dimanche, 15 juin 2025
Une fillette de 12 ans violée parce que juive, dans le silence assourdissant des médias du système et des partis gauchistes
Michel Festivi
Un acte sordide s’était déroulé en juin 2024 à Courbevoie, qui vient de connaître son épilogue judiciaire (sauf appel éventuel). Une gamine de 12 ans, de confession juive, s’était prise d’amourette enfantine pour un camarade du même âge qu’elle. Visiblement par crainte, car être juif dans certaines zones, certains quartiers, est dramatiquement dangereux, l’actualité nous le prouve tous les jours, elle avait fait accroire à son jeune copain, qu’elle était de confession musulmane. La fillette avait subi des harcèlements antisémites à la suite du pogrom islamiste du 7 octobre 2023, c’est sans doute la raison pour laquelle elle avait inventé cette fable d’être musulmane, pour « se protéger » avait-elle expliqué aux enquêteurs. Le jeune de 12 ans, affichait lui, sur TikToK un slogan « stop génocide » aux couleurs du drapeau palestinien.
Lorsque ce dernier a appris la vérité, il a, pris « d’une noire colère », avec deux autres mineurs âgés de 13 ans, organisé un véritable guet-apens. Ils l’ont alors entraînée dans un local désaffecté, et ses deux complices l’ont violée, frappée et elle a été insultée de « sale juive ». Ils avaient même filmé leurs actes des plus sordides. Son petit ami l’avait frappée, insultée, la menaçant de la brûler avec un briquet. La fillette a eu la présence d’esprit et le courage, d’en parler immédiatement à ses parents, qui ont porté plainte illico et l’enquête a pu se dérouler rapidement, ainsi que les constatations médico-légales.
Vendredi 13 juin 2025, le Tribunal pour enfants de Nanterre a, à huis clos, condamné les deux mineurs aujourd’hui âgés de 14 ans, à 9 et 7 ans de prison ferme, pour viol en réunion, agression sexuelle, violences, menaces de mort et injures, le tout aggravé en raison du caractère raciste des actes proférés. L’instigateur des faits, auteur du guet-apens, n’a pas pu être condamné pénalement, car âgé de 12 ans à l’époque. Effectivement, la loi fixe la responsabilité pénale à 13 ans au minimum. Il a donc échappé à une sanction pénale et sans doute à de la prison. Il a écopé d’une mesure éducative de cinq ans et d’un placement.
L’auteur de la machination, se serait confié à plusieurs camarades qu’il se serait converti à l’islam en mars 2024, au moment du ramadan, il aurait posté des « photos de prières » sur Snapchat (Le Figaro du 9 juin 2025). Il faisait de la détestation d’Israël son pain quotidien. On mesure ici tout le poids et l’influence du prosélytisme islamiste, qu’un récent rapport a confirmé.
Cette affaire plus que sordide, abominable, avait connu quelques retentissements en pleine campagne électorale des législatives, ce qui n’avait pas empêché, dans la foulée, les Attal, Philippe, Hollande, Glucksmann, Faure, Bertrand et autre hypocrites politiques du même acabit, d’appeler à préférer les candidats communistes et Lfistes à ceux du RN, dans le cadre du fameux barrage républicain". On en mesure aujourd’hui toutes les conséquences. Les Français s’en souviendront-ils le moment venu ? On peut parfois en douter, si l’on en croit les sondages.
Je n’ai pas entendu à ce jour, sauf erreur de ma part, les grands médias traditionnellement si prompts à fustiger le « fascisme » ou « l’extrême droite », faire grand cas de cette affaire plus que symptomatique de l’état de déliquescence et de soumission dans laquelle se trouve notre société. Je n’ai pas vu non plus, certains de nos hommes et femmes politiques se dresser pour condamner ces déviations humainement mortifères. Il est vrai que beaucoup préfèrent accabler Israël, qui a retenu deux jours dans des conditions plus que satisfaisantes, des militants de la cause palestinienne, qui nient le génocide du 7 octobre, et qui ont voulu monter un facile coup de pub, en organisant une croisière sponsorisée, plutôt que l’État algérien qui enserre dans ses geôles infectes depuis plusieurs mois, un grand écrivain de langue française, âgé et malade, qui s’est toujours attaqué à l’islamisme, et qui n’a commis strictement aucun crime, sauf de déplaire au régime théocratique et totalitaire d’Alger, qui ne survit que de la rente mémorielle et pétrolière. Il est vrai que le silence abyssal de nos Hautes autorités, confinent quasiment à de la complicité intellectuelle.
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L'Arcom, tout sauf indépendante
Arnaud Raffard de Brienne
L'Arcom serait-elle en train de devenir le bureau des cafardages de tous les frustrés de la presse mainstream et de la pensée unique ?
Aymeric Caron, dernier chouineur en date et député apparenté à la France (faussement) insoumise, s’est en effet empressé de saisir l’ARCOM à l’encontre de la chaîne CNews pour feindre de voler au secours de Shannon Seban, invitée par le journaliste Pascal Praud qui, selon le sieur Caron, aurait pris fait et cause pour le Rassemblement national et prétendument tenté d’humilier son invitée en l’accusant notamment d’avoir écrit de la « bouillie ».
Une saillie d’ailleurs peu amène pour la bouillie alors que le livre en question dénonce une prétendue islamophobie et un antisémitisme fantasmés de ce parti politique. Pas sûr d’ailleurs que la plumitive dispose des meilleures sources et d’un recul suffisant pour traiter pareil sujet.
Pontifiant, le député de la France (faussement) insoumise, prodigue ses avis et directives sur X (ex-Twitter) : « Cnews est censée être une chaîne d’information qui produit, donc, de l’information (ici il n’y en a pas), avec un équilibre de points de vue (ici c’est juste un plateau pro-RN) » (…) « Je saisis l’ ARCOM pour cette séquence où l’ensemble du plateau de CNews , y compris son présentateur Pascal Praud , prend fait et cause pour le Rassemblement National en tentant d’humilier l’invitée Shannon Seban, accusée d’avoir écrit de la « bouillie » dans un livre (…). Etc.
Une curieuse conception de l’indépendance
Pas plus qu’on ne doit parler de corde dans la maison d’un pendu, il ne semble raisonnable d’évoquer une quelconque indépendance de l’ARCOM. Cette administration parfaitement inutile, à l’effectif pléthorique (près de 400 personnes) et dont le dirigeant, Martin Adjari, proposé par l’Élysée affiche un parcours plus que conformiste et même parfaitement aligné, serait même tout sauf indépendante. Martin Adjari, fils d’une députée PS au Parlement européen, énarque évidemment, présente un parcours sans faute, de la direction du budget au ministère des Finances, puis de la direction de cabinet de Laurent Fabius à la fonction de Directeur général délégué de Radio France et au CSA. Sans parler d’un passage à l’Opéra de Paris en qualité de DG-adjoint avant d’être nommé à la direction de l’ARCOM par la Commission des affaires culturelles. Garanti donc 100% haute fonction publique et dépendance politique !
Toujours au chapitre de la fausse indépendance, mentionnons la désignation par l’ARCOM du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) à la responsabilité de « signaleur de confiance », ce qui permettra cette officine communautaire de « signaler de manière prioritaire aux grandes plateformes numériques (Facebook, TikTok, Instagram, X, Snapchat…) les contenus illicites, notamment antisémites, détectés en ligne ». A défaut de respect du principe de laïcité, voici une marque de confiance reconnue à sa juste valeur par le président du CRIF, Yonathan Arfi : « Ce travail fait partie de l’ADN du CRIF. Il était naturel de formaliser notre rôle à travers ce nouveau statut ». En toute humilité.
C’est donc bien cette officine régimiste, l’ARCOM, qui détient aujourd’hui un pouvoir de vie et de mort sur l’audiovisuel et les réseaux sociaux, comme en témoigne la récente fermeture arbitraire des chaînes C8 et NRJ12. En attendant sans doute d’autres censures et interdictions, tant que nos concitoyens ne réagiront pas.
Article paru dans le Nouveau Présent. Cliquez ici.
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