Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 15 octobre 2025

Gouvernement d’imposture, opposition de lâches : la République des vendus

image_0931529_20251015_ob_6a2c4a_lecornu-tj.png

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Ce mardi à l’Assemblée nationale, Sébastien Lecornu, le valet d’Emmanuel Macron, a lu sans conviction la feuille de route d’un gouvernement d’imposture, né d’un marchandage honteux entre les débris du PS et les lâches de LR. Rien de nouveau sous le soleil pour la Macronie : la survie politique à tout prix, au mépris du peuple français.

Le Parti Socialiste vend son agonie contre quelques miettes : la promesse creuse de « suspendre » la réforme des retraites et d’épargner l’Assemblée d’un nouveau 49.3. Ces zombies n’existent plus que pour servir de caution de gauche à un pouvoir honni. Quant aux Républicains, ils s’accrochent pathétiquement à leurs sièges, prêts à toutes les compromissions pour éviter une dissolution qui les renverrait au néant électoral.

On comprend pourquoi : une quinzaine de leurs députés doivent leur mandat à la bienveillance de l’extrême-gauche lors des désistements du fameux « front républicain » de 2024 face au RN. Autrement dit, ces pseudo-droitiers doivent leur survie politique à Mélenchon et consorts ! Sauf que la situation politique a évolué et ces basses combines ne devraient pas se reproduire en cas de retour aux urnes.

Macron tire les ficelles, Lecornu exécute, le PS et LR rampent. Et pendant ce temps, les Français subissent l’insécurité, la submersion migratoire, la destruction économique et la honte internationale.

Assez de ces marchands de tapis, de ces notables ventrus qui trahissent la Nation pour un poste, une indemnité ou un rond de serviette dans un ministère ! Le Parti de la France appelle à balayer sans pitié cette clique de crapules, à mettre à terre ce régime vermoulu et à rendre enfin le pouvoir au peuple français.

16:15 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.