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mardi, 13 juillet 2021

Le chanteur breton Christoff BZH invité par Martial Bild sur TV libertés

Il est auteur, compositeur et interprète. Il est breton, c’est son identité. Il aime la France, il est donc un chanteur engagé qui sort des sentiers battus. Son deuxième album « Arcadia » a franchi les cercles confidentiels pour connaitre les vrais débuts du succès avec notamment « Dès demain » (avec Romain Guérin) et « Ar Lann Am Helenn » (avec Delphine), des titres phares d’un album aux influences multiples et sophistiquées. Christoff est un chanteur sincère et simple, éloigné des produits marketing et commerciaux que les radios déversent. Il a fait le choix d’être un chanteur à contre-courant quel que soit le prix à payer. Très peu disert et entièrement voué à sa musique, il se confie à TVLibertés et interprète « Dès demain » accompagné de sa seule guitare. L’album « Arcadia » est parfait pour vous accompagner tout au long de l’été !

Pour acheter le CD cliquez ici

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Christoff BZH en concert lors des Journées de Synthèse nationale en 2019

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Passe sanitaire : la réaction de Jacques Bompard

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Jacques Bompard,

maire d'Orange, député du Vaucluse

En France, les fossoyeurs de notre système de santé font aujourd’hui le procès ceux qui nous soignent, sous prétexte qu’ils refusent un traitement médical expérimental, droit immémorial garanti par toutes les conventions depuis le serment d’Hippocrate. Cette vaccination obligatoire n’est en somme qu’une échappatoire pour un gouvernement qui a renoncé à soigner les malades et qui ne donne plus les moyens au corps médical d’exercer dignement leur métier.

Parallèlement, la généralisation du passe sanitaire à tous les aspects de notre vie sociale est un basculement significatif vers le fameux « monde d’après ». Un monde où il est plus facile de vivre sans papiers que sans passe vaccinal. Un monde où la faute de l’irresponsabilité et de la trahison permanente de nos élites est sans cesse rejetée sur le petit peuple Français, celui qui travaille et respecte les lois, et qui voit ses droits, ses acquis sociaux et même ses libertés sans cesse régresser tandis que, pour tous les autres, l’impunité règne.

Notre civilisation reposait sur deux piliers : l’usage de la raison et le droit universel à la justice. Le Système, dans sa folie, est en train de détruire l’essence même de notre société. L’usage de la force, comme durant l’épisode des gilets jaunes, est significatif de son inquiétude devant les échéances électorales qui arrivent. Emmanuel Macron fera tout pour dissuader les Français de se mobiliser et de retourner aux urnes. Que chacun prenne ses responsabilités, moi je continue le combat !

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l’Union européenne signale 1,5 million de blessures liées au vaccin, 15 472 décès

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Source: exoportail

La base de données européenne des rapports de réactions suspectes aux médicaments est EudraVigilance, qui suit également les rapports de blessures et de décès consécutifs aux «vaccins» expérimentaux COVID-19.

Un abonné européen nous a récemment envoyé un courriel pour nous rappeler que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays.

Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50, bien qu’il y ait des divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe.

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou blessées en Europe à la suite des injections de vaccins COVID-19 serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique qu’au 19 juin 2021, 15 472 décès et 1 509 266 blessures ont été signalés à la suite de l’injection de quatre vaccins expérimentaux COVID-19.

12:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Liberté… j’écris ton nom et je refuse d’être vacciné

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Jarente de Senac

Je suis ce qu’on appelle un sujet à risque. J’ai plus de soixante-dix ans, cardiaque et légèrement diabétique, mais rassurez-vous tout va bien et je vis plus que normalement ayant été très bien soigné par un personnel médical ultra compétent à l’hôpital Georges Pompidou pour ne pas le nommer. Et bien je refuse catégoriquement d’être vacciné car je ne veux pas prendre le risque d’être handicapé par les effets secondaires de leurs foutus vaccins. Mais cette décision n'engage que moi. Je n’ai rien contre la vaccination, dans bien des domaines elle a fait ses preuves et gamin, les gens de ma génération sont tous passés avec bonheur à la moulinette du BCG. On a ainsi quasiment éradiqué la polio. Pour ce qui concerne les vaccins – AstraZeneca, Pfizer, Moderna - mis sur le marché, j’ai tout de suite tiqué, car par un coup de baguette magique on a soudain trouvé le remède miracle. Quand on pense que cela fait vingt que les labos bossent sur le sida sans rien trouver, cela laisse un tantinet songeur. D’ailleurs à ce sujet, on a toujours été étonné que l’on n’ait pas massivement testé la population comme ce fut le cas jadis pour la tuberculose. Le lobby homosexuel, particulièrement visé, a fait pression sur le gouvernement socialiste du camarade Mitterrand et de ses sbires bien placés dont une flopée d’homos évidemment.

Revenons à nos moutons. Depuis plus d’un an maintenant, on a eu le temps de s’apercevoir que ces vaccins étaient sujets à de trop nombreux effets secondaires, pas tous mortels heureusement. Mais handicapant souvent. Et comme par hasard, la communication pour en savoir un peu plus est absente pour ne pas dire étouffée. Tout comme on n’a aucune information sur les gens décédés de mort naturelle et ceux par le covid. Par ailleurs, on a également rapidement mis à l’index le traitement proposé par le professeur Raoult, un grand spécialiste et qui est tout sauf un charlatan. Or, il se trouve que j’ai quelques témoignages de gens soignés par des médecins rebelles qui ont prescrit son traitement et dont les patients s’en sont très bien portés. Sa méthode, même si elle n’est pas sûre à 100%, n’est pas plus dangereuse que les vaccins proposés. Pourquoi a-t-on mis un tel embargo sur cet homme pris pour cible par un corps médical aux ordres du pouvoir politique ? Pourquoi, ensuite n’a-t-on pas fait confiance à tous les médecins de ville pour soigner leurs patients et surtout évaluer le degré de dangerosité, ce qui aurait eu pour effet de soulager les hôpitaux. Là aussi, on s’est retrouvé devant un mur du silence.

Ce gouvernement gouverne en foutant la trouille à tout le monde. Ce que vient d’annoncer Emmanuel Macron est proprement le fait d’un régime totalitaire. Seuls des pays totalitaires comme le Turkménistan, le Tadjikistan et quelques autres ont recours à de telles méthodes. La devise « liberté, égalité, fraternité » n’a plus de sens dans ce pays, hier encre celui, paraît-il, des droits de l’homme. Macron inaugure le droit à l’esclavage. Français vous voici prévenus. Comptez-vous baisser votre froc encore longtemps ?  

11:18 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A qui profite l’épidémie de Covid 19 ?

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Arnaud Raffard de Brienne

Article publié dans le n°57 (été 2021)

de la revue Synthèse nationale cliquez là

Depuis plus d’un an, une propagande insensée, d’un niveau d’intensité jamais connu dans l’histoire du monde, ahurit en continu et affole nos concitoyens au sujet d’un virus au comportement étrange mais ne provoquant au final qu’une surmortalité étonnamment faible. Pendant que les multinationales de Big Pharma s’en donnent à cœur joie, les gouvernements occidentaux s’entendent pour multiplier les lois liberticides et la surveillance de masse…

Même le plus candide de nos contemporains et par conséquent le mieux disposé à gober sans sourciller la lourde propagande du régime, sent bien que depuis le commencement de l’épidémie virale, quelque chose cloche aussi bien dans le narratif que dans la méthodologie incohérente, en apparence mais en apparence seulement, suivie par les instances sanitaires et le pouvoir politique. Des centaines de vidéos, blogs, sites et articles non-conformistes proposent une information foisonnante et différente à la fois à qui veut bien se donner la peine d’en prendre connaissance. Mais une majorité de nos contemporains semble se suffire du bourrage de crâne institutionnel, de leur muselière ouatée que beaucoup peineront sans doute à abandonner et de la promesse d’une thérapie génique en phase expérimentale et aux effets inconnus à moyen et long terme, habilement présentée comme un vaccin. Mais quoi de surprenant ? Fallait-il s’attendre à ce qu’un peuple qui n’a su défendre ni son territoire, ni son sang ni même ses enfants à naître, ni sa culture, ni son patrimoine, ni sa langue se métamorphose aujourd’hui en peuple libre ?

Pourquoi est-il interdit de se faire soigner ?

Aux victimes plus ou moins consentantes de la doxa covidiste et vacciniste, il faudrait ne jamais se lasser, afin d’éviter des débats dans les méandres desquels chacun finit par se perdre, de répéter inlassablement cette question simple mais centrale, essentielle même : pourquoi depuis plus d’un an, même et surtout au plus fort de la première vague virale, après avoir pris la criminelle décision de laisser ouvertes les frontières, nous interdit-on et empêche-t-on les médecins de nous soigner ? Notamment, pourquoi depuis le début de cette prétendue pandémie et alors que n’existait et  n’existe toujours aucun vaccin digne de ce nom, a-t-on brutalement et contre toute attente interdit les seuls traitements connus dont, essentiellement, l’hydroxychloroquine, classée « substance vénéneuse le 13 janvier 2020 par Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, mariée à la ville à un certain Yves Lévy, PDG de l’INSERM et co-président du comité de pilotage à l’origine de la création du laboratoire P4 de Wuhan, ville d’où proviendrai le mal ? Cette interdiction reposant sur un avis défavorable du Haut conseil de la santé publique (HCSP) et l’arrêt des essais dans le cadre du protocole clinique européen Dicovery, lui-même influencé par l’étude truquée publiée par The Lancet, en dit long sur l’ampleur de la manœuvre et constitue à l’évidence le plus grand scandale sanitaire du siècle.

Mais que dire aussi du silence forcément complice de l’immense majorité des médecins et comment interpréter leur acceptation docile de renoncer à leur autorité de prescription et à leur serment, renvoyant les patients symptomatiques à leurs pénates avec quelques comprimés de Doliprane et la peu rassurante recommandation d’appeler le SAMU en cas de dégradation de leur état de santé ? Il faudra aussi qu’un jour ou l’autre l’Ordre des médecins ou autre organisme dûment habilité à représenter notre système de santé vienne nous expliquer son refus de thérapies connues et validées scientifiquement comme, entre autres, l’association d’Ivermectine associée à un antibiotique (Doxycycline) et à une prise de zinc. Une telle combinaison a permis de ramener pratiquement à zéro le nombre de morts en Tchéquie, au Mexique, au Paraguay, etc. Les grands médias à la botte n’en auront évidemment soufflé mot sauf, éventuellement pour tenter de discréditer la thérapie. 

Cette question initiale en inspire tant d’autres et notamment, pourquoi en pleine première poussée virale nous déconseilla-t-on vivement le port du masque ? Faute de stock nous a-t-on seriné ? Peut-être, mais alors pourquoi en avait-on détruit les stocks par  milliards avant l’épidémie alors que depuis plusieurs années se multipliaient les avertissements sur un risque de pandémie ? Et pourquoi l’avoir ensuite imposé même en milieu ouvert où il n’est strictement d’aucune utilité, sauf celle de déshumaniser les rapport sociaux et générer un certain nombre de pathologies ? On pourrait ainsi poursuivre sans fin le questionnement mais l’heure a sonné des réponses dont regorgent de récentes publications, notamment dans les deux ouvrages du Professeur Perrone – « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » et « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris » - mais aussi dans ceux du Professeur Raoult, de Philippe Aimar, Léo Gali, Florian Philippot, Guy Courtois, entre autres et les innombrables interviews, déclarations, articles des Professeurs Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-Bernard Fourtillan, du Docteur Gérard Maudrux et de quantité de médecins indépendants ou organisés en collectifs, de biologistes, généticiens et autres lanceurs d’alerte relayés par une kyrielle de sites internet.

Pas de complotistes sans complots 

C’est l’occasion de saluer au passage les efforts, l’opiniâtreté et souvent le courage de tant de lanceurs d’alertes dont la prose diffusée tant bien que mal dans les espaces de liberté résiduelle de leurs blogs et  comptes sur les réseaux sociaux tente de contrebalancer timidement le tumulte des grandes orgues de la désinformation et de la propagande obsessionnelle du système depuis plus d’un an. Si une large part de l’opinion publique ressent spontanément une certaine méfiance à l’égard de ceux qui se sont si souvent trompés et surtout les ont abusés, bien peu de nos concitoyens sont en mesure, malgré la somme d’indices, d’informations et de preuves dont nous disposons, de comprendre ce qu’il se passe réellement. Il est tellement plus confortable de ne pas voir, ne rien comprendre et d’éviter les corrélations sulfureuses qui ont tôt fait de vous ranger dans la catégorie infréquentable des complotistes. Pourtant, ce n’est pas la matière qui manque et, censure ou non – il suffit de fuir les facilités des GAFA – une très abondante documentation, certes de qualité inégale, permet à chacun, pour peu qu’il en éprouve le besoin et veuille bien se donner la peine, de comprendre les véritables enjeux d’une crise sanitaire aux origines plus que suspectes et au traitement effrayant. Quand bien même on n’adhérerait pas aux thèses de l’intentionnalité et que l’on occulterait à la fois les différentes prédictions parfaitement vérifiables, notamment celle de la CIA dès 2005, et l’étrange simulation menée juste avant la révélation des débuts de l’épidémie, il faudrait au moins convenir de la réalité des notes diplomatiques par lesquelles, en 2018, l’ambassade des États-Unis à Pékin, avaient alerté à deux reprises le département d’État américain sur l’insuffisance des mesures de sécurité du laboratoire P4 de Wuhan menant des travaux sur… les coronavirus des chauve-souris. 

Quelques aveux de taille 

Faut-il aussi ranger parmi les complotistes l’ancien président allemand de l’Office pour la protection de la Constitution, Hans-Georg Maaßen, lorsqu’il déclare dans une récente interview accordée au magazine Epoch Times : « Les actions des responsables du gouvernement ne relèvent plus de l’incompétence ou de l’ignorance mais de la préméditation ».

Est-il complotiste à son tour, Olivier Véran, ministre de la santé déclarant que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente (c’est-à-dire incertaine, aléatoire NDLA) du fait de l’apparition des nouveaux variants ». Ajoutant "le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu". Pour finir par cet aveu inimaginable que chacun pourra être amené à vérifier tant c’est énorme, notamment sur le site internet d’Europe 1 ou autres sources l’ayant dupliqué : "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant." Cette dernière précision fait écho aux plus sombres avertissements de quelques lanceurs d’alerte dont il était de bon ton de se gausser il y a encore quelques mois et tendrait à prouver que, finalement, le complotiste, c’est celui qui a raison avant que de trop nombreuses fuites ne viennent éventer les vilaine cachotteries et petits arrangements entre amis. Quoiqu’il en soit, un vacciné avertit en vaut deux et nous savons que l’automne et l’hiver prochains devraient s’avérer particulièrement difficiles sur fond de propagande et de répression accrues.

Toutes les mesures prises à ce jour l’ont été à l’encontre des intérêts et de la santé des Français. C’est une évidence tellement difficile à cacher que le régime ne peut en effet qu’intensifier jour après jour censure et répression, jusqu’aux arrestations et internements pour tenter d’étouffer ce qui peut l’être encore. Depuis le début de cette crise, nos prétendues élites mentent, exagèrent, dissimulent les informations gênantes pour leur plan et truquent les chiffres avec le soutien sans faille des grands médias subventionnés appartenant à quelques milliardaires. Ne pouvant souffrir le moindre contre-pouvoir, elles multiplient les lois liberticides et la surveillance de masse et certains de leurs laquais en deviennent menaçants, tel Éric Le Boucher, directeur de la rédaction du magazine économique Enjeux-Les Échos mais aussi co-fondateur, avec Jacques Attali du magazine américain en ligne Slate.fr, ayant pour principale actionnaire Ariane de Rothschild, titrant l’un de ses papiers dans le quotidien L’Opinion « Il va être temps de s’occuper de ceux qui refusent le vaccin ». Pour notre part, nous pensons qu’il est plutôt temps de s’occuper de tous les Le Boucher qui nous entrainent à notre perte.

Le 9 mai 2021

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11:15 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Frédéric Poisson : "Un sentiment de délire liberticide"

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient de s’adresser aux Français. Ces mots étaient extrêmement forts et ces décisions extrêmement dures. Quelle impression générale vous a donnée ce discours ?

Ce discours était sans surprise avec un sentiment de délire liberticide et de démagogie de campagne électorale. L’imposition du pass sanitaire puis de la vaccination obligatoire pour tous nous font entrer dans un état de dictature sanitaire que j’annonce et que je dénonce depuis quelques mois. Quant aux mesures annoncées sur le plan social, il a envoyé des signaux très clairs à son électorat pour maintenir son socle. Il fera sa réélection sur le dos de la liberté des Français. C’est proprement inacceptable. En d’autres temps, cela relèverait de la Haute Cour. 

Florian Philippot était à deux doigts d’accuser le Président d’avoir un problème de pathologie mentale. Selon vous, est-on sur du cynisme politique total ?

Je n’irai pas jusque-là puisque je n’ai pas cette compétence. Le caractère très anguleux du décor et très froid, tout cela est fait pour donner une impression d’alimenter la peur de l’opinion même si, par ailleurs, les propos sont très rassurants. Alors que le chef de l’État entend rassembler les Français, réunir le pays et assurer la cohésion, la relance de la réforme des retraites dans un contexte comme celui-là est-elle susceptible de le faire ?

Quand on voit la manière dont un certain nombre de personnes du gouvernement omettent leurs obligations les plus fondamentales comme le garde des Sceaux qui a malencontreusement oublié de déclarer une somme de 300.000 euros qui donne le vertige à 99,5 % de la population, on peut se poser des questions. Tout cela est incohérent. C’est une opération de massive division parce que M. Macron n’a pas d’autres moyens que d’assurer sa réélection autrement que par la peur et par la division des Français.

Par conséquent, il joue de ces deux leviers. Malheureusement pour nous tous, nos libertés publiques et individuelles en seront le moyen. C’est la raison pour laquelle il est de plus en plus urgent que tous ceux qui contestent ce projet politique et son caractère absolument néfaste pour nous tous unissent leurs forces et partent en combat ensemble.

On a l’impression qu’Emmanuel Macron s’adresse à ceux qui se sont fait vacciner pour eux et qui attendent des autres qu’ils le fassent.

Il s’adresse d’abord à ceux qui l’ont élu, à ceux qui n’ont pas mesuré la détresse et le désarroi dans lequel se trouve le pays depuis le début de ce quinquennat, à ceux qui sont peu concernés par les violences urbaines. Lorsque Emmanuel Macron dit que le pouvoir d’achat a augmenté, on dirait qu’il ne prend pas l’autoroute et qu’il ne paie pas l’électricité et le gaz. Si c’était le cas, il se rendrait compte qu’il dit des bêtises. Il s’adresse éventuellement à la classe sociologique qui l’a élu et dont il est certain qu’elle le réélira.

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Face à la dictature-Macron : réaction de Thomas Joly

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10:42 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Face à la dictature-Macron : réaction de Florian Philippot

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Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Le chef de l’État vient d’imposer le pass sanitaire et d’autres mesures liberticides. On vous imagine vent debout contre ces mesures.

Je suis sidéré par ce que je viens d’entendre, c’est d’une violence inouïe. L’extension du pass sanitaire aux trains, aux restaurants, aux centres commerciaux, aux hôpitaux, etc., c’est unique au monde. Il a également clairement dit qu’il y aurait la vaccination obligatoire pour certaines professions. La prochaine étape, ce sera pour tout le monde. Il y aura également une troisième dose au mois de septembre. Ceux qui disent, aujourd’hui, qu’on n’est pas dans une dictature, ce sont des sots. On est dans une dictature très violente.

J’ai vu, ce soir, non pas un président de la République mais un psychopathe. Son regard, ses annonces… J’ai vu un fou furieux, inquiétant et dangereux. Nous basculons dans autre chose. Je connais des gens très en colère, sidérés et en pleurs. Je leur dis : « Ne sombrez pas. »

Se faire vacciner pour faire reculer l’épidémie, ce n’est peut-être pas une mauvaise idée…

On parle maintenant d’une troisième dose, et pourquoi pas un abonnement vaccinal ? On nous avait promis l’inverse. Le 24 novembre dernier, Emmanuel Macron avait dit qu’il n’y aurait pas d’obligation vaccinale. On nous annonce, maintenant, une restriction sanitaire pour aller au restaurant ou prendre un train ou un bus.

Les gens qui trouvent cela normal sont comme la grenouille dans l’eau que l’on fait bouillir : ils ont été ramollis. C’est anormal et cela doit appeler à la plus vive résistance, par le boycott. Je n’ai rien contre les restaurateurs, mais tant pis, on n’ira plus. Et les restaurateurs se retourneront contre l’État, pour se débarrasser de ce pass sanitaire. 

Pensez-vous que le Conseil constitutionnel pourrait s’opposer à cette décision ?

Ni le Conseil d’État ni le Conseil constitutionnel ne peuvent valider ne serait-ce qu’un dixième de ces annonces folles. Les principes les plus fondamentaux de liberté et d’égalité sont battus en brèche. Malheureusement, le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État ont trahi, ces derniers mois. Mais il faudra tout de même les saisir. Normalement, ils devraient mettre cela à la poubelle, mais ils sont sous pression et sont plutôt enclins à valider ce que propose le pouvoir.

C’est au peuple français de se libérer par lui-même.

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