Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 07 février 2011

Dimanche, les nationalistes ont commémoré le souvenir des morts du 6 février 1934...

06022011005.jpg

Dimanche, à Paris, s'est déroulé le traditionnel banquet nationaliste du 6 février présidé par Pierre Sidos. A l'issue de cette sympathique réunion au cours de laquelle prirent la parole, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, André Gandillon, directeur de Militant, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, ainsi que plusieurs responsables de l’œuvre française, une délégation (photo) s'est rendue Place de la Concorde afin de déposer symboliquement une gerbe en mémoire des 22 morts du 6 février 1934 et aussi de Robert Brasillach assassiné le 6 février 1945.

 

Le soir, à 18 h 30, une manifestation était aussi organisée par le Renouveau français de la Place de l'Opéra au Palais Royal. Celle-ci rassembla près de 300 personnes.

Un peuple qui n'honore pas son Histoire est un peuple qui se coupe de ses racines. Un peuple sans racines est un peuple destiné à disparaître. Il en est d'ailleurs de même pour les mouvements politiques. C’est donc tout à l’honneur de l’œuvre française ou du Cercle Franco-hispanique d’organiser régulièrement ce type de commémorations.

20:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.