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dimanche, 22 décembre 2013

Qu’est-ce que 18.161 euros pour un élu de la République ? Un peu de monnaie au fond de la poche...

article_Jean-Vincent-Place-05.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Jean-Vincent Placé, ex-conseiller régional et sénateur écologiste, est donc aussi un chauffard !

Chauffard ? C’est bien ainsi que les écologistes nomment tout automobiliste qui transgresse les lois sur les routes de nos (pas assez) vertes campagnes ou de nos (trop) bétonnées agglomérations, non ?

Le chef de file d’Europe Écologie Les Verts au Sénat jure qu’il « ne veut pas que quiconque doute de (son) honnêteté » et reconnaît sans barguigner les infractions au Code de la route dont il est responsable… Et quelles infractions : « Beaucoup de stationnements gênants, mais aussi un certain nombre d’excès de vitesse… », précise Le Canard enchaîné, qui a levé le lièvre.

Beaucoup, oui, c’est le moins qu’on puisse dire puisque le montant total des infractions commises se monte à 18.161 euros… depuis 2010 !

18.161 euros de prunes, ça laisse tout de même songeur et nous classe indubitablement, vous, moi (et la quasi-totalité de nos connaissances respectives) qui tenons un volant, dans cette catégorie qu’on nomme avec mépris les « petits joueurs »

18.161 euros de mauvais stationnements et de vitesses excessives… Il est vrai que nos 12 malheureux points de permis de conduire auraient eu bien du mal à résister à la répression policière avant d’avoir pu atteindre un tel score ! Mais nous, c’est nous !

Si les intempestifs coups de pédale ou le dédain des stationnements gênants du sieur Placé en sont venus à être rendus publics – ce que l’intéressé déplore d’ailleurs et ce qui l’énerve passablement (« la rançon de la notoriété »), trouvant par ailleurs le délit médiatique fait à sa personne « un peu agaçant » –, c’est que les infractions ont été commises au volant d’un véhicule du conseil régional d’Île-de-France.

Ayant reçu la douloureuse des contributions directes, ce dernier a menacé l’élu de poursuites devant le tribunal de police.

« Je suis prêt à payer depuis le début [...] C’est bien sûr de ma faute, je n’ai jamais cherché à fuir mes responsabilités, je ne demande aucun passe-droit, j’assume et je paie, je ne veux pas que quiconque doute de mon honnêteté. » Mais l’honnêteté, est-ce finir par payer, contraint et forcé, le plus tard possible et parce qu’on ne peut plus faire autrement… ou est-ce mettre en accord ses principes et ses actes ?

Comment Jean-Vincent Placé peut-il décemment vouloir réduire la vitesse au nom de la lutte contre la pollution, alors qu’il est le premier à s’en moquer ? Comment peut-il vilipender les nuisances des automobilistes en ville alors que lui-même fait fi des règles de la circulation ? Comment peut-il s’indigner que ses infractions soient révélées à ses électeurs (pour ce qu’il en reste…) ? Et surtout, comment peut-il afficher comme il le fait un tel mépris vis-à-vis de ses concitoyens en martelant « OK, je paie, je paie, foutez-moi la paix… » à hauteur de 18.161 euros, sans sourciller ?

Mais au fait, qu’est-ce que 18.161 euros pour un élu de la République ? Un peu de monnaie au fond de la poche… et celle de Jean-Vincent Placé semble être bien profonde ! Quoique jusqu’ici pleine d’oursins !

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La France, 4e pays le plus condamné par la Cour européenne des droits de l’homme

marianne-baillon.jpgArnaud Raffard de Brienne

La France est le 4e pays le plus condamné par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation de l’article 10 de la Constitution, relatif à la liberté d’expression, comme le révèle le magazine Le Point en date du 19 décembre dans un article au titre explicite : "Et si la France n’était plus le pays des libertés ?". Une prise de conscience bien tardive et assortie d’un prudent point d’interrogation mais, après tout, mieux vaut tard que jamais.

Aucune consolation à espérer par ailleurs si l’on regarde les principaux classements internationaux relatifs aux libertés individuelles. Que ce soit Democracy Index dans lequel la France arrive 28e dans la catégorie des « démocraties imparfaites », l’expression est élégante ; Press Freedom Index où nous nous situons à la 37e place  entre le Ghana et le Salvador ; en ce qui concerne l’ Index of Economic Freedom, c’est le bouquet : la France se positionne piteusement à la 62e place, entre la Thaïlande et le Rwanda.

Ajoutons que notre patrie des droits de l’homme se situe lamentablement à la 37e place du classement 2013 de Reporters sans frontières pour ce qui concerne la liberté de la presse. Loin derrière la Namibie, le Costa Rica, la Slovénie et le Ghana. Un peu devant El Salvador, le Burkina Faso et la Roumanie. Pas de quoi pavoiser. L’Afrique du Sud, modèle indépassable de la "nation arc-en-ciel" selon nos médias stipendiés, se trouve relégué à la 52e place.

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Conférence de Serge Ayoub à Bruxelles samedi 7 décembre dernier :

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Robert Ménard répond à Philippe Bilger

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samedi, 21 décembre 2013

Solstice d'hiver : un cycle nouveau commence !

1469939_525343440898028_1176349197_n.jpgYves Darchicourt

Solstice ! Solstice d'hiver ! Ce 21 décembre sera le jour le plus court de l'année. Le soleil paraît vaincu, la lumière qui est espoir, chaleur et vie semble avoir succombé devant l'obscurité qui est résignation, froid et mort. Durant la prochaine nuit pourtant, l'astre du jour va concentrer ses forces et se préparer à reprendre sa course ascendante dans le ciel. C'est la "nuit suprême", la "Mère des Nuits", qui précède la renaissance flamboyante du Soleil Invaincu et au cours de laquelle, depuis des temps immémoriaux, les hommes d'Europe ont aidé la lumière vacillante à vaincre les ténèbres par les grands feux, les bûches gravées de l'âtre et les chandelles qui brûlent dans les demeures ornées des branches de l'arbre toujours vert.. C'est aussi la longue nuit durant laquelle on partage la joie festive avec ceux en qui on se reconnaît, ceux de la race, du clan, de la famille, ceux de la même terre, des mêmes racines, de la même mémoire, du même imaginaire. La nuit où l'on sait que rien ne meurt tout à fait, que la lumière "blondeur spirituelle" est en germe dans l'obscurité comme les jeunes pousses le sont dans la terre gelée, que les aïeux revivent en nous comme nous revivront par ceux qui nous suivent et que le crépuscule des Dieux lui-même sera suivi de la naissance d'un monde nouveau et d'un renouvellement de la puissance divine.

Nous, Européens, vivons un crépuscule. Celui des idéologies mortifères destructrices des peuples et des nations, celui de la décadence programmée, de la "bienpensance" obligatoire, de la haine de soi, du renoncement et du reniement. Celui du règne des élites auto-proclamées, des corrompus et des fortunes anonymes et vagabonde. Celui de l'anormalité érigée en mode de vie, du métissage, de l'Histoire instrumentée, des traditions bafouées. Celui de l'arasement, de l'indifférenciation, des espèces humaines en voie de disparition et de la dissémination de "l'homme gris". Un crépuscule qui ne peut qu'aboutir à la nuit sombre et glacée du chaos mondial. Mais une nuit où, comme autant d'étoiles du Destin, brilleront encore les petites flammes que, nous européens, nous devons de faire naître et d'entretenir, les petites flammes de la résistance identitaire à l'obscurantisme mondialiste qui finiront par susciter l'immense brasier qui dévorera les ténèbres. Et nos peuples qui sont d'un âge immense repartiront pour un cycle nouveau.

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Le Journal du Chaos cliquez ici

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Agatha Christie, « la plus belle enquête » Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic

gallic___couv_images.jpgJean Ansar

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L’excellente collection «  Qui suis-je ?» des éditions Pardés, qui aux côtés de la collection BA-BA conforte une approche encyclopédique non conformiste thématique et biographique, vient de s’enrichir d’un titre qui fera date, l’Agatha Christie de Camille Galic. « L’indétrônable impératrice du crime » a trouvé en fait sa biographe sœur. En effet il y a bien des points communs entre «  la duchesse de la mort » et la grande dame de la presse qu’est Camille Galic.

Cette dernière a toujours traité l’actualité comme on mène une enquête. Elle a toujours cherché la vérité derrière les apparences et le vrai criminel derrière la présentation officielle. Un style impeccable, une plume affinée comme un  scalpel, Camille Galic a été la référence d’un journalisme de l’investigation de l’intelligence, la référence des journalistes de combat, et elle continue à exercer ses talents sur le site Polémia qui dénonce avec force et pertinence le « totalitarisme médiatique ».

On peut facilement l’imaginer d’ailleurs, dégustant un thé aux côtés d’Agatha dans un lodge de cette Rhodésie où « les anglais étaient heureux » devisant autour d’une intrigue  de la fin annoncée d’un certain ordre du monde. Comme Agatha, Galic analyse avec un esprit  de déduction rationaliste les passions humaines criminelles ou politiques. C’est ce qui fait de cette biographie, une biographie de référence, classique dans la forme mais à jamais unique dans le fond. Elle va au delà de l’œuvre, elle dévoile les secrets de la pensée d Agatha. Alors bien sûr il y a tout, sa vie privée, ses maris, sa disparition mystérieuse, un événement people parmi les premiers médiatisés, ses livres bien sûr, sa passion pour l’archéologie, ses enquêteurs Miss Marple ou Hercule Poirot, son théâtre, etc.

Agatha Christie est en effet, l'un des écrivains les plus connus au monde si l'on considère le nombre de langues dans lesquelles son œuvre a été traduite (plus de 7 135 traductions, ce qui en fait l'auteur le plus traduit en langues étrangères selon l'Index Translationum), et l'importance des tirages de ses romans qui en fait la romancière la plus vendue au monde selon le Livre Guinness des records

Agatha Christie a écrit 67 romans (dont 6 romances sous le pseudonyme de Mary Westmacott qui correspond à ses écrits les plus personnels), 190 nouvelles réunies en une quinzaine de recueils, 18 pièces de théâtre (+ 5 adaptations par d'autres auteurs), quelques poèmes et une autobiographie. Une grande partie de ses romans et nouvelles a été adaptée au cinéma ou à la télévision (20 films et plus de 100 téléfilms ,en particulier Le Crime de l'Orient-Express, Dix petits nègres, Mort sur le Nil et Le Train de 16 h 50. La BBC a également produit des téléfilms et des émissions radiophoniques de la plupart des histoires qui mettent en scène Hercule Poirot et Miss Marple. L'une de ses pièces de théâtre, The Mouse Trap (La Souricière), a été présentée pour la première fois à Londres en 1952 au St Martin's Theatre, et détient, depuis, le record de la pièce jouée le plus longtemps sans interruption.

Le 3 décembre 1926, très affectée par la mort de sa mère et l'infidélité de son mari (amoureux de Nancy Neele, dactylo dans la compagnie d'assurance pour laquelle il travaille, il lui a annoncé son intention de divorcer), Agatha Christie disparaît. Le lendemain, la police retrouve sa voiture, abandonnée près de l'étang de Silent Pool. La presse britannique s'empare alors de l'affaire : suicide d'une femme délaissée, meurtre commandité par son époux voulant retrouver sa liberté, coup de publicité d'une romancière voulant renforcer le succès de ses livres...Les hypothèses ne manquent pas. Elle est retrouvée douze jours plus tard dans le Swan Hydropathic Hotel, hôtel de la station balnéaire, ayant tout oublié. Agatha devait  en retirer à jamais une aversion pour la presse, une crainte panique des journalistes et de la foule telle «  un renard traqué dans son terrier par une meute de chiens hurlant sans cesse à ses trousses ». Elle avait bien décrit la chasse à cour médiatique, avant l’heure.

Dans cette biographie de Camille Galic, on est aux sources des inspirations de l’auteur et on a les explications pour tout comprendre de son œuvre restituée magistralement dans sa diversité.

Mais il y a plus, bien plus. Derrière une petite jeune fille à la jeunesse dorée d’un autre temps, jusqu’à l’écrivain  britannique la plus connue au monde et anoblie par la reine, il y a une vision du monde qui, pour les tenants du politiquement correct, la classerait dans les vielles dames indignes. Galic a su le comprendre et le révéler.

Agatha est une suprématiste anglaise. Traditionaliste mais libre, femme la plus connue du monde mais anti féministe, elle est une femme de velours au mental de fer. Elle est un produit de la fierté impériale d’un pays qui devait gouverner le monde. Elle éprouvera pour le nazisme une fascination-répulsion  partagée par bien  plus d’anglais que la version  officielle de l’histoire ne le laisse entendre. C’est un volcan maitrisé cette femme… une criminelle née devenue enquêtrice pour peut-être dominer ses pulsions.

Agatha n’a pas toujours été une vieille lady, elle a été une femme  amoureuse, jalouse et exceptionnelle. Cela, on le retrouve dans ses romans. Elle n’a aucun complexe du colonisateur bien au contraire. Elle met l’anglais au sommet de la chaîne de la civilisation. On tente maintenant de dénaturer parfois son œuvre dans des adaptations pour la faire coller avec le monde d’aujourd’hui, qu’elle aurait méprisé au-delà de l’imaginable. Quand on pense que son livre le plus connu «  Les 10 petits nègres »  a vu son  titre changé en « S’il n'en restait qu’un »  on voit en effet qu’il ne reste pas grand-chose de l’univers qui a inspiré Agatha ni de ses valeurs hiérarchisées, un univers où la cruauté et le crime cheminent avec la classe en habits de soirées, où l’on tue en restant un gentleman et une lady dans la fierté de l’empire. La gentry n’est jamais bien loin, l’exotisme non  plus, ni l’insolite. L’échec de son premier mariage et la passion réussie avec son second mari font croire qu’un long calme a succédé à une tempête, mais cette biographie montre que  l’on peut être l’image de la dignité en étant une rebelle jamais vraiment apaisée.

C’est une criminelle de papier qui reste d’actualité, jamais démodée, un style qui ne prend pas d'âge tout en nous parlant d’un autre monde ou les choses étaient à leurs vraies places, même les armes du crime. Il y avait de l’aventurière dans cette femme des salons « cosis » bien ordonnés. Ses voyages, sa passion de l’archéologie en sont des exemples frappants. Avant Indiana Jones, il y eut «  Meurtre en Mésopotamie » et « La mort n’est pas une fin », une curiosité  d’enquête historique qui nous a donné la passion des romans historiques dans l’Egypte antique.

Demain l’œuvre d’Agatha sera sans doute récupérée et transformée dans des adaptions  couleur de notre époque. La récupération chemine avec la trahison. Heureusement il restera ce «  Qui suis-je  » de Camille Galic pour ceux qui  veulent connaître la vraie personnalité à travers l’œuvre incomparable de l’indétrônable Agatha Christie. Toute vie est une intrigue, toute biographie est une enquête et celle de Camille Galic  est fidèle à la lettre et surtout à l’esprit  de la Kipling du crime.

Agatha Christie de Camille Galic, Editions Pardès, Collection "Qui suis-je ?"

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A Lille, pour vos cadeaux de fin d'année, n'oubiez-pas de passer à l'Espace Tribann

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Espace Tribann cliquez ici

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TOUS A PARIS LE DIMANCHE 26 JANVIER !

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● Vous êtes en colère contre la pression fiscale devenue insupportable ?

● Vous êtes en colère contre le projet de loi « équitaxe » qui menace votre club ?

● Vous êtes en colère contre la volonté gouvernementale de détruire la famille ?

● Vous êtes en colère contre les conditions de travail devenue insupportables à l’hôpital ?

● Vous êtes en colère contre les délocalisations qui s’accélèrent et le chômage qui augmente ?

● Vous êtes en colère contre la destruction programmée des Classes Préparatoires ?

● Vous êtes en colère contre l’amateurisme idéologique qui fait office de gouvernance ?

● Vous êtes en colère contre l’abandon de notre souveraineté face à la Finance, l’Europe ou l’Otan ?

● Vous êtes en colère contre mille et une choses, petites ou grandes ?

Venez le dire à Hollande le dimanche 26 janvier !

Hollande n’écoute pas son peuple ? Alors le dimanche 26 janvier, nous ferons en sorte qu’il nous entende !

Dimanche 26 janvier Jour de colère cliquez là

10:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le « rapport sur l’Intégration » : texte raciste

Guillaume Faye

J'ai tout compris cliquez ici

Remis au Premier ministre à sa demande, ce rapport effarant, rédigé en novlangue par des Trissotins, publié en ligne par Matignon et qui a créé le scandale  est en fait inspiré des idées du groupe de pression et de ”réflexion” gauchiste chic lié au PS Terra Nova. L’objectif est la destruction pure et simple de l’identité française. Il vise à substituer à l’assimilation et à l’intégration une forme de communautarisme où les Français de souche seraient objectivement infériorisés, sommés de s’adapter aux mœurs des nouveaux arrivants, et où il faudrait « assumer la dimension arabe-orientale de la France ».

 Inutile d’énumérer les axes politiques proposés par ce rapport ethnomasochiste et culpabiliste qui vise non seulement à défranciser, déseuropéaniser la société mais à accentuer encore la pression migratoire en instaurant une véritable préférence étrangère.

Il est plus intéressant de s’attarder sur deux passages qui relèvent du sectarisme de la police de la pensée de gauche et de ce racisme implicite si souvent observé dans la vulgate antiraciste. Tout d’abord, il est recommandé d’interdire et de sanctionner judiciairement, notamment dans les médias, toute mention (« description stigmatisante ») de l’origine des personnes, notamment en cas de délit (1) (« nationalité, origine, couleur de peau, religion, culture… »). Cette interdiction est étendue aux « partis politiques et institutions publiques » dans bien d’autres circonstances.

 Admirons la contradiction : l’origine ethno-culturelle est niée mais en même temps la France doit devenir « arabe-orientale ». Mais implicitement, le fait d’être qualifié par son nom et son prénom d’origine africaine ou arabe, par exemple, serait subrepticement une insulte. Inconsciemment, les auteurs (vieux gauchistes) du rapport  considèrent que de dire à/de quelqu’un qu’il est ”Arabe” est une « stigmatisation », un « délit de harcèlement racial ». Or, ne pas mentionner l’origine des gens, par pseudo-respect, c’est dévaloriser cette origine. On nage dans une contradiction totale, la bêtise raciste/antiraciste de cette gauche à la fois gouvernementale, soixante-huitarde et intellectuellement à gaz pauvre. (2)

Le second passage fait allusion à la ”race blanche”, alors qu’officiellement les races n’existent pas. Il est en effet proposé de ne plus se référer dans l’enseignement de l’histoire à « des figures incarnées qui demeurent très largement des grands hommes, mâles, blancs et hétérosexuels ». (3)  Évident racisme anti-Blancs et aversion contre les hétérosexuels de la part de personnes qui sont elles-mêmes majoritairement des Blancs hétérosexuels. Ça relève de la psychiatrie – ou de la psychanalyse.

Cette gauche antiraciste est complètement obsédée par l’idée de ”race”, comme les puritains étaient obsédés par l’idée de sexe. Le paradigme racial est obsessionnel dans la gauche ”antiraciste”.

Une telle idéologie à la fois xénophile, pétrie de bêtise et/ou de mauvaises intentions, est la porte ouverte à la guerre civile ethnique, lot endémique du Maghreb et du Proche-Orient arabe, et de toute société hétérogène et pluri-ethnique.

Mais hélas, ce rapport tire en réalité la conclusion dramatique, cynique et souriante de quarante ans d’immigration incontrôlée, au terme de laquelle s’opère un bouleversement démographique, où toute ”intégration” ou ”assimilation” de minorités qui n’en sont plus est devenue une chimère et où le petit peuple de souche est prié par ses élites grasses et protégées (”socialistes”) de se plier à la loi des colonisateurs présentés comme des victimes, est sommé de se taire et de devenir Invisible. Devant l’histoire, les politiciens, parfaitement antidémocrates et antirépublicains, responsables de ce fait, devront répondre d’une tragédie annoncée.

Notes

(1) C’est implicitement reconnaître l’origine immigrée très majoritaire de la criminalité.

(2) La pensée de gauche, intellectualiste et déconnectée du réel, héritière inconsciente en fait de l’idéalisme platonicien (auquel s’oppose le réalisme aristotélicien)  souffre moins de bêtise que de pathologie, d’origine psychologique. Vouloir construire un méta-monde contre la réalité, une utopie, c’est à dire, étymologiquement, un lieu qui n’existe nulle part, un rêve. 

(3) Il faudra donc trouver dans les figures de l’histoire de France des personnes de couleur, féminines, bisexuelles ou homosexuelles ? Vous en connaissez ?

10:20 Publié dans Débat sur l'identité, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 décembre 2013

Non à l'intégration !

P1020984.JPGPierre Vial
Terre et peuple cliquez là
Les gens actuellement au pouvoir ont pour habitude de lancer des ballons d’essai concernant l’application de leur idéologie, afin de voir les réactions qu’ils provoquent et de réorienter leur discours en conséquence. En prenant soin de ne pas endosser directement la responsabilité de ces initiatives, surtout lorsqu’elles concernent des sujets « chauds » (ils sont en fait écartelés entre d’une part la volonté de façonner la société selon leurs dogmes et leurs utopies et, d’autre part, le souci d’éviter des désastres électoraux…).
C’est ce qui vient de se passer avec les rapports sur l’intégration remis au premier ministre et concoctés par des « groupes de chercheurs et d’acteurs de terrain » (c'est-à-dire des gens qui n’ont comme légitimité que celle qu’ils se donnent eux-mêmes). Il s’agit de mettre en place une « intégration à la française ». Aveu que cette intégration dont se gargarise le microcosme politico-médiatique est un échec, comme le démontre lumineusement Michèle Tribalat, directrice de recherches à l’INED (Institut National d’Etudes Démographiques), dans l’ouvrage qu’elle vient de publier, Assimilation : la fin du modèle français.
Certains de ces « chercheurs et acteurs » préconisent « une meilleure reconnaissance des minorités ethno-raciales ». Intéressant…car ils reconnaissent ainsi qu’il existe des « minorités ethno-raciales »… alors que certains, habitués à nier les réalités trop dérangeantes, affirment que les races n’existent pas. Dont acte. Mais d’autres « chercheurs et acteurs » ont, eux, une position dite color-blind (merci les Yankees) c'est-à-dire « aveugle à la couleur » (en clair ils nient, au nom des « principes républicains », les réalités raciales). Il y a donc là des clivages fondamentaux, entre des gens censés appartenir au même camp. Mais ils se retrouvent tous d’accord pour préconiser une intégration que l’UMP Copé appelle, lui, « assimilation républicaine » (des mots différents, pour amuser la galerie, mais qui désignent en fait la même chose).
Notre position est simple : ni « intégration », ni « assimilation », qui désignent la même chose et appellent l’une et l’autre à une société multiraciale que les Gaulois devraient accepter comme inévitable et qui implique la soumission des Blancs aux envahisseurs de leur terre. Et la mort des identités, de toutes les identités, aussi bien celle des Européens que celle des envahisseurs, condamnés à devenir des zombies occidentalisés alors qu’ils ont parfaitement le droit de vivre leur identité… mais bien sûr sur leur terre d’origine.

Ceux qui, du PS à l’UMP – mais aussi à l’extrême-droite – préconisent ou simplement acceptent l’intégration trahissent leur peuple et devront en rendre compte le moment venu. Car la minute de vérité approche.

Rapport sur l'intégration : la trahison au sommet...

img_4bde00bc7fa88.jpgUn communiqué du MNR :

Le rapport sur la «Refondation de la politique d'intégration », présenté sur le site du premier ministre, a soulevé une tempête médiatique et politique . Il apparaît comme une remise en cause totale de l'identité française. Même s'il ne s'agit pas là de décisions effectives, il faut noter que le Premier ministre « salue la grande qualité de ces travaux et remercie l’ensemble des personnes qui y ont contribué » (site du gouvernement).

Les cinq documents qu'il comprend, rédigés dans un langage très indigeste, et parfois incorrect, présentent un modèle « républicain » qui n'est en aucune façon un modèle de l'identité française : on y lit, par exemple que La France devrait assumer la dimension « arabe-orientale »... de son identité ...

Certes, le séminaire interministériel sur le sujet,qui devait avoir lieu en janvier 2014, a finalement été annulé. Mais la présentation sur le site de Matignon a bien été faite.

Avec tous les patriotes, travaillons à la mise au pouvoir de dirigeants qui défendent vraiment notre nation.

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Bernard Lugan : le vrai Nelson Mandela


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Tous à Paris le dimanche 26 janvier :

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Le site de Jour de colère cliquez ici

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jeudi, 19 décembre 2013

Une nouvelle Librairie française à Paris...

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Vous pourrez aussi vous procurer les Bouquins de Synthèse nationale ainsi que notre revue, Synthèse nationale, dans cette nouvelle librairie parisienne...

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Les Blancs dans l'Afrique du Sud arc-en-ciel...

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Décés de Jean-Pierre Dellac, responsable du Service de sécurité du Parti de la France

Dellac Jean-Pierre.jpgCarl Lang et Le Parti de la France ont la tristesse de vous informer du décès de Jean-Pierre Dellac, fondateur et directeur national du Service d'Encadrement et de Protection (SEP).

Longtemps responsable du DPS du grand Est Jean-Pierre Dellac était une figure de notre combat de résistance nationale et une personnalité exceptionnelle, toujours au service de la sécurité des militants patriotes.

Ses obsèques auront lieu en présence des dirigeants du Parti de la France le lundi 23 décembre à Auxerre à 10h30 (cliquez ici).

10:38 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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mercredi, 18 décembre 2013

Heurs et malheurs du trotskysme

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Source Breizh info cliquez ici

L’écrivain Patrick Gofman  était à Nantes le 13 décembre pour présenter à la librairie Dobrée son dernier essai intitulé « Le trotskysme dégénéré » (cliquez ici NDLR).

Les trotskystes se revendiquent de l’héritage de Marx et de Lénine et de la Révolution russe d’Octobre 1917 et bien sûr de Léon Trotsky. Pendant 60 ans, après avoir été persécutés par Staline, ils ont continué à se réclamer du communisme révolutionnaire et à prôner la révolution permanente, sans remettre en cause les méthodes du « petit père des peuples » en particulier le système concentrationnaire du Goulag pour leurs adversaires appelés « ennemis du peuple ». Ce qui démontre, selon P. Gofman, qu’ils étaient bien à la remorque du stalinisme.

Divisés en une kyrielle de groupuscules multipliant les scissions et se déchirant  sur l’interprétation des textes sacrés de Lénine et de Trotsky, les militants trotskystes ont longtemps eu une activité politique confidentielle.
C’est après 1968 qu’ils  sont apparus en plein jour en France, autour de 3 groupes principaux : Lutte ouvrière de l’inoxydable Arlette Laguiller véritable secte vivant dans une semi clandestinité ; la ligue communiste révolutionnaire d’Alain Krivine, devenue aujourd’hui le NPA de Besancenot ; et enfin le discret courant « lambertiste » qui a changé dix fois de nom pour s’appeler aujourd’hui le Parti ouvrier indépendant (POI).

Pendant 30 ans ces  groupes ont pratiqué avec succès un « entrisme » dans les partis de gauche comme le PS  – l’origine politique de certains dirigeants socialistes et de plusieurs ministres est à cet égard significative – et les syndicats CFDT et Force Ouvrière. En 2002 le trotskysme français paraissait à son apogée électorale avec 10 % des suffrages. Ne profitant pas de la crise économique et sociale que traverse la France, il est redescendu depuis à son étage traditionnel qui est de 1 à 2% du corps électoral.

Les nombreux trotskystes « infiltrés » dans le système ont en réalité été amenés à le gérer. P.Gofman considère, preuve à l’appui, qu’ils ont été « digérés » par celui-ci. C’est en réalité sur le plan culturel et dans la société civile que les  trotskystes ont connu leurs plus grandes réussites. Si aujourd’hui le féminisme, l’homosexualisme, l’antimilitarisme, immigrationnisme etc., connaissent un tel succès, c’est incontestablement grâce à eux.
Animés d’une véritable  haine contre toute notion d’identité, qu’elle soit nationale ou européenne, les disciples de Trotsky  se sont faits de facto les propagateurs de tous les communautarismes.

En Bretagne, en particulier en Loire atlantique, ils ont réussi à s’implanter durablement dans les syndicats comme la CFDT et surtout, pour ce qui est des lambertistes, Force ouvrière. Ils ont aussi pratiqué un entrisme tous azimuts dans la classe politique nantaise. Des fichiers, des contacts, des soutiens financiers surtout : c’est ce qui est recherché.

Pour quoi faire ? Les syndicats sont devenus des bureaucraties défendant plus leurs  propres intérêts  que ceux de leurs adhérents. Ironie de l’histoire, les « antifas », souvent considérés comme des analphabètes politiques recrutant chez les marginaux, tendent de plus en plus à se comporter comme les « bandes armées » du capital.

C’est finalement dans le domaine des médias que leur réussite aura été la plus éclatante. Comme le souligne la Fondation Polémia, « derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura. ». Une fin que le fondateur de l’Armée rouge n’avait sans doute pas prévue.


Quelques photos de la tournée de Patrick Gofman en Pays de la Loire :

 

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Nantes, jeudi 13 décembre

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Angers, vendredi 14 décembre

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"Les discours consensuels lancés contre le peuple"

 

1586587302.jpgLes Libres propos de Jacques-Yves Rossignol

Il est très important de bien comprendre le rôle de tous ces endroits où, sous les prétextes les plus divers, se rencontrent et se confortent les gens du mondialisme et leurs idéologues. Leurs idéologues, c'est à dire les gens qui sont chargés de justifier les pouvoirs en place et les décisions qu'ils prennent.

Il est très difficile d'appliquer ouvertement une politique cruelle et glacée ; les propriétaires du monde doivent envelopper, enrober leurs interventions, dans un petit peu de discours humaniste, humanitaire. Ils doivent donner des raisons relativement plausibles et cohérentes à tout ce qu'ils font.

Tous ces discours doivent bien sûr être servis avec beaucoup d'assurance : on ne doit pas percevoir qu'il y a d'autres options.

Les gens de gros argent et leurs conseillers proches savent surtout ce qu'il ne faut pas dire : ils invitent donc des gens qui parleront sans franchir les dangereuses limites entre le bavardage mondain et l'analyse politique.

On invite donc des gens de religion, des gens de morale, des universitaires que l'on sait acquis ou inoffensifs, ou carrément gâteux.

On ne peut pas parler de tromperie ou de mensonge puisque la plupart de ces gens ont été formés d'une façon telle qu'ils n'imaginent même pas que l'on puisse dire quelque chose de fort et de vrai sur la société.

C'est dans ces lieux que se forment les discours consensuels qui sont répétés partout. Dans ces lieux et pas du tout dans les médias comme on le dit très souvent sans réfléchir. Réfléchissons donc un peu ! Les médias n'inventent pas d'idéologie, ils ne font que répéter et diffuser des discours qui se forment ailleurs et qui s'imposent effectivement parce qu'ils occupent tout le terrain ! Les journalistes "vendus" ne font que répéter des sortes de petites théories consensuelles qu'ils n'inventent pas du tout ! Or, tout le monde gémit contre les médias et presque personne n'essaie d'étudier comment se forment ces petites théories consensuelles qui occupent tout le terrain !

Pour élaborer ces discours consensuels à large diffusion, on s'éloigne des lieux de pouvoir proprement dit. On dira le même chose que dans les lieux de pouvoir purs et durs (une seule chose à vrai dire : le profit est sacré) mais sous des formes plus discrètes, plus enrobées. On met des distances, des intermédiaires et aussi des références spirituelles, artistiques. On se réunit dans un couvent ou un centre d'art contemporain. Là, on est entre soi, on est à l'abri du peuple et des gêneurs. 

Il s'agit donc bien d'éviter que l'on puisse dire des choses solides, des choses vraies sur les conflits dans la société. Dans tous les cas, l'essentiel, c'est de ne pas parler de la réalité sociale.

Parfois on a chaud : il y a quand même dans le public des questions qui abordent la réalité contemporaine mais on est rodé : on réussit à répondre à coté ou à ne pas répondre du tout.

Quels que soient les sujets, on élude, on distancie, on euphémise. C'est cela le métier d'idéologue.

Des banalités religieuses, morale ou philosophiques, un petit stock de citations tiennent lieu d'analyses. Tout cela est accueilli par des sourires convenus.

A la fin, on est soulagé : on a réussi une fois encore à parler pour ne rien dire devant un public acquis d'avance qui est venu pour entendre précisément un discours qui ne dit absolument rien. Rien, sauf ceci : notre hypocrisie fonctionne à merveille !

Il serait bien utile et formateur de pénétrer, de fréquenter enfin ces lieux, d'apprendre à les connaître, de comprendre la véritable manière dont la bourgeoisie mondialiste méprise le peuple. Et d'apprendre à contrer enfin ces discours, essentiellement par l'invention d'autres discours consensuels mais ironiques et surplombants.

17:17 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sur le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de l’intégration

0b0a57389a7e9f784d1e5cb8a814f086.jpegUn communiqué de Renaud Camus et du Parti de l'In-nocence :

Le parti de l’In-nocence remarque qu’avec le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de la politique d‘intégration (qui justement devrait changer de nom, car il n’y a rien à intégrer à rien, sinon la France à ses conquérants...), toute ambiguïté est levée. Les colonisateurs islamistes expriment leurs desiderata (guichets de la Sécurité sociale où l’on parle arabe, arabisation de l’enseignement, généralisation du voile, etc.), desiderata que des commissions ou des groupes de travail ad hoc étayent sur des bases idéologiques remplacistes. Bien entendu il ne s’agit pas (encore) de la politique officielle du gouvernement, mais on est habitués à ces coups de sonde médiatiques, destinés à préparer le peuple indigène au parachèvement du Grand Remplacement dont lui et sa civilisation font l’objet, désormais tout à fait ouvertement et officiellement. Traîtres, remplacistes, collaborateurs et promoteurs du changement de peuple ne se cachent même plus, ce qui n’empêche M. Jean-Marc Ayrault de les féliciter de « la grande qualité de [leurs] travaux ».

Le parti de l’In-nocence constate au passage que le lien évident et maintes fois signalé par lui entre Grande Déculturation et Grande Remplacement est exemplairement attesté par ce rapport en cinq volets. Ces bradeurs stipendiés de la patrie, qui proposent de mettre sur le même plan et de traiter pareillement, en France, la culture et la langue françaises, d’une part, les cultures, traditions et langues de nos colonisateurs d’autre part, le font dans le pire charabia administratif, déshumanisé et déculturé, scandé par une ponctuation fautive presque à chaque ligne, et souvent plusieurs fois par ligne : « Faire des politiques d’intégration un mode de gouvernance de la collectivité locale, en menant des actions agissant contre les effets de spécialisation par l’espace », « Cela suppose de clarifier, à quels publics, ces différentes politiques s’adressent et, quel est le mode de gouvernance approprié pour ordonner, organiser ces différentes politiques ».

Source cliquez ici

16:58 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

IMG_0188 -Copier-.JPGRobert SPIELER

RIVAROL N° 3120

du 12 décembre 2013

LE ROTTWEILER n’est pas seulement détesté par les Français. Même à l’Elysée, beaucoup commencent à s’agacer sérieusement de ses comportements. En cause : sa tendance à influencer le président de la République. Alors que sa cote de popularité ne cessait de chuter, la compagne du chef de l’Etat avait d’ailleurs confié : « Je l’avais dit au départ : je voulais qu’on me laisse le temps, on ne me l’a pas laissé (…) il m’a fallu le temps de prendre mes marques ». Elle prétend aujourd’hui avoir « pris ses marques ». Voire…

L’INFLUENCE DU DRAGON DE L’ELYSÉE SUR HOLLANDE EXASPÈRE SON ENTOURAGE

Selon les informations de Challenges qui cite un proche de François Hollande, « l’influence de Valérie sur le président s’accroît à mesure que les difficultés s’accumulent ». Ainsi, l’hebdomadaire déplore que « bien qu’elle s’en défende, c’est bien elle qui a poussé le président de la République à intervenir à la télévision pour proposer à Léonarda de revenir en France sans sa famille ». Une brillante intervention qui avait ridiculisé le chef de l’Etat… Mais, paraît-il, le président ne serait pas seul à subir les tocades et les avanies du rottweiler. Elle a pris en grippe Claude Sérillon, le conseiller en communication de l’Elyséen. Il se serait en effet « mêlé de sa vie intime ». Du coup les propositions de Claude Sérillon se retrouvent presque systématiquement retoquées par Valérie Trierweiler, qui se mêle de tout, assistée dans ses sulfatages par un ancien paparazzi, Stéphane Ruet, qu’elle a fait nommer à l’Elysée. Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es…

AUDACIEUSE DÉCLARATION DE MALEK BOUTIH

« Christiane Taubira n’est pas la femme qui souffre le plus de racisme en France. Mobilisons-nous pour ceux qui souffrent réellement » a déclaré Malek Boutih sur RMC dans les Grandes Gueules. Evoquait-il les blancs, les catholiques ? On ne sait pas. Toujours est-il que l’Observatoire de la christianophobie a recensé en 2012 250 actes de christianophobie, dont 8 agressions de prêtres, 17 tentatives d’incendies et incendies d’églises, 25 cas de profanations et actes de vandalisme de cimetières chrétiens, et 70 cas de profanations d’églises. Notons que le catholicisme est devenu la seconde religion la plus pratiquée en France après l’islam, qui lui, n’a subi que 157 actes supposés islamophobes, concernant essentiellement des critiques de la religion islamique.

1.jpgMARINE LE PEN MÈNE LA “MÊME CAMPAGNE QU’ADOLF HITLER

L’octogénaire Guy Bedos ne sait plus quoi dire pour faire parler de lui. Présent au gala contre le racisme organisé le 2 décembre au soir à Paris, ce piètre humoriste qui ne fait plus rire personne a accusé la présidente du Front national de faire la même campagne qu’Hitler, en ayant « remplacé les Juifs par les Arabes et les Nègres ». Guy Bedos, qui est un grand intellectuel, enfonce le clou : « Elle dit à tous ces gens qui vont mal, car nous sommes dans la même crise que dans les années hitlériennes, les années 30, si vous êtes au chômage, si vous souffrez, c’est parce qu’il y a trop d’Arabes, trop de Noirs. Si on fout les Arabes à la mer, vous aurez du travail ». Comme quoi, la dédiabolisation, c’est pas facile. Allez, Marine, Louis et Florian, courage, il y a encore du travail à faire !

L’IMPORTANT, C’EST DE DÉDIABOLISER L’ÉTIQUETTE DU FRONT NATIONAL

Le concubin de Marine Le Pen a encore frappé. « L’important, c’est de dédiaboliser l’étiquette Front national » a-t-il expliqué avec sa puissante intelligence sur les ondes de Sud Radio. Du coup, le FN va sans doute changer de nom, probablement à l’automne 2014, mais, attention, en toute démocratie. Ce très proche de la présidente du FN avec laquelle il a acheté sous forme de SCI (société civile immobilière) une superbe propriété près de Perpignan, bien loin des masses laborieuses d’Hénin-Beaumont (on veut bien les voix des pauvres et des chômeurs mais sûrement pas les côtoyer au quotidien), déclare : « Les adhérents discuteront de toutes ces choses-là si l’ordre du jour le prévoit ». Bon, si l’ordre du jour ne le prévoit pas, ils n’en discuteront pas. Jean- Marie Le Pen, le fondateur du parti, a toujours considéré que ce serait une grave erreur de changer de nom, ce en quoi il a parfaitement raison. Remarquez que si le nouveau FN portait le doux nom d’Aube Dorée, ce ne serait pas mal. Encore que certains y verraient des relents ésotériques. Evidemment, s’ils choisissaient « Front National-Sioniste », ce serait beaucoup moins bien…

AMUSANT, CE MAIRE UMP…

Luc Jousse, maire UMP de Roquebrune-sur-Argens (Var), s’est exprimé lors d’un conseil de quartier au sujet des gens du voyage : « Les Rroms, c’est un cauchemar, c’est un cauchemar ». Evoquant un incendie qui menaçait un de leurs camps, il déclara : « Ce qui est presque dommage, c’est qu’on a appelé trop tôt les secours », ce qui fit s’esclaffer la salle. Oui, mais ça ne fait pas du tout rire l’UMP qui dénonce des « propos inacceptables ». Le parti présidé par Jean-François Copé que feu ADG surnommait « l’étoile jaune montante de la Chiraquie » prévient que l’élu peut « s’attendre à des sanctions appropriées ». On ignore encore lesquelles, mais on peut s’attendre à quelques abominables tortures, voire plus, si affinités. Remarquez que si l’édile avait été membre du FN mariniste, il aurait été exécuté sur-le-champ. Ah le politiquement correct, quand tu nous tiens !

HORREUR : DU ZYKLON B AU PARLEMENT EUROPÉEN !

La société brestoise IPC, spécialisée dans l’hygiène, vient de sortir un nouveau détergent nommé « Cyclone B ». Mais, abomination, Cyclone B, ça fait Zyklon B ! L’affaire, le scandale, a débuté à Bruxelles, au Parlement européen, où le produit avait été utilisé par le personnel d’entretien. Du coup, l’Association juive européenne s’en est lourdement émue. Son directeur, le rabbin Menachem Margolin, a déclaré : « C’est sûrement le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène. Au mieux, c’est une horrible ignorance, au pire un record du monde de cynisme malveillant ». L’entreprise se défend, plaidant pour « l’horrible ignorance » et précisant, information importante, que « l’entreprise compte des salariés juifs qui n’ont eux-mêmes pas fait le lien ». Ouf, on respire !

ALLEMAGNE : CONDAMNÉS À 3 900 EUROS D’AMENDE POUR AVOIR DÉPASSÉ LEUR TEMPS DE PAROLE !

J’avais déjà évoqué dans ces chroniques les étonnants délires que s’autorisent les autorités allemandes pour museler leur opposition. Là c’est en Bavière, à Munich, que cela se passe. Le parti Die Freiheit récolte des signatures afin de voir organiser une consultation du peuple à propos de la construction d’un centre islamique au sein de la capitale bavaroise. Il s’est vu imposer par une juridiction de Munich de ne pouvoir prendre la parole que durant des périodes de dix minutes maximum séparées de pauses de dix minutes minimum. Même Orwell n’avait pas imaginé un tel délire. La police criminelle (une police qui, comme je l’ai déjà raconté, porte volontiers cheveux longs et boucles d’oreilles) a constaté, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé le 27 juillet 2013 durant plusieurs heures, que par deux fois Die Freiheit a dépassé le temps de parole et que par deux fois la pause a été trop courte. Les mêmes faits ont été constatés lors d’un rassemblement le 1er août 2013 (le temps de parole a été aussi dépassé ce jour-là à deux reprises et deux pauses ont été trop courtes). Pour avoir enfreint la règle édictée par le tribunal, les responsables de Die Freiheit à Munich se voient condamnés à payer une amende de 3 900 euros. Des malades, de grands malades…

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Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici

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mardi, 17 décembre 2013

Jospin et Juppé à Qunu !

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Yves Darchicourt

On va rarement à un enterrement pour se marrer, même si on s'y rend par pures convenances ou en délégation et en règle générale on y adopte l'air attristé de circonstance ou tout au plus un pâle sourire aussi solidaire que tristounet. Et pourtant il se trouve parfois dans l'assistance obligée un quidam pour être atteint d'un fou-rire déclenché par une broutille tout au plus amusante et qui -allez savoir pourquoi- est ressentie comme le summum du désopilant; une hilarité d'autant plus inextinguible qu'elle s'alimente des sursauts indignés et des regards courroucés des voisins de travées.

Un impair qui aurait pris des proportions himalayennes lors du dernier raout funèbre autour de la dépouille de Mandela à Qunu. A simplement penser que durant la fastidieuse cérémonie, un de ses représentants laisse son esprit divaguer et en vienne à se gondoler par exemple à l'évocation de Qunu prononcé autrement que "kounou", Pépère a dû en avoir des sueurs froides. Et c'est sans doute pourquoi il a choisi Alain Juppé et Lionel Jospin pour représenter la France à l'enterrement du tatamkhulu Nelson.

Avec cette belle paire sortie de l'UMPS rassemblée autour des valeurs "arc en ciel", Pépère a donné certes dans le ridicule mais s'est garanti du risque odieux de la Bérézina diplomatique et du gravissime incident sulfureux. Juppé-Jospin c'était du sûr dans le morose, du certain dans le lugubre, de l'exemplaire dans le sinistre, un duo de pisse-froid aux antipodes du goguenard, des insensibles chroniques au drolatique, des réfractaires à la bouffonnerie qu'on n'imagine même pas pouffer. Une belle image de la ripoublique officiellement concernée et consternée par la disparition du "grand homme"  Mais finalement, pour le gaulois moyen, l'essentiel est que la prestation à rendre neurasthénique des deux tristus annonce le clap de fin d'une décade de mandelamania effrénée. 

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APRES LA FLAMME OLYMPIQUE, VOICI LA TORCHE DES JEUX ISLAMIQUES

téléchargement (1).jpgPieter Kerstens

De G.H.W Bush à Barack Hussein Obama (prix Nobel de la Paix 2009), les Etats-Unis ont mis l’Orient à feu et à sang.

Notre devoir de mémoire nous rappelle que pour contrer l’invasion communiste en Afghanistan (1979-1989), les américains ont recruté toutes sortes d’alliés et de mercenaires, dont Oussama Ben Laden et ses sbires salafistes, via le prince Turki al-Faycal –chef des services de renseignements saoudiens- et vieil ami des Ben Laden, famille richissime. La libération de l’Afghanistan devient pour Oussama son djihad personnel, sa croisade anticommuniste, pour laquelle il recrute, sur les fonds saoudiens et américains, des centaines de moudjahidines, affluant de tous les pays arabes.

Après la déroute des armées russes venues en aide au régime communiste afghan de Najibullah et l’effondrement de l’URSS en décembre 1991, Ben Laden s’alliera finalement à la cause des talibans du mollah Omar, pour revenir au centre du « Grand Jeu ».

En guise de représailles à l’effondrement des 3 tours du WTC (1,2 &7) le 11/9/2001, les USA interviennent militairement en Afghanistan contre Al-Qaïda (la Base) en février 2002.

Guerre du Golfe. Irak acte I.

En 1990, l’ONU condamne  l’invasion du Koweït et son annexion par l’Irak. Une coalition de diverses armées envahit l’Irak en 1991 pour attaquer Saddam Hussein, désigné comme responsable de la mystification des couveuses de Koweït-City. Souvenons-nous quand même que c’est l’Irak qui est entrée en guerre contre l’Iran en 1979 (après la chute du Shah, valet des intérêts américains) pour tenter de faire tomber l’ayatollah Khomeiny et les gardiens de la révolution (pasdaran) auteurs de la prise d’otages à l’ambassade US de Téhéran. Jusqu’au cessez-le-feu en 1988, l’Irak n’a pas pu se développer socialement et économiquement, alors que dans la région d’Abadan, le Koweït lui pompait ignominieusement son pétrole !

Irak acte II.

Sans doute pour mettre main basse sur les richesses pétrolifères de l’ancienne Mésopotamie, une offensive militaire anglo-américaine (hors mandat de l’ONU) et sur base de mensonges grotesques (armes de destruction massives, 4ème armée mondiale) lancée le 20 mars 2003, conduit à l’effondrement du régime le 9 avril et portent les USA à l’administration de l’Irak. Après une parodie de procès, Saddam Hussein est pendu le 30 décembre 2006. Le tyran éliminé, le pays s’en porterait beaucoup mieux …

Stabilité, pacification ou développement économique ?

Bien au contraire : la bête immonde du Nouvel Ordre Mondial a semé le désordre, la misère et le chaos dans tous les pays orientaux depuis plus de 30 ans, pour le plus grand bénéfice du complexe militaro-industriel américain et avec l’appui des gnomes de Wall Street. Il suffit de lire la rubrique « International » des grands quotidiens pour apprendre qu’en Irak ou en Afghanistan la situation est catastrophique.

Qui peut prétendre, par ailleurs, que le « Printemps arabe » a été bénéfique pour la population en Tunisie, en Egypte ou en Libye ? Ces pays n’ont en aucune façon prospéré après la destitution de Ben Ali, l’emprisonnement de Moubarak et l’assassinat de Kadhafi.  Au contraire : ils se sont inexorablement enfoncés dans l’obscurantisme le plus démentiel, accompagné d’un désastre institutionnel.

Et de grandes âmes, intellos de gauche comme de droite, voudraient impérativement que l’on soutienne les euros-mondialistes belliqueux dans une sombre machination pour écraser la Syrie et renverser Bachar al-Assad, afin de le « punir » comme l’exigeait Hollandouille ? Au contraire : il faut défendre le soldat Bachar !

Que la communauté internationale envoie plutôt ses missiles « Tomahawk » sur Tel-Aviv et Jérusalem pour que l’Etat hébreu respecte in fine les résolutions 181 et 242 restées inappliquées depuis des décennies et sur lesquelles les sionistes s’assoient ! L’exemple des bombardements de Belgrade en 1999 et de Bagdad en 2003, devrait leur servir de leçon. Mais il est vrai que ni les Yougoslaves, ni les Irakiens ne possédaient de missiles nucléaires « Jéricho », ni d’un centre de recherches comme celui de Dimona !

20:13 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce sur quoi devraient méditer les médias et autres « bobos » atteint de la « Mandelâtrie »….

mandela-skull.jpgJean-Claude Rolinat

Du Nouvel-Observateur à Libération, Le Monde ou Paris-Match – « Mandela est immortel. Il appartient désormais aux Africains de rendre immortel son rêve d’égalité, de pardon, de respect et de paix »,  Olivier Royant, p.57 numéro 3369 - en passant par les chaînes d’info en continu, BFM, LCI ou I Télé, ce ne fut qu’un concert de louanges et d’éloges dithyrambiques. Le seul effet comique incongru dans de telles circonstances fut la  grotesque prestation du traducteur en langages des signes dont l’imposture ne fut révélée qu’après la cérémonie du souvenir au stade de Soweto. Ce qui en dit long sur la dégradation des services de sécurité ! Pendant une semaine,  de Paris au siège New-yorkais des Nations Unies en passant par Johannesburg ou Qunu au Transkei,  les commentaires n’offraient à nos oreilles que les mêmes croassements venant de la mare médiatique.

« Tout ce qui est excessif est insignifiant » nous enseigne le sage… L’ancien chef de la branche terroriste de l’African National Congress méritait-il ce déluge d’honneurs post-mortem, l’érigeant en Père de la paix mondiale, en icone révérée par toute la bien-pensance cosmopolite, à la hauteur de toutes ces excellences à qui le Nobel de la Paix a été décerné et dont, bien souvent, il ne reste aucune trace en faveur du pacifisme ? Car quel est le bilan de la star sud-africaine créditée de toutes les qualités humaines ?

Incontestablement, le créateur de la chimérique « nation arc-en-ciel », après avoir passé 27 ans en prison – les dernières années  de résidence à Paarl s’apparentant  plus à un séjour en cinq étoiles – n’a prononcé aucune parole de haine, n’était animé par aucun esprit de vengeance contrairement à nombre de ses alter-égo tel un vulgaire Ben-Bella ou un cinglé comme Mugabe.  Et là il faut lui rendre un sincère hommage.  Pour le reste, en habile négociateur, il a « roulé les Blancs dans la farine »…Il faut dire qu’il avait en face de lui un De Klerk qui n’était que le porte-parole d’un Broederbond –, la franc-maçonnerie afrikaner,  prête à tous les abandons pourvu que l’on ne touche pas à son fric ! Mieux valait conserver ses domestiques noirs et sa piscine dans les beaux quartiers du Cap, de « Jobourg » ou de Pretoria, que de  résister et de s’abandonner au mythique rêve d’un Volkstaat….On a vu ce que ce choix a donné. Depuis avril 1994, un million de blancs sont partis, des milliers d’autres, notamment des fermiers comme Terreblanche le chef de l’AWB, ont été massacrés et le chômage touche presque un Noir sur deux. Le sida atteint 26 % des adolescentes noires et la discrimination « positive », le Black power employment,  prive l’Afrique du Sud  de ses cadres d’origine européenne qui cherchent en Australie (20 000 Blancs émigrés), en Nouvelle-Zélande aux Etats-Unis ou au Canada une situation meilleure pour eux et leurs enfants.  Il n’est pas jusqu’aux rudes fermiers boers qui reprennent les charriots de leurs ancêtres pour répondre positivement aux offres de terres à cultiver provenant du… Mozambique ou de la Géorgie ! Une oligarchie noire égoïste a fait main basse sur une partie de l’économie et s’entend comme larrons en foire avec ses homologues de la bourgeoisie blanche, tout au moins sa fraction qui a oublié d’où elle vient. Mandela a gouverné en dilettante, laissant à ses deux adjoints, à l’époque Thabo M’Beki et Frederik De Klerk, la gestion des affaires courantes. La diva planétaire parcourait le monde glanant ici ou là des lauriers qui n’étaient pas tous  usurpés. Comme un mal ne vient jamais seul, tel un miroir aux alouettes, l’Afrique du Sud qui au premier abord fait plus penser aux Etats-Unis qu’à l’Afrique noire profonde, a attiré des centaines de milliers d’immigrants en provenance  du reste du continent. D’où une éclosion de bidonvilles à la périphérie des grandes villes qui résorbaient à peine leurs quartiers insalubres. Le pays est divisé ethniquement même si, et c’est heureux, les lois les plus sombres de l’apartheid avaient déjà été abolies sous les gouvernements des Vorster, Botha et De Klerk. Il l’est économiquement avec, nous l’avons vu, l’irruption d’une classe noire nantie et égoïste –environ 10% de la population – laissant derrière elle les « oubliés de la croissance ». Régionalement aussi : en dehors des grandes métropoles détribalisées, les Xhosas restent au Cap oriental, les métis au Cap Nord et à Capetown même, les Zoulous au Kwazulu-Natal et les indiens à Durban. C’est la région du Witwatersrand et celle du Cap qui concentrent la majorité de la population blanche, à peine 9 % du total du pays. L’ANC est, pour l’instant le parti dominant, mais des concurrents déçus par sa politique se lèvent à sa gauche et à sa droite. Le Freedom Front qui devrait concentrer la résistance afrikaner est largement devancé dans l’opposition par le Democratic Party d’Helen Zille, Premier ministre de la province du Cap. Le DP semble d’ailleurs rallier à sa politique d’opposition frontale avec l’ANC tous les mécontents et particulièrement les métis, qui parlent l’afrikaans, et qui sont très nombreux dans son fief de la province du Cap Occidental. Si Mandela a su prévenir des conflits majeurs, grâce surtout à la neutralité  des généraux, puis à l’abandon de leur cause afrikaner par ces derniers, sa disparition ne changera rien quant au fond des choses. L’avenir n’était déjà plus radieux. Comme dans nombre de pays du tiers monde, l’écart est trop grand entre une minorité privilégiée et la masse du peuple. L’unité nationale est un leurre,  mis à part quelques élites acquises au mondialisme. Il y a autant de différences entre un Anglophone blanc  et un Afrikaner, qu’entre un Français et un Britannique, autant entre un Xhosa et un Zoulou qu’entre un Danois et un Serbe, que l’on veuille bien me pardonner ces comparaisons… osées. Espérons simplement que ce tsunami lacrymal qui a monopolisé les ondes pendant près d’une semaine ne sera pas suivi du torrent des larmes des oubliés de ce pays, Blancs ou Noirs, qui mériterait mieux que la mainmise  monopolistique de l’ANC.

INFO SN : sortie prochaine de "La faillite de Mandela", le livre noir de la nation arc-en-ciel signé Jean-Claude Rolinat, aux Bouquins de Synthèse nationale, 170 pages, 18,00 €

19:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 décembre 2013

La Voix de la Russie de cette semaine :

10:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 15 décembre 2013

De la Mandelamania à la Mandelahisteria

2909339854.jpgYves-Marie Laulan

Faut-il l’avouer, je me méfie toujours instinctivement de ces manifestations d’exaltation unanime qui, pour l’esprit chagrin que je suis, dissimulent toujours une réalité beaucoup moins plaisante à voir. Mandela a fait l’objet, de son vivant, d’une véritable idolâtrie à l’échelle planétaire. Mort, le voici quasiment déifié. Notre société agnostique, qui a perdu la foi chrétienne et l’amour de la  patrie, a quand même besoin d’icônes pour se rassurer sur la bonté foncière de la nature humaine et la possibilité pour l’humanité de vivre pour toujours dans la paix et l’harmonie.

De ce point de vue, Mandela a été une icône parfaite, lisse, irréprochable, sans un pli, même si sa vie privée a été quelque peu tourmentée en raison des turpitudes de sa femme, comme le savent certains initiés. Car son visage humain a fini par disparaître sous les couches épaisses de peinture arc-en-ciel que la presse mondiale n’a pas manqué d’appliquer sur ses traits

Nelson Mandela est mort au terme d’une longue vie, à 95 ans, et d’une non moins longue série d’hospitalisations répétitives, pieusement annoncées par une presse mondiale fermement décidée à ne pas rater l’évènement et à le faire savoir au public

Ses funérailles n’ont pas été moins triomphales : il aura connu un enterrement de roi. Tous les grands de ce monde, 70 chefs d’Etat, 5 Prix Nobel, se sont précipités à Johannesburg  pour y être et surtout y être vu : la reine d’Angleterre, le Prince Consort, le Prince de Monaco, le président du Luxembourg, l‘Evêque coadjuteur de la Principauté d’Andorre, sans oublier Jacques Chirac, (qui croyait assister à une virée en Corrèze), Nicolas Sarkozy toujours préparant son grand retour, François Hollande revenu tout exprès du front en battle dress, bref, tout ce que le monde politique compte de visible, d’important,  de notable : une véritable exhibition politique médiatisée à l’échelle mondiale venue rendre hommage au vieux leader disparu. Les propos convenus, les discours amphigouriques ont coulé à flots. Il n’y a que Vladimir Poutine, décidément grincheux, qui se sera contenté d’envoyer là-bas une vague représentante diplomatique.

Comment s’expliquer cette stupéfiante hystérie collective en faveur d’un personnage sympathique certes, mais qui, à ma connaissance, n’a nullement bouleversé la carte du monde ni son destin, comme l’ont fait un Gorbatchov ou même un Elstine  par exemple ?

Il faut y voir,  naturellement, un effet « média », ou effet « boule de neige ». Il y a des évènements où il faut aller coûte que coûte, pour y être vu. Cela compte à l’heure de la communication mondiale instantanée .

Mais, derrière cet écran se cachent au niveau du public deux sentiments beaucoup moins élevés : le soulagement et la peur, sœurs jumelles.

Cette peur a deux facettes. L’une, bien évidente, est celle du racisme, ou plus précisément de l’anti-racisme. S’il s’agissait de Frederick de Klerk, le dernier président blanc de l’Afrique du Sud, personne ne se serait ne se serait dérangé le moins monde. Et pourtant son concours, pour éviter la tragédie d’une guerre civile prolongée et ruineuse, a été essentiel. Mais peu importe. C’est un Blanc. Il a eu, certes, lui aussi, le prix Nobel de la Paix. Mais il n’intéresse plus personne. Mieux, plus personne ne retient son nom.

Pour Mandela, c’est une toute autre histoire. Il était noir et il fallait absolument pour toute personnalité politique  être vue en train de s’associer  aux hommages publics qui lui était rendu, sous peine de se voir dans l’instant taxé de racisme, ou tout au moins de mollesse dans l’anti-racisme, péché mortel de nos jours. C’est l’arme incapacitante par excellence  que pas un politique dans son bon sens n’oserait braver. Allons donc à l’enterrement de Mandela et nous aurons un brevet d’anti- racisme à peu de frais bien utile par les temps qui courent.

L’autre facette de cette peur diffuse est un sentiment de soulagement. Il est lié au fait que, obscurément, la minorité blanche en Afrique du Sud, mais les Blancs d’une manière générale dans le monde (il n’y a qu’à voir  certaines rames de métro le soir à Paris pour voir le changement opéré en peu d’années), se savent en grand danger démographique. Les prévisions de l’ONU sont sans appel. L’Afrique à deux milliards de personnes, c’est pour demain, à la fin de ce siècle. En 2100, un homme sur trois dans le monde sera d’origine africaine. Dans de telles conditions, comment les Blancs n’éprouveraient-ils pas instinctivement le besoin de se rassurer, comme on siffle dans la rue la nuit pour ne pas avoir peur et de se protéger par le truchement d’une image rassurante.

Mandela, avec son visage rieur et sympathique, a joué ce rôle à la perfection. Il a montré de façon spectaculaire qu’il était possible, au moins pour quelque temps, à une minorité blanche de survivre, mieux, de coexister paisiblement avec une écrasante majorité noire, sans craindre le massacre collectif ou des Vêpres siciliennes. Message bien reçu en Occident. Nous pouvons désormais dormirons sur nos deux oreilles à l’ombre tutélaire de Nelson Mandela .

Quoiqu’il en soit, il est un singulier parallèle à établir entre Mandela, qui vient de disparaître et Martin Luther King, le héros de la communauté noire en plein réveil et en marche vers le pouvoir aux Etats-Unis il y près de 50 ans.

Dans le deux cas, il s’agissait de leaders charismatiques de deux communautés noires. Dans les deux cas il s’agissait de ravir une parcelle ou la totalité du pouvoir politique détenu par la communauté blanche. Cela a été promptement  chose faite en Afrique du sud où les Noirs détiennent une écrasante majorité, même s’ils sont fortement minoritaire aux Etats-Unis où les Noirs ne constituent qu’une forte et remuante minorité, l’affaire a été plus lente même si le premier président métis de l’histoire américaine a été élu en 2007 avec Barak Obama, personnalité tout à fait remarquable au demeurant

Mais ce qu’il y a de tout à fait intéressant est que deux cas, le  succès politique n’a nullement été suivi d’une consécration significative sur le plan économique. Comment expliquer ce paradoxe ?

Une hirondelle ne fait pas le printemps. Le Noirs ont été très habiles pour détourner à leur profit les valeurs forgées en occident au cours de siècles, au prix d’un accouchement pénible, au sortir du Moyen-Age, valeurs fondées comme on sait l’équité, la représentativité et l’égalité. Mais ils ont été totalement incapables de convertir cette réussite vers un développement économique à caractère durable. Ils demeurent encore aujourd’hui à la traîne des Blancs et incapables de consolider à leur profit les acquis remarquables obtenus par le jeu de la démocratie quantitative.

L’Afrique du Sud après Mandela n’a rien de bien glorieux. Certes une petite bourgeoisie noire de 8 millions de personnes côtois 40 millions de Noirs plongés dans la misère cependant que les Blancs s’enferment dans des ghettos sécurisés. Cette inégalité entretient au quotidien un climat d’instabilité et d’insécurité qui entrave le développement économique. Le taux de croissance ne dépasse pas 3 % l’an, bien insuffisant pour tirer le pays de l’ornière. L’Afrique du sud est également championne du monde du sida, triste privilège.

En d’autres termes, rien n’a changé sur le fond en Afrique du Sud. Mandala donné le pouvoir politique à une minorité noire, celle de l’ANC, astucieuse et corrompue, dont son président, Jacob Zuma, est le parfait exemple. Mais d’une part, il n’a pas réussi à donner aux Noirs la capacité de se doter du pouvoir économique, qui est toujours l’apanage des Blancs. Par ailleurs, il n’a pas été en mesure d’infuser aux Noirs les vertus dont il était, en principe, porteur. Les Noirs sont toujours aussi misérables et les Blancs, enfin une honnête minorité, toujours aussi prospères. Mandela n’a rien pu faire pour soulager l’effroyable misère des ghettos de Soweto, (qui valent largement les favellas de Rio de Janeiro) où croupit dans la misère une foule nombreuse et déshéritée.

Les fermiers blancs se sentent au quotidien menacés de cambriolages ou d’assassinats dans leurs fermes prospères, au risque d’en être chassés quelque jour par des gangs de bandits noirs, comme c’est déjà le cas au Zimbabwé voisin sous l’égide du sinistre Mugabé. A Johanesburg les coquettes villas occupées par des Blancs sont sujettes à de fréquents cambriolages, ce qui oblige leurs propriétaires à édifier d’imposantes protections sous forme de barrière de barbelés souvent électrifiés. Enfin, à partir de 6 h du soir il ne fait pas bon de se promener dans les rue de Pretoria et les touristes amateurs de promenades vespérales sont avertis de ce que sortir de leurs hôtels ne va pas sans risques. Quant à l’équipe de rugby de l’Afrique du Sud, elle ne comporte qu’un seul joueur noir, et encore  n’est-il pas le meilleur de l’équipe. Mais Mandela rusé et excellent politicien, n’a pas manqué de célébrer la victoire de l’équipe « arc-en-ciel » aux derniers championnat du monde de rugby .

En fait, la figure de Mandela évoque celle d’une autre Noir qui a fait, lui aussi, l’objet d’un véritable culte aux Etats-Unis, Martin Luther King, qui a eu la chance, lui, d’être  sottement assassiné par un fou à Memphis,  Alabama. Ce qui lui a dans l’instant, conféré l’auréole du martyr. Mais, dans le sillage de Martin Luther King, le processus d’émancipation de la communauté noire aux Etats-Unis a connu un fantastique coup d’accélérateur. A telle enseigne que l’actuel président des Etats-Unis est un Noir, … enfin un métis. Lequel se trouve, par chance, être une personnalité politique remarquable, à la vie privée impeccable (contrairement à celle d’un certain Bill Clinton de sinistre mémoire). Mais la communauté noire aux Etats-Unis reste à la traîne des autres.

Dans un sens, Barak Obama est l’héritier de Martin Luther King, en ligne directe. Dans un cas comme dans l’autre, l’émergence d’une forte personnalité noire à caractère charismatique a permis aux Noirs de dérober, puis de s’approprier, une parcelle du pouvoir politique détenu jusqu’alors pas les Blancs (aux Etats-Unis) ou la totalité de ce même pouvoir en Afrique du Sud, au profit des Noirs et aux détriment des Blancs .

Mais on ne saurait trop le répéter, rien de tout cela n’aurait été possible sans le poids de la situation démographique dans ces deux pays qui a lourdement joué en faveur des Noirs aux Etats-Unis comme en Afrique du Sud, en créant une situation politiquement et socialement impossible à gérer. Sans la présence d’une écrasante majorité de Noirs là-bas ou d’une imposante minorité ici, rien n’aurait été possible. De ce point de vue, Nelson Mandela et Martin Luther King n’auront été, après tout, que les habiles accoucheurs, hautement médiatisés, d’une société en lente transition démographique. 

Car tout est démographie. La démographie fait la loi. C’est elle qui commande en fin de compte l’évolution des sociétés humaines. Et tout le reste est littérature.

Moralité : si vous voulez gagner ou conserver le pouvoir, faites des enfants. Avis aux Québécois.

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Réaction d'Emmanuel Ratier suite à l'attaque dont a été victime la librairie Facta à Paris...

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Italie : vers une nouvelle marche sur Rome ?

720260807.pngYves Darchicourt

Lundi dernier, un fort vent de fronde a soufflé sur toute la péninsule italienne. Une centaine de manifestations, inspirées du mouvement populaire des "Forconi" (les porteurs de fourches) parti de Sicile, ont mis en branle d'immense cortège de citoyens italiens ulcérés contre les taxes, la précarité, le chômage, l'austérité et l'incapacité crasse de la coalition "gauche droite" censée gouverner le pays. Plus généralement, l'exaspération des manifestants s'est focalisée sur les privilégiés et les profiteurs de la caste politique dont la simple évocation ou pire encore la fugace apparition a suscité huées, bordées de divers noms d'oiseaux et incitations viriles à aller se faire pendre ailleurs.

Pour la plus grande désolation des démocrasseux il s'est même trouvé - horresco referens - du populaire pour sans aucune vergogne comparer ces "émotions" aux heureux prémisses de la "marche sur Rome" des Chemises Noires de Benito. Et cerise sur le gâteau, pour la première fois des policiers ont fraternisé avec les manifestants sous le cri rassembleur de "Italia" (voir la vidéo)

Une déferlante du petit peuple contre les politiciens et un début de fraternisation des forces de l'ordre avec les citoyens mécontents... on comprend pourquoi nos "grands" médias n'ont guère répercuté l'évènement. Il est vrai aussi que notre médiacratie européenne était fort occupée à célébrer Mandela !

23:22 Publié dans En Europe et ailleurs..., Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |