mercredi, 12 janvier 2022
En hommage à Stéphane Blet
J’ai toujours affirmé une position de tradition : ce prétendu « droit » d’asile, c’était l’accueil en France de l’artiste libre persécuté par la police du Tsar. L’affreux suicide de Stéphane BLET, pianiste majeur, un ami, relève de la pente inverse et perverse : l’exil d’un grand artiste poussé hors de France par une implacable police de la pensée. Je salue douloureusement son courage, la grandeur de son art ; je prie pour le salut de son âme.
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