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vendredi, 11 septembre 2020

Les Verts et le Tour de France : pourquoi tant de haine ?

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez là

Allez comprendre, ces élus verts qui mettent tout en œuvre pour rendre la bicyclette laïque, gratuite et surtout obligatoire déploient la même énergie à faire la guerre au Tour de France. Hormis celui qu’ils paraissent avoir dans la tête, il y aurait donc vélo et vélo.

Ainsi, Grégory Doucet, maire de Lyon, vient-il d’annoncer, à l’occasion d’un entretien accordé au Progrès, ce 9 septembre dernier : « Le Tour de France continue à véhiculer une image machiste du sport. […] Quand on défend les valeurs du sport, on défend l’égalité femmes-hommes. Il devrait y avoir un Tour de France féminin depuis longtemps. »

Fort bien. Mais comment faire ? Au tennis, les hommes jouent cinq sets, contre seulement trois pour les femmes, ce qui est tout de même très interpellant au niveau de la parité. Les coureuses devront-elles, alors, se contenter d’un Tour au rabais ? Un demi-Tour, par exemple ? Ou, piste à creuser pour les étapes de montagne, ne descendre que les côtes et se dispenser de les monter ?

En matière de petite reine, les forces de progrès ont déjà remporté une victoire significative avec la fin de ces jolies miss podium qui, à chaque étape, claquaient le bisou aux champions du jour tout en leur offrant un bouquet de fleurs. Ces temps obscurantistes sont heureusement derrière nous, chaque miss podium étant désormais flanquée d’un mister podium. Sûr que le cycliste ayant, la journée durant, sué sang et eau sur ses pédales sera ravi de se faire embrasser à l’arrivée par un grand moustachu brandissant une gerbe de roses.

À propos de femme, il y en a au moins une qui ne trouve pas la farce à son goût : Béatrice Houchard, ancienne rédactrice en chef adjointe du service politique du Figaro et auteur d’un ouvrage faisant autorité en la matière, Le Tour de France et la France du Tour. Dans une tribune publiée, le 16 août, dans le même quotidien, voilà en quels termes elle commente le refus de Nathalie Appéré, maire socialiste de Rennes, sous pression de ses alliés verts, d’accueillir le départ de la Grande Boucle : « Les élus écologistes ne connaissent rien au Tour de France ! »

L’argument économique, tout d’abord, brandi par Grégory Doucet qui prétend : « Le Tour coûte à la ville 600.000 euros, l’ardoise n’est pas anodine. » À ce détail près que, rappelle Béatrice Houchard, « la quasi-totalité des élus qui ont accueilli le Tour sont intarissables sur les retombées économiques et touristiques d’une épreuve retransmise dans 190 pays : entre 1,50 et 4 euros pour 1 euro investi. »

Puis l’argument écologique. Pour ce maire, lui aussi intarissable sur le sujet : « Combien de véhicules à moteur thermique circulent pour faire courir ces coureurs à vélo ? Combien de déchets engendrés ? » Là encore, le maire de Lyon a dû s’embrouiller dans ses fiches, à en croire notre spécialiste : « Cette année, 100.000 sacs-poubelle en matière 100 % recyclée seront distribués sur les routes ; au moins 50 % des déchets seront recyclés ; 63 zones de collecte de déchets réservés aux coureurs seront installées. […] Les 29 véhicules de l’organisations seront hybrides et des voitures 100 % électriques circuleront également. »

La raison d’une telle haine ? Pour Béatrice Houchard, les écologistes « gomment la dimension festive et rassembleuse de l’épreuve. Il suffit d’avoir suivi une seule étape pour le constater : le Tour donne du bonheur et de l’insouciance dans une époque qui en offre si peu. Il rassemble toutes les classes sociales. »

Et la même de poursuivre : « C’est du sport, bien sûr, de la compétition, de l’admiration, mais aussi de l’épopée, de l’histoire, de la géographie, des paysages et des souvenirs. Ce n’est pas pour rien que l’historien Pierre Nora l’a inclus dans ses Lieux de mémoire. »

Le Tour de France ? C’est une fille qui en parle encore le mieux. Qui l’eût cru ? Certainement pas Grégory Doucet et ses amis.

10:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une "Casa Pound" à Angers ?

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Décidément, il s'en passe des choses en Anjou... Outre la présence d'un candidat authentiquement national et identitaire, Jean-Eudes Gannat cliquez ici, à l'élection partielle qui doit se dérouler à Saumur le 21 septembre, l'occupation par les patriotes d'un local à Angers, dans la pure tradition de Casa Pound à Rome, suscite bien des commentaires.

S. N.

Communiqué de l'Alvarium (Angers) :

Depuis Novembre 2018, nous avons pris le contrôle de l’immeuble situé au 17 rue Thiers à Angers. Durant 2 ans, nous avons effectué des travaux (l’intérieur était plus qu’insalubre) et utilisé celui-ci pour loger des SDF, des personnes en attente de relogement et des jeunes précaires. Nous avons également pu organiser des activités sociales comme le Noël des malchanceux, ou héberger des gens de passage. Discrètement, à notre échelle, nous avons agi dans la continuité de notre mission de service auprès des français les plus démunis. Et nous continuerons à agir tant que nous serons dans cet immeuble.

Aujourd’hui nous sommes contraints de rendre publique notre action suite au passage d’un huissier venu nous signaler notre obligation de partir. Alors qu’on vient de nous couper l’eau, notre immeuble est menacé de destruction dans le mois qui vient. La mairie a entamé dans le quartiers d’immenses travaux visant à construire un mélange d’appartements classiques et de logements sociaux dont chacun sait que les attributions font l’objet d’une véritable préférence étrangère. Nous refusons ce double mouvement inquiétant de gentrification et d’africanisation de notre ville. Nous ne voulons pas qu’Angers devienne une mégapole envahie et hors de prix comme Nantes ou Bordeaux. Ni spéculation immobilière, ni clientélisme ; nous réclamons la fin de ce projet mené par Abraham Immobilier à la demande de la municipalité. D’une manière plus générale, nous réclamons la mise en place d’un prêt social sans intérêt pour les couples mariés primo-accédants à la propriété, la préférence européenne dans l’attribution des logements sociaux, la fin de l’usure permanente dans notre société et l’encadrement des loyers et du Airbnb à Angers pour bloquer la spéculation immobilière. Mesures défendues également par notre porte-parole Jean-Eudes Gannat comme candidat à la députation dans la 3ème circonscription du Maine-et-Loire.
 
Avant que médias et politiques ne poussent leurs traditionnels cris d’orfraie, nous tenons à clarifier certaines choses. Depuis 2 ans les squats de l’extrême-gauche angevine font l’objet d’une clémence médiatique et juridique totale, malgré un trafic de drogue connu des autorités, et l’hébergement de clandestins présents illégalement sur notre territoire. Les plaintes du voisinage sont même tues par les journaux locaux dont certains journalistes fréquentent le squat. Pour notre part, nous n’avons causé aucun débordement ni aucune dégradation, et nous avons rendu les lieux plus propres et rénovés que lors de notre arrivée. Dans ces conditions, une répression brutale de notre initiative ne ferait que confirmer -en plus du soutien financier de la mairie à l’Etincelle- le parti-pris du Système pour l’anarchie, la drogue et l’immigration illégale.
 
En savoir plus cliquez ici

10:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

11 septembre : anniversaires...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La date du 11 septembre est bien sûr marquée par les évènements que l'on sait - dans les conditions que l'on ne sait pas - de 2001, suivis de l'engagement américain, voulu et coordonné par les néo-conservateurs, dans une offensive aberrante contre l'Irak, opération aux conséquences catastrophiques en termes de déstabilisation régionale créant une onde de choc planétaire.
 
Mais c'est aussi l'occasion de nous souvenir de la libération du Chili par ses forces armées (1). Libération de la dictature marxiste dite d'Unité populaire de Salvador Allende, libération d'un régime qui menait le pays à la ruine et libération de la surenchère de l'activisme gauchiste.
 
Cet événement marqua toute une génération de militants nationaux français. Le fait que la CIA y fut pour quelque chose et que l'école ultra-libérale de Chicago s'empara dans la foulée des rênes économiques du pays nous importait peu. Heureux temps où tout était simple et où un golpe anticommuniste suffisait à notre bonheur.
 
Quoiqu'il en fût : honneur au général Pinochet.
 
(1) 11 septembre 1973.
 
Fondation Augusto Pinochet cliquez ici

10:12 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sénatoriales : une liste du PdF dans le Calvados

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Bruno Hirout, Secrétaire général du Parti de la France : « Je suis officiellement candidat à l'élection sénatoriale du 27 septembre dans le Calvados. Merci à mes colistiers pour la confiance qu'ils accordent à notre projet de redressement de la France avec le PdF, la vraie droite nationale ! »

10:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |