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mardi, 16 novembre 2021

Immigration : la Biélorussie a bien raison !

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Pieter Kerstens

La République Socialiste et Soviétique de Biélorussie a été proclamée indépendante en 1919, puis adhérente à l’URSS en 1922. C’est en Août 1991 que le Soviet Suprême proclame à nouveau l’indépendance du pays qui rejoint la CEI.

Depuis 1994, Aleksandr Loukachenko est élu président de la République à six reprises, en exerçant un pouvoir autoritaire, soutenu par la Russie.

Membre de l’ONU depuis le 24 octobre 1945, la Biélorussie adopte le nom de Bélarus en septembre 1991. C’est un état souverain reconnu par la communauté internationale au même titre que la Suisse, le Vanuatu, la Chine, la Turquie, la France, la Belgique ou le Myanmar entre autres.

Seuls les naïfs ou les inquisiteurs de la nouvelle religion « Droits de l’hommiste » s’étonnent maintenant du chantage à l’immigration exercé par la Biélorussie alors même que l’ensemble de l’Union Européenne avait cédé à celui imaginé par Recept Erdogan en juillet 2015. Notre devoir de mémoire nous rappelle que depuis octobre 2020, l’U.E a imposé des mesures restrictives à l’encontre de la Biélorussie, pour contester les résultats de l’élection présidentielle du mois d’août 2020 qui, selon les eurocrates, ne répondraient pas aux critères et aux canons de la beauté de la « Démocratie ».

Par communiqué de presse du 24 juin 2021, le Conseil de l’Union Européenne avait instauré un 4e train de nouvelles sanctions économiques et financières à l’encontre du régime biélorusse. Et si des milliers de clandestins se trouvent aujourd’hui bloqués par les barbelés à la frontière de la Pologne, il faudrait savoir QUI les a poussés à embarquer dans des charters au départ du Qatar et de la Turquie ? Ceux-là doivent rapidement être rapatriés dans leur pays d’origine. L’Europe n’a pas vocation « à accueillir toute la misère du monde » ni les centaines de millions de personnes vivant avec moins de 2 Euros par jour partout sur notre planète.

La démocrature est un régime dévoyé du suffrage universel.

Depuis 1972, plusieurs pays ont voté par référendums contre les textes sur l’Europe. La Norvège en 1972 et 1994 ; le Danemark en 1992, 2000 et 2015 ; l’Irlande en 2001 et 2008 ; les Pays-Bas en 2005 et 2016 ; la Suède en 2003 ; la France en 2005 ; le Royaume-Uni en 2016 (Brexit), sans oublier le Groenland en 1982 (retrait de l’U.E).

Le Conseil Européen des chefs d’Etat et de Gouvernement a toujours fait en sorte que les directives de la Commission Européenne soient imposées aux récalcitrants, en faisant revoter les peuples rebelles, afin de poursuivre son œuvre de destruction des souverainetés nationales, de suppressions des identités respectives et des traditions ou coutumes nationales. Selon un rapport de Joseph Chamie, directeur de la division population à l’ONU, publié le 20 mars 2000 « le nombre annuel moyen net des immigrés nécessaires au maintien, entre 2000 et 2050, du niveau de la population active (18-64 ans) devrait être en Europe, à partir de l’an 2000, de 2.100.000 individus. » Soit plus de 100 millions d’immigrés en 50 ans !

OUI, on peut donc bien constater, à la lecture de ce document, que les mondialistes ont imaginé, planifié et imposé un « Grand Remplacement » des peuples blancs européens, en refusant toutes nouvelles mesures en faveur de la natalité ou du développement des familles.

Cela pourrait aussi expliquer l’intense propagande et l’expansion des lobbies LGBTQI+.

11:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pierre Cassen invité par Martial Bild sur TV Libertés au sujet de son livre "Eric Zemmour aura le dernier mot"

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10:00 Publié dans Livres, Présidentielle 2022, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Bisounours jettent le masque

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Xavier Eman

Les assassins islamistes « n’auront pas leur haine », Zemmour, lui, l’aura. C’est la conclusion que l’on peut tirer de la polémique suscitée par la prise de parole du journaliste et probable candidat à l’élection présidentielle Eric Zemmour sur les lieux de l’abominable massacre, samedi dernier, à la date commémorative de l’attentat. Toutes les grandes âmes humanistes et non-amalgamistes, les grands amateurs de bougies et d’ours en peluche, embrasseurs empressés de leurs « frères » musulmans, perpétuels organisateurs d’impuissantes et compassées marches blanches, n’ont en effet pas supporté d’entendre autre chose qu’un discours geignard et candide : un discours les forçant à regarder en face ce drame et ces crimes qui n’ont rien d’une « fatalité », dont personne ne serait véritablement responsable, pas même leurs auteurs, brebis égarées par l’obscurantisme et qu’il serait possible de « dé-radicaliser » par injections intensives de « valeurs républicaines ».

Il est vrai que, durant son allocution, le polémiste a notamment attaqué François Hollande, coupable d’avoir permis à des terroristes d’entrer en France en n’interdisant pas l’entrée du pays aux migrants parmi lesquels ils se dissimulaient alors qu’il a reconnu avoir pleinement eu connaissance et conscience de ce danger. Des rappels évidemment insupportables pour l’armada des Bisounours, allergiques au réel, qui refusent, contre toute évidence, d’établir un quelconque lien entre l’immigration incontrôlée et le développement exponentiel du terrorisme sur notre sol.

C’est sans doute pour cela que la virulence des réactions anti-Zemmour a été inversement proportionnelle à la mièvrerie indulgente teintée de niaiserie masochiste de la quasi-totalité des propos tenus au lendemain de la boucherie du 13 novembre 2015, aussi bien par les médias que par les proches (instrumentalisés ?) des victimes ou des survivants. Ainsi, le président de l’association Life For Paris, Arthur Dénouveaux, est allé jusqu’à traiter Eric Zemmour de « profanateur de sépulture », ayant « abîmé la mémoire des 90 personnes décédées au Bataclan », tandis que Georges Salines, père d’une victime, devenu l’une des « figures » (officielles) de la « mémoire » du Bataclan, a parlé d’« une ignominie de plus », concluant d’un menaçant : « Nous n’en oublierons aucune. »

Comment en est-on arrivé là ? Comment a-t-on pu atteindre un tel degré d’inversion morale, d’abêtissement, d’aveuglement, d’ahurissement idéologique pour qu’un homme politique – dont on peut par ailleurs bien sûr contester les analyses et les positions –, qui prône simplement la défense de nos frontières et le contrôle de l’islamisation, puisse susciter davantage de rejet, de hargne, de colère et de détestation haineuse que des fanatiques barbares qui ont ensanglanté nos rues et ne manqueront pas de semer à nouveau la mort ?

En tout cas, les Bisounours ont, à cette occasion, tombé le masque. Ce ne sont nullement des êtres éthérés, emplis d’amour béat et de doux et généreux sentiments, mais des gens profondément malades, dévorés par la haine de soi et l’ethno-masochisme, et qui ne sont capables de réaction virulente et même de violence qu’envers ceux qui osent encore contester leurs utopies infantiles et collectivement suicidaires.

Source : Présent 16/11/2021

10:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était à Madrid samedi aux Journées de la dissidence

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En fin de semaine dernière, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité par les Editions Fides à prendre la parole lors des 15es Journées de la dissidence (12, 13 et 14 novembre) organisées à Madrid.

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Notre ami Gabriele Adinolfi (à gauche sur la photo), directeur de l'Institut Polaris de Rome et inspirateur des Lansquenets d'Europe, était présent à ces journées.

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Samedi après-midi, Roland Hélie exposa la situation actuelle de la droite nationale et identitaire en France devant un public espagnol attentif et nombreux.

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Cette réunion fut aussi l'occasion de rencontrer de nombreuses personnalités ibériques parmi lesquelles le général Piñar (au centre), fils de Don Blas Piñar, décédé en 2014, fondateur dans les années 1970 de la revue et du mouvement Fuerza nueva.

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Samedi soir, un sympathique diner était organisé par la Phalange madrilène. Nous remercions les Editions Fides pour leur invitation.

Cette réunion a permis de resserrer les liens entre Synthèse nationale et Fides edicion qui, depuis quelques années, coopèrent régulièrement en vue de constituer au niveau européen un vaste réseau de diffusion des idées nationalistes, identitaires et non-conformistes.

01:02 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |