mercredi, 26 mars 2025
Rassemblement pour la paix ce Jeudi 27 mars - Place de la République à Paris.
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25 mars 1821 : début de la guerre d’indépendance grecque
Source Jeune nation cliquez ici
La guerre d’indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque (Ελληνική Επανάσταση του 1821), est le conflit durant lequel les Grecs, finalement soutenus par les grandes puissances (France, Royaume-Uni, Russie), réussirent à obtenir leur indépendance de l’Empire ottoman.
Le 25 mars 1821, les Grecs, définis d’abord en tant que chrétiens orthodoxes, se révoltèrent face à la domination de l’Empire ottoman. Cette révolte réussit, et l’indépendance de fait fut proclamée lors de l’Assemblée nationale d’Épidaure le 1er janvier 1822. L’opinion publique européenne était assez favorable au mouvement, à l’image des philhellènes.
Cependant, aucun gouvernement ne bougea à cause du poids politique et diplomatique de la Sainte-Alliance, et particulièrement de l’Autriche de Metternich, partisan acharné de l’ordre, de l’équilibre et du principe de légitimité instauré par le congrès de Vienne.
Des Grecs vivant hors de l’Empire ottoman, comme des habitants des Îles Ioniennes tels que Ioánnis Kapodístrias, et des membres de l’élite grecque de Constantinople et des Principautés danubiennes, les Phanariotes, apportèrent dès le début leur aide aux insurgés.
Pendant deux ans, les Grecs multiplièrent les victoires.
Cependant, ils commencèrent très vite à se déchirer, divisés entre « politiques » et « militaires ». La Sublime Porte appela en 1824 à l’aide son puissant vassal égyptien Méhémet Ali.
Pour les Grecs, les défaites et les surtout les massacres se succédèrent.
Cependant, les Russes souhaitaient de plus en plus ardemment intervenir, par solidarité orthodoxe mais aussi parce qu’ils avaient leur propre ordre du jour géostratégique.
Les Britanniques, quant à eux, désiraient au départ limiter l’influence russe dans la région mais finirent par s’allier avec la Russie.
Une expédition navale de démonstration fut suggérée lors du traité de Londres de 1827.
10:53 Publié dans Revue de presse, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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On peut-être un immense athlète et dire des sottises absolues, comme être « l’idiot utile de l’islam des frères musulmans »
Michel Festivi
Personne ne contestera que Teddy Riner est un immense sportif, peut-être le plus grand en nombre de médailles, aux jeux olympiques, et aux championnats du monde. Mais comme souvent, les sportifs feraient mieux de rester concentrés sur leur sport et ne pas se mêler de politique, du moins d’éviter les prises de paroles publiques. Et c’est exactement, ce qui s’est passé. Notre judoka national a eu la saugrenue idée de venir au secours de femmes qui entendent porter le voile lorsqu’elles pratiquent leur discipline. Il a prétendu que la liberté et l’égalité devraient être prioritaires et « ne pas s’acharner sur une seule et même religion ». Le problème que Teddy Riner ne voit pas ou refuse de voir, c’est que justement, seule une religion pose problème, et aucune autre.
C’est l’ex-champion du monde de boxe en 2003 et 2006, d’origine iranienne, mais naturalisé français, Mahyar Monshipour qui lui a répondu en renvoyant Teddy Riner dans son dojo, « pour lui dire qu’on ne peut pas prendre position sur certains sujets que l’on ne maîtrise pas ». Conseiller technique de la Fédération française de boxe, né à Téhéran, il connait lui, contrairement à Teddy Riner, ce que veut très précisément signifier, le port du voile. Pour Mahyar, « Il s’agit de rendre habituelle la présence du fait religieux. On ne parle pas du port d’une simple croix, mais de la volonté de cacher la femme avec le voile. Ce voile est un linceul et le signe visible d’une inégalité entre l’homme et la femme. ». En une phrase, bien sentie, Teddy Riner, est remis à sa place par ippon, celle d’un judoka, qu’il n’aurait jamais dû quitter.
Et d’en rajouter judicieusement « Teddy se trompe par méconnaissance du sujet, les sportifs...ne doivent pas devenir les idiots utiles de l’islam des frères musulmans... je le répète, une recommandation religieuse n’a rien à faire dans la pratique sportive, dans les activités culturelles ou à l’école. Le permettre, c’est accepter un petit pas de plus des frères musulmans dans notre société. »
Mahyar, dans cet entretien qu’il a donné au Figaro revient sur la manière dont le voile s’est imposé en Iran, et il lance ce cri « Réveillons-nous et réveillez-vous Teddy Riner... ils veulent rendre le port du voile classique, pour extraire les femmes du monde du sport ».
A cet égard, et suite à la proposition de loi sur l’interdiction du port du voile dans le sport, votée au Sénat et qui va être débattue à l’Assemblée nationale, la cacophonie s’est faite jour au sein du gouvernement « du en même temps » de François Bayrou. La ministre de sport et de l’éducation nationale avaient l’air de ne pas voir le problème, quand d’autres ministres comme celui de la Justice ou de l’intérieur se sont prononcés pour cette interdiction. Justement, Bruno Retailleau vient de se déclarer être radicalement opposé à Teddy Riner. « Le voile n’est pas le symbole de la liberté, c’est le symbole de la soumission. Il n’est pas non plus le marqueur de l’égalité, au contraire, il conteste radicalement l’égalité entre les hommes et les femmes, il est le signe de l’infériorisation du statut de la femme ... vous ne trouverez pas un seul islamiste qui ne souhaite pas que les femmes portent le voile ».
Dans le passé, on a connu les idiots utiles du communisme, on connait aujourd’hui, les idiots utiles de l’islam. Un dernier point, particulièrement troublant, qui démontre les ravages que la religion islamiste peut faire dans notre société. Selon un sondage, sur le fait religieux en entreprise, et d’après une enquête réalisée par Toluna-Harris interactive, du 11 au 14 février 2025, auprès de salariés âgés de 18 à 65 ans, travaillant dans une entreprise privée de 100 salariés et plus ou dans le secteur public, 46% des salariés de 18-24 ans jugent acceptable de refuser de s’asseoir, là ou une personne de l’autre sexe est assise et 42% contre 20% de l’ensemble des salariés, trouvent acceptable de refuser d’entrer en contact avec certains clients selon leur sexe. Mais pour certains, c’est peut-être aussi, une question d’égalité ou de liberté ? Réveillons-nous, s’il n’est déjà pas trop tard.
01:13 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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