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jeudi, 28 novembre 2019

Redoutant «que Julian Assange puisse mourir en prison», 60 médecins internationaux lancent l'alerte

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Alors que le lanceur d’alerte est actuellement détenu à Londres et risque l’extradition vers les États-Unis, soixante médecins ont publié une lettre ouverte alertant sur son état de santé très préoccupant. Ils appellent les autorités britanniques à réagir.

Dans une lettre ouverte publiée ce 25 novembre, plus de soixante médecins, en provenance de divers pays mais en majorité britanniques, ont attesté leurs profondes inquiétudes sur l’état de santé du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange. Actuellement détenu dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, dans le sud de Londres, le lanceur d’alerte a vécu reclus dans une pièce exiguë aménagée en studio, au sein de l’ambassade de l’Équateur à Londres, du 19 juin 2012 au 11 avril 2019.

Julian Assange « désormais en danger »

« Nous écrivons cette lettre ouverte, en tant que médecins, pour exprimer notre grave préoccupation sur l’état de santé physique et mental de Julian Assange », débute la missive écrite par ces professionnels du corps médical et adressée à la ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel et à Diane Abbott, chargée des mêmes questions au sein du Parti travailliste, principale formation d’opposition en Angleterre.

Les signataires de ce courrier poursuivent en exprimant leur « sérieuse inquiétude collective » tout en souhaitant « attirer l’attention de l’opinion publique et du monde sur cette situation grave ». « Nous sommes d’avis que M. Assange a besoin d’urgence d’une évaluation médicale de son état de santé physique et psychologique », témoignent ensuite les soixante médecins, parmi lesquelles figurent des Américains, des Australiens, ou encore des Suédois.

Ces-derniers suggèrent même que le fondateur de WikiLeaks devrait être transféré dans un hôpital doté de personnel qualifié afin d’y recevoir les soins adéquats. « [Sans cela] nous redoutons vraiment, sur la base des éléments actuellement disponibles, que Julian Assange puisse mourir en prison », alertent-ils.

Nils Melzer, rapporteur spécial de l’Organisation des Nations unies (ONU) sur la torture, avait déjà exprimé ses craintes, début novembre, en affirmant que la vie de Julian Assange était « désormais en danger ».

Il avait alors précisé que de « nouvelles informations médicales transmises par plusieurs sources fiables [affirmaient] que la santé de Julian Assange [était] entrée dans un cercle vicieux d’anxiété, de stress et d’impuissance, typique des personnes exposées à un isolement prolongé et à un arbitraire constant ».

Une peine encourue allant jusqu’à 175 ans d’emprisonnement

Actuellement détenu à Londres, le lanceur d’alerte risque l’extradition vers Washington. Il encourt une peine allant jusqu’à 175 ans d’emprisonnement aux États-Unis, qui lui reprochent d’avoir mis en danger certaines de leurs sources au moment de la publication, en 2010, de 250 000 câbles diplomatiques, et d’environ 500 000 documents confidentiels portant sur les activités de l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.

Sorti blanchi par le parquet de Suède le 19 novembre dans le cadre d’une accusation pour viol, une audience prévue en février 2020 sur une éventuelle extradition vers les États-Unis attend désormais Julian Assange. Le lanceur d’alerte fait actuellement face à 18 chefs d’accusation.

Source: RT France

18:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Attaque "antifas" à Rennes : réaction du Parti de la France

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L'avis de Jean-François Touzé

Soutien aux étudiants du journal "L'étudiant libre" victimes d'une violente attaque des antifas lors de la réunion qu'ils tenaient mercredi soir à Rennes.

Une fois de plus la vermine gauchiste, auxiliaire d'un Système qu'elle n'a jamais cessé de servir, a accompli ses basses œuvres.

Espérons que les jeunes conservateurs agressés dont certains ont été sérieusement blessés auront ainsi compris que l'engagement politique national n'était pas un simple échange intellectuel entre "gentlemen" et ne se réduisait pas au seul champ du "méta".

17:54 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Angers, vendredi 13 décembre : Bruno Gollnisch à l'Alvarium

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17:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

TOUS UNIS LE 5 DECEMBRE POUR LA DEFENSE DES DROITS « ZAKIS », DES PRIVILEGES CATEGORIELS ET POUR LE MAINTIEN DES INEGALITES ?

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Pieter Kerstens

Quand un pays comme la France accumule les déficits budgétaires année après année et une dette de 2.400 milliards d’euros, on peut quand même se poser la question de savoir qui va payer l’addition.

Ce poids financier réel sera supporté par nos enfants et petits enfants durant leurs vies professionnelles et handicapera lourdement le développement de l’activité économique durant des décennies.

Le docteur Micron n’est pas mon préféré, mais certains de ses constats relèvent du bon sens quand il déclare « qu’il faut traverser la rue pour trouver du boulot », que dans une gare « certains ne sont rien » ou encore que dans un abattoir « certaines ouvrières sont des illettrées », phrases qu’il faut replacer dans leur contexte, mais qui sont des réalités. Et qui pourrait contester que parmi les 6 millions de chômeurs indemnisés, des centaines de milliers parasitent le système au détriment de ceux qui en ont le plus besoin ?

C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.

Depuis fort longtemps les gouvernements successifs n’ont pas su, pas voulu ou refusé d’appliquer les réformes structurelles indispensables à l’assainissement des finances publiques. Il est indispensable et urgent de montrer maintenant un réel courage politique face au chaos qui règne dans l’Hexagone.

Je ne parle pas ici des régimes « autonomes » gérés en bon père de famille depuis fort longtemps, ni des régimes complémentaires destinés à améliorer les pensions futures, mais bien des régimes « spéciaux », privilèges de certaines castes et propriétés des syndicats, dont par ailleurs les prérogatives devraient être revues.

En outre, il serait souhaitable de se pencher efficacement sur la gestion des deniers publics dans toutes les administrations et dans tous les secteurs, car là aussi existe un gaspillage phénoménal.

Déjà dans les années 1980, l’Etat avait puisé dans le régime général des retraites du privé pour boucher le trou des retraites des fonctionnaires. Années après année, l’armada œuvrant dans les divers secteurs de la Fonction Publique est responsable de l’hémorragie financière qui creuse l’abîme des finances publiques. C’est pourtant une réalité qu’on passe sous silence que les actifs n’arrivent plus à payer les retraites des agents de l’Etat, que ce soit au niveau national, régional, départemental, municipal et dans les entreprises publiques.

Quand on voit que seuls 48% des foyers fiscaux payent des impôts sur le revenu, il est bien temps de réduire les dépenses de la France et de tenir un langage de vérité en dehors de toute démagogie ou de discours clientélistes.

Peut-on effectivement maintenir un système de régimes « spéciaux » avec des départs à la retraite à 55 ans et une pension moyenne de 3.500 euros par mois comme à la RATP ? Et pour la SNCF une retraite à 57 ans et 2.750 euros par mois ? Accepter qu’un ancien fonctionnaire d’un service culturel, actuellement « Gilet Jaune », bénéficie depuis plus de 10 ans d’une mise à disposition avec une indemnité de 2.600 euros par mois ?

OUI, en France, 80% de la population bénéficie des largesses de l’Etat Providence et les 15% des plus défavorisés n’en voie pas les attraits, ni les 5% des plus nantis qui n’en n’ont nul besoin.

Ce sont effectivement les classes moyennes qui en supportent les inconvénients financiers, sous forme de taxes, d’impôts divers et de charges « sociales » plus nombreux depuis 40 ans.

Et pour les indépendants, les agriculteurs ou les petits commerçants qui ne cessent de rouspéter, personne ne s’avise de leur demander combien d’argent « noir » ils ont accumulé au fil de leurs années d’activité afin de se constituer un « bas de laine » (sous diverses formes) en vue de leurs années de retraite. Chacun d’entre nous en connait plusieurs qui font preuve de modestie.

Travailler plus pour gagner plus ?

Le devoir de mémoire nous oblige à se rappeler que l’allongement de l’espérance de vie a été porté de 63 ans en 1948 à 77 ans en 2017, soit 14 années de plus en moyenne en 70 ans. Mais durant cette période, l’âge de la retraite avait été diminué de 65 à 60 ans en 1981, par François Mitterrand, par pure démagogie et électoralisme, alors même que le chômage allait en augmentant et diminuait par conséquence le nombre des cotisants ! Cet écart d’une retraite plus longue (quasi 20 années) est bien sûr le facteur prépondérant du déficit des régimes de retraite, tous secteurs confondus.

Le fait que la ministre Aubry ait imposé une durée hebdomadaire du travail à 35 heures n’a pas non plus amélioré la compétitivité de notre économie, déjà handicapée par des règlements plus idéologiques que fondés sur l’efficacité, et ce, au titre d’un principe de précaution instauré dans divers domaines industriels ou commerciaux.

L’évolution de la démographie en France comme dans la plupart des pays européens, avait donné lieu en 2000 à un rapport d’une commission de l’ONU, présidée par M. Jamie, qui préconisait une immigration extra-européenne de 150 millions d’individus afin de pouvoir suppléer au manque de financement des retraites pour les divers pays de l’Union Européenne. Tous ces migrants auraient-ils été (ou sont-ils) des travailleurs cotisants aux régimes sociaux des retraites ? L’exemple de l’Allemagne, qui avait accepté 1.500.000 nouveaux immigrés

en 2015, montre à l’évidence que 70% de ceux-ci ne répondait en aucune façon aux critères de réfugiés, et que seul à peine 30% ont été intégré au marché du travail !

Hormis le fait de combler le gouffre financier des retraites futures par les contribuables, comme c’est le cas actuellement, il devrait être envisageable de pouvoir adopter des mesures structurelles :

  • Ramener l’âge de la retraite, comme avant 1981, à 65 ans pour tous.
  • Exiger au minimum 160 trimestres de cotisation pour une pension à 100%
  • Augmenter le taux de cotisation retraite pour tous les salariés, dans le public comme dans le privé.
  • Diminuer le montant des retraites au-delà des 5.000,00€ par mois.
  • Octroyer un bonus de 5% par an pour ceux qui choisissent de partir à la retraite après 65 ans.
  • Pour ceux qui le désirent, départ anticipé à la retraite avant 65 ans avec un malus de 5% par an.
  • Pour les mères de famille, bonus de 2 ans par enfant, par carrière d’au moins 20 années.

Afin d’augmenter les recettes de l’Etat, améliorer et augmenter la répression des fraudes.

Il n’est plus un secret pour personne, que 600 milliards d’euros appartenant à des résidents français dorment toujours dans les paradis fiscaux. Que faire alors pour exiger leur rapatriement ?

 Et tous les ans, les fraudeurs du fisc (argent « noir » liés aux divers trafics, fraude à la TVA, fausses factures et blanchiment, omissions volontaires, etc..) volent plus de 60 milliards au budget de l’Etat.

En outre, différents rapports récents ont mis à jour des fraudes sociales et administratives (usurpation d’identité, fausse déclaration, escroquerie et faux en écriture) qui s’élèvent au minimum à 14 milliards d’euros tous les ans, creusant le déficit de la Sécurité Sociale.

Pour les fraudeurs viscéraux et invétérés il est indispensable que la Justice se montre plus ferme, prononce plus de peines de prison effectives et mette le patrimoine des condamnés sous séquestre.

Ces divers « manque à gagner » pourraient aussi aider à l’équilibre des finances publiques et en conséquence diminuer d’une manière significative la dette publique.

Il est vrai que le droit de grève est reconnu, mais la liberté du travail doit primer sur toute autre considération !

17:24 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Strasbourg : LE "NOUVEAU DÉPART" DU PARLEMENT EUROPÉEN C'EST L'HORREUR ABSOLUE

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Dans son discours d'investiture prononcé mercredi devant le parlement européen réuni à Strasbourg, la nouvelle présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula Von der Leyen, a annoncé un "nouveau départ" pour l'UE.
 
Écologie punitive, soumission à la Stasi climatique internationaliste, renforcement du totalitarisme droit-de-l'hommien, acceptation idéologique de l'immigration massive, encouragement à la venue de nouveaux "réfugiés", dictature des bons sentiments, bureaucratie technocratique tatillonne et soviétoïde, obéissance à la financiarisation et aux lobbys, alignement sur les positions américaines, intégration atlantiste... C'est ce que madame Von der Leyen appelle "un nouveau départ".
 
Nouveau départ vers le sur place de l'impuissance et du néant européen.

09:20 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macron ou le triomphe de la destructrice pensée néolibérale

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Par Johann Chapoutot*

Macron a une signification historique réelle : il est l’artisan zélé du néolibéralisme dont il veut assumer la règne en France. Sa « révolution » est l’introduction d’un programme néolibéral trop longtemps retardé. ( …) Le moment néolibéral fut inauguré en 1979, avec la victoire de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, puis celle de Reagan aux Etats-Unis en 1981. Après la tentative chiraquienne, celle de 1986, et malgré les accommodements de la «gauche» dite «de gouvernement», la France a du retard ! La logique purement comptable et rentable n’a été introduite à l’hôpital qu’en 1995, avec la tarification à l’acte, puis en 2002, avec les «indicateurs de performance» dans la police, grâce à Sarkozy, avant d’arriver à l’université en 2007, avec Pécresse. L’«efficacité» peut désormais être évaluée – en burn out, en blessures à vif et en morts. Education, santé, police : la «pensée complexe» du génie du Touquet sape et détruit ces trois piliers de la nation. Avec les drames que nous vivons, cette «pensée» apparaît pour ce qu’elle est : bête et méchante.

 (*) Historien, professeur d’histoire à la Sorbonne

Libé 28/11/2019

03:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |