Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 12 avril 2021

Graffitis près d'une mosquée à Rennes...

172631323_445990716684296_5217972528162913437_n.jpg

La réaction de Thomas Joly (Parti de la France) :

Quelques misérables tags sur la mosquée de Rennes et tout ce que la classe politique compte de lèche-babouches se précipite pour exprimer son émoi. Les mêmes qui ne pipent mot alors que chaque jour des églises sont vandalisées partout en France. Une sacrée bande d'hypocrites...

23:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Révoltant ! Après un siècle de crimes communistes contre l’humanité, en France, sans vergogne, un candidat à l'élection présidentielle avec une telle étiquette !

d48ed900e79fa9547169c26138b4cd8d_L.jpegUn communiqué
de Bernard Antony :
 
Cent millions de morts dans le monde : c’était le chiffre présenté il y a un quart de siècle comme une estimation minimale par les historiens du Livre noir du communisme sous la direction de Stéphane Courtois.
 
Le grand Soljenitsyne établissait en effet pour sa part un bilan de 150 millions de victimes des régimes des Lénine, Staline, Mao, Pol Pot et des dizaines de leurs émules sur tous les continents. En France, le parti communiste a tout approuvé des abominations, des tortures et liquidations lénino-staliniennes par la Tchéka, des hécatombes dans les goulags.
 
Ce parti s’est réjoui du pacte Hitler-Staline du 23 août 1939, de leur alliance massacreuse, en Pologne et ailleurs jusqu’en juin 1941.
 
Pendant toute cette période, au long de près de deux années, il a été non pas le parti de la résistance mais celui de la collaboration avec l’Allemagne, approuvant ensuite inconditionnellement tout, des années durant, de la monstruosité stalinienne tant encensée par un Aragon et autres et autres intellectuels serviles. Il a ensuite systématiquement défendu les occupations et répressions soviétiques en Hongrie, en Tchécoslovaquie, en Allemagne de l’Est, en Pologne, dans les Pays Baltes, en Afghanistan…
 
Trahissant aussi par ses œuvres de sabotage l’armée française en Indochine.
 
Le parti communiste français a été ainsi ...
 
Source Chrétienté solidarité cliquez ici

23:10 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vaccination : pour ou contre ?

Mouton-abattoir.jpg

Nos amis du site Nice-Provence.info ont constitué un petit dossier sur la vaccination et en arrivent à la conclusion que cela ne relève pas d'une urgente nécessité tant les interrogations demeurent quant à l'efficacité réelle des différents vaccins. A voir ici

 

13:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vers toujours plus de cc diversité

ena.png

Franck Delétraz

Cette fois, c'est bien fini : après moult revi­rements et déclarations contradictoires, Macron a donc officiellement annoncé jeudi aux hauts cadres de la fonction publique réunis lors d'une « convention des manageurs de l'Etat » la suppression de la très prestigieuse Ecole nationale de l'adminis­tration créée en 1945 par le général De Gaulle, et son remplacement dès 2022 par un « Institut du Service public ». Une décision censée évidemment répondre aux nombreux contempteurs de cette école qui, non sans raison, lui reprochent sa déconnexion du peuple français, mais dont on aurait tort de croire qu'elle est seulement démagogique. Car, derrière la volonté affi­chée de produire des élites davantage au fait de la réalité quotidienne de nos compatriotes, l'objectif est d'abord et surtout de promouvoir la « diversité »dans les plus hautes sphères de l'administration et de !'Etat.

Si les grands médias présentent aujourd'hui cette décision de Macron comme la conséquence directe de la crise des Gilets jaunes, celle-ci s'inscrit en réalité davantage dans le cadre de la vaste entreprise de subs­titution des élites françaises par des  « jeunes »issus des minorités engagée depuis maintenant des années dans l'ensemble de nos grandes écoles. Entreprise qui puise elle-même sa source dans les écrits nauséabonds du marxiste Bourdieu qui, dès les années 60, dénon­çait la « monopolisation » de ces prestigieux établissements par les «héritiers de la culture dominante». D'ailleurs, le chef de l'Etat lui-même n'a guère tenté de cacher le but ultime de cette suppression puisque, annonçant par la même occasion son remplacement prochain par l'« Institut du Service public »,celui-ci a largement insisté sur le fait que cette nouvelle école de formation des hauts fonctionnaires aura en priorité pour mission de...« sélectionner des profils moins dé terminés socialement ». En clair : davantage de candidats issus de l'immigration et des banlieues ethniques.

« La France a besoin d'une élite »

Une volonté de promouvoir la « diversité »dansles plus hautes sphères de l'administration française qui était déjà présente dans le rapport que lui a remis Frédéric Thiriez en février 2020, mais que le président n'a,semble-t-il, pas osé suivre jusqu'au bout puisque, dans ses conclusions, le chef de la Mission d'information sur la haute fonction publique allait jusqu'àpréconiser le recrutement des hauts fonctionnaires sur la base d'un concours remanié, appliquant notamment la discrimination positive à son entrée...

Bref,quoi qu'il en soit,cette condamnation à mort de !'ENA n'a évidemment pas laissé indifférente l'opposition. Notamment à droite, où Bruno Retailleau a, à juste titre, assimilé la décision du chef de l'Etat à « la politique du bouc émissaire ». En effet, a expliqué le patron des sénateurs LR, en rappelant que la France avait « besoin d'une élite »,« on supprime l'ENA pour ne pas avoir à réformer l'Etat. [...] Le problème, ce n'est pas l'ENA. Le problème, c'est le politique qui doit diriger son administration ».

Source : Présent 10/04/2021

08:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |