samedi, 03 mai 2025
La bataille de l’énergie
Le président Georges Pompidou était un homme sage et surtout de bon sens, tout sentiment qui échappera à ses successeurs. Pompidou est ce président qui, à la suite de De Gaulle, a industrialisé la France. Et pour se faire, il avait pour conseiller un certain Ambroise Roux, puissant patron de la CGE. Pompidou n’hésitait pas à suivre ses avis avisés. Depuis cette date, nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi, laissant ces imbéciles d’énarques de Bercy prendre de malheureuses initiatives. Certes, ils ne sont pas les seuls. Par-delà les enjeux d’idéologies souvent mortifères – socialisme autant que libéralisme outrancier -, l’industrie européenne n’a pu atteindre sa pleine puissance que par la maîtrise sans cesse plus efficace de l’énergie. L’énergie, c’est le réel nerf de la guerre. On le constate aujourd’hui dans la guerre que se livrent Américains, Russes, Chinois et une Europe à la traîne, victime de ses erreurs. Dans cet entretien au Figaro, Anne Lauvergeon, qui dirigea Areva et François Gemenne, politologue, membre du GIEC, dressent un constat alarmant de la politique européenne – et française – en matière d’énergie. C’est de notre avenir dont il est question par les choix que nous serons amenés à faire.
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Source : Le Figaro 3/05/2025
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Un vent de Liberté soufle sur le Royaume Uni
Hier, se déroulaient outre Manche des élections équivalentes à nos élections municipales en France. Les premiers résultats sont là, ils indiquent une poussée spectaculaire du parti national anglais Réform UK de Nigel Farage (cf. tableau ci-dessus). Il s'agit d'un véritable camouflé pour les partis moribonds du Système qui s'écroulent totalement.
Il faut rappeler que la Grande Bretagne est victimes depuis des décennies d'une politique migratoire insensée qui engendre aujourd'hui un véritable état de guerre inter-ethnique extrêmement violent comme on a pu le constater l'été dernier à travers tout le royaume.
Or, face à cette situation qu'il a lui-même engendré, le pouvoir travailliste (en pleine déconfiture) a préféré jeter en prison l'un des plus courageux militants de la cause de l'identité britannique, l'éveilleur de peuple Tommy Robinson.
Hier, les Anglais ont sonné la fin de la récréation et condamné sans appel les politiques de soumission aux diktats de Bruxelles, qu'elles soient menées par les travaillistes ou par les conservateurs. Un vent de liberté commence à souffler sur le Royaume Uni...
S N
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RIVAROL MENACÉ DE DISPARITION À COURT TERME
Notre confrère et ami Rivarol traverse actuellement une dure période. Depuis près de 75 ans, cet hebdomadaire d'opposition nationale mène un combat héroïque, en prenant souvent des risques importants, pour défendre notre Nation et notre Civilisation.
Certes, il nous arrive parfois d'être en désaccord avec certains articles, plus sur la forme que sur le fond, et certaines appréciations. Mais qu'importe... Rivarol a toujours été, et doit rester, l'un des principaux vecteurs de la pensée non-conformiste. Voilà pourquoi il faut le soutenir aujourd'hui.
Son directeur, Jérôme Bourbon, lance un appel que nous relayons bien volontiers. En aidant Rivarol a traverser les épreuves auxquelles il est confronté, vous soutenez aussi le même combat que celui que nous menons pour la France et pour la Civilisation européenne.
Roland Hélie
directeur de Synthèse nationale
RIVAROL MENACÉ DE
DISPARITION À COURT TERME
Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol
On ne doit céder à aucun affolement mais il faut regarder la vérité en face : si rien n’est fait, et si la tendance actuelle se poursuit, nous disparaîtrons d’ici quelques mois. Nous ne passerons pas l’année, et peut-être même pas l’été. Ce serait d’autant plus fâcheux que nous envisageons d’organiser un banquet (à prix réduit) pour nos trois quarts de siècle l’année prochaine. Rivarol soufflera en effet ses 75 bougies le 18 janvier 2026. Dans moins de neuf mois. Il y a longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvés pour partager un moment convivial et chaleureux. D’abord à cause des ahurissantes restrictions de liberté liées à la gestion gouvernementale du Covid de 2020 à 2022. Puis à cause de la circulaire Darmanin du 9 mai 2023 qui a interdit toute manifestation de « l’extrême droite ». Toutes choses qui nous ont hélas contraints à renoncer à fêter nos 70 ans dans le cadre d’un banquet comme nous le souhaitions. Nous avons aujourd’hui plusieurs pistes pour organiser en province chez des sympathisants une belle journée rivarolienne courant 2026. Il serait triste de devoir y renoncer parce que nous aurions entre-temps disparu.
Rivarol est de surcroît la dernière publication historique de la droite nationale et nationaliste en France après les disparitions successives ces dernières années du Libre journal de la France courtoise de Serge de Beketch (2007), de National-Hebdo et Français d’abord (2008), de l’Action française 2000 (2018), de Minute (2020), de Présent (2022) et de Militant (2024). Il faut absolument que nous continuions à paraître car Rivarol, ce n’est pas une exagération ni une forfanterie de le dire, n’a pas d’équivalent actuellement dans la presse. Ni par sa liberté de ton et d’analyse. Ni par la constance de ses positions. Ni par la liberté de ses rédacteurs et de son courrier des lecteurs, ce qui est aujourd’hui unique dans la presse. Si nous disparaissions, c’en serait fini des chroniques si talentueuses de l’ami Hannibal, des éditoriaux de votre serviteur, d’un droit aux lettres très libre, des contributions des différents rédacteurs et chroniqueurs, de Robert Spieler à Jean Terrien, de Léon Camus à Henri de Fersan, de Scipion de Salm à Paul-André Delorme, de Jean Beaumont à Jean-Philippe Robiquet, de Michelle Favard-Jirard à François-Xavier Rochette. On peut certes préférer tel rédacteur à tel autre, telle rubrique à telle autre. On peut trouver Rivarol trop ceci ou pas assez cela mais s’il disparaissait c’en serait fini de cette magnifique aventure de presse qui aura traversé les décennies et qui est aujourd’hui unique en Europe, le National Zeitung ayant disparu outre-Rhin en 2019 tout comme le Secolo d’Italia, le périodique de droite nationale fondé à Rome en 1952, et qui a définitivement cessé de paraître en 2012 dans son format papier.
En outre, il est vain de croire que lorsqu’un journal disparaît, il peut renaître de ses cendres. Les quelques expériences passées n’ont à cet égard pas été concluantes : la nouvelle version du Choc du mois n’aura duré qu’un lustre, les différentes résurrections du Crapouillot ont toutes été éphémères, la revue Flash fondé par d’anciens de National-Hebdo aura été une étoile filante. De même, le Nouveau Présent qui devait succéder au quotidien éponyme disparu le 30 juin 2022 n’aura été qu’un effet d’annonce et s’est réduit à un très modeste blog, quasiment vide de contenu. L’expérience l’atteste : quand un journal meurt, il ne renaît pas. Ou alors sa résurrection ne dure pas. C’est pourquoi il convient de maintenir Rivarol la tête hors de l’eau. Et de poursuivre, de maintenir contre vents et marées cette formidable aventure commencée en janvier 1951.
AIDEZ-NOUS AVANT
QU’IL NE SOIT TROP TARD !
Notre situation financière est aujourd’hui tellement dégradée que nous ne pouvons plus attendre. Il nous faut, partout où nous le pouvons encore, prendre urgemment des mesures d’économie. Si nous devons impérativement payer la Poste, l’imprimeur, le routeur, le régleur, les différents prestataires, il faut réduire la voilure partout où c’est possible. C’est pourquoi, dès le mois prochain, et pour une durée indéterminée, nous supprimerons le seize pages qui paraît traditionnellement le dernier mercredi de chaque mois, pour le remplacer par un douze pages comme c’est le cas pour les autres éditions. Nous économiserons partout où nous le pourrons encore mais cela ne sera pas suffisant pour tenir sans votre aide active et massive. Merci d’avance pour vos dons, vos abonnements, vos réabonnements anticipés. N’hésitez pas à abonner de la famille, des amis, des connaissances. Que ceux qui peuvent le faire sans se mettre en difficulté n’hésitent pas à souscrire à des abonnements de longue durée, à vie (2000 euros), de deux ans (340 euros), de propagande (300 euros) ou de soutien (250 euros) ou procèdent par prélèvement ou virement mensuel du montant de leur choix. Quelques gros dons ou un ou deux legs seraient évidemment de nature à nous redonner de l’oxygène car si les procès sont angoissants, se dire que demain ou après-demain on ne pourra plus payer l’imprimeur et qu’on devra mettre la clé sous la porte est une vraie torture. Tout ce qui peut nous aider à faire face à nos charges est le bienvenu, les petits dons comme les grands, sachant que les petits ruisseaux font les grandes rivières. Ne tardez pas. Tout geste nous est précieux et vital. La survie de notre publication en dépend. A TRÈS COURT TERME. Tout peut en effet s’arrêter brutalement dans quelques semaines ou quelques mois. L’avenir de Rivarol est plus que jamais entre vos mains.
Pour aider Rivarol : consultez son site cliquez ici (vous trouverez toutes les indications pour cela) ou faites un don cliquez là
10:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Journal du chaos
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09:26 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : samedi 10 mai, à Scrignac (29), hommage à l'abbé Perrot, assassiné par les communistes en 1943
01:00 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Parti de la France a honoré Jeanne d'Arc et Jean-Marie Le Pen le 1er mai à Paris
Le texte de la prise de parole de Thomas Joly, président du Parti de la France, jeudi 1er mai 2025 à Paris, place Saint Augustin :
« Nous sommes réunis ici, comme chaque 1er mai, à l’ombre du souvenir immense de sainte Jeanne d’Arc. Et cette année, à la douleur poignante d’un adieu s’ajoute la force d’une promesse : celle de la fidélité.
Oui, ce 1er mai est tout entier placé sous le double signe du sacrifice et de l’espérance. Il porte les couleurs de la France éternelle et les accents du combat mené par celui qui fut son plus ardent défenseur durant des décennies : Jean-Marie Le Pen.
Ce jour du 1er mai n’a jamais été choisi par hasard. Ce n’était pas un caprice de calendrier, ni un clin d’œil aux syndicats rouges. Non ! Jean-Marie Le Pen avait voulu sceller dans une même cérémonie deux fidélités françaises : l’hommage à la vierge guerrière de Domrémy, et la célébration du travail français, cette vertu cardinale qui fonde la dignité des peuples libres.
Il avait compris, avec sa clarté visionnaire, que le 1er mai devait être repris à la gauche, reconquis, nettoyé de l’internationalisme marxiste, pour redevenir une fête nationale, enracinée, chrétienne et sociale. En un mot : française !
Et c’est ainsi qu’il créa la tradition du défilé et de l’hommage à Jeanne d’Arc, ce jour-là. Ce n’était pas une stratégie. C’était une profession de foi. Jeanne, c’est la France. Jeanne, c’est la paysanne devenue guerrière. Jeanne, c’est la voix de Dieu dans les plaines de Lorraine. Et Jean-Marie Le Pen, à sa manière, fut un soldat de cette même foi.
Hélas ! Aujourd’hui, le Rassemblement National a tourné le dos à cette tradition. Pire encore : il en a renié l’âme. Plus de Jeanne, plus de France, plus de travail glorifié. Rien que des calculs. Des sondages. Et du reniement.
Mais nous, au Parti de la France, nous ne renions rien. Nous ne trahissons pas. Nous continuons.
Nous portons ce flambeau, non par nostalgie, mais par devoir. Parce que notre peuple mérite mieux qu’un simulacre. Il mérite la vérité. Il mérite l’honneur. Il mérite l’héritage intact de Jean-Marie Le Pen.
Et en ce 1er mai, il faut redire ce qu’est le Travail, ce mot si galvaudé, mais si noble quand il est remis à sa juste place.
Le Travail, ce n’est pas l’exploitation des masses par la finance. Ce n’est pas la concurrence déloyale venue d’Asie ou des pays de l’Est. Ce n’est pas la précarité planifiée par Bruxelles.
Le Travail, c’est le sel de la terre, c’est le devoir quotidien de l’homme libre, c’est la construction lente et noble d’une civilisation. C’est pourquoi le Maréchal Pétain, dans une période tragique de notre Histoire, avait tenu à inscrire le Travail parmi les trois piliers de la Révolution nationale : Travail, Famille, Patrie.
Car sans travail, il n’y a pas de patrie vivante. Sans travail, il n’y a pas de famille digne. Sans travail, il n’y a pas de France debout.
C’est cette France que Jean-Marie Le Pen a toujours défendue. Cette France enracinée, laborieuse, loyale, catholique, chevaleresque. Une France de Jeanne et de Saint Louis, de Clovis et de Maurras, de soldats et de paysans.
Et c’est à ce grand Français, ce géant de l’histoire contemporaine, que nous rendons aujourd’hui un hommage vibrant et fraternel.
Jean-Marie Le Pen ne fut pas un politicien. Il fut un homme d’État au sens le plus noble, bien qu’il n’ait jamais gouverné.
Il fut un prophète moqué, mais dont toutes les paroles résonnent aujourd’hui avec une justesse glaçante.
Il fut un père pour des générations de militants, un éclaireur, un veilleur, un combattant.
Et pour lui, comme pour nous, Jeanne d’Arc était plus qu’une sainte : elle était une sœur d’armes.
Alors, mes amis, que ce 1er mai soit le serment d’une fidélité renouvelée.
À Jeanne, à la France. À Jean-Marie Le Pen, à son combat. Et que vive la France française ! »
Source cliquez ici
01:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Sarah Knafo invitée de France inter et France info dimanche midi
00:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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