dimanche, 19 janvier 2014
Après Nantes et Angers le mois dernier, Patrick Gofman sera à Charleroi le 8 février pour présenter son livre "Le trotskisme dégénéré"...
Le trotskisme dégénéré cliquez ici
L'acheter en ligne cliquez là
De plus, samedi prochain 25 janvier, Patrick Gofman dédicacera ses livres à la Librairie française (5, rue Auguste Bartholdi Paris XVe cliquez ici).
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Le drapeau breton bientôt interdit par Manuel Valls ?
Gwenn-ha-Du = garde à vue. Après ses allergies aux sweats LMPT, à la banane, à la quenelle et à l’ananas, Manuel Valls semble prendre en grippe le drapeau breton.
Jeudi 9 janvier, des militants d’« Adsav ! », le parti du peuple breton, ont eu maille à partir avec la police politique française, raconte la formation indépendantiste.
« Voulant exhiber un Gwenn-ha-Du lors de la venue de Manuel Valls à Plérin, nos militants se sont retrouvés encerclés par deux policiers en tenue et deux autres en civil. ‘Messieurs, rangez ce drapeau Breton, sinon on vous met en garde à vue’ lance sans rire un des sbires de l’autoritaire Valls », rapporte Adsav !.
« Emmenés de force dans une ruelle avoisinante, nos militants ont eu droit à un contrôle d’identité et ont du dissimuler le pavillon national Breton », continue la formation. « La mairie, elle-même, avait fait disparaître son pavillon breton sur sa façade », relève-t-elle également.
Ils auraient dû essayer avec un drapeau israélien…
Source Nouvelles de France cliquez ici
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
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Copé et Bayrou : pacs électoral pour quelques haricots !
La chronique
de Philippe Randa
Boulevard Voltaire
François Bayrou soutenu par l’UMP ! On aura tout vu, quoiqu’en politique on ait l’habitude… Donné en tête du premier tour des élections municipales de Pau, peut-être vainqueur au second, le parti de Jean-François Copé vient donc de donner son « feu vert » à une alliance locale avec le traître François Bayrou ! Celui qui mettait plus bas que terre, en son temps, le président Nicolas Sarkozy. Celui qui appela à voter pour son rival François Hollande. Celui-là même qui fit illusion en 2007 avec 19 % au premier tour des suffrages à l’élection présidentielle et qui s’effondra à 9 % cinq ans plus tard, tout en dirigeant un Modem qui se vautre à toutes les élections avec une régularité de métronome.
Pourquoi ce feu vert ? Pourquoi sauver le soldat Bayrou ? Car malgré des sondages dont on sait trop bien ce qu’ils valent à quelques mois de chaque échéance électorale, pourquoi ne pas noyer définitivement l’infâme en se présentant contre lui au premier tour, puis en appelant – au mieux – à l’abstention au deuxième tour ? Au pire, même si le Béarnais devait l’emporter, l’honneur eût été sauf…
Oui, mais voilà, l’honneur, il n’y en a décidément guère plus à l’UMP qu’au Modem. Le calcul politicien est une valeur autrement plus considérée, à défaut d’y être considérable.
Si Jean-François Copé préfère remettre en selle un François Bayrou plutôt que de participer à son hallali, il y a tout lieu de croire que c’est pour trois raisons…
• Une raison immédiate : si Pau tombe, le PS perd symboliquement une grande ville, alors qu’on le donne possible vainqueur de Marseille et gardant Lyon et Paris, sans parler d’autres grandes villes…
• Une raison à moyen terme : quel sera le score du Front national ? On prédit qu’il va « casser la baraque » ; sans doute moins que beaucoup ne l’espèrent et plus que beaucoup ne le craignent… L’UMP doit donc apparaître comme le rempart incontournable, à droite et au centre, à la progression du mouvement de Marine Le Pen. Et qui dit rempart, dit rassemblement. Même avec le nain politique qu’est le Modem.
• Une raison, enfin, à long terme : Jean-François Copé n’a sûrement pas renoncé à ses ambitions présidentielles… Celles-ci pâtissent toujours dans l’opinion publique de l’image désastreuse du crêpage de chignon avec François Fillon… Si, au soir du premier tour, Copé apparaît comme l’homme qui a su et pu rassembler la droite parlementaire et les forces du Centre, il aura coupé l’herbe sous le pied de son rival et du « candidat naturel » Nicolas Sarkozy et reviendrait dans la course présidentielle.
Si Paris a bien valu une messe, voici fort longtemps, l’Elysée ne vaudrait-il pas alors un « feu vert » ?
Dominique Jamet a fustigé sur ce site les coco-traîtres qui « acceptent de passer sous les fourches caudines des grands frères socialistes et de trahir (leurs) idéaux pour quelques lentilles de plus »…
A Pau, Jean-François Copé a simplement passé commande pour quelques haricots…
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Il y a 5 ans disparaissait le Professeur Pierre Maurer.
Pieter Kerstens
Il y a 5 ans, le 19 janvier 2009, il a plu au Seigneur de rappeler à Lui son Fils
Pierre MAURER
Né le 22 mai 1924 à 75006 Paris
Externe des Hôpitaux de Paris en 1944
Interne des Hôpitaux de Paris en 1950
Chirurgien des Hôpitaux de Paris CHU en 1964
Membre de diverses sociétés savantes.
Il fut l’auteur de nombreux travaux cliniques sur les membres inférieurs et supérieurs.
Docteur en médecine à Paris en 1954
Chef de clinique de Chirurgie Orthopédique et Réparatrice en 1955
Maître de conférences, Agrégé en Orthopédie et Traumatologie en 1963
Assesseur de l’U.E.R de Cochin-Port Royal en 1968
Doyen de la Faculté de Médecine de Cochin-Port Royal en 1976.
Début 1973, il signe en compagnie de 600 personnalités, une adresse à S.M Elisabeth II contre les trafics des avortements vers la Grande-Bretagne, suite à la visite de la reine en France. Ceci, à l’initiative de « Laissez-les vivre. SOS futures mères ».
Il s’était éteint sereinement dans la certitude de sa Foi et la justesse de ses convictions.
Engagé volontaire dans la Brigade FRANKREICH en août 1944 (peu avant la Libération de Paris) et après une période de formation à l’Ausbildunsglager de Sennheim, il prêta serment de fidélité au Chancelier élu, Adolf Hitler, avec l’aide de Dieu, comme l’atteste une photo figurant au-dessus du texte de ce serment dans l’ouvrage de Jean MABIRE « La Brigade Frankreich » paru aux éditions FAYARD.
Après de durs combats en Poméranie, où sa compagnie fut décimée, il est décoré de l’E.K II pour sa bravoure et son comportement au feu. Il n’intégrera pas la Division Charlemagne et sera arrêté en 1945 et interné à la prison de FRESNE où il rencontra aussi d’autres « réprouvés ».
Le 26 mars 1979 il descend dans l’amphithéâtre de la Faculté de Cochin où se déroule une Assemblée Générale d’étudiants grévistes et déclenche une tempête médiatique en déclarant :
« J’ai été fasciste et je reste fasciste », ce qu’il confirmera le soir même devant les caméras de télévision et en précisant ses propos dans l’édition du 28/03/79 du journal « Le Monde » :
« Je ne reviens absolument pas sur ce que j’ai dit hier. J’avais pris une option politique qui consistait à considérer, d’abord, que lorsqu’on a des idées il faut aller jusqu’au bout et se battre.
J’ai risqué ma peau. Je me suis engagé dans la Brigade Frankreich et je me suis battu sur le front russe dans l’armée allemande. A la Libération, j’ai été arrêté. J’ai passé un an et demi à la prison de Fresnes. J’étais un soldat, pas un tueur. Je n’ai appris les horreurs qu’en 1945 ; je ne suis pas partisan d’une idéologie de destruction ou de massacre des populations. Quand je dis que je suis raciste, je veux dire que je suis pour l’élite, pour le petit nombre. Il m’est totalement indifférent que les gens qui travaillent avec moi soient d’une certaine race, s’ils font leur travail. Les arabes, les juifs, les jaunes, je les soigne, je suis très gentil avec eux. D’ailleurs, si on me demande mon opinion sur les affaires du Proche-Orient, actuellement je suis totalement pour les israéliens, parce qu’ils représentent ce que j’admire le plus : ce sont des hommes qui se battent et qui sont prêts à mourir pour leur cause. Pourquoi j’ai fait ces déclarations hier ? Parce qu’il y a trois ans, au moment de mon élection comme doyen, des tracts ont circulé sur mon passé. Il vaut mieux que tout se sache clairement. J’ai fait pour cette faculté le maximum et si j’ai pu le faire, c’est grâce à mes idées ».
Dans une édition ultérieure du Monde (29 ou 30 mars), une tribune « Libres Opinions » du Professeur MERLE d’AUBIGNE confirme la carrière exemplaire du Professeur Pierre MAURER et rend hommage à l’excellence de son enseignement ainsi qu’à ses talents exceptionnels d’organisateur au sein de la Faculté de Cochin-Port Royal
Un éditorial de François BRIGNEAU, paru dans MINUTE, rend fort justement hommage à ce qui fut le parcours politique d’un homme de convictions -mon beau-père- qui pour moi, fut un exemple.
Inutile de décrire ce que furent les suites de cette profession de foi, douloureuses durant les années suivantes, tant pour sa famille que pour ses proches mais pendant lesquelles JAMAIS il ne déclara que ce fut « une connerie ». Ses amis lui furent d’un soutien précieux et qu’ils en soient encore ici remerciés.
Poursuivi par les cloportes du « politiquement correct » et les hyènes du « devoir de mémoire », il fut acquitté par la Justice … à la stupeur générale !
Il consacra les 25 dernières années de sa vie à la cause des Alcooliques Anonymes en visitant régulièrement les hôpitaux et les prisons de la région parisienne afin d’aider les personnes désireuses de sortir du fléau de l’alcoolisme, sans compter et avec abnégation, jusqu’à son dernier souffle.
Homme de Foi, il pratiquait la religion et s’intéressait en permanence à l’évolution de l’Eglise Catholique en France et dans le monde, s’astreignant à des retraites dans divers couvents où il put trouver la sérénité.
« Quand était noire la nuit, quand la Nation était à l’agonie, tu as défié l’Histoire et dicté ta volonté au destin. Hier nous avons suivi tes pas ; aujourd’hui nous reprenons la route et tu marches avec nous ! »
Que le soldat de Poméranie reste vivant dans notre esprit et que le flambeau de son combat nous éclaire dans la lutte contre le Nouvel Ordre Mondial !
IN MEMORIAM !
13:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 18 janvier 2014
La Nouvelle Revue d'Histoire : la poudrière des Balkans...
10:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cruelle question...
10:04 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 17 janvier 2014
RAPPEL : samedi 18 janvier, réunion des Amis de Rivarol...
16:52 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Défense de nos régions : halte à l'hypocrisie !
Thomas Joly
Secrétaire général
du Parti de la France
Suite à l'évocation de la réduction du nombre de régions administratives françaises par notre inénarrable président de la République lors de sa conférence de presse soporifique du mardi 14 janvier 2014, on assiste à la même levée de boucliers que lorsque le rapport Balladur de 2009 abordait cette même idée.
Que les Français soient attachés à leur identité régionale est une excellente chose mais quelle exaltation soudaine pour la défense d'entités administratives - déjà pour la plupart négatrices des véritables provinces historiques - alors même que la souveraineté de notre Nation et l'identité française sont gravement menacées par le mondialisme politique et économique ainsi que par la colonisation migratoire, souvent dans une indifférence générale de la part des mêmes qui montent aujourd'hui au créneau.
Car qui est derrière ces associations comme « Touche pas à ma Picardie ! » relancée opportunément depuis jeudi dernier ? Des élus régionaux socialistes ! Hé oui, n'y voyez pas le moindre sursaut identitaire mais un réflexe pavlovien de gamellards qui craignent pour leurs prébendes. Ces parasites n'ont que faire de l'attachement à leur région mais se soucient uniquement de leurs rente et avantages d'élus locaux.
Plutôt que de se mobiliser contre des réformes administratives futiles et qui ne changeront strictement rien à leur vie, nos compatriotes seraient plus avisés de se dresser contre la submersion migratoire, l'insécurité toujours en hausse, la fiscalité délirante, la décadence institutionnalisée, les atteintes au droit à la vie et à la famille traditionnelle, la dictature socialiste et communautaire réduisant dangereusement la liberté d'expression, le mondialisme destructeur des Nations et de nos emplois, etc.
La résistance aux forces mondialistes doit être globale et totale, ne nous laissons pas entraîner dans de faux combats au détriment de celui qui passe avant tous les autres : la reconquête de notre Nation et le droit des Français à rester maîtres chez eux !
16:50 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
PAUVRE FRANCE !
Pauvre France, comme aurait dit Jean Lefebvre en son temps.
Voilà un ministre d’origine espagnole (il a été naturalisé en 1982, voici 30 ans, quelle ascension politique vertigineuse !) qui poursuit avec acharnement de son ire un Français d’origine camerounaise, pour défendre l’honneur des Français d’origine juive. Et les bons Français de souche, comme on dit, dans tout cela ? Ils contemplent ébahis ce spectacle étrange en se demandant dans quel pays nous vivons et dans quelle époque. Voilà où mène une politique d’immigration incontrôlée qui débouche inévitablement sur un communautarisme où chaque communauté hérissée et constamment sur la défensive cherche à défendre bec et ongles son fief plutôt que de se fondre dans l’ensemble français.
Certes, l’antisémitisme est une bien vilaine chose et l’incitation à la haine raciale mérite d’être condamnée. Tout le petit peuple politique qui frétille de concert, à droite comme à gauche, en est bien d’accord et applaudit Monsieur Valls des deux mains. D’ailleurs les lois Gayssot et Pléven y pourvoient amplement, Dieu merci.
Mais fallait-il pour autant poursuivre l’ennemi avec une telle hargne jusque dans les coulisses d’un spectacle soit disant humoristique. L’emploi d’un marteau pilon pour écraser une mouche est-il recommandé ? La lutte contre l’antisémitisme n’est-elle pas en train de virer à l’hystérie ?
Au demeurant, et ces manifestations hautement médiatisées ne vont-elles pas aller exactement à l’encontre du but recherché et conférer, un comble, l’auréole du martyre à un petit personnage de la planche qui ne mérite guère cet honneur ? Au surplus, l’anti sémitisme, latent depuis toujours dans certaines couches de la société française, va-t-il sortir laminé de cette épreuve ou bien au contraire, renforcé par cet acharnement et cette écrasante démonstration de force de l’Etat ?
A moins qu’il ne s‘agisse dans l’esprit de Valls et de ses séides tout bonnement et tout simplement d’un petit et minable exercice de diversion destiné à faire oublier aux Français les échecs d’une politique stupide et la misère du temps présent . Il est vrai qu’il s’y ajoute maintenant les polissonneries du président de la République qui fait la une de la presse étrangère et de la France la risée de l’Europe. Après le temps du dédain, celui du mépris est-il venu ?
J’ai, pour ma part, découvert le nom de Monsieur Dieudonné il y a quelques jours seulement, preuve que je ne me tiens pas suffisamment au courant de l’actualité culturelle (sic) de mon pays. Ce qui est à proprement parler une honte. J’en rougis encore. Au surplus, je ne connais évidemment pas son spectacle dont je n’ai vu que des extraits sur internet. Mais le peu que j’en ai vu ne m’inciterait nullement à me déplacer et payer quelques 40 euros pour le voir. Quant à la célèbre « quenelle », désormais considérée comme une insulte mortelle à la mémoire du peuple juif tout entier, je dois confesser que j’en étais resté à une recette lyonnaise d’accommoder le brochet de nos rivières. Je ne pourrai plus consommer de poisson sans haut-le-cœur. Mais cette confession publique ne va-t-elle pas me conduire devant les tribunaux ? Je m’interroge avec angoisse.
Mais sur le fond, était-ce une raison pour faire de cette minable affaire tout un plat au sortir des Fêtes. La France n’a-t-elle pas d’autres problèmes plus urgents avec un chômage qui monte qui monte, une désindustrialisation que s’accélère que de poursuivre un « black » à l’humour déjanté. Dans quel pays vivons ? Est-il besoin de mobiliser des centaines de gendarmes pour contenir la foule « immonde », bien sûr, des spectateurs « voyeurs » en quête divertissements interdits comme on l’a vu sur les écrans. Qui a vu Emmanuel Valls fortement encadré de policiers et gendarmes casqués et cuirassés comme les chevaliers teutoniques du Moyen Âge invoquer les yeux au ciel les traditionnelles valeurs de la République ne peut manquer d’être estomaqué par son aplomb C’est de la provocation bien-pensante pure et dure.
On remarquera, au passage, que pour les biens pensants de gauche, leurs adversaires sont toujours « immondes » et leurs propos « nauséeux ». Tout est dans le choix des mots. C’est devenu une épithète homérique au même titre que « l’aurore aux doigts de rose ou Achille aux pieds légers ». Les fans de Dieudonné sont ainsi devenus pour la presse du jour au lendemain des skin heads et des voyous fascistes. Pas moins.
Par ailleurs, la justice brandie et manipulée à sa guise comme une marionnette par le Ministre de l’Intérieur ne sort pas non plus grandie de cet épisode. La défense des grands principes, c’est bien, c’est beau. Mais, au minimum, à condition que les juges soient d’accord entre eux. Or c’est loin d’être le cas. Que penser d’un référé acquis en quelques heures, en urgence, et en contradiction flagrante avec la décision du tribunal administratif obtenue quelques heures auparavant à 400 kms de Nantes. Qui a tort et qui a raison ? Les questions de droit ne devraient se jouer à pile ou face, ou à la roulette russe. Ou alors nos magistrats ne sont vraiment pas sûrs de ce qu’ils font.
Cette décision acquise à la hussarde a-t-elle vraiment bénéficié de la pondération et de la réflexion que mérite ce genre d’arrêt ? Une procédure d’urgence est quasi forcément une procédure douteuse. La France était-elle vraiment mise en danger par le spectacle de Monsieur Dieudonné, dont d’ailleurs Monsieur Valls rappelle à tout propos que son nom complet est M’bala M’bala, comme pour mieux souligner ses origines africaines. Ce qui constitue une forme de racisme verbal particulièrement perverse. Racisme anti africain contre racisme antisémitisme, quelle belle confrontation à évoquer devant les tribunaux.
Et cela au moment où le président de la République, dont la cote ne cesse de dégringoler dans les sondages, est en train sournoisement de changer de maîtresse (alors que l’ancienne, selon ce qu’on en dit, est toujours associée à l’Elysée) et se balade nuitamment en scooter, garde de corps sur le siège arrière, pour retrouver sa belle. Le président socialiste en aura fait voir de belles à la République. Qui aurait cru ce que ce gros balourd aux allures d’éléphant et aux yeux de cocker ait pu déployer tant de charmes et ensorceler une ravissante journaliste ? Il est vrai que les lambris dorés de l’Elysées méritent bien quelques sacrifices. « Paris vaut bien une messe » disait déjà le futur Henri IV. Et Louis XV n’est pas loin. Mais on doit se rappeler que la révolution française a suivi de près ce genre de turpitudes amoureuses sur fond d’échec économique général.
A ce propos, il faudrait rappeler à l’attention de notre président bien aimé, qui invoque sans cesse, non sans une bonne dose d’hypocrisie, le respect de sa vie privée, que lorsque l’on exerce une fonction élevée, en fait la plus élevée de la République, comme c’est son cas, il n’y a plus de vie privée comme un quelconque citoyen lambda. Car au- delà du respect dû à la personne, il y a le respect de la fonction assumée, la plus élevée dans l’organigramme de la république élue, fonction qui requiert un minimum de dignité.
Mais les socialistes ont toujours su plier les grands principes à leur guise dans le sens voulu, quand cela les arrangeait. Et d’ailleurs qu’attendre d’un président qui a fait voter le mariage gay comme une priorité républicaine bien sûr ? Jusqu’où va-t-il aller dans la turpitude ? Va-t-il vraiment l’intention de se constituer un harem de jolies femmes en excipant des mœurs de l’Islam pour s’autoriser ce genre de licence ? A près de 60 ans, ne serait-il pas temps de se calmer et de mettre au repos une exubérante activité sexuelle, ne serait-ce que pour un temps. ? A moins de finir comme le regretté président Félix Faure qui a fini ses jours dans les bras d’une belle amie. Mais, à l’époque, le président n’avait guère qu’un rôle purement représentatif.
Si Monsieur Valls, tel Saint George pourfendant le dragon s‘imagine qu’il va recueillir un surcroit de popularité avec ce genre de démarche, il est à craindre qu’il ne se trompe lourdement. La probabilité de devenir Premier Ministre puis de se lancer dans la course aux présidentielles avec quelques chances de succès risque fort de comme neige au soleil. Cet homme, qui avait ses chances, n’est-il pas en train de les galvauder par un excès de zèle qui ne réjouira que ses ennemis. Et il n’en manque pas, dit-on, surtout au sein du PS. Car il risque fort d’apparaître comme le représentant attitré d’un Etat policier à vocation répressive. Qu'il prenne garde. Il faut d’ailleurs garder à l’esprit la façon dont il a su réprimer à coup de matraque les manifestants opposés au mariage gay
En fait nous sommes clairement en présence d’une contradiction flagrante entre grands principes, ou deux idéologies les unes et les autres brandies à tout propos pour écraser l’adversaire sous le poids de la honte et assoir sa légitimité sur une base renforcée.
D’une part, il y a la lutte contre le racisme, dont on peut d’ailleurs se demander si elle n’est pas plutôt devenue une arme incapacitante à usage politique qu’une conviction enracinée, et de l’autre, la liberté de parole et d’expression constamment attaquée par un pouvoir qui supporte de moins en moins la contradiction. En effet, ce pouvoir n’est pas voulu et soutenu par Dieu, qui n’est plus à la mode, non plus par l’Histoire, mais le communisme n’est plus de saison, mais tout bonnement par son interprétation des valeurs de la République, qui varie au fil des ans et selon leur besoins.
En face, leurs adversaires, ou leurs victimes, invoquent le principe de la liberté d’expression de plus en plus malmenée dans notre pays. La France est en train de devenir un pays où l’on ne peut plus rien dire, même en riant, au risque d’offusquer un des facettes multiples de la mosaïque des communautés ethniques constituées au fil des ans par une politique d’immigration aveugle et massive. Et voilà que l’on voit la fable de l’arroseur arrosé en train de se jouer sous nos yeux.
Car c’est précisément une des fils de cette immigration qui s’en prend malignement à la communauté juive. Car diaboliquement malin, il a trouvé là un bon filon à exploiter. Et cela se comprend. Aujourd’hui, le principe de la liberté de parole demeure, mais en principe seulement. Car le voilà mis à mal par la récente jurisprudence du Conseil d’Etat qui a été souvent mieux inspiré dans le passé..
Il est invoqué en effet, comme il est traditionnel, pour justifier une l’atteinte à l’ordre public. A vrai dire, cette atteinte n’était guère illustrée par les images d’une foule fort paisible dans l’attente du spectacle promis cernée par une accablante présence policière bardée de cuir et armée de matraques .
Mais le plus grave est ailleurs. Voilà que le Conseil d’Etat, dans ses attendus, invoque les atteintes potentielles à la dignité de la personne humaine pour interdire un spectacle qui n’a pas encore eu lieu. Qu’on le veuille ou non, avec une définition aussi vaste et aussi floue, l’on atteint ici un sommet d’arbitraire administratif et juridictionnel. La censure pour délits d’intention est au coin de la rue. Le justice serait-elle aussi aux ordres ? Il serait bien surprenant que la Cour européenne de Droits de l’Homme, si elle est saisie, ne prononce pas une condamnation sans équivoque de la France.
Au surplus, il n’est pas du tout démontré que Monsieur Valls puisse longtemps se frotter les mains de son triomphe qui va sans doute se transformer tantôt en une victoire à la Pyrrhus. Il est toujours dangereux en France de s’attaquer au droit de rire, seul droit qui reste au Français en période de désolation économique et de perspectives plombées. Même sous le régime de Vichy, abhorré de toutes parts, les Français avaient néanmoins le droit de rire, au moins de rire jaune. Et il est aujourd’hui question de le leur confisquer sous le vague prétexte de la défense des droits de l’homme. Qui a bon dos. Que Monsieur Valls et son gouvernement de fantoches prennent garde à un retournement de l’opinion publique qui a tendance, à tort ou à raison, à prendre parti pour l’opprimé contre l’oppresseur armé de toutes les forces de l’Etat.
« On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’assoir dessus » disait déjà Talleyrand.
* Yves-Marie Laulan est l’ancien secrétaire national pour les questions économiques du RPR. Il préside l’Institut de Géopolitique des Populations.
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Avant le 26 janvier, il y aura le 19 janvier : MOBILISATION GENERALE...
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Ce soir, sur Méridien zéro :
Méridien zéro RBN cliquez ici
10:20 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 janvier 2014
80e anniversaire du 6 février 1934 : colloque de l'Action française en Provence
18:12 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La révolte qui gronde : un tas de fumier déposé devant l'Assemblée nationale...
Une cargaison odorante a été déposée jeudi devant l'Assemblée nationale. Un camion, sur lequel était inscrit le slogan "Hollande et toute la classe politique dehors!", a déversé jeudi matin un gros tas de fumier devant le bâtiment, a constaté un journaliste de l'AFP. Le conducteur du camion, qui a déchargé sa cargaison odorante quai d'Orsay, sous les colonnes du Palais Bourbon, a été interpellé et conduit au commissariat du VIIème arrondissement, a-t-on appris auprès d'un des services de l'Assemblée.
Au bout de quelques minutes, peu avant 11H00, des forces de police et de gendarmerie entouraient le camion et le tas de fumier.
Juste au moment où l'action se déroulait, l'AFP a reçu un mail de l'adresse stephaneguantte@gmail.com : "En ce moment même... un Français vient de manifester sa colère devant l'assemblée nationale! Hollande, ça suffit! C'est le message qu'il a voulu faire passer et dont le président se souviendra longtemps".
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Le vrai visage de la LICRA
Anne Kling, lors de la Table ronde de Terre et peuple de novembre 2011
17:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JSS News continue de balancer des données personnelles sur le net dans l’indifférence totale
C’est une mésaventure qui aurait bien pu mal se terminer dont a été victime le fondateur du site Numerama.com : Guillaume Champeau. Il a vu sa photo et son adresse mail diffusée avec sa profession sur le site de JSS News. Il aurait fait une quenelle dans l’ancien quartier juif de Vaison la Romaine devant la plaque « la juiverie »…sauf que ce n’est pas lui, peut-être un homonyme ? Heureusement, pour lui, ça n’a eu aucune incidence mais pour les autres ?
Cela fait depuis novembre que le fondateur du site JSS News : Jonathan-Simon Sellem balance des données personnelles en révélant l’identité de personnes effectuant la quenelle. Mieux, il appelle à donner des informations, ce que j’appelle de la délation pure et simple. Bref, il mène sa petite vendetta personnelle. C’est devenu son travail à plein-temps. Adresse mail mais aussi scan du permis de conduire se sont retrouvés sur le net en libre consultation. Mieux, JSS News contacte les employeurs pour réclamer leur licenciement comme s’il pouvait se croire tout permis. Il ne s’agit pas de délation car, à leurs yeux, ils sont coupables donc ils sont dans leur droit. Jonathan-Simon Sellem assure qu’il ne cible que les prioritaires soit 1500 sur 8500 tout en assurant que tous les quenelliers seront identifiés. D’ailleurs, certains, qui ont été dénoncés, faisaient juste une quenelle devant un supermarché ou une banque. Comprenons qu’il agit seul et qu’il n’entend pas passer par la voie de la justice qu’il trouve trop lente. Bien sûr, il se dédouane de tout acte de violence que pourrait commettre la LDJ pour se venger. Il n’est pas responsable. Trop facile !
Le cas de ce journaliste, qui ne peut même pas porter plainte car le site est basé en Israël, montre toutes les dérives de cette « vendetta » personnelle sans aucun cadre légal. La police se serait d’abord assurée que ce soit la bonne personne avant d’agir. Cette traque, dont nous avions déjà parlé, est en place depuis novembre et continue. Si le député Meyer Habib, qui veut faire adopter une loi pour pénaliser la quenelle, n’est pas d’accord avec ses méthodes, on n’entend aucun politique sur ce sujet qui demanderait d’agir d’urgence. Les médias se font plutôt silencieux. Or de tels agissements sont graves car elles pourraient avoir de lourdes conséquences sur les gens. On est dans un état de droit et non de la loi de la jungle. Demain n’importe qui pourra-t-il donc se permettre de balancer des données personnelles de personne qu’il considèrera comme coupable ? Imaginez ce que cela donnerait. Il y a une justice et ce n’est pas pour rien. Cela pourrait même créer du trouble à l’ordre public mais chut…Valls est moins pressé d’agir. Il n’y a pas une justice JSS News et une justice française. Assistera-t-on à des scènes de lynchage ? Pourquoi aucun politique n’agit ? Attendent-ils qu’un drame se produise ? Ces méthodes sont révulsantes et sont loin de servir la communauté juive. Elles doivent cesser le plus vite possible.
JSS News a présenté ses excuses au journaliste mais assure que c’est sa première erreur soit une marge d’erreur de 0,50%…comme s’il fallait se donner bonne conscience alors que c’est totalement illégal. Cela n’empêchera pas le site de continuer qui assure que cela ne se reproduira pas mais qui peut l’assurer ? Jonathan-Simon Sellem assure aussi avoir le soutien des époux Klarsfeld mais ceux-ci n’ont pas confirmé. On attend toujours une condamnation de ces actes graves et illégaux de la part de la classe politique !
11:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La NDP soutient la manifestation "Jour de colère" du dimanche 26 janvier
La Nouvelle Droite Populaire soutient la manifestation « Jour de colère » du dimanche 26 janvier.
François Hollande essaie de nous faire croire tout et n’importe quoi. Il ne sait plus quoi inventer pour cacher l’état lamentable dans lequel notre pays est tombé.
En réalité, François Hollande n’est ni libéral, ni socialiste, il est encore moins social-démocrate ou patriote comme il le prétend ; François Hollande n’est qu’un petit mondialiste servile qui mène, tout comme ses prédécesseurs, une politique soumise aux ordres de la haute-finance planétaire.
Cela, les Français sont de plus en plus nombreux à s’en rendre compte, ils sont aussi de plus en plus nombreux à ne plus pouvoir le supporter. Voilà pourquoi ils ne croient plus dans les carabistouilles de la classe politique. Voilà aussi pourquoi ils seront nombreux le dimanche 26 janvier prochain sur le pavé parisien pour manifester leur légitime colère.
Site de la NDP cliquez ici
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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mercredi, 15 janvier 2014
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3123
du 9 janvier 2014
HOLLANDE, mais si, vous le connaissez. Il paraît qu’il est président de la République. C’est lui qui s’était permis une petite blague, le 16 décembre devant le Crif qui fêtait ses 70 ans (ça, c’est un anniversaire qu’il n’aurait pas oublié, contrairement à Noël !) Il s’est autorisé une petite blague de rien du tout mais qui a enchanté les kippas. Il s’est félicité du fait que le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, était rentré d’Algérie « sain et sauf ». « C’est déjà beaucoup », avait-il ajouté. Fureur des Algériens qui n’ont absolument pas apprécié son humour et menacent la France des pires sévices commerciaux. Brillant, le pingouin !
HOLLANDE A (FAILLI) OUBLIER SES VOEUX DE NOËL AUX FRANÇAIS CHRÉTIENS
Mais revenons à Hollande, confronté à la fête de Noël qui est, paraît-il, une fête importante pour les chrétiens de France. A 16 heures, le 25 décembre, toujours pas de vœux de Noël du chef de l’Etat, alors qu’il se précipite pour honorer les fêtes musulmanes et juives. Pas question de tarder dans leur cas. Un lourd soupçon d’islamophobie ou d’antisémitisme pourrait planer sur lui ou du moins le soupçon d’une indifférence qui qualifierait une sécheresse de cœur plus que condamnable en ces périodes où les propos et les actes nauséabonds se multiplient, comme nul ne l’ignore. La preuve, il y a deux fois plus de juifs français que de juifs américains pour faire leur alya et se réfugier en Israël. Bref, le président de la République avait oublié de présenter ses vœux. Les réseaux sociaux avaient commencé à se déchaîner. In extremis, le concubin de la Présidente Trierweiler a, en toute fin d’après-midi du 25 décembre, sans doute alerté par un conseiller, consenti à envoyer un petit message. Nadine Morano a estimé qu’il s’agissait d’une « nouvelle bourde » du chef de l’Etat, ajoutant : « On a attendu, attendu… Pas un message de l’Élysée pour Noël. Le mépris de nos traditions en dit long ». La sénatrice UMP des Français à l’étranger, Joëlle Garriaud-Maylam, s’est même posé la question de savoir si ce n’était pas « au nom de la laïcité » qu’il avait, dans un premier temps, négligé de le faire. Une laïcité bien comprise, évidemment, qui concerne en priorité les catholiques… Bref, nous n’avons pas fini de nous amuser (ou de nous indigner) avec ce ridicule politicien.
LE CRIF VEUT EXTERMINER LA QUENELLE
Le Crif se réjouit bien sûr des paroles martiales proférées par le chef de l’Etat qui s’était exprimé récemment à la réunion annuelle du Crif et où il s’était couché comme une carpette devant les exigences de l’officine (lire le dernier éditorial de Jérôme Bourbon), pratiquant une flagornerie qui nous amenait à avoir honte pour lui, et surtout pour la France. Dans un article paru sur le site du Crif, on lit l’inquiétude de l’organisation face à la “viralité” du phénomène de la quenelle. La “viralité” ?… Et comment guérit-on d’une maladie virale, telle la quenelle ? Par de puissantes médications qui vous abrutissent, par l’isolement dans un asile, comme à l’époque soviétique, voire avec une petite lobotomie. Et si ça ne marche toujours pas, une piqûre de camphre ou une douche au Zyklon B devrait faire l’affaire. Bref, le Crif a décidé de prendre en main le combat contre la quenelle, « en vedette dans la presse, révélant la contamination galopante qui s’empare, si rien n’est fait pour endiguer le phénomène, de cerveaux fragiles et acculturés. » et l’officine ajoute (lisez bien attentivement car c’est un chef-d’œuvre dans son genre) : « L’heure de la pédagogie bienveillante est dépassée. Il est trop tard pour mener une campagne d’édification historique vis-à-vis de ceux qui exécutent le geste de la quenelle dans un dessein objectivement antisémite. Ceux-là sont de l’autre côté du miroir républicain. » La quenelle est devenue, paraît-il, « un phénomène de grande ampleur ». Pensez : un Arbre de la Laïcité planté en 2012 à Angers, déjà coupé deux fois, a été rebaptisé « Arbre à quenelle » dans la nuit du 14 au 15 décembre 2013. Il est vrai, selon le site de l’organisation juive, qu’il y aurait à Angers « un foyer d’infection soralien ». Mais c’est digne du Stürmer, le journal allemand violemment antisémite de Julius Streicher qui usait abondamment de ce vocabulaire ! Et attention, il y en a d’autres dans le collimateur ! Marine Le Pen qui a refusé de se prononcer sur la nature de la quenelle, Beatrice Bourges, leader du Printemps français et de la Manif pour tous qui évoque l’auteur de Blake et Mortimer, la main posée sur l’épaule. Elle demande sur Twitter si ce n’est pas lui l’auteur de la quenelle et s’il ne faudrait pas le censurer… L’heure est grave, selon le Crif, qui donne maintenant des ordres au Président : « Si François Hollande veut réellement endiguer ce phénomène, il va devoir faire preuve, avec le gouvernement, d’une volonté politique sans faille. Compte tenu de la situation, si François Hollande entend vraiment (“vraiment”, ça signifie qu’il faudrait que le pingouin se réveille) engager la lutte contre la propagation de la quenelle nauséabonde, il n’a plus d’autre choix que de recourir à une stricte application de la loi pénale, à des fins d’exemplarité et de dissuasion. Et si cela ne suffit pas, il faudra porter un projet de loi qui réprimera toute connotation antisémite patente du geste de la quenelle. C’est à ce prix, en affichant une fermeté implacable, en frappant pénalement les auteurs, que l’on en terminera avec ce fléau. La République n’a pas à prendre de gants avec ceux qui veulent la détruire de l’intérieur. » Ces gens sont décidément d’une insupportable arrogance. Mais ils ont peur. Et ils ont raison d’avoir peur. Les digues sont en train de s’effondrer… Ah, au fait, le Crif vient d’intimer l’ordre à la police (Manuel Valls) et à la justice (Christiane Taubira), ainsi qu’à tous les media, de considérer que le geste de la quenelle était un salut nazi inversé, et rien d’autre. Ce sont vraiment des malades, de très grands malades. Faut-il pour autant les euthanasier ? La réponse est clairement “non”, RIVAROL étant opposé à l’euthanasie.
L’INSUPPORTABLE “POLICE JUIVE DE LA PENSÉE”
« La police juive de la pensée » est une formule due à l’historienne Annie Kriegel, juive elle-même, ancienne communiste, dont les ouvrages sur le Parti Communiste font autorité. Je l’ai connue il y a 30 ans. J’avais organisé dans le cadre du club Forum d’Alsace, le club d’opposition le plus important d’Alsace que je dirigeais dans les années 1980, un dîner-débat avec Annie Kriegel au côté du professeur François-Georges Dreyfus, à Strasbourg. Elle me confia : « Ils en font trop, beaucoup trop ». Comme Manuel Valls, qui s’en prend à Dieudonné, le menaçant des pires supplices. Le ministre de l’Intérieur, cornaqué par le Crif, a décidé que la “quenelle” était un salut nazi inversé. Une pure imbécillité. Il s’agit évidemment d’un geste, pas très élégant certes, qui signifie « je lui en ai glissé une ». Même Jean-Yves Camus, chercheur médiatisé, spécialiste des extrémismes en Europe, juif lui-même, déclare au magazine Inrocks : « Pour moi, il s’agit d’abord d’un gros fuck au système ». Oui mais ces fous furieux ne l’entendent pas ainsi. Le président de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), Alain Jakubowicz, vient de déclarer : « Il s’agit d’un geste correspondant au salut nazi inversé, signifiant la sodomisation des victimes de la Shoah ». Mais jusqu’où iront-ils dans le délire ? Dieudo a évidemment porté plainte. Mais Manuel Valls veut la peau de l’humoriste. Il déclare que certes « la liberté d’expression est sacrée », oui mais pas pour Dieudonné qui, dit-il, « ne fait plus rire personne », sauf bien sûr les deux millions de personnes qui ont visionné ses sketchs sur youtube. Du coup, il veut faire interdire les spectacles de Dieudonné, en cherchant à les assimiler à des meetings, qui peuvent « provoquer de sérieux troubles à l’ordre public » et demande aux préfets de sévir. Les « troubles à l’ordre public », pilotés par les officines ont au demeurant commencé à Lyon où six racailles de la Ligue de Défense Juive ont violemment agressé de paisibles quenelleurs qu’ils avaient repérés sur internet. Pour une fois, saluons la réaction du numéro deux du FN, Florian Philippot, que nous n’avons pas ménagé dans ces chroniques. Il estime « qu’interdire des spectacles d’un humoriste est une dérive » et se moque du ministre de l’Intérieur en disant « L’humoriste, c’est Valls ». Bien vu ! En attendant le footballeur Nicolas Anelka, à l’image de centaines de milliers de Français, a apporté son soutien à son ami Dieudonné en commettant une magnifique quenelle sur un stade anglais, après avoir marqué deux buts. Lui aussi est menacé de sanctions par le système. Mais trop tard. Les digues ont explosé. La colère du peuple gronde. Vive la quenelle !
JEAN-MARIE LE PEN, FOU DE RAGE CONTRE MARINE ET SON ENTOURAGE
Jean-Marie Le Pen ne veut en aucun cas que le Front national change de nom. Mi-décembre, Marine, cornaquée par son entourage dont Florian Phillipot, avait estimé que cette question n’était « pas un tabou ». Fureur du Menhir qui, selon l’agence Reuters, n’a pas de mots assez durs pour dénoncer une telle initiative : « C’est complètement débile, c’est scandaleux, c’est indécent », et “ impensable”. Il n’a certes pas entièrement tort. Mais qui hélas a donné le parti à sa benjamine et à ses amis, préférant pour cela se séparer de ses compagnons de route les plus fidèles et les plus désintéressés et ouvrant ainsi la voie à l’abandon des fondamentaux du programme frontiste ?
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Serge Ayoub parle :
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SOURIEZ : CE N’EST PAS LA CRISE POUR TOUS !
Les résultats de la vente aux enchères le 12 novembre 2013 chez Christie’s à New York se sont élevés à plusieurs centaines de millions d’€uros.
Quel particulier, société, association ou administration publique peut aujourd’hui encore se permettre de débourser 142 millions de dollars pour un triptyque de Francis Bacon, intitulé « Trois études de Lucian Freud » ? Ou 83 millions $ pour un diamant rose de 59 carats, adjugé chez Sotheby’s ?
La crise financière et bancaire visiblement n’a pas affecté tout le monde avec la même rigueur.
Christie’s, encore, a proposé aux enchères 443 fûts (228 litres/pièce) lors de la 153e vente des Hospices de Beaune, dont les prix ont augmenté de 20% par rapport au record historique de 2012.
Selon le dernier rapport annuel sur la richesse mondiale publié par Capgemini, le « club des millionnaires » (en dollars), qui avait perdu 2 millions de ses membres, pour ne plus compter que 8.600.000 d’élus à fin 2008, s’est étoffé à 12 millions dans le monde à fin 2012.
Concernant les « riches » (plus de 30 millions de dollars) ils sont passés de 78.000 à 111.000 entre 2008 et 2012 (soit + 50% !). A eux seuls, ils détiennent maintenant 35% des richesses de la planète…
Retenons que si les avoirs des 8,6 millions de millionnaires (en dollars) avaient fondu de 20% en 2008 et ne s’élevaient plus qu’à 41.000 milliards de dollars, ceux-ci se chiffrent à 46.200 milliards $ à fin 2012, soit quand même 12% de mieux pour les 12 millions de nantis. Et 2013 se présente comme un cru exceptionnel pour le club des milliardaires qui aurait engrangé des plus-values fantastiques.
Alors que la secte des affairistes de la charité harcèle sans cesse notre portefeuille pour une aide financière en faveur des sinistrés, des affamés, des nécessiteux et des oubliés du monde entier, une seule ponction de 1% sur les avoirs ci-dessus (462 milliards $) éradiquerait la famine en Afrique ou règlerait le problème des laissés pour compte en Haïti, ou des populations déplacées en Jordanie, en Turquie ou en RDC et ce, pour les décennies à venir.
En s’adressant aux 1.426 milliardaires qui possèdent 5.400 milliards de dollars, on pourrait régler une fois pour toutes les effets mortels du paludisme et du choléra au niveau de la planète, par exemple.
L’Afrique compte quant à elle 55 milliardaires (dont 55 au Nigéria, 9 en Afrique du Sud et 8 en Egypte) pour un total de 144 milliards $…mais on n’en parle pas trop.
La Chine (qui compte quand même 400.000 millionnaires) dispose de réserves de change considérables, outre son matelas de près de 1.400 milliards de dollars d’obligations américaines, accumulées depuis le début du XXIe siècle.
Ce pays, (tel que cela avait été confirmé par un article de J.Stroupe, dans l’Asian Times du 19/3/2009), se déleste toujours en douce de ses dollars, les transfère discrètement à des fonds ou des sociétés d’état, pour acheter, depuis plusieurs années, des ressources minières et pétrolières, des entreprises agro-alimentaires sur tous les continents et des terres arables essentiellement en Amérique du Sud et en Afrique.
Précisons aussi que les Fils du Ciel, raflent des matières premières stratégiques à tour de bras, partout dans le monde, et constituent des stocks en prévision du futur, …comme des écureuils. L’objectif de Pékin étant de réduire massivement son exposition au cours du dollar à un an au plus.
Erik Berglof –chef économiste à la BERD- avait estimé le 15 juin 2009, que « le pire de la récession est à venir », ce à quoi Nelly Kroes –commissaire européenne à la concurrence- en a rajouté une couche en déclarant que « les banquiers réalisent qu’il y a toujours quelque chose de pourri dans le placard » et que « l’on n’était pas au bout des conséquences de cette récession ! ».
Fin 2013, on n’a toujours pas vu le bout du tunnel en Europe et 2014 s’annonce assez lugubre.
C’est pourquoi les riches achètent des œuvres d’art uniques et les chinois des mines de cobalt en Afrique ou des vignobles en France !
NDLR :
Pieter Kerstens a collaboré à la rédaction du livre L'effondrement du Système publié au Bouquins de Synthèse nationale.
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14:18 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES SONDAGES DE TOUS LES REJETS. La défiance générale n’épargne plus personne
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Il parait qu’il n’y a pas de Système . Pour les Français il y en a un et ils le rejettent totalement. Les journalistes et leurs amis politiciens ont beau s’agiter, le rejet monte. On fait tout pour qu’il ne débouche pas sur des transgressions de tabous. L’affaire Dieudonné en est une illustration.
Comment ne pas remarquer, alors que la presse avait salué la victoire de Valls et de sa stratégie d’homme fort de la république et de présidentiable acceptable de la gauche et à la droite, qu’il perd 7 points. Ce n’est peut-être pas une quenelle, mais c’est une sacré gamelle. Les Français n’ont pas apprécié l’utilisation d’une censure d’exception pour défendre la dignité et les libertés. La défiance est générale avec une déprime qui frôle le rejet violent. Voila ce que confirme un sondage annuel signé « sciences po ».
Les Français n'ont plus confiance ni dans la droite, ni dans la gauche. Ils trouvent qu'il y a « trop d'immigrés » et pensent qu'il est devenu plus dur de réussir. Il y a globalement un virage identitaire avec un penchant toujours plus marqué pour les thèses europhobes et anti-immigrés.Le « dégoût » pour la politique habiterait désormais 31 % des Français (23 % en décembre 2010). 36 % éprouvent de la « méfiance » et 1 % seulement « du respect ».
Invitées à décrire leur état d'esprit, les 1 800 personnes interrogées parlent de « morosité » (34 %), de « lassitude » (31 %). D'ailleurs, 72 % estiment que les jeunes ont aujourd'hui moins de chances de réussir dans la société que leurs parents. Le désenchantement est criant à l'égard des responsables politiques. Pour 87 % des personnes interrogées, ils se préoccupent peu ou pas du tout de leur avis, une progression qui semble inexorable depuis quatre ans (on était à 81 % fin 2009). Seul le maire, dont la côte ne cesse de se redresser depuis 2010, inspire majoritairement confiance (61 %). L'institution présidentielle (31 %) et le gouvernement (25 %) continuent de voir la confiance en eux s'éroder. La côte de confiance des partis politiques (11 %), des médias (23 %) et des syndicats (28 %) étant au plus bas, rien de surprenant à ce que 69 % des sondés (15 points de plus qu'un an auparavant !) jugent que la démocratie française ne fonctionne pas bien. Ils ne sont plus que 35 % à penser que l'appartenance de la France à l'Union européenne est « une bonne chose ». Pour 32 %, c'est « une mauvaise chose » et pour 32 % encore, « une chose ni bonne ni mauvaise ».67 % pensent qu’il « y a trop d'immigrés en France », 18 points de plus qu'il y a quatre ans, tandis que 50 % (+ 18 points là aussi) affirment qu'il « faudrait rétablir la peine de mort ». Rien d'étonnant donc, à ce que le Front national représente l'opposition autant que l'UMP (36 % chacun).
La popularité de Marine Le Pen, cependant dans différentes enquêtes, connait une baisse. Les journalistes l’attribuent bien sûr à l’effet Dieudonné. Il faut peut-être chercher ailleurs. La volonté de dédiabolisation et d’intégration au Système en le dénonçant partiellement de l'intérieur connait sans doute ses limites. Le rejet n’épargne plus un parti qui ne veut plus être transgressif et qui finalement paye sa normalisation, un effet Dieudonné peut être mais pas celui que l’on croit.
Avec cinq points en moins par rapport à décembre chez TNS Sofres (25%) et Opinion Way (27%) et quatre points en moins chez Ipsos (29%), la baisse de la présidente du FN dans les sondages de janvier est importante, même si l'institut CSA lui accorde un score stable. Tous les instituts de sondage donnent en décembre ou janvier Marine Le Pen en baisse par rapport à septembre ou octobre : moins huit points chez TNS Sofres, Opinion Way et Ipsos, moins six points chez l'Ifop, moins quatre points pour CSA. Marine Le Pen a préféré sur Rtl évacuer le sujet: « Ce qui m'intéresse, c'est de regarder les sondages des municipales ».
Nous aussi.
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Vaincre l'impopularité ?
11:23 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 janvier 2014
La mission de cet hiver de Solidarité Kosovo dans les enclaves chrétiennes du... Kosovo
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Le site de la Nouvelle Droite Populaire change d'adresse :
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Le Parti de la France soutient la Marche pour la Vie
du Parti de la France :
Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer le dimanche 19 janvier 2014 à la 9ème Marche pour la Vie.
Carl Lang et Le Parti de la France considèrent en effet comme des valeurs non négociables le respect des droits de la personne humaine et la protection de la Vie de la conception à la mort naturelle.
Carl Lang et les dirigeants du Parti de la France seront présents comme chaque année à ce défilé et appellent les responsables politiques attachés à la défense de nos valeurs de civilisation à soutenir cette manifestation.
10:10 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 13 janvier 2014
RETOUR SUR UNE MANIPULATION EXEMPLAIRE...
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Le 5 juin 2013, l’Hexagone et sa quintessence fétide, le complexe politico-économico-médiatique (ou CoPÉM) entraient dans une transe hystérique. Un jeune étudiant à Sciences Po Paris de 19 ans, Clément Méric, venait d’être assassiné par des S.A. sortis du plus sombre passé de l’histoire. Très vite, tels des chiens bien conditionnés de Pavlov, les médiats accusèrent un service d’ordre informel, les Jeunesses nationalistes-révolutionnaires (JNR), une formation politique, Troisième Voie (TV), et un homme, Serge Ayoub, d’être à l’origine de ce décès. À la suite d’une incroyable et démente campagne de presse, le gouvernement de fait qui met en coupe réglée la France au nom des banksters transnationaux décide de dissoudre les JNR, TV et même l’association « Envie de Rêver » qui s’occupait du Local 92 dans le XVe arrondissement de Paris. Pendant plusieurs années, chaque jeudi s’y déroulait une conférence de haute tenue. Mais la pluralité intellectuelle des intervenants contrastait trop avec l’uniformité obligatoire imposée par le CoPÉM.
C’est sur le déroulement des faits précédant la mort de Méric et l’incarcération d’Esteban et de Samuel que Serge Ayoub revient dans cet ouvrage au ton posé et relevé. Face à la tempête et « le dos au mur, il ne nous restait alors qu’une seule posture : nous battre, et rester debout face à la tourmente (p. 4) ». Cette affaire leur valut de graves répercussions. « Plusieurs de mes amis et moi-même avons perdu nos emplois (p. 16). » Contre ce tintamarre médiatique, « il faut […] voir ce livre comme l’expression indispensable d’une autre version, celle des mis en examen (p. 4) ». Serge Ayoub rappelle la chronologie des événements, démontre les incohérences de la « thèse officielle » répandue par les médiats, et relate ses cinq heures d’interrogatoire par des « policiers à la mémoire sélective (p. 16) ».
Délires gouvernementaux et antifas
Mais il ne se contente pas de revenir sur ce drame; il examine avec soin ses développements politico-médiatiques. Serge Ayoub s’indigne principalement de l’action délétère que jouent les « antifas » dans le désordre public actuel. Sa position sur la violence est imparable : « Quant à la violence, s’il est vrai que mes camarades et moi sommes prêts à nous défendre en cas de force majeure, nous savons aussi qu’il faut éviter toute espèce d’affrontement physique avec l’extrême gauche antifa, tant par conscience du risque judiciaire que par intérêt politique (p. 24). » D’ailleurs ce ne sont pas les militants de TV ou des JNR qui miment l’avortement du Christ dans une église la veille de Noël ou qui urinent sur le portrait du président ukrainien. En revanche, c’est toute une mouvance pathogène, complice du pouvoir en place, qui s’agite ainsi. Les hiérarques socialo-rosâtres vivent dans la hantise d’un complot de l’extrêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêême droite et craignent le coup d’État quotidien. D’où leur attitude vindicative, en particulier celle du squatter de Matignon, « ce Jean-Marc Ayrault, aux manières obséquieuses d’un maître d’hôtel vous détaillant un menu alors que la cuisine est vide, se pique à présent de jouer au hussard (p. 70) ». Il faut dire que le PS reste un exemple de vertu civique, exempt du moindre scandale politico-financier, du sang contaminé, des trucages électoraux internes (élections primaires) et externes, etc.
L’auteur explique que les antifas avaient dans leur viseur inquisitorial Esteban et sa compagne Katia qui militaient pour la cause animale. En perte de vitesse, les antifas cherchent à infiltrer et à politiser de nouvelles luttes dont la protection animalière. « Pour les antifas, tous les animaux doivent être encartés à gauche ! (p. 22) »
En vérité, « les antifas ne sont pas des gens qui luttent contre le système. Celui-ci les protège. Du système, ils sont en vérité les alliés objectifs. Il y a en eux tout ce qui fonde l’esprit néo-conservateur de gauche ou de droite : raisonnement manichéen en termes de Bien et de Mal, mépris de la question sociale et conviction qu’on peut tout se permettre. Les antifas modernes et les néo-conservateurs ont d’ailleurs en commun la même origine : le trotskisme, dont une des devises est “ Leur morale et la nôtre ”. Autrement dit, la fin justifie tous les moyens (pp. 43 – 44) ». Ce sont en outre « des révolutionnaires avec un traitement de fonctionnaire. Couverts par un système qu’ils prétendent combattre, ils se comportent en supplétifs des RG, fichant, dénonçant la moindre maladresse de ceux qui ont le tort de ne pas être de leurs idées (p. 80) ». En effet, « défenseur d’une culture hors-sol, les antifas modernes ont une défiance spontanée vis-à-vis du réel (p. 36) ». Bref, leur combat n’est « qu’un conformisme radical et une rébellion autorisée (p. 30) ». De là, « la confrontation entre l’homme ancien, Esteban, et Clément Méric, l’homme nouveau, se trouve être aussi un télescopage entre l’étudiant bourgeois et le travailleur (p. 38) ». Car, si Clément Méric était un fils de bonne famille (parents universitaires), Esteban, fils d’immigrés, est, lui, un prolétaire.
Naufrage du journalisme
Si le CoPÉM s’est souvent tu sur les origines sociales respectives des protagonistes, c’est parce que Méric était l’un des siens, un parfait produit de la reproduction consanguine d’une oligarchie anti-française. Tel un Pierre Mazeaud avorté du nom de ce politicien gaulliste qui militait dans sa jeunesse chez les anars avant de travailler à Matignon au cabinet de Michel Debré, Clément Méric aurait fini – une fois le diplôme de l’ENA en poche – dans un ministère, fort d’un passé signifiant en références dociles. Voilà pourquoi la culpabilité d’Esteban « seule est convenable pour l’ordre moral actuel. […] Un nationaliste est par essence coupable, puisqu’il remet en cause l’ordre profondément antinational de notre société moderne (p. 55) ».
Outre les politicards faillis, la grande responsabilité de l’intoxication revient aux journalistes, ces forces d’occupation mentale. Certes, Serge Ayoub le reconnaît volontiers, certains d’entre eux ont fait correctement leur travail : Éric Zemmour, Dominique Rizet de BFM TV, Aziz Zemmouri du Point. Les autres ont surtout désinformé l’opinion. « Quand les journalistes écrivent sous la dictée de la police, leur journal ne peut plus s’appeler Libération, mais Pravda. En trois mots le journalisme devient bête, méchant, et en plus, content (p. 52). » Pis, ces journaleux ,« tels des clones succédant à d’autres clones, n’ont aucune imagination. Ils réduisent la vie en société à noir ou blanc, à bien ou mal, classe, pas classe, gentil, pas gentil (p. 29) ». Ces esprits binaires « sont convaincus de vivre dans le meilleur des mondes possibles. S’il en existe un autre, c’est celui des salauds (p. 28) ». Ils virent dans ce drame un effet immédiat des grandes manifestations populaires contre la légalisation futile du mariage inverti. Ces tartuffes de pacotille instrumentalisèrent cette affaire afin de condamner toute opposition considérée comme « homophobe » à ce projet stupide. Pour Serge Ayoub, « un militant gay, c’est cela : un homme de gauche qui n’a pas d’autres problèmes dans sa vie que sa sexualité, et qui en fait donc son unique combat (p. 61) ». Les féministes avaient déjà politisé leur vagin. Maintenant, sous prétexte de lutter contre le racisme, l’homophobie, le sexisme, la transphobie, le trop froid, le très chaud, « nous vivons sous un régime de terreur invisible, de parole réduite, d’exclusion sociale (p. 83) ». Nos modernes pisse-copies sont les fidèles larbins de ce totalitarisme implicite.
Il faut comprendre que « la grande ambition de ces petits journalistes est bien souvent d’intégrer Canal + et de prendre beaucoup d’argent sur la chaîne la plus vulgaire de France, qui fait l’essentiel de sa programmation sur le cul, le foot et les people (p. 28) ». Quant à la justice, maints de ses membres obéissent servilement aux Diktat des médiats et des politicards. Les magistrats rouges existent vraiment ! Sinon pourquoi l’enquête sur les assassins de Yann Lorence n’avance-t-elle pas ? Si Esteban avait été tué, cette mort serait passée inaperçue. Souvenons-nous de la disparition de Sébastien Deyzieu en 1994 (sous Pasqua) et du meurtre en 2006 (sous Sarközy) de Julien Quémeneur par un flic plus tard révoqué.
Passivité frontiste
Revenant à l’affaire Méric, Serge Ayoub s’étonne du peu de réactions contre cette récupération honteuse par les antifas. Pour l’occasion, le Front national (FN) en quête de dédiabolisation cosmétique a manqué de courage alors qu’« il fallait sauter sur l’occasion, pour montrer à l’opinion ce qu’est vraiment la diabolisation de nos idées : une somme de mensonges organisés (p. 92) ». L’auteur se dissocie clairement de ce parti électoraliste parce qu’il sait que « la politique est une guerre, pas un casting ( p. 97) ». Il avoue son populisme, car « c’est le peuple qui est le véritable ressort du changement. Quand il le décide, il est le maître dans son pays (p. 97) ». Nullement fasciste – le fascisme étant une doctrine désormais bien éculée –, il s’affiche solidariste et rajoute même qu’il est hyper-républicain. Sur ce plan, il serait capable d’en remontrer à Manuel « le Chimique quand même ». Serge Ayoub et l’actuel ministre de l’Intérieur, chargé des Cultes mais aussi de l’Humour autorisé et de la Gastronomie (tout disposé à proscrire la quenelle, la banane et l’ananas ?) admirent Georges Clemenceau dont le portrait figurait en bonne place sur les murs du Local 92. Mais l’ancien maire « quenelleur » d’Évry le savait-il ?
Cet ouvrage est le témoignage d’une victime collatérale qui n’a pas l’habitude de se laisser faire et qui, au nom du peuple français, s’assume en ennemi implacable du CoPÉM, d’où sa sulfureuse réputation dont il se moque bien parce que Serge Ayoub est d’abord et avant tout un homme libre aux idées franches.
• Serge Ayoub, L’affaire Clément Méric. Du fait divers au scandale politique, Éditions du Pont d’Arcole, postface de Me Nicolas Gardères, Paris, 2013, 123 p., 15 €.
NDLR :
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21:34 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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VAUDEVILLE A L’ELYSEE...
Le Bloc-notes
de Jean-Claude Rolinat
Sous les ors d’un Palais de la République, et non pas sous les lambris d’une bonne scène de théâtre, c’est à une version renouvelée d’une pièce de Labiche ou de Feydeau à laquelle nous venons d’assister.
En catimini, le Président quitte sa tanière dorée pour se rendre, ça ne s’invente pas, rue du Cirque à quelques encablures de l’Elysée pour faire, sans doute, quelques galipettes avec une jeune célébrité du petit et grand écran…. Qui l’eut cru ? Notre actuel Chef de l’Etat n’a pourtant rien d’un jeune premier, son look nous fait plutôt penser à un employé de banque ou à un courtier en assurances – au demeurant professions honorables – plutôt qu’à celui d’un bellâtre, dragueur impénitent. Eh bien, il ne faut pas se fier aux apparences. Il est vrai que ce séducteur a déjà collectionné quelques belles dames : Ségolène et Valérie sont encore de bien belles plantes, même si l’une des deux est une plante verte… de rage ! Comment « Monsieur petites blagues » fait-il pour prendre d’aussi pimpantes créatures, y compris sa dernière conquête, dans ses filets ? A-t-il, comme le chante Dutronc, quelque chose de spécial, qui fait « crac, boum, hue »… ?
Espérons, en tout cas, que notre François ne termine pas sa carrière prématurément comme feu le Président Felix Faure. Il lui reste encore trois ans avant la fin de son mandat et nous avons encore envie de rire (jaune) !
NDLR :
Le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela édité aux Bouquins de Synthèse nationale.
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17:55 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
CELINE - LUCHINI A PARIS
13:51 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |