mardi, 03 décembre 2024
Challans (Vendée) : La projection du film sur Tommy Robinson suscite l'hystérie des censeurs patentés de la gauche totalitaire
Rose Martin Riposte laïque cliquez ici
Maëlig Cozic-Sava, en haut, président du cinéma Manivel de Redon, et Éric Dubot (en bas), propriétaire du cinéma Kristell à Challans. Deux conceptions de la liberté aux antipodes l’une de l’autre…
Mercredi dernier, à la veille de la diffusion – une première en France – du film de Tommy Robinson, « Silenced », Rose Martin alertait nos lecteurs sur les intimidations d’un groupuscule gauchiste, Rebellyon de Résistance, auteur d’un texte insultant et menaçant à l’encontre d’Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, d’Éric Dubot, propriétaire du cinéma Triskell de Challans, et du maire de la ville, Rémy Pascreau. Cliquez ici
Pourtant, Éric Mauvoisin avait une certaine légitimité à présenter ce film, puisque, un mois plus tôt, devant 50.000 manifestants amis de Tommy Robinson, il avait pu prendre la parole, à Londres.
Malgré cette agitation hélas habituelle, la salle avait été remplie, et la projection s’était fort bien déroulée, avec beaucoup d’émotion dans l’assistance, par rapport au courage de Tommy Robinson, et à l’acharnement de tout l’appareil d’État, qui a réussi à le faire emprisonner pour 18 mois, sous des prétextes fallacieux. Un pot amical avait conclu la soirée, et Tommy, depuis sa prison, avait pu apprendre que cent Français lui avaient souhaité un bon anniversaire. Cliquez ici
Dans cet article, Rose avait insisté sur la réalité du fascisme du 21e siècle, en ces termes : « Que la gauche n’aime pas Tommy Robinson, c’est son droit, qu’elle le trouve trop populaire et pas assez wokiste, pourquoi pas ? Mais ce qui différencie les fascistes des démocrates, c’est que les premiers s’opposent par la force à tout ce qui est différent de leurs idées, alors que les seconds sont plutôt des adeptes de la célèbre phrase attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». On devinera donc aisément que ceux qui se prétendent antifascistes sont les nouveaux nazillons du 21e siècle, et que ce sont eux qui représentent les plus graves menaces pour nos libertés et notamment la liberté d’expression ».
Comment mieux illustrer ces propos que la publication de cette lettre, ci-dessous, qui est parvenue à la rédaction de Riposte Laïque. Elle a été écrite le 27 octobre, la veille de la diffusion du film « Silenced » à Challans. On y lit donc ce texte digne des régimes les plus totalitaires, signé anonymement par Le Conseil d’administration de « Manivel’Cinéma », un cinéma associatif de Redon, présidé depuis 2020 par Maëlig Cozic-Sava, qui a succédé au fondateur du cinéma, Philippe Rouxel.
Il est déjà stupéfiant qu’un cinéma associatif se permette de menacer un propriétaire indépendant comme Eric Dubot, par ailleurs également à la tête d’un autre cinéma, à Luçon, parce qu’il ose diffuser à Challans un film qu’eux ne diffuseraient pas à Redon. En effet, alors que le cinéma associatif Manivel est gavé de subventions et n’a aucun problème pour équilibrer ses comptes, sachant que le trou éventuel sera bouclé par les collectivités locales, le cinéma de Challans est lui complètement tributaire de ses seuls résultats d’exploitation, et devrait mettre la clé sous la porte à la moindre défaillance.
Les deux cinémas annoncent à peu près 200 000 entrées par an, mais là encore, la municipalité de Redon encourage toutes les initiatives associatives à se tenir dans le cinéma Manivel, pour gonfler des chiffres que des initiatives douteuses comme la quinzaine anglophone ne tirent pas vers le haut. Ainsi, des concerts s’y déroulent-ils tout l’été, et les écoles sont très fortement encouragées à venir fréquemment faire profiter les élèves de programmes par ailleurs souvent discutables. Eric Dubot ne peut compter que sur lui pour remplir ses salles. Donc, un militant associatif qui ne vit que grâce aux subventions des collectivités locales et nationales, qu’on pourrait appeler un fonctionnaire du cinéma, se permet de menacer un libre entrepreneur et de lui donner des leçons sur ses choix de programmation. Gonflé !
Reste le fond du problème. Ceux qui animent ce cinéma associatif de Redon sont des gauchistes, et ils se comportent en militants sectaires, qui ne diffusent que les films qui leur conviennent. Exactement comme ceux de Callac, où les immigrationnistes, fers de lance du projet Horizon, agissent de la même façon dans son cinéma associatif « La Belle Equipe » où on ne passe que des films qui leur conviennent idéologiquement, tout en profitant des sous de toute la collectivité. Ainsi, ces grands défenseurs de la culture multiplient les films et les initiatives citoyennes qui font l’apologie de l’accueil des migrants, mais refusent de diffuser le film « Vaincre ou mourir », parce qu’il est produit par le Puy du Fou. Seul problème, ils sont financés par les deniers publics, et imposent donc à l’ensemble de la population, qui finance ce cinéma, leurs choix politiciens. Cela s’appelle du sectarisme, du lavage de cerveau et du totalitarisme.
Mais il y a pire. Eric Dubot, preuve de ses grandes compétences, est président de « La Règle du Jeu », une association de cinéma d’Art et d’Essai, et il dirige également « La Chambre Syndicale des Cinémas de Bretagne et de l’Ouest ». Or, au-delà des insinuations malveillantes employés contre lui, le courageux et anonyme « conseil d’administration de Manivel’Cinéma » interpelle ces deux structures pour leur demander ni plus ni moins que de débarquer Eric Dubot de ses responsabilités parce que, en tant que propriétaire indépendant, il a autorisé Eric Mauvoisin, moyennent finance, à projeter le film de Tommy Robinson dans son cinéma. À noter par ailleurs que ce conseil d’administration se permet de qualifier les sites Riposte Laïque, Breizh Info et Synthèse nationale de « sites ouvertement fascistes ». Ils doivent savoir de quoi ils parlent, car en terme d’inversion accusatoire, on fait difficilement mieux…
Il suffit d’écouter Yann Vallerie, fondateur et rédacteur en chef du site « Breizh Info », interrogé sur la projection du film « Silenced » à Challans, pour comprendre qu’il n’y a rien de fasciste dans ses propos, et que si des sites défendent la liberté d’expression, c’est bien Riposte Laïque, Synthèse nationale et Breizh Info, tandis que les maîtres-censeurs de Manivel veulent s’opposer à la diffusion d’un film, comme les nazis s’opposaient à la circulation de livres qu’ils brûlaient en place publique.
Quant à Riposte Laïque, comment ne pas être fier de lutter, depuis bientôt vingt ans, contre l’islamisation de la France et d’avoir organisé les Assises pour les Liberté d’expression en 2015 ? Cliquez là
Les pratiques des animateurs Rebellyon de Résistance et du cinéma Manivel sont à l’opposé de cette conception. En effet, nous avons là un cas typique de comportement fasciste, qui commence par les menaces et les intimidations contre le propriétaire du cinéma, qui a reçu en 24 heures des centaines de courriels et de textos laissant entendre que son cinéma pourrait brûler s’il maintenait l’initiative. Le maire a reçu également nombre de coups de téléphone d’insultes, le sommant d’interdire cet événement dans sa commune. Et nous apprenons qu’en complément de ces pratiques de type antifa qui paraissent ne déranger personne, il se trouve un cinéma, à Redon, qui complète les menaces des nazillons gauchistes contre Eric Dubot, et veut le tuer socialement en l’éradiquant de la profession, pour crime de liberté d’expression.
Ces nervis gauchistes et les prétendus défenseurs de la culture de Redon ne sont que des fascistes en herbe. Bien évidemment qu’Eric Dubot, qui ouvre son cinéma à tout le monde, sans exclusive, incarne la liberté, alors que Maëlig Cozic-Sava et le Conseil d’administration du Manivel’Cinéma ne sont que les héritiers de tous les totalitaires du monde, qu’ils aient les traits de Staline ou d’Hitler, et que le terme « fasciste » leur convient bien davantage qu’à Riposte Laïque, Breizh Info ou Synthèse nationale, qui incarnent le combat pour l’amour de la France et la liberté d’expression.
N’en déplaise à ces petits Torquemada de la pensée unique, Éric Mauvoisin continuera à faire connaître dans la France entière le film « Silenced » de Tommy Robinson, et nous savons qu’il rencontrera certes des maîtres-censeurs comme la fine équipe du Manivel’Cinéma, mais aussi des amoureux de la liberté, dont la liberté d’expression, comme Éric Dubot et son équipe de Challans et de Luçon.
Quant à Riposte Laïque, il utilisera son réseau militant pour faire connaître le combat de Tommy Robinson partout en France, n’en déplaise aux petits commissaires politiques de Redon qui ont bien mérité ce retour de « Manivel ».
NDLR SN : Bien évidemment, Synthèse nationale est totalement solidaire de nos amis de Riposte laÏque, de Breizh Info et du Rassemblement vendéen, y compris dans les suites judiciaires qui pourront être données à ces allégations.
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