mercredi, 19 août 2020
LE MALI AUX MALIENS, LA FRANCE AUX FRANÇAIS
Kofi Yamgnane à propos de la décolonisation : "c'était quand même mieux du temps des blancs !" (sur le plateau de LCP le 7 novembre 2010)
Pieter Kerstens
Depuis plus d’un demi-siècle, la majorité des pays asiatiques, du Moyen-Orient ou d’Afrique ont acquis leur indépendance et le choix de se diriger en toute liberté, comme ils l’entendaient.
Lors de leur départ, les colonisateurs ont laissé sur place tout un réseau de communications terrestres, portuaires et des aérodromes. N’oublions pas les écoles, collèges et lycées, les hôpitaux et les dispensaires, ni les infrastructures administratives, toutes constructions laissées intactes par les Anglais, les Français, les Espagnols ou les Portugais et à la disposition des nouvelles autorités nationales.
Mais certaines bonnes âmes, intellectuelles, politiques, médiatiques ou non gouvernementales ne cessent de nous seriner à longueur de temps qu’il serait indispensable de continuer une aide sociale, économique et financière afin de sortir ces anciennes colonies du dénuement et de les développer au nom d’une solidarité, des Droits de l’Homme ou de la mondialisation heureuse.
C’est ainsi qu’au fil des ans, des centaines de milliards d’euros ont été envoyés à ces pays africains, sans pour autant que les populations concernées sortent de la pauvreté ou de la misère, contrairement à divers pays asiatiques qui, eux, ont réussi à améliorer le niveau de vie, l’économie ou le système social de leur population (Corée du Sud, Philippines, Indonésie, Thaïlande, Inde, Birmanie ou Malaisie, par exemples), après l’accès à leur indépendance.
En Europe, de tous côtés et sur tous les tons, la mafia politico-médiatique essaye ces dernières années de nous culpabiliser et de nous rendre responsables des naufrages de certains pays africains en route vers le chaos et le gouffre. Ceci est intolérable et non justifié.
A l’époque des anciennes colonies, la plupart de ces pays étaient auto suffisant du point de vue alimentaire et les famines étaient en régression, tout comme l’hygiène sanitaire occupait la priorité des administrations sur place, ainsi que l’alphabétisation des plus jeunes.
NON, l’homme blanc n’est plus aujourd’hui responsable du destin et de la situation des peuples africains. Qu’ils prennent leur futur en mains et cessent de quémander.
Certains nous ont imposé une intervention militaire en Irak, en Afghanistan, en Syrie, en Lybie, au Mali, au Niger, au Burkina Fasso, au Tchad et ailleurs, sous prétexte de limiter ou de stopper sur place les vagues d’une immigration clandestine et de combattre l’Islam conquérant ou terroriste là où il serait en gestation et en développement (Somalie, Sahel, Nigéria, Lybie, Syrie entre autres zones). Notre devoir de mémoire doit nous interdire toute ingérence dans ces pays souverains et doté d’un état de droit. La France n’a pas vocation à se substituer aux forces publiques ou militaires dans ces pays exotiques. Ils ont obtenu leur indépendance depuis des décennies et doivent par conséquent en assumer la responsabilité, « quoi qu’il en coûte » !
Les forces spéciales françaises et l’armée doivent quitter rapidement ces bourbiers et assurer la sécurité dans l’Hexagone et si besoin est, l’Assemblée Nationale doit voter de nouvelles lois plus restrictives et spécifiques pour l’immigration abusive et le terrorisme islamiste, en expulsant les imams prêchant la haine de notre culture et civilisation gréco-romaine.
18:21 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Il y a 5 ans, Emmanuel Ratier nous quittait
16:57 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
De Knokke-Heist et Blankenberge à Saint-Malo, bas les masques !
La chronique de Philippe Randa
En cet été 2020, il semble moins risqué de sortir les fesses à l’air que le nez à découvert : la police, à qui on ne la fait pas en matière de respect de la loi – enfin, en dehors des zones de non-droit, cela va se soi désormais – se montre ainsi digne du maréchal des logis-chef Cruchot de Saint-Tropez, leur célèbre prédécesseur passé à la postérité du 7e Art.
Mais leur tâche est parfois rude et peut-être tout autant incomprise. Ainsi, en Belgique, il a fallu en arriver à interdire les stations balnéaires flamandes de Knokke-Heist et de Blankenberge aux « touristes d’une journée », soit des « jeunes » qui ne respectaient qu’assez modérément les mesures contre la pandémie de Covid-19… Une vidéo prise par un vacancier audacieux est toutefois assez explicite sur ces « jeunes », intimant aux forces de l’ordre d’aller rendre hommage à leur mère, plutôt que de perturber leur interprétation, assez personnelle certes, du « vivre ensemble » outre-Quiévrain.
Enfin, c’est en Belgique, n’est-ce pas ! et les histoires n’ont pas forcément vocation à toujours être drôles…
Et en France ? Ambiance plus bon enfant en la Cité corsaire de Saint-Malo. Scène vécue en ce début août : le masque étant obligatoire à l’air libre à l’intérieur des célèbres remparts (si le gouvernement l’impose, c’est que ce doit être utile et qu’importe le bon sens) : en matinée, durant le déjeuner et une partie de l’après-midi, peu de réfractaires aperçus bravant la loi ; en fin de journée, c’est déjà beaucoup moins le cas… et surtout, prévenons les anxieux du Covid qu’ils ont tout intérêt à ne pas s’approcher d’un (excellent) glacier où la file d’attente avant d’être servi est d’importance.
Une boule ? 2 ? 3 ? (elles sont gigantesques et les yeux sont souvent plus grands que le ventre, parole de gourmand)… Et, à peine servi, tout le monde, d’un même geste machinal, retire ensuite son masque pour déguster comme il se doit sa rafraichissante gourmandise : se forme alors un attroupement d’une cinquantaine de personnes, de 7 à 77 ans, qui s’écoule ensuite d’un pas nonchalant dans les rues adjacentes, laissant place libre à d’autres…
Ce jour-là, point de pandores aperçus… ou peut-être arrivés trop tard comme les carabiniers d’Offenbach !
Qu’il est donc difficile d’aider notre gouvernement à écouler son stock de plusieurs millions de ces si onéreux masques commandés si tard et arrivés si malencontreusement après la bataille ; masques d’abord inutiles, puis brusquement si indispensables qu’il a bien fallu les rendre obligatoires.
Lire EuroLibertés cliquez ici
16:56 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Ce que nous apprennent les données de mortalité
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
16:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Pour aider ce site : ABONNEZ-VOUS À LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"...
16:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |