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mercredi, 26 août 2020

Un salon pro GPA à Paris : INTERDICTION !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les déconstructeurs de notre civilisation sont des gens patients et organisés. Comme les révolutionnaires de Lénine et comme les Frères musulmans, ils n'ont ni montres ni horloges mais savent que le temps joue pour eux. Aussi procèdent-ils par étapes et usent, en l'inversant, de la technique fameuse du voleur chinois qui consiste, on le sait, à habituer l'oeil à la disparition progressive d'un objet. Eux, par manœuvres et subterfuges successifs, habituent nos sociétés à l'apparition de nouvelles normes avant de les faire adopter, puis, après avoir vérifié qu'elles s'étaient imposées, passent à autre chose.
 
Il y eut d'abord la culpabilisation du mâle blanc et l'avènement du féminisme dévirilisateur. Il y eut l'avortement - d'abord encadré puis ouvert à toutes et à tout moment de la gestation. Il eut le PACS qui ne devait en aucun cas déboucher sur le mariage homosexuel. Il y eut le mariage homosexuel qui ne devait entraîner aucune conséquence sur la filiation. Il y eut la procréation médicale assistée (PMA) sans père pour les femmes seules et les couples lesbiens, méthode par elle même de destruction de la famille traditionnelle mais qui ne serait jamais - au grand jamais - suivie par une légalisation de la Gestation pour autrui (GPA), cette abomination profondément  attentatoire à l'ordre naturel.
 
Nous y voici. L'offensive de toutes les forces du nihilisme pour imposer la GPA entre dans sa phase opérationnelle.
 
Les 5 et 6 septembre à Paris le salon Désir d'enfant sera consacré en très large partie à la promotion de la GPA et sponsorisé par des cliniques privées qui en pratiquent une variante espagnole.
 
Ce salon hors la loi et hors principes supérieurs de la vie doit être purement et simplement interdit. La GPA étant, malgré l'hypocrisie d'Etat qui permet un certain nombre d'accommodements et de détournements des textes, illégale en France, le ministre de l'Intérieur et le préfet de police doivent assumer leurs responsabilités.
 
Pour nous, au même titre que le combat contre l'immigration et la défense de nos spécificités provinciales, de notre identité nationale et de nos lumineuses caractéristique européennes, l'engagement en faveur des principes et des valeurs qui fondent  notre vision de la vie et de l'homme est un axe politique majeur.

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19:25 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Message de Mgr le Duc d’Anjou - Déclaration de la Saint-Louis

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Chers Amis, chers compatriotes,

Quelle tristesse de constater que d’année en année, la situation de la France se dégrade. Fort de la responsabilité que m’imposent les huit siècles de royauté capétienne dont je suis l’héritier, la gravité actuelle de l’état de la France, m’amène à m’exprimer, en ce jour où l’Eglise fête Saint Louis, le modèle des gouvernants.

Force m’est de constater que notre pays s’enfonce vers des jours de plus en plus graves, alors que j’aimerais que mes déclarations puissent saluer le renouveau que tous les Français fidèles et qui croient en la destinée de leur pays, espèrent de tout leur cœur.

Atteinte depuis plusieurs années par une crise morale qui la fait douter d’elle-même, de sa mission, de son identité, la France doit aussi subir de nombreuses attaques venues de l’extérieur, tellement diffuses et perverses, qu’il est difficile de toujours bien les cerner, et de trouver les bonnes ripostes. La difficulté est d’autant plus grande que la vérité n’est plus regardée en face et que les mots sont travestis par l’idéologie au point de perdre leur sens. Ceux qui résistent vaillamment sans perdre confiance, souvent animés d’une foi profonde, ne suffisent pas à redresser la situation. Pareillement, nos militaires engagés sur de nombreux terrains au-delà de nos frontières, constatent que leur sacrifice et leur abnégation ne suffisent pas isolément à recréer une dynamique de vainqueur. Les combats se gagnent certes sur le terrain, mais c’est d’abord dans les cœurs et les esprits que se forgent les conditions de la victoire qui doit trouver son expression politique.

Or, bien souvent, la France donne l’impression que cette volonté n’est plus là. Pourtant il faudrait peu de choses : lui redonner le goût et le sens de la victoire qu’avait la France sûre d’elle-même et de sa mission ; et lui rappeler les grands moments de son passé qui demeurent des exemples pour demain.

Cet état d’esprit qui pourrait surgir à nouveau si les Français le veulent, semble oublié, annihilé. Les « élites » depuis la Révolution n’ont agi que par intérêt. Quand reviendra-t-on au Bien Commun, à la justice, à la protection des plus faibles ? Quand acceptera-t-on de redonner aux mots leur sens et d’oublier qu’il n’y a ni incivilité, ni jeunes sauvageons mais violences gratuites et nouveaux barbares sans foi ni loi qu’il s’agit de combattre et de punir. En effet, chacun de leurs crimes ruine la vie sociale. Or elle est déjà bien difficile pour de nombreux Français déjà confrontés à une situation économique et sociale souvent critique. Pourtant, la dernière crise sanitaire a montré combien nos compatriotes étaient capables de sursauts et d’initiatives quand l’Etat ne les oppresse pas ; quand il ne les accable pas d’une fiscalité de plus en plus lourde et injuste puisqu’elle n’assure plus les services publics même les plus essentiels ; quand l’Etat ne s’attaque pas aux libertés. Les Français, en nombre toujours plus grand, se rendent compte que les institutions ne répondent plus à leurs attentes légitimes.

Combien de crises faudra-t-il encore ? Combien de sacrifiés pour que les yeux s’ouvrent ?

Il y a quelques mois, crise sanitaire aidant, des esprits lucides avaient posé la question de savoir si ces évènements, dûs largement au moins dans leurs conséquences, aux erreurs accumulées qui se traduisent par des centaines de milliers de mort, en France, en Europe et dans le monde entier, n’étaient pas l’occasion de réfléchir aux désordres des dernières décennies. Le beau symbole du « jour d’après » semblait porteur d’avenir. En réalité quelques mois après, les mauvaises habitudes ont largement triomphé des bonnes résolutions et les jours d’après semblent encore plus catastrophiques que ceux d’avant. Le vote, devant une assemblée quasi déserte de la loi dite bio-éthique en est la plus éclatante manifestation… Elle est à la fois contraire à l’ordre naturel et à l’éthique. Elle cumule le déni du système représentatif actuel par la manière dont elle a été élaborée et la rupture avec les fondements de l’humanité. Les manipulations contre nature sont en train de franchir une nouvelle étape vers une société de chimère ou plus aucune limite ne semble retenir les hommes. La société de la peur et des contraintes est aussi, désormais,  celle de la mort planifiée.

Quel monde avons-nous devant nous ? Quel monde laisserons-nous à nos enfants ?

Je parle ici comme héritier et successeur des Rois de France mais aussi comme père et époux. Je sais combien de jeunes couples sont inquiets pour l’avenir de la société ; l’avenir de leurs enfants ; de nos enfants.

Heureusement les siècles d’histoire nous apprennent que les situations les plus terribles ne sont pas irréversibles. La France s’est sortie d’autres périls et cela même quand elle a failli perdre sa souveraineté comme au temps de Charles VII. La mission de Jeanne d’Arc l’a sauvé d’un péril d’autant plus éminent que l’ennemi était déjà installé sur notre sol. Celle qui est devenue en 1920 la patronne du Patriotisme a sauvé le pays et a restauré la monarchie légitime.

De tels exemples doivent nous redonner espoir et susciter de nouvelles initiatives pour reconstruire la France.

Puisse Saint Louis, modèle des souverains et des gouvernants, protéger la France et l’aider à retrouver le sens de sa mission.

Louis,
Duc d’Anjou

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13:15 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dr Toubiana : Il n’y a pas d’épidémie d’infection de Covid 19, il y a une épidémie d’angoisse

Source Medias Presse info cliquez là

Le Dr Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) où il dirige l’équipe SCEPID (Systèmes Complexes et Epidémiologie) au sein du Laboratoire d’Informatique Médicale et d’Ingénierie des Connaissances (LIMICS) et directeur de l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de Santé (IRSAN), dénonce lui-aussi les mensonges au sujet du Covid 19 et l’entretien par les médias d’un climat de peur infondée.

Il n’y a rien en ce moment qui justifie cette peur puisqu’il n’y a pas d’épidémie, explique-t-il.

Il affirme également faire l’objet de pressions pour ne pas sortir du discours officiel.

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10:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France vue de l’étranger : la police anti-émeute à l’assaut d’un bar pour non respect de la distanciation physique

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Des images tournées à Paris, en France, montrent la police anti-émeute prenant d’assaut un bar et frappant les gens à coups de matraque parce qu’elle n’a pas vraiment pris de « distanciation physique ».

L’incident s’est produit pendant la finale de la Ligue des champions entre le Paris Saint-Germain et le Bayern Munich, que les clients du bar regardaient à la télévision.

Une douzaine de flics anti-émeute, entièrement équipés, ont fait une descente dans le bar et ont violemment fait sortir les gens des locaux. « Selon les responsables de la police de Paris, la foule a été dispersée parce que certaines personnes ne portaient pas de masque ou ne respectaient pas les règles de distanciation physique », rapporte Sky News.

Plus de 200 personnes ont reçu un avertissement de la police pour ne pas avoir porté de masque facial.

L’incident est rendu encore plus bizarre par le fait que les personnes à l’intérieur du bar se comportaient pacifiquement, alors que de véritables émeutes se déroulaient dans le reste de la ville.

Selon RT, les rues de la capitale française « sont tombées dans le chaos, avec de multiples incidents de vandalisme et de pillage ».

On pourrait penser que maintenir l’ordre public tout en protégeant les personnes et les biens des criminels violents serait une priorité plus importante que de s’assurer que les gens dans un bar se tiennent suffisamment éloignés les uns des autres, mais à l’ère de l’hystérie COVID, apparemment pas.

09:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |