mardi, 28 janvier 2014
On avait oublié de vous parler de la (fugace) prestation des Femen dimanche dernier... vites remballées par leurs employeurs.
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Hollande limite la casse... à l'Elysée
07:06 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FN : la politique de « respectabilité » a ses limites
Gabrielle Cluzel
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C’est un sondage IFOP pour le Journal Du Dimanche qui l’annonce : aux élections européennes, le FN arriverait en tête avec 23 %, devant l’UMP à 21 % et le PS à 18 %. Un résultat en léger recul par rapport au mois d’octobre (24 %), mais un score potentiel sans précédent pour le FN, qui n’avait fait que 6,3 % aux dernières européennes et qui n’est jusqu’ici jamais arrivé en tête d’une élection nationale. Un score comme un coup de tonnerre dans le landernau politique, expliquant sans doute les escapades de Valls, au fait de toutes ces choses bien avant tout le monde, dans les villes susceptibles de « basculer ». Faute de circonscrire l’incendie pour les européennes, tentons au moins de sortir la grande échelle pour les municipales.
Un score qui serait tout à la fois le fruit d’un climat porteur – immigration, insécurité, mondialisme, mainmise de l’Europe, collusion des élites, défiance envers les médias, jamais les thèmes portés par le Front national n’ont trouvé autant d’écho dans l’actualité – et du travail de dédiabolisation entrepris depuis l’accession de Marine Le Pen à la tête du parti.
Tous les voyants seraient donc au vert pour le FN ? Pas si simple. Des signaux d’alerte clignotent ici et là pour un parti sur une ligne de crête. Car ces résultats sont à rapprocher d’autres sondages récents (TNS SOFRES, OpinionWay , IPSOS, IFOP et CSA ) qui eux font tous état d’une baisse significative (entre 4 et 8 %) de la popularité de Marine Le Pen. Le climat porteur, lui, étant bien là, le problème viendrait de la dédiabolisation. Pour certains, elle ne fonctionnerait pas à plein. Pour d’autres, au contraire, elle fonctionnerait… trop bien.
C’est cette dernière analyse que le baromètre de la vie politique du CEVIPOF, dont les morceaux les plus brûlants ont été publiés par Valeurs actuelles, semble valider : les Français s’y révèlent profondément défiants envers l’État, les partis politiques, les médias… et même contestataires, 61 % d’entre eux se disant prêts à descendre dans la rue.
Et si Marine Le Pen, en cherchant à se rapprocher des Français, n’allait en fait que les croiser, en sens inverse ? Elle, sur le chemin de la dédiabolisation, eux, sur celui de la radicalisation ? Si, comme le disait l’analyste politique Alba Ventura, dans sa chronique du 23 janvier sur RTL, la politique de respectabilité atteignait ses limites ? Si « le FN n’apparaissait plus comme un parti anti-système » et, ce faisant, perdait en lisibilité : « On n’a pas vu [Marine Le Pen], par exemple, manifester contre le mariage homo. Elle s’est déclarée très choquée par Dieudonné. Elle dit partout avoir des “idées sociales”. Elle ne veut pas qu’on la classe à l’extrême droite. Cela fait des mois qu’on ne l’a pas entendue parler d’immigration, de sécurité ou de frontières. Elle ne fait plus référence à l’ordre et à l’autorité. » Elle défend pour Hollande un droit à la vie privée, quand les Français aspirent à un président parfaitement probe.
Et ce FN que Marine Le Pen entend débarbouiller au Kärcher ne déstabilise pas seulement les électeurs… il y a aussi les candidats. Les récentes déclarations, par exemple, d’un Florian Philippot sur l’IVG ont semé le trouble parmi les « conservateurs », présents en nombre sur des listes municipales parfois difficiles à boucler. Si, hypothèse extrême, ils s’avisaient tous de tirer leur révérence à quelques jours des dépôts de candidature, ce serait pour le FN un scénario catastrophe.
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La Voix de la Russie de cette semaine :
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Pourquoi le Jour De Colère a été un succès politique
Jour de colère cliquez ici
Le Jour de Colère est un succès, et en premier lieu un succès politique, car il a posé publiquement la seule question qui intéresse aujourd’hui plus de 80% des français, qui désapprouvent l’action de François Hollande à la tête de l’Etat. Cette question a aujourd’hui sa réponse : la mise en œuvre de l’article 68 de la constitution donne pouvoir au parlement, réuni en Haute Cour de justice, d’engager la procédure de destitution du Président de la République.
Cette disposition constitutionnelle soulève à la fois des espoirs et des interrogations. Espoirs pour le peuple, interrogations pour la représentation nationale. En effet, le dernier baromètre CEVIPOF du 13 janvier 2014 a révélé que 87% des français ne font plus confiance à leurs élus. Or la constitution prévoit que c’est à eux, députés et sénateurs, qu’est confiée la responsabilité de mettre en œuvre la procédure de destitution.
La France vit donc aujourd’hui une crise politique extrêmement grave, où les citoyens désavouent massivement à la fois le chef de l’Etat et la classe politique. Le Jour de Colère adresse son ultimatum à cette minorité, protégée et complice, de droite comme de gauche : soit elle respecte le peuple souverain et met en jeu, de ce fait, ses privilèges et ses avantages, soit elle refuse de l’écouter et creuse alors plus profondément le fossé qui la sépare des électeurs. Les élus seront-ils responsables ou autistes ?
Pour les aider à faire ce choix, Béatrice Bourges se tient depuis hier soir à proximité de l’Assemblée Nationale afin de leur expliquer la responsabilité qui pèse sur eux au nom du peuple français. Elle a a été rejointe aujourd’hui dans son jeûne par une autre militante du Jour de Colère, qui a décidé faire entendre ce message à ses côtés. Le sens de ce jeûne est d’obtenir de la représentation parlementaire qu’elle réponde à l’appel. Il suffit pour cela que des élus fassent preuve de responsabilité et abordent avec résolution la saisine que le peuple leur demande. Le Jour de Colère va lancer une pétition en ce sens.
Dans bien des pays, l’intervention des citoyens pour contrôler le travail des élus est une réalité. En 2003, le Gouverneur de Californie a été chassé de son poste par un vote sanction des Californiens. Dix ans plus tard, le pouvoir socialiste semble préférer l’insurrection… en Ukraine. Le Ministre des Affaires Etrangères a apporté son soutien aux émeutiers de Kiev.
En fera-t-il autant pour les Français en colère ?
C’est précisément cette politique du « deux poids-deux mesures » que les Français ne supportent plus : la taxation des PME, mais la gabegie de l’Etat, le racket fiscal des ménages, mais l’entretien des maîtresses présidentielles sur les fonds publics, les rafles policières pour délit d’opinion, mais l’impunité des délinquants…
Pour éviter que la situation ne s’aggrave, François Hollande doit partir.
06:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 janvier 2014
Après la Journée de la colère, un communiqué du Renouveau français...
Un communiqué du Renouveau français :
Le Renouveau français se félicite du succès de la grande manifestation qui eut lieu ce 26 janvier pour exprimer le vaste ras-le-bol suscité par François Hollande et son gouvernement.
Des dizaines de milliers de Français se sont retrouvés, en dépit du silence médiatique total, du boycott des partis et d’un temps hostile, et ont fait montre de leur détermination face à un pouvoir sourd aux appels du peuple, soucieux uniquement d’imposer ses lubies idéologiques et de plaire à ses maîtres.
Le RF témoigne de son soutien à Béatrice Bourges dans son jeûne de protestation et félicite les organisateurs de ce « jour de Colère », qui doit être une étape vers le grand coup de balai nécessaire.
Il condamne et dénonce les inadmissibles exactions dont s’est à nouveau rendue coupable la police politique de Manuel Gaz, qui ne sait plus opposer que coups de matraques et censures arbitraires face aux opposants au gouvernement.
Enfin, le RF invite les Français en colère à s’intéresser toujours plus aux causes de la situation présente, qui ne découle pas soudainement de la dernière élection présidentielle – aussi calamiteuse fût-elle -, et se tient à disposition de ceux qui veulent traduire leur colère et leur révolte légitimes en un indispensable engagement politique, vers une révolution salvatrice !
Source cliquez ici
17:49 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Témoignages sur les événements d'hier soir :
Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici
A l’issue de la manifestation "Jour de colère", dimanche 26 janvier, 262 personnes ont été interpellées et 250 placées en garde à vue. Un véritable record qui s’explique très facilement. Suite à l’ordre de dispersion lancé à 18h05, toutes les voies de sortie ont été bloquées par les forces de l’ordre à 18h10, empêchant ainsi la foule de sortir rapidement de la place Vauban. Dans le même temps, les forces de l’ordre utilisait des gaz lacrymogènes sans sommation, prétendument pour accélérer l’évacuation de la foule.
La présence massive de "policier en civils", sans insignes permettant de les identifier mais reconnaissables à leurs oreillettes, comme ce fut le cas lors des manifestations contre la loi Taubira, aurait été, selon de nombreux témoins, la première cause de désordre puisque ces policiers ont pour but de provoquer les manifestants afin de les amener à avoir un comportement violent.
Un témoin raconte la scène hier soir vers 18h* :
"Quittant difficilement la manif par l’avenue de Villars, à hauteur du 12, au travers d’un barrage filtrant de CRS et gendarmes, j’ai vu et entendu un commandant arriver vers ce barrage et dire à ses hommes :"allez maintenant on y va !". Incroyable, car a ce moment, les intervenants étaient toujours en train de témoigner au micro et la foule les écoutait calmement.
Mais au même moment j’ai vu un groupe d’hommes en noir sans signes distinctifs, passer "amicalement"ce barrage policier, arriver au contact de la foule et se retourner pour attaquer fictivement les CRS…"
Un autre lecteur me signale que ces provocations étaient bien programmées :
"En effet, au début de la manif, place de la Bastille, il y a eu plusieurs fouilles de personnes qui arrivaient sur place, par des CRS. Sur quels critères pourquoi ceux-ci et non pas ceux-là, je ne sais pas. Comme je demandais au CRS, pourquoi ces fouilles, il m’a été répondu que cette manifestation était "très hétéroclite… et qu’il me conseillait de quitter rapidement la manif, une fois que celle-ci serait terminée. Je n’ai pas compris tout de suite ce que cela voulait dire mais, rétrospectivement, il m’apparait que les CRS savaient, à 14h30, qu’il se passerait quelque chose, à la fin de manif. Pourquoi m’avoir prévenu ? C’est une autre question."
* Témoignages parus sur Le Salon beige
NDLR :
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17:39 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
17 000 ? Laissez nous rire...
12:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MERCI MANUEL VALLS !
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Alors que les media aux ordres s’émerveillent devant les prouesses indiennes de la répudiée Trierweiler, une femme courageuse, Béatrice Bourges, entame à Paris une grève de la faim…
Alors que ces mêmes media s’extasient devant les quelques milliers de manifestants qui, naïfs ou stipendiés, en Ukraine essayent de faire pression pour que leur pays se suicide en se jetant sous le carcan de Bruxelles, à Paris les forces de répression bastonnent à tour de bras les patriotes à l’issue de la Journée de colère…
Alors que ces mêmes forces de répression s’évertuent à pourchasser quelques farceurs qui, compte tenu de la chape de plomb que le Système a fait tomber sur nos libertés, se fendent parfois d’une téméraire quenelle, partout en France l’insécurité, malgré les statistiques fantaisistes du gouvernement, ne cesse d’augmenter…
Alors que ce même gouvernement ressasse tous les trois mois que la fin de la crise est pour demain, chaque jour le nombre des entreprises qui déposent le bilan ou qui sont reprises par des multinationales apatrides s’accroit, expédiant par milliers les travailleurs vers l’incertitude du chômage…
L’obsession de Manuel Valls est donc de condamner « avec la plus grande fermeté les violences contre les forces de l'ordre commises par des individus, des groupes hétéroclites, de l'extrême et de l'ultradroite, dont le but n'est que de créer du désordre en n'hésitant pas à s'en prendre avec violence aux représentants des forces de l'ordre». On croit rêver… On nous l’a tellement sorti celle-ci qu’on pourrait presque dire que c’est beau comme de l’Antique.
Le seul problème c’est que tous ceux qui étaient hier soir dans le quartier de la Place Vauban savent que Manuel Valls raconte n’importe quoi. Ils ont pu constater que ce ne sont pas manifestants « d’extrême droite » qui ont provoqué les violences que l’on sait. Ce qui a provoqué ces violences, c’est bel et bien le zèle de la police qui s’est empressée de disperser, quelques minutes à peine après que les organisateurs en aient donné la consigne, les milliers de patriotes présents à coups de matraques, de jets de grenades fumigènes et d’interpellations arbitraires.
Mais ne soyons pas mauvais joueurs… Ce que Manuel Valls n’a pas pigé en donnant l’ordre de disperser par la violence cette manif de dimanche et en faisant arrêter plus de 250 personnes, c’est que, depuis hier soir, partout en France, des milliers de jeunes Français prennent conscience de la fragilité du Système moribond dont il est le servile larbin et que ces milliers de jeunes Français sont en train de basculer dans les rangs de la Résistance nationaliste… Voilà pourquoi finalement nous ne remercierons jamais assez Manuel Valls…
NDLR :
Pour comprendre pourquoi nous assistons à L'effondrement du Système : un livre collectif publié aux Bouquins de Synthèse nationale.
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Jour de colère dans Paris
Gabrielle Cluzel
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Dimanche, de la Bastille aux Invalides, c’était Jour de colère. Alors ils sont tous venus, la carpe et le lapin, de Sarcelles à Versailles, avec leur colère en bandoulière, sous une pluie assortie à leur humeur. 17.000 selon la police, 160.000 selon les organisateurs. Des organisateurs que personne ne connaît. Car aucun parti politique, aucun mouvement d’envergure, ni bonnets rouges ni LMPT, n’a appelé à manifester. Le succès n’en est que plus inattendu, déconcertant, inquiétant… À cette manif un peu foutraque, pas de « tenue correcte », ni de carton d’invitation exigé à l’entrée. On y vient dans son jus, comme on est, avec la pancarte qu’on s’est bricolée sur un coin de table. Suffit d’être en colère. C’est le principe.
Beaucoup de jeunes, énormément de jeunes. Derrière la banderole « lycéens et étudiants en colère », il y a les Hommen. Une trentaine de jeunes gens marchent symboliquement enchaînés par un homme casqué en scooter… Au-dessus de leur pantalon coloré, ils sont torse nu, certains grelottent, mais ils crient pour se tenir chaud. Dans la foule qui marche, les slogans sont souvent drôles, parfois graveleux, actualité oblige. Hasard de manif, des mères de familles cathos marchent derrière un « Pendant que la France part en c… Hollande promène les siennes ». Si vous croyez que ça dérange les petites dames… La respectabilité, le bon goût, l’impression que l’on va faire au 20 h sur les médias de bon aloi, on finit par s’en battre les roupettes, justement. Parce que quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, on aura toujours tout faux. Parce que même en mettant un tutu rose, en faisant les pointes devant la caméra, en ayant l’air jeune, sympa, sexy et ouvert d’esprit, on sera toujours un facho. Parce que quand la maison brûle, on ne fait pas taire le p’tit gars qui crie « au feu » avec vous, sous prétexte qu’il mettrait ses coudes sur la table ou aurait fait une quenelle au lycée.
Car des quenelliers, il y en avait quelques-uns. Et même des quenelliers « de la diversité ». Mais quel était donc le ciment de cette manif bigarrée ? Quel était donc l’improbable point commun entre Renaud Camus, Christine Boutin, des militants LMPT et des aficionados de Dieudonné venus de la banlieue ? La détestation de Hollande, bien sûr… Et surtout une immense soif de liberté d’expression. Quand un jour l’étau se sera desserré – s’il se desserre un jour –, n’ayez crainte, tout ce monde-là se remettra sur la gueule. Mais en attendant, ils partagent leur colère. Hollande, au moins, aura réussi ça. Le « vivre ensemble » pour des populations aux antipodes. La cohésion négative. Aux fenêtres des « beaux quartiers », comme dit Aragon, des électeurs d’Anne Hidalgo leur font parfois des « doigts ». Puis rentrent en fermant soigneusement les rideaux. Comme si cette colère qu’ils méprisent leur faisait vaguement peur.
À l’arrivée, place Vauban, les orateurs n’en sont pas. Mais dans leurs discours, ils déballent leurs tripes… Le chômage, l’exclusion, la famille persécutée, les impôts. La mère de famille succède à l’étudiant, le chômeur au petit patron. Hollande ne veut pas les entendre ? Eux ne veulent plus le voir. Il faut qu’il parte. Démocratiquement. Avec l’énergie un peu folle du désespoir. Car ils croient avoir trouvé la faille, le biais, l’issue de secours : l’article 68 de la Constitution qui permet aux deux Assemblées d’engager la procédure de destitution du président de la République pour « manquement grave ». Et pour convaincre les députés, Béatrice Bourges entame une grève de la faim au Mur pour la Paix, sur le Champ-de-Mars. Jusqu’au départ de Hollande. Portée par la colère de ces milliers de manifestants.
À 18 h, l’ordre de dispersion est lancé. À 18 h 10, les forces de l’ordre bloquent les avenues donnant sur la place et balancent les premiers gaz lacrymogènes. Pour apaiser la colère, sans doute ? Les grands médias, eux, n’ont rien vu, rien entendu. Quelle manif ? Quelle colère ? Préfèrent parler du dîner de gala à Bombay de madame Trierweiler que du jeûne de madame Bourges.
09:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
25 000 tracts pour Synthèse nationale distribués pendant la manif...
Malgré la pluie nous avons distribué tout au long de l'après-midi 25 000 tracts de Synthèse nationale appelant à la lutte contre le mondialisme.
De nombreux manifestants sont venus spontanément nous proposer leur aide. Synthèse nationale a ainsi pu juger sa grande popularité auprès des Français en colère.
Merci à tous ceux qui nous ont donné un coup de main.
Le tract de Synthèse nationale cliquez ici
Photo Le nouveau NH
NDLR :
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09:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Stade de Santiago du Chili, septembre 1973 ? NON ! Cela se passe à Paris le 26 janvier 2014 !
08:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 26 janvier 2014
La vérité sur l'affaire Méric serait-elle en train de percer...
Comme nous l'avions soutenu depuis le début cliquez ici, la version officielle de l'"affaire Méric", du nom de ce gauchiste qui avait malencontreusement trouvé la mort en juin dernier alors qu'il participait à une agression contre des jeunes patriotes, ne tenait pas debout. Aujourd'hui, les experts chargés de trouver les raisons de la mort de ce malheureux semblent, c'est le moins que l'on puisse dire, perplexes.
La vérité, petit à petit, est en train d'apparaître... Mais Esteban et Samuel, eux, sont toujours en prison.
Synthèse nationale
Le quotidien Le Monde vient de publier l'article suivant :
Il n’a plus le crâne rasé, mais (…) les éléments de l'enquête en sa faveur n’ont convaincu les juges de mettre Samuel Dufour, l’un des deux sympathisants d’extrême droite soupçonnés d'avoir porté des coups mortels à Clément Méric, en liberté sous contrôle judiciaire.
Vendredi 24 janvier, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a décidé du maintien en détention de cet apprenti boulanger de 20 ans, huit mois après la mort de Clément Méric, étudiant à Sciences Po de 20 ans et militant antifasciste lors d’une rixe l’ayant opposé, le 5 juin 2013, avec des amis de la même mouvance, à plusieurs jeunes skinheads, à la sortie d’une vente privée de prêt-à-porter dans le 9e arrondissement de Paris.
La cour présidée par Marie-Anne Chapelle s’est fondée sur deux des réquisitions de l’avocat Jean-Louis Lecué qui craignait un « trouble à l’ordre public » et a réclamé, « pour les nécessités d’une instruction » qui n’en était encore « qu’à ses débuts », le maintien des « différentes parties à l’abri de toute pression ».
« NOTRE CLIENT N’A JAMAIS FRAPPÉ CLÉMENT MÉRIC »
« Nous comprenons mal cette décision, a déclaré Me Julien Fresnault, conseil de M. Dufour avec Me Antoine Vey. Il est maintenant établi que notre client n’a jamais frappé Clément Méric. M. Dufour n’a pas de casier judiciaire et était inconnu des services de police et de justice avant le drame, et il a des garanties de représentation. »
En rémission d’une leucémie depuis dix-huit mois, Clément Méric, 1 mètre 80 pour 66 kilos, avait fortuitement croisé, le 5 juin 2013, avec ses amis antifascistes, des sympathisants des mouvements d’extrême droite Troisième voie et Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) – dont Samuel Dufour et Esteban Morillo, vigile intermittent de 20 ans.
Ces derniers ont toujours affirmé avoir été attaqués par les « antifas ». Depuis le drame, les compagnons de Clément Méric soutenaient qu’Esteban Morillo et Samuel Dufour étaient armés de poings américains. Ce qu’ils ont toujours farouchement réfuté.
DEUX AUTRES SKINHEADS MIS EN EXAMEN
Placés en détention provisoire peu après les faits, MM. Dufour et Morillo ont été mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». M. Morillo a immédiatement reconnu avoir frappé M. Méric « deux fois » au visage « à mains nues » tandis que M. Dufour a toujours assuré ne l'avoir « jamais eu face à lui ». Dans cette affaire, deux autres skinheads de 23 et 25 ans sont également mis en examen pour « violences volontaires en réunion » et une femme de 32 ans pour complicité de ce chef. Ils sont libres sous contrôle judiciaire.
M. Dufour espérait bénéficier dès vendredi du même régime. Le 16 janvier, la juge d’instruction chargée du dossier avait en effet ordonné sa libération sous contrôle judiciaire. M. Dufour jurait depuis le début de l’enquête n'avoir jamais porté de coup à Clément Méric et – en dépit des affirmations répétées de deux amis de ce dernier – n'avoir pas été armé d’un poing américain.
Il avait en revanche été interpellé avec une bague en métal blanc à tête de cochon, une autre en métal à tête de mort portant des traces rougeâtres. Mais les expertises ont révélé qu’il ne s’agissait pas de sang et que l’ADN de Clément Méric n’y figurait pas.
PERPLEXITÉ DES EXPERTS
Par ailleurs, lors d’une audition le 4 novembre 2013,
Matthias Bouchenot, 24 ans, ami de Clément Méric interrogé sur la possibilité qu’aurait eu M. Dufour – avec lequel il a lui-même échangé des coups –, de frapperM. Méric, avait finalement répondu : « Non, je dois être honnête, il a été en face de moi durant tout l’affrontement. »
Les expertises médicales n’ont pas permis d'établir si une arme avait été utilisée contre Clément Méric. « Les lésions faciales ne permettent pas de préciser si la victime a été frappée à poings nus ou s’il a été utilisé des objets métalliques contondants de type bague ou poing américain, dit le rapport. Ce type d’arme laisserait cependant et probablement des traces superficielles beaucoup plus importantes. ??? »
Les points d’interrogations témoignent de la perplexité des experts… Selon le dossier résumé par la présidente Chapelle, les examens médicaux précisent en outre qu’une ponction lombaire subie par M. Méric peu avant les faits – et ayant occasionné des maux de tête – « ont pu favoriser le saignement intracrânien » provoqué par les coups et la chute fatals à la victime. Samuel Dufour, comme Estaban Morillo, demeure donc pour l’heure en prison.
Source Le Monde cliquez là, via Solidarisme cliquez ici
NDLR :
Le livre de Serge Ayoub, L'affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique, est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici
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23:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Au moment de la dispersion pacifique de la manif, les forces de répresssion de l'oligarchie agressent les manifestants présents...
Selon nos informateurs sur place, les forces de répression du sinistre Valls reprendraient ce soir leur vieilles habitudes, à savoir tabasser, tabasser et encore tabasser... Pendant que les media aux ordres ne cessent de nous casser les oreilles avec les 2 000 stipendiés qui sèment le désordre en Ukraine, à Paris ce soir, c'est la jeunesse française qui subit la violence du régime.
NDLR :
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22:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JOUR DE COLERE : PARI REUSSI
Michel Dantan
Le nouveau NH Cliquez ici
Ceux qui les attendaient au tournant avec l’espoir que leur manifestation ferait un flop en seront pour leur frais. C’est en effet plusieurs dizaines de milliers de manifestant qui sont venus battre le pavé parisien ce dimanche pour clamer haut et fort leur colère contre le gouvernement et sa politique, mais surtout le système qui lui permet d’exister. Et ce en dépit des trombes d’eau qui durant tout le parcourt jusque tard en fin d’après midi se sont déversées sans discontinuer sur la capitale. Pari tenu pour les organisateurs donc, car il n’était pas écrit d’avance que des catholiques traditionalistes de Civitas, des soutiens à Dieudonné, des identitaires de toutes tendances, des militants du Printemps Français, des anti-mariages gays, des membres d’associations de commerçants et d’artisans, des militants de mouvements patriotiques divers marcheraient au coude à coude pour faire la démonstration que la rue n’étaient pas la chasse gardée des seuls profiteurs du Système. La contestation se trouve bien aujourd’hui du côté des patriotes, et a déjà commencé à prendre racine sur un socle de valeurs sur lesquelles les partis politiques feraient bien de méditer. Sur les plus de 40 000 marcheurs (160 000 d’après les organisateurs, 17 000 d’après la Préfecture) qui défilaient aujourd’hui sous une foret de drapeaux tricolores, une bonne moitié était constituée de jeunes issus de tous les milieux sociaux, conscients de leur force et bien décidés à ne plus se laisser confisquer la parole.
Reportage photos à consulter sur le site du nouveau NH cliquez là
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Devant 160 000 manifestants, Béatrice Bourges annonce qu'elle entame la grève de la faim jusqu'à la destitution de Hollande...
C’est une foule considérable de 160.000 Français en colère qui a défilé cet après-midi à Paris. Partis de la Place de la Bastille à 14h, le cortège s’étalait plus de 2,5 Km à 15h15, heure à laquelle les derniers manifestants ont quitté la Bastille. Outre les provocations de la milice socialiste « Antifa » sur le pont d’Austerlitz et celle des Femens Boulevard Saint Marcel, les manifestants du Jour de Colère ont aussi dû supporter des violences policières dès le début de l’après-midi. Gaz lacrymogènes et tirs de flash-ball ont été utilisés contre des manifestants pacifiques et un passant de 70 ans a été jeté au sol sans raison par des policiers. Place Vauban, ils étaient attendus par des canons à eau et des pelleteuses blindées. Manuel Valls a déployé des moyens dignes de l’Ukraine, en attendant peut-être utiliser ceux employés à Damas.
Sans s’arrêter ces provocations, les manifestants ont délivré leurs messages de manière résolue et non-violente. La colère fiscale, le ras-le-bol du chômage ou des entraves que subissent les artisans, les commerçants et les paysans ont été les premiers slogans du Jour de Colère. Le cortège massé derrière la banderole « Liberté d’expression » était un des plus importants. Il a rapidement entrainé la totalité des manifestants à reprendre ses slogans : « François, casse-toi ! » ou « Hollande, dictateur ! », soutenus par le chant de la Marseillaise. C’est donc un mouvement de colère inédit qui a explosé aujourd’hui et qui n’arrêtera plus de se répandre.
Il ne reste qu’une issue à cette crise : les parlementaires doivent immédiatement prendre les responsabilités que la constitution de la Ve République leur confie. Selon l’article 68 de la constitution, il appartient aux élus des deux assemblés de se constituer, par un vote, en Haute Cour de justice, afin d’engager la procédure de destitution du Président de la République pour « manquement grave » à l’exercice de ses fonctions. La ruine à laquelle il a conduit la France, alors qu’il ne se préoccupe lui-même que de ses turpitudes privées, ne lui permet plus de se parer du titre de Président de la République.
Le Jour de Colère exige solennellement des députés et des sénateurs qu’ils engagent cette procédure de destitution immédiatement. Le peuple, souverain de notre démocratie, leur adresse cet ultimatum et saura le leur rappeler dans les semaines qui viennent.
19:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Immense succès de la manifestation Jour de colère
Tous les détails et les analyses politiques de Roland Hélie et de la rédaction de Synthèse nationale dès demain. Hollande démission !
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14 H 00, PLACE DE LA BASTILLE !
12:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 25 janvier 2014
Jour de Colère : les dernières minables magouilles de Valls !
Yves Darchicourt
Manuel Gaz Valls n'a pas osé faire interdire la manifestation de demain à Paris, ce "Jour de Colère" qui s'annonce grandiose aura donc bien lieu.
Au dernier moment cependant, les galonnés de la Préfecture Police ont décrété une modification du trajet initialement prévu, un itinéraire pourtant déposé depuis le 7 janvier! Il a été imposé un parcours rallongé évitant le boulevard St-Germain bien évidemment dans le but d'une part de rendre un peu moins "visible" le cortège, d'autre part de rendre difficile le respect de l'ordre de dispersion à 18h00 et quasiment d'empêcher les allocutions finales. Il s'agit là sans doute de ces petites magouilles typiques du gominé naturalisé dont on se souvient qu'il n'avait pas hésité à faciliter les provocations d'un groupe de "femen" lors d'une manifestation patriotique. C'est peut-être aussi dans l'espoir de débordements que le staff vallsien de la PP a refusé comme lieu de dispersion la place de l'Opéra, remplacé par la place Vauban considérée de source policière comme "plus aérée" et donc de faciliter les mouvements des robocops en cas de besoin.
On signalera aussi que les sbires préfectoraux de Valls n'ont pas hésité à livrer à la presse les coordonnées privées d'une des co-déclarantes (adresse personnelle, lieu de travail), une malveillance qui devrait déboucher sur une plainte en bonne et due forme.
Tout ce minable remue ménage aura au moins l'avantage de révéler que Valls et ses maîtres ont la frousse, qu'ils crèvent de trouille à l'annonce d'un puissant rassemblement populaire d'opposition qui pourra bien un de ces prochains jours virer avec pertes et fracas cette clique ripoublicaine ...après tout nous allons bientôt commémorer le 80 anniversaire du 6 février 1934 ! A bas les voleurs !
19:04 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le parcours de la manif de dimanche : Bastille / Place Vauban
16:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cevipof : Le rapport qui accuse
Séisme. En partie censuré, le 5e baromètre de la confiance politique est une bombe. “Valeurs actuelles” se l’est procuré dans son intégralité. Ses 84 pages révèlent une société au bord de l’explosion. Jusqu’à réclamer, pour la moitié des Français, un “homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections” !
Commandé, pour cette dernière édition, par le Cese (Conseil économique, social et environnemental) et réalisé par le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), le baromètre de la vie politique dresse chaque année, depuis 2009, l’audit le plus approfondi de l’état de l’opinion française. Sondés via plusieurs centaines de questions par l’institut OpinionWay, les Français s’y livrent sur eux-mêmes, leur pays, leurs valeurs et leurs représentants. Pour la première fois depuis sa création, près d’un tiers des pages n’ont pas été rendues publiques. À les lire, on comprend pourquoi. Ce rapport témoigne, en effet, d’un pessimisme généralisé et d’une défiance inégalée à l’encontre de nos institutions, de la classe politique et du chef de l’État — qui “inquiète” 67 % des Français. Entre quête d’autorité, droitisation tous azimuts, rejet de l’Europe et de la mondialisation, c’est à une France fracturée et ulcérée que fait face la gauche, moins de deux ans après son accession au pouvoir.
Inquiets 65 %
C’est la part des Français qui prédisent que “la situation économique du pays va se dégrader au cours des douze prochains mois”, et ils sont presque aussi nombreux (60 %, + 5 points en un an) à penser la même chose pour leur propre situation financière. Mais cette inquiétude va très au-delà des questions pécuniaires. Quand on leur demande quels sont les qualificatifs qui caractérisent le mieux leur état d’esprit, les Français ne sont que 10 % à répondre la “confiance”. Contre 12 % qui répondent la “peur”, 30 % la “méfiance”, 31 % la “lassitude” et 34 % la “morosité”.
Jamais depuis la création de ce baromètre les Français n’ont été aussi résignés et inquiets pour leur avenir. Idem concernant celui de leurs enfants. À la question : “Pensez-vous que les jeunes d’aujourd’hui auront plus, autant ou moins de chances de réussir que leurs parents dans la société française de demain ? ”, ils ne sont que 3 % à répondre “plus de chances”, contre 72 % “moins de chances”. La moitié d’entre eux (51 %) estime même qu’“aujourd’hui, pour assurer leur avenir professionnel, les jeunes ont intérêt à quitter la France”.
Défiants 75 %
La défiance des Français vis-à-vis de l’État n’a jamais été aussi forte : 75 % d’entre eux ne lui font “pas confiance”, dont 36 % “pas du tout”. À l’opposé, seuls… 2 % lui font “tout à fait confiance”. À travers l’État, ce sont toutes les institutions, ou presque, qui sont aujourd’hui discréditées aux yeux d’une écrasante majorité de Français : 68 % ne font pas confiance à l’institution présidentielle, 74 % se défient du gouvernement. Idem, entre autres, pour l’Assemblée nationale (63 %) et le Sénat (61 %). Pour les Français, le verdict est sans appel : “la démocratie ne fonctionne pas bien” (69 %, + 15 points en un an !), notamment parce qu’elle a “du mal à prendre des décisions” et provoque “trop de disputes” (67 %). La justice n’est pas épargnée : 65 % ne lui font pas confiance. Pour les médias, c’est encore pire : plus de trois Français sur quatre s’en méfient (76 %).
Blasés 88 %
Le rejet des partis politiques est quasi unanime : 88 % des Français ne leur font pas confiance, 83 % considèrent qu’il ne sert à rien de militer dans un parti politique. À la question : “Quand vous pensez à la politique, pouvez-vous me dire ce que vous éprouvez ? ”, le tiercé de tête des réponses des Français est “méfiance” (36 %), “dégoût” (31 %) et “ennui” (11 %)… Seuls 5 % y trouvent de l’“espoir” et 1 % du “respect” ! Hormis les maires, tous les élus sont perçus négativement. Principal reproche à leur être adressé : “ne pas se préoccuper [des] gens” — un jugement partagé par 87 % des Français, dont 49 % qui estiment qu’ils ne se “préoccupent pas du tout” d’eux. Politiques de gauche et de droite sont jetés dans le même sac : seuls 18 % des Français font confiance aux premiers et 21 % aux seconds pour diriger la France, tandis que 60 % n’ont confiance “ni dans la droite ni dans la gauche pour gouverner le pays”.
Autorité 50 %
Aussi incroyable que cela puisse paraître — d’où, sans doute, la censure de cette question par le Cevipof —, pas moins de 50 % des Français jugent “très bon” ou “assez bon” un système politique consistant à “avoir à sa tête un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections” — en clair : une monarchie ou une dictature… Considérant, pour 40 % d’entre eux, que “les démocraties ne savent pas bien maintenir l’ordre”, le besoin d’autorité au sommet de l’État est tel que 12 % des Français vont jusqu’à souhaiter que “l’armée dirige le pays” !
Contestataires 61 %
Les Français grondent : ils sont 61 % à se dire “prêts à participer à une manifestation”, alors qu’ils n’étaient que la moitié en 2010. Seuls 12 % n’y sont “pas prêts du tout”. Lorsqu’on leur demande “ce qui permet aux citoyens d’exercer le plus d’influence sur les décisions prises en France”, “manifester dans la rue” (32 %), “boycotter des entreprises ou des produits” (29 %) et “faire grève” (23 %) recueillent ensemble largement plus de suffrages que “voter aux élections” (63 %) — laquelle proposition n’est citée en premier que par un Français sur deux (51 %) !
Crise de régime 87 %
Près de 9 Français sur 10 (87 %) — un résultat censuré par le Cevipof — jugent que ...Lire la suite...
16:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Autriche : le traditionnel bal des Corporations étudiantes à Vienne a été le prétexte d'un déchainement de violence de la part des chiens de garde de l'oligarchie mondialiste
Symbole prestigieux de l'Europe éternelle, le bal des étudiants nationalistes viennois a suscité la haine et la violence des bandes armées gauchistes...
Lire le site de Lionel Baland cliquez là
16:38 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un petit ouvrage remarquable que l'on doit aux Editions de Chiré :
Il faut savoir gré à Léon Arnoux d’avoir composé ce florilège, le premier du genre, de poètes à ce point maudits que leur œuvre demeure, aujourd’hui encore, sous le coup d’une flétrissure originelle.
Grand prescripteur d’opinion et souverain proscripteur, le Comité national des écrivains, imprima le sceau d’infamie, en dressant dès le début de septembre 1944, la première de ses listes noires rendant publique la mise à l’index de nombreux auteurs, souvent de renom, qui furent donc réduits au silence.
(.) La panoplie des peines ne fut jamais aussi large. La fusillade, bien sûr, mais aussi les années de géhenne en prison, ou pire en centrale, l’indignité nationale, la confiscation des biens. L’oubli, sournois, acheva la besogne. Pour les poètes aussi.
Léon Arnoux est allé les chercher au fond de leur puits d’oubli.
(.) La poésie carcérale s’impose d’abord comme l’expression d’une sensibilité exacerbée par les affres de l’enfermement. Le prisonnier vit dans l’attente et l’incertitude. Celle, immédiate, de son sort. Mais tout peut lui être source de tourments. L’épouse qui ne répond plus aux lettres, ni ne vient aux parloirs, les négligences de l’avocat, la mère qui se consume de désespoir.
Nombre des poèmes traduisent le paroxysme d’une souffrance ou d’une émotion. Ils témoignent souvent d’une élévation d’âme, particulièrement chez le condamné à mort, dont les poèmes ont les accents d’une foi découverte ou retrouvée.
Extrait de la préface de Pierre-Denis Boudriot.
L'épuration et les poètes, Léon Arnoux, Editions de Chiré, 2013, 144 pages, 17,00 € cliquez ici
Source Zentropa cliquez là
16:10 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'"AVORTEMENT DECOMPLEXE"
14:48 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Belgique : les victimes des racailles n'ont que ce qu'elles méritent !
Il y a peu un jeune autiste a été tabassé par un groupe de "jeunes" à un arrêt de bus de Gand. Pourquoi ? Parce qu'il est blanc, un peu chétif, qu'il était seul et qu'il avait l'audace de posséder un casque audio dernière modèle que des racailles allogènes ont eu envie de lui ravir. Personne n'est intervenu pour aider Jordan, pas même le chauffeur du bus auquel il s'est agrippé en hurlant son désespoir. Les voyous exotiques se sont égayés dans la nature, c'est à dire dans un de ces "quartiers" où la police ne se hasardera pas à aller les chercher...pensez-donc, ce serait l'émeute assurée, la bavure peut-être, l'accusation de racisme sûrement ! Alors on laisse couler et loin de vitupérer contre l'insécurité générée par les "zissus", les médias belges ont préféré insister sur le fait que la victime exhibait publiquement un gadget rutilant de 350€... autrement dit si le petit autiste s'en est pris plein la gueule et qu'il a été dépouillé, c'est de sa faute ou plutôt celle de ses parents.
Ce genre de réaction abracadabrantesque est loin d'être unique, elle est même en passe de devenir une habitude voire d'être homologuée par les institutions si l'on en juge par quelques exemples glanés dernièrement dans la presse belge.
On a ainsi appris que le Parquet de Bruges requérant dans une affaire de vol avec violences a jugé bon à cette occasion de suggérer officiellement aux dames de Knokke de "ne plus se promener avec leurs bijoux au risque d'attirer la convoitise de voleurs agressifs"
A Anderlecht, une femme, victime de vol avec violence dans sa voiture en stationnement, s'est entendue dire par la police "qu'est-ce que vous fichez par ici avec une Mercédès, vous êtes dans la colonne vertébrale de la criminalité à Bruxelles". Une criminalité qui a de beaux jours devant elle puisque ces mêmes policiers n'ont pas voulu prendre en compte le témoignage de la victime pourtant certaine de reconnaître ses trois "jeunes" agresseurs sur photo (à quoi servent les fichiers de délinquants?) ou d'en donner une description précise. Alors, fainéantise, peur des coups ou application d'une circulaire de "modération" dès que les mis en cause sont allogènes?
A Charleroi, un brave homme trois fois victime de "homejacking" et contraint de déménager pour vivre en sécurité s'entend reprocher par un robin d'être "déraisonnable" parce qu'il habite une belle maison dans une région sinistrée.
L'inversion des valeurs n'est pas une particularité belge, elle sévit aussi en France comme dans toute l'Europe où une caste politico-judiciaire et ses relais médiatiques et lobbyistes font des racailles, surtout quand elles sont allogènes, quasiment des "victimes", des malheureux exclus exposés scandaleusement à des tentations. Le blanc, le souchien, le contribuable, celui qui possède -même un peu- parce qu'il a travaillé se doit de faire profil bas et de se laisser dépouiller parce qu'il porte en lui les gênes des méchants de l'Histoire revisitée et qu'il est perpétuelle victime expiatoire en tant que congénère des responsables de l'esclavagisme, du colonialisme, du racisme, de l'exclusion...
Décidément on marche sur la tête. La peur doit changer de camp. Rassemblement Résistance Reconquête !
12:34 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 24 janvier 2014
RAPPEL : DIMANCHE 26 JANVIER, 14 H 00, A LA BASTILLE !
21:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Insécurité, santé, immigration: quelques raisons d'être en colère !
Fort révélateurs les quatre premiers titres de la "lettre d'information" du Figaro du 23 janvier dernier :
1) le nombre des cambriolages continue d'augmenter,
2) les Français réduisent leur budget santé,
3) régularisations et naturalisations en hausse,
4) le nombre d'expulsions de clandestins a baissé en 2013.
Et un, l'insécurité augmente constamment nonobstant les rodomontades de Manuel Valls qui ne peut que distraire de maigres troupes des effectifs policiers pour lutter contre le crime organisé, les atteintes aux personnes et aux biens, la délinquance itinérante et la racaillerie ethnique quand on constate que les forces de l'ordre sont massivement utilisées à racketter les automobilistes, à robocopiser les patriotes, à gazer femmes et enfants attachés à la famille naturelle ou à traquer la quenelle.
Et deux, en matière de santé publique, le gaulois est confronté à des déremboursements de médicaments en chaîne, à des prises en charge de plus en plus symboliques notamment des prothèses auditives ou dentaires et des verres de lunette; nombre de nos congénères qui ne peuvent pas ou plus se payer de mutuelle en sont réduits à reporter ou annuler des consultations ou des interventions alors que la CMU (essentiellement attribuée aux allogènes même clandestins) coûte 10 milliards€ par an au contribuable et que l'Algérie - dont on continue à soigner des ressortissants à fonds perdus - est redevable de 6 milliards€ à notre Sécurité Sociale.
Et trois (et quatre), alors que de façon visible l'immigration exotique déferle sur la France, le gouvernement écolo-socialiste par Manuel Gaz Valls interposé s'enorgueillit d'avoir en 2013 - et par rapport à 2012 - régularisé 30% de clandestins de plus et d'avoir naturalisé 18% d'étrangers supplémentaires. C'est là un durcissement de l'immigration de peuplement en provenance essentiellement du Maghreb et de l'Afrique noire dont le corollaire est l'islamisation de nos Provinces. Une scandaleuse politique dont la finalité est de faire du gaulois une espèce en voie de disparition sur ses propres terres ancestrales vouées à devenir le réceptacle d'une population indifférenciée soumise au nouvel ordre mondial.
Quatre titres et trois des nombreuses raisons de vouer l'engeance qui nous gouverne aux gémonies. Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !
21:48 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce soir, sur Méridien zéro :
19:22 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : DIMANCHE 26 JANVIER, 14 H 00, A LA BASTILLE !
09:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bon père de famille : du totalitarisme linguistique
Les idéologues fous qui nous gouvernent ont trouvé une nouvelle forme de censure du langage, destinée à plier les cerveaux à leur vision orwellienne du monde : désormais c’est l’expression « bon père de famille » qu’ils veulent éradiquer…
La majorité écolo socialo qui fait mine de nous gouverner, a au moins le mérite de disposer d’une imagination sans limite quand il s’agit de faire diversion sur son incompétence face aux vrais problèmes. Ainsi, cette semaine, des élus EELV ont déposé un amendement à la loi immonde de Najat Belkacem sur l’égalité des chances, afin d’exiger la suppression de l’expression, « bon père de famille » du code civil.
Après la tentative de suppression du mot mademoiselle (misogyne), après celle du mot race (raciste), après celle du mot quenelle (antisémite), après celle du mot école maternelle (misogyne) et du mot épiphanie (catholique, soit ce qui se fait de pire au monde), c’est au tour du bon père de famille de subir les foudres de la gauche plurielle et de sa volonté d’interdire carrément des mots.
Alors, ne nous voilons pas la face, les écolos et les socialistes sont avant tout des politiciens : quand on est incapable de lutter contre le chômage, contre le problèmes de logement ou d’insécurité, on se tourne vers des propositions démagogues, qui donneront des gages de « bonne moralité de gôche » et qui diviseront un peu plus les Français, les empêchant de s’inquiéter des vrais problèmes. Mais souvent la faiblesse et la peur des dirigeants les conduisent à la violence. Une violence symbolique et liberticide pour le moment…
Une diversion, un coup de com' pour donner l’illusion qu’on est différent de la méchante droite, rien de plus. Malheureusement, avec ces manœuvres lâches et ineptes, ces fous sont en train de détruire toute forme de liberté d’expression. A refuser d’évoquer la différence, on en vient à la supprimer. Un monde indifférencié, où les humains auraient tous la même couleur, le même sexe, voilà ce que souhaitent secrètement ces adeptes de la théorie du genre et autre pourfendeurs de racistes, d’antisémites, d’homophobes, d’islamophobes, de misogynes…
On sait bien que la manipulation du langage pour « diriger » les esprits est un marqueur d’un régime totalitaire.
Source 24 h actu, via Thomas Joly cliquez ici
09:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |