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samedi, 30 novembre 2013

Sézanne : la truanderie diminue ses effectifs !

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Yves Darchicourt

C'est la poisse, la guigne, la scoumoune... Deuxième jour de deuil pour le petit monde de la bobocratie médiacratique. Après le tirailleur fou "de type européen" qui finalement s'avère être Abdelhakim Dekhar, un "mosellan" gauchiste très exotique, le braqueur qui vient fort justement d'être expédié par un commerçant de Sézanne et dont le nom a été caché le plus longtemps possible est ou plutôt était Fatihe Mehenni, une indéniable "chance pour la France" du Val  de Marne qui plus est une sorte d'artiste issu de la "planète rap" !

Le nuisible était un multirécidiviste de 36 ans, déjà condamné 10 fois dont 2 fois pour vol avec arme. L'obstiné avait été surnommé dans les médias "le braqueur de Noël" pour sa prestation dans un centre commercial le 24 décembre 2000 où il avait tiré en l'air pour se dégager avec son butin avant d'être piteusement alpagué par la police. Condamné à 10 ans de réclusion en octobre 2003, le truand avait été bénéficié d'une libération conditionnelle en juin 2010. Cerise sur le gâteau, pas moyen cette fois d'inquiéter l'honnête commerçant qui était autorisé à détenir un Glock 9mm et dont la défense légitime est avérée puisqu'il ne pouvait pas savoir que le malfrat le menaçait avec une arme de type gomme-cogne parfaitement ressemblante à une arme à feu réelle.

On atteint là le sublime dans la malchance pour le politiquement correct : un multirécidiviste issu de la diversité, grand amateur de rap, fort légitimement abattu par un commerçant gaulois. C'est la Taubira qui va être contente !

16:25 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

HALLUCINANT ! Cela se passe à Paris en... 2013 !

15:43 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 1er décembre, venez acheter Les Bouquins de Synthèse nationale à la Table ronde de Terre et peuple à Rungis...

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Dimanche 1er décembre, à Rungis : TOUS A LA TABLE RONDE DE TERRE & PEUPLE

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XVIIIe Table Ronde : SOMMES-NOUS EN 1788 ?

Demain la Révolution ?


  Dimanche 1er décembre 2013


Jean Haudry : « La Révolution française : un modèle pour la nôtre ? »

Alain Cagnat : « Demain, les guerres »

Lajos Marton : « Itinéraire d’un révolutionnaire »

Pierre Krebs : « L’état d’esprit révolutionnaire »

Pierre Vial : « Notre espérance et notre volonté : la révolution identitaire »


Débat « Notre socialisme identitaire » avec Fiorini, Krampon, Feltin-Tracol, JP Lorrain, animé par Vial


  Espace Jean Monnet

47, rue des Solets à Rungis 94150

(accès RER : station La Fraternelle) vastes parkings


A partir de 10 heures. Entrée : 8 euros


Restauration sur place à petits prix

Nombreux stands : livres, revues, disques, insignes, drapeaux, tee-shirts, artisanat identitaire enraciné


Terre et Peuple  BP 38  04300 Forcalquier

contact@terreetpeuple.com  tél : 06 62 47 29 92 

Venez nous retrouver sur

le stand de Synthèse nationale 

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vendredi, 29 novembre 2013

De la paroisse catho à la paroisse bobo

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Jacques-Yves Rossignol

On observe au quotidien une appropriation des églises par une nouvelle bourgeoisie activiste, hystérique, bavarde. Elle use d’idéologies diversifiées pour accompagner et justifier sa progression subreptice et conquérante. Faisons un bref inventaire de ces idéologies liguées contre le catholicisme populaire :

- l’esthétique du dépouillement (c’est-à-dire : remplacement du mobilier, des ornements, de l’éclairage, de l’autel même par des produits de designers et d’artistes, glacés, ruineux, et interdisant, dans la mesure du possible, le recueillement et les pratiques de dévotion) ;

- l’esthétique de type « art contemporain », esthétique de la distance, de la provocation et du choc (c’est-à-dire introduction de la mentalité du masochisme chic, de la dérision généralisée et de la haine des vertus simples, transformation discrète et progressive des églises en lieux d’exposition pour artistes névrosés) ;

- l’idéologie du mépris du peuple, sot et grossier, et surtout esthétiquement ringard (c’est-à-dire : chasse active au buis bénit, aux cierges, aux statues, aux reliques, lamentables fétiches, heureusement très vite remplacés par des crottes d’art contemporain gravement commentées) ;

- l’idéologie scientiste de la « vie » (par exemple : les obsessions bizarres autour de l’embryon et des cellules embryonnaires permettant de toiser et de mépriser à bon compte les croyants ayant une morale normale et sachant reconnaître et aimer la vie vraie et sensible) ;

- l’idéologie de la communication, du dialogue (c’est-à-dire papotage, exubérance et agitation permanentes entre complices bobos  excluant implicitement les non bobos du jeu) ;

- l’idéologie de la communauté, de la convivialité (par exemple : celles de la paroisse parisienne bobo chic et arty ayant chassé à grand renfort de ricanements tous les braves gens du quartier) ;

- l’idéologie de la tolérance et de l’accueil d’autrui (c’est-à-dire : applaudissement frénétique de tout massacre mental et moral de la population enracinée non encore convertie au masochisme chic, ébahissement et pâmoison devant les divers gangsters et racailles chargés de ces tâches, sans doute prochainement canonisés par l’Eglise bobo).    

15:26 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hausse de la TVA : à quand le ras le bol des tartuffes UMPS ?

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La chronique de Philippe Randa

La gauche augmente l’impôt, la droite le baisserait. Ah bon ?

À quelques semaines de la mise en œuvre de la hausse de la TVA prévue au 1er janvier 2014, il est tout de même nécessaire de remettre les pendules de la fiscalité politique à l’heure.

Les Français ont la mémoire courte, mais quand même… L’ancienne majorité UMP n’avait-elle pas voté une hausse de la TVA à 21,2 % avec une entrée en vigueur dès septembre 2012 si Nicolas Sarkozy avait trompé une seconde fois les électeurs ?

« Aujourd’hui, les entreprises n’en peuvent plus de l’impôt, il faut savoir arrêter de matraquer », martèle avec culot Christian Jacob, chef de file de l’opposition à l’Assemblée, qui rappelle à François Hollande son engagement de campagne de marquer une pause fiscale.

L’UMP qui a soutenu les Bonnets rouges bretons refusant l’écotaxe, se moque du monde, car si cette taxe n’est pas juste, c’est un peu tard pour le découvrir, puisqu’issue du Grenelle de l’environnement en 2009, ses parlementaires l’ont adoubé… Sa condamnation en 2013 sous prétexte que le gouvernement Ayrault a trop alourdi par ailleurs la fiscalité des Français, c’est reconnaître que ce n’était finalement qu’un impôt de plus, sans légitimité particulière,  décidé sous un quinquennat précédent déjà fort aux abois… N’est-ce pas le Premier ministre d’alors, François Fillon, qui avait reconnu que les « caisses étaient vides »… déjà ?

Quant à la hausse prochaine des taux de TVA, elle serait différent de celle du quinquennat précédent, a précisé le ministre du Travail, Michel Sapin sur Europe 1 « La précédente TVA sociale ne touchait qu’au taux principal de TVA, qui passait de 19,6 % à 21,2 %. La TVA “socialiste” augmente ce taux à 20 %, le taux intermédiaire passe de 7 % à 10 %, et diminue le taux réduit, qui concerne les biens et services de première nécessité de 5,5 % à 5 %… »

C’est dit : la TVA socialiste ne touchera pas les ménages les plus modestes, comme il est convenu désormais de nommer les très pauvres de nos concitoyens.

Dommage pour les milliers de cavaliers (et de poneys) qui défilaient dimanche dernier à Paris qui n’entrent pas les critères socialistes de pauvreté… Tant pis alors, si, comme le dénonce un dirigeant de centre équestre, la « hausse socialiste » de 7 à 20 % qui concerne (entre autres) cette activité « va entraîner la fermeture de 2 000 centres équestres sur 7 000, la perte de 6 000 emplois directs et envoyer 80 000 chevaux à l’abattoir ».

Diantre ! Si cette prédiction n’est pas exagérée, ça laissera presqu’autant de nos concitoyens sur le tapis que le dépôt de bilan du transporteur Mory Duclos dont on a tant parlé ces derniers jours. Quelques milliers de futurs « ménages des plus modestes » supplémentaires, en quelques sortes !

Mais heureusement, le gouvernement a assuré qu’il comptait « sauver la filière ». Pour cela, Valérie Fourneyron, ministre des Sports, se dit prête à « activer tous les leviers » pour : « que l’on puisse réviser cette directive (européenne) TVA et pouvoir emmener d’autres pays qui n’y sont pas favorables à ouvrir légalement un taux de TVA réduit pour les centres équestres. »

Après l’exception culturelle française, voici envisagée l’exception équestre française ! Et combien d’autres exceptions encore seront-elles envisagées avant que l’UMP ne revienne aux Affaires ? Afin de lever de nouvelles taxes que les socialistes, revenus dans l’opposition, ne manqueront pas de combattre sans être le moins du monde gêné.

Le ras le bol fiscal est d’actualité, à l’évidence. Mais ne serait-il pas grand temps d’assister enfin au ras le bol des tartuffes ?

15:03 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un instant de calme...

14:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lettre ouverte aux Bonnets rouges

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Serge Ayoub

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La crise a rattrapé la Bretagne. La riche Armorique connaît à son tour la pression des marchés internationaux et les effets du dumping social. Par dessus cette précarisation économique, il a fallu que la gauche, qui gouverne aussi bien qu’un capitaine de paquebot aveugle au milieu d’une forêt d’icebergs, rajoute l’écotaxe. De l’iceberg, c’est la face émergée, le symbole d’une gouvernance économique antipopulaire, anti-française, et suicidaire. Jadis la gauche luttait contre la violence du capitalisme. Elle s’est ensuite contentée d’en atténuer les effets, puis s’est résignée à s’excuser de ne pouvoir le faire, sous Mitterrand et Jospin. Aujourd’hui, tout au contraire elle accentue cette violence, et espère s’en sortir en souriant bêtement. L’écotaxe est à l’image de nos socialistes : une stupidité et une honte.

Celle-ci découle initialement du principe de la taxation du réseau routier secondaire dans une perspective écologique. De prime abord il est difficile de concevoir qu’une taxe puisse être écologique, mais les gouvernements successifs de la France n’ont trouvé que cette option pour renflouer les caisses de l’État chroniquement vides. Pour se faire ils réclament toujours plus aux mêmes, les travailleurs français, au point d’épuiser encore davantage leur base fiscale. Cette nouvelle taxe, officiellement, à pour premier objectif de « responsabiliser » les Français en les incitant par le porte-monnaie à moins se servir de leurs véhicules polluants. De plus l’écotaxe devrait financer l’entretien et le développement du réseau routier. Elle devrait encourager l’usage de transports alternatifs via les réseaux ferroviaires et fluviaux nationaux pour substituer au « tout camion » qui règne en France l’instauration d’autoroutes ferroviaires et fluviales. Malheureusement, ce projet généreux qui veut réduire le taux de pollution et la facture énergétique de la France se heurte au principe de réalité. En effet, il paraît difficile techniquement de demander à un transporteur routier de déposer son camion sur un wagon plat et d’engager un autre camionneur à la réception ou de payer le billet au premier pour suivre son camion. Les coûts seraient plus élevés, et malgré la réduction de la facture énergétique, les habitudes actuelles semblent réticentes à ce projet.

Plus que les belles et grandes déclarations d’intentions qui cachent mal l’alourdissement de la fiscalité sur les transporteurs et les producteurs, il faut saisir l’impact de cette taxe sur la France et les Français.

Tout d’abord il s’agit d’un double mensonge fait à nos concitoyens. En effet, les impôts et le Service des ponts et chaussées (la DDE) sont déjà destinés à payer et à entretenir nos routes. Cela fonctionne depuis toujours plutôt bien, et de ce point de vue l’écotaxe apparaît comme un impôt-doublon imposé aux professionnels. Ensuite, contrairement à ce que les Français croient, ce doublon ne sera pas assumé uniquement par les transporteurs et les producteurs. Il est évident que cette nouvelle taxe sera inévitablement répercutée sur le consommateur dans le prix de revient des marchandises. C’est une taxe qui coûtera de toute manière une fortune aux entreprises, à cause des multiples passages sous les fameux portiques qui augmenteront d’autant la facture à régler pour les consommateurs que nous sommes. Le doublon est même un « triplon » ! Lorsque l’on pénètre un peu plus les raisons financières de cette écotaxe, c’est-à-dire l’entretien et le développement du réseau routier, on s’aperçoit que les péages des autoroutes et les taxes sur le carburant remplissent également cette fonction. Il s’agit donc ouvertement d’une surtaxe sur des taxes ! De surcroît, cette taxe carbone nouvelle version se rajoute aux 80 nouvelles taxes et sur-taxations créées en 18 mois par le gouvernement Hollande. On comprend mieux l’énervement des contribuables qui assimilent en une même « pompe à fric » cette écotaxe et les radars. Fait révélateur de cette fronde antifiscale, et encore plus inquiétant pour notre gouvernement, les agences de notations ont récemment pris en compte ce phénomène de ras-le-bol des Français, considérés jusqu’à ce jour comme d’excellents payeurs d’impôts, en dégradant la note du pays AA+ à AA. Ce qui signifie que le malaise français est palpable jusque de l’autre côté de l’Atlantique. L’incompréhension et l’écœurement pour nos concitoyens sont d’autant plus vifs que cette écotaxe est perçue par une société privée, étrangère de surcroît, qui empoche 20% de cette taxe pour son propre compte. On comprend que les révoltés de Bretagne aient choisi le nom de Bonnets rouges, car ce système de perception privée des impôts nous replonge des siècles en arrière, sous l’Ancien régime et le règne des fermiers généraux honnis. Ancien régime est un mot bien choisi car il ne faut pas se leurrer, le système de perception par portique va s’étendre rapidement à l’entrée des grandes villes où tous les véhicules, professionnels et privés, seront soumis à un octroi, un péage. Puis, dès que la pilule sera avalée, le régime se déploiera sur tout le territoire et les Français devront systématiquement payer pour se déplacer. Ce jour-là, notre pays sera sous surveillance totale et tous seront tracés par les cartes de crédits, réseaux sociaux, Smartphones, GPS, et maintenant ces portiques vidéo.

Voilà donc toutes les bonnes raisons de refuser cette écotaxe et de soutenir la lutte des Bonnets rouges.

Mais s’il est important de soutenir, il est surtout urgent de proposer. Nos Bonnets rouges, assez forts par eux-mêmes, n’ont pas besoin de soutiens extérieurs mais de solutions pour arrêter ce conflit. Aussi inique que soit cette taxe, il est néanmoins évident que le gouvernement ne lâchera rien qu’il ne pourrait récupérer ailleurs, autrement, car il est aux abois et cherche de l’argent partout où sa récolte ne gène pas les intérêts des grands groupes qui ont financé son élection. Il serait bon de rappeler à l’UMPS qu’il est responsable de cet état lamentable de nos finances. En ce qui concerne le réseau routier, ce sont notamment Jospin et Fillon qui l’ont bradé aux grands groupes comme Vinci, Eiffage et Albertis. Ce sont eux qui ont vendus pour une misère les autoroutes que les Français avaient payées de leurs poches. Il est temps de prendre des mesures de salut public et d’intérêt général. Il faut renationaliser les autoroutes françaises, d’abord parce qu’elles appartiennent aux Français qui les ont financées, ensuite parce qu’il est inadmissible que des intérêts privés s’arrogent le pouvoir de contrôler les moyens de communications nationaux. Surtout, les autoroutes ont institué un péage dans le cadre de l’entretien et du développement de ce réseau. Les milliards de bénéfices engendrés seraient donc les bienvenus dans les caisses de l’État plus que dans celles des actionnaires. Au lieu de taxer le réseau secondaire, il faut redistribuer les revenus des autoroutes. C’est là que le terme de solidarité prendrait tout son sens, en l’appliquant aux grands groupes et pas seulement aux petites gens. Je ne parle pas d’une expropriation mais d’une réappropriation. Étrangement, Ayrault, Premier ministre, décide au même moment de prolonger d’encore trois ans les concessions d’autoroutes à ces organismes privés alors que leurs bénéfices seraient estimés à plus de dix milliards par an. On est en droit de se demander pour qui travaille Ayrault. En faisant un pont d’or au grand capital, il roule sur l’autoroute de la colère du peuple qui travaille.

Mais le point de fixation qu’est l’écotaxe ne doit pas cacher les raisons du désarroi breton et du malaise national. La Bretagne allait déjà mal avant cette mauvaise idée. La composition des bonnets rouges est révélatrice de l’ampleur de la crise. Des pêcheurs, des ouvriers, des entrepreneurs, des artisans, des commerçants, des producteurs et des agriculteurs. C’est cette foule hétéroclite et « contradictoire » pour Mélenchon qui lui fait déclarer avec mépris qu’à Quimper « les esclaves manifesteront pour les droits de leurs maîtres ». Le chef du Front de gauche est d’une mauvaise foi qui dépasse le supportable. Il ne comprend pas (ou fait semblant de ne pas comprendre) que la lutte des classes a évolué depuis la fin du XIXe siècle, et que les petits patrons sont tout aussi précarisés que leurs employés par l’exploitation du capitalisme global. En Bretagne s’opère une autre solidarité que l’hermétique et obsolète communauté de classe, comprise au sens stricte. Ces nouvelles solidarités privilégient l’humain et son environnement régional, et transgressent les lois du marché international. Ces Bretons veulent travailler chez eux, avec leurs familles, leurs habitudes et refusent de se délocaliser comme leurs entreprises, d’être aussi flexibles que les cours de la bourse et aussi mobiles que les marchandises.

Mais à cette revendication populaire qui unit petits patrons et ouvriers dans une défense de leur identité commune de travailleurs, de Bretons et de Français, il faut en ajouter d’autres, plus strictement économiques. En effet Bruxelles, Paris, les banques et les marchés ont demandé des investissements considérables ces dernières années aux producteurs et éleveurs de Bretagne comme à ceux de toute la France. Traçabilité, modernisation, conditions moins stressantes et meilleure alimentation pour les animaux ont coûté une fortune aux éleveurs français. Pour pouvoir suivre, ceux-ci ont dû emprunter massivement. Les banques ont accepté parce que les contrats pris avec les grands groupes industriels garantissaient la vente totale de la production. C’est une réalité économique : les éleveurs français ont souvent un seul client, un grand groupe industriel qui fournit la marchandise, les œufs fécondés, les poussins, qui sortent tout droit de leurs usines ou coqs et poules se reproduisent. Les éleveurs français sont donc complètement dépendants de leur unique client. Simultanément la pression de la concurrence étrangère et européenne s’est accrue sur le marché national. Par exemple, de manière tout à fait légale, l’Allemagne importait des poulets élevés en Europe de l’Est. Les poulets de ces élevages aux conditions d’exploitation plus que douteuses, sans contrôle ni traçabilité, étaient vendus en Europe à des prix défiant toute concurrence. Ainsi, aujourd’hui nous avons peut-être dans nos assiettes un poulet élevé à Tchernobyl… Une fois en Allemagne ils sont transformés dans des abattoirs où des employés qualifiés se voient payer des salaires inférieurs à 400€ par mois. Pour terminer la production est acheminée en France par des transporteurs qui contrairement à nous ne connaissent ni Smic, ni 35 heures, ni charges sociales. Ultime coup de grâce : l’inégale taxation des carburants qui renforce encore l’effet dumping dont ces pays bénéficient.

La conséquence de cette concurrence faussée et que le marché national de Rungis n’a aucune raison de se fournir en France. Les grands groupes qui fournissent la production à nos éleveurs n’y trouvent plus le moindre intérêt et rompent tout partenariat avec eux. Les éleveurs français n’ont, comme je l’ai écrit plus haut, souvent qu’un seul client, ce grand groupe, et si celui-ci les lâche, ces éleveurs ne peuvent plus payer leurs crédits et se retrouvent en cessation de paiement. Il en est de même pour la filière porcine, céréalière et pour la pêche.

Pour cette dernière, la solution ne peut venir que d’une véritable volonté politique nationale et européenne. Il faut, lorsque le marché est en situation de surpêche, interdire l’achat de production étrangère qui inonde le marché et dilue les prix. C’est cette situation de monopole qu’ont instituée les grands groupes de distribution que l’on doit briser. Il faut une loi antitrust à la française. Quoiqu’il en soit se contenter de détaxer le gasoil comme le fait le gouvernement ne saurait suffire. Il faut structurer un réseau de petits et moyens producteurs, recréer un réseau de distribution alternatif, de véritables centrales d’achats indépendantes, et aider le commerce indépendant qui pourra se fournir sur ce second marché.

D’une manière générale, pour lutter contre cette concurrence déloyale qui détruit nos entreprises et nos emplois, nous proposons de créer au niveau européen une taxe sociale sur les produits de provenance extra-européenne. Cette taxe prendra en compte toutes nos exigences en matière de production et de qualité. Au niveau national il faut réorganiser notre marché avec un différentiel par estampillage d’un label made in France véritable qui garantisse et encadre la production, l’élevage, l’abattage et la transformation. Ce label fixera les normes françaises de production et de traçabilité et s’appuiera sur une charte qui tiendra compte des obligations qui sont imposées à nos entrepreneurs et éleveurs. Cette charte de qualité devra à terme se généraliser sur toute l’Europe et deviendra l’étalon de la taxe sociale instaurée à l’entrée de notre espace européen.

Pour terminer et donner un second souffle aux petits et moyens producteurs de l’agriculture, de la pêche ou de l’élevage, il sera institué des coopératives de production et de distribution des Indépendants sous contrôle de l’État. Utopie, me direz-vous ? Non, ce n’est que la reformation de l’ancien marché national avant qu’il ne soit dévoyé par les grands groupes industriels mondiaux. Mieux, ce grand projet prend en compte ce qui a fait la fortune de la France, les coopératives de productions agricoles et de distribution. Ironie de l’histoire, ce sont celles-ci, victimes de leurs succès, qui furent rachetées par les grands groupes. L’éthique initiale de l’esprit des coopératives se vit détournée vers une logique de profit maximum.

Ce que nous voulons, nous solidaristes, c’est l’instauration d’un marché français équitable pour le producteur comme pour le consommateur. Ce second marché n’exclura pas le premier, bien au contraire il en ouvrira un nouveau, il permettra aux consommateurs un choix différent, responsable. Quel libéral pourra nous accuser de bafouer le principe de la concurrence, puisque ce projet la renforce ! L’arbitrage de l’État garantira le respect des grands principes défendus par ce second marché. Stratégiquement et de manière planifiée, il investira vers les différents secteurs de ce marché pour lui permettre de s’épanouir. C’est tout le contraire de cette fuite en avant fiscale qu’on veut nous faire passer pour une politique de redressement national. Pour accomplir cet effort, il ne faut pas se contenter de changer les hommes, il faut aussi de nouvelles règles. Ces règles, je les ai décrites : coopération, libre concurrence maîtrisée et un État capable d’assumer son rôle d’arbitre. Ces règles ont un principe : l’esprit de solidarité nationale.

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"Orchestre rouge", le nouveau livre de Gabriele Adinolfi

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Orchestre rouge,

Gabriele Adinolfi,

Avatar éditions, 2013,

166 pages,

19 € (+ 3 € de port)

Préface de Michel Drac

Presque dix ans après Nos belles années de plomb, Gabriele Adinolfi, figure historique de la droite radicale italienne, revient sur cette tragique période qui a secoué son pays, avec un ouvrage choc longuement mûri qui intègre les apports de nombreux travaux ayant vu le jour depuis lors et constitue un gros pavé dans la mare du politiquement correct et des mensonges de l’historiographie officielle.

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Gabriele Adinolfi à Paris mardi 10 décembre cliquez là


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Les bonnets rouges sauce Troadec ne font pas l'unanimité

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Richard Roudier, Président du Réseau Identités, nous a accordé un entretien pour parler de son livre le Glaive et la Charrue paru début novembre mais aussi pour donner son avis sur les bonnets rouges qui doivent se réunir à Carhaix sur le site des Vieilles Charrues le 30 novembre dans une ambiance festive et musicale.

Richard Roudier, militant du mouvement identitaire, rejoint aussi de nombreux bretons, mais aussi de Carhaix, qui émettent des réserves sur Christian Troadec. La phrase la plus courante à revenir dans la bouche de bretons est « Troadec est un opportuniste. Le mouvement des bonnets rouges ne va pas tenir ». Des Français se définissant politiquement au centre partagent la pensée de Richard Roudier. Une déception face à l'attitude de Christian Troadec a pris forme.

La Voix de la Russie : C'est vous qui avez acheté la marque bonnet rouge ?

Richard Roudier : On a été les premiers à acheter le nom bonnet rouge, aussi pour les noms de domaine internet. On a aussi fondé une revue mensuelle qui porte le nom Le bonnet rouge et qui marche bien. Elle est vendue en Bretagne, dans le Finistère. On a vu un véritable mouvement populaire s'implanter en Bretagne. On a pensé qu'il fallait éviter que ce terme soit pris par des sectaires et des mercantiles et on avait eu raison. On ne veut pas faire de la concurrence à Armor Lux. On n'a pas acheté la marque bonnet rouge en bonneterie. On aurait pu le faire. C'est une démarche politique pour nous.

LVdlR : Comment pensez-vous que Christian Troadec a été informé ?

R.R. : C'est Armor Lux qui a décidé de poser la marque et c'est ainsi que Troadec aurait été averti. Nous ne voulons pas faire de la concurrence à Armor Lux, ce qui prouve l'honnêteté de notre démarche.

LVdlR : Déçu par Christian Troadec ?

R.R. : Les choses ont avancé très rapidement. On sent que dès le début c'est un très grand navigateur. C'est un breton, c'est normal. A la suite de la grande manifestation, il a commencé à virer, à dénoncer l'extrême droite. Ce n'est pas digne d'un homme qui a été porté par tout un mouvement. Je ne comprends pas qu'on puisse exclure un nombre de gens. Christian Troadec a fait des avancées intéressantes puis il a commencé à vilipender les idées identitaires.

LVdlR : Pensez-vous que Christian Troadec ait des intérêts économiques ?

R.R. : Je ne peux pas vous le dire.

LVdlR : D'où vient votre doute sur les bonnets rouges récupérés par le maire de Carhaix ?

R.R. : La FNSEA se retrouve dans ce type de mouvement. C'est incroyable car c'est le premier syndicat de France et ce sont eux qui ont distribué les bonnets rouges. Surtout que c’est président de la FNSEA du Finistère qui a prononcé le mot « révolution ». Des tas d'événements nous laissent pantois. Par exemple, quand on a entendu parler du tireur fou, j'ai trouvé ça énorme avec sa fiche de recherche de type européen. Cela me rappelle l'affaire Merah qui ne devait qu'être un militant d'extrême droite.

LVdlR : Vous êtes allé à Quimper ?

R.R. : Je ne suis pas allé aux manifestations des bonnets rouges en Bretagne mais au viaduc de Millau, où j'étais avec les bonnets rouges il y a 20 jours. A Nice aussi, car je suis syndicaliste agricole et je suis allé soutenir les agriculteurs dans les Alpes-Maritimes.

LVdlR : Vous êtes agriculteur ?

R.R. : Je fais du cochon bio et des gîtes. Mais mon métier d'origine est celui de juriste. Cela fait 20 ans que je suis agriculteur. J'ai été à la communication, à la formation professionnelle.

LVdlR : Manipulation ?

R.R. : Je pense qu'il y a des cellules proches du pouvoir et qui sont chargées d'instrumentaliser. Lors de l'incendie d'une borne écotaxe, les gendarmes ont regardé passivement alors que des dizaines de personnes sont restées à côté des feux de joie. Quand je vois ce genre d'éléments, je suis un peu étonné. Ou alors les pouvoirs publics n'ont plus les moyens. Dans ce cas, je leur demande de faire autre chose, surtout que ça se passe en plein jour.

LVdlR : Votre avis sur les syndicats ?

R.R. : Les syndicats sont manipulés par le pouvoir. Ils sont payés par l’État à 90 %. Dès le lendemain de la grandiose manifestation, le front a éclaté et on a vu les syndicats dire qu'ils étaient intéressés par la défense des salariés et pas des petits patrons. Une partie du front syndical a quitté le bateau. Une autre force a été fondée à côté. On assiste à une manipulation par des forces qui sont derrière. Je connais très bien la question. On sait qu'il y a des forces qui manipulent à coups de billets. Je connais le droit privé et le droit du travail et le milieu des syndicats et les relations avec le patronat.

LVdlR : Le mouvement des bonnets rouges est tué dans l’œuf ?

R.R. : Je ne crois pas. Quand on plante une greffe, elle finit par germer mais il y a des forces occultes qui font tout pour arrêter le mouvement. Il y a une hargne, une colère où les gens ne croient plus à rien. Les gens n'ont plus confiance dans les médias et dans les organisations politiques. Le pouvoir allume des contre-feux.

LVdlR : Pourquoi votre livre le Glaive et la Charrue?

R.R. : C'est un titre que j'ai emprunté à un consul romain qui a concilié toute sa vie entre sa charrue et son militantisme en prenant le glaive pour se défendre. C'est un symbole. Dans la révolte d'un pays, les agriculteurs représentent la base. Dans mon livre, je retrace 50 ans d'activité militante. J'ai voulu faire part de mon vécu aux jeunes générations. J'ai accueilli les pieds noirs d'Algérie à Béziers en 1963. J'avais 16 ans. J'ai pris conscience des dangers pour notre pays avec l'immigration très tôt. Les fils de bourgeois, de notaires nous traitaient de fou et disaient qu'il n'y aurait jamais de voile en France, de cuisine halal. C'est la politique de l'autruche traditionnelle des petits bourgeois de ne pas vouloir voir. Dans mon livre, je donne des pistes. On doit passer à la re-migration. L'intérêt des multinationales, c'est le grand marché mondial. C'est ce qu'ils ont voulu faire avec Maastricht pour baisser les salaires. On doit forcer nos dirigeants à la re-migration. L'immigré est déraciné en France. On va avoir un large mouvement populiste en Europe et ça leur fait très peur.

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jeudi, 28 novembre 2013

Petite phrases révélatrice à propos de la viande halal pour taulards !

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Yves Darchicourt

Le récent arrêt du Tribunal Administratif de Grenoble imposant à l'administration de la maison d'arrêt de Saint Quentin-Fallavier la distribution de repas assortis de viande halal aux détenus mahométans va-t-il faire jurisprudence ?

C'est en tous les cas ce que souhaite Me Alexandre Ciaudo, un des bavards associés du cabinet DGK Avocats à l'origine de l'affaire. Interrogé sur France Info -dont on connaît la ferveur collaboratrice pour l'invasion migratoire et l'islamisation de la France et de l'Europe- par une animatrice de service frétillante d'émotion et de joie contenue, le babillard voit dans cet arrêt une avancée majeure conciliant laïcité et liberté de religion mais surtout un progrès en matière de santé publique, des taulards coraniques souffrant de carence alimentaire faute de n'avoir pas de viande halal à se mettre sous la dent. Une belle envolée de mirliton du Barreau à faire glousser de plaisir la donzelle chargée de diriger l'entretien et puis patatras, la gaffe...emporté par l'épique du propos le baveux se laisse aller à dire que les détenus musulmans sont très nombreux en France ! La petite phrase malheureuse qui, répercutée par des malfaisants, pourrait corroborer les propos intolérables de certains ignobles qui prétendent que les adeptes de cette belle religion de paix et d'amour forment les plus gros bataillons de cellulards qui sur peuplent les prisons françaises aux frais des contribuables gaulois. De là à ce que l'on renifle des relents de racisme pur et dur et des fragrances islamophobes sous la robe d'un humaniste du Prétoire... navrant !

18:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi, c'est le jour de Rivarol

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le cri du désespoir à Pledran : enquête sur l’expropriation possible de Rejane Corlay, 92 ans.


Plédran (Breizh-info.com) – L’affaire commence à faire du bruit. Comme Breizh-info l’a évoqué mardi, Réjane Corlay, une nonagénaire résidant à Plédran, au sud de Saint-Brieuc, depuis 1951, se trouve aujourd’hui confrontée à la perspective d’une possible expropriation de son jardin potager, comme trois autres familles qui ont des terrains à côté du sien. En pleine possession de ses moyens, elle vit aujourd’hui seule dans sa maison – son mari est décédé il y a plus de dix ans – avec une retraite inférieure à 1000 € par mois.

Or la commune, dirigée par Maryse Raoult (PS), envisage en effet d’acquérir plusieurs parcelles entre la rue du Val et la rue Charles de Gaulle, pour y construire 10 logements sociaux qui seraient réservés prioritairement à des personnes âgées. Pour arriver à ses fins, la commune a entamée une procédure d’expropriation en 2011, date à laquelle France Domaine, chargée d’évaluer les terrains, avait envoyé son rapport et ses estimations (à découvrir ici et ici).

Le courrier de Saint-Brieuc Agglomération – administration au sein de laquelle Maryse Raoult est également vice-présidente en charge de l’habitat - envoyé le 5 novembre 2013 à Réjane Corlay et aux autres propriétaires des terrains visés indique en effet que les objectifs de l’aménagement de la zone à urbaniser seraient de :

— réaliser une opération d’habitat social, qui aurait vocation à accueillir un public locataire de personnes âgées non dépendantes, un partenariat avec l’EHPAD (hébergement pour personnes âgées dépendantes) étant également envisagé dans l’avenir.

— aménager le carrefour adjacent, jugé dangereux pour la circulation.

Pour Réjane Corlay, tout comme pour son fils Joël, qui est également son curateur, « il n’y a aucun rapport entre l’aménagement du carrefour dangereux et l’expropriation dont nous menace la mairie de Plédran, les travaux pouvant être réalisés sans nous déposséder de nos terres. »

Mère et fils sont également sceptiques quant aux intentions de la commune de réserver ces logements sociaux aux seules personnes âgées, le projet (ci-joint) prévoyant des appartements sur deux niveaux – 4 logements en rez-de-chaussée, le reste au premier étage sans ascenseur – ce qui ne semble pas vraiment adapté, selon eux, à ce type de public.

Réjane Corlay, que nous avons rencontrée, n’imagine pas sa vie sans « son havre de paix », ce potager dans lequel elle travaille encore plusieurs heures chaque jour afin de subvenir en partie à ses besoins. Les nombreuses conserves, compotes, confitures et fruits et légumes qui remplissent sa maison et son congélateur sont d’ailleurs là pour en témoigner.

Son fils Joël avoue de son côté ne pas comprendre cette volonté de la commune d’acquérir à tout prix ces terrains, volonté qui relève selon lui de l’«acharnement» pur et simple.

Plusieurs années auparavant, comme il l’explique dans une longue lettre (ci-jointe) récapitulant « l’affaire Corlay », sa famille avait déjà été expropriée d’un terrain, toujours à Plédran, en vue de la construction par la commune d’un ensemble de salles municipales et cela pour, à l’époque, 10 francs le mètre carré.

Au-delà de la procédure d’expropriation se pose également la question de l’évaluation du terrain par le service des Domaines (France Domaine). Celui-ci évalue aujourd’hui à 15 € le mètre carré le prix de rachat possible alors que le prix moyen aux alentours des terrains constructibles se situe autour de 100 € le mètre carré. Selon Joël Corlay, un tel écart de prix apparait totalement injustifié alors que toutes les installations (électriques, eau, gaz, etc.) sont à proximité immédiate du terrain. Celui-ci avait en outre été déclaré non-constructible dans les années 80, dans le cadre de ce qu’on appelle aujourd’hui le PLU (plan local d’urbanisme). Inconstructible hier, il le redeviendrait donc demain après son rachat – à 15 euros du mètre carré – auprès de la famille Corlay pour y construire des logements sociaux…

À la mairie de Plédran, rares sont ceux qui souhaitent évoquer cette affaire. De par ses fonctions Maryse Raoult, semble en effet avoir une grosse influence sur l’habitat et le logement social, influence qui s’étend à toute la communauté d’agglomération de Saint-Brieuc. La maire de Plédran est en effet également président de Terre et Baie Habitat, l’organisation qui gère l’attribution des logements sociaux sur cette même communauté d’agglomération. Un de ses proches, connaissant bien le dossier, nous a toutefois fait remarquer qu’il vaudrait mieux réaliser ce projet, quitte à aller jusqu’à l’expropriation – qui n’est pas, selon lui, encore d’actualité – plutôt que d’empiéter sur les terres agricoles excentrées du centre-ville.

Pour lui l’opposition à ce projet ne serait pas étrangère non plus à des sentiments moins avouables. « Certains jouent sur la peur de l’autre, de l’étranger dans la ville, alors qu’il s’agit simplement de la volonté de construire des logements sociaux pour personnes âgées. », précise-t-il.

A quelques mois des élections municipales – lors des dernières élections, la liste menée par Maryse Raoult, qui a récemment annoncé sa candidature pour 2014, l’avait emporté de justesse avec 52 % des voix – nombreux sont les commerçants et les riverains qui apportent aujourd’hui leur soutien à Réjane Corlay. Il est vrai que « celle qui n’a jamais bu ni fumé de sa vie » et dont le dynamisme et la joie de vivre sont bien connus, est très appréciée dans tout le centre-ville. « C’est tout simplement dégueulasse », estime une commerçante. « Vouloir prendre à cette pauvre dame son terrain, sa joie et sans doute sa raison de vivre, tout ça pour des projets aux contours flous et au bénéfice de personnes extérieures à la commune, voire au département, ça n’est pas normal » surenchérit une cliente.

Réjane Corlay et ses six enfants, ainsi que les autres familles concernées par cette expropriation possible, n’ont manifestement pas l’intention de se laisser faire. Fort d’un soutien populaire qui grossit de jour en jour, ils entendent défendre leur terre jusqu’au bout, en utilisant tous les recours qui s’offriront à eux.

La pétition mise en place sur Internet remporte un vif succès depuis quelques jours et les services municipaux de Plédran reconnaissent être saturés d’appels téléphoniques, de mails et de manifestations de protestations aussi multiples que diverses.

Cette affaire risque fort de s’inviter au cœur de la campagne pour les prochaines municipales. Principal opposant à Maryse Raoult, Stéphane Briend, ne cache d’ailleurs pas son hostilité à ce projet de construction de logements sociaux. Affaire à suivre….

Crédit photo : breizh-info.com

 [cc] Breizh-info.com, 2013, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

10:35 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 novembre 2013

Vers la Croisade Identitaire !

Pierre Vial

A l’occasion de la victoire de l’équipe algérienne de foot sur celle du Burkina-Faso, des dizaines de milliers d’Algériens, déchaînés, ont, dans de nombreuses villes françaises, occupé bruyamment et violemment la rue, avec scènes d’émeute, pour manifester avec arrogance leur triomphalisme. En fait, une façon claire d’affirmer leur volonté de conquête et d’occupation territoriale de la patrie gauloise. Le côté positif de la chose est qu’un nombre croissant de Gaulois, exaspérés, se font à l’idée de la nécessité, inéluctable, d’une croisade identitaire de reconquête. Avec tout ce que cela implique, y compris en ce qui concerne les collabos des envahisseurs.

Une perspective qui affole les autorités ripoublicaines et les conduit à tout faire pour nier et occulter les réalités, avec la complicité active des media. Ainsi Fabius a-t-il menti en évoquant la mort des deux journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, au Mali, assassinés par des islamistes. Il a affirmé qu’ils avaient été « criblés de balles » et cette version a été reprise par tous les media français. En fait, comme l’a avoué le préfet malien de Kidal, ils ont été égorgés, vivants, au couteau, d’où une épouvantable agonie. Ceci a été rapporté par des journaux africains, par le New York Times et nombre d’autres journaux étrangers. Pourquoi Fabius et les media français ont-ils menti ? Parce qu’il ne faut pas fâcher les musulmans installés en France et entretenir, donc, le mensonge d’un islam religion de paix et de tolérance. Mais qui est encore dupe de cette fable, à part les aveugles et les sourds volontaires ?

Dimanche prochain, 1er décembre : venez écouter Pierre Vial à la Table ronde de Terre et peuple

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 Espace Jean Monnet, 47, rue des Solets, Rungis

17:10 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 novembre 2013

Lajos Marton aux Ronchons

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23:15 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tours : La Nouvelle République refuse de donner la parole aux patriotes, les patriotes occupent La Nouvelle République

23:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 22 novembre 2013

Faut-il dissoudre Christiane Taubira ?

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Luc Pécharman

Article publié dans le n°33 de

Synthèse nationale cliquez ici

Ha ! L’affreux facho se lâche encore ! Après moult provocations, après nombre de thèses rappelant « les heures les plus sombres de notre histoire » (souvent abrégé en LHLPSDNH, tellement l’usage de cette expression fleurit continuellement dans les médias), le voilà qui appelle maintenant à la haine et au meurtre contre madame le garde des sceaux !

Mais non, mais non, je m’en garderais bien. Le lecteur nationaliste et patriote reconnaitra aisément le côté garnement de mon titre, légèrement provocateur certes, mais qui pose toutefois une vraie question, que l’on pourrait reformuler de façon un peu plus inoffensive en : mais jusqu’à quels abysses de laxisme souhaite encore nous entraîner madame Taubira ?

Car le moins que l’on puisse dire, c’est que la dame en question a débuté le quinquennat de Hollande sur les chapeaux de roues !

Jusqu’à il y a peu, l’ancienne indépendantiste guyanaise était principalement connue des Français pour une loi mémorielle votée en 2001, qui reconnait l’esclavage négrier à partir du XVe siècle comme un crime contre l’humanité. Evidemment, on se doute que le but poursuivit, en ne reconnaissant qu’un type bien particulier d’esclavage, est moins la condamnation d’une pratique observée depuis l’aube des Humanités, et certainement assez contestable de nos jours, qu’une manière de culpabiliser les peuples européens en leur laissant l’entière responsabilité d’un phénomène largement partagé par de nombreux autres peuples. Et comme de bien entendu, il s’agit d’imposer cette vérité républicaine et taubiresque jusque sur les bancs de nos écoles pour culpabiliser dès leur plus jeune âge les petits blancs. Baissez la tête et frappez-vous la poitrine !

Mais depuis que François le mal élu l’a nommée ministre, pas de doute, elle se lâche.

Faut-il vraiment revenir sur la loi instaurant le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels ? Non, je ne pense pas, la majorité d’entre nous ayant participé aux différentes manifestations et actions contre cette loi débile, et ayant subi de plein fouet la répression d’un Etat qui panique, bien conscient de l’illégitimité de cette initiative.

Mais celle qui semble avoir voué sa vie à pourrir la notre est en passe de nous imposer son second grand chantier (j’ai failli écrire châtiment) : sa réforme pénale…

On la savait déjà laxiste et plus compatissante envers les délinquants que leurs victimes, mais ça n’était alors qu’une attitude toute personnelle, et un simple changement de ministre eut, avec un peu de chance, rétablit une justice plus efficace. Mais avec son nouveau projet de loi, ou du moins ce que l’on en sait le jour où j’écris ces lignes, c’est toute l’institution judiciaire française, qui n’est pas spécialement connue pour sa sévérité envers les délinquants et les criminels (à l’exception notable de tous ceux qui ont le malheur de ne pas partager l’idéologie dominante) qui deviendra une machine à absoudre les voyous et à libérer les criminels. Et croyez-moi, le pire est à craindre.

Taubira veut d’abord supprimer les peines planchers, le dispositif qui impose au magistrat de prononcer une peine minimale en cas de récidive. C’était à peu près la seule bonne initiative de la droite molle ces dernières années, car elle présentait deux avantages : soustraire légalement les récidivistes et multirécidivistes au laxisme de juges qui sabotent leur propre travail pour des raisons idéologiques, et donc mettre durablement hors d’état de nuire des margoulins qui n’ont visiblement aucune envie de s’amender, et d’autre part assurer un semblant d’équité aux prévenus eux-mêmes qui sont certains d’écoper de la même peine quel que soit le président du tribunal.

En second lieu, elle veut rendre le système des remises de peine automatique valable pour tous les détenus. A l’heure actuelle, ce principe qui réduit systématiquement le nombre de jours d’incarcération réellement effectués en fonction de la durée totale de la peine prononcée, et ce quelle que soit la conduite du condamné, s’applique de façon différente aux primo-délinquants et aux récidivistes. Remises auxquelles s’ajoutent celles pour bonne conduite (ex : travailler ou passer un diplôme) qui, cumulées, peuvent aller jusqu’à cinq mois par an de réduction de peine !   

La troisième et dernière piste de sa réforme part du principe que la prison n’est pas une réponse adaptée à la délinquance ou au crime et qu’il faut prévoir des alternatives. Ca fait seulement quelques millénaires qu’on se dit que priver les malfrats de liberté est plutôt efficace pour assurer la sécurité et la tranquillité de la population, mais visiblement ce constat ne colle pas avec la construction idéologique de la squatteuse de la place Vendôme. Ces nouvelles « peines de probation » seront effectuées hors de la prison et s’adresseront à tout contrevenant qui risque moins de cinq ans de réclusion criminelle.

Nul besoin d’être un juriste pour pressentir qu’un bon nombre de salauds, pour peu qu’ils soient jugés par un magistrat pétri de compassion et de compréhension envers ces pauvres brebis égarées, pourront demain tranquillement continuer à arpenter nos rues et croiser le chemin de nos familles et de nos amis.

J’ai souhaité, pour mon édification personnelle, vérifier quels délits sont passibles de cinq ans ou moins de prison et verraient donc leurs auteurs rester en liberté. C’est assez terrifiant :

- L’homicide involontaire.

- Les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours, y compris à l’encontre d’un mineur de quinze ans, avec préméditation, avec menace ou usage d’arme.

- Le guet-apens contre un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, ainsi qu'un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs.

- Les menaces de mort.

- Les atteintes involontaires à l'intégrité de la personne.

- Les agressions sexuelles autres que le viol.

- Le harcèlement sexuel, y compris sur mineur de quinze ans ou en groupe.

- Le harcèlement moral, y compris si il a causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours.

- La cession ou l'offre illicites de stupéfiants

- L’omission de porter secours.

- L'interruption de la grossesse sans le consentement de l'intéressée.

- La provocation au suicide, y compris sur un mineur de quinze ans.

- L’enlèvement et de la séquestration de moins de sept jours.

- Le fait de provoquer directement un mineur à faire un usage illicite de stupéfiants.

- Le vol simple, y compris accompagné de destructions ou de violences n’ayant pas entrainé une incapacité totale de travail.

- Le chantage.

- L'escroquerie.

- L'abus de confiance.

- Le recel.

- La destruction, la dégradation ou la détérioration volontaire.

- Le blanchiment.

- L’organisation d’un groupe de combat.

- L'évasion, y compris réalisée par violence, effraction ou corruption.

- Le faux et l'usage de faux.

Cette petite liste, qui n’est pas exhaustive, prévoit quand même de maintenir en quasi-liberté quelques belles ordures.

Selon les statistiques 2012 du ministère de la Justice, seuls 22% des détenus purgent une peine supérieure ou égale à 5 ans. Et encore faut-il bien se souvenir que ce chiffre ne tient pas compte des remises automatiques que nous avons cité précédemment.

Christiane Taubira a trouvé la parade miraculeuse pour lutter contre la surpopulation carcérale : vider les prisons.

Que lui font les risques graves qu’elle va faire courir à l’ensemble de la population ? Rien, elle s’en moque.

La question de la dissolution (politique bien entendu) de Taubira est donc tout à fait pertinente, car loin d’améliorer un système d’ores et déjà truffé de failles, la ministre va aggraver durablement la situation. Et encore, tout cela ne concerne que les délits enregistrés par les forces de l’ordre et pour lesquels des  procureurs ont bien voulu déclencher des poursuites.

Nous pourrions pourtant proposer quelques pistes qui rendraient l’institution judiciaire de notre pays bien plus efficace :

La responsabilisation des juges. Il est parfaitement aberrant que des femmes et des hommes ayant de tels pouvoirs ne soient quasiment pas responsables de leurs actes ou, quand ils le sont, ne soient jugés que par leurs pairs. Et ce dans les deux sens, que ce soit le magistrat trop laxiste dont les décisions légères ont conduit à un drame, ou que ce soit un magistrat dont l’incompétence ou la négligence prive un citoyen de ses libertés sans raison.

L’interdiction faite aux magistrats d’appartenance  à des organismes idéologiques (Syndicat de la Magistrature, Franc-maçonnerie…)

Application réelle des peines prononcées.

Adoption de la perpétuité incompressible. Aujourd’hui, la perpétuité représente la peine la plus lourde, celle réservée aux cas les plus graves, mais elle est tempérée par une période incompressible d’un maximum de 22 ans au-delà de laquelle tout condamné peut espérer sortir.  

Rétablissement de la peine de mort pour les cas les plus barbares. Sujet encore très sensible s’il en est. J’y suis personnellement favorable pour plusieurs bonnes raisons. La première est que les progrès scientifiques récents permettent d’établir avec quasi-certitude la culpabilité d’un prévenu, réduisant ainsi drastiquement les risques d’erreur judiciaire et tempérant le seul défaut de cette peine : son caractère quelque peu définitif… En second lieu, il est des crimes dont leurs auteurs ont perdu tout caractère d’humanité. Et enfin, la peine de mort obtient d’excellents résultats en termes de lutte contre la récidive. Risquer sa peau fait réfléchir à deux fois avant de se lancer dans une entreprise hautement criminelle, même les voyous plus endurcis.

Dernière piste, mais non la moindre, systématiser l’expulsion et l’interdiction définitive de territoire pour les délinquants et criminels étrangers (18% des détenus en 2012(1)) et instaurer la déchéance de la nationalité pour les criminels et délinquants d’origine étrangère (aucune statistique disponible, mais une estimation à près de 40% des détenus), accompagnée des deux mesures précédentes.

Ce ne sont que quelques idées, pour la plupart frappées du sceau du bon sens, mais dont l’application éviterait sans nul doute tant de malheurs et de drames au sein de nombreuses familles françaises.

Tout l’inverse du projet criminogène de la garde des sceaux.

Terminons cet article en saluant l’excellent travail de l’Institut pour la Justice qui, en l’espace d’une journée, à réuni plus de 100 000 signatures en faveur de sa pétition contre la réforme pénale de Taubira(2).

Notes


(1) Les chiffres clés de l’administration pénitentiaire au 1er janvier 2013 : cliquez ici

(2) Pétition de l’Institut pour la justice intitulée « Non aux projets fous de Christiane Taubira » : cliquez là


Synthèse nationale

Numéro 33, septembre octobre 2013, ABONNEZ VOUS ! Cliquez ici

19:25 Publié dans Les articles de Luc Pécharman | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sortie du 1er numéro des "Etudes Rebatiennes" :

 

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Très attendu, le premier cahier des « Etudes » consacré à l'auteur des Deux Etendards est enfin disponible. Ses 216 pages élégamment reliées, contiennent un mélange de textes inédits de l'auteur et des analyses de son œuvre et de son écriture. Du côté des inédits, les amateurs pourront découvrir la préface de « Margot l'enragée », le dernier roman inachevé du Rebatet, ainsi que des extraits de son journal et une lettre extraordinaire imaginant les personnages des « Deux Etendards » vingt ans après... Ensuite, trois études universitaires sont proposées. La première, de Louis Baladier, s'intitule « Les Deux Etendards ou un trop grand rêve », la seconde, de Nicolas Degroote, se penche sur la « conversion » dans « les Deux Etendards, et enfin Pascal Ifri offre un parallèle entre « L'Etude sur la composition des Deux Etendards » et le « Journal des faux-monnayeurs » de Gide.

Un premier numéro qui représente un apport considérable à l'étude trop négligée d'un auteur majeur mais maudit.

« Etudes Rebatiennes I », 216 pages, 20 euros (+ 3 euros de frais de port), chèques à l'ordre des « Etudes Rebatiennes », 10 rue Stanislas, 75006 Paris

Site cliquez ici

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mardi, 19 novembre 2013

Un livre sur le martyre du Kosovo...

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A découvrir une nouvelle approche de l'histoire du Kosovo, cette province serbe martyrisée et arrachée à sa mère patrie au nom de l'idéologie fumeuse du mondialisme avec la complicité de l'Union Européenne et grâce au bras armé de l'OTAN.

L'auteur, Nicola Mirkovic', fut un des "boucliers humains" des ponts de Belgrade en 1999, qui donc a vécu les bombardements aveugles des forces de l'OTAN sur la capitale de la Serbie et qui désormais fait partie de ces infatigables bénévoles de l'association humanitaire "Solidarité Kosovo" attachée à venir en aide aux familles serbes chrétiennes qui survivent âprement dans l'environnement devenu hostile de leurs terres ancestrales livrées aux musulmans albanais.

Un livre historique, un livre témoignage aussi du martyre du peuple serbe du Kosovo Métochie, un livre surtout contre l'oubli de cette honte permanente qu'est le génocide programmé d'un peuple européen, au cœur de l'Europe, sous le regard et la complicité tacite sinon active des eurocrates stipendiés par le nouvel ordre mondial.

Le Martyre du Kosovo, Nikola Mircovic, préfacé par Jean-Louis Tremblay, Editions Jean Picollec, 20,00 €

Renseignements et commandes : Solidarité Kosovo

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La prochaine soupe de Solidarité Des Français

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Rendez-vous le lundi 25 novembre prochain, à partir de 20H00 sur l’esplanade de la gare Montparnasse pour la prochaine soupe de l’association Solidarité Des Français.

A cette occasion, les affaires de première nécessité (vêtements chauds, affaires de toilette, sacs de couchages, sacs à dos etc) qui seront apportées sur place par les donateurs seront distribuées directement à ceux, parmi les nôtres, qui en ont besoin.

Pensez à eux, ils comptent sur vous.

A bientôt.

Odile BONNIVARD
Porte parole de l’association SDF
06 83 54 13 28 (après 19H00 ou laisser un message)

Aidez Solidarité des Français cliquez ici

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Jean-Claude Rolinat à la 7e Synthèse nationale :

00:09 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 18 novembre 2013

Dimanche 1er décembre, à Rungis : la XVIIIe Table-ronde de Terre et peuple

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Dimanche 8 décembre, à Paris :

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dimanche, 17 novembre 2013

A l'occasion de la 7e Journée de Synthèse nationale hier à Rungis : présentation du livre très attendu de Serge Ayoub consacré à "l'affaire Méric"...

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Tout le monde l'attendait, la vérité sur ce qu'il est convenu d'appeler "l'affaire Méric" est exposée, d'une manière sereine et avec un immense talent, par Serge Ayoub dans son nouveau livre qui a été présenté au public hier lors de la 7e Journée de Synthèse nationale.

Ce livre relate toute l'affaire. Il remet les pendules à l'heure et dissèque toutes les manœuvres liberticides orchestrées par le pouvoir depuis l'agression dont  a été victime un groupe de jeunes patriotes le 6 juin dernier dans le quartier de la gare St Lazare à Paris.

Dès le début de cette affaire, Serge Ayoub s'est battu pour défendre l'innocence de ses camarades et l'honneur de son mouvement. Lire ce livre et le diffuser est un devoir pour chaque militant de la cause nationale.

Aux Editions du Pont d'Arcole, 120 pages, 15,00 €

Commandez-le cliquez ici.

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Serge Ayoub lors de son discours à Rungis

11:58 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 16 novembre 2013

Aïe !

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Hasard assurément malheureux pour le très politiquement correct quotidien Le Figaro que cette association d'images qui risque d'être dénoncée à l'Inquisition par un cafteur flairant là une nouvelle et perfide ignominie.   source

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vendredi, 15 novembre 2013

Luc Pécharman à la 7e Synthèse nationale :

13:23 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfi sur Radio Courtoisie :

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Sur Radio Courtoisie cliquez ici

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Interdiction de la manifestation anti-islamisation du 16 novembre 2013 à Amiens : la trahison continue...

joly 2.jpgUn communiqué du MNR :
 
Le Parti de la France (présidé par Carl Lang) voulait organiser samedi 16 novembre un grand rassemblement à Amiens (entourant la plus vaste cathédrale gothique de France) afin de dire non à l'islamisation et à la colonisation migratoire. Cette manifestation devait se tenir, symboliquement dans le quartier colonisé d'Amiens-Nord à l'endroit-même où doit prochainement s'ériger une gigantesque mosquée.

 Malheureusement, un arrêté du préfet de la Somme en date du 7 novembre a interdit le rassemblement : selon lui, cette manifestation aurait constitué « une provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'un groupe de personne en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »

Le représentant de l'État socialiste, avoue qu'il est absolument incapable de maintenir l'ordre dans un quartier où « des fonctionnaires de police ont essuyé des tirs à l'arme de chasse. »

Il s'agit donc d'un aveu d'impuissance à maintenir l'ordre à Amiens-Nord, et d'une volonté politique de museler les défenseurs de la France des terroirs et des clochers.

Au moment où le pouvoir socialiste veut commémorer le centenaire de la guerre de 14-18 (comment pourrait-il l'éviter?), il est révoltant d'observer une telle faiblesse, et une telle hostilité à l'égard de ceux qui veulent défendre notre civilisation , et qui sont les successeurs des « poilus » de la Grande Guerre.

Avec tous les patriotes, continuons à travailler pour remplacer nos dirigeants par des hommes et des femmes désireux de préserver notre identité.

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Hervé Van Laethem à la 7e Synthèse nationale

 

07:14 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 13 novembre 2013

Les interventions à la 7e Journée de Synthèse nationale de Serge Ayoub, Roger Holeindre, Robert Spieler, Carl Lang


Serge Ayoub

 Roger Holeindre

Robert Spieler

Carl Lang

Une nouvelle série d'interventions sera publiée prochainement...

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