vendredi, 31 mars 2023
La Marche pour la Vie à Bruxelles ce 2 avril 2023
12:47 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour la HAS, la vaccination doit être recommandée mais plus obligatoire
12:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Gabriele Adinolfi : « Le refus d’extradition des militants d’extrême gauche de la part de la France est cohérent »
Source Breizh info cliquez ici
En 2019, dix ex-terroristes italiens d’extrême gauche installés en France étaient interpellés dans le cadre d’une opération de police conjointe aux deux pays. Condamnés à des peines allant de onze ans de réclusion à la prison à vie pour plusieurs crimes (dont moins trois assassinats) commis durant les « années de plomb » entre 1969 e 1981, ils ont vécu sans être inquiétés pendant quarante ans. Mardi 28 mars, la cours de Cassation française a confirmé le refus de la justice française de procéder à leur extradition.
Giorgio Pietrostefani, Enzo Calvitti, Narciso Manenti, Giovanni Alimonti, Roberta Cappelli, Marina Petrella, Sergio Tornaghi, Maurizio Di Marzio, Raffaele Venturo et Luigi Bergamin resteront en liberté. Une décision qui a eu un vif retentissement dans la péninsule.
Nous avons interrogé Gabriele Adinolfi, fondeur du mouvement Terza Posizione, auteur et animateur de centres d’études, à l’origine du projet Lansquenets d’Europe. Fugitif pendant vingt ans, il a raconté son histoire dans Années de plomb et semelles de vent, aux éditions Les Bouquins de Synthèse nationale.
Breizh-info.com : Cette décision, qui va à l’encontre des propos d’Emmanuel Macron qui déclarait au lendemain de l’arrestation que “ces personnes, impliquées dans des crimes de sang, méritent d’être jugées en Italie”, serait motivée par le respect de leur vie privée et familiale et par leur droit à un procès équitable. Un revirement ?
Gabriele Adinolfi : Rien d’étrange, on parle ici de Justice. Dans les années dites de plomb, les autorités italiennes ont été, à bien des égards, responsables de la naissance et de la croissance de ce phénomène. Or, quand elles ont décidé d’y mettre un terme, elles ont introduit des mesures violant les droits des accusés. J’en résume quelques-unes : l’augmentation automatique d’un tiers de la peine pour tout crime qualifié de terrorisme (que l’on m’a appliquée pour ma pièce d’identité !) a créé une discrimination qui n’était pas acceptée par le droit international sans l’introduction simultanée du statut spécial de prisonnier politique, ce que l’Italie a toujours refusé de faire. De plus, la loi des repentis permettait à quiconque d’obtenir de fortes réductions de peine s’il accusait quelqu’un d’autre, sans qu’il y ait besoin que ces accusations soient prouvées. Cela a conduit à la condamnation de nombreux innocents.
Le cas du présentateur de télévision Enzo Tortora, faussement accusé de crimes mafieux, avait fait sensation. Les droits n’étaient pas non plus garantis aux personnes jugées par contumace. Enfin, des délits associatifs (comme la simple appartenance à un mouvement) étaient prévus, délits absents de nombreuses législations. Plusieurs pays ont refusé d’extrader des accusés italiens de ces années, non seulement la France, mais aussi l’Espagne, la Suisse, la Suède, l’Angleterre, l’Autriche. Et cela concerne aussi les inculpés nationalistes. La Cour de cassation n’a fait que poursuivre de manière cohérente ce qui avait été précédemment établi. Le scandale aurait été si elle avait fait le contraire. Le scandale, c’est le cas de Cesare Battisti, une personne absolument ignominieuse. La violation de la Doctrine Mitterrand par Sarkozy, puis l’annulation de la grâce présidentielle de Lula au Brésil pour l’extrader 41 ans après les crimes – sans plus de prescription ! – ça c’est l’anomalie juridique, pas celle dont nous parlons.
Breizh-info.com : La doctrine Mitterrand a protégé de nombreux activistes italiens responsables de violences politiques. La France leur offrait hospitalité et sécurité, à condition qu’ils aient renoncé à la lutte armée et qu’ils n’aient pas commis de crimes de sang. Mais pour un certain nombre d’entre eux, ces crimes de sang sont avérés. Comment comprendre la politique du Président socialiste ? Quel était le dessous des cartes selon vous ?
Gabriele Adinolfi : La Doctrine Mitterrand a pratiquement mis fin au phénomène terroriste. Le sanctuaire rouge des Italiens en France était né au temps de Chaban-Delmas, c’est-à-dire sous Pompidou et s’est poursuivi sous Giscard d’Estaing. Le Réseau Curiel avait aussi bénéficié de la protection de De Gaulle. Il me semble que la décision de Mitterrand était très sage. On ne pouvait pas non plus s’attendre à ce que l’Élysée aide politiquement l’Italie étant donné que durant ces années-là, nos deux pays étaient pratiquement en guerre en Libye et en Tunisie. Je ne sais pas si l’un des dix accusés dont nous parlons a commis des crimes après la mise en œuvre de la doctrine Mitterrand, mais celle-ci a certainement contribué à le faire renoncer à poursuivre les activités criminelles.
Breizh-info.com : Alberto Di Cataldo, fils du maréchal assassiné à Milan par les Brigades Rouges en 1978 a déclaré : “plus de 47 ans se sont écoulés, la peine en elle-même ne m’intéresse plus vraiment. La vraie partie n’est pas l’extradition mais savoir si ces dix personnes collaboreront pour comprendre ce qu’il s’est passé durant cette période.” Pensez-vous que la lumière sera faite sur des affaires qui ont composé les années de plomb ? Ou que la vérité est à jamais enterrée ?
Gabriele Adinolfi : Je le comprends mais il n’y a pas grand chose à découvrir. Je dirais que tout est connu sur la période, même sur ce que les autorités font semblant d’ignorer pour ne pas admettre d’importantes responsabilités. Je parle des massacres dans les places, dans les trains et dans les gares. Quiconque peut se documenter en croisant les sources avec les déclarations des protagonistes.
Le problème est que pour aller au fond des choses, il faudrait faire deux actions égales et opposées. La première est de reconstruire les scénarios nationaux et internationaux de manière critique, c’est-à-dire sans suivre un schéma banal (du type Gladio ou guerre froide) et se faire sa propre idée. La seconde est de constamment la remettre en question. Parce que si d’un côté, bien des choses n’étaient pas dues au hasard ou spontanées, tout n’était pas, non plus, manipulé et contrôlé à distance. Et il n’est pas certain non plus que les choses se soient toujours déroulées comme les manipulateurs ou même les réalisateurs le souhaitaient.
De plus, la vérité est toujours comme dans le film Rashomon : chaque protagoniste en a une vision différente.
Ce que Di Cataldo doit savoir, c’est que les responsabilités furent collectives et découlent de la carence morale et idéale de toute une classe dirigeante qui pense s’acquitter historiquement en séparant ses responsabilités de celles de ceux qui ont pratiqué la lutte armée. Mais elle est tout aussi responsable.
Propos recueillis pas Audrey D’Aguanno
Le livre dans lequel Gabriele Adinolfi raconte ses années de cavale en France et ailleurs cliquez ici
12:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 mars 2023
Le 25e Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à la mouvance identitaire blanche aux Etats-Unis vient de sortir
19:20 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : PHILIPPE RANDA, DIRECTEUR D'EUROLIBERTÉS, INTERVIENDRA LORS DU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
18:07 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Nos Chères Provinces, Philippe Randa, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lucien Cerise : "Le transhumanisme est entré dans sa phase coercitive"
Avec Lucien Cerise, chercheur en ingénierie sociale, pour son livre “Gouverner par le chaos, Ingénierie sociale et mondialisation” aux éditions Max Millo
17:40 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Commission covid : Virginie Joron "énervée" par le "foutage de gueule" de l’UE
16:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
15:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 1er avril, au Puy-en-Velay : conférence d'Hilaire de Crémier sur Charles Maurras
15:10 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LE LIVRE DE BERNARD GERMAIN, "CALLAC, LA MÈRE DES BATAILLES", VIENT D'ÊTRE RÉÉDITÉ (actualisé et complété)
Pour commander ce livre cliquez ici
LA PRÉSENTATION DE ROLAND HÉLIE :
Depuis quelques mois, « l'affaire de Callac » défraye régulièrement la chronique. Le combat de ce petit village breton - qui résiste héroïquement face à la volonté de quelques bobos parisiens de le transformer en laboratoire de la transition démographique voulue par le pouvoir - mérite qu'on s'y intéresse.
Cette opération humanitaro-lucrative aurait pu se dérouler dans l'indifférence totale. Mais, hélas pour ses promoteurs, il existe à Callac et dans ses environs un foyer d'irréductibles patriotes identitaires qui ne l'entendent pas ainsi. Parmi eux : Bernard Germain, l'auteur de ce livre, qui a déjà écrit deux autres titres publiés par Synthèse nationale.
Cet ouvrage est la deuxième édition, actualisée et complétée (la première ayant été diffusée en quelques semaines), relate les efforts entrepris par ce groupe de patriotes français (bretons insisteront certains), pour dénoncer le danger de grand remplacement qui menace la Bretagne, la France et l'ensemble de l'Europe...
Afin de dissiper tout malentendu, il convient de préciser que ce combat, et ce livre, sont totalement dénués d'animosité à l'encontre de quiconque. Chaque peuple, avec ses coutumes et son identité, est respectable. Là où les problèmes commencent, et les exemples sont légions, c'est lorsque par aveuglement idéologique on entreprend de mettre deux, ou pire, plusieurs peuples sur une même terre. C'est pour éviter cet engrenage périlleux que les Callacois se battent aujourd'hui.
Le meilleur moyen d'éviter que le « côte à côte » ne devienne un « face à face », c'est que chacun vive et s'épanouisse d'abord sur la terre de ses ancêtres. Les Africains en Afrique et les Européens en Europe. C'est encore, à notre avis, le meilleur moyen de préserver l'harmonie entre les peuples...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Callac, la mère des batailles, seconde édition actualisée et complétée, Bernard Germain, Synthèse nationale, 218 p., mars 2023, 22,00 € (+ 6,00 € de port)
Préface de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque
12:20 Publié dans Callac 22, La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE 7 MAI 2023 : HOMMAGE NATIONAL DE CIVITAS À JEANNE D'ARC
12:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À PARTIR DU 12 AVRIL, PARTEZ VISITER L'EUROPE AVEC ÉPONA...
12:17 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nucléaire, automobile : Allemagne-France, 2-0
Nos amis Allemands ? Et ta sœur ! Le drame de l’Union européenne est là. Elle a été conçue, nous dit Natacha Polony, pour créer une concurrence farouche dans un grand marché dérégulé. Les pays les plus pragmatiques ont choisi de protéger coûte que coûte leur propre économique. D’autres ont préféré le lyrisme et l’idéologie. L’Europe et la France ne feront qu’y perdre.
Lire la suite ICI
Source : Marianne 30/3/2023
11:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 29 mars 2023
LE NOUVEAU NUMÉRO (n°41) DE LIVR'ARBITRES EST SORTI
23:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi 31 mars : Eric Zemmour à Versailles
23:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le « programme commun » de Macron - Mélenchon: instaurer le chaos
Bernard Germain
Nous sommes confrontés à la peste et au choléra. La peste NUPES de Mélenchon et le choléra Macron se sont abattu sur notre pays. Les deux ont un programme commun: tout faire pour jeter notre pays dans un chaos total. Les faits de ces derniers jours en attestent sans contestation possible.
Tout d’abord à Sainte-Soline samedi dernier. Prenant prétexte des « bassines », des hordes d’« écologistes », d’antifas, et tout ce que l’extrême gauche compte de pire, se sont précipité sous prétexte de « lutter pour l’eau » venir « casser du flic ».
Faut-il rappeler que cette manifestation était interdite ? Dès lors, les manifestants savaient que les forces de l’ordre interviendraient.
Il faut s’appeler Mélenchon pour condamner « les violences policières » et déclarer « Sans la police, cette manifestation n’aurait été qu’une promenade dans les champs ».
Et le même Mélenchon de passer sous silence les camions de gendarmes brûlés à coups de cocktails Molotov, tout comme les 47 gendarmes blessés dont plusieurs très gravement, ainsi que les armes saisies par la police (haches, marteaux, boules de pétanque…) saisis sur les manifestants.
A ce discours irresponsable de Mélenchon, il convient d’ajouter une campagne délirante de la NUPES et de toute la « gauche », avec la complicité active de la presse bien pensante (Libération, Le Monde, …), dénonçant les « violences policières » allant même jusqu’à affirmer que le SAMU a été empêché par la police d’intervenir pour soigner les manifestants blessés à Sainte-Soline. Il se trouve qu’aujourd’hui le SAMU vient de produire un communiqué dénonçant ces affirmations mensongères.
Autre élément, aujourd’hui, lors de la 10e mobilisation nationale contre la réforme des retraites, des violences ont été constatées dans les principales villes où sévissent de nombreux antifas et blackblocks (Bordeaux, Rennes, Nantes, Lyon, Lille, Paris…).
Comme d’habitude, feux de poubelles, jets de pierres sur les forces de l’ordre, destructions de mobilier urbain, dégradations de commerces et même à certains moments agressions contre les cortèges syndicaux.
Toujours les mêmes antifas, constitués en blackblocks, à l’origine des dégâts, pour la plus grande satisfaction de Macron puisqu’il voit dans ces exactions un argument pour discréditer le mouvement en cours contre la retraite à 64 ans et effrayer une partie de la population.
À cette position irresponsable de Macron, se félicitant des désordres et violences, il ajoute une politique délibérée bloquant toute possibilité de trouver une sortie par le haut à la crise que traverse le pays.
Ainsi, pour toute réponse à la proposition de Laurent Berger - Secrétaire général de la CFDT - de mettre la réforme « en pause » et d’ouvrir un débat avec les syndicats via un médiateur. Macron a fait répondre qu’il n’en était pas question. Mais qu’il souhaitait un débat avec les syndicats sur plusieurs sujets différents de celui de la retraite.
Ce qui revient à leur dire : « considérez la réforme des retraites comme terminée, discutons d’autre chose ». Cette véritable provocation a bien sûr eu le succès qu’elle mérite.
Sur ce plan, Jean-Paul Mattei, Président du groupe Modem, vient d’apprendre à ses dépends qu’il ne faut pas être « responsable et ouvert ». Ainsi, ce jour à midi, interviewé à l’Assemblée nationale, il s’est déclaré favorable à la proposition de Laurent Berger. Mise en pause et ouverture dune négociation.
À 14H30, interrogé à nouveau par une télévision, il a déclaré exactement l’inverse. Affirmant : « oui au dialogue mais sans suspension de la réforme » c’est à dire la position de Macron.
Entre les deux, il a dû se faire sévèrement recadrer.
En adoptant cette position totalement crispée, Macron confirme qu’il agit comme un psycho-rigide.
Peu lui importe que le pays soit à 80% contre lui et au bord de l’explosion sociale à cause de l’empilement des problèmes (inflation, salaires, explosion du coût de l’énergie et des carburant...).
Normalement, en cas de crise majeure entre le pouvoir et les syndicats, il serait logique de mettre en œuvre ce que prévoit la Constitution et ainsi permettre au peuple de trancher, avec un référendum.
Mais lui est un « sachant » persuadé de détenir LA vérité et donc il entend l’imposer à tout le pays. Il refuse donc tout référendum afin de trancher le débat.
Dans un avenir proche, le Conseil constitutionnel donnera sa réponse vers le15 au 20 avril, soit dans environ 3 semaines puisqu’il a été saisi de la Loi sur les retraites.
Si le texte de Loi est validé, le Président aura 15 jours pour la promulguer.
D’ici là, Macron fait un « bras d’honneur » à tout dialogue et joue le pourrissement et l’essoufflement du mouvement, tout en comptant sur les violences des antifas pour l’aider à discréditer le mouvement.
C’est d’ailleurs pour cela que Macron ne fait rien pour impuissanter les hordes violentes antifas.
Invoquant comme argument « On ne peut pas les arrêter de manière préventive », Il faut qu’ils commettent un délit. Pourtant, la police l’a fait pour les patriotes le soir du match France Maroc, mettant en garde à vue « préventive » les patriotes qui souhaitaient manifester, dans les rues, leur joie de la victoire.
Ajoutons qu’il serait parfaitement possible d’obliger les antifas, que la police connaît parfaitement, à pointer durant les heures des manifestations afin de les empêcher de participer à ces manifestations et d’y commettre des dégâts.
Le refus de Macron de le faire prouve sans équivoque que les antifas lui rendent service.
Au final, on constate que Macron – Mélenchon forment un couple totalement complice qui œuvre à instaurer en France un chaos complet.
Avec leur numéro de duettistes, chacun sur son créneau, ils réalisent ensemble un travail de sape visant en définitive à la destruction de notre pays.
Leurs désaccords apparents ne peuvent trompés que les naïfs. En vérité, ces deux-là ne sont que les deux faces d’une même pièce.
Pour sa part, l’intersyndicale annonce une nouvelle mobilisation nationale jeudi 6 avril. Et même si aujourd’hui les chiffres de participants ont un peu baissé, ils restent à un niveau très élevé.
Le 6 avril, la mobilisation sera certainement encore massive. L’affaire est loin d’être terminée. Macron n’a pas encore gagné.
19:51 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le bassin des Fous de Sainte-Soline
La chronique de Philippe Randa
On se demandait pourquoi l’Élysée n’avait pas encore lâché plus tôt les Blacks Blocks, Antifas et autres extrémistes de gauche dans les cortèges de manifestants contre la réforme des retraites pour faire oublier les revendications de ces derniers, discréditer les syndicats et détourner l’attention des Français sur l’utilisation fort autoritaire du 49.3 à l’Assemblée nationale.
Sans doute les stratèges macroniens ont-ils finalement préféré qu’ils fassent démonstration de leurs compétences loin de leurs électeurs des grandes villes.
Ainsi, le nouveau rassemblement contre les « méga-bassines » à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres est-il survenu à point nommé le week-end dernier.
Non que les Français se passionnent plus que cela pour ce prétendu enjeu écologiste, mais l’entrée en jeu de ces mercenaires politiques – pour nombre d’entre eux « venus d’ailleurs » – leur ont donné un avant-goût (quoique fort peu goûteux) de ce que peut être une véritable guérilla, avec usage de mortiers et d’explosifs contre les forces de l’ordre, notamment les Brigades de répression des actions violentes motorisées (BRAV-M)… Réalité qui n’a toutefois nullement dérangée le gourou de la Nupes Jean-Luc Mélenchon et qui s’est fendu d’un commentaire hallucinant – « Sans les BRAV-M, sans ce cirque, il ne se passerait absolument rien d’autre qu’une marche dans les champs ! » – via un tweet qui mérite sans nul doute un prix d’exception au Guide Guinness des records, catégorie « foutage de gueule politique » !
De tous temps, des événements sont arrivés à point nommé pour sauver des régimes, mais en Macronie, c’est carrément devenu une pratique de gouvernement : après le covid qui avait stoppé net en 2020 manifestations et grèves déjà contre la réforme des retraites, puis la guerre en Ukraine qui a eu tellement bon dos pour expliquer flambée des prix et autres pénuries d’énergie, le douteux spectacle du bassin des Fous de Sainte-Soline sauvera-t-il une fois encore la Macronie ? Et surtout… jusqu’à quand ?
Lire EuroLibertés cliquez ici
00:31 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 28 mars 2023
Thomas Joly a été réélu, samedi dernier au cours de son Ve congrès, président du Parti de la France
Un communiqué du Parti de la France :
Samedi 25 mars, le Parti de la France a tenu son Ve congrès à Paris.
Les membres du Parti de la France ont élu leur Conseil national qui a lui-même élu le nouveau Bureau politique du PdF pour ces trois prochaines années. Thomas Joly a été réélu président et a procédé aux nominations suivantes : Bruno Hirout secrétaire général et Alexandre Simonnot délégué général. Une cellule communication a également été officialisée, confiée à Alexandre Hinger.
Cet alliage de constance et de renouvellement va permettre au Parti de la France de continuer son combat pour que vivent et soient entendues les solutions de la vraie droite nationale décomplexée, telles qu’elles ont été rappelées samedi après-midi par les orateurs du Parti de la France devant ses membres et ses sympathisants.
Le Parti de la France, fort de sa longévité et de sa fidélité aux idées de la droite nationale non reniée, demeure la structure d’accueil naturelle de tous les déçus des diverses dédiabolisations et le parti de ceux qui veulent concrètement rendre la France aux Français.
Le site du PdF cliquez ici
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, était invité à prendre la parole au cours de ce congrès.
18:08 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Palmarès de la délinquance en France
Le ministère de l’Intérieur a dressé la cartographie sur une année pleine – 2022 - de la délinquance tous azimuts dans les villes de France et de Navarre. Un tableau édifiant où se mêlent évidemment les méfaits de l’immigration et du trafic de drogue, les deux étant souvent liés. On le savait, mais c’est encore lieux en le disant, toutes les villes de France, celle des rats comme elle des champs, sont touchées par le phénomène. Le plus inquiétant dans cette affaire, c’est la banalisation de cette violence dont celle émanant des Blak Bloc, par exemple, vire à l’anecdotique. Le Figaro s’en est fait l’écho. Voici le tableau qu’il nous livre. Terrifiant.
Lire la suite ICI
Source : Le Figaro 28/3/2023
04:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Technique et politique
Vincent Tremolet de Villers
C’est une tension qui, depuis le premier jour de l’élection d’Emmanuel Macron, oppose le sentiment de supériorité de la technocratie à l’assurance matoise de la politique. La première a des chiffres, la seconde, des lettres, et l’une et l’autre se renvoient un égal mépris. Esprit de géométrie contre esprit de finesse.
Élisabeth Borne, assurément, appartient à la première catégorie. Aux effets de l’éloquence, aux plaisirs de la rhétorique, aux clairs- obscurs des combinaisons, elle préfère la rigueur du raisonnement, la force de l’expertise, l’exactitude du résultat. L’administration des choses, plutôt que le gouvernement des homme.
Le problème est que les jours troublés que nous traversons imposent un cheval de politique pour une alouette de maîtrise technique. Il s’agit de connaître son canton dans les moindres détails plutôt que des rapports indigestes, les ruelles des villages plus que les grandes avenues du pouvoir. S’ajoute une autre difficulté : le macronisme, dans les représentations collectives, s’apparente à un cabinet de conseil plus qu’à un gouvernement. Ce préjugé tenace frappe en priorité ceux qui, par leur apparence, leur attitude ou leur sémantique désincarnée - les « territoires », les « quartiers », la « ruralité » -, pourraient le renforcer.
Notre première ministre en est, elle aussi, la victime. C’est en partie injuste. Élisabeth Borne a montré, de son enfance éprouvée jus- qu’au mur d’hostilité de l’Assemblée, qu’elle ne craignait pas les vents contraires. Mais, dans la vie publique, les perceptions sont tenaces.
Voici donc que le chef de l’État lui demande de ne plus faire autre chose que de la politique. C’est-à-dire entraîner les gens par la détermination, le rapport de force, le charisme, l’énergie. Dans un climat irrespirable, elle doit trouver une majorité déjà introuvable au mois de juillet en des temps plus sereins. Pour ne rien arranger, Élisabeth Borne a une sensibilité de gauche, quand les appuis qui lui sont indispensables se trouvent sur sa droite. L’équation qu’elle doit résoudre est insoluble. Face à cette cruelle vérité politique, les mathématiques ne sont d’aucun secours.
Source : Le Figaro 28/3/2023
03:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 mars 2023
DIMANCHE 23 AVRIL, EN MAYENNE : REYNALD SECHER, L'HISTORIEN DE LA VENDÉE, SERA AU GRAND RENDEZ-VOUS AVEC NOS CHÈRES PROVINCES...
En savoir plus cliquez ici
Hyperinflation et effondrement : point Oméga des crises du Système depuis 2008
Les Bourses européennes ont fini dans le rouge ce vendredi par crainte d’un effet domino sur les banques. L’ensemble du secteur bancaire est touché. Le CAC 40 a perdu 1,74% à 7015,10. Après la quasi-faillite du Crédit Suisse, l’attention s’est portée sur Deutsche Bank, première banque allemande, dont les actions ont été massivement vendues (-8,53%) tandis que le rendement des obligations subordonnées (Additional Tier 1) et le coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement (« Credit Default Swap ») de Deutsche Bank ont fortement augmenté.
Le CDS à 5 ans de Deutsche Bank a grimpé à plus de 2,2%. Les instruments financiers de couverture indiquent une probabilité de défaut de Deutsche Bank de 27,4% dans les cinq prochaines années et de 19,3% pour Commerzbank. Pour Barclays et Société Générale, la probabilité moins élevée se situe autour de 13%. Signe de nervosité, l’indice de volatilité aux États-Unis s’affichait à 22,76, tandis que l’indice européen a fait un bond à 24,88. Les banques centrales doivent résoudre le problème contradictoire de la stabilité monétaire et de la stabilité financière des banques, de l’inflation ou du krach bancaire et boursier.
Afin de combattre l’inflation, Jerome Powell, le président de la Fed, a annoncé ce mercredi une hausse de 0,25% du principal taux directeur pour le porter à 4,75 % -5%, en soulignant que d’autres hausses de taux pourraient suivre, si nécessaire, mais qu’aucune baisse des taux n’était anticipée. Sans la faillite de Silvergate Bank, Silicon Valley Bank et Signature Bank, la Fed aurait relevé le taux de 0,50% au lieu du taux modéré de 0,25%. Il est évident que le relèvement du coût de l’argent pèse sur les particuliers, les entreprises, les banques, les États et les marchés financiers : depuis l’été 2022, les taux qui étaient de l’ordre de zéro aux États-Unis et négatifs en Europe, ont grimpé à la verticale aux États-Unis pour atteindre 4,75 – 5% et 3,50% en zone euro. Il en est de même pour les taux obligataires qui, pendant la même période, ont violemment augmenté de pratiquement zéro à 2,9% en France et 3,51% aux États-Unis. Le but recherché par le Système est la hausse des taux pour combattre l’inflation, tout en inondant les banques de liquidités pour éviter leurs faillites.
Powell a aussi insisté sur le fait que, malgré la faillite de banques régionales californiennes, le secteur bancaire était sûr tandis qu’au même moment Janet Yellen, la secrétaire américaine au Trésor, déclarait, lors d’une audition devant le Sénat, ne pas envisager « une garantie globale » pour tous les dépôts bancaires aux États-Unis, ce qui a fortement ébranlé les investisseurs. Il faut savoir en effet que c’est le seul gouvernement américain qui devrait mettre la main à la poche en empruntant pour couvrir les dépôts des banques en faillite aux États-Unis. Tout comme en France le FGDR, la FDIC ne dispose que de montants ridicules pour couvrir les dépôts en cas de faillites : le FDIC a seulement 200 milliards de dollars en caisse, alors que les dépôts des deux petites banques californiennes en faillite SVB et Signature représentent déjà, à eux seuls, 250 milliards de dollars ! Ces atermoiements des autorités américaines naviguant à vue pour la garantie des dépôts ainsi que la perte de valeur au prix du marché des obligations détenues par les banques, en raison de la hausse des taux d’intérêt, sont à l’origine de l’actuelle crise bancaire.
Il semble que la Fed, plutôt que de continuer à augmenter les taux, espère que les mesures actuelles vont inciter les banques à réduire leurs prêts, afin de préserver leur liquidité, ce qui ralentira l’économie et l’inflation actuelle de 6%. Selon une enquête de la Fed en janvier, la demande de crédit bancaire des entreprises et des ménages est déjà moindre, les conditions de prêt étant durcies. La croissance des crédits bancaires aux États-Unis a été nulle ces 3 derniers mois. Lors d’une conférence de presse, Jerome Powell a clairement expliqué que le durcissement des conditions de crédit bancaire était équivalent à une augmentation des taux directeurs de la Fed. C’est pourquoi il ne parle plus de « futures hausses de taux ». Autrement dit, la Fed souhaite transférer une partie de la tâche de ralentissement de l’économie au secteur bancaire. Il est clair que la Fed ne souhaite pas aggraver les difficultés des banques en augmentant les taux (dépréciation de leur portefeuille d’obligations à la valeur du marché).
13:59 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nantes, mercredi 29 mars : messe et hommage à Charette
13:58 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’école : … la fabrique des abrutis.
Bernard Germain
Peut-être cette information vous a-t-elle échappé mais elle vaut pourtant son pesant de cacahuètes. Elle concerne l’apprentissage de la lecture par les enfants.
Le 23 février 2023, Louis Maurin, le responsable de « l'Observatoire des inégalités », regrette, dans une tribune que « près de la moitié des parents diplômés de l’enseignement supérieur apprennent à lire à leurs enfants avant le primaire ». Il en conclut que cela accentuerait les inégalités sociales.
En effet, lorsque les enfants débutent l’école certains ont déjà des connaissances et un vocabulaire que les autres n’ont pas. C’est donc, pour lui, injuste et ne permet pas l’égalité entre les enfants.
Dans un esprit égalitaire, on pourrait imaginer qu’il conviendrait de retirer tous les enfants à leur famille et les confier à l’État qui serait garant de leur assurer les mêmes conditions de départ, gage de leur égalité au moment de démarrer l’école.
Vous l’aurez compris cette solution n’a heureusement aucune chance de voir le jour.
Plus sérieusement, un esprit logique et voulant « lutter contre les inégalités sociales » déduirait de l’affirmation de Louis Maurin qu’il faut trouver des moyens pour aider les enfants des milieux les moins favorisés à acquérir les connaissances et le vocabulaire qui leur manquent, avant d’aller à l’école.
Or, curieusement, Louis Maurin rejette cette solution car cela demanderait « des moyens considérables, pour des effets incertains ».
Mais alors … comment faire ?
La solution de Louis Maurin est stupéfiante.
Tenez-vous bien. Pour lui la solution consiste à « repousser d’un an l’âge d’apprentissage de la lecture à l’école ».
Pour Louis Maurin, la solution est donc de… retarder tous les élèves pour l’apprentissage de la lecture. Cette mesure serait égalitaire.
En fait, cette solution c’est l’instauration de la médiocrité et de l’ignorance pour tous.
Je suis sûr que certains lecteurs penseront que ce que je viens d’écrire est une mauvaise blague.
Mais non, c’est la stricte vérité et la triste réalité de notre école livrée à des pédagogistes fous qui la détruisent depuis des décennies et «forment» des élèves dont le niveau ne cesse de s’effondrer.
12:30 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Vendée à l'Honneur
12:06 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 26 mars 2023
De l’ivresse révolutionnaire à la fascination du chaos
Mathieu Bock-Côté
Dans La Steppe rouge, son premier livre, Joseph Kessel méditait sur une vérité simple, mais que le grand récit de la modernité peine à assumer : la passion révolutionnaire défigure l’homme. Elle réduit à néant le travail de la civilisation qui le modère, le calme, le civilise, autrement dit, pour réveiller la brute en lui et sa fascination normalement refoulée pour le chaos. C’est le parfum envoûtant de la poudre qui dérègle les sens. Il y mettait notamment en scène un homme que l’on pourrait dire honnête, partisan affiché de l’ordre et de la stabilité, mais qui, se laissant gagner par l’ivresse propre à ces temps troubles, se retourne en son contraire, et se laisse alors aller à ses tentations destructrices
Roger Caillois, de son côté, dans Instincts et société, parlait du « vertige » qui peut s’emparer d’une société découvrant que tout ce qu’elle tenait pour acquis peut s’effondrer. Pour Roger Caillois, le vertige s’empare d’une société quand resurgissent au cœur de la cité les forces associées au tumulte, au chaos. Caillois s’est notamment intéressé aux états limites qui poussent une société à contempler de manière presque hypnotisée la possibilité de sa montée aux extrêmes. Il savait que les hommes ne sont pas insensibles au « goût inavoué et comme sensuel du néant ». Une part de l’homme, et certainement pas sa plus raisonnable, rêve de manière plus ou moins avouée d’une grande déflagration pour se distraire de sa propre vie et la transformer en théâtre. Dans les temps troubles, les éléments antisociaux remontent à la surface de la cité, et rêvent de s’en emparer, ce qu’avait noté très justement Louis Pauwels dans son très beau roman Les Orphelins. « L’histoire est comme un sac de billes ; les secousses attirent à la surface les billes de fond ».
On l’aura compris, nous n’en sommes pas là dans la France de 2023, et la violence est encore essentiellement le fait de groupuscules d’extrême gauche, souvent venus de l’étranger, et se donnant pour mission de radicaliser les tensions sociales déjà présentes dans le pays. Leur stratégie repose sur une conviction inébranlable : derrière l’ordre social «ordinaire» se cacherait un ordre fasciste inavoué. On pourrait toutefois l’amener à se dévoiler en incendiant la société, en confrontant les forces de l’ordre, pour les conduire à une violence répressive telle que le commun des mortels, normalement zombifié par les avantages matériels de la société bourgeoise, découvrirait soudainement sa « vraie nature », et pourrait dès lors basculer dans un scénario révolutionnaire. Les milices d’ultra-gauche ont pour objectif de créer un environnement social où la violence devient contagieuse, et où l’homme ordinaire devient le personnage mentionné de Kessel.
Ce qui nous amène à prendre la présente situation en sens inverse. Guglielmo Ferrero fut à sa manière un des grands historiens-philosophes du dernier siècle, et s’est posé, dans Pouvoir, les génies invisibles de la cité, probablement son chef-d’œuvre, une question simple, mais vitale : que se passe-t-il quand le pouvoir prend peur ? Que se passe-t-il lorsque dans une communauté politique, le pouvoir commence à voir dans le peuple une masse grouillante et irrationnelle, presque une bête à dompter, et sent qu’à tout moment, le plancher pourrait s’ouvrir sous ses pieds, qu’à tout moment, il pourrait tomber ?
Que se passe-t-il quand le pouvoir comprend qu’il ne contrôle plus vraiment la société, que celle-ci lui échappe, et le rejette comme un corps étranger ? Que se passe-t-il quand le pouvoir sent qu’une légitimité alternative prend forme dans le corps social, et pourrait entraîner, au terme de troubles sociaux, non pas un remplacement dans la classe dirigeante, mais un remplacement de la classe dirigeante, qui se prépare dans les marges de la société autorisée à donner une nouvelle orientation globale à la société ? Le pouvoir peut alors devenir violent. Il lui faudrait alors conjuguer la prudence et la fermeté, et comprendre les ressorts profonds de la colère populaire. Il ne sait plus comment faire et préfère alors plastronner ou s’agiter.
À moins que cela ne soit plus possible. Gustave Le Bon nous l’avait pourtant appris : la psychologie des foules est celle des affects inflammables. On ne peut éventuellement la calmer qu’à travers des concessions à forte charge symboliques, pouvant conduire le quidam exalté à renouer avec la vie ordinaire. Si je me suis permis ces quelques considérations glanées chez des auteurs souvent oubliés, c’est avec le simple souci de rappeler qu’il existe chez les commentateurs comme chez les citoyens ordinaires, une telle chose que l’hypnose du chaos, et que ceux qui nous y conduisent ou s’y jettent, oublient qu’une société s’abîme plus facilement qu’elle ne se reconstruit. Le pourrissement de la vie sociale porte toujours en creux la possibilité du pire.
Source : Le Figaro 25/3/2023
11:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 25 mars 2023
Dr Alexandra Henrion-Caude : Ce que l’on vous cache sur l’ARN messager
Alexandra Henrion-Caude est généticienne, docteur en génétique, directeur de recherche à l’INSERM, spécialiste de l’épigénétique et de l’ARN. Elle est à l’origine de découvertes sur le fonctionnement de cette ARN dans les cellules et de son implication dans certaines maladies infantiles. Récompensée par le Prix Eisenhower Fellowship en 2013, elle lance le "Manifeste pour le juste soin à un juste coût" et fonde l’institut SimplisimA à l’île Maurice.
Dans un entretien à succès sur TVL le 31 juillet 2020 (retrouvez le verbatim de cette interview ICI : le docteur Alexandra Henrion-Caude devient lanceur d’alertes et intervient au cours de la crise de la Covid-19 sur la nécessaire précaution que les scientifiques et les politiques devraient adopter face aux innovations vaccinales proposées à partir de l’ARN messager. Depuis, son discours et ses mises en garde n’ont pas pris une ride, contrairement au narratif dominant, qui a été contraint de se remodeler au fil des déconvenues impossibles à nier. C’est sans doute pour cette raison qu’Alexandra Henrion-Caude a été victime de censure et d’attaques infondées par certains tenants de la doxa.
Avec "Les apprentis sorciers - Tout ce que l’on vous cache sur l’ARN messager", publié chez Albin Michel (disponible ICI ), Alexandra Henrion-Caude propose un livre passionnant, pointu, mais accessible, pour qu’enfin les mécanismes complexes de l’ARN et de l’ARN Messager utilisés dans les "vaccins" contre la Covid-19 puissent enfin être appréhendés et compris par le plus grand nombre.
13:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : ce samedi après-midi, Roland Hélie est invité à prendre la parole au cours du Ve congrès du Parti de la france
12:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie prochaine d'un entretien télévisé entre Jean-Marie Le Pen et Filip Dewinter, député d'Anvers...
Jeudi dernier, à l'initiative de notre ami Filip Dewinter, député d'Anvers et figure emblématique du Vlaams Belang, le parti identitaire flamand, un entretien télévisé a été réalisé avec Jean-Marie Le Pen. Cet entretien sera consultable dans les jours qui viennent sur ce site. J'ai eu le plaisir d'assister à l'enregistrement.
Au cours de celui-ci, le fondateur du Front national, très lucide sur la situation actuelle, a lancé un vibrant appel aux forces nationales, non seulement en France mais aussi partout en Europe, pour qu'elles continuent et amplifient le combat salvateur engagé pour nos nations et notre civilisation.
Pour nos camarades flamands, Jean-Marie le Pen, dans les années 1980, a été l'exemple à suivre. Ils ont eu raison car, aujourd'hui, le Vlaams belang est, selon de nombreux observateurs, aux portes du pouvoir en Flandre.
R H
Extraits cliquez ici
12:08 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi soir, les Amis de Synthèse nationale se sont retrouvés nombreux à Paris
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Roland Hélie, Didier Lecerf
Les Amis franciliens de Synthèse nationale sont venus nombreux vendredi soir à la réunion de printemps organisée à Paris. La salle était pleine et il a même fallu ajouter des chaises. C'était en effet une reprise car, hormis bien sûr notre Journée BBR du mois d'octobre dernier, cette réunion amicale était la première dans la capitale depuis la fin des confinements successifs de ces dernières années. Ce fut donc une bonne occasion de retrouver nos lecteurs et amis.
Présidée, comme il se doit, par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, président des Amis de SN, la conférence débuta par une analyse très précise des élections de l'an passé faite par Didier Lecerf, historien et collaborateur depuis sa création de notre revue, par ailleurs auteur d'un livre récent sur François de La Rocque cliquez là. Puis Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, fit un exposé sur la politique actuelle et expliqua pourquoi les forces nationales et identitaires devaient se mobiliser encore plus face aux dangers, en particulier la submersion migratoire et les développement du fléau woke, qui menacent notre nation et notre civilisation. Fort de l'exemple de Callac, petite commune bretonne où les patriotes se sont battus et ont gagné face à un fumeux projet d'implantation de centaines de migrants africains cliquez ici, il expliqua à l'assistance que les victoires locales sont possibles et que l'addition de celles-ci nous conduira à la victoire finale.
Il fut aussi beaucoup question du "Rendez-vous avec nos Chères Provinces" organisé en Mayenne le dimanche 23 avril prochain cliquez ici. De nombreux amis franciliens y seront présents.
La réunion se termina, dans la joie des retrouvailles, autour d'un pot amical. Au stand dressé pour l'occasion, les livres édités par SN étaient diffusés et des nouveaux abonnements ont été enregistrés.
S N
10:36 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |