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jeudi, 17 février 2011

Intervention de Serge Ayoub (Troisième voie) à la réunion de Synthèse nationale de samedi dernier à Paris...

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RAPPEL : ce jeudi soir, 17 février à 19 h 30, conférence de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, au Local :

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Jeudi 17 février, à 19 h 30

Roland Hélie

Le Parti des Forces Nouvelles,

la droite nationaliste de combat entre 1974 et 1984...

au Local

92, rue de Javel 75015 Paris

00:54 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 février 2011

Pierre Vial : notre mission...

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Intervention de Pierre Vial, Président de Terre et peuple et membre du Bureau national de la Nouvelle Droite Populaire, lors de la réunion publique de Synthèse nationale, samedi dernier à Paris (cliquez ici) :

Notre mission est d’incarner la conscience identitaire européenne et la volonté de survie de nos peuples. Il nous faut faire renaître l’espérance dans l’âme des meilleurs des Gaulois, ceux qui ont vocation à s’engager à fond pour la résistance et la reconquête au service de notre Terre et de notre Peuple. Par rapport à cet impératif, les péripéties politiciennes n’ont qu’un intérêt relatif. Aussi face à la dérive opportuniste du Front mariniste, le travail de reconstruction d’une force nationaliste identitaire implique de regrouper les convaincus, bien sûr. Mais aussi et peut-être surtout – pensons à la parabole du fils prodigue – de redonner espoir à ceux qui doutent, qui hésitent, qui sont tentés par le renoncement. Ce travail exige un projet cohérent, une ligne politique reposant sur une base doctrinale claire, fondation indispensable pour une construction pérenne. Sinon on risque de bâtir sur du sable.

A cet égard  nous ne devons pas nous laisser emporter par des réactions passionnelles qui faussent les perspectives et obscurcissent le jugement. C’est ainsi qu’il faut disséquer avec une froideur de chirurgien le cas de la fille Le Pen. Certes, elle n’a aucune conviction personnelle. Elle saisit au passage et s’empare des idées, des thématiques qui lui paraissent utiles sur le plan de l’électoralisme, pour la réussite de sa carrière politicienne. Au besoin en faisant de la germanophobie primaire qui sent la naphtaline ou en faisant allégeance au Peuple Elu, elle qui voulait emmener en pèlerinage à Auschwitz les élus du Front National. En cela elle est en harmonie avec le rabbin Josy Eisenberg, présentateur à la télévision de l’émission talmudique du dimanche, qui déclare : « Il n’y a pas de Français de souche… hormis peut-être les juifs de France ». Ou encore Sarkozy, invité d’honneur, il y a trois jours, au dîner annuel du CRIF, qui en a profité pour disserter sur « l‘identité de la République française » en affirmant « la France a des racines juives ». En alignant son discours sur de tels personnages, la fille Le Pen est la parfaite incarnation du Système que nous subissons et auquel elle rêve de s’intégrer. Pour ce faire, pour être acceptée comme fréquentable par les maîtres officiels et officieux du pouvoir, elle a multiplié ces derniers temps, dans son discours du congrès de Tours et dans des déclarations à la presse, les assurances d’allégeance au politiquement correct. Mais ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain. Ainsi, ce n’est pas parce que la fille Le Pen dit qu’il fait jour à midi qu’on doit se croire obligé de dire le contraire. Par exemple en matière d’intervention de l’Etat pour réguler la vie économique et financière en fonction des intérêts nationaux, ce qui implique le rejet du libéralisme, un nationaliste identitaire ne peut qu’être d’accord. A condition bien sûr de savoir de quel Etat l’on parle. Et c’est là que le bât blesse. S’agit-il de cet Etat jacobin guillotineur, rebaptisé aujourd’hui République laïque, auquel la fille Le Pen fait du pied pour montrer qu’elle rejette les vieux démons paternels (ce qui, entre parenthèses, n’est qu’un tour de passe-passe, car Jean-Marie Le Pen n’a jamais vraiment voulu détruire le Système en place). Nous récusons évidemment l’Etat jacobin, responsable et coupable du déracinement et de la perte d’identité des habitants de nos provinces, entre autres sur le plan linguistique (souvenons-nous de la fille Le Pen s’insurgeant contre les panneaux annonçant le nom d’un village en breton, tout comme un jacobin de choc s’insurgeait récemment contre les panneaux annonçant en langue d’oc le nom du village de Maguelonne…). L’Etat jacobin est stérilisateur, il est ce plus froid des monstres froids dont parlait Nietzsche. Mais pour autant nous affirmons la nécessité d’un Etat régalien, seul capable de tenir en respect les agents cosmopolites du mondialisme et d’imposer une règle du jeu à tous ceux qui servent un capitalisme spéculatif illustré par la crise financière mondiale dont on est loin d’être sortis, contrairement à ce que prétendent de soi-disant spécialistes dont la mission est d’anesthésier l’opinion publique.

 

Maurice Allais, prix Nobel d’économie dont la récente disparition a provoqué les larmes de crocodile des gens au pouvoir, osait dire que, face au dogme libre-échangiste et à ses méfaits, le nationalisme économique était la solution de l’avenir, ce qui impliquait au minimum un protectionnisme à l’échelle du continent européen, les pays européens ne faisant en cela qu’appliquer une recette que d’autres continents appliquent sans vergogne. A quoi bon se lamenter sur la réussite en matière de stratégie économique de pays asiatiques ? Ils pensent d’abord, très logiquement, à leur intérêt. A nous d’en faire autant, sans complexe.

 

En matière d’organisation étatique, le modèle suisse, auquel j’ai consacré une étude dans Synthèse nationale, mérite d’être pris en considération. Il montre qu’un Etat confédéral n’implique pas forcément un Etat faible. Tout au contraire, si les domaines d’intervention de l’Etat sont clairement définis. Et à condition que l’Etat soit un outil au service de la communauté du peuple, de son enracinement et de son identité. Bref, un Etat nationaliste. Lequel a une vocation que j’appellerai volontiers solidariste ou justicialiste, dans la mesure où assurer la justice sociale est le premier devoir d’un Etat digne de ce nom.

 

Plusieurs sondages récents et concordants montrent que la préoccupation essentielle, et de loin, des Français (à 81 % des gens interrogés) est le chômage. C’est une donnée objective que doit prendre impérativement en compte un nationalisme populaire et social. C’est pourquoi est une excellente initiative la volonté de notre ami François Ferrier de réaliser un livret rappelant aux Gaulois, en particulier aux plus âgés, quelles sont les aides sociales auxquelles ils ont droit (alors que les immigrés, eux, sont parfaitement informés, par les soins des institutions officielles  et des associations favorables à l’immigration, de tout ce qu’ils peuvent soutirer à cette vache à lait qui s’appelle encore, provisoirement, la France). François Ferrier peut compter sur moi pour l’aider au mieux dans cette entreprise de salubrité.

 

Nous devons avoir le souci de multiplier des actions concrètes de ce type et j’en profite pour saluer le travail de Solidarité des Français, animé par notre amie Odile Bonnivard, mais aussi les maraudes de l’Action populaire et sociale du pasteur Blanchard et celles de Solidarité populaire, auxquelles participe notre camarade Eugène Krampon, de la revue Réfléchir et Agir. Cet exemple est à suivre par tous nos camarades. Car parler c’est bien, mais agir c’est mieux.

 

Et prenons sans frilosité notre bien partout où il se trouve. Quand je dis notre bien, je désigne, outre diverses activités du type de celles menées par nos camarades italiens de la Casa Pound, selon le principe de transversalité cher à notre camarade Gabriele Adinolfi, toute réflexion ou expression qui apporte de l’eau à notre moulin, sans souci des étiquettes. C’est le cas, par exemple, du livre de Régis Debray, Eloge des frontières, dans lequel il montre que toute frontière, toute ligne de séparation, est l’expression d’une grande loi du vivant. C’est ce que nous disons, sans nous lasser, depuis longtemps : il n’y a d’identité que par la cohérence et la cohésion d’éléments mettant en pratique leur droit à la différence. Ce qui est une définition possible du nationalisme.

 

Ayons une mentalité offensive, confortée par le fait que les événements nous donnent de plus en plus raison. Ainsi, voyez comment dans certains grands pays d’Europe les gens qui sont au pouvoir et dont le catéchisme a été l’idéologie cosmopolite que nous combattons, font aujourd’hui machine arrière. Oh, certes, pas de gaîté de cœur, mais pour des raisons bassement électoralistes, pour essayer de ne pas se couper complètement d’une opinion publique qui évolue à grands pas, en prenant conscience de certaines vérités aveuglantes. Ainsi, à Londres, le premier ministre David Cameron vient-il de déclarer : « Je crois qu’il est temps de tourner la page sur les politiques du passé qui ont échoué ». Il parle de ce qui fut longtemps la tarte à la crème de la politique britannique, ce que l’on appelle pudiquement le multiculturalisme et qui est en fait le projet d’une société multiraciale censée vivre dans l’harmonie grâce à la cohabitation de communautés ethniques que tout sépare. L’aberration de ce projet a conduit les travaillistes Tony Blair et Gordon Brown à faire subventionner par l’Etat des associations musulmanes censées donner naissance à un islam modéré, raisonnable mais qui, avoue David Cameron, « font peu pour combattre l’extrémisme ». On reconnaît là le sens de la litote cher aux Britanniques… Mais ceux-ci osent dire que le roi est nu depuis que l’Allemagne les a précédés dans cette découverte. Ainsi, la chancelière Angela Merkel, inquiète de voir les contre-performances électorales de son parti, la CDU, a-t-elle voulu surfer sur une prise de conscience, dans l’opinion allemande, des dangers de l’immigration, illustrée par le succès spectaculaire du livre de Thilo Sarrazin, L’Allemagne court à sa perte, resté pendant cinq mois en tête des meilleures ventes dans les librairies. Angela Merkel a dénoncé publiquement l’échec de ce que l’on appelle en Allemagne le « multi-kulti », le multiculturalisme, c’est à dire en fait, ici comme en Grande-Bretagne, la société multiraciale. Alors qu’aujourd’hui 20% de la population, en Allemagne, est issue de l’immigration, les illusions sur les possibilités d’intégration de ces gens se sont dissipées. Même en ce qui concerne l’apprentissage de la langue allemande, concernant des gens nés sur le sol allemand de parents turcs. Malgré les énormes efforts financiers faits à cet égard, « les résultats ne sont pas toujours très probants », reconnaît le quotidien Le Monde, dans son style faux-cul si caractéristique. Dans le même style, ce journal dont le nouveau directeur est Monsieur Izraelewicz, évoque au sujet de la France le « bilan en demi-teinte » de la politique dite d’intégration qui donne un résultat « loin d’être à la hauteur des espérances ». Traduction en clair : la République paraît-il une et indivisible est incapable de faire disparaître les identités ethniques. Tout simplement parce que les réalités sont et seront toujours plus fortes que les théories.

 

Cela se traduit par des phénomènes qui montrent que nous sommes en phase avec les attentes de beaucoup de gens, des attentes qui mettent en question le Système en place. Ainsi, il est réjouissant de voir que les gens qui détiennent le pouvoir sur le plan politique, économique, culturel s’inquiètent de plus en plus de voir monter ce qu’ils ont appelé, d’abord avec dédain, maintenant avec crainte le populisme. Certains d’entre eux, dont Cohn-Bendit, Mélenchon, Finchelstein (directeur de la fondation Jean Jaurès), se sont interrogés gravement, dans un débat organisé le 7 février par Le Monde, sur la question « L’Europe face à la montée des populismes ». A cette occasion, le sarkozyste Bruno Le Maire, ministre de l’agriculture, a fait un aveu intéressant : le populisme est là parce que, dit-il, « il y a une faillite de nos institutions européennes dans la réponse à la crise, dans sa lucidité sur la réalité des choses, dans sa rapidité d’intervention, dans sa capacité à apporter des réponses concrètes aux gens ». Mais lui et ses compères ne sont pas allés jusqu’à se tirer une balle dans le pied, qui aurait été de dire l’essentiel, à savoir que le populisme est une expression de ras le bol du Système en place et des gens qui l’incarnent et dont ils font partie.

 

Nous, nous appelons les choses et les gens par leur nom. Nous disons que les Sarkozy et les Strauss-Kahn trahissent la France et les Français, l’Europe et les Européens et que c’est pour cela qu’ils méritent de finir dans les poubelles de l’Histoire. C’est sur notre adéquation avec le réel que repose la force de notre message. Soyons-en persuadés : la vérité est libératrice. Donc clamons-la sans nous lasser, droits dans nos bottes. Alors que certains, espérant ainsi se faire accepter par nos ennemis, brûlent ce qu’ils ont adoré et trahissent leurs engagements de jeunesse, nous nous revendiquons  nos idéaux et la fidélité à nos drapeaux. C’est pourquoi plus est en nous. C’est pourquoi l’avenir nous appartient.

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dimanche, 13 février 2011

Samedi, les nationalistes sont venus en nombre assister à la réunion publique parisienne de Synthèse nationale...

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Samedi après-midi, dans un Espace Dubail trop petit, se tenait la première réunion publique parisienne de l'année de Synthèse nationale. C’est en effet devant une salle comble (plusieurs centaines de militants, dont de nombreux jeunes) que les différents orateurs purent développer leurs conceptions du combat nationaliste.

 

Ce fut tout d’abord Jean-Claude Rolinat, écrivain (il vient de publier une biographie d’Eva Peron), élu local et membre de la direction nationale de la Nouvelle Droite Populaire, à qui il revenait d'ouvrir la séance. Il dressa d'emblée un bilan catastrophique de la situation politique de la France et de l’Europe. Nous publierons très prochainement le texte de l’intervention de Jean-Claude Rolinat.

Fidèle à sa vocation de promouvoir les initiatives qui lui semblent intéressantes et constructives pour le mouvement nationaliste, Synthèse nationale avait invité Serge Ayoub, responsable de Troisième voie, à prendre la parole. C’est avec fougue qu’il débuta son discours en se livrant à un véritable réquisitoire contre le sinistre Jean-Luc Mélenchon. Il faut rappeler que ce minable politicien à la botte du Système, avec une arrogance invraisemblable, s’est récemment permis lors d’une émission télévisée de traiter avec mépris et condescendance des patriotes du Nord de la France en les considérant pratiquement comme des moins que rien. Mais qui est-il donc ce Mélenchon pour se permettre de juger ainsi des militants qui se battent bénévolement et courageusement pour leurs idées ? Rappelons que le donneur de leçons Mélenchon a passé sa vie à vivre aux frais des contribuables en tant qu’élu du Parti socialiste. Au tarif où il est rémunéré, il n’a pas beaucoup de mérite, Mélenchon, à clamer sa ferveur « révolutionnaire ». Le hic, c’est que ce pitoyable fier à bras vient de franchir la ligne jaune et que dorénavant il doit savoir que les nationalistes ne le laisseront plus impunément baver sa haine de notre peuple. Qu’il se le tienne pour dit.

Mais revenons à l’intervention de Serge Ayoub. Celui-ci insista ensuite sur la nécessité pour les nationalistes d’investir le combat syndical. Telle est la vocation de Troisième voie qui se définit comme étant le mouvement des travailleurs français pour une avant-garde solidariste. Cette initiative originale mérite d’être encouragée car elle est complémentaire des autres formes de combat choisies par les autres composantes du mouvement nationaliste.

 

Puis vint le tour de Pierre Vial, Président de l’association culturelle Terre et Peuple et aussi membre de la direction nationale de la NDP, de prononcer un discours d’une très haute tenue au cours duquel il dénonça les malheureuses dérives du Front national qui jusqu’à ces dernières années était sensé incarner le combat national et qui, depuis son dernier congrès, a perdu toute légitimité et toutes crédibilité aux yeux des nationalistes identitaires.  Nous publierons aussi prochainement le discours de Pierre Vial.

 

C’est à Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol et Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, à qui il revenait de prononcer le discours d’orientation de cette réunion. Il suscita à plusieurs reprises l'enthousiasme de la salle lorsqu’il appela à une rupture totale avec le Système.

 

Voici l’essentiel de l’intervention de Robert Spieler :

 

« Au moment où la France et l’Europe sombrent dans une crise économique et identitaire sans précédent, Robert Spieler insista sur le fait qu’il faut un mouvement nationaliste fort et organisé dans notre pays. Un mouvement qui se bat pour une France française dans une Europe européenne.

 

La Nouvelle Droite Populaire prône le rassemblement des forces nationalistes autour de principes que nous considérons comme non négociables : la défense intransigeante de nos identités nationale, régionales et européennes. Le problème prioritaire n’est pas l’islam, qui n’est qu’une conséquence, mais l’invasion africaine, maghrébine et turque, notamment, que subissent la France et l’Europe. Nous considérons que cette immigration aurait des conséquences tout aussi dramatiques pour l’identité de nos peuples, si ces populations étaient agnostiques, bouddhistes, ou chrétiennes. Ces populations qui occupent notre terre devront, en grande partie, repartir. Nous le disons calmement, sans haine ni violence, les immigrés n’étant pas responsables de cette situation. Mais ils devront repartir, et la nécessaire Reconquista doit être menée. Qu’on ne nous dise pas que c’est impossible. L’exemple des Pieds-noirs d’Algérie, sommés de quitter leur terre en quelques semaines, prouve le contraire (...).

 

La Nouvelle Droite Populaire refuse toute inféodation de la France à des puissances étrangères. Nos soldats n’ont pas à mourir pour défendre les intérêts de Washington ou de Tel Aviv. Le combat pour la libération doit se mener ici, en France et en Europe, pas en Afghanistan, en Iran, en Irak, en Palestine ou en Israël. Nous demandons que la France quitte l’OTAN et appelons à la constitution d’une défense européenne intégrée (...).

 

Nous voulons l’Europe de la puissance, et rejetons l’Europe des nains arrogants de Bruxelles. C’est par la sécession de la France que nous pourrons demain construire une Europe nationaliste et identitaire, respectueuse des Nations et des Provinces qui la composent (...).

 

Sur les plans économiques et commerciaux, nous prônons la création d’un espace économique et commercial européen protégé, partenaire de la Russie. Nous devons réindustrialiser  la France et l’Europe en érigeant des barrières qui empêcheront la destruction de nos emplois, par l’afflux de produits fabriqués dans des pays qui ne respectent pas un minimum de normes sociales (...).

 

Nous prônons le plus large rassemblement de la Résistance française et européenne. Dans le respect des différences. Nous ne sommes pas obligés d’être d’accord sur tout et personne n’a, par exemple, à imposer sa vision de la morale, ou ses convictions religieuses, aux autres. Le partenariat que la NDP a établi avec le Parti de la France et le MNR a permis d’obtenir des résultats très encourageants aux dernières élections régionales, notamment en Lorraine, où nos listes dépassèrent 3% des voix. Le partenariat de la NDP avec Troisième voie, le Renouveau français, le GUD, Terre et peuple et d'autres orrganisations militantes a permis à un millier de nationalistes de défiler, le 9 mai dernier à Paris. La NDP refuse absolument toute exclusive à l’encontre de ceux qui refusent toutes soumissions au Système. Le considérable succès de la réunion unitaire de Synthèse nationale, le 11 novembre 2010 prouve, par ailleurs, que nous sommes dans la bonne voie ».

 

Dans l’assistance, plusieurs personnalités de la droite nationale et nationaliste nous avaient fait l’amitié d’assister à cette réunion. Notons la présence de Mme Martine Lehideux, vice-présidente du Parti de la France, de MM. Pierre Sidos, Président de l’œuvre française, Pierre Descaves, ancien député, Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, Bernard Bres, directeur du Chêne, le journal du MNR, et bien d’autres.

 

Cette réunion était conduite par Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale. Il conclut la séance en appelant les Franciliens à participer massivement, le dimanche 8 mai prochain, à 10 h 30, à la nouvelle manifestation nationaliste unitaire qui aura pour thème : la France est de retour ! Le 9 mai 2010, nous étions un millier,  le 8 mai 2011, nous serons plus de 3 000 !  Plus que jamais, le combat nationaliste continue !

02:29 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 11 février 2011

RAPPEL : samedi 12 février, LE COMBAT NATIONALISTE CONTINUE !

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Réunion publique, de 15 h 00 à 18 h 00, Espace Dubail (18, passage Dubail Paris Xème - métro Gare de l'Est)

VENEZ NOMBREUX !

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10 février 1977 : Alain Escofier...

Jeune militant nationaliste de 27 ans, il protestait contre l'asservissement de la moitié de l'Europe par le bolchevisme. C'est devant le siège de lAéroflot, la compagnie d'Etat soviétique d'aviation, sur l'avenue parisienne des Champs-Elysées, qu'il accomplit son geste fatal. Il entendait également réveiller la conscience des Occidentaux dont les gouvernements se rendaient complice de la dictature rouge. Malgré la souffrance, il trouvera la force de crier, dans un dernier souffle : « Communistes assassins ! ».

Alain Escoffier, qui milita avec les solidaristes et au PFN, signa plusieurs dessins dans les derniers numéros d'Alternative. Il aurait été le rédacteur du journal nationaliste Impact.

Compagnon d'honneur de Jan Palach, Jan Zajic et bien d'autres, qu'il a rejoint aux les vrais champs Elysée, lieux de repos éternel des héros européens, Alain Escoffier : Présent !

Source Club Acacia cliquez ici

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jeudi, 10 février 2011

Un entretien avec Hervé Van Laethem...

SDC11475.JPGEntretien réalisé par Terre et peuple Wallonie :

 

Samedi prochain, 12 Février 2011, les rencontres identiaires du Coloma, en Belgique, organisées par Terre et peuple Wallonie, vont accueillir de multiples orateurs ayant chacun leur particularité.

 

De cette assemblée de qualité, une tête sort un petit peu du lot : cette tête bien connue du monde politique belge francophone et neerlandophone est celle d'Hervé Van Laethem (à droite sur la photo en compagnie de Robert Spieler et de Luc Pécharman lors de la fête du cochon à Lille en octobre dernier -NDLR).

 

Hervé Van Laethem, de part un engagement sans temps mort depuis son plus jeune âge, a exploré toutes les facettes de l'action politique, connu des bons et des mauvais moments, lui forgeant un caractère entier et radical, qui bien avant de lui donner une personnalité atypique et attachante, lui a surtout donné une expérience des choses et de son temps que peu de gens connaissent avec autant de clairvoyance. C'est cette expérience qu'il viendra partager avec nous, loin du discours verbeux et creux d'une droite égoïste et d'une gauche affairiste, mais avec tout le coeur et l'amour pour leur peuple qu'ont les hommes d'honneur.

 

TP: Hervé, pour ceux qui ne te connaîtrait pas, peux tu te présenter ? 

 

HVL: Je m'appelle Hervé Van Laethem, j'approche de mes 46 ans, dont 29 ans de militantisme.

 

J'ai appartenu à divers mouvements, dont beaucoup ont défrayé la chronique, et j'ai longtemps été un des cadres dirigeants du mouvement NATION (cliquez ici), dont je reste un membre et un cadre militant. Idéologiquement, je me réfère à la mouvance nationaliste-révolutionnaire. J'ai aussi une très forte fibre identitaire, mais ma route vers l'identité à moi ne passe pas par le Moyen-Orient ou par les officines laïcardes comme certains.

 

TP: Tu nous fais le plaisir d'être parmi nous samedi, de quoi comptes tu nous entretenir ?

 

HVL: De mon côté, je vais essayer de tirer des conclusions pratiques et tactiques de ce qui va se développer, mais je pense que beaucoup seront d'accord pour dire que le combat contre le mondialisme passe aussi par un combat local, identitaire et social très fort.

 

TP: Selon toi, pourquoi faut il participer à ce genre de réunion ?

 

HVL: D'abord, c'est une occasion de rencontrer des amis, des camarades, des gens qui pensent comme vous. C'est aussi l'occasion d'échanger et de débattre. C'est enfin, une occasion de plus de se former politiquement, car on ne lutte vraiment bien que lorsqu'on sait pourquoi on lutte.

 

Hervé et la bannière Wallonie de l'association Terre & Peuple vous donnent donc rendez-vous le 12 février prochain au château du Coloma.

 

Le Château du Coloma se trouve, 25 rue J. De Pauw à Sint-Pieters-Leeuw. Il est accessible par le ring ouest de Bruxelles, prendre la sortie 16 en direction de Leeuw-Saint-Pierre (le Château Coloma est fléché en blanc sur brun) ou prendre le bus H à la gare du Midi à Bruxelles (il a son arrêt au coin de la rue De Pauw).

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mercredi, 09 février 2011

Les nationalistes souhaitent, à leur manière, "bon appétit" aux invités du dîner du CRIF !

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 L'affiche collée à Paris, en particulier dans le quartier où doit se dérouler le dîner du CRIF.

Ce mercredi, 9 février, doit se dérouler le traditionnel dîner annuel du CRIF, le Conseil représentatif des institutions juives de France. Comme chaque année, le gratin de la classe politique, à commencer par le Président Sarkozy, se rendra à cette grande partie mondaine pour écouter les "recommandations" solennelle des représentants autoproclamés de la communauté juive de France. Inutile de préciser que le mot "ordres" serait plus propice que le mot "recommandations", car, n'en doutons pas, à peine le dîner digéré, nos dirigeants s'empresseront, avec le zèle de circonstance, d'appliquer les désidératas de leurs hôtes d'un soir.

 

Une chose en tout cas est certaine, les nationalistes ne sont pas invités au dîner du CRIF. Mais les nationalistes, c'est bien connu, ne sont pas rancuniers. Voilà pourquoi ils ont décidé ce mardi soir de marquer à leur manière l'événement. En effet, depuis le précédent dîner du CRIF, l'an passé, il y a de la nouveauté. Et cette nouveauté, c'est la publication, au mois de septembre dernier, du nouveau livre d'Anne Kling (cliquez ici), Le CRIF, un lobby au cœur de la République (aux éditions Mithra).

 

L'occasion était donc trop bonne de rappeler aux Parisiens la réalité de ce qu'est le CRIF en leur proposant de lire le livre d'Anne Kling. Au cours de la nuit de mardi à mercredi plusieurs milliers d'affiches ont été ainsi collées dans la capitale par les militants nationalistes.

 

Ce collage démontrera à la classe politique et médiatique que le CRIF n’est pas encore tout à fait roi dans notre pays.

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De la Porte Maillot...

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 ...à la Porte de Saint Ouen,

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dans le XVIIème,

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comme à la Porte Dauphine,

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les nationalistes ont décoré Paris. 

02:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 08 février 2011

Paris : Robert Brasillach au Théâtre du Nord Ouest...

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lundi, 07 février 2011

Jeudi prochain, 10 février, la Vlaams Huis sera au Local...

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Dimanche, les nationalistes ont commémoré le souvenir des morts du 6 février 1934...

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Dimanche, à Paris, s'est déroulé le traditionnel banquet nationaliste du 6 février présidé par Pierre Sidos. A l'issue de cette sympathique réunion au cours de laquelle prirent la parole, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, André Gandillon, directeur de Militant, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, ainsi que plusieurs responsables de l’œuvre française, une délégation (photo) s'est rendue Place de la Concorde afin de déposer symboliquement une gerbe en mémoire des 22 morts du 6 février 1934 et aussi de Robert Brasillach assassiné le 6 février 1945.

 

Le soir, à 18 h 30, une manifestation était aussi organisée par le Renouveau français de la Place de l'Opéra au Palais Royal. Celle-ci rassembla près de 300 personnes.

Un peuple qui n'honore pas son Histoire est un peuple qui se coupe de ses racines. Un peuple sans racines est un peuple destiné à disparaître. Il en est d'ailleurs de même pour les mouvements politiques. C’est donc tout à l’honneur de l’œuvre française ou du Cercle Franco-hispanique d’organiser régulièrement ce type de commémorations.

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Automobilistes : LES VACHES A LAIT DU GOUVERNEMENT...

main.jpgPar Pieter Kerstens

 

Les automobilistes, nouveaux serfs du XXIème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto devient un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

 

Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les quartiers  à forte densité d’immigrés. Discrimination ?

 

Il est temps de mettre un holà à cette dérive des maniaques des pistes cyclables tout azimut, de la gratuité des transports publics, de la suppression des places de stationnement dans les rues ou encore de la transformation de nos avenues et de nos boulevards de liaisons en ruelles piétonnes de cités du tiers-monde.

 

A les écouter, on devrait circuler en trottinettes, en rollers ou en pousse-pousse et abandonner nos voitures au profit des bus, des trams ou du métro (renommés pour leur propreté, leur ponctualité et leur sécurité : tout le monde le sait !).

 

NOTRE AUTO ? C’EST NOTRE LIBERTE !

 

Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 30 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons. Depuis 1980, à puissance égale, la voiture consomme et pollue 30% de moins, grâce aux améliorations techniques des moteurs, à l’essence sans plomb et sans soufre et au pot catalytique.

 

En est-il de même aux USA, en Chine, en Inde ou en Afrique ? Ce sont eux les plus gros pollueurs !

 

Nous n’acceptons pas les affirmations mensongères des khmèrs verts et de leurs laquais socialistes, visant à nous culpabiliser.

 

Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les altermondialistes vont-ils aussi mener leur campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou  à Canton pour empêcher les habitants de s’équiper en motos ou en voitures et à en revenir à l’utilisation du vélo ?

 

Il ne faut plus racketter  les conducteurs  sous de faux prétextes.

 

TROP  C’EST TROP !

 

Le Pouvoir ponctionne des milliards d’euros aux secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation et de circulation, accises, assurances, TVA, amendes, etc…).

 

Mais dans quel état se trouvent nos rues et notre réseau routier ?

 

Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux et c’est pourquoi il est temps d’organiser la rébellion des  conducteurs, victimes d’une véritable persécution, qui circulent tous les jours pour des raisons professionnelles et perdent leur temps dans les embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes, eux,  polluent notre quotidien.

19:47 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La laïcité contre l’identité… Des conséquences d’une petite phrase (in)contrôlée et récupérée…

a sn 21.jpgPar Yves Darchicourt

Article publié dans le n°21 de la

revue Synthèse nationale

 

Vers la dernière mi-décembre, en la petite ville flamande de Leers - où une crèche de Noël avait été installée en plein air par la municipalité, à un trait d’arbalète de l’Eglise Saint-Vaast et de son clocher contemporain de Charles-Quint - un bourgeois, offusqué par cette ostentation chrétienne, a déclenché une belle polémique médiatique sur fond de Loi de 1905 bafouée par un intolérable empiètement du religieux sur le domaine public.

 

Dans le même temps, les « grands » médias donnaient à lire et entendre que de plus en plus de fidèles musulmans priaient dans la rue, non par plaisir ou par provocation religieuse mais parce qu’ils ne disposaient tout simplement pas d’un nombre suffisant de lieux de culte en France.

 

On peut sans doute mettre en rapport ces deux évènements avec la fameuse petite phrase de Marine Le Pen comparant les prières de rue mahométanes à la manifestation d’une sorte « d’occupation ». Bourde d’écervelée ? Plutôt dérapage très contrôlé, la dame se gardant bien d’aller au bout de son argumentation en réclamant un soulèvement contre « l’occupant » ! De toute façon, sortie à usage interne dans le cadre de la course à la Présidence du Front national, laquelle n’a pas manqué de provoquer le tollé médiatico-politique espéré et d’ailleurs vite retombé. Par contre, cela a permis de conforter dans le « système » deux attitudes politiques convergentes dans leur finalité qui est la destruction de notre identité civilisationnelle par l’islamisation de nos terres et par l’éradication de nos racines.

 

Les résignés à la dhimmitude ou les collabos de l’islamisation ont sauté sur l’occasion : c’est bien vrai, il est scandaleux de voir des musulmans prier sur le pavé ; comme ils le font faute de mieux et qu’il n’est même pas envisagé de réduire leur nombre en inversant les flux migratoires, il faut donc faciliter la construction de nouvelles mosquées. On a pu ainsi entendre Julien Dray sur RTL dire que la Loi de 1905 (tant qu’elle subsisterait en l’état) se devait d’ être « tournée » sans états d’âme par les élus locaux en fonction des besoins de leurs administrés musulmans. On a d’ailleurs pu lire dans France-Soir la « recette » de Daniel Vaillant –maire du 18ème arrondissement de Paris- qui se vante d’être parvenu à donner un « coup de pouce » de 22 millions d’euros pour un Institut des Cultures Musulmanes, qui finalement intègrera une mosquée, et ce sans tomber sous le coup de la loi sur la laïcité. Pour ces gens là – par ailleurs apôtres de l’immigrationnisme et du métissage des peuples et des cultures - l’Islam est définitivement partie intégrante de notre culture religieuse, le nombre grandissant de mahométans est sans doute une chance pour notre pays, et il convient de leur permettre la pratique digne – sinon éblouissante – de leur culte. D’aucuns ont même dénoncé comme scandaleux le manque de mosquées pour une masse croissante de fidèles du Prophète et la prolifération des lieux du culte chrétien pour un nombre de pratiquants en constante diminution : de là à demander la transformation des églises peu fréquentées ou des chapelles à l’abandon en mosquées…La multiplication du nombre de mosquées, tant qu’à faire avec minarets, a aussi comme « avantage » d’habituer le Gaulois à leur présence, de faire que ses enfants et petits-enfants les considèreront comme des éléments traditionnels de leur environnement au même titre que les clochers ou les beffrois, et de contribuer à imposer l’image d’un Islam de France qui ne serait pas la religion d’une civilisation étrangère à notre civilisation, la religion conquérante de ceux que nos aïeux ont combattu et vaincu à Poitiers, à Lépante ou à Vienne. L’islamisation visible de nos Provinces a ainsi reçu un coup de pouce inespéré.

 

Les laïcards militants ne se sont pas moins réjouis de l’aubaine qui leur permet de réclamer plus haut et plus fort l’interdiction absolue des références publiques à une appartenance religieuse hors les lieux de culte. Comme l’a fait remarquer avec raison Robert Spieler, il n’est pas étonnant que les fameux « saucissons-pinard » - certes bonne idée d’affirmation identitaire - aient finalement été cornaqués par l’ultra-gauche qui tenait là l’occasion de dénoncer l’empiètement des interdits de l’Islam dans la vie civile, étant bien entendu que cette dénonciation se devait de s’étendre à toutes les manifestations de toutes les religions. Pain béni pour nos héritiers idéologiques du petit père Combes qui ont multiplié les actions protestataires contre les édiles autorisant ou favorisant les traditionnelles déambulations de Saint Nicolas, les expositions de crèches et de santons, les installations d illuminations à motifs chrétiens (étoiles ou vierges à l’enfant) ou encore les diffusions de chants de Noël dans les rues. Ce n’est là qu’un hors d’œuvre avant les récriminations christianophobes et plus particulièrement « cathophobes ». Ce n’est pas seulement les emblèmes cruciformes (rouges des secouristes, verts des pharmaciens ou bleus des abstinents) qui risquent d’avoir du plomb dans l’aile, mais aussi les modestes croix ou les admirables calvaires monumentaux de nos campagnes, les émouvantes bénédictions traditionnelles ou les ancestrales processions. Et pourquoi d’ailleurs le délire laïcisateur n’irait-il pas jusqu’à exiger une refonte de la toponymie excluant pour les lieux-dits, villages, bourgs ou villes toute référence à un saint de l’Eglise catholique. Du travail en perspective pour les épurateurs du laïcisme dans notre pays où les noms de lieux d’origine hagiographique sont légion : de Saint-Quentin, Saint-Nazaire, Saint-Etienne...à la multitudes des toponymes formés par amalgames de noms de saints (réels ou supposés) avec le déterminatif dominus (Domrémy, Domfront, Dampierre, Dammartin, Dannemarie…) ou sanctus (Sanary, Sennecterre, Sennecy, Xaintrailles) ou encore, en Bretagne, avec les préfixes Plou (paroisse- comme dans Ploermel, paroisse de Sainte Armel) ou Lann (lieu consacré- que l’on retrouve dans Landerneau, lieu voué à Saint Ternoc).

 

La si riche hagiotoponymie des provinces françaises est particulièrement révélatrice de ce que la religion chrétienne est partie intégrante de notre civilisation, même si le christianisme ne s’est définitivement imposé qu’après la conversion des campagnes réalisée (comme dans le reste de l’Europe) grosso modo entre le Ve et le Xe siècle et au prix de concessions qui ont fait du catholicisme romain la plus païenne des sectes chrétiennes.

 

Le Dieu unique et lointain des religions du désert a pu séduire les élites et les chefs de guerre (surtout si la conversion assurait l’aide de gros bataillons) mais il ne pouvait satisfaire la masse immense des pagani. L’antique religion des peuples indo-européens où les dieux allaient par trois, faisait aussi la part belle à une myriade d’intermédiaires (divinités secondaires, héros, déités des forêts, des croisements, des rivières, des lacs ou des sources, pierres, arbres ou animaux sacrés) et à une multitude d’êtres du monde extraordinaire de l’air, de l’eau, de la végétation, de la terre, tout le petit peuple de la lumière ou de l’obscurité qui animait l’imaginaire collectif de nos aïeux.

 

Le paganisme originel n’a pas disparu, simplement ses lieux sacrés, ses monuments ou ses grandes fêtes ont été christianisés, tandis que ses dieux, ses déesses ou ses héros devenaient des saint(es) ou des anges : Mithra se retrouve dans Saint Georges, comme Mercure ou Gargan en Saint Michel, Asclepios survit en Côme et Damien ou la Bona Dea (Agathê en grec) en Sainte Agathe, Sainte Ursule s’est substituée à des cultes locaux de l’ours, Sainte Victoire a succédé à la Dea Victoria comme saint Bonnet à Belanus…

 

On peut donc très bien ne pas être un adepte de la religion chrétienne et être sensible à ses manifestations comme à son élan mystique qui, tout en perpétuant, même inconsciemment, nos antiques traditions et croyances, reflets de l’âme indo-européenne, a généré le souffle épique de la Reconquista, entretenu la saga des héros grands et petits des comtés d’Edesse ou de Tripoli, de la Principauté d’Antioche ou du Royaume de Jérusalem et qui a donné tous ces chefs d’œuvres architecturaux, iconographiques ou musicaux qui font l’incomparable grandeur artistique et culturelle de l’Europe.

 

Notre ancestrale civilisation s’est perpétuée durant des millénaires ; sa christianisation ne fut pas une rupture, elle n’a remis en cause ni son « infrastructure mentale et religieuse », ni sa continuité, son unité et son unicité, ce qui serait bien évidemment le cas si l’Islam s’imposait sur nos terres. Le terme si souvent (on devine pourquoi et pour qui) usité de civilisation judéo-chrétienne est fort impropre tant le christianisme qui imprègne notre civilisation est loin du christianisme originel cousin des deux autres religions du livre. Nous sommes d’un âge immense, dépositaires d’une civilisation immémorielle incomparable qui se doit d’être défendue et préservée dans tous ses aspects.

 

L’offensive laïcarde est bien destinée à nous couper de nos racines et à faire de notre Peuple une population sans âme. Elle rejoint, dans ses perspectives destructrices, la politique d’immigration de peuplement allogène dont le corollaire obligé est l’islamisation. C’est pourquoi la petite phrase, le dérapage (in)contrôlé d’une politicarde à la peine dans une guerre de succession interne et avide d’intégrer le « système » vient de donner fort regrettablement du grain à moudre à ceux qui travaillent à la destruction de notre identité et de notre civilisation.

 

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samedi, 05 février 2011

Rappel : samedi 12 février à Paris, réunion publique de Synthèse nationale. Venez nombreux !

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Nos amis d'Altermedia ont publié l'annonce suivante (cliquez ici)

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13:33 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 04 février 2011

Rappel : 6 février 2011, Paris, banquet du souvenir nationaliste...

080408_220113_PEEL_TZmEp5.jpgA l'initiative de l'Œuvre française, sous la présidence de Pierre Sidos, un banquet est organisé à Paris le dimanche 6 février 2011, à 13 h 00, en mémoire de nos morts du 6 février 1934 et de l'assassinat de Robert Brasillach, le 6 février 1945.

Plusieurs directeurs de journaux prendront la parole dont André Gandillon (Militant), Roland Hélie (Synthèse nationale), Jérôme Bourbon (Rivarol)....

(Participation : 35 euros, chèque à l'ordre de l'Œuvre française à envoyer au siège du mouvement : 4 bis rue Caillaux 75013 Paris) Renseignements : 01 44 24 22 54.

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Plus jamais ça !

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Par Caroline Parmentier -

Présent

C’est toute l’horreur du monde qui se lit dans les yeux des parents d’accueil de Laëticia, de ses parents biologiques qui n’avaient pas été considérés aptes à l’élever et de sa sœur jumelle Jessica, massacrée de chagrin. Là on touche à la réalité. Très concrètement. Les plongeurs repêchent la tête, les bras, les jambes de cette gosse de 18 ans qui a eu le malheur de croiser la route d’un criminel sexuel récidiviste qui n’avait plus rien d’humain depuis longtemps et qui n’aurait jamais dû se trouver dehors. Il y a trois semaines maintenant que Laëticia est un peu notre fille à tous.

 

Selon les premières conclusions des policiers, Tony Meilhon a étranglé Laëticia après l’avoir violée et l’a découpée en morceaux à la scie à son domicile avant de balancer ses restes dans un étang proche de Nantes. Le lac de Lavau-sur-Loire, encombré par la boue, va être asséché pour retrouver les autres parties du corps de la victime. Le principal suspect avait raconté avoir eu un accident avec le scooter de la jeune fille puis, pris de panique, s’être débarrassé du corps dans la Loire. On sait désormais qu’il avait volontairement orienté les policiers et les gendarmes vers de vaines recherches. Il était multi-récidiviste, treize fois, dont plusieurs crimes à caractère sexuel. Le tout dernier, préparant sa réinsertion, étant le viol de son codétenu. Il est sorti de prison quand même.

 

Va-t-on enfin cesser de nous dire que les crimes sexuels sadiques sont systématiquement des actes pathologiques relevant d’une maladie psychique ? Vouloir systématiquement que tout acte de ce genre relève forcément de la folie est absurde et dangereux. Ainsi que le relève très pertinemment Luc Ferry : « c’est tout simplement nier la possibilité de ce que l’on appelait naguère encore la méchanceté ». Eh oui, dans ce monde où il n’y a plus ni bien ni mal et où tout a été révisé selon les mœurs et les philosophies tendance, il existe pourtant bien des méchants. Des pervers qui savent parfaitement ce qu’ils font et qui agissent avec intelligence et conscience du mal. Ce mal qu’ils projettent et préméditent et c’est justement cela qui les fait jouir.

 

« Il n’est donc nullement certain, relève Luc Ferry, qu’il existe un traitement. » Ça peut même être une grave erreur à multiples responsabilités de le penser. Les lois en vigueur imposent au criminel de suivre une thérapie. Nicolas Sarkozy a fait voter six lois de ce genre en six ans. Un empilement législatif dénoncé par la gauche et le Front national et qui ne règle absolument rien. La perversion n’est pas une maladie. Comment peut-on penser une seconde que les grands délinquants sexuels qui enlèvent, qui séquestrent, qui torturent, qui violent, qui mutilent et qui tuent, vont « guérir » en voyant un « psy » deux fois par semaine en prison ? On se fout de nous. Et que dire de la vaste fumisterie du suivi psycho-judiciaire à la sortie. Si tant est qu’il ait la moindre utilité, il est presque systématiquement défaillant.

 

Le dangereux prédateur, lui, au bout de dix, quinze ans, a, comme on dit, « payé sa dette à la société ». Luc Ferry a raison de dire qu’« un homme qui tue sa femme par passion parce qu’elle le trompe, ne recommencera sans doute pas ». Alors que celui qui viole et tue une inconnue par plaisir, si. Il ne s’agit pas de payer sa dette à la société. Il s’agit de protéger la société.

 

Source Présent : cliquez ici

Illustration : Altermedia

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jeudi, 03 février 2011

L'INDISPENSABLE REVOLUTION !

020211_155429_PEEL_5XPxSB.jpgL'éditorial du dernier numéro de Militant

C’est une coutume ancestrale qui veut que nous souhaitions une bonne et heureuse année aux êtres qui nous sont chers. Cela devrait prouver, en principe, que la communauté familiale et amicale française n'est pas une simple formalité mais une démonstration évidente de notre perception identitaire. Qu'on le veuille ou non, qu’on en soit persuadé ou non, nous sommes tous embarqués, Françaises et Français dans un même bateau que les générations précédentes ont édifié et renforcé pour qu'il soit apte à se maintenir dans les multiples courants dont il se sert ou qu'il affronte à travers son long voyage au cours des siècles. Cet esquif a connu de multiples équipages expérimentés, des pilotes plus ou moins avisés, quelquefois téméraires. Nous ne reviendrons donc pas, en ce début d'année 2011, sur nos bonnes aventures et déboires du siècle précédent ainsi que sur les heurts ou les réussites de la dernière décennie. Ce qui est certain, c'est que notre route politique ne change pas de gouvernail, c'est que MILITANT continuera sans faiblir son combat contre le régime et le système qui le soutient. Les nationalistes sociaux que nous sommes considèrent que la prétendue démocratie qui nous "régit" est un leurre funeste dont nos compatriotes subissent les vicissitudes. Les appellations de droite ou de gauche sont totalement archaïques et ne correspondent aucunement à la réalité politique de notre temps. L'étiquette "droitière" est soutenue par une classe sociale possédante absolument conservatrice de l'ordre présent, totalement indifférente aux traditions patriotiques multiséculaires et absolument "dévouée" au capitalisme financier internationaliste et mondialiste. Ce que l'on qualifie de "droite nationale" ne désavoue aucunement le système financier en place et s'appuie uniquement sur le "problème", certes angoissant de l'immigration extra européenne envahissante, mais qui n’est traité par ses promoteurs que pour obtenir une place dans la démocratie politicienne qu’ils ne contestent nullement. Le nationalisme social considère qu'une "révolution" est obligatoire pour que le "Cap France" tienne sa route dans le monde actuel. Seul un changement de régime peut sauver notre nation. L'étiquette "gaucharde", quant à elle, ne conteste aucunement la pseudo démocratie qui nous gouverne. L'idéologie socialiste actuelle est totalement périmée parce que l'idée "révolutionnaire" du XIXème siècle, suscitée par le capitalisme "forcené", n'est plus de mise. Les socialistes actuels ne cherchent qu'à prendre la place de la droite conservatrice pour réguler un néo-capitalisme, tel que le pratiquent en réalité les démocrates américains. Dominique Strauss-Kahn, directeur du fonds monétaire international, en est le symbole le plus significatif. Quant à l'extrême gauche, elle se réclame toujours d’un marxisme qui n’est plus qu'une utopie dépassée. C'est ainsi que les nationalistes sociaux pensent que le bateau France "prend l'eau" aussi bien avec un pilote de gauche qu'un patron de navires droitiers. MILITANT est en total désaccord avec le système de la Vème République et soutient plus que jamais le combat des nationalistes sociaux pour que notre patrie entre dans une ère nouvelle et dans un monde nouveau à la mesure des grands enjeux continentaux. Il est aussi nécessaire de rappeler que le mondialisme apatride est le pire ennemi de notre identité nationale qui est en train de se désagréger quelle que soit l'étiquette des gouvernants en place. Ce n'est pas en se complaisant dans les palinodies électorales incessantes que notre peuple se sauvera. Aidons-le à se délivrer de ses chaînes. Sauvons-le. C'est notre seul devoir légal et notre unique préoccupation spirituelle.

Source cliquez ici

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Echange courtois entre Robert Spieler et Bruno Gollnisch...

Après le dernier congrès du Front national, Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, a publié un communiqué faisant part de sa réaction à la suite de l'élection de Marine Le Pen et livrant son sentiment sur le déroulement de la campagne interne qui divisa le FN pendant plusieurs mois (cliquez ici). Largement repris dans la presse, en particulier dans l'hebdomadaire Rivarol, ce communiqué a entraîné la réponse suivante de Bruno Gollnisch. Réponse qui sera publiée dans le numéro de demain de Rivarol (cliquez là) :

  

images.jpgRobert Spieler, envers lequel je conserve le souvenir de notre amicale relation quand nous siégions tous deux comme députés du Front National à l’Assemblée Nationale, se livre dans les colonnes de Rivarol à une analyse critique de la campagne interne du Front National, qui est surtout critique à mon égard. Après les batailles, ou, comme on voudra, après les matches, il ne manque pas de stratèges aptes à les refaire et à les gagner a posteriori, dans la quiétude de leur bureau, ce qui est toujours plus facile que sur le terrain. A cette aune, la bataille de Waterloo a été gagnée sur plans après coup par tellement de « généraux » de talent qu’on se demande comment Napoléon a bien pu faire pour la perdre (pour autant, je ne compare pas la campagne pour la présidence du Front à cette bataille, ni ne me prends pour Napoléon!).

 

Si je comprends bien Robert Spieler, il me reproche de ne pas être davantage entré en conflit avec Jean-Marie Le Pen. Il est bien placé pour savoir qu’un conflit grave et persistant n’aurait débouché que sur mon départ du Front National. Me reproche-t-il donc d’y être resté, quand d’autres, qui étaient des amis, et pour beaucoup le sont encore, en sont partis ? Je m’abstiendrai de lui retourner l’argument et de lui dire que, s’ils étaient tous restés, la situation eût peut-être été complètement différente. Je m’abstiendrai sincèrement, car je n’ai pas ses talents de voyance, et je ne suis donc pas sûr de pouvoir l’affirmer. En revanche, peut-on dire que ceux qui ont fait ce choix de rupture, à commencer par Robert Spieler lui-même, soient aujourd’hui politiquement mieux placés ou plus influents que je ne le suis pour défendre les convictions qui leur sont chères? Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas évident. La plupart s’abstiennent donc de me juger, et j’observe à leur égard la même réserve. Si Robert Spieler était aujourd’hui à la tête d’un mouvement puissant, ses critiques auraient davantage de crédibilité. D’ici là, il devrait suivre l’exemple de ceux qu’il cite, et au moins tempérer ses jugements.

 

Je ne polémiquerai pas sur les autres affirmations de son article, dont presque toutes pourraient être contredites. Sauf erreur de ma part, Robert Spieler a quitté le Front National depuis une vingtaine d’années, et il n’est pas très bien informé de ce qui s’y est passé depuis. A titre d’exemple, je me bornerai à réfuter une seule assertion. Il écrit que «je n’ai pas levé le petit doigt» (sic) pour défendre mes amis, et il cite pêle-mêle Marie-France Stirbois, Jacques Bompard, Bernard Antony et Carl Lang. Il a tort.

 

D’abord, je n’étais justement pas le Président du Front National, et je ne vois pas très bien d’où l’on tire l’idée qu’entrant en conflit j’aurais été en mesure d’imposer mes vues. Ensuite, ces amis de forte personnalité, dont les cas sont d’ailleurs différents, ne prenaient pas chez moi leurs instructions. D’ailleurs, ceux qui ont quitté le FN ne m’ont pas demandé la permission de le faire. De plus, j’en ai défendu certains plus qu’ils ne l’ont fait eux-mêmes. Par exemple, Carl Lang et moi avons durant deux années plaidé auprès de Jean-Marie Le Pen et de Jacques Bompard pour tenter d’améliorer leurs relations. Dans ce genre de situation, c’est bien connu, on mécontente tous ceux que l’on s’efforce en vain de réconcilier. En tout état de cause, il aurait dû ne pas échapper à l’œil perspicace de Robert Spieler que Jean-Marie LePen lui-même m’a fait grief de ces démarches et d’une attitude selon lui trop favorable aux “dissidents”. Il n’a pas caché que cela le déterminait, entre autres, à ne plus voir en moi son successeur et à appuyer la candidature de Marine. Il faut donc croire que, contrairement à ce que prétend Robert Spieler, j’ai bien à un moment ou un autre «bougé le petit doigt», et même le bras tout entier. Que je n’aie pas souhaité porter publiquement atteinte à l’unité du mouvement dont j’étais membre, ni à l’autorité de son président, est un autre problème. Je suis en effet de ceux qui considèrent qu’une autorité même imparfaite, et même s’exerçant à mon détriment, vaut mieux que pas d’autorité du tout. C’est ma conception du bien commun. On peut ne pas la partager. On n’est pas pour autant obligé de confondre ce stoïcisme avec de la faiblesse d’âme.

 

 Bruno Gollnisch

 

La réponse de Robert Spieler :

Robert Spieler 7.jpgJe remercie Bruno Gollnisch de sa réponse courtoise parue dans Rivarol qui fait suite à la critique que je formulais, et que je maintiens, quant à la manière dont il a accepté, durant la campagne interne pour la présidence du Front national, les avanies de ses adversaires.

Cela ne retire rien à l'estime et à l'amitié que j'ai pour lui.

Robert Spieler

12:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 février 2011

Samedi 12 février, à Paris, réunion publique de Synthèse nationale :

RéunionSN.jpg

18:44 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 01 février 2011

Fabienne Keller « fait un rêve » : un manuel d’histoire franco-africaine...

images.jpgLa réaction de Robert Spieler,

ancien député du Bas-Rhin, 

Délégué général de la

Nouvelle Droite Populaire

  

L’ancienne maire de Strasbourg et sénateur, Fabienne Keller (photo), qui succéda à la maire socialiste Catherine Trautmann, n’a rien trouvé de mieux que de proposer, lors d’une table ronde au Sénat, la création du premier ouvrage scolaire franco-africain. Son objectif : favoriser le « vivre ensemble » (quel effroyable charabia !) dans les banlieues, afin de permettre aux « Jeunes » d’« acquérir la culture du pays où ils sont nés (la France), parce qu’on leur nie leur histoire personnelle (les pauvres…) ». La méthode : un livre d’« histoire », écrit par des historiens des deux rives de la Méditerranée. Les sujets : l’« époque coloniale » (salauds de colonialistes…), les « héroïques tirailleurs » (les femmes françaises et allemandes violées par dizaine de milliers apprécieront), la guerre d’Algérie (tortionnaires et Cie), la décolonisation (la valise ou le cercueil…), etc.

 

Au fait : Fabienne Keller n’est ni communiste, ni verte, ni socialiste, ni d’extrême gauche. Elle est UMP. Cela vous étonne ?

 

Source : cliquez ici

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