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mercredi, 08 mars 2023

Le Président tunisien… ma nouvelle idole, comme le ministre de l’Intérieur anglais.

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Le président tunisien Kais Saied

Bernard Germain 

Les bien-pensants et autres immigrationnistes sont fous-furieux !

Vous vous rendez compte… face à l’invasion migratoire venue d’Afrique sub-saharienne qui frappe la Tunisie, le Président tunisien Kais Saied a osé déclarer : « Ils veulent changer la composition de la démographie tunisienne. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité tunisienne. »

Changez juste un mot dans cette déclaration et elle devient : « Ils veulent changer la composition de la démographie française. C'est un complot pour s'attaquer à l'État, au peuple et à l'identité française ».

Vous, je ne sais pas, mais moi je trouve qu’il a plein de bon sens ce Président Tunisien.

D’ailleurs, cela me rappelle une blague de Coluche (qui serait certainement en taule s’il disait cela aujourd’hui) :

« Vous savez, quand on dit :

  • « Le Mali aux Maliens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « Le Sénégal aux Sénégalais »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La Tunisie aux Tunisiens »… tout le monde dit BRAVO !
  • « La France aux Français »… tout le monde dit FACHOS ! »

Mais le Président tunisien ne s’arrête pas en si bon chemin. Il ajoute :

Cette immigration clandestine relève d’une «entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la Tunisie», afin de la transformer en un pays « africain seulement ».

Là encore, changez deux mots et tout devient clair :

Cette immigration clandestine relève d’une « entreprise criminelle ourdie à l’orée de ce siècle pour changer la composition démographique de la France », afin de la transformer en un pays « européen seulement ». Limpide… non ?

Et il complète son propos en déclarant : « Ceux qui sont à l’origine de ce phénomène font de la traite d’êtres humains tout en prétendant défendre les droits humains ».

Quant aux pays africains d’où sont originaires ces migrants, le Président tunisien affirme : « ils reçoivent de l'argent pour implanter des Africains en Tunisie ». En l’occurrence, c’est l’ONU.

Nous c’est l’Europe, qui verse des millions d’Euros aux États et à toutes les organisations pro-immigrations pour amener des millions de migrants en Europe « tout en prétendant défendre les droits humains ».

On comprend aisément la fureur des immigrationnistes face à ces déclarations du Président tunisien, qui défend son pays, ses frontières, sa culture, et son identité.

Mais surtout ces déclarations du Président tunisien flanque par terre tout le discours culpabilisant dispensé par les bien-pensants qui ne cessent de dire aux français contre l’immigration qu’ils sont des salauds. Et les mêmes de dire « il faut les accueillir, il fuient la guerre », « il faut être ouverts et solidaires », « Ce sont des chances pour la France »… et autres balivernes.

Avec ses déclarations, le Président tunisien a jeté un sacré pavé dans la mare !

Mais le plus fort est à venir.

Ce Président ne se contente pas de faire des déclarations fort pertinentes. Il joint les actes à ses paroles. Et lui n’y va pas par quatre chemins… il met en œuvre la remigration. Oui, vous avez bien lu… la REMIGRATION !

En France et en Europe, on nous explique en permanence qu’il est impossible de renvoyer tous ces migrants qui s’imposent sur nos territoires.

Darmanin, par exemple, nous dit qu’il est impossible d’obtenir les fameux « laissez-passer consulaires » et que donc ont ne peut pas les expulser. C’est curieux, mais le Président tunisien n’a aucun problème de ce type. Il annonce qu’il ne veut pas de tous ces migrants et… oh miracle, les États dont ils sont issus rapatrient leurs ressortissants.

Suite aux propos très fermes du président tunisien, les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso rapatrient leurs ressortissants. Donc, c’est possible… alors quand est-ce qu’on fait la même chose M. Darmanin ?

Quant au porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli, il prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés.

Moi je les trouve épatants ces tunisiens. Ce Président tunisien… c’est ma nouvelle idole !

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Mme Suella Braverman, ministre de l'Intérieur britanique

En Europe, j’ai aussi une idole.

Pour la trouver, il suffit de traverser la Manche. Oui, elle est en Angleterre et n’est autre que le ministre de l’Intérieur anglais. Mme Suella Braverman qui a déclaré : « Il est injuste que des gens qui ont traversé toute une série de pays sûrs, puis sont arrivés illégalement au Royaume-Uni, abusent de notre système d’asile. Cela doit cesser ».

Elle a donc présenté mardi 7 mars, un projet de Loi au parlement allant dans ce sens.

L’objectif du gouvernement britannique est d’empêcher les migrants qui ont traversé la Manche illégalement d’effectuer une demande d’asile au Royaume-Uni. Ils ne pourront donc plus déposer de demande d’asile et une fois expulsés, ils seront interdits de séjour outre-Manche. Quant à leur expulsion, elle se fera vers un pays « sûr » ou vers le Rwanda, avec lequel la Grande-Bretagne a déjà passé une convention pour accueillir les expulsés

Dites-moi… on ne pourrait pas faire la même chose en France ?

Voter une Loi interdisant de déposer un dossier de « réfugié » si on est entré illégalement. Et se voir expulsé ipso facto vers son pays d’origine ou un pays « sûr ».

Mais là, si on veut prendre ces mesures, on tombe sur un problème sérieux… notre appartenance à l’Europe qui impose à ses membres des textes les empêchant de prendre ce type de décisions, ce qui leur retire de facto toute indépendance nationale.

L’Angleterre peut voter ce type de Loi, car elle a voulu retrouver son indépendance nationale. Pour ce faire elle est sortie de l’Europe en décidant le Brexit. Et depuis, elle décide de son propre destin et vote les Lois qu’elle décide.

Si on ne peut sortir du carcan des textes européens qui nous imposent notamment de subir cette invasion migratoire il faudra, comme les anglais, sortir de l’Europe.

Et qu’on ne me dise pas que ce serait la faillite et la ruine pour la France si nous sortions de l’Europe. On a entendu pendant des mois et des années cette petite musique s’agissant de l’Angleterre.

Aux dernières nouvelles, ce pays se porte bien et la City est même restée la principale place financière en Europe.

Alors, à d’autres cet argument… !

Reste que, pour le moment, j’ai trouvé deux nouvelles idoles : le Président tunisien et le ministre de l’intérieur anglais.

16:10 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie à la fin du mois du n°24 de la collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme" consacré à la mouvance identitaire blanche aux États-Unis

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Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier sortira le 30 mars prochain.

Une grande Histoire méconnue en Europe

Rémi Tremblay

Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?

Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.

De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.

Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.

Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.

Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.

Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.

Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.

Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.

Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.

Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.

L’auteur : Rémi Tremblay

Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.

Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du national­isme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 -  cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.

En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Pré­sent et dans la revue Synthèse nationale.

États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

Pour le commander dès maintenant cliquez ici

10:18 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La routine française

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Yves Thréard

Le cortège parisien ne s’était pas ébranlé que Philippe Martinez avait déjà qualifié la journée d’historique. Certes, il y avait du monde dans la rue, ce mardi, mais ce fut le cas à plusieurs reprises depuis janvier, ainsi qu’en 2003 et surtout en 2010, année de manifestations imposantes. En France, une réforme des retraites qui allonge la durée légale du travail fait toujours recette contre elle. À chaque fois, on assiste donc à un spectacle identique, ou presque. La routine d’un pays couleur sépia, qui peine à regarder l’avenir dans les yeux et qui rejoue invariablement la même pièce. Avec cette question, elle aussi immuable : qui, du front syndical ou du pou- voir exécutif, va céder ? L’avantage irait plutôt au second. Un coup de théâtre est possible, mais la réforme devrait, d’une façon ou d’une autre, être adoptée d’ici à la fin du mois de mars. Reste une inconnue : un blocage du pays serait-il alors susceptible de remettre cette décision en cause ?

Quel que soit celui des deux acteurs qui craque, le jet de l’éponge serait pour lui terrible. L’exécutif signerait quasiment son arrêt de mort. Faute d’une autorité suffisante pour conduire d’autres réformes d’envergure, il serait réduit à la gestion des affaires courantes. Les syndicats, quant à eux, essuieraient une énième défaite qui les obligerait sans doute à changer complètement de mode d’action et d’usages pour se faire mieux en- tendre. Il est vrai que d’appeler à «mettre l’économie à genoux» quand les Français ont le regard rivé sur leur pouvoir d’achat n’est peut-être pas le meilleur mot d’ordre !

En attendant de connaître le résultat du bras de fer, le texte contesté est réduit à sa portion congrue. La fin des régimes spéciaux ne serait pas pour tout de suite et les fonctionnaires garderaient leur mode de calcul dérogatoire. Quant aux 13 milliards d’euros d’économies promis, ils ont fondu comme neige au soleil avec tous les aménagements concédés. Si elle passait, la réforme concernerait moins d’un Français sur deux. Pour sauver le système de retraite par répartition, une autre s’imposerait donc bientôt. La routine française, encore et toujours...

Source Le Figaro 8/3/2023

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Dédollarisation : ruée vers l’or des banques centrales, de la Russie, de la Chine

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Marc Rousset

Même le FMI, entièrement contrôlé par les Occidentaux et l’Amérique, vient de l’avouer dans un rapport tout récent intitulé : « L’or, une réserve de valeur internationale et non plus une relique barbare » faisant allusion à la célèbre définition par Keynes, à Bretton Woods, en 1944.Tous les États dans le monde stockent massivement l’or : en 2022, les achats de 1132 tonnes d’or par les banques centrales n’ont jamais été aussi élevés depuis 55 ans. Ces achats représentent plus du double des achats de 2021 (450,1 tonnes).

Selon le Conseil mondial de l’or, le WGC (World Gold Council), les banques centrales restent, début 2023, très intéressées par l’or. La plupart des achats ont été effectués par trois banques centrales, déjà très actives depuis de nombreuses années : la Chine, la Turquie et le Kazakhstan. La Turquie a été le plus grand acheteur d’or en 2022. En janvier 2023, la Turquie a encore acheté 23 tonnes d’or, portant ses réserves totales à 565 tonnes. La Chine, elle, a intensifié de manière agressive ses achats d’or fin 2022, ayant repris ses achats d’or pour la première fois depuis 2019. Elle a encore acheté 15 tonnes en janvier 2023, en plus des 62 tonnes de novembre-décembre 2022, portant ses réserves totales d’or nominales et officielles à 2025 tonnes, alors qu’elles sont dans la réalité infiniment plus élevées et qu’elles dépassent sans doute déjà les réserves d’or américaines de 8100 tonnes d‘or.

Selon le dernier rapport du WGC « l’incertitude géopolitique et l’inflation élevée sont les principales raisons pour détenir de l’or ». Suite aux achats records des banquiers centraux, la demande globale d’or pour l’ensemble de l’année 2022 s’est établie à 4 740,7 tonnes d’or, en augmentation de 18 % par rapport à 2021. La demande des seuls particuliers européens en pièces et en lingots pour le quatrième trimestre 2022 est en hausse de 14 %, soit 314 tonnes.

Quand l’heure des comptes et de la banqueroute sonnera pour régler toutes les âneries de nos dirigeants incapables depuis 40 ans, dont entre autres les 2 millions de fonctionnaires en trop, le passage aux 35 heures, l’abaissement de l’âge de la retraite de 65 ans à 60 ans par Mitterrand, l’ invasion migratoire extra-européenne qui continue de plus belle, la fermeture des deux réacteurs nucléaires rénovés de Fessenheim par Marcon, il ne restera plus véritablement pour les beaux yeux des Français que les actifs réels tangibles, c’est-à-dire l’immobilier, les terres, les forêts , les œuvres d’art, les métaux précieux tels que l’or et l’argent. De Gaulle n’hésitait pas à dire  que « celui qui parie sur les monnaies papiers parie contre 6000 ans d’histoire ! ».

Selon le FMI, le regain d’appétit d’or des banques centrales date en fait de la crise financière de 2008. L’effondrement de Lehman Brothers a provoqué un véritable électrochoc. Wall Street a été touchée au cœur et l’or a retrouvé son rôle de valeur refuge en lieu et place des actions cotées en dollars. L’or ne rapporte rien, mais il n’expose pas son détenteur à un risque de non remboursement ; de plus l’or, comme une entreprise ou un État, ne peut pas faire faillite !

Quant aux banques centrales des pays émergents exportateurs de pétrole, gaz, matières premières, minerais, métaux, elles sont désireuses de sécuriser leurs énormes excédents commerciaux en dollars. Acheter de l’or leur permet de réduire leur dépendance au dollar et à la puissance impérialiste américaine avec son droit extraterritorial. La décision suicidaire, ahurissante des pays du G7, digne des plus grands gangsters internationaux, de geler les réserves en devises de la banque centrale russe, n’a fait qu’amplifier le mouvement, plus personne n’ayant confiance dans l’euro et le dollar ! Dès l’annexion en 2014 de la Crimée par la Russie, cette dernière avait déjà troqué une partie de ses réserves de de change, libellées en dollars, contre de l’or qu’elle détient en sûreté dans ses coffres à Saint-Pétersbourg.

Entre 2014 et 2020, la Russie, via sa banque centrale, a été le pays qui a également le plus acheté d’or au monde. En 2008, le stock stagnait autour de 500 tonnes seulement, et depuis cette date, elle a commencé à acheter de l’or, les achats s’accélérant à partir de 2014 (date du coup d’État de Maïdan par la CIA à Kiev ), pour s’arrêter en mars 2020. Selon le Conseil mondial de l’or, ses réserves s’élèvent à 2 361 ,64 tonnes d’or, soit le cinquième volume le plus élevé derrière les États-Unis, l’Allemagne, la France et l’Italie. Ce sont ces réserves en or qui permettent aujourd’hui à Poutine d’avoir des actifs et des moyens de paiement, pour soutenir son effort de guerre, malgré les sanctions des Occidentaux. Les réserves de change totales de la Russie s’élèvent à 630 milliards de dollars, mais toutes ses devises en dollars et en euros sont bloquées dans les banques occidentales.

La Chine, avec ses créances énormes en milliards de dollars, suite à ses gigantesques excédents commerciaux, adopte une attitude identique à celle de la Russie. Les « 2000 tonnes bidon » officiellement déclarées représenteraient seulement 3 % des réserves monétaires totales du pays, contre 57 % pour la France et 65 % pour les États-Unis. Il y a donc milliers de tonnes d’or cachées en Chine !

Il se trouve que l’Empire du Milieu est ausi le premier producteur mondial d’or, avec 15 % de l’extraction mondiale. Depuis 20 ans, 6 830 tonnes ont été produites. Et en Chine, l’exportation minière est interdite. De plus, la Chine a acheté de nombreuses mines d’or en Afrique et en Amérique du Sud. Depuis 2000, 700 tonnes d’or sont de plus entrées par Hong Kong. L’armée chinoise dispose de stocks d’or et les particuliers, selon le WGC, détiendraient 2 500 tonnes de lingots, pièces et bijoux en or. On estime donc qu’il y a déjà plus de 30 000 tonnes d’or en Chine, dont la moitié appartiendrait à l’État , soit environ 15 000 tonnes d’or, soit presque le double de la quantité d’or détenue par les États-Unis à Fort Knox.

L’objectif de la Chine, c’est de dépasser les États-Unis et d’être la puissance dominante dans le monde en 2049. La Chine souhaite donc se dédollariser, c’est-à-dire remplacer le dollar par le yuan, nouvelle référence monétaire mondiale, en vue de l’hégémonie monétaire et commerciale. À terme, la Chine ne pourra garantir la force de sa monnaie qu’avec l’or, redevenu le seul étalon mondial universel. Le dollar non convertible depuis la décision prise par Nixon 1971, avec seulement 8100 tonnes d’or, ne sera plus alors, comme la livre sterling, l’euro et le yen actuellement, qu ’une monnaie de réserve parmi d’autres, avec les mêmes problèmes d’équilibre de la balance des paiements que les autres, la valeur du « greenback » devant alors littéralement s’écrouler ! La Chine va donc continuer sa stratégie d’accumulation d’or, au rythme des fluctuations, et plus particulièrement, des replis du cours de l’or.

L’hégémonie monétaire américaine est de plus en plus critiquée et de moins en moins redoutée, puisque même le petit Ghana, producteur d’or et de pétrole en Afrique, a osé s’affranchir de la monnaie du monde, en payant son pétrole en or et non pas en dollars. En novembre 2022, le vice-président Mahamudu Bawumia a annoncé que pour enrayer l’effondrement de la devise nationale, le Cedi, son pays envisageait de payer le pétrole qu’il importe, non plus en dollars, mais en or !

Dans un tel contexte, comment devraient évoluer à l’avenir les cours de l’or ? Les tensions géopolitiques restent très vives et la volonté de nombreux pays de s’affranchir du dollar ne devrait pas faiblir. Certains experts et économistes voient l’once d’or grimper d’au moins 10 % dans les prochains mois pour approcher de nouveau les sommets de mars 2022 à 2000 dollars l’once.

Dans l’immédiat, à très court terme, les vents qui soufflent sur le marché de l’or sont plutôt défavorables car la menace d’un ralentissement mondial s’est éloignée, d’où la politique monétaire agressive de la Réserve fédérale américaine en matière de taux, et des rendements obligataires qui augmentent. Pour certains économistes, il ne s’agit pourtant pas de savoir si une récession surviendra, mais plutôt de savoir quand ?

L’investisseur milliardaire John Paulson a récemment souligné le potentiel à long terme de l’or. Il a déclaré que les investisseurs devaient suivre la voie créée par les banques centrales, ces dernières ayant acheté une quantité record en 2022, comme explicitée ci-dessus. Selon Paulson, « Il y a une augmentation significative de la demande des banques centrales pour remplacer leurs dollars par de l’or, et nous ne sommes qu’au début de cette tendance. L’or va monter et le dollar va baisser ; donc vous feriez mieux de garder vos réserves d’investissement en or à ce stade ».

Quant à l’auteur de « Rich Dad, Poor Dad », Robert Kiyosaki, il a publié un avertissement concernant une récession mondiale imminente, affirmant que c’est le moment d’acheter de l’or et de l’argent : « D’ici 2025, l’or à 5 000 dollars l’once, l’argent à 500 dollars. Pourquoi ? Parce que la foi dans le dollar américain, la fausse monnaie, sera détruite. ».

La probabilité est donc élevée que l’or atteigne 2000 dollars l’once en 2023 et que l’économie américaine tombe en récession, ce que confirment les perspectives actuelles de Bloomberg Intelligence. Mais il importe de garder présent à l’esprit que, suite à la dédollarisation irréversible en cours, le potentiel d’augmentation et, en fait, de réévaluation de l’or, reste spectaculaire, ne serait-ce que parce que le commerce mondial a besoin de liquidités pour se développer ! N’oublions pas que lorsque Nixon a décrété unilatéralement, en 1971, la non convertibilité du dollar en or, la cotation était de seulement 35 $ l’once !

L’expert Doug Casey estime que l’once d’or atteindra sans peine les 3 000 $. Et selon Jim Rickards, autre expert incontesté, auteur de plusieurs ouvrages sur l’or et les crises, l’once d’or pourrait même s’envoler jusqu’à 10 000 $ l’once !

Le jour où l’or cotera à ces prix faramineux, cela signifiera la fin du « roi dollar », la fin de l’arrogance de Wall Street, la fin de l’extra-territorialité du droit américain, la fin de l’OTAN et de l’impérialisme américain !

01:01 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nantes, samedi 25 mars : un hommage à Charette

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01:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 07 mars 2023

Saines paroles de Mgr Viganò, dénonçant les folies des mondialistes

La religion d’État : quelques observations sur le culte mondialiste,

par Mgr Carlo Maria Viganò

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16:34 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un climat délétère

Le billet de Patrick Parment 

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La grève organisée mardi 7/3 par l’ensemble des syndicats qui eux-mêmes ne représentent plus la classe ouvrière depuis belle lurette, est tout à la fois une journée de dupes et l’expression du ras-le-bol d’un peuple en fort désaccord avec ses élites. Passons sur le paradoxe qui veut que les syndicats ne sont puissants que dans la fonction publique, là où les employés sont le plus protégés, mais aussi les plus à même de bloquer  tout un pays (SNCF, administration, etc.) au même titre d’ailleurs que les employés de TotalEnergie, fort bien traités au demeurant. Il y a là quelque chose de suicidaire de  s’attaquer à l’un des rare fleuron qui marche encore dans ce pays dévasté industriellement par sa classe politique. Si TotalEnergie gagne de l’argent, l’Etat et donc les contribuables en sont les premiers bénéficiaires. On peut en dire autant des entreprises du CAC 40, car le problème n’est pas tant la hauteur de leurs bénéfices que la mauvaise répartition de ces bénéfices. De voir par exemple, le Pdg de Renault, empocher plus de dix millions d’euros de salaire est un authentique scandale. Et c’est là que peche la politique d’un Emmanuel Macron qui verse dans ce que le capitalisme a de plus odieux par les temps qui courent : de rendre plus riche les riches et d’appauvrir le reste de la population. J’exagère ? A peine !

Car cette journée de grève, particulièrement suivie n’a pas pour unique ressentiment la réforme des retraites, mais bien une manifestation de ras-le-bol de la politique du chef de l’Etat dont on ne sait où il veut en venir. La France est un bateau ivre qui navigue au gré du vent. D’autant que cette absence de vision – la France pour quoi faire ? – se double des incohérences des décisions bruxelloises aux mains d’une inique Commission dont les membres ne sont pas élus. L’Europe dans rivages, titrait déjà dans les années 1950 le grand économiste François Perroux.

Il serait malhonnête de tout mettre sur le dos de Macron tant celui-ci hérite des erreurs de ses prédécesseurs. Depuis Giscard, aucun président n’a fait valoir une vision de la France comme ce fut le cas sous De Gaulle et Georges Pompidou. Depuis Mitterrand et ses successeurs, la France n’a cessé de se désagréger faute d’ambition, de lucidité (voir le dossier nucléaire par exemple), et surtout de courage politique. D’ailleurs, tous n’ont en aucun cas fait de la politique mais se sont montrés gestionnaires de leurs propres intérêts et de ceux de leur parti respectif. Sauf Mitterrand, peut-être, qui a fait cocu les socialistes et flingué le PS.

Inutile de dire que la décision européenne de prendre le parti de l’Ukraine n’a en rien arrangé nos affaires. On a ainsi pu mesurer le degré d’aveuglement de toute la classe politique européenne et son degré de servitude à « l’ami américain ».

Michel Audiard disait qu’il ne fallait pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Et bien il ne faut pas prendre non plus les Français pour des canards boiteux claudiquant sans tête. Les Français ont bien compris dans quelle mélasse les avaient entraîné leurs (sous)hommes politiques et leurs partis divers et variés emmêlés dans leurs querelles internes. Du coup, plus personne se ne rend aux urnes.

Alors peut avoir lieu le bal des guignols à la Mélenchon, Faure, Ciotti, Roussel, Martinez, Berger et consorts, les Français ont bien conscience qu’on les mènent vers l’abîme. Tant qu’ils n’auront pas une raison d’exister, la rue sera leur terrain de jeu et quand les frigos seront vides, viendra le temps de la révolution.

 

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Ernesto Che Guevara, la fin du mythe…

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Ce mardi matin, dans l'émission "L'Heure des pros" (CNews), les intervenants se sont élevés à juste titre contre la présence d'un portrait du criminel Guevara dans un local de la CGT. Il nous a semblé utile de remettre en ligne cet article de Didier Lecerf, publié dans la revue Synthèse nationale (n°3, printemps 2007), sur ce monstrueux personnage...

S N 

Didier Lecerf,

Depuis sa mort violente, en 1967,  il y a quarante ans, Ernesto Guevara incarne le romantisme révolutionnaire aux yeux d’un certain nombre de nos contemporains, jeunes et moins jeunes. Sa vie aventureuse et violente, sa fin tragique, sa figure, magnifiée et popularisée par la photographie, l’ont hissé au rang de mythe. Mais, aujourd’hui, ce mythe est battu en brèche : l’archange a du plomb dans l’aile, sa statue se fissure, elle vacille sur son socle… Exit la légende, place à l’histoire !

Une fin sordide

Il y a quarante ans, à l’automne 1967, en Bolivie, dans le canyon de Churo, un petit groupe de guérilleros communistes déguenillés, épuisés et malades, traqué depuis plusieurs jours par l’armée régulière, se retrouve encerclé par 300 rangers  « conseillés » par des bérets verts américains et des agents de la CIA.

Comble de l’ironie : c’est un des paysans du cru, que les insurgés marxistes espéraient gagner à leur cause, qui, les ayant aperçus, a indiqué leur position aux militaires…

Le 8 octobre, le chef de la bande, Ernesto Guevara de la Serna, dit le Che, alias « Fernando el Sacamuelas », coupé du reste de la troupe et blessé, est finalement capturé en compagnie de l’un de ses acolytes.

Transporté jusqu’à l’école de La Higuera, un village proche du lieu de son arrestation, il y est abattu le lendemain, 9 octobre, d’une rafale de pistolet mitrailleur, par le soldat Mario Teran, sur ordre du président René Barrientos, un général de l’armée de l’air, au pouvoir depuis deux ans.

Naissance d’un mythe

Pour Guevara, cette mort violente, à 39 ans, « dans des conditions sordides » (Jacobo Machover) (1) n’est pas une fin, mais plutôt un nouveau commencement. Elle débouche en effet sur – au sens premier du terme - l’apothéose du condottiere communiste, puisque le voici bientôt déifié par la génération encore fraîche des futurs ex-anciens soixante-huitards installés et repus.

Paradoxalement, et d’une façon assez comique, pour toute cette jeunesse gauchiste ou gauchisante, issue pour une bonne part des beaux quartiers, mais tombée très tôt dans la potion amère du matérialisme marxiste, fascinée par les bouchers rouges et grande pourfendeuse de la religion « opium du peuple », la mort du Che prend très vite la dimension d’une nouvelle Passion…

Pour toutes ces filles et tous ces fils à papa qui s’amusent alors à « faire la révolution » - avant de faire des affaires - avec d’autant plus d’entrain qu’ils ne courent finalement que bien peu de risques physiques ou matériels, Guevara (qui lui, au moins, a eu le courage de mettre sa peau au bout de ses idées), littéralement sanctifié par les souffrances endurées et le sang versé au nom de son idéal internationaliste, cesse en quelque sorte d’être un humain pour devenir un mythe.

Nimbé « d’un rayonnement presque christique » (Pierre Rigoulot) (2), par la grâce du martyre reçu, l’archange rouge quitte ainsi la terre des hommes pour rejoindre le panthéon révolutionnaire…

L’ancien compagnon de Castro passe alors du statut d’« homme le plus complet du siècle », (Jean-Paul Sartre), à celui d’ « être de lumière » (Ahmed Ben Bella), ou encore de  « nouveau Christ sur la croix » (Oliviero Toscani - photographe auteur, dans les années 1980-1990, des campagnes publicitaires provocatrices de la firme Benetton)…

Ainsi commence, à la fin des années 1960, la légende dorée de saint Ernesto de la revolución, Don Quichotte des temps modernes, figure emblématique du romantisme révolutionnaire, idole des ados en crise et des bobos anciens combattants du Quartier latin – lesquels ont, finalement, trouvé en lui le héros qu’ils méritent - .

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Lyon, vendredi 10 mars : une conférence du sénateur Stéphane Ravier à La Traboule

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Misogynie, faute morale

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Allez un peu de légèreté profonde dans ce monde de brutes. A l’heure du féminisme tous azimuts – y a de la femme partout et à tous les étages – être misogyne serait l’une des facettes du diable. Peut-on détester peinard les femmes ? A priori non, à l’heure du Mee#too. Mais être misogyne est-ce vraiment détester les femmes ? Bref, a contrario, la question de la femme pose celle de l’homme. Jean-Michel Delacomptée a sa petite idée qu’il nous confie dans Causeur de ce mois. Pertinent et drôle comme à l’habitude.

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Source : Causeur, mars 2023

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lundi, 06 mars 2023

Il ya a 70, crevait la pire ordure du XXe siècle : le communiste Staline

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Un communiqué d'Alexandre Simonot (Parti de la France) :
 
Il y a 70 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
 
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
 
Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !
 
Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?
 
A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.

10:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une nouvelle revue non-conformiste : OMERTA

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En savoir plus cliquez ici

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dimanche, 05 mars 2023

Ignace compare :

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19:36 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 mars 2023

François Asselineau - Ukraine, Otan, Afrique : la France en déclin

Cette semaine, Emmanuel Macron a misé sur l’Afrique. Après un discours à l’Élysée aux contours plus que flous, le président français s’est envolé mercredi au Gabon avant de poursuivre son voyage vers l’Angola, le Congo et la République Démocratique du Congo. Un épisode censé renouer avec le continent africain qui se solde par des résultats très mitigés, voire catastrophiques si l’on en croit le désaveu venu du Maroc pour témoigner des relations exécrables avec Paris.

À l’image de ses premières prestations en Afrique en 2017, Emmanuel Macron reviendra donc sans bénéfice, mais avec la démonstration que les pays amis qui étaient naguère amis de la France sont désormais des lieux où le président français est persona non grata.

Sur le reste de la scène internationale, le rayonnement français n’est pas vraiment au beau fixe. En Ukraine, malgré des tentatives fébriles de s’émanciper, Emmanuel Macron suit la ligne dictée par la Commission européenne d’Ursula von der Leyen, elle-même alignée sur la volonté de l’OTAN et de Washington. Les annonces en grande pompe d’envoi d’armes sur les théâtres de guerre ont beau s’enchaîner, la réalité prouve que l’Occident est déjà désarmé et ne peut apporter le soutien attendu par Zelensky et vendu par les va-t-en-guerre, ceux-là mêmes qui excitent également le terrain chinois.

François Asselineau, ancien candidat à la présidentielle et président de l’UPR, l’Union Populaire Républicaine, revient en détail sur l’effondrement de la France sur la scène diplomatique qui semble atteindre les tréfonds avec le candidat de l’oligarchie, Emmanuel Macron, devenu président.

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22:43 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PARUTION DU NOUVEAU NUMÉRO (N°77) DE LA REVUE "RÉFLÉCHIR ET AGIR"

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16:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Découvrez comment mettre fin au chantage des Sleeping Giants... Connaissez-vous Les Corsaires de France ?

Le site Corsaires de France cliquez là

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Sabotage politique

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Jacques-Olivier Martin

La souveraineté et l’indépendance énergétique tiennent à peu de chose. Il aura suffi, il y a douze ans, d’un petit marchandage politique sur fond d’élection présidentielle pour briser quatre décennies d’une stratégie nucléaire qui ont permis à la France, pays sans gaz ni pétrole, de se doter d’une électricité abondante et décarbonnée. Quel gâchis ! En s’engageant à réduire la part du nucléaire de 75% à 50% de la production d’électricité d’ici à 2025, François Hollande, otage des Verts, a préféré la lutte des classes écolo au pragmatisme énergétique, quitte à sacrifier cette filière d’excellence. Quel avenir pour le nucléaire français, pour EDF, pour Areva, pour les réacteurs de nouvelle génération, pour les prix et les volumes d’électricité ? Autant de questions alors restées sans réponses. Et pour cause : « On s’est mis d’accord sur un marqueur politique, de manière à marquer les esprits. (...) Et après, vogue la galère!», a résumé Arnaud Montebourg, ministre de l’Économie du président socialiste, devant la commission d’enquête de l’Assemblée qui planche actuellement sur «les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France ».

Et quelle galère, en effet! Pendant deux quinquennats, notre pays est resté prisonnier de cet accord idéologique «de coin de table». Avec les dégâts que l’on sait : la fermeture de Fessenheim, les atermoiements coupables sur l’avenir du parc nucléaire, et la chute d’EDF, privé d’une stratégie claire, de ses revenus, captés par l’État pour faire face à la flambée des prix de l’électricité, et aux prises avec des réacteurs vieillissants. Aujourd’hui, le chef de l’État n’a de cesse de vouloir s’ériger en chantre de la relance de l’atome civil et de l’indépendance électrique retrouvée. L’intention est louable, mais, soyons lucides : si la souveraineté énergétique peut se briser sur « un coin de table » politique, elle ne se reconstruit pas avec de belles promesses ou d’un coup de baguette magique. Pour l’heure, Emmanuel Macron, bien long à rompre avec la ligne Hollande, est aux yeux des Français le président qui a fermé deux réacteurs nucléaires remis à neuf!  

Source : Le Figaro 4/3/2023

13:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bernard Germain remercie les patriotes qui lui ont apporté leurs soutiens

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Chers amis,

Le procès, que le journal Le Poher m’intente, devait avoir lieu ce vendredi 3 mars au tribunal judiciaire de Lorient cliquez ici. Il est reporté à une date ultérieure. Dès que nous la connaîtrons nous vous en informerons cliquez là.

N’ayant pas la possibilité de faire face aux frais de justice qui sont élevés, nous avons fait appel à la solidarité patriotique et nationale.

Les dons collectés, grâce à vos versements et au soutien que m'apporte Reconquête !, me permettent d’assumer les frais de la première instance.

Je remercie du fond du cœur tous ceux qui ont répondu à notre appel et me sont venus en aide.

La cagnotte restera en ligne pendant encore 6 jours.

Les nouveaux dons serviront à financer l’inévitable procès en Appel qui aura lieu à la suite.

Merci d’avance à ceux qui comprendront la situation et répondront à notre appel à la solidarité.

Avec tous mes remerciements

Bernard Germain

Pour ceux qui souhaitent faire

un don, c’est ici : cliquez là

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Journal du chaos

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Pour télécharger, cliquez ICI

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vendredi, 03 mars 2023

Ivan Rioufol reçoit Reynald Secher

Reynald Secher prendra la parole :

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 Prenez dès maintenant votre réservation cliquez là

 

Frédéric Roy - "La France se suicide !" Marché européen de l'énergie

La faillite des entreprises françaises, ces TPEs et PMEs qui sont au bord du gouffre. André Bercoff reçoit Nicolas Meilhan, membre des éconoclastes, conférencier, ingénieur sur les sujets de Transport et d’énergie et Frédéric Roy Artisan-boulanger Niçois.

Nicolas Meilhan : "Chaque jour, une quarantaine de boulangeries ferme en France ! Il faut qu'on sorte de ce marché européen de l'énergie avant qu'il ne soit trop tard !" 

"Si Elisabeth Borne ne comprend pas que l'ARENH n'est pas en train de nous protéger, mais nous tuer à petit feu, on est quand même sacrément mal barré vu que c'est elle qui décide : c'est une scientifique qui a troqué sa règle de calcul contre un plat de lentilles bio."

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18:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Loïk Le Floch-Prigent : "On a confié le destin énergétique de la France à des ignorants"

Loïk Le Floch-Prigent, industriel, ancien PDG de Gaz de France et président de la branche industrie du mouvement patronal ETHIC, répond aux questions de Sonia Mabrouk.

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17:30 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Arnaud Montebourg auditionné par la commission d'enquête souveraineté de l'Assemblée nationale

Créée à la demande du groupe Les Républicains, la commission d’enquête visant à établir « les raisons de la perte de souveraineté énergétique de la France » poursuit ses auditions. Après Luc Rémont , le Président-directeur général EDF, elle entend Arnaud Montebourg, ancien ministre du Redressement productif (2012-2014).

« On a perdu en 15 ans : Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Essilor. »

Cette intervention nous explique absolument toutes les mauvaises décisions de ces dix dernières années. J'espère que ça va ouvrir les yeux de beaucoup de Français. Rien que la partie sur les véhicules électriques et thermiques en dit extrêmement long sur l'incompétence de nos politiques.

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17:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conjectures politiciennes

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

C’est une petite musique qui commence à circuler dans le tout-Paris médiatique et que le landernau politicard répète à l’envie afin de s’effrayer à bon compte. 2027 verrait l’élection de Marine Le Pen à la présidence de la République.

Les ultra-modernes augures expliquent cette prédiction par des analogies. Après deux mandats, Barack Obama qui, s’il avait pu se présenter encore, aurait effectué un troisième, puis un quatrième mandat, a laissé la place à Donald Trump. Ne pouvant plus se représenter, Emmanuel Macron passerait la main à la finaliste malheureuse de 2017 et de 2022. Cette hypothèse hardie se base sur une gauche, unie ou non, absente du second tour, des Républicains en coma dépassé et, surtout, une majorité présidentielle éclatée en plusieurs candidats (Édouard Philippe, François Bayrou, Bruno Le Maire, peut-être Gérald Darmanin et un représentant de l’aile progressiste de la Macronie). Elle parie enfin sur une exaspération populaire générale croissante à venir propice à la victoire du marinisme.

Mais le scénario envisagé ne s’arrête pas en 2027. Il intègre l’échéance présidentielle suivante avec une nouvelle candidature d’Emmanuel Macron, âgé de 55 ans. Il reviendrait à l’Élysée effectuer un nouveau décennat. Observons le tumulte permanent suscité par une opposition protéiforme qui a paralysé, parasité et éclipsé l’action de Trump et du Brésilien Jair Bolsonaro. Aujourd’hui, l’Italienne Giorgia Meloni montre toute la difficulté de diriger un pays occidental quand on ne provient pas entièrement des cénacles officiels. La médiacratie, l’opposition de gauche, la haute-administration et la magistrature l’encerclent et l’empêchent de conduire la politique pour laquelle elle a été élue. En quatre mois, la présidente de Frères d’Italie est revenue sur ses promesses électorales, applique une politique dans la stricte continuité de Mario Draghi et se doit de composer avec la Commission de Bruxelles qui sait que le rapport de force joue en sa faveur.

Malgré une éventuelle majorité absolue au Palais-Bourbon, Marine Le Pen à l’Élysée serait ligotée et surveillée par le Conseil constitutionnel, la Cour de Cassation, la Cour de justice de l’Union pseudo-européenne, la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil d’État, les réseaux d’influence qui noyautent la fonction publique, les syndicats, la médiacratie, l’ONU, l’OTAN, etc. Soit elle renoncerait à des pans entiers de son programme déjà bien léger, ce qui plongerait la France dans la déception, le marasme et la dépolitisation, soit son expérience présidentielle s’achèverait à la Mohamed Morsi, en référence au président islamiste égyptien renversé au bout d’un an en 2013, ce qui inciterait un prompt retour de son prédécesseur à la tête de l’État.

Une autre spéculation excite les commentateurs politiques, à savoir le risque de dissolution de l’Assemblée nationale. Emmanuel Macron s’irrite de ne plus disposer de majorité absolue. Il aurait la tentation de déclencher des législatives anticipées au premier prétexte trouvé. Or, les circonstances présentes ne se prêtent guère à cette manœuvre politicienne. À partir de septembre 2023 se déroulera dans l’Hexagone la Coupe du monde de rugby. Difficile d’être en campagne électorale à ce moment-là. En 2024, hormis les trois – quatre premiers mois de l’année, il y aura d’abord les élections européennes en mai ou en juin, sauf si elles sont couplées avec des législatives anticipées, puis ensuite les Jeux Olympiques. Leur fin constituerait une assez bonne fenêtre de tir à la condition que les JO soient un succès indéniable sur lequel le chef de l’État puisse s’appuyer. Il n’est pas certain que cette manifestation dispendieuse réussisse au regard de l’état des transports publics parisiens, de l’organisation de l’évènement et de la sécurité. Un effet sur-multiplié « Stade de France » avec ces méchants Anglais agresseurs d’honnêtes racailles du 9-3 est fort prévisible.

En cas de dissolution, l’Assemblée nationale conserverait peut-être une majorité relative ou bien, hypothèse plus improbable, consacrerait la victoire du RN. Dans cette perspective, Marine Le Pen a dès à présent annoncé qu’elle refuserait sa nomination à Matignon. À l’instar du Polonais Jaroslav Kaczyński, longtemps chef du groupe parlementaire majoritaire, elle resterait présidente de son groupe au Palais-Bourbon. Ce retrait tactique préserverait en partie ses chances de l’emporter en 2027. Cependant, tout gouvernement RN subirait les entraves énoncées précédemment et vivrait une cohabitation éprouvante avec un président prêt à tout pour le faire dérailler, quitte à redissoudre la chambre basse dès la carence d’une année révolue.

La funeste révision constitutionnelle de 2008 voulue par Nicolas Sarközy et adoptée de justesse par le Congrès à Versailles qui empêche tout troisième mandat présidentiel consécutif fige les initiatives de l’actuel locataire de l’Élysée. Sans cette contrainte stupide, preuve flagrante de l’américanolâtrie de l’ancien maire de Neuilly-sur-Seine, Emmanuel Macron pourrait démissionner, être réélu, dissoudre l’Assemblée de juin 2022 et, cette fois-ci, obtenir une majorité absolue. Toutefois, s’il démissionne au cours de son second mandat, pourrait-il immédiatement se représenter en considérant que l’intérim de la présidence de la République par le président du Sénat compte pour un mandat ? Les constitutionnalistes divergent sur la réponse apportée. Une minorité avance que sa candidature serait légitime et invoque un avis du Conseil d’État rendu le 25 octobre 2022. Saisi par le gouvernement à propos de la présidence de la Polynésie française et de la possibilité qu’un président puisse exercer un troisième mandat alors que la loi organique interdit plus de deux mandats consécutifs de cinq ans chacun, le juge administratif explique finalement que « la disposition s’entend comme limitant à deux mandats successifs de cinq ans complets l’exercice de la présidence de la Polynésie et qu’une personne ayant exercé deux mandats successifs, dont l’un est inférieur à cinq années, peut légalement briguer un troisième mandat ». La plupart des spécialistes s’accorde néanmoins qu’il appartiendrait au Conseil constitutionnel dont les membres ne sont pas impartiaux – on l’a vu avec l’approbation de l’horrible passeport sanitaire -, de valider ou non les parrainages.

Histoire de terrifier leurs quelques lecteurs bien-pensants à peu de frais, la grasse presse et les prescripteurs d’opinions convenus échafaudent volontiers de vaines supputations politiciennes. Il faut toutefois retenir que l’activité politico-électorale se joue pour l’instant dans un cadre règlementaire défavorable à l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne. Il lui reviendra le moment venu de s’affranchir du carcan institutionnel en instaurant une situation exceptionnelle apte à remplacer réellement les fondements philosophiques du gouvernement.

Salutations flibustières !

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°63, mise en ligne le 1er mars 2023 sur Radio Méridien Zéro.

10:29 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 mars 2023

Satisfaction de la Coordination Partout Callac suite aux encouragements de Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain et Jean-Marie Le Pen

Un communiqué de la Coordination Partout Callac

Jean-Marie Le Pen fut le premier en France à tirer le signal d’alarme sur les dangers de l’immigration. Surtout si elle est complètement incontrôlée comme actuellement.

En réponse, il fût insulté et ostracisé par presque toute la classe politique. Gauche et droite réunie.

Pendant des dizaines d’années. Aujourd’hui encore.

Pourtant il avait raison comme le prouve ce que nous vivons actuellement dans notre pays, qui est au bord de l’abîme et en passe de disparaître si l’évolution actuelle continue encore quelques années sans aucune mesure sérieuse pour l’arrêter.

Des hommes politiques ont eu les mêmes opinions que lui.

Ainsi :

  • Georges Marchais (PCF) pendant la campagne présidentielle de 1980-1981 a déclaré : « il faut arrêter immédiatement toute immigration légale et illégale ». Il faut dire que le PCF régnait sur tous les quartiers populaires. Et dans la « ceinture rouge » (les départements autour de Paris) il était aux premières loges pour constater les effets dévastateurs du regroupement familial que Giscard d’Estaing venait de mettre en œuvre.
  • Michel Rocard (PS) a également déclarer : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde » Et à l’époque on était très loin de la situation actuelle. Que dirait-il s’il voyait la situation de notre pays ?
  • La Droite également, toutes tendances confondues, lors de la Convention de la droite a dit et voté une résolution se prononçant clairement pour l’arrêt de toute immigration. On trouvait même dans cette résolution que « l’islam est incompatible avec la République ».

Chirac élu en 1995 oublia tout cela et pratiqua une politique tournant radicalement le dos à ce qu’il avait voté en 1990 avec tous ses amis (Juppé, Sarkozy, Bayrou, … etc).

C’est à partir de ce moment qu’est apparue la « droite républicaine ».

Idem pour la gauche, qui oublia ce qu’avait dit Rocard. A l’inverse elle se mit à glorifier la « différence », les « chances pour la France » et le « vivre ensemble ». 

Seul Jean-Marie Le Pen et le Front national resta fidèle à ses convictions.

Quelques dizaines d’années plus tard, force est de constater que Jean-Marie Le Pen avait raison.

Et les Français l’ont bien compris.

En 1974, il obtenait 0 ,74 % des voix à l’élection présidentielle.

En 2022, Marine Le Pen… grâce à son nom, obtenait plus de 42 % des voix.

Aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen, dans son Journal de bord hebdomadaire a commenté l’affaire de Callac ainsi que le site que nous avons lancé « Partout Callac » (www.partoutcallac.fr).

Non seulement il en a parlé, mais il soutient le combat que nous menons contre l’immigration folle que connaît notre pays.

Notre combat marche dans les pas qui étaient les siens. C’est avec fierté que nous entendons ses paroles sur notre combat.

Vous pourrez les entendre sur cette vidéo : cliquez ici.

23:26 Publié dans Callac 22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Consultez le site cliquez ici

10:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

ATTENTION : LE PROCÈS DE BERNARD GERMAIN PRÉVU VENDREDI 3 MARS À LORIENT EST REPORTÉ

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Vous êtes nombreux à nous avoir fait part de votre intention de vous rendre à Lorient vendredi matin pour venir soutenir notre camarade Bernard Germain, et Christine Tasin, directrice de Résistance républicaine, trainés devant le tribunal suite à un article dénonçant les fantasmes de la presse remplaciste à Callac.

L'avocat de nos amis, Maître Frédéric Pichon, nous fait savoir que le procès est reporté à une date indéterminée. Nous vous demandons par conséquent de ne pas vous déplacer devant le tribunal de Lorient vendredi matin. Cependant, il est nécessaire de rester mobilisés. Nous vous tiendrons informés sur ce site de la suite des événements...

S N

 

Lire aussi : cliquez ici et cliquez là

10:02 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 4 mars, au Mans, rassemblement pour la défense de notre patrimoine

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10:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'intervention d'Alain Escada, président de Civitas, samedi 25 février à Saint-Brévin-les-Pins

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01:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 mars 2023

Yona Dureau : Trump/Biden : la plus grande fraude électorale ?

Les élections américaines de 2020 ont donné lieu à la plus grande fraude électorale de tous les temps. Factuellement, cette fraude retentissante, mais étouffée, résulte du long développement d'un processus complexe.

L'ouvrage de Yona Dureau, "Chine-États-Unis : Le réveil du Dragon et la revanche du Kraken", retrace l'historique et les conséquences de la théorie politique et idéologique dite de l'interdépendance qui a fondé les rapprochements successifs de la Chine et des États-Unis depuis 1960. Ces rapprochements successifs ont progressivement changé de nature avec le détournement de la puissance financière des USA et de la Chine au profit d'un petit groupe de politiciens.

Ces détournements ont ensuite requis des complicités internes à l'appareil de ces deux grands États et ont abouti à une corruption systémique, transformant ainsi les gouvernements de l'intérieur pour permettre un contrôle croissant de la Chine sur les États-Unis. La lutte pour le rétablissement d'élections honnêtes a donc pour enjeu l'avenir tout entier de la première puissance mondiale.

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