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samedi, 29 août 2020

RAPPEL : sortie du livre "La chute de l'empire occidental" de Michel Vial

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Loin d’être dogmatique, cet essai répond avant tout à une logique. Celle du témoin d’une époque qui voit s’écrouler un « empire occidental » que l’ont pouvait naïvement imaginer, au lendemain de l’instauration du Nouvel Ordre mondial, au début des années 1990, comme devant être définitif.

Avoir voulu, au nom de l’ultra-libéralisme, détruire les nations et leurs spécificités au profit d’un vaste marché aux dimensions planétaires a été la grande erreur de ces dernières décennies. Nous voyons aujourd’hui que ce funeste projet mondialiste a atteint ses limites. De plus, le retour sur la scène internationale de l’islam conquérant, accentué par les grands brassages migratoires, assombrit encore plus l’avenir de nos peuples européens.

Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas...

Engagé dans le camp nationaliste alors qu’il était étudiant, Michel Vial a gardé de sa jeunesse cette approche non-conformiste qui caractérise ceux qui ont compris, avant les autres, que la défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat.

Dans cet ouvrage, il décortique un par un les différents aspects de la crise que nous subissons en essayant de faire passer un message d’espoir à ceux qui refusent l’anéantissement de notre civilisation.

L'auteur : Michel Vial

Michel Vial, 64 ans, a été militant nationaliste dans sa jeunesse étudiante. Engagé volontaire à 20 ans dans les Phalanges liba-naises, il est blessé au combat à Beyrouth en septembre 1976. Deux ans plus tard, il est élève officier de réserve à l’école d’application de l’Arme blindée cavalerie de Saumur dont il sort major de sa promotion et intègre le 2e Régiment de Hussards.

Après une carrière professionnelle dans les métiers de la formation et de la communication, il se consacre à la rédaction d’articles et d’ouvrages sur l’histoire militaire moderne. Il publie chez « Histoire & Collections » son premier livre en 2018 sous le titre Otto Skorzeny, l’homme le plus dangereux du IIIe Reich qui retrace la vie extraordinaire du chef des commandos de Hitler.

Michel Vial est l’un des fondateurs et le porte-drapeau de l’AAVFL (Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban).

Lire aussi cet entretien avec l'auteur cliquez là

La chute de l'empire occidental, Michel Vial, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection idées, juin 2020, 130 pages, 18 euros (+ 5 euros de port).

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16:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alerte Covid : tremblez en permanence, braves gens…

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La chronique de Philippe Randa

En cette fin août, à la veille de la rentrée de septembre, la pandémie de Covid-19 est plus que jamais d’actualité avec masque obligatoire pour tous, partout et tout le temps…

On peut reprocher au gouvernement français bien des échecs, bien des bêtises, bien des incompétences, mais quelle maestria dans l’orchestration de la panique : six mois durant, ses escadrilles médiatiques ont lâché jour et nuit leurs bombes « Alerte Covid ! » étouffant (mal, mais étouffant tout de même) les ripostes de DCA des Didier Raoult ou des docteurs Toubiana ou Perronne pour ne citer qu’eux qui n’ont eu de cesse de fustiger comme il se devait les branquignolles du Conseil scientifique qui monopolisent les médias ou encore celles d’intellectuels comme Michel Onfray ou – c’est une surprise, mais pourquoi pas ! – Bernard-Henri Lévy qui tirent la sonnette d’alarme du bon sens, celui-ci étant à l’évidence devenu un champ de ruines en France.

J’ai pour ma part été assez stupéfait de constater que des proches pourtant habitués à ferrailler contre les mensonges officiels, étaient au mieux gagnés par le doute, au pire tétanisés par la peur avec comme seul argument pour tenter d’excuser leur comportement : « On ne sait pas ! »

Ah bon ! Les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé sont pourtant là : cette épidémie de Covid-19 ne fait pas davantage de morts qu’une épidémie habituelle et infiniment moins que d’autres dont la plupart ne sont même pas restées dans les mémoires : qui se rappelle des 15 000 Français morts de la grippe en janvier 2017 (surtout des personnes de plus de 65 ans), comme ne cesse de le rappeler Didier Raoult dans ses appels au calme ?

À moins de considérer l’OMS comme une officine complotiste, évidemment !

Finalement, rendons hommage au gouvernement : chapeau l’artiste !

Toutefois, la recette n’est pas nouvelle : terroriser le peuple est le moyen le plus efficace pour le faire tenir tranquille. Seule différence notoire, autrefois, un régime totalitaire usait directement des forces de police ou militaire à sa botte. Depuis six mois, le gouvernement français a injecté le poison de la peur par doses successives et par paliers successifs, soufflant sur le chaud et le froid des contaminations réelles ou plus simplement envisagées… et ne lançant sa police – l’intervention de l’armée n’est pas encore d’actualité à ce jour – qu’au coup par coup, mais elle a désormais carte blanche pour racketter autant que faire se pourra les « terroristes sanitaires », soit le vulgum pecus distrait ou réfractaire à la bêtise.

C’est aussi une bonne nouvelle pour tous les Cruchot nationaux : ils pourront agir sans risquer d’être taxés de racisme car bien évidemment, faire respecter la dictature sanitaire dans les zones de plus en plus nombreuses de non-droit ne sera évidemment pas davantage une « priorité » que durant les deux mois d’emprisonnement national de la mi-mars à la mi-mai dernier.

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10:57 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Déni d’ensauvagement

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Par Mathieu Bock-Côté

L’étrange querelle des dernières semaines autour du terme « ensauvagement » nous confirme encore une fois, s’il le fallait, à quel point le système médiatique travaille non pas à décrire la réalité de la société française mais à l’occulter. Les scènes les plus violentes se multiplient, les agressions s’additionnent et pourtant, les sociologues patentés le répètent en boucle : tout ne va pas si mal et ceux qui disent le contraire versent dans la « surenchère sécuritaire ». Mieux encore : tout va bien. Le vivre-ensemble est harmonieux, les agents des services publics peuvent travailler sans risque, les rodéos se font rares, un jeune homme qui se porte à la défense de jeunes femmes est un provocateur qui mérite d’être agressé et les mœurs sont de plus en plus douces, comme on a pu le voir avec les « jeunes » en « liesse » sur les Champs-Élysées lors des dernières compétitions sportives. Bref, la vie est belle en France plurielle ! C’est le triomphe de la diversité Potemkine.

Ce ne sont pas les violences qui font scandale, mais le fait qu’on les nomme sans prendre les précautions langagières attendues. Le déni de l’ensauvagement fait écho à ce qu’on appelait autrefois le « sentiment d’insécurité ». Les Français étaient accusés de céder à une propagande excitant chez eux la méfiance à l’endroit de « l’autre ». Ils se laisseraient contaminer par un discours anxiogène. C’était même leur responsabilité civique de changer le nom des suspects lors des violences, jugées « ordinaires », pour éviter d’alimenter le populisme. Mais puisque les grands médias n’exercent plus un monopole sur la description des réalités, et que les réseaux sociaux permettent à la réalité de déborder dans l’espace public, même si elle y arrive de manière chaotique, il faudra alors traiter ces violences comme autant de faits divers insignifiants.

Qui les traitera comme des faits politiques, symptomatiques de la désagrégation d’une société victime des bandes et progressivement déstabilisée par une immigration incontrôlée sera accusé de tenir des propos haineux. Ce déni d’insécurité n’est pas exclusif à la France. On l’a vu depuis juin, aux États-Unis, les manifestations les plus brutales comme les raids des antifas sont toujours traités comme des événements isolés, certains reporters racontant sans gêne, devant des scènes de pillage à répétition qu’ils sont devant des « peaceful protests ». À quel moment la mauvaise foi devient-elle du mensonge à l’état pur? À quel moment devient-on consciemment un propagandiste?

L’ensauvagement serait même un concept « d’extrême droite ». Ce terme d’épouvante désigne moins un courant politique identifiable qu’un spectre terrifiant, quasiment diabolique, qui hanterait nos sociétés pour exciter leurs basses passions et les jeter vers l’abîme. Avec le temps, on finit par le comprendre : est d’extrême droite ce qui déplaît extrêmement à la gauche. Ce concept ne décrit pas un mouvement, même pas une nébuleuse, mais un fantasme mobilisé par le régime diversitaire pour exclure de la conversation publique ceux qui ne se reconnaissent pas dans la vision qu’il propose de la société et de ses problèmes. Il fonctionne à l’amalgame et n’est finalement rien d’autre qu’une technique d’intimidation idéologique pour transformer l’adversaire légitime en ennemi public.

C’est Aurélien Taché qui a remporté le match de la déclaration la plus lunaire. Après avoir appris qu’une jeune musulmane bosniaque avait été tondue par sa famille qui ne tolérait pas qu’elle fréquente un chrétien serbe, il trouvera le moyen de dénoncer une classe politique rajoutant une pièce dans le « juke-box de la haine antimusulman ». On aurait cru entendre ceux qui, au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo, mirent la France en garde contre « l’islamophobie ». Lorsque la France est agressée, elle s’accuse. Quand elle résiste, elle est accusée de « multiplier les formules chocs sur la délinquance » et de se soumettre au populisme, même au racisme. On connaît la chanson, elle joue depuis trente ans au moins.

Qui ose des constats de bon sens risque le bannissement civique. Le système médiatique fonctionne à la déréalisation du monde et condamne la société à évoluer dans un univers dédoublé, soumis à l’orthodoxie diversitaire. Le réel ne passera pas! Récapitulons : l’ensauvagement est une illusion alimentée par un discours ultra sécuritaire, l’immigration massive est un fantasme conspirationniste et la dévastation anthropologique d’un monde refusant de distinguer un homme d’une femme est une lubie de catholique intégriste. De même, qui se désole de la régression de la liberté d’expression confesse son désir de se vautrer dans les discours haineux et qui s’oppose à la racialisation des rapports sociaux cherche à dissimuler derrière la rhétorique universaliste son privilège blanc. Il ne faudrait pas beaucoup d’imagination pour parler d’une nouvelle trahison des clercs.

Source : Le Figaro 29/08/2020

10:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Alexis Cossette – Refus de la seconde vague et effet domino

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00:41 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |