mercredi, 17 septembre 2025
Un communiqué Des Nationalistes : "Après le Haut-Conseil, Les Nationalistes en ordre de marche"
Nous publions ci-après un extrait du communiqué que Les Nationalistes nous ont fait parvenir, à l'issue du Haut-Conseil qui s'est tenu les samedi 6 et dimanche 7 septembre derniers.
"Le Haut-Conseil des Nationalistes s’est réuni à Paris (...). A l’ordre du jour, la situation politique de notre pays et les réponses à apporter dans notre quotidien militant à la détérioration profonde et rapide de la situation.
A l’issue de (...) deux jours de travaux, la décision a été prise d’une candidature nationaliste lors des prochaines élections législatives qui se profilent à l’horizon. (...) Pierre-Marie Bonneau, qui avait été tête de liste Forteresse Europe aux dernières européennes a accepté la fonction de porte-parole de ce Front nationaliste avec comme mission de contacter les bonnes volontés patriotes, identitaires et de la Dissidence et de leur proposer, à toutes, une convergence d’action électorale.
(...) La France peut encore reprendre (la) parole que les maîtres de l’époque essaient de lui voler, pour l’essentiel à coup de lois liberticides et mémorielles, pour la faire disparaître en tant que nation constituée dans le chaudron de leurs folies mondialistes sans qu’elle puisse se révolter…
Les Nationalistes ont soutenu, lors des dernières élections européennes, la présentation d’une liste au programme sans reniement ni concession, Forteresse Europe.
Malgré les difficultés matérielles, nous avons réuni, sur des propositions de bon sens, à la fois enracinées et révolutionnaires, plusieurs milliers de voix, de militants et de sympathisants.
C’est pourquoi nous appelons, alors que s’annoncent de probables élections législatives, provoquées par ce régime vermoulu qui ne sait plus quoi inventer pour masquer sa faillite généralisée, à présenter un nombre conséquent de candidats sur un programme véritablement révolutionnaire.
Nous posons donc avec ce communiqué la première pierre de ce Front Nationaliste que nous vous proposons de rejoindre aujourd’hui.
Nous sommes les plus légitimes, porteurs d’un corps de doctrine éprouvé, d’une solidité militante, et d’une cohérence parfaite entre notre programme et notre action.
Notre but n’est pas d’aller chercher des sièges dans une assemblée discréditée, mais de faire entendre la voix du nationalisme authentique partout en France, pour créer une alternative militante aux écuries électorales.
Nous vous appelons donc à prendre contact avec nous pour présenter vos candidatures. Inutile d’être connu : représenter le Front Nationaliste est déjà un acte de fidélité et de courage. Chaque candidature viendra bâtir et faire grandir cet édifice militant nationaliste. Il s’agit d’un acte politique, d’un signe de résistance et d’une contribution essentielle et concrète à l’avenir de notre combat.
Rejoignez le Front Nationaliste. Proposez votre candidature. Soutenez financièrement le mouvement (...)".
Pierre-Marie Bonneau, porte-parole du Front Nationaliste.
Source : Jeune Nation, cliquez ici.
15:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Communiqué - Hommage à Charlie Kirk : unis pour la liberté d'expression.
Nous publions ci-après un communiqué annonçant un rassemblement à Paris, après-demain, en hommage au propagandiste conservateur étatsunien Charlie Kirk assassiné récemment dans l'Utah par un jeune homme acquis au discours fanatique de l'extrême gauche wokiste.
"Nicolas Conquer et Etienne Fauchaire, avec la participation de Republicans Overseas France, organiseront, vendredi 19 septembre 2025 à 18 h, un rassemblement en hommage à Charlie Kirk devant la statue du marquis de La Fayette, sur le Cours La Reine, dans le 8e arrondissement de Paris.
Fondateur de Turning Point USA, Charlie Kirk a consacré sa vie à défendre la liberté, le débat d'idées et l'implication de la jeunesse dans la vie démocratique. Martyr de la liberté d'expression, il a marqué toute une génération par son engagement, son courage et sa foi. Sa devise : "Prove me wrong" résumait son attachement indéfectible au débat contradictoire.
Alors que les messages contre la liberté d'expression en Europe frappent désormais jusque dans les corps, cet hommage rappelle que cette liberté demeure un pilier non négociable de nos sociétés démocratiques. Aucun désaccord idéologique ne saurait jamais légitimer la violence politique. L'événement entend également dénoncer toute tentative de banalisation de cette violence au nom d'une idéologie.
Plusieurs personnalités issues du monde associatif, médiatique et étudiant prendront la parole lors de ce rassemblement (...). Parmi les intervenants annoncés figurent Damien Rieu, Erik Tégner, Stanislas Rigault, le Collectif Némésis, Randy Yaloz, Philippe Karsenty, Emile Duport et Marguerite Stern, aux côtés d'autres acteurs engagés pour la liberté d'expression".
14:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La santé mentale des jeunes se dégrade sévèrement
Robert Spieler
Un quart des jeunes Français entre 15 et 29 ans se déclare en dépression selon une étude menée par la Mutualité Française, l’Institut Montaigne et l’Institut Terram, auprès de plus de 6 500 jeunes. Les troubles psychiques explosent, particulièrement chez les adolescents, les jeunes adultes, les femmes et les Ultramarins étant tout particulièrement atteints. Près d’un tiers des jeunes reconnaît avoir déjà eu des idées suicidaires. Six sur dix disent s’être sentis tristes ou déprimés dans les deux semaines précédant le sondage. Les chiffres concernant certaines régions françaises sont assez stupéfiants tant les disparités sont importantes. 39 % des jeunes ultramarins se disent dépressifs, avec des pics alarmants en Guyane (52 %) et en Martinique (44 %). En revanche, les Bourguignons semblent plutôt heureux : seuls 19 % sombrent dans la dépression. Grâce à l’excellence de leurs vins et de leur ratafia ?
Le gouvernement a bien sûr pris les choses en main. A sa manière, c’est-à-dire avec de grands mots, faisant de la santé mentale une « grande cause nationale ». On évoque la « détection précoce à l’école », la formation de « secouristes en santé mentale » (sic), la création de kits de sensibilisation et d’autres machins aux noms ronflants, parfaitement inutiles. Car si le constat est clair, on est en droit de se poser la question : pourquoi cette détresse psychique ? Et si l’on se penchait sur l’explosion de l’individualisme, la fin des solidarités familiales, communautaires, ethniques, l’absence de spiritualité et de transcendance, le règne du vide, suscitant l’angoisse ; l’effondrement sécuritaire, la violence omniprésente, la tyrannie des écrans, le règne de l’imbécillité médiatique. Où sont les modèles dont les jeunes et les moins jeunes ont tant besoin ? Disparus, hélas, dans toutes ces guerres qui ont ruiné l’Europe. Où sont les Maurras, les Céline, les Doriot, les José Antonio, les Degrelle, les Drieu La Rochelle ? La jeunesse n’a pas besoin de psychiatres, de médicaments ou d’intelligence artificielle, mais de projet mobilisateur, de foi, d’espérance et d’enthousiasme.
Source : Rivarol 17/9/2025
11:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Que fera Tommy Robinson de son succès ?
Balbino Katz, chroniqueur des vents et des marées.
Je me trouvais ce matin à la Pointe de Léchiagat, assis à la terrasse du bar des Brisants. Le ciel, bas et lourd, pesait sur la mer grise. Un froid piquant pour la saison me força bientôt à rentrer, et je m’installai près du comptoir, face à la baie vitrée embuée. C’est là que je me plongeai dans la lecture du blog de Richard North, Turbulent Times. L’auteur, observateur aigu des convulsions britanniques, pose une question qui mérite attention : que fera Tommy Robinson de son succès populaire ?
North note avec justesse l’étrangeté d’un tel personnage. « La chose curieuse avec Tommy Robinson, écrit-il, c’est que malgré son audience considérable, il ne semble jamais avoir été tenté de créer un parti politique et de se présenter aux élections. » En d’autres termes, malgré son influence réelle, Robinson n’a pas choisi la voie parlementaire, préférant l’agitation des rues, les rassemblements et les marches. Cette abstention étonne, car la logique des chiffres jouerait en sa faveur. North calcule qu’« pour chaque personne présente à un rassemblement, il y en a dix autres en retrait. Sur la base de la participation au récent Unite the Kingdom Rally, Robinson pourrait donc compter sur 2,5 à 3 millions de voix s’il lançait un parti politique ».
L’obstacle est connu : comme l’Ukip jadis, une telle formation obtiendrait sans doute des millions de suffrages éparpillés sans réussir à conquérir de sièges. À quoi s’ajoute l’aspect prosaïque de la vie politique, « créer des sections locales, désigner des candidats et élaborer des programmes », dont Robinson, activiste instinctif, ne paraît guère friand. Pourtant, souligne North, « s’il lançait un parti, il partirait avec un avantage considérable, balayant sans peine l’effort de Ben Habib, écrasant les groupuscules tels que Homeland, réduisant l’Ukip en cendres et menaçant Farage lui-même ».
Le parallèle entre Farage et Robinson éclaire cette énigme. L’un, tribun madré, a su transformer la révolte anti-européenne en capital politique tangible. L’autre, autodidacte rageur, canalise une colère diffuse mais reste en dehors du système. North le formule d’un trait : Robinson accomplit « le gros du travail dans les rues », il attise les passions, mobilise les foules, tandis que Farage, prudemment en retrait, « récolte la gloire par ricochet ». Le premier expose son corps aux huées et aux matraques, le second encaisse les bénéfices électoraux. Double itinéraire qui rappelle les duos contradictoires de l’histoire, où l’agitateur prépare le terrain que le politicien récolte.
Cette dialectique n’est pas étrangère aux Français. Nous avons, nous aussi, notre couple antagoniste, dans la personne d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen. L’un incarne la radicalité intellectuelle, l’autre la prudence électorale. Comme Robinson, Zemmour s’acharne à poser des questions brûlantes, à dire l’indicible, à faire trembler le consensus. Comme Farage, Marine Le Pen choisit la voie du compromis, ménageant l’opinion, soucieuse d’apparaître « gouvernable ». Les deux trajectoires sont parallèles et parfois même complémentaires, au prix de tensions qui ne cessent de nourrir l’incertitude politique française.
La comparaison, cependant, trouve vite ses limites. Marine Le Pen ne possède pas de colonne vertébrale idéologique, elle épouse au contraire les idées majoritaires que les médias imposent, se faisant l’écho d’un prêt-à-penser destiné à rassurer. Le vide de sa vie personnelle reflète ce manque de convictions. Le choix de ses proches, tels Jean-Philippe Tanguy ou Sébastien Chenu, en dit long : elle ne s’entoure pas de penseurs, ni même de bâtisseurs, mais de gestionnaires opportunistes qui ne cherchent pas à se porter charnellement dans le futur. Rien, chez elle ni chez eux ne traduit une vision civilisationnelle à défendre ni encore moins à incarner.
À l’inverse, Marion Maréchal, en dépit de ses faiblesses de caractère, apparaît bien plus structurée. Elle sait pour quelles valeurs elle se bat, possède une colonne doctrinale claire et, sans chercher à complaire au goût du jour, inscrit son discours dans une perspective historique et culturelle. Là où Marine se contente de surfer sur la vague de l’opinion, Marion se place dans la continuité d’un héritage à préserver et d’un avenir à tracer. Entre la plasticité sans principe et la fidélité à des valeurs, la différence est de taille, et elle pourrait peser lourd dans les années à venir.
Toutefois, le véritable penseur, le véritable créateur idéologique, c’est Éric Zemmour. C’est lui qui a libéré la parole, qui a fissuré le mur de la censure intellectuelle en osant nommer ce que nul autre n’osait dire. Il a rouvert les portes fermées de la pensée française, rappelant la primauté de l’histoire et des racines, redonnant aux mots bannis, identité, civilisation, continuité, leur charge de vérité. Son rôle fut celui d’un éclaireur, non d’un suiveur. Il ne lui reste qu’à approfondir davantage cette vision identitaire de la France, à l’assumer pleinement, pour incarner vraiment l’homme providentiel dont le pays a besoin.
North n’exclut pas un tel retournement en Grande-Bretagne. Il envisage un scénario où Reform, arrivé au pouvoir, se révélerait un désastre. Alors « une figure comme Tommy Robinson pourrait surgir », se présentant en restaurateur d’ordre face au chaos. La politique anglaise a connu, jadis, des tournants de cette nature, lorsque la grève générale de 1926 fit craindre au gouvernement une véritable révolution, tanks et soldats déployés dans les rues de Londres. L’hypothèse d’une nouvelle fracture, sur fond de tensions ethniques et d’émeutes de rue, n’est pas pour North une chimère.
Je relis ces lignes avec le sentiment de voir se rejouer, en d’autres habits, le vieux drame européen décrit par Oswald Spengler : celui des démocraties fatiguées, épuisées par le bavardage parlementaire, qui finissent par faire appel à un homme providentiel. Non pas le génie réformateur, mais le chef énergique, celui qui surgit quand tout chancelle et qui, par la seule force de sa présence, infléchit le destin. L’Angleterre a produit jadis un Cromwell ou un Churchill, demain, qui sait, un Robinson ou un autre viendra occuper ce rôle. Les nations, disait Ernst Jünger, sont parfois sauvées par « l’homme de la décision » quand le corps politique est paralysé. C’est cette possibilité, redoutable et fascinante, que la crise britannique comme la nôtre semble désormais laisser entrevoir.
Article paru sur Breizh-Info, cliquez ici.
08:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Après l'annulation sous la contrainte de la fête du cochon organisée par le Parti de la France en Bretagne, le 21 septembre, un communiqué du PDF
Christine Kelly a consacré son émission d'hier, 16 septembre, sur Europe 1, à l'annulation de la Fête du Cochon du Parti de la France en Bretagne.
La présentatrice-vedette, ses chroniqueurs et les auditeurs sont scandalisés par les déclarations de la députée LFI qui ont entraîné menaces et pressions sur les propriétaires de l'endroit où devait avoir lieu ce rassemblement.
Pour écouter le podcast, cliquez ici.
08:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La pétition lancée par Philippe de Villiers pour exiger un référendum sur l'immigration compte 1.470.000 signatures ce matin... Prochain objectif : les 2 millions !
08:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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