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jeudi, 04 septembre 2025

Rave partys, squats, grèves, OQTF, antifas : ils s’en foutent des Français agressés

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L'éditorial de Cyrano

sur Riposte laïque d'aujourd'hui

Tous les jours, les Français découvrent des choses invraisemblables qui se passent dans leur pays, parfois depuis plusieurs décennies, sans que rien ne soit fait pour y mettre fin.

Ainsi, la rave party de l’Aude, ce week-end, au-delà de son côté provocateur et indécent, sur le champ de paysans qui ont beaucoup perdu lors des incendies récents, a-t-elle remis en avant des pratiques qui existent depuis plus de trente ans. Des bobos des villes se permettent de s’encanailler, de boire, de fumer, de se droguer, en occupant en toute impunité des terrains qui ne leur appartiennent pas, et en empêchant les villageois de dormir en leur imposant durant plusieurs nuits le bruit d’une musique de dégénérés. Alors qu’en Espagne et en Italie, le problème a été réglé depuis longtemps et que les délinquants vont en prison, en France, cela fait trente ans que l’impuissance volontaire de l’État permet à ces jeunes crétins de narguer les autorités et surtout les paysans qui travaillent. Il se trouve, et les Français ne pourront que s’en réjouir, que cette fois la colère des agriculteurs locaux a été telle qu’elle s’est exprimée contre les voitures des occupants, pas habitués à être traités de la sorte. Mais nos politicards s’en foutent totalement que des paysans voient leurs terrains squattés et détériorés.

Dans un autre registre, cela fait également une trentaine d’années que des squatteurs, au nom du droit au logement, se permettent, souvent avec la complicité d’associations parasites comme le DAL, d’occuper des maisons qui ne leur appartiennent pas, de s’y installer en changeant les serrures et de rester des mois, parfois des années, en étant protégés par les lois, et souvent en narguant les propriétaires et les autorités. Régulièrement, un député nous raconte qu’il a fait une proposition de loi et que ce problème va être résolu, mais les squatts continuent de succéder aux squatts. Le seul domaine où l’État est efficace, c’est quand il s’agit de réprimer un propriétaire qui a viré les occupants. Mais nos politicards s’en foutent totalement que des propriétaires se voient privés de la jouissance de leurs droits, et soient lourdement pénalisés financièrement, suite à cette occupation illégale. Ils sont incapables de légiférer efficacement.

Que dire des grèves à répétition qui frappent les Français, souvent dans les transports, et à l’occasion des départs en vacances ? Des syndicats, qui ont trahi les salariés, surtout ceux du privé, depuis longtemps, qui ne vivent que par la perfusion, payée par les Français, que leur offre l’État pour planquer leurs permanents, se permettent de prendre en otage à chaque départ en vacances des familles entières. Et les politicards laissent faire, alors qu’en Italie, depuis trente ans, dans les transports, le droit de grève est interdit à certaines dates, notamment lors des départs en congés. Les élus préfèrent se coucher devant les syndicats, par ailleurs immigrationnistes, que de défendre les Français des classes populaires qui ont besoin des transports en commun.

Si on parle des OQTF, c’est encore pire. D’abord, on devrait dire « expulsions » et pas « Obligation de Quitter le Territoire Français », ce serait plus clair. On sait que sur 100 demandes d’expulsion, 93 % ne sont pas exécutées, et que sur les 7 % qui se concrétisent, la moitié se déroule entre Mayotte et les Comores. Autrement dit, un étranger qui met les pieds en France est pratiquement certain d’y rester. Nos politicards s’en foutent de mettre ainsi en danger la vie des Français, l’épisode de Marseille avec un Tunisien et deux couteaux, abattu par les forces de l’ordre, n’en est qu’un exemple supplémentaire.

Enfin, à Marseille encore, les antifas, quand ils ne cassent pas les centres-villes, quand ils n’agressent pas leurs opposants politiques et les forces de l’ordre, viennent de se distinguer en collant des affiches montrant la photo et l’adresse de quatre jeunes garçons qui ont le tort de ne pas penser comme eux. Ce véritable appel au meurtre demeurera impuni, comme le sont toutes les exactions de ces miliciens, parce qu’ils font le sale boulot du régime en agressant les militants qui le dérangent le plus.

Ces quelques rappels, que nous aurions pu compléter, confirment que l’impuissance de ce qu’ils appellent l’État de Droit est une arme utilisée contre les Français des classes populaires, en leur montrant que l’État s’en fout qu’on les vole, qu’on les spolie, qu’on les prenne en otages, qu’on mette leur vie en danger, qu’on agresse leurs enfants, etc.

Pourquoi ? Pour deux raisons. Hier protecteur des Français, l’État est devenu leur pire ennemi, et les politicards qui siègent à l’Assemblée nationale (exceptés ceux du RN et quelques rares LR) sont des collabos et des traîtres, qui haïssent, surtout ceux de gauche et les macronistes, notre pays et méprisent notre peuple.

Mais on sait que quand ce peuple se réveille, comme lors du mouvement des Gilets jaunes – canal historique – alors on voit un appareil d’État très efficace, très répressif et prêt à toutes les exactions pour briser un mouvement populaire.

Donc, n’oublions jamais que cette apparente impuissance est voulue, et que si on veut que cela change, il faut se débarrasser au plus vite de ceux qui nous gouvernent depuis 50 ans…

Source Riposte laïque cliquez ici

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