudes du petit prince de l'Élysée contraint de renoncer à ses projets flamboyants et désormais durablement atteint sur le plan intérieur comme sur les scènes internationales et européennes.
  • L’affaiblissement du pouvoir. Tout ce qui entame le Système est bon à prendre. Il est aujourd'hui ébranlé. Ses bases ont vacillé. Ses murs sont lézardés. L'édifice tout entier est fragilisé. Même les revendications bric-à-brac sur la démocratie participative et directe vont dans le sens de l'épuisement du régime. À noter toutefois que le référendum citoyen cher à Mélenchon (tout comme ses jurys du même métal, véritables soviets à peine modernisés), largement revendiqué par les Gilets jaunes ce samedi, n'est pas de même nature que notre référendum d'initiative populaire que nous réclamons depuis des décennies.
  • La mise en évidence de l’incapacité de la soi-disant puissance publique à maintenir l'ordre durablement et dans un même temps sur l'ensemble du territoire. En espérant – sans trop y croire cependant – que l’alerte aura été entendue pour que, demain, lorsque pour une raison ou pour une autre la racaille envahira massivement les rues de nos villes, les forces de l’ordre soient en mesure de faire face.
Les points négatifs
  • L'inorganisation du mouvement facteur d'erratisme stratégique, d’inconstance revendicative, d’inaptitude au développement au-delà de sa base initiale, d'absence totale de rigueur, de confrontation de circonstances avec les forces de l'ordre et de débordements contre productifs.
  • La remise en selle de la France Insoumise qui, même si elle ne semble pas pour le moment en profiter sur le plan électoral, a, jouant de l'inexpérience des manifestants, engrangé sur le terrain ; la porte ouverte aux manœuvres trotskistes (omniprésents sur les ronds points à partir du 1er décembre) ; le retour des communistes (le PC s'est largement mobilisé dans les Hauts de France et en Occitanie ou à Marseille et Toulouse où la CGT et les « comités de lutte » squattaient et orientaient samedi le cortège) ; le glissement vers les revendications syndicales au nom de la « convergence des luttes », glissement sensible dans les slogans et la sémantique (récupération de la CGT et de Sud).
  • Les effets induits sur l’économie, sur la croissance, sur les commerces (principalement impacté le petit commerce avec, si l'on en croit le Président de la Confédération des Commerçants de France, une baisse de 40 % à 70 % du chiffre d’affaires selon les zones, cela en pleine période de Noël, sans même parler des saccages et pillages de la racaille), sur le tourisme, sur l'emploi saisonnier et à terme sur l'emploi tout court, qui vont à l'encontre de l’intérêt du pays et du peuple, singulièrement des classes moyennes.
Il ne nous appartient pas de dire aux Gilets jaunes ce que doit ou peut-être la suite de leur mouvement. Les débats citoyens organisés en mairies qui risquent fort de se résumer à un psychodrame généralisé ne sauraient constituer l'horizon indépassable de la lutte du peuple surtout quand celui-ci, tout en soutenant les revendications légitimes, se garde bien, dans son immense majorité de participer aux mobilisations. L'effet de loupe des chaînes infos ne durera, quant à lui, qu'un temps. La politique ne pourra, dans ces conditions, que reprendre ses droits.
 
C'est, en effet, par le combat politique et seulement par lui que se fera le relèvement de notre Nation. Le Parti de la France se devra d'être au rendez-vous.

10:56 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

À droite contre le Système

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Il est d’usage par les temps qui courent d’annoncer la fin du clivage droite gauche. L’opposition entre libéraux et collectivistes ayant pratiquement disparu et les différences de programme entre les partis de la classe politique étant des plus limitées, beaucoup en déduisent que la droite et la gauche n’existent plus. Ligne droite estime qu’il s’agit là d’une vision erronée qui ne doit pas dissuader la droite nouvelle d’assumer pleinement un positionnement de droite. Si en effet l’antagonisme d’ordre économique entre les partis s’est estompé, rien cependant ne permet de conclure à la disparition du clivage droite gauche car ce dernier existe de façon permanente sur plusieurs questions fondamentales qui n’ont rien de conjoncturel.

Deux visions du monde opposées

D’abord, la gauche croit en un certain déterminisme historique quand la droite considère que la volonté permet aux hommes de maîtriser leur destin. La droite pense ainsi que les grands hommes sont en mesure d’écrire l’histoire alors que la gauche estime que celle-ci ne peut résulter que des mouvements de la société. De même, la gauche considère que l’humanité marche vers un progrès inéluctable alors qu’à l’inverse, la droite sait que les civilisations peuvent connaître le déclin.

Par ailleurs, la gauche est internationaliste et, même s’il lui est arrivé dans son histoire de soutenir la nation, elle l’a toujours fait au nom de valeurs prétendument universelles. La droite de son côté met en avant les notions opposées de communauté, de tradition, d’enracinement et d’héritage.

Quant à leur vision de l’homme, elles sont radicalement différentes. Pour la gauche, l’homme est déterminé par son milieu et son éducation alors que pour la droite chaque homme est une personne unique et autonome. Dès lors, les inégalités résultent pour les uns des structures sociales quand elles viennent pour les autres de prédispositions acquises dès la naissance. De ce fait, la gauche considère l’égalité comme une valeur suprême alors que la droite est davantage attachée à l’idéal de liberté et notamment au libre arbitre individuel. Aussi pour la droite les hommes sont-ils responsables d’eux-mêmes et de leurs actes quand la gauche a tendance à incriminer la société plus que ses membres.

La droite absente ou culpabilisée, la gauche masquée mais dominante

Ces quelques constats, bien que partiels, suffisent à montrer que le clivage droite gauche correspond en fait à deux visions du monde qui se différencient clairement et qui ne peuvent que perdurer. La droite et la gauche existent donc encore aujourd’hui et existeront sans doute encore longtemps.

Il est vrai qu’actuellement les cartes sont brouillées et qu’on ne distingue plus clairement où se situent les uns et les autres. Car la droite est absente ou refuse de s’assumer et la gauche est dissimulée. Aussi nos compatriotes ne sont-ils pas conscients qu’en réalité la gauche domine toute la société à travers le Système et le politiquement correct. La pensée unique, qui peut être considérée comme l’idéologie du Système, est en effet loin d’être consensuelle et dans les faits partage pleinement la vision du monde propre à la gauche.

L’immigrationnisme, une logique de gauche

Ainsi par exemple, l’adhésion du Système au processus d’immigration est-elle le signe patent de son positionnement à gauche. La pensée unique rejette en effet l’idée selon laquelle les individus se définiraient à travers leur patrimoine génétique et leur lieu d’enracinement. Une vérité qui conduit la droite à respecter l’identité de chacun et à considérer en conséquence la venue massive d’étrangers sur notre sol comme une menace majeure. La conception de l’homme propre à la gauche la mène au contraire à accepter l’immigration sans réserve ni réticence. Pour elle, en effet les hommes sont déterminés par leur milieu et leur éducation, ils sont donc interchangeables dès lors qu’ils reçoivent la formation adaptée. Pour la gauche, il n’y a donc aucun obstacle à ce qu’un Africain immigre et remplace un Européen. Le mondialisme migratoire propre à la pensée unique place donc celle-ci sans conteste dans le camp de la gauche.

Le déconstructivisme, une nécessité pour la gauche

Mais il y a plus, car si la pensée unique est de gauche, c’est aussi en raison de son caractère déconstructiviste. La propension du Système à valoriser l’égalité le pousse en effet à vouloir niveler les situations et, dans la société déjà très égalitaire qui est la nôtre, à aller au-delà et à vouloir gommer les différences, qu’elles soient de sexe, de race ou d’orientation sexuelle par exemple. Comme par ailleurs la gauche considère que l’homme peut être façonné par la société, il est logique qu’il cherche à détruire les structures et les valeurs, responsables, selon lui, des inégalités, des hiérarchies et des discriminations. Alors que la droite entend défendre ses valeurs, son héritage et ses traditions, les principes de la gauche la conduisent donc à la déconstruction. Aussi la pensée unique qui œuvre à cette funeste entreprise s’affirme-t-elle là encore pleinement de gauche.

La globalisation économique, un projet de gauche

Tel est également le cas s’agissant de la globalisation économique. Une réalité défendue par la pensée unique et qui la positionne là encore dans le camp de la gauche. Certes, cette mondialisation repose sur un ultralibéralisme qui peut paraître contraire au credo de la gauche. Mais entre le but qui est la mondialisation et la méthode qui est le libéralisme, la gauche fidèle à sa nature internationaliste, donne en effet la priorité à l’objectif du mondialisme. Et il est frappant de constater à cet égard que les mouvements d’extrême gauche qui s’attaquent au dispositif ultralibéral des échanges commerciaux n’en contestent pas le volet mondialiste au point de se désigner eux-mêmes comme des altermondialistes. Ajoutons enfin que la gauche qui croit à une forme de progrès indéfini ne peut qu’adhérer au projet de globalisation et à l’idée utopique de l’unification du genre humain qui en résulte. Là encore, la pensée unique se trouve marquée à gauche par son engagement en faveur de la globalisation.

La pensée unique est de gauche

L’idéologie sous-jacente à la pensée unique fondée sur le mondialisme migratoire, l’ultralibéralisme et le déconstructivisme est donc globalement et sans ambiguïté de gauche. Inversement, ceux qui s’y opposent en prônant la sauvegarde de notre identité, la régulation des échanges économiques et la défense de nos valeurs de civilisation sont à l’évidence de droite.

À droite contre le Système

Le clivage droite gauche est donc toujours d’actualité, il a seulement changé de nature et d’objet. La gauche n’a pas disparu, elle s’incarne maintenant dans le Système et dans la Nouvelle Gauche de Macron portés l’un et l’autre par la pensée unique et le politiquement correct. Aussi la droite nouvelle que préconise Ligne droite doit-elle se positionner clairement à droite contre le Système.

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10:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |