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mardi, 31 décembre 2013

2014 !

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lundi, 30 décembre 2013

RETROSPECTIVE 2013 : 1 AN DE COMBAT AVEC SYNTHESE NATIONALE

JANVIER 2013 : la campagne pour la dissolution de SOS-Racisme, engagée en décembre 2012, bat son plein

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Pourquoi une telle campagne ? cliquez là ou cliquez ici

Mardi 29 janvier : conférence à Paris : cliquez ici

1111329665.jpgLe numéro 30 de Synthèse nationale cliquez là

FEVRIER 2013 : le samedi 2, Synthèse nationale soutient la manifestation contre l'impérialisme.

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La banderole commune de la Nouvelle Droite populaire et de Synthèse nationale :

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La manif du 2 février cliquez là

Samedi 9 février : Synthèse nationale est invitée au 2e congrès du Parti de la France à Enghien cliquez ici

Martial Bild porte le badge contre SOS-Racisme cliquez là

MARS 2013 : dans la rue, aux côtés des opposants à la Loi Taubira.

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Le numéro 31 de Synthèse nationale cliquez ici

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Dimanche 26 mars : à la manif nationale avec le Parti de la France cliquez ici et cliquez là

AVRIL 2013 :  Aux côtés des Petites et moyennes entreprises, Synthèse nationale invite le CIDUNATI

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Mardi 9 avril : conférence avec comme invités Serge Ayoub de 3e Voie et Gérard Orget, Président du CIDUNATI d'Ile-de-France

Dimanche 28 avril : Lille 1ère Journée nordiste de Synthèse nationale

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Malgré bien des péripéties cliquez là, la 1ère Journée de SN dans le Nord emportera sera une belle réussite cliquez ici.

A bon entendeur :

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Notez la remarquable intervention de Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang et député d'Anvers, qui nous a fait l'amitié de participer à cette journée cliquez ici.

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MAI 2013 : le dimanche 12 mai, la rue appartient à ceux qui y descendent...

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La manifestation nationale contre le mondialisme se déroule sans incident malgré les provocation d'une poignée de Femen à la solde de l'oligarchie cliquez ici et cliquez ici

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C'est grâce à l'efficacité du SO des JNR que la provocation gouvernementale a échouée cliquez là et cliquez ici

Mercredi 15 mai : parution des 2 nouveaux Bouquins de Synthèse nationale.659542617.jpg

Bardèche et l'Europe cliquez ici

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Le trotskisme dégénéré cliquez là

Mercredi 22 mai : la terrible nouvelle, Dominique Venner s'est donné la mort cliquez ici

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Samedi 25 mai : Hommage des nationalistes de Paris devant Notre-Dame cliquez là

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Dimanche 26 mai : Synthèse nationale distribue des milliers de tracts lors des manifs, celle de Civitas et celle de ma Manif pour tous, à Paris.

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Tractages du 26 mai cliquez ici

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Manif du 26 mai cliquez là

JUIN 2013 : L'AFFAIRE MERIC, UN MENSONGE D'ETAT... cliquez là

Synthèse nationale et la NDP aux côtés de 3e Voie face à la tourmente cliquez là

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Samedi 8 juin : conférence de presse au Local de Serge Ayoub et Roland Hélie cliquez ici et  cliquez là

Serge Ayoub explique cliquez là

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Synthèse nationale exige la libération des prisonniers politiques Esteban et Samuel cliquez ici

Un grand entretien avec Roland Hélie dans Rivarol cliquez là

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Vendredi 21 juin : lancement du Collectif pour la défense des libertés publiques cliquez là

Mardi 25 juin : devant toute la presse nationale et internationale, Serge Ayoub annonce l'auto-dissolution des mouvements 3e Voie et JNR.
213392354.jpgLa conférence de presse annonçant l'auto-dissolution de 3e voie : un pied de nez à Valls cliquez ici

Pourquoi Serge Ayoub a devancé le gouvernement cliquez là

JUILLET 2013 : Synthèse nationale proteste contre les dissolutions de mouvements nationalistes cliquez ici

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Le numéro 32 de Synthèse nationale cliquez ici

AOUT 2013 :  Synthèse nationale ne veut pas que le geste ultime de Dominique Venner tombe dans l'oubli.

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Dominiqe Venner Présent, un nouveau Bouquin de Synthèse nationale, une somme de témoignages recueillie au cours de l'été cliquez ici

SEPTEMBRE 2013 :  

Mercredi 11 septembre : depuis le 11 septembre, chaque mois, Roland Hélie a une chronique consacrée à "la droite de la droite" au cours du Libre Journal de Martial Bild sur Radio Courtoisie.

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Vendredi 13 septebre : conférence de presse du Collectif pour la défense des libertés publiques avec pierre Cassen, Président de Riposte laïque, Serge Ayoub et Richard Roudier, Président du Réseau identités cliquez là

Samedi 14 septembre : la manif pour la libération des prisonniers politiques est interdite cliquez ici. Conséquences : agression par les supplétifs intitulés "anti-fa" contre une brasserie du XVe arrt de Paris (cliquez là et cliquez ici) et l'annulation de la réservation du Forum de Grenelle pour notre 7e journée nationale et identitaire prévue pour le 11 novembre suivant. Le mois de septembre sera en grande partie consacré à la recherche d'une nouvelle salle. Pas facile croyez-nous.

Samedi 28 septembre : stand de Synthèse nationale à Lille lors de la Journée de la Famille organisée par Luc Pécharman et ses amis du Nord cliquez ici

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La revue Synthèse nationale fait peau neuve cliquez ici  

OCTOBRE 2013 :

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Dimanche 6 octobre : Les Bouquins de Synthèse nationale rééditent, en collaboration avec le Cercle Franco-hispanique, Présence de José-Antonio cliquez ici

Vendredi 11 octobre : grâce à l'aide de nos camarades de Terre et peuple, nous pouvons annoncer la bonne nouvelle : la 7e Journée de Synthèse nationale aura lieu... à Rungiscliquez là

Le mois d'octobre sera consacré à la préparation de cette journée cliquez là.

NOVEMBRE 2013 :

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Dimanche 10 novembre : Roland Hélie est invité à prendre la parole lors d'une belle réunion organisée par la Ligue Francilienne animée par Hugues Bouchu cliquez ici

Lundi 11 novembre : le grand rendez-vous annuel de Synthèse nationale

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A Rungis, près de 700 personnes sont venues participer à notre 7e journée nationale et identitaire cliquez ici

DSC_0096-b05e0.jpgLes interventions cliquez ici

Les photos de la journée cliquez là

Le programme de cette journée cliquez là

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Parution, à l'occasion de la 7e Journée d'un nouveau Bouquin de Synthèse nationale consacré à l'effondrement du Système cliquez là

DECEMBRE 2013 :

Dimanche 1er décembre : un stand de Synthèse nationale à la Table ronde de Terre et peuple cliquez là

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Samedi 7 décembre : Roland Hélie et Serge Ayoub sont invités à Bruxelles par le mouvement Nation pour une conférence sur la situation en France cliquez là

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Mardi 10 décembre : conférence de Synthèse nationale avec Gabriele Adinolfi à Paris sur les "années de plomb" en Italie (1970 1980)

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Samedi 15 décembre : lancement de Synthèse diffusion, le site de vente en ligne des Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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Dès le début janvier parution de La Faillite de Mandela, un nouveau Bouquin de SN que nous devons à Jean-Claude Rolinat cliquez ici, et du n°34 de la revue Synthèse nationale (abonnez-vous en cliquant ici ou en cliquant là).

Ajoutez à tout cela les multiples interventions de rédacteurs de la revue, tels Georges Feltin-Tracol, Patrick Gofman, Jean-Claude Rolinat, Luc Pécharman, Arnaud Raffard de Brienne, Robert Spieler et les stands de dédicaces tenus par les auteurs publiés par Les Bouquins de Synthèse nationale...

Au cours de cette année 2013, Synthèse nationale a répondu à sa double vocation d'être à la fois une revue d'idées et un centre d'agitation. Tout cela a été possible grâce à la fidélité de nos amis de plus en plus nombreux.

2014 sera une autre histoire.

LA CATALOGNE TERRE DE MISSION POUR LES ISLAMISTES

images.jpgMichel Dantan

Le nouveau NH cliquez ici

La montée en puissance de l’islamisme radical en Catalogne inquiète de plus en plus les autorités espagnoles, et au-delà des Pyrénées l’ensemble de la communauté du renseignement en Europe. Les services de renseignements espagnols d’après le quotidien La Vanguardia auraient identifié dans les milieux imprégnés d’idéologie salafistes et wahabite une centaine d’activistes mûrs pour l’action terroriste. Cette situation serait le fruit de l’action de propagande menée en profondeur auprès des membres de la communauté musulmane installée en Catalogne par des imams hostiles à toute forme d’intégration des musulmans dans la société espagnole. L’activisme salafiste déployé par ses partisans en Catalogne s’est traduite cette année par l’organisation de deux congrès qui se sont tenus dans les villes de Tarragone et Gérone en présence d’oulémas et de docteurs de la foi venus d’Arabie Saoudite, du Koweït, du Qatar et des Emirats arabes Unis. La promotion du repli identitaire et celle de la charia figuraient à l’ordre du jour. Tout aussi inquiétant pour l’avenir du « vivre ensemble » en Espagne, les sources de financement des actions entreprises par les prosélytes du salafisme en Catalogne proviennent essentiellement des pays du Golf, via des ONG islamiques dont la marque de fabrique se reconnait à leur degré de haine envers le monde occidental, chrétien en particulier, et l’esprit de reconquête d’Al Andalus qui les anime. La Société Pour la Renaissance du Patrimoine Islamique (Revival of Islamic Heritage Society), classée par le département d’état américain sur la liste des organisations liées à Al Qaeda, aurait ainsi largement participé au financement de ces congrès et investi 2 millions d’euros dans la construction d’une école coranique en Catalogne. La manne que les bailleurs de fonds déversent en Catalogne chaque année pour la construction de nouvelles mosquées, d’écoles coraniques et de centres culturelles islamiques permet aux salafistes d’étoffer leur réseaux et d’offrir à leur propagande de nouveaux points d’appui. Après la ville de Tarragone considérée comme la Mecque du salafisme en Europe, des villes comme Badalona, Calafell, Cunit, Gérone, Lérida, Mataro, Roda de Bara, Rubi, Santa Colona,de Gramenet, Sant Boi, Torredembarra, Valls, El Vendrel, Geltru, pour ne citer que les plus importantes comptent désormais avec des communautés qui encadrées par des imams salafistes observent leurs propres lois et n’entretiennent avec les espagnols que le minimum de contacts sous peine dans le cas contraire de se voir punis par des tribunaux religieux. Si Barcelone n’est pas encore Sarajevo, la capitale catalane ne compte pas moins cinq mosquées d’obédience salafiste et dans la ville de Salt où résident 12 000 musulmans sur les 30 000 habitants que compte la ville, une mosquée cathédrale de 1 000 mètres carrés devrait voir le jour dans les prochaines années. Toujours en Catalogne, Mollet del Valls est devenu l’un des principaux foyers d’activistes liés au Centre Culturel Islamic Catala, considéré comme l’un des principaux vecteurs d’influence des Frères Musulmans en Catalogne. Les partisans de la doctrine du Tabligh, essentiellement diffusée en Catalogne par des pakistanais ne sont pas en reste et ont leur siège dans les villes d’El Raval et Besos Mac. Les autorités espagnoles qui jusqu’aux attentats de Madrid concentraient leur attention quasi exclusivement sur l’ETA semblent avoir enfin pris la mesure des menaces que l’islamisme radical faisait peser sur la sécurité de leurs concitoyens. Plus d’une centaine de membres de la communauté musulmane d’Espagne, dont un nombre conséquent originaires de Catalogne, seraient partis faire leur djihad en Syrie. Ils représentent tout au moins pour nombre d’entre eux de retour sur le sol espagnol des terroristes en puissance susceptibles d’agir en loup solitaires ou, forts de leur expérience des armes et des explosifs, venir renforcer les capacités de nuisance de cellules déjà existantes. Le réseau de surveillance mis en place par le CNI (les services de renseignements espagnols) autour de la communauté musulmane d’Espagne, particulièrement en Catalogne suffira t-elle à conjurer les dangers potentiels que représentent ses dérives, rien n’est moins sûr, tant du moins que l’une de ses principales sources que constitue l’immigration d’origine africaine ne sera pas sérieusement prise en compte. Tant aussi que les indépendantistes catalans de gauche et d’extrême gauche, le regard exclusivement tourné vers leur rêve de séparation d’avec l’Espagne, refuseront de voir que leur province est déjà devenue le cheval de Troie de l’islamisation de leur pays et représente au delà des Pyrénées un enjeu de civilisation qui dépasse leurs seuls intérêts égoïstes.

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dimanche, 29 décembre 2013

Cette Thaïlande qui défie l’ordre mondial

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Eric Miné

Boulevard Voltaire cliquez là

Il est un sujet d’étonnement embarrassé pour nos médias formatés qui pourrait bien faire demain les unes indignées de nos habituels bobardiers, tout chagrins de ne plus se rendre qu’en catimini sur leurs plages préférées.

S’il était de bon ton jusqu’ici de se gausser des « propositions fantaisistes » de Suthep Thaugsuban, ce tribun thaïlandais qui entend substituer un « Conseil du peuple » non élu au gouvernement de Yingluck Shinawatra dûment issu des urnes, l’inquiétude de nos directeurs de conscience est dorénavant palpable au vu d’une rébellion croissante que la proposition d’un scrutin anticipé n’apaise en rien. La puissante armée thaïe vient ainsi d’annoncer que « la porte [n’était] ni ouverte ni fermée » à l’option d’un coup d’État militaire. Les jours du pouvoir « légal » thaïlandais apparaissent donc comptés et, avec eux, ceux des élections si chères à nos « démocrates », qui voient ainsi s’accumuler de fâcheux nuages bruns sur leurs vacances ensoleillées.

Nonobstant, le clientélisme assumé et les intérêts personnels des Shinawatra – Yingluck est la sœur de Thaksin Shinawatra, l’ancien Premier ministre en exil –, le but de cette famille sino-thaïe régulièrement élue était pourtant d’enrichir les populations paysannes, fort nombreuses, pour favoriser leur accès à la consommation. Politique louable s’il en est, qui a l’insigne avantage de procurer des votes faciles à ses inspirateurs et le sinistre inconvénient de casser le fonctionnement ancestral de la société, devenu dès lors un obstacle.

Ce qui désoriente aujourd’hui les commentateurs des événements thaïlandais, c’est l’ampleur de la réaction d’une partie grandissante d’un peuple attaché à son mode de vie, allant jusqu’à défier, pour parvenir à ses fins, le dogme du principe majoritaire « un homme, une voix », réputé jusque-là intangible, mais désormais tenu pour propice à toutes les manipulations.

D’autant qu’au-delà de la Thaïlande, le ressort de cette crise procède d’une ligne de fracture qui est aujourd’hui mondiale. La fuite en avant d’un système global libre-échangiste, qui exige toujours plus de croissance des populations et des marchandises, entraîne en effet chez ceux qui voudraient davantage en bénéficier des revendications toujours plus étendues, et, chez d’autres qui s’effraient au contraire des conséquences dévastatrices de cette course effrénée, une opposition de plus en plus virulente. De l’Ukraine à la Chine en passant par les méthodes expéditives de la Corée du Nord, c’est là le ressort de bien des conflits qui se déploient dorénavant sur la planète.

« De plus en plus de gens dans le monde soutiennent notre position, qui est la défense des valeurs traditionnelles qui constituent depuis des millénaires la base morale et spirituelle de la civilisation de chaque peuple. » En rappelant récemment la responsabilité de la Russie face à la « déchéance de l’Occident », Vladimir Poutine s’est posé en représentant emblématique de cette opposition à un ordre mondial fondé sur le consumérisme à outrance.

Le pape François lui-même n’est pas en reste : « L’adoration de l’antique veau d’or a trouvé une nouvelle et impitoyable version dans le fétichisme de l’argent et dans la dictature de l’économie sans visage… Une nouvelle tyrannie invisible s’instaure, parfois virtuelle, qui impose ses lois et ses règles, de façon unilatérale et implacable. »

La critique thaïlandaise du système prétendument démocratique relève précisément de la dénonciation de cette « tyrannie invisible » qui manipule des foules crédules en les enfonçant dans un matérialisme niveleur. En cela, elle n’est que l’expression cohérente de la remise en cause générale d’un ordre mondial toujours plus contesté. C’est bien là ce qui suscite l’effroi de ses affidés, par-delà d’enjeux locaux dont ils se soucieraient sinon comme d’une guigne.

16:45 Publié dans Eric Miné | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Valls a retrouvé une raison d'être :

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16:39 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Afro-Hexagone...

hhhjpg.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe maxima cliquez ici

Incroyable « mandélâtrie » médiatique, intervention militaire française en Centrafrique, désignation d’une Miss France 2014 d’origine franco-béninoise, élection à l’Académie Française d’un Canadien né en Haïti, en quelques jours, divers événements se sont télescopés dans l’Hexagone.

De natures fort dissemblables, ces quatre faits soulignent un tropisme africain persistant accentué encore plus par la mise en berne des drapeaux tricolores, suite à la disparition de Nelson Mandela.

Après un renversement calamiteux en Libye en 2011 et une opération au Mali commencée en janvier 2013, « Marianne » emploie ses forces restantes dans son pré carré subsistant, l’Afrique, dernier espace géostratégique capable de voir agir les ultimes décisions d’une souveraineté aujourd’hui bien évaporée, quitte pour cela à négliger les domaines européen, maritime et méditerranéen.

Appliquant une logique désormais adoptée au sein des unités françaises, l’action militaire en République centrafricaine (R.C.A.) s’apparente surtout à une mission policière de maintien de la paix et de soutien humanitaire. Or, comme au Mali où les applaudissements et les louanges envers les troupes françaises se raréfient pour une défiance guère dissimulée, il est évident que la situation en R.C.A. va devenir de plus en plus périlleuse pour les soldats français, en particulier dans le Nord et l’Est du pays, aux frontières du Soudan… La volonté de l’Élysée de régler au plus vite le vide institutionnel par une élection présidentielle risque au contraire d’attiser les tensions ethniques et religieuses. Le cas malien le prouve dès à présent.

Victorieux des urnes, les Maliens d’origine noire accusent maintenant la France d’encourager en sous-main les velléités indépendantistes des Touareg de l’Azawad. Il est facile d’imaginer que des groupes centrafricains dépités par l’ingérence de Paris dans leurs affaires, montent des opérations de harcèlement et de guérilla. L’entêtement du gouvernement hexagonal à vouloir conserver un cadre stato-national artificiel et à refuser de rectifier les frontières explique en partie la montée certaine des tensions ethno-religieuses. La frontière étatique d’émanation westphalienne en Afrique relève plus de la chimère diplomatique que de la Realpolitik.

Au-delà du culte mandélâtrique, au-delà même de sa personnalité qui appartient dorénavant à l’histoire avec ses qualités et ses défauts, on doit accuser la partialité, la subjectivité, la désinformation des médiats hexagonaux, véritable entreprise d’occupation mentale. Il ne faut pas ensuite s’étonner que des téléspectateurs choisissent une Miss France qui déclare représenter une « France cosmopolite ». La France paie au prix fort les délires coloniaux de la IIIe République.

L’Hexagone du grotesque binôme présidentiel Flamby – Excité de Neuilly renonce à toute volonté de puissance. Il garde en revanche l’espoir de le demeurer dans son arrière-cour africain. Dans ces conditions, les souverainistes nationaux anti-européens (ou hexagonistes) ont raison de vouloir s’extraire de la fumeuse Union (pseudo-)européenne, mais qu’ils osent alors aller jusqu’au bout de leur raisonnement afrocentré et suivent l’exemple d’Haïti : l’adhésion de l’Hexagone à l’Union africaine !

12:17 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Entretien avec Arnaud Guyot-Jeannin. Cinéma : il faut mettre en place un protectionnisme français intelligent

Arnaud_Guyot-Jeannin.jpgRéalisé par Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire cliquez là

L’année cinématographique 2013 est close. Grâce à notre système d’avance sur recettes, le cinéma français est le dernier à résister à la déferlante américaine. Système souvent critiqué, mais sans lui, quid du cinéma français ?

Je suis favorable au système d’avance sur recettes qui permet au cinéma français de résister au rouleau compresseur américain. Bien entendu, il est loisible d’émettre des réserves sur ce système qui fait coïncider cooptation avec entre-soi politique et culturel. Souvent, les films sont non seulement sans talent, sans public, mais d’un conformisme navrant. Mais nous n’avons pas le choix. En effet, si le cinéma est un art, il est avant tout une industrie.

Le 28 mai 1946 a été signé l’accord Blum-Byrnes, un pacte d’intérêts entre la France et les USA exigeant que toutes les salles de cinéma françaises projettent des films états-uniens, excepté une semaine par mois. C’était un moyen pour Hollywood de diffuser l’American way of life et, ainsi, de présenter la société américaine comme un modèle pour le monde. 300 millions de dollars ont été injectés sur le marché français, auxquels s’ajoute un prêt bancaire de 650 millions de dollars (respectivement 3,5 et 7,6 milliards de dollars, valeurs 2013). Depuis lors, les investissements américains n’ont cessé d’augmenter et l’invasion concomitante des sous-produits américains n’a cessé de se renforcer. Les avances sur recettes ne suffisent donc pas. Il faut établir une politique des quotas, mettre en place un protectionnisme français intelligent. Il y va de la survie du cinéma français : le protectionnisme ou la mort ! D’ailleurs, les Américains l’ont bien compris, en appliquant eux-mêmes ce protectionnisme.

En Italie et avant l’arrivée au pouvoir de Silvio Berlusconi, un système semblable existait en Italie, permettant à divers cinéastes de travailler, du plus « prestigieux » jusqu’au plus « modeste »…

Oui, c’est d’ailleurs l’époque où Cinecittà représentait le premier cinéma national dans le monde. Il a commencé à décliner à partir de la fin des années 70. Hollywood et Billancourt ont longtemps été supplantés par Cinecittà, en termes de qualité cinématographique, de nombre de spectateurs et de rayonnement culturel. Mais l’avance sur recettes participait plus largement d’un protectionnisme économique hérité du fascisme. À cet égard, n’oublions pas que Mussolini est le créateur de Cinecittà. On peut reprocher beaucoup de choses au Duce, mais certainement pas d’avoir minimisé la culture italienne en général, et le cinéma italien en particulier. Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, une partie de la gauche – notamment les communistes – n’a fait que poursuivre cette politique.

Le cinéma italien plonge ses racines dans l’histoire. Il a été l’un des plus beaux au monde, le cinéma de l’ironie sur la condition humaine. Un genre prisé de façon paroxystique par les maîtres de la comédie (dramatique) italienne : Dino Risi, Mario Monicelli et Luigi Comencini.

Vous avez porté le deuil, en ces colonnes, de Georges Lautner et d’Édouard Molinaro. On attend la relève…

Personne ne peut remplacer Lautner et Molinaro. Ils sont uniques comme de nombreux autres metteurs en scène français décédés ! Bien sûr, parmi les vivants, celui qui s’en rapprocherait le plus serait certainement Francis Veber, qui a beaucoup travaillé avec eux en tant que scénariste, et qui a fini par passer à la mise en scène. Mais ses derniers films laissent assez perplexe. Et puis, nous vivons dans une autre époque, avec d’autres acteurs qui ne sont pas très enthousiasmants. Les Dany Boon, Gad Elmaleh, Patrick Timsit et consorts ne sont ni drôles, ni émouvants, ni représentatifs de notre génie national. Ils revendiquent d’ailleurs eux-mêmes leur cosmopolitisme et vivent la plupart du temps en dehors de France. Quant aux metteurs en scène, je n’en vois plus qui renvoient aux premiers critères, hormis peut-être Pascal Thomas, Lucas Belvaux, Philippe Harel, Christian Vincent et Philippe le Guay. Mais le seul vrai résistant qui réunit ces trois premiers critères est sans conteste Jean Becker. Un cinéaste artisanal réalisant le bel ouvrage. D’ailleurs, artisan signifiait artiste jusqu’à la fin du XVIIe siècle ! Le contraire de l’académisme que l’on reproche à Becker, avec de beaux films comme Les Enfants du marais, Effroyables jardins, La Tête en friche, etc. En revanche, ne s’agit-il pas là d’un cinéma de commémoration ?

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Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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samedi, 28 décembre 2013

Charabia gouvernemental...

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Consultez le Journal du Chaos cliquez ici

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Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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Béatrice Bourges : «Il est plus que temps de dire stop à l’oligarchie et à son projet totalitaire !»

beatrice bourges.jpgSource Nouvelles de France cliquez ici

Alors que les Français sont successivement appelés à marcher pour la vie (le 19 janvier prochain), pour exprimer leur colère (le 26 janvier) et pour la famille (le 2 février), Nouvelles de France a souhaité s’entretenir avec Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français et figure incontournable chez les insoumis.

Béatrice Bourges, que vous inspirent les marches régionales du week-end dernier ?

Tout dépend de leur efficacité. En un mot, la question à se poser, c’est : « Est ce qu’elles ont eu un impact sur le gouvernement ? Est ce que nous en avons obtenu quelque chose ? Est ce qu’elles ont créé un véritable rapport de force ? »

Appeler les gens à aller dans la rue, juste pour y scander quelques slogans sur une musique techno a un côté certes sympathique mais malheureusement, c’est inefficace. Je le regrette bien car je pense ne trahir personne en disant que nous souhaiterions tous rester dans cet état d’esprit bon enfant, comme nous l’avons fait l’année dernière. Cela ne nous a pas, malgré tout, empêché d’être traités de fascistes et de violents même si aucun vol n’a été commis, aucune voiture brûlée, aucune vitrine brisée.

Nous avons investi la rue sans cesser durant plus de six mois. Nous n’avons laissé aucun répit au gouvernement et nous n’avons obtenu que mépris et garde à vue (soldée pour l’une d’entre elle par un emprisonnement d’un jeune pour une durée de trois semaines). Les mesures contre lesquelles nous nous battions se sont même accélérées à une vitesse spectaculaire.

« Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement. »

À plusieurs millions et sur une longue durée, nous n’avons strictement rien obtenu.

En revanche, les Bonnets rouges (les vrais, pas ceux directement récupérés par la gauche) ont été écoutés alors qu’ils n’étaient que quelques milliers.

Leur secret ? Ils ont su faire peur au gouvernement, ce que manifestement, nous n’avons pas su faire.

Pour répondre donc à votre question, faire des manifestations juste pour montrer qu’on existe ne sert à rien, voire même risque de lasser, ou pire de choquer, car nous avons l’air de fêter quelque chose en dansant sur de la musique techno. Mais qu’y aurait-il donc à fêter, alors que François Hollande et sa bande d’oligarques mènent la France à sa perte à Vitesse grand V ?

Il faut passer à la vitesse supérieure et créer un véritable rapport de force qui inquiète beaucoup plus le gouvernement.

Que pensez-vous de l’initiative Jour de colère du 26 janvier prochain

Il s’agit d’une journée de « coagulation » afin que les gens puissent exprimer leur colère, quelle qu’elle soit.

J’y suis bien sûr très favorable, d’autant que je connais les personnes qui organisent la plate-forme logistique et qui sont, pour certaines, issues de la « France bien élevée » qui a décidé de reprendre son destin en main. Elles sont associées ou soutenues par les mouvements innombrables qui se sont créés sur tous les sujets de mécontentements. Tout cela est donc sérieux et digne de confiance.

« Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence. »

Il ne faut surtout pas confondre colère et violence. La colère est une émotion légitime et saine, dans certains cas. C’est lorsqu’elle est refoulée qu’elle est dangereuse car alors, elle peut se transformer en violence.

Par exemple, un parent peut ressentir de la colère contre un enfant qui fait une bêtise mettant sa vie en danger. Ce n’est pas pour autant qu’il devient violent. Il lui exprime les raisons pour lesquelles il est en colère afin que son enfant comprenne son geste. Bien exprimée, la colère n’est pas violence mais moteur d’action. Jésus lui-même, modèle absolu de non-violence, n’était il pas en colère lorsqu’il a chassé les marchands du temple ?

Je serais même inquiète d’entendre quelqu’un me dire qu’il ne ressent jamais de colère ! Je me dirais qu’il manque sûrement un peu d’humanité !

Nous devons exprimer au gouvernement que nous sommes en colère. Notre démocratie a été remplacée à notre insu par un système oligarchique qui sous couvert d’élections pense qu’il n’a de compte à rendre à personne. Toutes les institutions ont été confisquées et nos libertés se réduisent comme peau de chagrin, en particulier la plus élémentaire d’entre elles, qui est de disposer librement du fruit de son labeur.

Une police de la pensée cherche à faire de nous des êtres invertébrés. Et bien, le 26 janvier, nous prouverons au gouvernement que les Français ne sont pas prêts à se laisser dépouiller de toutes leurs libertés. Il est grand temps de sortir de la matrice qui nous asservit !

Personnellement, je n’appelle pas à la violence mais à l’insurrection pacifique qui peut passer par l’objection de conscience et la désobéissance civile. De nombreux gouvernements sont tombés de cette façon.

« Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de ‘gentil garçon’ ou de ‘gentille fille’ bien obéissant(e) ? »

Mais chacun ne peut faire l’économie de se demander ce qu’il est prêt à sacrifier pour construire ce grand mouvement de résistance qui devient de plus en plus visible. Sommes-nous prêts à abandonner un certain confort matériel ? Sommes-nous prêts à y laisser notre réputation de « gentil garçon » ou de « gentille fille » bien obéissant(e) ? Sommes-nous prêts à ne pas céder aux pressions ? Sommes-nous prêts à être vilipendés par les médias ? Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que nous devons nous positionner clairement : il est impossible de plaire en même temps au gouvernement, au Système en général et aux médias si l’on veut s’imposer et gagner. Chercher à être bien vus à tout prix ne pourra jamais entraîner la victoire…

Le 26 janvier marquera une étape supplémentaire dans la construction de cette nouvelle société que nous souhaitons : une société redevenue humaine, libre et juste, où soient respectés les plus fragiles d’entre nous, portée par un peuple fier de lui-même, de son histoire, de ses racines, de son identité.

Avec la Marche pour la Vie le 19/01 et Jour de Colère le 26/01, et le week-end dernier l’annonce d’une Manif pour Tous le 02/02, ne faut-il pas regretter cette dispersion ?

La Marche pour la Vie et Jour de Colère sont très complémentaires. La Marche pour la Vie a une antériorité de plusieurs années et son objet est très beau et spécifique : la Vie. Et nous pouvons mesurer combien la Vie est attaquée de toute part en ce moment. C’est important de montrer combien nous y sommes attachés ; Il faudra donc être très nombreux à cette marche.

Jour de Colère a un objet plus large et rassemblera des gens qui ne seront pas forcément d’accord sur tous les sujets mais qui viendront tenter de mettre un coup d’arrêt aux folies du gouvernement. Il faut donc que le nombre aussi soit conséquent. Cela dit, l’objectif n’est pas de « faire du chiffre », mais d’être déterminés. Il faut que le gouvernement comprenne qu’un an après le combat s’est étendu à toutes les sphères de la société. Et ce n’est pas forcément le nombre qui fait la différence. C’est plutôt la volonté des manifestants.

« L’objectif de l’oligarchie est de tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre. »

Bien sûr, LMPT a toute sa place dans les deux manifestations. J’avoue ne pas très bien comprendre pourquoi les instances nationales ont décidé de faire une manifestation personnelle le 2 février, d’autant que, beaucoup de cadres régionaux LMPT avaient déjà soutenu la date du 26 janvier qui est connue depuis de nombreuses semaines. Il me semble qu’ils auraient intérêt à la décaler un peu plus tard, ce qui permettrait de maintenir la mobilisation sur plusieurs mois plutôt que sur trois semaines successives.

Même si, contrairement aux marxistes, nous ne croyons pas au sens de l’histoire, force est de constater que nous enchaînons défaites sur défaites depuis des décennies et que notre civilisation est en train d’être changée progressivement. Comment arrêter net ce mouvement et l’inverser ? Comme pour nous décourager par avance, certains oligarques comme Attali pensent que l’euthanasie, la GPA, le transhumanisme, en raison du souci de confort et de l’orgueil humain, sont inévitables, à terme…

Oui, nous avons à faire face à une idéologie sans concession dont l’objectif est la destruction de la société qu’ils appellent « réactionnaire » pour construire un monde nouveau dont l’Homme serait le Maître absolu.

Car, c’est de cela dont il s’agit : tuer ce que nous sommes pour faire renaître un homme créé par l’homme, nier sa dimension verticale, ce qui fait sa transcendance, ce qui l’ancre dans la réalité et dans la vérité, ce qui fait de lui un homme debout, et, également, nier sa relation horizontale, ce qui fait de lui un être social, un être de relation, un être tourné vers l’autre.

L’objectif est de créer un individu, réduit à une dimension exclusive de producteur consommateur, un individu mondialisé et déraciné, esclave du marché mondial, poussé à assouvir des désirs incessants qui l’empêchent de penser librement.

« L’oligarchie est en train de fabriquer une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini. »

C’est une idéologie dont l’objectif est de créer un nouvel ordre mondial : c’est ainsi qu’elle est défendue par des organismes internationaux qui ont tous des connexions : l’ONU, l’UNESCO, Bilderberg, les internationales franc-maçonnes. De grandes entreprises internationales également s’investissent et investissent de grosses sommes d’argent pour faire avancer ces causes. Jacques Attali, Pierre Bergé et bien d’autres tels que Bill Gates ou Goldman Sachs en sont des promoteurs acharnés depuis des années.

Le plus sûr moyen de créer cet homme nouveau, c’est de lui faire croire qu’il n’a pas de limite, que ses désirs ont valeur de droits, que même la nature est esclavagiste, qu’il faut donc s’en affranchir. C’est de créer un mythe, celui de l’homme parfait que l’on va fabriquer en laboratoire pour mieux le contrôler et éliminer ses défauts soit en le transformant, soit en l’éliminant par l’eugénisme. C’est l’idéologie que l’on appelle le trans-humanisme.

C’est pourquoi le malade, le handicapé, le vieillard n’ont pas leur place dans cette société-là, d’où logiquement le vote de la loi sur l’euthanasie.

Est ainsi fabriquée une culture « hors sol » et « hors sexe », avec des individus qui ne peuvent plus s’identifier ni à une culture, ni à une histoire, ni à un territoire, ni à une origine biologique, ni à un sexe défini.

Ce qui est grave, c’est qu’en plus ce totalitarisme utilise des mots et des concepts dont le sens est inversé : liberté, solidarité, égalité, amour…

Que des mots qui font rêver…

Il est donc plus que temps de dire stop à tout ça et de montrer à François Hollande et ses oligarques que nous ne sommes pas dupes et que nous sommes plus déterminés que jamais !

ONLR, qu’ils le sachent ! Et nous allons gagner, qu’ils le sachent aussi !

10:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hommage, très émouvant, d'Alain de Benoist à Dominique Venner

C'était le vendredi 31 mai dernier à Paris

Sur Dominique Venner  cliquez ici

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Taubira, Coluche, Dieudonné : cherchez l’erreur !

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Que vous soyez Noir ou Noir, humoriste ou humoriste, de gauche ou de gauche, on ne vous applique pas le même traitement. Car il y a les Noirs victimes et les Noirs salauds, comme il y a les humoristes invités chez Drucker à qui tout est permis pour vomir en direct et les humoristes invités à aller se faire entendre au palais de justice. Sans oublier, donc, ceux de gauche qui marchent dans le rang et ceux qui ont quitté celui-ci.

Dieudonné M’Bala M’Bala a fait partie des premiers. Depuis quelques années, il ricane en tête des seconds. Toujours présent à la télé, mais plus dans les émissions de variétés du samedi soir, toujours désormais dans les affaires judiciaires des JT.

Quoi qu’on pense de ses « coups » avec Jean-Marie Le Pen en parrain de sa dernière-née, ou Robert Faurisson à qui il a remis sur scène le Prix de l’infréquentabilité, de ses candidatures infructueuses aux élections et de ses sketchs contre le sionisme et obligés, force est de constater que sa diabolisation interpelle. Surtout à quelques semaines de la levée d’indignation qui a suivi la comparaison entre Christiane Taubira et la gent simiesque : que n’a-t-on alors fustigé l’intolérable racisme des Français !

Pour Dieudonné, rien de semblable. Désormais, c’est au geste de la « quenelle » – marque récemment déposée par madame Dieudonné à l’Institut national de la propriété intellectuelle (INPI) – que les bien-pensants s’en prennent… Ce geste (bras tendu vers le bas, coupé au niveau de l’épaule par l’autre main) serait-il une parodie – mais significative – du salut nazi (lui-même, rappelons-le, ex-salut de la Rome impériale, puis ex-salut olympique) ou, comme Dieudonné et ses partisans l’affirment, rien d’autre qu’un « bras d’honneur au système » ? Tel d’ailleurs un certain slogan de la présidentielle en 1981 : « Tous ensemble pour leur foutre au cul avec Coluche », qui a tant fait sourire à l’époque et continue de faire l’admiration de tant de nostalgiques du candidat aux plumes dans le derrière…

La farce quenellière se répandant à vive allure, non seulement dans la netosphère mais jusque sur les plateaux de télévision (dont ceux du sacro-saint Canal+), on assiste à un bis repetita d’indignation citoyenne. Les médisances – tout comme les plaisanteries – les plus courtes étant les meilleures, Dieudonné vient donc de porter plainte en diffamation contre X après les propos du président de la LICRA (association de lutte contre le racisme et l’antisémitisme), Alain Jakubowicz, qui a associé la quenelle « au salut nazi inversé signifiant la sodomisation des victimes de la Shoah » (sic).

Voilà une plaisanterie, en tout cas, dont beaucoup ne sont pas près de se lasser : la LICRA, qui a tant profité de la justice, à son tour traînée devant les tribunaux. Un spectacle à ne pas rater ! D’autant que les avocats de l’humoriste ont annoncé d’autres plaintes, dès 2014, « contre les auteurs supposés de propos diffamatoires qui ont une responsabilité d’information ou une autorité », et de citer Le Monde, BFMTV, France 2, Le Figaro… sans oublier le ministre de l’Intérieur Manuel Valls.

Dieudonné, père Noël pour les uns, père Fouettard pour les autres, demandez le programme !

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vendredi, 27 décembre 2013

Communisme municipal, communautarisme et terrorisme

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Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

En 2008 l'actuel maire communiste de Bagnolet Marc Everbecq avait été élu au second tour avec 53 % des suffrages exprimés et 50 % d'abstention. Dans cette ville de 32 000 habitants, à l'époque, sa liste avait recueilli 4 160 voix. Présentée par le PCF elle se vit attribuer 30 sièges contre 6 à la liste des socialistes conduite par Tony di Martino et 3 à l'UMP.

Depuis 5 ans cette équipe dirige donc la ville, avec sa langue de bois et ses magouilles d'urbanisme collectiviste gris, que dénoncent vainement ses adversaires et quelques architectes courageux. Ceux-ci ont pu mettre en évidence une réduction des espaces verts pour satisfaire les intérêts des promoteurs (1).

Ses budgets bâclés sont votés dans un climat autoritaire de désinformation que met en cause une opposition malheureusement impuissante (2).

C'est dans ce contexte que le communisme municipal a pris une décision à première vue stupéfiante. Le 11 décembre en effet le conseil municipal votait la qualité de citoyen d’honneur de Georges Ibrahim Abdallah.

Après 30 ans de détention il est fortement question d’expulser de France ce personnage. Né en 1951, ce militant communiste est considéré comme le chef de la Fraction armée révolutionnaire libanaise. Il avait été condamné par la justice française en 1986 à la réclusion à la perpétuité pour des actes indiscutablement terroristes.

Rappelons brièvement ses exploits et ceux de son équipe. Il a été jugé responsable d'attentats meurtriers sur notre sol contre des diplomates américains et israéliens. Ceci enchante à l'évidence les partisans de la guerre à outrance au Proche-Orient. Or deux artificiers français l'ont payé de leur vie en août 1982, etc. (3)

Jusqu’ici deux modestes bourgades avaient impunément précédé Bagnolet dans ce qu'on peut tenir pour une provocation. Ainsi, le 19 mai 2012, André Delcourt, maire communiste de Calonne-Ricouart, Pas-de-Calais 5 800 habitants, l’avait nommé, déjà, "citoyen d’honneur". Un mois plus tard, dans le même département, le 19 juin 2012, Christian Champiré, maire communiste de Grenay, 6 700 habitants dans la banlieue de Lens et les membres du conseil municipal le nommaient à leur tour "citoyen d’honneur" de leur commune.

Marc Everbecq, en Seine-Saint-Denis, vient donc de faire franchir à cette campagne un cran supplémentaire. Il l'a fait délibérément dans le but de recueillir pour son parti les votes communautaires, à défaut des suffrages populaires.

Cette décision a été soutenue, en effet, de bout en bout par une structure parfaitement révélatrice des forces communautaristes sur lesquelles s'appuient désormais les tenants du communisme municipal : le "Groupe des associations de Bagnolet".

Une visite de la page facebook de ce collectif permet de mieux comprendre comment tout cela fonctionne dans les municipalités de gauche où sévissent encore les communistes, aux marges de la démocratie (4).

"Les associations" sont, comme il se doit subventionnées. Cela se revendique désormais, et cela se pratique, comme une sorte de droit. Elles font la claque en séances publiques lors des conseils municipaux, comme dans les assemblées révolutionnaires, etc.

Les sympathisants du terroriste le présentent comme un héros et comme un ardent défenseur de la "cause palestinienne".

Si ces gens réfléchissaient sincèrement, nous leur poserions une "simple question". Citons celle que l'excellent blogue de l'Institut d'Histoire sociale pose à ce sujet à tous ces activistes et soutiens du marxiste-léniniste Georges Ibrahim Abdallah : pensent-ils sérieusement que leurs méthodes terroristes ont vraiment fait progresser ladite "cause palestinienne" ? (5)

Mais il ne s'agit pas de cela. Il s'agit pour leurs inspirateurs et commanditaires de rassembler coûte que coûte tout ce qui peut sauver l'implantation du stalinisme en France.

Notes

  1. cf. sur Bagnolet-webtv
  2. cf. l'intervention de Tony di Martino qui décrypte le budget 2013 de Bagnolet lors de la séance du conseil municipal le 15 avril 2013
  3. cf. Hervé Roubaix sur Dreuz.fr
  4. sur Facebook.
  5. cf. Blog-Actu du site de l'Institut d'Histoire sociale le 26 décembre.

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Chronique de la France asservie et résistante

IMG_0188 -Copier-.JPGRobert SPIELER

RIVAROL N° 3121

du 19 décembre 2013

ILS N’EN peuvent plus, les commentateurs, de gauche et de droite. Le métissage est en route ! Pensez : Flora Coquerel, la nouvelle Miss France, a une mère d’origine béninoise. Elle a coiffé sur le fil une jeune femme d’origine tahitienne. Les temps sont durs pour les blondes aux yeux bleus. Ce n’est pas la première élection d’une métisse. Déjà en 2000, fut élue une Franco-Africaine d’origine rwandaise. Idem en 2003, en 2005 et en 2009. Fermez le ban…

MISS MÉTISSE A ÉTÉ ÉLUE MISS FRANCE

Mais qu’en pense le Front national de Marine Le Pen ? Interrogé sur RTL par Jean-Michel Aphatie, lundi 9 décembre, à propos de l’élection de Miss Orléanais, Florian Philippot, le numéro deux du Parti, a d’abord montré son enthousiasme : « Je dis qu’elle est belle et qu’elle représentera très bien la France », ajoutant, histoire de se faire bien voir des adversaires : « Ceux qui veulent avoir une vision forcément raciste ou racialiste des choses se trompent ». Nous ignorions que Philippot eût une quelconque compétence pour ce qui concerne les femmes, mais il n’hésite pas à donner un avis qui fait semblant d’être autorisé : « Je crois que c’est d’ailleurs la plus belle de toutes les Miss qui étaient proposées. » Interrogé quant aux propos tenus par la dinde : « Je suis fière de représenter une France cosmopolite […] », il se montra quelque peu gêné, mais pas trop, rassurez-vous. Il déclara : « Bah, c’est son opinion. […] Attention à ne pas faire de la politique partout, ça reste un divertissement » affirmant qu’il n’utilisait jamais le mot “cosmopolitisme”, un gros mot, il est vrai, comme nos lecteurs ne l’ignorent pas. Oui mais des membres du FN utilisent-ils ce mot dans un esprit négatif, demande le journaliste. Réponse de Philippot : « Je ne crois pas, je n’en sais rien… Peu importe, c’est un mot de la langue française… » Jean-Marie Le Pen, Jean-Pierre Stirbois, au secours !

NOUVELLE AFFAIRE DE DROGUE POUR LE FILS DE TRIERWEILER

Selon les informations du magazine Closer, le fils de Valérie Trierweiler aurait encore été arrêté en possession de cannabis mais aurait bénéficié d’un passe-droit pour éviter les poursuites. Etre fils de ministre ou de personnalités politiques conduirait-il à la délinquance ? On peut se poser la question avec les exemples que nous avons sous les yeux. Le fils de Marisol Touraine condamné à trois ans de prison ferme pour « extorsion de fonds » et “séquestration”, le fils de Taubira arrêté en possession d’objets volés, le fils de Fabius reconnu coupable d’abus de confiance et même le petit dernier de Sarkozy qui s’était amusé à bombarder une policière de l’Elysée à coup de billes et de tomates !

RACHIDA DATI TERRORISE-T-ELLE LES JOURNALISTES ?

J’avais évoqué dans ces colonnes le livre Rachida ne meurt jamais d’Elisabeth Chavelet, rédactrice en chef de Paris-Match. Elle décrit l’ancienne garde des Sceaux comme une femme violente, prête à tout. Interrogée par le quotidien 20 minutes, la journaliste s’explique sur la genèse du livre et raconte que Rachida Dati manipule beaucoup les journalistes et sait se montrer menaçante. Elisabeth Chavelet explique pourquoi elle n’a pas souhaité rencontrer l’ancien ministre durant la rédaction du livre : « Elle est assez dangereuse quand elle rencontre les journalistes. Elle est capable d’aller raconter n’importe quoi après l’interview, sur ce qu’on a dit ou pas dit, donc mieux valait ne pas la voir ». Et elle poursuit : « Elle terrorise les gens en leur disant qu’elle a des dossiers, qu’elle va tout balancer ! Ou alors qu’elle va leur envoyer ses frères », ajoutant : « les gens ont peur »…

 LES JUIFS OPPRIMENT LE PEUPLE NOIR DE BROOKLYN

 Ce sont les propos tenus récemment par Laurie Cumbo, la conseillère afro-américaine nouvellement élue de Crown Heights (New York) qui justifie les attaques antisémites « Knockout the Jews » (butons les Juifs) commises par les Noirs parce que, selon elle, les Juifs oppriment la Communauté noire de Brooklyn ! Cumbo a provoqué une tempête après avoir posté un message sur Facebook, en disant que les attaques de la communauté noire sont justifiées, car les Juifs oppriment le peuple noir de Brooklyn, à New York. Elle a déclaré : « Ces sentiments entre les résidents noirs de Crown Heights (et les Juifs) donnent un possible aperçu des raisons pour lesquelles de jeunes adolescents noirs commettent des crimes de haine contre la communauté juive. » On imagine la fureur dans les milieux juifs. Ainsi, l’Anti-Defamation League affirme que ces propos « évoquent des stéréotypes antisémites classiques. » Evidemment quel dommage que Laurie Cumbo ne soit pas blanche et d’extrême-droite…

HUMOUR ET POLITIQUE

Le jury du Prix Press Club Humour et politique a dévoilé une première liste composée des phrases les plus cocasses ou les plus ridicules émanant de la classe politique, de gauche ou de droite. Parmi celles-ci, cette profonde pensée, tendance flagornerie, d’Henri Guaino : « Si Nicolas Sarkozy n’avait pas été là, il n’y aurait plus de démocratie en France, en Europe et dans le monde ». Il y a aussi Alain Juppé, condamné en 2004 à 14 mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs à la mairie de Paris, qui a déclaré: « En politique, on n’est jamais fini. Regardez-moi ! ». Et puis le ministre du Redressement productif qui a répondu à la question d’un retour éventuel de Nicolas Sarkozy : « Peut-être… mais menotté ». Il y a bien sûr l’inénarrable Nadine Morano, qui n’en rate pas une, déclarant sur le plateau d’On n’est pas couché : « On a une recrudescence de violence… par exemple le vol des portables à l’arraché. Ça n’existait pas avant que les portables existent ». Elle n’a au demeurant pas tort, si on y réfléchit bien… Mais Valérie Pécresse, secrétaire générale déléguée de l’UMP et ex-ministre de l’Enseignement supérieur, sait aussi se surpasser, déclarant : « On a besoin d’une Angela Merkel en France et cela peut être un homme ». Et pourquoi pas un travesti ? François Hollande mérite, quant à lui, de remporter le Grand Prix de haute réflexion politique et philosophique quand il déclare : « Quand ça va bien, on devrait se rappeler que ça ne va pas durer. Et quand ça va mal, on peut penser que cela pourrait aller plus mal ou que ça ne va pas durer ». Allez, pour ma part, je choisis Morano. C’est la meilleure dans son genre… Encore que le député UMP de Haute-Savoie et ex-président de l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, ne semble pas être de cet avis. Il s’oppose à l’idée que Morano soit tête de liste aux élections européennes dans le Grand Est, déclarant : « Qu’apporterait-elle de plus ? » et s’exprimant en faveur d’« une personnalité compétente » et “assiduequi n’est pas « sur les plateaux de télévision ou dans l’antichambre des partis politiques ». Sympa pour Nadine Morano…

OBSÈQUES DE MANDELA : QUELQUES BIZARRERIES…

Quelques événements bizarres ont jalonné les obsèques de Mandela. C’est ainsi qu’un traducteur en langue des signes était omniprésent pour accompagner les discours des officiels qui se succédaient au micro. Problème : il s’agissait d’un imposteur qui gesticulait et bougeait ses mains dans tous les sens, sans rien connaître aux règles de la langue des sourds-muets. On ignore comment il a bien pu monter sur la tribune. Il vient d’être identifié et explique avoir eu une subite attaque de schizophrénie, être sous traitement et avoir entendu des voix. Et pendant ce temps, la maison de Desmond Tutu, prix Nobel de la paix, qui prononça la bénédiction de clôture, était cambriolée. Et pendant ce temps, Obama et la Première ministre danoise, Helle Thorning-Schmidt, une belle blonde, contaient fleurette. Michèle Obama, visiblement folle de rage, vint s’assoir de force entre les tourtereaux. Quant à Valérie Trierweiler, elle s’est encore surpassée. A l’aéroport, au moment où François Hollande et Nicolas Sarkozy se saluaient au moment de prendre l’avion du retour, la mégère est partie, sans saluer l’ancien chef d’Etat et sans un regard…

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Bonne nouvelle : le film "La Marche" a fait un flop total !

index.jpgAprès la polémique suite à une chanson de la BO, le film La Marche, symbole de l’antiracisme, fait désormais aussi un flop total dans les cinémas français. Cela a commencé le jour de sa sortie le 27 novembre où il n’a attiré que 552 spectateurs parisiens dans 21 salles malgré une promotion omniprésente. Les derniers résultats du box office français montrent que le film est un désastre . A sa 3ème semaine, il est désormais 33ème dans 183 salles de cinéma pour un total de 170.000 entrées. Soit le film est vraiment de mauvaise qualité, soit l’antiracisme ne fait vraiment plus recette en France. On penche vraisemblablement pour la deuxième hypothèse.

Source Media presse infos cliquez ici

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Revue de presse. On aura tout vu : Nolwenn Leroy épinglée pour lepénisme

Philippe Cohen Marianne cliquez ici

Dans un article délirant, le journaliste du Nouvel Observateur Fabrice Pliskin a expliqué pourquoi le dernier album de la chanteuse était maurrassien et pire encore. Mais s'agit-il seulement d'un dérapage ?

La chanteuse Nolwenn Leroy est furieuse et le fait savoir. Elle est furieuse contre un article, d'une violence inouïe, de Fabrice Pliskin  du Nouvel Observateur, qui a trouvé dans son dernier album une nouvelle preuve de la « lepénisation des esprits » :
 
« Son disque subjugue. N'est-il pas très comme il faut et propre à incarner "l'image de la France rurale, l'image de la France des terroirs et des territoires", comme dirait dans son style maurrassien le député UMP Christian Jacob? Olivier Nusse, directeur général de Mercury, compare avantageusement le succès de "Bretonne" à celui des "Ch'tis".

Avec son prénom de sainte décapitée, Nolwenn affiche un pedigree de la vieille roche. Née à Saint-Renan, son père, Jean-Luc Le Magueresse, est un ancien footballeur professionnel de Brest et de Guingamp. D'aucuns blâmeront son adolescence auvergnate, mais personne n'est parfait. » 

Plus loin, le journaliste, décidément en verve, évoque la chanteuse « droite dans ses sabots, ivre de cadastre, d'ancrage et de toponymie » pour conclure en la qualifiant de « premier robot de fabrication 100% bretonne ». Pour mesurer la fureur d'écrire du journaliste, il suffit de remplacer, dans son texte, Breton par Kabyle ou Arabe : on obtient alors un article flirtant avec la xénophobie qu'il croit percevoir chez la chanteuse. En réalité, Fabrice Pliskin abrite confortablement sa francophobie derrière les remparts de la presqu'île bretonne.

Cet article furieux a fini par provoquer un droit de réponse légitime de la chanteuse : « Je suis extrêmement choquée par ce procès d'intention que je trouve indigne. Comme j'estime douteux et déplacé l'emploi, pour me décrire, des termes preuve générique de sa bretonnante traçabilité", "droite dans ses sabots ivre de cadastre, d'aencrage et de toponymie", "affirmant un pedigree de vieille roche" ou "premier robot de fabrication 100% bretonne".J'ai choisi de réaliser cet album sans aucune arrière-pensée, car mon attachement à la Bretagne et à sa culture est sincère.  »

L'article coup de poing de Fabrice Pliskin n'est pas un dérapage. Régulièrement depuis quelques semaines, l'Obs se plait à épingler des légions d'horreur sur la poitrine d'intellectuels ou de journalistes supposés diffuser à bas bruit la petite musique lepéniste. Dans le numéro de cette semaine, Luc Ferry Denis Tillinac et Philippe Bilger sont, après d'autres, désignés à la vindicte publique. Tous fachos, tous lepénisés si ce n'est dans leurs discours au moins dans leurs sous-entendus et dans leurs cœurs puisqu'il est désormais établi que l'Obs traque le lepénisme dans le cœur des intellectuels. Mais l'opposition au lepénisme progresse-t-il vraiment à coup de droits de réponse et de réponses aux droits de réponse que génère à chaque fois la réponse des personnes attaquées ?

L'ultra-vigilance d'Ariane Chemin l'amène à épingler Claude Guéant pour sa phrase sur «les Français qui n'ont plus le sentiment d'être chez eux ». Oui mais le directeur de la rédaction, Laurent Joffrin, développe un point de vue légèrement différent : « La déclaration fait scandale à gauche, mais elle est plus difficile à contrer qu'on pourrait le croire. L'indignation, selon le mot à la mode, ne suffit pas. On ne peut pas se contenter de déclarer: Guéant dit la même chose que le Front national, il est donc disqualifié, comme si cette simple énonciation valait démonstration. Certains Français, en effet, ne se sentent plus chez eux dans certains quartiers. Il faut bien leur dire quelque chose qui dépasse la simple protestation contre des propos à connotation xénophobe. La gauche n'a pas encore trouvé la bonne réponse.  » On respire. Le pluralisme règne encore au sein du Nouvel observateur. Mais la cohérence ?

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Quelques considérations sur la bobocratie en général et sur les bobos en particulier...

images.jpgLes libres propos de

Jacques-Yves Rossignol

1 - L’égalité des cultures, c’est un rêve bobo : elle existera effectivement lorsque la planète sera conquise par l’industrie culturelle et que chacun sera directement téléguidé mentalement par les nécessités du marché. Alors, on pourra dire qu’il y a égalité des cultures, c’est-à-dire des fonctionnements mentaux dictés par les nécessités du marché. Egalité dans la différence d’ailleurs : le contenu des films accablants ou des « musiques » consternantes peut changer, le crétinisme acquis et surtout les profits retirés de la crétinisation sont identiques ; là, je vous le dis, il y a bien égalité des cultures : elles rapportent autant de fric l’une que l’autre !

2 - Il s’agit bien de faire passer la culture néo-primitive du capitaliste mondialiste pour une culture parmi d’autres, acceptable, non particulièrement aliénante, se situant en quelque sorte dans la suite logique de l’histoire occidentale, sans rupture. Or, rien n’est plus mensonger. La culture culturelle de la fausse gauche, c’est une cassure totale ! Il s’agit d’une « culture », fabriquée industriellement (cinéma, musique) ayant uniquement pour but de faire des profits, introduite à cours forcé et ayant une prétention hégémonique.

3 - La réalité historique vécue actuellement c’est donc un dressage systématique des peuples occidentaux par des énormités à prétention morale (égalité des cultures, il faut oser sortir la sortir celle-là, quand on a pour métier de détruire les cerveaux des gens !) pour les conduire discrètement à gober in fine l’infra-culture néo-primitive du capitalisme culturel, la seule qui permet de faire des profits titanesque par aliénation à temps plein : voir les minables et malheureuses victimes de la drogue musicale.

4 - Mais cela n’est pas acquis, il y a encore de l’histoire, de la polémique. Et précisément pour poursuivre le combat contre la crétinisation généralisée des occidentaux par la culture industrielle fabriquée, nous devons repérer « l’égalité des cultures » comme un petit élément parmi d’autres du discours idéologique nous conduisant discrètement (discrètement, c’est cela l’important !) à l’acceptation de la vie zombifiée et de la mort mentale, genre bobo, par l’industrie culturelle.

5 - Pour comprendre comment marche cette idéologie lamentable , il suffit d’observer que les cultures qui servent (parfois très indirectement) à dresser à la crétinisation culturelle sont « égales » entre elles (certaines cultures chargées de faire oublier les acquis occidentaux, et les cultures néo-primitives proprement dites évidemment) elles forment la catégorie des « cultures » proprement dites, les cultures s’opposant à la crétinisation générale (les cultures populaires, régionales, savantes, et les doctrines politiques critiques du capitalisme) se trouvant être également « égales », mais dans une autre catégorie, les cultures dépassées, les cultures de ploucs et de ringards, les fascismes finalement !

6 - Ainsi, le principe d’égalité des cultures met à part un groupe de cultures qui ne plaisent pas. Ces cultures ne sont pas égales aux autres cultures, celles qui plaisent. C’est ennuyeux pour la théorie juridico-bobo. Car, de deux choses l’une : soit les cultures sont égales, soit les cultures ne sont pas égales. Introduire des exceptions à l’égalité déclarée des cultures, c’est vraiment gênant pour la cohérence du principe revendiqué. Encore plus lorsque l’on peut identifier l’ensemble de ces exceptions comme un groupe de cultures, celui des résistances à la crétinisation culturelle, également redoutées et stigmatisées par les gens d’argent.

7 - On a là « l’égalité des cultures » dans sa réalité profonde. Sont égales dans une catégorie (« les cultures ») les cultures préparant, directement ou indirectement, ouvertement ou discrètement, à la crétinisation généralisée par l’industrie culturelle mondialiste et sont égales dans une autre catégorie (« les fascismes ») les cultures de résistance à la crétinisation. 

8 - L’application pratique de l’égalité des cultures, c’est donc la dégradation mentale de tous les hommes civilisés : la guerre discrète des gentils culturels de l’argent contre les méchants fascistes du terroir pour le règne de la véritable égalité culturelle entre zombis évoquée plus haut.

09:56 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"L'Epuration et les poètes", retour sur une période sombre de notre Histoire...

I-Moyenne-14270-l-epuration-et-les-poetes.net.jpgIl faut savoir gré à Léon Arnoux d'avoir composé ce florilège, le premier du genre, de poètes à ce point maudits que leur œuvre demeure, aujourd'hui encore, sous le coup d'une flétrissure originelle.

Grand prescripteur d'opinion et souverain proscripteur, le Comité national des écrivains, imprima le sceau d'infamie, en dressant dès le début de septembre 1944, la première de ses listes noires rendant publique la mise à l'index de nombreux auteurs, souvent de renom, qui furent donc réduits au silence.

 (.) La panoplie des peines ne fut jamais aussi large. La fusillade, bien sûr, mais aussi les années de géhenne en prison, ou pire en centrale, l'indignité nationale, la confiscation des biens. L'oubli, sournois, acheva la besogne. Pour les poètes aussi.

Léon Arnoux est allé les chercher au fond de leur puits d'oubli.

 (.) La poésie carcérale s'impose d'abord comme l'expression d'une sensibilité exacerbée par les affres de l'enfermement. Le prisonnier vit dans l'attente et l'incertitude. Celle, immédiate, de son sort. Mais tout peut lui être source de tourments. L'épouse qui ne répond plus aux lettres, ni ne vient aux parloirs, les négligences de l'avocat, la mère qui se consume de désespoir.

Nombre des poèmes traduisent le paroxysme d'une souffrance ou d'une émotion. Ils témoignent souvent d'une élévation d'âme, particulièrement chez le condamné à mort, dont les poèmes ont les accents d'une foi découverte ou retrouvée.

(Extrait de la préface de Pierre-Denis Boudriot)

L'Epuration et les poètes, Léon Arnoux, Editions de Chiré, 144 pages, 19,00 € cliquez ici

09:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie très prochaine du nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : LA FAILLITE DE MANDELA...

Une RSA la faillite de Mandela.jpg

Face à la mandelamania,

une autre voix se fait entendre...

Sortie prévue la semaine prochaine !

Un mauvais cadeau de fin d'année

pour la bienpensance institutionnalisée !

Il est temps de rétablir la vérité !

Vous pouvez déjà le commander :

18, 00 € (+ 3,00 € de port)

Synthèse nationale

116, rue de Charenton 75012 Paris

(correspondance seulement)

Bulletin de commande

02:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 11 janvier, galette des Rois des nationalistes de Picardie

Galette-des-rois-Amiens.jpg

02:06 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 décembre 2013

JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

Prochain numéro de Rivarol : le 7 janvier 2014

10:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 décembre 2013

Amis lecteurs de Synthèse nationale : BON NOEL A TOUS !

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BON NOEL 2013...

17:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hollande, Bayrou et les clowneries de fin d'année !

2956775316.jpgYves Darchicourt

La course au grotesque s'accélère, c'est à se demander lequel de nos politiciens va emporter le pompon du genre! Quasiment dans le même temps, Hollande donne sans le vouloir dans le rigolard politiquement incorrect avant de baisser son pantalon et Bayrou fait dans le resquilleur maladroit.

Décidément Pépère devrait se limiter à la saillie d'alcôve au lieu de jouer les amuseurs de fin de banquet. Car si effectivement, même pour un plénipotentiaire au dos rond et les mains pleines de visas et de subsides, un séjour en Barbarie n'est pas sans risque et que le faire remarquer ironiquement est un plouf diplomatique surtout avec des prétentieux, s'excuser de ses propos confine au lamentable. Que le Normal ne sorte pas grandi d'avoir derechef baissé son pantalon au premier froncement de sourcil de l'ancien garçon de bain qui dirige l'Algérie ne serait finalement pas grand-chose vu l'acabit du personnage, si cela n'était à nouveau appeler le mépris, permettre l'arrogance, inciter aux exigences des maghrébins installés désormais des deux côte de la Méditerranée.

De son côté le "grave de Pau" n'en est pas non plus à une pantalonnade près. Après en son temps avoir fort justement envoyé une mornifle à la face d'une racaille exotique débutante qui lui faisait les poches, la flèche du "centre mou" vient de s'essayer au passe-barrière. Pénétrer en fraude et en force dans un stade parce qu'on est en retard...un bel exemple de civisme et un encouragement certain pour tous les resquilleurs et les velléitaires du passe-droit qui sont déjà pléthore dans notre beau pays. On se consolera en pensant que le valdingue du piteux amènera peut-être certains asociaux à croire aux foudres d'une justice immanente.

Tout cela finalement a au moins l'avantage de faire quand même sourire en ces temps de morosité mais surtout de discréditer encore un peu plus les politicaillons de la ripoublique.

17:18 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les troisièmes adieux définitifs de Guy Bedos...

1532356_5_f6c2_une-manifestation-en-faveur-des-soins_3a8fef2b4a20098d8c088aa5971ff444-534x250.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Cette fois, craché, juré : Guy Bedos arrête ! Enfin, presque ! Enfin, en partie ! Enfin, seulement la scène !

Comme le « point final » que l’humoriste et pamphlétaire avait annoncé en 2007 ?

Comme, il y a deux ans, lorsqu’il avait annoncé avoir donné son dernier show au théâtre du Rond-Point ?

Non, cette fois (la troisième, donc), c’est « la der des der » : « Je vais arrêter le one-man-show le cœur en miettes. J’adore ce métier. Tout va bien malgré tout : je suis plutôt en forme pour mon âge. Je gambade, je saute sur scène, mais je ne veux pas attendre de ne plus pouvoir faire tout ce que je viens de vous dire, et que le public s’en aperçoive. »

Louable intention, n’est-il pas ? Même les plus menteurs peuvent avoir leur instant de vérité. Peut-être bien que l’autoproclamé « poil à gratter » de la vie politique française et perpétuel vomisseur de fiel politique croit dans ce qu’il dit… Et s’il ne devait y en avoir qu’un, pourquoi pas lui ?

On ne peut que s’en réjouir, pas par méchanceté ou rancune politique vis-à-vis de cet obsédé antiraciste et antifasciste, par simple lucidité : à près de 80 ans, ne serait-il pas temps, effectivement, qu’il réalise que son disque est rayé ? Car quel rapport y a-t-il entre le Bedos jeune qui connaissait alors l’amour et le succès aux côtés de Sophie Daumier et ses sketchs magnifiques d’autodérision (La Drague, Bonne fête, Paulette !) et le Bedos aigri et pontifiant, conspuant la droite et insultant Marine Le Pen (« qui fait la campagne d’Hitler ») et Nadine Morano en particulier (qu’il traite de « conne » et de « salope »). Aucun rapport, non, absolument aucun durant un demi-siècle d’une lente transformation d’un indéniable talent artistique en minables vomissures…

On ne peut qu’apprécier qu’il y mette un terme et craindre le pire qu’il veuille « porter la parole autrement » : « Je pense que je vais utiliser l’instrument à la mode qu’est Internet. J’ai déjà un site, un blog… Je vais publier des livres, je pense. Peut-être certains journaux me donneront l’hospitalité de temps en temps. Je vais faire du théâtre et du cinéma, mon premier métier : acteur. »

Un premier métier qu’il n’aurait sans doute pas dû négliger car, tout de même, lorsqu’il interprétait le rôle – certes taillé sur mesure – d’un « médecin étouffé par sa mère juive pied-noir très possessive » dans les deux films d’Yves Robert Un éléphant, ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977), c’était tout de même autre chose !

Une époque sans doute où, réellement, il ne « se prenait pas au sérieux » car c’étaient eux, alors, les spectateurs, qui le prenaient « un peu au sérieux »… bien plus qu’ensuite, lorsqu’il se prit à croire et à dire, avec une insupportable morgue : « Les politiques, aussi, me prennent au sérieux. Ils me surveillent, tous ! »

Est-ce un ultime numéro ? Une dernière posture de vieux clown triste qui ne peut s’empêcher d’ajouter, tout de même, qu’il « continuera à donner son avis », mais – et on ne demande qu’à le croire ! – qu’il ne se présentera pas à des élections, « ça c’est sûr ! »

Quant à une place de ministre, il ne se prononce pas, des fois que… Car avec François Hollande, on n’est jamais certain de rien. Ça c’est sûr, aussi !

17:07 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Femen : nouvelle profanation en l'Eglise de La Madeleine à Paris

853959265.jpgYves Darchicourt

Vendredi dernier au matin, une des roulures du groupe des "Femen" hébergé en France s'est livrée à une scandaleuse exhibition en lEglise de La Madeleine à Paris soit disant en hommage aux signataires du manifeste pour la dépénalisation de l'avortement en 1971.

Prétexte bien évidemment ! Il s'agissait surtout de profaner un lieu de culte chrétien spécialement en cette période où les fidèles célèbrent la Nativité. Ainsi la drôlesse, à poil comme à l'habitude, a mimé un avortement et déposé un foie de veau sur l'autel avant de se mettre à uriner sur les marches de celui-ci et de quitter les lieux.

L'ignominie s'est déroulée devant une dizaine de personnes et les membres d'une chorale en répétition. Il faut croire que l'assistance était tétanisée puisqu'il ne s'est trouvé personne pour rosser d'importance la raclure avant de l'expédier hors les murs manu militari.

Le curé de la Madeleine a déposé une plainte en bonne et due forme, l'AGRIF va se constituer partie civile et le laïcard Delanoë s'est cru obligé de se fendre d'un communiqué hypocritement désolé. Cela ne suffit pas ! Il faut désormais exiger la dissolution de ce groupe d'activistes psychopathes femelles et si Manuel "Gaz" Valls se refuse à l'envisager, il faudra bien les faire taire d'une façon ou d'une autre !

10:26 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 décembre 2013

Entendez-vous en Françafrique, mugir ce féroce "néo"-nazi…

RCA-CENTRAFRIQUE-NAZI-large570.jpgLa chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Décidément, la lutte contre la Bête immonde dont le ventre est – de tous les temps et de tous les monstres – le plus fécond, n’a pas de répit. Pas de trêve des confiseurs pour les chasseurs de nazis. « Néo », les nazis !

Ainsi, avec toute l’émotion obligatoire et républicaine que l’on peut, avons-nous appris qu’un enfant spirituel d’Adolf Hitler se trouve sinon au fin fond de l’Afrique, en tout cas en son centre. Et en la République du même nom.

Certes, ce nazi-là, qui met en émoi tous les auto-proclamés, éternels et rémunérés comme tel, défenseurs du Bien contre le Mal, est français, trouffion de son état ! Et donc, aux armes, citoyens…

Entendez-vous dans nos rangs

Mugir ce féroce soldat ?

etc., etc.

À défaut de mugir, ce guerrier-néo-nazi-là s’est simplement contenté d’arborer sur la manche de son uniforme un macaron velcro avec la devise : « Meine Ehre heisst Treue », (en français : Mon honneur s’appelle fidélité) et, nous apprend le site BFMTV, « dans le cercle, la devise et la mention RCA (Centrafrique, ndlr) 2013. Au milieu, un drapeau français frappé d’un énigmatique “32”. »

Depuis que sa photo a été publiée sur la page Facebook des opérations extérieures de l’armée, les inspecteurs Clouzeau de la bien-pensance sont sur les dents, comme on peut le lire sur le même site : « Sur ce chiffre, plusieurs interprétations sont possibles. Il pourrait s’agir de la 32e division des SS, mais elle n’a rien de significatif. Fondée sur le tard, en 1945, elle n’a duré que quelques semaines avant d’être anéantie. Il se pourrait aussi, selon une source proche de l’armée, que le chiffre fasse référence à la compagnie et à la section en question, par exemple : “3e compagnie, 2e section”. »

On devine le sort qui attend le bidasse indélicat : l’éjection des rangs de notre glorieuse armée, sinon manu militari, du moins très officiellement afin de sauver la République, 5e du nom !

À moins, évidemment, que ce monstre-là ne soit d’ici là envoyé ad patres, ce qui satisferait bien du monde.

Car pendant l’enquête, la guerre continue… et il ne faudrait pas oublier, tout de même, que ce soldat encore inconnu – mais sans doute plus pour très longtemps – est parti là-bas risquer sa vie pour être fidèle, déjà, en son engagement. On pourrait, ne serait-ce qu’à ce titre, lui accorder quelques circonstances atténuantes pour sa bêtise (pour rester poli). Car il faut être vraiment stupide pour ne pas avoir compris qu’en ce début de XXIe siècle, on ne badine pas avec les heures les plus sombres d’une partie de l’Humanité. Même, voire surtout, à travers des mots tels qu’« honneur » et « fidélité » qu’il est interdit, depuis près de soixante-dix ans, d’accoler l’un avec l’autre. Tout comme les termes « Travail », « Famille » et « Patrie », soit dit en passant : au risque d’une mort citoyenne dans le civil, d’une cour martiale (pourquoi pas !) lorsqu’on sert sous les drapeaux…

C’est vrai que si l’« honneur » a peu à voir dans l’affaire, il est pourtant évident que la « fidélité » à la Françafrique est tout de même la raison d’être de notre intervention militaire en RCA… depuis Charles De Gaulle jusqu’à François Hollande !

Un François Hollande qui, de son côté, a salué l’amitié franco-algérienne en se félicitant, devant le Conseil représentatif des institutions juives de France, que Manuels Valls soit rentré d'Algérie « sain et sauf », car « c’est déjà beaucoup »… paroles autrement moins graves pour les intérêts de la patrie, on en conviendra.

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dimanche, 22 décembre 2013

En prévision d’un prochain effondrement systémique

Effondrement du syste-me.jpgBastien Valorgues

À l’occasion de la 7e Journée nationale et identitaire organisée à Rungis en banlieue parisienne par Synthèse nationale, le 11 novembre 2013, Roland Hélie a sorti aux Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale le premier volume d’une collection « Droit de regard. Regards de Droite » dédié à L’effondrement du Système. Si Roland Hélie a sollicité de nombreux contributeurs, la justesse des délais impartis explique que seules six auteurs ont répondu à ses sollicitations.

Ainsi, Pieter Kerstens, chef d’entreprise bruxellois, retrace-t-il l’effondrement du système capitaliste mondialisé depuis 2008. Reprenant ses articles économiques parus dans les différentes livraisons de Synthèse nationale et les réactualisant, il dresse un gigantesque et passionnant panorama sur les causes et le déroulement d’une crise économique générale prévisible. Il rappelle que  « le pourcentage de la dette par rapport au revenu disponible des ménages américains était de 60 % du revenu disponible en 1973, pour atteindre 135 % en 2007 ». Et d’expliquer que loin d’être derrière nous, la crise est toujours devant nous, plus dévastatrice que jamais.

Embraye alors Arnaud Raffard de Brienne pour qui la crise actuelle prépare « Le désastre social annoncé… ». Si Pieter Kerstens s’intéressait aux phénomènes financiers planétaires et macro-économiques, Arnaud Raffard de Brienne dénonce, lui, le « modèle social français » et explique que c’est « un système social condamné par la mondialisation économique et l’immigration ». S’il en constate l’échec, l’auteur ne se rallie pas une quelconque alternative libérale, car il sait que le libéralisme est en fait le meilleur fourrier du métissage et du multiculturalisme marchand. L’avalanche d’impôts et de taxes, déjà commencée sous Chirac, poursuivie par Sarkozy et accrue sous Hollande, confirme le lent naufrage d’un modèle révolu. Oui, « les lendemains ne chanteront pas si ce n’est une lugubre complainte sur l’inconséquence voire la trahison des deux générations qui les précèdent ». Et l’auteur de rapporter que depuis quelques années, « l’État a décidé de “ siphonner ” les sommes collectées par Action Logement afin de financer l’Agence nationale de l’habitat (A.N.H.) et l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (A.N.R.U.) et par conséquent de détourner sans scrupule ce fonds de l’objet pour lequel il a été créé ». Il en appelle par conséquent « à un véritable changement politique qu’il urge aujourd’hui de s’atteler, à un bouleversement radical qui écartera du pouvoir l’ensemble de la classe politique aux manettes depuis plusieurs décennies, véritables co-gestionnaires du désastre annoncé ».

La contribution de Patrick Parment porte aussi sur l’économie. Mais sous un angle perspicace et novateur puisqu’il examine le rôle quasi-ontologique de la croissance. Lecteur attentif du Guy Debord et de Jean Baudrillard, Patrick Parment affirme que l’individualisme favorise et résulte de la société de consommation comprise « comme étant un ordre social et économique fondé sur la création et la stimulation systématique d’un désir d’acheter des biens de consommation et des services dans des quantités toujours plus importantes. Les biens consumés sont souvent peu durables et sont vendus dans la perspective d’une obsolescence programmée ». Parallèlement, la fin de la Guerre froide a stimulé la mondialisation qui « est la généralisation dans le monde entier de la libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des hommes. Autrement dit, l’essence même du commerce ». Une course effrénée à la possession de ressources limitées, car épuisables dans le temps, rend possible comme vison alternative complète le projet global de décroissance surtout si cette décroissance se comprend comme une catastrophe bénéfique, voire salutaire pour les peuples natifs d’Europe.

Enseignant francilien, Maurice Bernard dresse, quant à lui, le constat de la ruine de l’Éducation nationale. Victime d’un État « obèse, pléthorique à la base, mais sans vision, ni volonté, ni courage au sommet », l’école souffre de « cet État omniprésent mais impotent, qui étouffe le corps national sous le poids de ses erreurs, de ses échecs, de ses abandons, de ses prélèvements… » Il oublie en revanche d’évoquer la large responsabilité du marché qui considère les écoliers comme de futurs consommateurs - producteurs. Cependant, l’auteur retrace l’échec édifiant d’un système scolaire qui préfère aujourd’hui concevoir des méthodes conformistes et inutiles. Par rapport aux efforts réels de la IIIe République, la régression est incontestable !

Romancier et spécialiste de l’Extrême-Orient indochinois, Éric Miné analyse l’effondrement des médias français. De nos jours, les journalistes, petits mercenaires du Système, mentent ouvertement, manipulent volontiers l’opinion et pratiquent une information-spectacle à forte charge émotionnelle. Or le temps de ces bonimenteurs est désormais révolu grâce à Internet qui bouscule et pulvérise leur monopole. Pseudo-comique experte dans l’insulte contre les électeurs du F.N., Sophia Aram a assisté en direct au plantage quotidien de son émission télévisée. Chantre de l’insécurité pour les autres, le quotidien déficitaire Libération traverse une grave crise qui crispe les rapports entre les salariés et leur direction. A contrario, l’hebdomadaire conservateur, libéral, atlantiste et sarkozyste Valeurs actuelles voit ses ventes s’envoler ! Chaînes d’information en continu et Internet dérangent les vieilles habitudes installées et politiquement correctes. Pendant que les médias officiels saluaient le civisme des « jeunes » au moment de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge, blogues et sites dissidents rapportaient, eux, une toute autre réalité, celle de vol sur les victimes par cette racaille si « citoyenne »… Hier tenus en silence, « les Français s’instruisent maintenant en ligne, grondent et crient leur désaccord. Sur le terrain, les manifestations prennent le relais. Le chahut et les huées ne sont jamais loin ». Ce fut d’ailleurs le cas, le 11 novembre, aux Champs-Élysées contre Hollande…

L’effondrement du Système se manifeste enfin en politique et en géopolitique. Éminent rédacteur en chef d’Europe Maxima, Georges Feltin-Tracol s’attaque à un « quatuor » incongru et ultra-moderne dont il pense la chute prochaine : la partitocratie, la Ve République française, l’Union européenne et les États-Unis d’Amérique. Avec une rare ingéniosité, il arrive à unir ces quatre sujets dans un ensemble critique cohérent. Non seulement il s’en prend avec virulence aux partis politiques qu’il juge « nuisibles », mais il attaque la Ve République dont il dénonce les incessantes révisions constitutionnelles et le déplorable unanimisme « cohabitationnaire ». Il ne souhaite ni la rénover, ni la sauver et affiche au contraire sa claire intention de fonder une nouvelle Res Publica identitaire, intégrée dans un cadre alternatif européen distinct d’une pseudo-Union européenne mortifère. Cette Alter-Europe sera possible si dans le même temps échoue le modèle des États-Unis. Il émet ainsi le vœu radical que les forces séparatistes en Amérique du Nord s’affirment afin de déchirer définitivement la bannière étoilée.

Dans une seconde partie, Georges Feltin-Tracol suggère une nouvelle configuration institutionnelle. Se référant à Platon, à Aristote, à Julius Evola et au tirage au sort (l’un de ses thèmes de prédilection), il expose l’ébauche d’une Europe impériale dans laquelle existerait une république française des régions authentiques animées, maintenues et protégées par un ordre ascétique politico-mystique : l’Ordre des Gardiens. « Le principe politique de l’Ordre tend à concilier, pour le plus grand effroi des modernes, le populisme et l’élitisme afin de susciter un populisme élitiste ou un élitisme populiste parce que les seules élites authentiques proviennent de leur peuple qu’elles mettent dans le même temps en forme. »

La diversité des contributions de ce recueil démontre la grande richesse des opinions exprimées. Sont-elles toutes de « droite » ? Impossible de répondre ! On est en tout cas certain que leurs auteurs ne se soumettent pas à la pensée dominante et attendent avec impatience l’effondrement de ce Système dément.

• Collectif, L’effondrement du Système, coll. « Droit de regard. Regards de Droite », volume I, Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale (116, rue de Charenton, 75012 Paris) , 2013, 173 p., 18 € (+ 3 € de port).

• Mis en ligne sur Europe Maxima, le 22 décembre 2013.cliquez ici

NDLR : pour commander cet ouvrage cliquez là

19:26 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre à la Confédération nationale des automobilistes : Les automobilistes traités comme des délinquants ou des vaches à lait. Assez !

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Odile Wenger

Présidente de la CNA cliquez ici

« Ras le bol d’être une « vache à lait » ! »

 « Ras le bol d’avoir, continuellement, la sensation d’être racketté, rançonné, agressé, … ! »

 « Ras le bol de l’injustice ! »

 « Ras le bol d’être montré du doigt comme étant le coupable, le responsable de tous les maux de notre Société ! »

 « Le déficit, la pollution, les excès, …,  tout m’est imputé ! »

 « J’en ai assez d’être poursuivi, humilié, condamné … »

 « Marre des Taxes ! »

 « Payer, toujours payer, et en plus on me vole des points … »

 « La double peine, la triple peine, ce n’est pas pour les truands, c’est pour moi ! »

 « Et si le rôle de la Police et de la Gendarmerie c’était de lutter plus contre la criminalité et la délinquance que de remplir les caisses du Ministère des Finances avec nos sous ! »

 « Le racket institutionnel du stationnement payant ! »

 « Le prix de l’essence rendu excessif par toujours plus de taxes ! »

Ces sensations, ces réflexions, ces certitudes, ces injustices je les partage avec plus de quarante millions d’automobilistes, de conducteurs vivant en France. Il n’est plus que temps de se relever et d’adresser à nos édiles un message fort, clair et net.

C’est le rôle que s’est imposé la CONFEDERATION NATIONALE DES AUTOMOBILISTES : « défendre et servir » les automobilistes contre tous ceux qui les considèrent comme une réserve infinie d’argent.

Il y a de nombreuses questions à poser, des interrogations légitimes à formuler et des réponses claires à obtenir.

Nous, nous comptons les exprimer, faire affirmer des évidences et communiquer les réponses obtenues.

Comment se fait-il que dans un pays au bord de la banqueroute on passe son temps à attaquer une des rares industries qui fonctionne encore ?

Devons-nous réellement croire que l’objectif de nos dirigeants soit de suicider l’industrie automobile Française qui fait vivre et travailler, directement et indirectement des millions de travailleurs Français pour les remplacer par une production famélique de vélos fabriqués à quatre vingt dix neuf pour cent en Chine ?

Comment devons-nous considérer des responsables politiques qui n’ont de cesse de nous ponctionner avec des taxes, des amendes, des procès-verbaux, des procès ?

N’ont-ils pas d’autre solution pour remplir leurs caisses que de s’en prendre prioritairement à nous, citoyens modèles, qui achetons, en payant des taxes, des véhicules

– pour lesquels nous devrons ensuite payer de l’essence ou du diésel,

pour lesquels nous acquitterons la TICPE (Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Energétiques) qui se monte à près de 60% du prix de l’essence,

–  pour lesquels nous devrons payer encore et toujours des frais liés aux stationnements,

des frais pour rouler avec des péages censés à l’origine servir à rembourser leur construction et que les Automobilistes ont déjà payé plus de dix fois…,

des PV pour chaque infraction à une réglementation tatillonne et de plus en plus restrictive,

des amendes auxquels s’ajouteront en double peine la suppression de points sur un permis de conduire qui devient ainsi friable et précaire et quelque fois, en triple peine, avec des condamnations de justice.

L’Etat, les régions, les Communes n’ont de cesse de nous ponctionner. Les taxes, les amendes, les PV, sont là, non pour nous sauver mais pour nous appauvrir.

Aujourd’hui, nous réclamons un retour sur les investissements que nous et nos prédécesseurs avons payé depuis le début du siècle précédant, à savoir : 

Le droit au stationnement gratuit dans les villes.

Le droit de pouvoir rouler.

Le droit de pouvoir travailler avec nos véhicules.

Le droit de pouvoir aller travailler avec nos véhicules sans que des obstacles soient systématiquement mis en place pour nous en dissuader.

La suppression des blocages routiers.

La suppression du permis à point ou… des amendes.

Le contrôle gratuit des véhicules.

Le permis de conduire est un diplôme d’état, en tant que tel on ne peut le perdre ou se le voir retiré pour de petites infractions, même cumulées. Seule des fautes très importantes avec décision de justice peuvent justifier une telle sanction.

La gratuité des autoroutes ou la mise en place d’une carte annuelle, dont le montant ne devrait pas excéder 50€, qui autoriserait une utilisation illimitée des autoroutes sur l’ensemble du territoire (Cf. la Suisse).

La baisse du montant des PV et la limitation du nombre que l’on peut recevoir par jour.

La baisse substantielle des taxes sur l’essence et le diésel.

etc.

Pour ce faire nous avons besoin de vous.

Nous sommes plus de quarante millions d’automobilistes.

Près de quarante millions d’électeurs.

Nous pouvons faire pression sur le politique pour que les choses changent et nous voulons les faire changer.

L’automobiliste n’est pas un coupable, il est un citoyen qui a le pouvoir de faire bouger les choses et de les faire avancer.

C’est ce que nous voulons faire et avec vous.

Tous unis nous ferons plier les soit-disantes bonnes consciences et nous ferons évoluer ce regard porté sur les automobilistes.

Rejoignez-nous. Adhérez !

Nous avons besoin de vous.

Le combat ne fait que commencer.

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