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mardi, 25 août 2020

Le Covid-19 et les vaccins vus par le Prof. Luc Montagnier

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19:04 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien avec Kroc Blanc sur le rap identitaire

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L'émission Synthèse du 10 octobre 2019 sur Radio Libertés avec Kroc Blanc cliquez ici

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Le doux parfum de la démocratie

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par Bruno Guigue*

A l'instar de Bernard-Henri Lévy se précipitant dans son jet privé pour aller désigner les cibles à vitrifier, les fauteurs de guerre civile mandatés par les officines de l'ingérence sont toujours à l'affût, chez les autres, de la moindre secousse qu'ils transforment alors, grâce à leurs sponsors planétaires, en juteuse opportunité de déstabilisation pour le compte de l'impérialisme.

Ces dernières semaines, on a ainsi pu voir comment, visant la Biélorussie à l'occasion d'une grave crise politique, les vautours du droit-de-l'hommisme se sont jetés comme la vérole sur ce pays dont ils ignoraient tout la veille. Manifestement, ils rêvent d'en faire un nouveau Bantoustan au profit de l'oligarchie mondialiste en y ouvrant les vannes, de gré ou de force, de la grande braderie néolibérale. On ne fera croire à personne, pourtant, que c'est l'autoritarisme du président Loukachenko, au pouvoir depuis 26 ans, qui arrache des larmes de crocodile à ces belles âmes occidentales. Car le fait est qu'elles sont beaucoup moins regardantes sur le respect des droits de l'homme lorsqu'elles observent un silence complice à propos de certains régimes tyranniques et obscurantistes appréciés de l’Occident.

En réalité, s’il est pris pour cible, c'est surtout parce que le pouvoir biélorusse, dont nul ne prétend qu'il est sans reproches, entend néanmoins préserver les acquis sociaux et le patrimoine national hérités de la période soviétique en les soustrayant aux convoitises d'une finance prédatrice et prompte à démolir tout ce qu'elle touche pour accroître ses profits. Et de mémoire d'homme, on n'a jamais vu une politique d'ingérence se faire au profit de qui que ce soit d'autre que de celui qui la pratique. Au IVe siècle avant notre ère, Aristote ironisait déjà en faisant observer : « Nous n'allons tout de même pas, nous les Grecs, nous mettre à délibérer sur les affaires qui concernent les Scythes ». Il est ahurissant de voir que l'admission d'une règle aussi simple, dans le cerveau d'homo occidentalis, échoue encore à passer la rampe de la perception la plus élémentaire.

On se demande bien à quel titre les régimes politiques occidentaux, d'ailleurs, sont fondés à donner des leçons de morale à la planète entière. Et il faut vraiment que le monde ait été frauduleusement mis à l'envers pour qu'on finisse par prendre leur propension historique au crime de masse pour un certificat de vertu et d'exemplarité. A croire que l'idéologie dans laquelle nous barbotons comme des canards a de surprenantes vertus alchimiques : elle transforme la fange en parfum. La politique occidentale a beau empiler les cadavres, cette compulsion n'est jamais imputée à son essence même. Sa brutalité n'est qu'accident de l'histoire, égarement passager, vagues péripéties rapidement plongées dans l'oubli par les mécanismes de la mémoire sélective. On peut vitrifier les Libyens à sa guise, transformer l'Afghanistan en champ de ruines, livrer les Syriens à al-Qaïda, tenter de mettre l’Iran à genoux, faire mourir les enfants vénézuéliens en les privant de médicaments, après tout ce n'est jamais que du menu fretin. De la volaille au teint basané vouée à l'immolation sacrificielle par les grands prêtres de la démocratie et des droits de l'homme. Sur l'échelle de Richter du massacre à la tronçonneuse, il y a longtemps que la démocratie occidentale a dépassé toutes les prévisions. Chapelets de bombes sur les Coréens, les Vietnamiens, les Cambodgiens, les Irakiens, les Palestiniens, les Syriens, les Libyens, les Afghans, les Yéménites. Guerre par procuration, blocus, guerre économique, action clandestine, coup d’État, manipulation de la terreur : la panoplie est inépuisable, le résultat édifiant. Soyons fiers et exportons notre savoir-faire.

(*) Ancien haut fonctionnaire, chercheur en philosophie politique et observateur de la vie internationale.

 Source : site RT France

17:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CASTANER : LE NEZ DANS LE CACA

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Pierre Vial Terre & Peuple cliquez ici

Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur choisi par Macron pour faire le sale boulot (casser par tous les moyens la juste révolte des Gilets Jaunes), a été maire de la ville de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) de 2001 à 2017. Il est épinglé, à ce titre, dans un rapport de 42 pages, par la Chambre régionales des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui pointe des « irrégularités » dans la gestion des comptes publics de Forcalquier. Est mentionné, entre autres, le « report systématique de congés non pris et des heures supplémentaires non récupérées ni monétisées » par les agents municipaux de la ville, ceci s’étant fait « d’années concernées, sans limitation dans le temps ». Au total, à la fin de l’année 1217, la ville devait à ses 85 agents « l’équivalent de 175 000 euros en congés non pris et reportés, et 92 000 euros en heures supplémentaires non récupérées ».

La Chambre régionale des comptes a relevé une série « d’erreurs et d’incohérences » dans l’attribution et l’exécution de certains marchés publics, et dans les documents budgétaires, notamment lors de travaux de voierie effectués en 2014 pour 973 600 euros, alors que l’entreprise retenue avait présenté une offre à 219 800 euros, bien en-deça de la moyenne du marché, estimée à 300 000 euros.

Déjà très endettée, la ville a vu ses finances se détériorer en 2018. Avec 6,1 millions d’euros de dettes fin 2018 Forcalquier est au-dessus de la moyenne nationale d’endettement des communes de sa taille. Castaner va-t-il devoir rendre des comptes ? On prend les paris ?

16:20 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |