lundi, 09 décembre 2013
LES EUROCRATES, version KLEPTOCRATES…
Le secteur bancaire et financier est maintenant géré de telle façon que chaque gouvernement peut instantanément fermer les guichets, bloquer les comptes bancaires des particuliers et des sociétés, clôturer les opérations électroniques et limiter ou stopper les retraits en cash aux distributeurs automatiques. C’est ainsi que les comptes en banques ont été confisqués à Chypre en mars 2013. Que le gouvernement impose alors une taxe de 90% sur l’ensemble des dépôts ou en restitue la totalité, peu importe : il aura accaparé votre propriété pour la mettre au service de ses propres intérêts !
La conclusion du hold-up chypriote est limpide : plus personne ne peut prétendre posséder quelque chose, car désormais l’Etat peut s’en saisir à tout moment, sans préavis. L’usage de vos biens ne dépend in fine que de son seul bon vouloir.
La confiscation des comptes en banques à Chypre n’a pas été décidée par le gouvernement lui-même. Ce sont les ministres européens qui en ont été les maîtres d’œuvre. Toute cette opération s’est déroulée dans le dos des citoyens, bien sûr à l’encontre de toute règle de droit. Pour les Eurocrates, le risque de défaut souverain ou de faillite bancaire justifie potentiellement tous les abus. Avant cette odieuse confiscation des comptes bancaires, nous avions déjà connu de nombreuses entorses à tous les principes de l’Etat de droit :
- le gouvernement belge qui vend la banque Fortis -qui ne lui appartient pas- pour un montant dérisoire au groupe BNP-Paribas,
- la BCE qui s’assied sur ses statuts pour faire tourner la planche à billets,
- la Troïka qui usurpe la souveraineté nationale,
- le secteur bancaire européen protégé à tout prix des règles élémentaires du capitalisme.
Sans réactions des citoyens, les mesures qui nous sont présentées comme « exceptionnelles » et « transitoires » deviendront courantes pour nos enfants. Ce qui est tout de même surprenant est le fait que ni les politiciens, ni les intellectuels et seulement une minorité d’analystes n’aient réagi au drame qui se joue devant nous.
Il faut arrêter de voir la crise de la dette comme un problème financier complexe et incompréhensible. C’est avant tout un problème politique qui touche tous les citoyens et qui impose un débat démocratique, afin de sauver notre liberté et notre prospérité, parce que nous sommes tous concernés car tous responsables.
Et si l’on taxe aveuglément tous les comptes bancaires, sans discernement, quelle sera la majorité la plus touchée ? Ceux qui ont la plus grande partie de leur fortune en argent liquide sur des comptes bancaires : il s’agit des plus pauvres de notre société (peu d’épargne et peu d’avoirs financiers) et ceux qui ne gèrent pas leurs patrimoine financier, comme les vieilles personnes seules. Les nantis ou les fraudeurs ont tendance à gérer leur richesse de manière active en investissant leurs avoirs dans des compartiments plus rentables que le cash. Cette taxation est donc moralement inacceptable et exclue les fraudeurs.
Cette proposition de taxation est illégale du point de vue d’un Etat de droit, qui doit refuser l’arbitraire dans le processus d’élaboration et d’application de la loi. La vitesse à laquelle le hold-up chypriote s’est exécuté a requis beaucoup de mauvaise foi, pour parler de processus démocratique plutôt que de fait du prince. Et depuis 8 mois, on assiste à une méfiance de la part des clients chypriotes envers les banques qui, elles, constatent une baisse généralisée des dépôts, en route vers des cieux plus cléments.
Les ministres européens des Finances qui sont responsables de ce braquage à Chypre sont non seulement incompétents et stupides, mais dans la panique n’ont pas voulu prendre de mesures drastiques. Ils ont totalement été emprisonnés par les tabous de l’Euro et du pouvoir européen. Ils se sont comportés comme des apprentis sorciers, reniant toute légalité et morale.
Chypre n’est pas l’exception : la Slovénie, l’Espagne, l’Italie, la France, ou la Belgique vont suivre. L’expérience chypriote en grandeur nature démontre que, du sommet de l’Etat, il est plus rentable de garantir les puissants (dans ce cas, les banksters) que de s’occuper des intérêts de la population, et qu’à ce titre, tout est permis. Mais, cher lecteur, ne croyez pas que la situation en France, en Espagne ou en Belgique soit meilleure. Venus au Pouvoir par les votes des pauvres et des petits qui réclament l’argent des riches, les pourriticards du gouvernement feront tout ce qu’il faut pour sauver leurs prébendes. Et ils vous serviront les éternelles excuses et les mêmes promesses éculées en se justifiant de la manière suivante :
- Si vous refusez nos solutions, ce sera le chaos.
- Mais ne vous inquiétez pas, ce sont les riches qui vont payer. (dans le style « les compte bancaires de moins de 100.000 € sont garantis » ! Par qui ?)
Il va falloir quand même vous réveiller : dans leur logiciel, les « riches » c’est vous ! Les « autres » c’est encore vous ! « L’Etat » c’est toujours vous ! Et ceux qui vont payer l’addition : c’est évidemment vous, « les petits » !
Et là, il est indispensable de s’octroyer un temps de réflexion : à quel moment, notre seuil d’intolérance sera-t-il atteint ? Quelle limite chaque citoyen a-t-il pour choisir entre le chaos et la fuite ?
Plusieurs milliers de Français ont fui l’Hexagone pour des pays limitrophes ou plus lointains, afin que le fruit de leur travail ne soit plus laminé par la pression fiscale. 40% d’entre eux ne reviendront jamais. 30% seront absents plusieurs années et 20% attendront leur retraite pour revenir au pays.
Et comment les RAPETOUT vont-ils piquer vos sous ?
D’abord, en augmentant la taxation sur l’épargne et sur les revenus du capital, ce qui se fait déjà régulièrement dans les pays de la zone euro depuis 5 ans.
Ensuite, en instaurant un impôt « exceptionnel » de 10% sur la totalité de vos dépôts bancaires. Ceci afin de ramener la dette publique de chaque pays au niveau d’endettement de l’année 2007, comme le préconise Christine Lagarde, présidente du FMI.
Enfin en spoliant tout simplement les déposants qui possèdent plus de 100.000 € sur leurs comptes, si la banque tombe en déconfiture. Et des banques qui vont « sauter », il y en aura quelques-unes !
Ces trois possibilités pourraient être misent en vigueur séparément ou conjointement, en fonction des circonstances ou de l’intérêt de chacun des Etats de l’U.E, car la justification qui en sera donnée servira de prétexte à des causes différentes, bien que les conséquences financières en seront supportées par tous.
Les banques européennes vont-elles faire exploser la zone euro ?
L’objectif de l’Union bancaire est de répondre aux vulnérabilités structurelles de la zone euro et constitue un préalable au fonctionnement du Mécanisme Européen de Stabilité qui impose quatre directives :
- Un renforcement des exigences de solvabilité pour les banques.
- Une surveillance par la BCE et les banques nationales.
- La garantie des dépôts.
- Un mécanisme de liquidation ordonné des banques non viables.
Toutes les banques ne sont pas concernées, notamment celles hors zone euro. Et le dispositif de surveillance propose de se focaliser sur les banques systémiques, dont le total des actifs dépasse 30 milliards d’euros. A ce titre, un « stress test » sera effectué auprès des 130 banques les plus importantes de la zone euro, dont les résultats seront connus à la fin du 1er trimestre 2014. Cette Union bancaire est le lien entre l’Union Monétaire et la coordination des politiques budgétaires exigée par le Pacte budgétaire entré en vigueur le 1/1/2013. Il fallait éviter une certaine collusion entre les banques et les Etats. Le but est de refuser que les Etats ne renflouent systématiquement le secteur bancaire et financier et que soit limitée la prise de risques des banques, quand il s’agit d’acheter de la dette publique.
Mais aujourd’hui, les banques vivent dans un contexte où leur marge est de plus en plus réduite : on leur demande plus de fonds propres au passif et plus de liquidités à l’actif. Elles vont être surveillées étroitement par la BCE. Pour ce qui est de la garantie des dépôts bancaires inférieurs à 100.000 €, un simple exemple : si une petite banque ayant 300.000 clients dont le dépôt moyen est de 50.000 €, fait faillite, les pertes seront de 15 milliards, compensées par le capital social. Qui va garantir la différence ? En Belgique un fonds spécial a été mis en place, alimenté par les banques et les clients. A fin juin 2013, les disponibilités de ce fonds « de garanties » s’élevaient à 756 millions d’euros... On fait quoi, on tire au sort ? On indemnise en fonction de l’ancienneté des clients ? Ou alors selon l’âge des déposants ? Fumisterie, mensonge et C° ! Quant à l’ordonnancement des faillites (point 4 ci-dessus), les actionnaires seront maintenant les premiers mis à contribution, puis les prêteurs « juniors », ensuite les prêteurs « seniors » et enfin les déposants qui ont plus de 100.000 € de dépôts. La plus grande « bad bank » de la zone euro est DEXIA qui possède plus de 260 milliards d’actifs pourris dans ses comptes, actifs dont les plus récents arriveront à maturité en 2060 ! Quel sera l’effet « domino » si cette banque tombe en faillite ?
CONCLUSIONS : « on vit une époque formidable ! » La BCE ne peut pas autoriser le redressement des banques de la zone euro. Cet aspect est purement politique. Et c’est là que l’on retrouve les liaisons nauséabondes entre les Etats et leurs banques, les uns renflouant les autres et inversement, grâce à l’argent de nos impôts…et de nos dépôts. Mais le mandat de la BCE est de garantir la stabilité des prix, et non de garantir les Etats ou les banques (traité de Maastricht). Encore un traité bafoué.
Sous la pression du Conseil des Chefs d’Etat et de gouvernement, des insistances de la Commission Européenne et au grand soulagement des « banksters », la BCE a déjà transféré une partie des dettes souveraines et bancaires (actifs « pourris ») dans ses comptes.
N’oubliez surtout pas que vos dépôts en banque font de vous un créancier de votre banque : la banque ne dépose pas votre argent dans un coffre, mais en fait vous l’échange contre une reconnaissance de dette. La nouvelle réglementation européenne en gestation pour ce qui concerne les résolutions bancaires, va vous mettre à contribution en cas de malheur de votre banque. Et si la BCE le décide, dans un cas extrême, la totalité des billets en circulation pourraient être remplacés par d’autres coupures ayant une valeur différente.
Mon analyse ci-dessus vous semble pessimiste et hors de propos ? Parlez-en autour de vous ! Informez-vous auprès de votre banquier ! Ecrivez donc à votre député ou encore au Ministre des Finances ! Consultez Internet en tapant « Hold-up sur les comptes bancaires ».
Vous aurez alors une idée plus claire sur le braquage du siècle qui se prépare, avec la complicité de ceux qui nous gouvernent !
Et choisissez le terme qui correspond le mieux à l’image que vous vous faites face à votre banquier :
Client : personne qui reçoit de quelqu’un, contre paiement, des fournitures commerciales ou des services.
Déposant : personne qui fait un dépôt et spécialement un dépôt d’argent (somme confiée à un organisme bancaire) qui doit le garder et le rendre fidèlement (rôle du dépositaire, la banque).
Créancier : titulaire d’un droit de créance, c'est-à-dire le droit qu’une personne (le créancier) a d’exiger quelque chose de quelqu’un (le débiteur).
Sources : l’Echo, agence Medisma, Atlantico et Reuters.
00:53 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi à Bruxelles, Serge Ayoub et Roland Hélie étaient invités par le Mouvement Nation :
Roland Hélie au cour de son intervention
La conférence organisée à Bruxelles samedi après midi, dont Serge Ayoub et Roland Hélie étaient les deux orateurs, a fait salle comble et a remporté un franc succès auprès de l’enthousiaste public présent.
Cette très intéressante conférence a été suivie d’une longue et chaleureuse réunion de camaraderie.
A voir le nombre et l’intérêt des participants ainsi que le nombre de « nouvelles têtes », on ne peut que constater que la dynamique NATION se développe toujours et de plus en plus en Belgique francophone !
Très bientôt, nous espérons d’ailleurs vous annoncer encore quelques bonnes surprises !
Les militants bruxellois de Nation sont venus nombreux assister à cette conférence
Serge Ayoub est revenu sur les provocations d'Etat qui ont mené à la dissolution de son mouvement
Nous tenons à remercier Hervé Van Laethem, les responsables de Nation et les nombreux militants présents pour leur accueil plus que chaleureux à Bruxelles samedi dernier.
Site de Nation cliquez ici
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dimanche, 08 décembre 2013
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Le Journal du Chaos cliquez ici
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Mandelamania : entre délire et désinformation !
Yves Darchicourt
C'est pas de chance pour Pépère ! Il venait tout juste de commencer à jouer au pacificateur de l'Oubangui-Chari et puis patatras Nelson Mandela passe l'arme à gauche! Du coup les médias rabaissent la nouvelle expédition africaine du Normal au rang de fait divers exotique pour ne plus se consacrer qu'à l'apothéose programmée du nonagénaire xhosa.
On en a au moins pour une décade à entendre pleurer sur le grand homme vu que ses obsèques - nationales et même mondiales comme susurrent dans le poste les énamourés du commentaire - n'auront lieu que le 15 décembre. On n'a pas fini d'en voir, d'en lire et d'en entendre sur le personnage, du grossissement épique à toutes les sauces, d'autant que les thuriféraires ont eu le temps de peaufiner leur texte durant les cinq moins qu'a duré l'agonie du susdit.
Alors pour trancher dans le genre, on se contentera de rappeler que le stalinoïde Mandela patron de l'ANC ce fut d'abord et surtout le terrorisme, les agressions, les incendies, les viols, les tortures, les assassinats de sud-africains blancs et surtout des afrikaners : "un boer une balle" avait pour slogan son égérie Winnie une de ses épouses aux appétits et moeurs de Messaline, une délicate qui disait volontiers " c'est avec des allumettes et des pneus enflammés que nous libèrerons le pays"...allusion au redoutable et malodorant supplice du "collier de feu" dont elle était friande.
Mandela n'était pas comme Gandhi, il n'était pas un homme de dialogue et de paix, c'était foncièrement un violent et à ce point attaché à la brutalité que plutôt que de faire renoncer officiellement l'ANC au terrorisme, il a préféré demeurer en prison...ce qui était aussi moins risqué et plus confortable, son lieu d'incarcération se rapprochant plus de la couveuse que de l'ergastule.
Comme le rappelle Bernard Lugan, cliquez ici, l'Afrique du Sud de Papa Mandela c'est aussi un pays appauvri ramené au niveau de croissance du Soudan, des Comores ou de Madagascar, un taux de chômage de 40% (50% de plus qu'aux heures sombres de l'Apartheid), l'ostentation provocatrice des nouveaux riches noirs profiteurs d'une corruption généralisée;c'est une nation dont des pans entiers de l'économie ont été livrés aux multinationales sur exploitant une main d'oeuvre quasiment asservie, un pays désorganisé par la discrimination positive et en proie à une insécurité galopante.
Enfin Grand'Pa Nelson c'est la prolifération des bidonvilles de noirs de plus en plus surpeuplés et ravagés par le sida qui avoisinent désormais des bidonvilles de blancs victimes de spoliations, chassés de leurs terres, de leurs commerces, de leurs ateliers et réduits à la misère par volonté idéologique: l'égalité dans la misère en quelque sorte...pas de quoi mériter drapeaux en berne et déferlante pleurnicharde.
Pépère doit quand même l'avoir mauvaise de ne pas générer l'évènement. Pour rebondir un tantinet et faire quand même l'africain, il a décidé de se rendre à Quru en grandes pompes et aux frais du contribuables pour vivre intensément la cérémonie finale de l'apothéose. D'ici à ce qu'on nous impose les sirènes, le glas, le crèpe au bras et une minute de silence au garde à vous sous peine d'être alpagué pour anti racisme tiède..!
A découvrir: les photographies prises en 2010 par des reporters du Boston Globe dans un camp pour blancs pauvres à Krugersdorp. Pour nous européens, le bilan Mandela c'est aussi et surtout cela ! cliquez ici
09:23 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 07 décembre 2013
Nelson Mandela : l’icône et le néant
Communiqué de Bernard Lugan [1] :
Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui. Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :
1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.
2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.
Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.
3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :
- désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
- empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
- torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen[2].
4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui total. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).
Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994[3]. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.
5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen», aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.
6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter-raciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l'ANC était "en guerre" contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.
8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.
En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs.
Pouvait-il en être autrement quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.
Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.
[1] La véritable biographie de Nelson Mandela sera faite dans le prochain numéro de l’Afrique Réelle qui sera envoyé aux abonnés au début du mois de janvier 2014.
[2] Voir mes entretiens exclusifs avec les généraux Viljoen et Groenewald publiés dans le numéro de juillet 2013 de l’Afrique réelle www.bernard-lugan.com
10:03 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : samedi 7 décembre, Roland Hélie et Serge Ayoub invités par le mouvement Nation à Bruxelles
Un communiqué du mouvement NATION (Bruxelles) :
Samedi 7 décembre, à partir de 14 h 00, le mouvement NATION reçoit dans son local bruxellois, Serge Ayoub et Roland Hélie.
Ils nous viendront spécialement de Paris :
• Serge Ayoub pour présenter son livre intitulé "L'affaire Clément Meric, du fait divers au scandale politique" qu’il dédicacera à ceux qui le désirent.
• Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour nous expliquer la situation en France, tant au niveau de la répression que du très fort ressentiment populaire contre Hollande.
Pour les intéressés qui ne connaissent pas l'adresse de notre local à Bruxelles, prière de nous contacter au 0470 69 52 43 (0032(0)470 69 52 43 pour nos amis français).
01:14 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le gouvernement efface une dette de « l’Humanité » de 4 millions d’euros
Source Contre Info cliquez ici
Dans la série « où vont nos impôts ? » :
un amendement du gouvernement au projet de loi de finances rectificative pour 2013 propose d’accorder au torchon communiste l’effacement d’une dette de plus de 4 millions d’euros, plus les intérêts, contractée sous forme de prêt du Fonds de développement économique et social.
L’amendement explique que « L’Humanité ne peut faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l’État (…), parce que ses résultats financiers sont très faibles et qu’elle ne possède plus d’actifs ». « Par conséquent, il est nécessaire d’abandonner cette créance », conclut-il.
L’Humanité est le journal le plus subventionné sur la période 2009-2011 si l’on rapporte les montants des aides perçues à sa diffusion (0,48 euro par exemplaire), indique la Cour des Comptes. Il a touché 6,8 millions d’euros par an en moyenne.
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vendredi, 06 décembre 2013
Dimanche 8 décembre, Jean-Claude Rolinat dédicacera son livre "Salazar le regretté" à la journée de Renaissance catholique à Villepreux (78)
Plusieurs collaborateurs de la revue Synthèse nationale participeront aussi à cette journée. Parmi eux : Francis Bergeron, Arnaud Raffard de Brienne, Nicolas Tandler... Venez les retrouver sur leurs stands. Jean-Claude Rolinat dédicacera pour sa part sa biographie d'Antonio Salazar, Salazar le regretté, publié par Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici.
Dimanche 8 décembre, 11 h 19 h, Domaine de Grand Maison 78 Villepreux
Plus d'informations sur cette journée cliquez là
19:46 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mandela : à quand la canonisation ?
Source Nation cliquez ici
Depuis hier soir, la bien-pensance mondialisée a mis son rouleau compresseur en marche ! C’est à celui qui aura le terme le plus frénétiquement admiratif : Mandela par ci, Mandela par là ! La Grande Bretagne a mis ses drapeaux en berne…ce qu’elle ne faisait pas pour ses propres soldats morts en Irak, en Afghanistan ou assassinés par des islamistes en plein Londres.
Faisons donc un devoir de mémoire sur le parcours de Mandela.
S’il a été mis en prison, même si cela ressemblait plus à une résidence très surveillée qu’à une geôle infâme, c’est car il était un des chefs de l’ANC, African National Congres, qui pratiquait le terrorisme.
L’ANC était très proche du Parti Communiste sud-africain et était soutenu par cette grande démocratie qu’était l’Union Soviétique qui leur fournissaient nombre de spécialistes en guérilla et terrorisme, issus du KGB.
Les militants « démocrates » de l’ANC furent les initiateurs de cette « délicieuse » pratique dite du « pneu enflammé » qui consiste à placer sur une personne, un pneu arrosé d’essence et d’y mettre le feu…Ce qui provoque la mort dans d’atroces souffrances. Pratique encore active aujourd’hui mais contre les immigrés d’autres pays africains comme les Mozambicains en 2008 !
Car et c’est bien là, la pire responsabilité de Mandela, c’est que l’Afrique du Sud est tombée dans le chaos social et a encore accentué les haines raciales comme le démontre, les nombreuses agressions (souvent mortelles) que subissent les fermiers blancs. Sans compter le taux de criminalité qui un des plus élevés au monde !
Mais peu importe, grâce à lui, de nombreuses multinationales ont pu recommencer à faire de juteuses affaires. Après tout, pour la bien-pensance, c’est la seule chose qui compte. Et c’est bien ce qui explique que les forces mondialistes rendent un tel hommage à celui qui fut un de leur plus serviles employés…
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Décès de Nelson Mandela, terroriste communiste anti-blancs et fossoyeur de l'Afrique du Sud
L'ensemble de la classe politico-médiatique n'a pas fini de nous rebattre les oreilles avec des hommages orgasmiques et délirants à la mémoire de « Madiba », décédé à l'âge de 95 ans jeudi 5 décembre.
Voici pourtant la réalité de son « héritage » expliquée par Bernard Lugan :cliquez ici
En avant-première : sortie très prochaine d'un nouveau Bouquin de Synthèse nationale signé Jean-Claude Rolinat, fin connaisseur de la situation en Afrique du Sud, consacré au bilan de la faillite Mandela... On en reparle très prochainement...
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En Afghanistan, faut pas charier avec la Charia !
La chronique de Philippe Randa
Que les clients rackettés par l’État français pour « achat d’actes sexuels » s’estiment heureux ! S’ils étaient Afghans et après dix ans de libération aux noms de la démocratie, des Droits de l’homme et des intérêts américains, ce n’est pas pour leur portefeuille qu’ils auraient à craindre, mais carrément pour leurs bijoux de famille… voire plus encore si les représentants auto-proclamés d’Allah, portés au pouvoir par leurs « libérateurs » occidentaux, le jugent nécessaire.
L’Afghanistan s’apprête en effet très officiellement à rétablir la lapidation dans son droit pénal pour les auteurs d’adultère : « Nous travaillons sur un projet de code pénal de la charia prévoyant que la lapidation serait la sanction de l’adultère, s’il est confirmé par quatre témoins oculaires », a précisé Rohullah Qarizada, membre de la Commission sur la loi coranique.
On s’en doute, les bonnes consciences occidentales, quelque peu prises au dépourvu, s’en émeuvent : « Il est absolument choquant que douze ans après la chute du gouvernement des talibans, l’administration Karzaï réintroduise la lapidation comme châtiment » a déclaré Brad Adams, directeur de l’antenne asiatique de l’organisation Human Rights Watch.
C’était bien la peine, alors ! dix ans durant, de brocarder les Talibans comme le Mal absolu. Au pays du bon président Kazaï, les populations locales, quelques soient leur ethnie ou leur affinité religieuse, semblent assez peu plaisanter avec la bagatelle hors des liens sacrés du mariage.
« L’introduction de cette peine capitale laisse craindre que la promotion des droits de l’homme soutenue à grand renfort de milliards de dollars depuis douze ans ne soit en train de perdre du terrain. Une partie de la population afghane demeure favorable à des châtiments brutaux en matière de mœurs », se désole pour sa part Le Monde, quotidien de la bonne-conscience bobo s’il en est.
Exemple, voilà quelques jours à peine, dans la province de Baghlan au nord de Kaboul, un couple illégitime s’aimait d’amour aussi tendre que pas assez discrète. Une foule des brigades locales de la braguette a voulu les lapider sur le champs, mais un « conseil d’anciens » s’y est opposé… Toutefois, dès le lendemain, sur l’ordre du même conseil, les Tristan et Yseult locaux étaient fusillés en public.
Oui, ça « laisse craindre », comme écrit pudiquement Le Monde !
« Le ministère, ainsi que d’autres institutions judiciaires afghanes, travaillent sur une loi pour sanctionner l’adultère, le vol et la consommation d’alcool, en accord avec la charia, la loi islamique », confirme pour sa part Ashraf Azimi, un membre du cabinet du ministre de la Justice.
Et tout ça, grâce à notre présence (de nos soldats entre autres) et avec des subventions, puisque « l’Afghanistan a reçu, l’an dernier, la promesse de 16 milliards de dollars d’aide d’ici à 2015 de la part de80 bailleurs de fond internationaux. Une aide conditionnée à des efforts en matière de droits de l’homme et de démocratie, dans ce pays très conservateur », précise Adrienne Sigel pour BFMTV.
Rappelons tout de même que 82 soldats français ont été tués en 90 mois de présence en Afghanistan (entre août 2004 et janvier 2012) pour ce retour annoncé de la charia et sans doute de la guerre civile, puisqu’il est probable « qu’après la fin du retrait américain en 2014, le régime Karzaï ne pourra survivre bien longtemps et que s’installera dans ce pays une guerre civile opposant le Sud et le Sud-Est au Nord et au Nord-Ouest du pays », prédit sur le site www.atlantico.fr Jean-Bernard Pinatel, expert reconnu des questions géopolitiques et d’intelligence économique.
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Ce soir sur Méridien zéro :
RBN Méridien zéro cliquez là
10:47 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Procès Burgaud/Tavernier : la petite phrase qui fâche !
Yves Darchicourt
Bouc émissaire pour les uns, incompétent crasse pour d'autres, Patrice Burgaud restera dans les annales comme le juge d'instruction du "ratage" de l'affaire d'Outreau qui lui a valu d'être légèrement "réprimandé" par ses pairs et confortablement recasé comme auditeur à la Cour de Cassation.
Cette navrante péripétie judiciaire vient de revenir à la "une" des médias avec le procès intenté par le dit robin à Bertrand Tavernier à propos de son film "Présumé Coupable" -inspiré de l'auto biographie de l'une des "victime" de Burgaud- au sujet duquel il avait déclaré télé visuellement " Quand vous voyez le film, je ne suis pas pour la peine de mort, mais c’est quelqu’un que vous avez envie d’exécuter, le juge d’Outreau».
C'est pour cette petite phrase que le cinéaste a été assigné devant la 12e chambre correctionnelle de Paris et non la 17e spécialisée pourtant dans les affaires touchant à la liberté d'expression. Le procureur de service, sans doute ému par les lamentations de Burgaud qui vivoterait depuis dans l'angoisse comme si l'on avait lancé une fatwa ou un contrat sur sa tête, vient dernièrement de requérir la condamnation de Tavernier à 3 000€ d'amende.
Il est vrai que les intouchables robins sont de grands sensibles, même si parfois cette sensibilité est inversement proportionnelle à leur compétence ou à leur degré d'impartialité. Et tous les mots sont susceptibles de les "outrager" même s'ils n'atteignent pas la hargne de ceux de ce célèbre bout-rimé "Qu'il serait beau de les voir mourir de mort lente/Et de voir, pour dix sous, dix peaux de juge en vente "... il est vrai envoyé à la veille de son exécution par le "bon docteur" Marcel Petiot qui avait quelque raison d'en vouloir cruellement à ses juges !
10:03 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 décembre 2013
Chronique de la France asservie et résistante...
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3118
du 28 novembre 2013
LES RÉSEAUX sociaux hurlent de rire. La candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, tout aussi bobo que la socialiste Anne Hidalgo, mais peut-être en pire, suscite l’hilarité. Certains prétendent que c’est la faute de trop, qui pourrait lui être fatale, d’autant que les sondages ne sont pas bons.
NKM : LA PRÉCIEUSE RIDICULE
Présentée, y compris chez certains de ses “amis” de l’UMP comme une « Marie-Antoinette » des beaux quartiers, complètement déconnectée des réalités, coupée de la réalité du monde, sortie du Trianon gouvernemental où Nicolas Sarkozy l’avait enfermée et où elle n’avait jamais vu ni senti le réel, NKM vient de commettre cette réflexion extraordinaire qui prétend démontrer son appétence pour le réel des Parisiens : « Dans le métro, je fais des rencontres incroyables. » Tant mieux pour elle, au demeurant. Cette « précieuse ridicule » a des idées. Comment décrire la femme parisienne ? La question lui est posée par le magazine Elle. Elle a la réponse : « C’est à la fois une mère, une femme, une professionnelle. Si je devais dresser son portrait, je demanderais à un photographe de se mettre dans la rue pour capturer les visages de toutes ces femmes qui vont chercher les enfants à l’école, qui se recoiffent avant d’aller à un rendez-vous professionnel… »
Les femmes parisiennes, qui pour beaucoup souffrent et n’ont pas vraiment le temps de se recoiffer avant d’aller à un rendez-vous professionnel, car tout simplement, chômage aidant, ce rendez-vous n’aura pas lieu, apprécieront. NKM lit sans doute trop les magazines féminins, tels Elle, Vogue, Jalouse, etc… Mais revenons à ses hautes considérations concernant le métro. Elle y fait « des rencontres incroyables ». Mais encore ? Où compte-t-elle mener campagne pour les élections municipales ? Réponse : « Un peu partout, même dans des endroits inattendus ! Dans la rue, à la sortie des bouches de métro, dans un café, à la sortie des écoles… » Des endroits en effet inattendus pour une telle bourgeoise qui va au peuple comme les marquises du XIXème siècle allaient aux pauvres. NKM exprime son amour pour le peuple du métro, disant : « Le métro est pour moi un lieu de charme, à la fois anonyme et familier. Je prends souvent les lignes 13 et 8 et il m’arrive de faire des rencontres incroyables. Je ne suis pas en train d’idéaliser le métro, c’est parfois pénible, mais il y a des moments de grâce. » On est contents pour elle, car nous, pauvres prolétaires, n’avons jamais vécu ces « moments de grâce » dans des métros bondés d’où les Français sont souvent absents. Le journal Elle titre l’interview de NKM de façon assez perfide : « Interview d’une frondeuse qui voit les Parisiennes à son image ». « A son image »… Bien vu. Même Edouard Balladur avait su faire mieux, c’est dire, lors de sa campagne présidentielle. Prenant, il y a vingt ans, pour sans doute la première et dernière fois de sa vie le métro, il eut cette réflexion d’une grande profondeur, qui ne passera sans doute pas à la postérité, contrairement à la pensée de NKM : « Il fait chaud », dira-t-il. Tout était dit.
NKM (SUITE)
Frigide Barjot venait d’apporter son soutien à NKM, qui avait osé s’abstenir sur la loi Taubira. Pas voter contre, n’exagérons pas dans le registre du courage ! Frigide Barjot, qui ne s’oppose pas à l’union civile d’homosexuels, avait noté que NKM, qui ne s’y oppose pas davantage, « a combattu l’adoption, la PMA et la GPA ». Je relève, en passant, que l’utilisation de ces acronymes, incompréhensibles, est totalement inefficace en termes de communication. Comme la Manif pour Tous. Ridicule. Evoquons plutôt la Manif anti-“mariage” homosexuel. Mais revenons à Frigide Barjot et à NKM. Frigide Barjot comptait monnayer son soutien en faisant signer une charte qui propose d’inscrire la définition du mariage homme/femme dans la Constitution, et de remplacer le “mariage” homosexuel par « l’alliance civile ». Réponse de NKM : pas question de signer la charte… Cohérente avec elle-même, la bobo supposée être opposée aux socialistes, vient de retirer François Lebel, le maire du 8e arrondissement, de ses listes. Il est vrai qu’il s’était fermement opposé à la loi Taubira. Mais Nathalie Koskiusko-Morizet n’en a pas fini avec les avanies. Il est vrai que prendre les électeurs de droite pour des imbéciles finit par se payer cash. Un peu partout, des listes dissidentes se préparent. Dans le Vème arrondissement, celui des Tibéri, le fils de l’ancien maire et actuel maire du Vème confirme qu’il se présentera contre la candidate, Florence Berthout, désignée par NKM, jugeant cette dernière « pas sérieuse ». Autant dire que l’arrondissement risque d’être perdu pour la droite. De plus, les sondages sont désastreux pour NKM. Dans le XIVe arrondissement, dans lequel elle se présente, les sondages lui donnent 45 % des suffrages contre 55 % à la candidate socialiste. Elle ne gagnera jamais la mairie de Paris. Et nous ? Répétons-le : on s’en contre-fiche ! D’autant que la «droite” de NKM et la gauche de Hidalgo, c’est bonnet rose et rose bonnet !
CARLA BRUNI S’EST ÉNERVÉE CONTRE L’AFFREUX PATRICK COHEN
Il y a quelques jours, Carla Bruni était l’invitée de C à vous sur France 5. Une émission assez insupportable et ridicule, à vrai dire. Il y a un repas entre les journalistes et l’invité(e) où l’on cause. Ça s’est assez mal passé. Selon le journaliste Patrick Cohen, arrogant au possible, comme il l’est toujours, l’ex-Première dame n’était pas indépendante pendant le mandat de son mari, Nicolas Sarkozy. Il déclara du haut de sa Suffisance : « Je me disais que la limite de l’indépendance, c’est là où vous avez abouti ces dernières années, c’est-à-dire dans ce rôle de Première dame qui finalement limite votre indépendance » a-t-il commencé, osant supposer que Carla Bruni n’était qu’une cruche. La chanteuse a immédiatement réagi : « J’étais totalement indépendante ». Elle répliqua à l’affreux personnage : « Parce que vous n’en avez pas des contraintes, des obligations, des devoirs de réserve, tous les jours à l’antenne ? Vous feriez mieux de faire attention à ce que vous dites. ». Ce qui peut se décrypter, avec un tout petit peu d’imagination par : « Le jour où mon mari reviendra au pouvoir, vous serez fusillé. » Mais Patrick Cohen ne s’arrête pas là : « Ça n’a pas été un carcan d’être épouse de président ? » Elle réplique excellemment : « Non, ça a été une belle aventure. Mais peut-être que pour vous, cela aurait été l’horreur » Mais Patrick Cohen, comme souvent ces gens-là, n’a aucune limite. Arrogant au possible, il lui dit : « Ne faites pas semblant de ne pas comprendre ». Quelle houtspa (arrogance folle en hébreu) ! Carla Bruni, très polie et maîtrisée, finira quand même par montrer un sérieux agacement. On peut, comme c’est notre cas, ne pas éprouver la moindre sympathie pour Nicolas Sarkozy et son épouse et néanmoins trouver que ce Patrick Cohen est décidément un odieux personnage !
ALLIANCE EUROPÉENNE : UN NOUVEL ÉCHEC POUR MARINE LE PEN
Nigel Farage, le président du mouvement souverainiste britannique, l’UKIP, a repoussé, après le mouvement anti-islam danois, le Parti du peuple danois (DF, Dansk Folkeparti), lors d’un entretien diffusé le 22 novembre par le Telegraph, toute idée d’alliance avec Marine Le Pen et le Front national qui cherche désespérément à créer un groupe au parlement européen après les prochaines élections européennes du 25 mai 2014. Selon lui, « l’antisémitisme reste profondément ancré » au Front national. L’ultrasioniste Geert Wilders s’est déclaré prêt, en revanche, à collaborer avec Marine Le Pen au parlement européen, mais ça ne suffira pas, sans doute, pour constituer un groupe, avec les moyens afférents. Marine Le Pen a rejeté les anciennes alliances du Front national avec différents partis européens nationalistes (le British National Party de Nick Griffin, Forza nuova, le Jobbik hongrois, le NPD allemand, etc.). Cela risque de lui coûter cher, obligeant les élus du FN à siéger comme non-inscrits et à se priver des financements publics accordés aux partis politiques européens. A propos, qui est Nigel Farage, leader de l’UKIP ? Farage est un “libertarien”, à la sauce américaine, qui a publiquement approuvé la dépénalisation de la drogue et de la prostitution. Il souhaite quitter l’Union Européenne (ce en quoi il a totalement raison) en imposant des contrôles plus stricts sur l’immigration, se démarquer de la Convention Européenne des droits de l’homme (là encore il a tout bon !), augmenter les réserves de l’armée et de la Royal Navy et reste opposé à juste titre au mariage homosexuel. Ceci est confirmé par les 23 % d’électeurs qui ont voté pour son parti aux élections locales récemment. Il n’est absolument pas raciste ni antisémite. La preuve : Farage a imposé une règle stricte interdisant à quiconque qui aurait eu une implication avec le BNP (British National Party) de pouvoir devenir membre de l’UKIP. Le mois dernier, le parti a retiré son soutien à une candidate lors d’une élection locale après avoir découvert que celle-ci avait été, selon ses propres termes, “tentée” de s’allier au BNP. Comme quoi Farage est courageux mais pas téméraire. Mais alors pourquoi ne veut-il pas de Marine Le Pen ? C’en est triste à pleurer…
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18:44 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
2014 : ON NE LACHERA RIEN !
11:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Déficit de 11 milliards de recettes fiscales : un abîme !
Philippe Randa
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Les bons comptes font les bons amis… Et les mauvais ? Un gouvernement socialiste, pardi ! À 11 milliards d’euros de décalage fiscal en 2013 entre prévisions et résultats, ce n’est plus une faille ! Plus un trou ! Plus un gouffre ! Que dis-je, plus un gouffre ? C’est un abîme ! D’incompréhension, pour le moins !
Comment les socialistes ont-il pu se « planter » à ce point ? Car une telle erreur d’estimation, on a quand même peine à y croire ! C’est pourtant la différence entre les prévisions de recettes fiscales du gouvernement faites il y a un peu plus d’un an, et ce qui va finalement atterrir dans les caisses.
Passe encore si un événement inattendu et gravissime en était la cause, mais on n’en voit guère, ces derniers mois. Que le gouvernement de Jean-Marc Ayrault fasse une erreur d’estimation de rentrées fiscales d’un tel montant sur quelques mois seulement, après avoir augmenté tous azimuts les impôts et même s’il a dû rétropédaler sur quelques-uns, c’est quand même digne d’un aréopage de guignols. Et tout ça pour remplir les rues de Français s’insurgeant contre la pression fiscale, encore !
On invoque le manque à gagner de TVA qui n’aurait rapporté que 135,6 milliards d’euros cette année, soit 5,6 milliards de moins que prévu. Pour raisons économiques : à cause de la crise, les Français ont moins dépensé, d’où baisse des entrées de recettes fiscales liées à la consommation des ménages. Quant à l’IS (impôt sur les sociétés), il aurait rapporté 3,8 milliards d’euros de moins que ce que la loi de finances de 2013 (votée en décembre 2012) aurait estimé. Évidemment, les excès fiscaux du gouvernement sont tels qu’il y a un secteur qui, lui, a flambé, cette année : le travail au noir ! C’est le grand bénéficiaire du ras-le-bol fiscal…
Gilles Carrez, président UMP de la commission des finances de l’Assemblée, a fait remarquer que cette moins-value considérable sur les recettes fiscales par rapport aux prévisions « alors qu’elle porte d’habitude sur la TVA ou l’impôt sur les sociétés, pour la première fois, porte de façon massive sur l’impôt sur le revenu, avec moins 3,1 milliards par rapport à la prévision ».
On comprend mieux comment, en Bretagne, ces dernières semaines, on a vu défiler côte à côte tant de patrons et d’employés, au grand dam des forces de gauche ou de ce qu’il en reste ! C’est que les Français n’ont pas tous une logique socialiste et ne veulent (ou ne peuvent) pas dépenser l’argent qu’il n’ont pas !
À quand des radars à chaque caisse de magasin pour sanctionner le client rapiat qui ne vide pas la totalité de son portefeuille… et aussi devant chaque habitation française pour contrôler qui s’occupe de l’entretenir ou de la restaurer ?
10:04 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Harcèlement scolaire : mais qui harcèle qui ?
Secrétaire général
du Parti de la France
Depuis quelques semaines, suite à de sordides faits divers, médias, autorités, « experts » et autres psychologues se répandent en lamentations et tentatives d'analyse foireuses du « harcèlement à l'école » présenté comme une fatalité.
Les causes réelles de ce fléau, de plus en plus répandu, ne sont évidemment pas abordées. Car il s'agit bien sûr d'un échec patent de l'idéologie marxiste soixante-huitarde qui a fait du laxisme la règle et a banni toute forme de respect de l'autorité du professeur dans les établissements scolaires. N'ayant que bien peu de possibilités pour venir à bout d'élèves de plus en plus dissipés, arrogants, violents et sans repères, beaucoup de professeurs assurent le service minimum, ont comme priorité leur propre tranquillité et évitent bien souvent d'interférer dans les conflits entre élèves.
Mais une question pourtant fondamentale n'est évidemment pas posée par toutes les bonnes âmes qui tentent de l'éluder : qui harcèle qui ? Les harceleurs auraient-ils, dans la majorité des cas, une particularité aisément identifiable, tout comme la victime ?
Ne tournons pas autour du pot : dans la plupart des affaires de harcèlement scolaire, la victime est quasi-exclusivement un(e) Français(e) de souche et les persécuteurs très souvent d'origine nord-africaine ou subsaharienne.
Aborder le problème de cette manière serait extrêmement périlleux pour les médias au service de l'État socialiste, pour la classe politique dite « républicaine » et pour les autorités éducatives puisque le racisme anti-blanc dont ils nient rageusement l'existence serait alors exposé au grand jour.
Et pourtant, la responsabilité du déferlement migratoire est indéniable dans ce type d'affaire de harcèlement où la proie est presque toujours un(e) « babtou » et les agresseurs des racailles étrangères. Comme pour le racket, les agressions, les vols avec violence, les viols, les tournantes,...
Alors oui, il faut stigmatiser, amalgamer, montrer du doigt, dénoncer cette immigration extra-européenne génératrice de délinquance et de criminalité sur fond de haine anti-française. Il n'est plus question de se laisser endormir par les discours angéliques et culpabilisateurs des collabos de la colonisation migratoire. Il est l'heure de rendre la France aux Français, de libérer notre pays de l'immigration, de renvoyer chez eux ces étrangers conquérants qui s'en prennent à nos enfants ; mais aussi de faire payer ceux qui ont fomenté la disparition de l'Europe et des Européens en organisant son invasion et son métissage.
01:50 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...
Chez votre marchand de journaux, 3,50 €
01:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 04 décembre 2013
Lille, 14 décembre : conférence du Cercle non conforme
Le 14 décembre 2013, le Cercle Non Conforme et Terre et Peuple organisent dans le Nord à partir de 18h30 une conférence ayant pour thème: Crise ou offensive du capital ? Nos invités seront Roberto Fiorini, secrétaire général de Terre et Peuple, grand connaisseur des questions socio-économiques, et Xavier Eman, journaliste non-conforme et militant associatif.
Ils aborderont autant les aspects théoriques que pratiques de cette question.
Pour vous inscrire envoyez IMPÉRATIVEMENT un mail à reservation.cnc@gmail.com avec vos coordonnées pour signaler votre inscription, connaître l'adresse de paiement et obtenir le lieu.
14:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Hillard commente la situation en Ukraine
13:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Esteban "fête" ses 21 ans en taule...
Esteban Morillo, emprisonné depuis plus de 5 mois pour s'être défendu contre des agresseurs d'extrême gauche, fête aujourd'hui son 21e anniversaire en prison. Ayons une pensée pour cette victime expiatoire du gouvernement socialiste qui préfère enfermer un jeune Français qui a agi en état de légitime défense plutôt que les racailles d'extrême gauche qui multiplient agressions et exactions.
10:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cyclone B : la société brestoise IPC-SA accusée de « cynisme malveillant »
Comment passer d’un fait divers insolite à une quasi affaire d’Etat ? La recette, la société brestoise IPC-SA, qui vend de nombreux produits d’hygiène à destination des professionnels est en train de l’apprendre à ses dépens. En cause ? Un produit détergent appelé « Cyclone B ». Cyclone étant le nom du produit, B indiquant sa contenance biologique.
Quand elle a lancé ce produit, l’entreprise bretonne n’imaginait pas la réaction de l’Etat d’Israël ou de sites comme le Jewish chronicle qui y ont vu là « le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène » trouvant une proximité avec le Zyklon B, ce gaz utilisé notamment par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. « C’est, au mieux, une horrible ignorance et au pire un record du monde de cynisme malveillant. » affirme le rabbin Menachem Margolin, de l’association juive européenne.
Au sein de l’entreprise brestoise, on est tout simplement K.O : « on est abasourdi. Il fallait vraiment aller chercher loin. Qu’un simple détergent prenne des proportions politiques, c’est incompréhensible » nous confie un commercial.
Le produit incriminé a visiblement été retiré depuis du site Internet, IPC-SA ne souhaitant pas être prise dans une spirale qui pourrait nuire fortement à son image.
A noter que la République africaine du Cap-Vert ne s’est pas encore officiellement indignée que la société IPC-SA ait donné son nom à des produits de traitement des odeurs et d’hygiène des mains. Au train où vont les choses, ça ne saurait tarder.
Source Breizh Info cliquez là
10:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lundi soir à Paris : Taubira huée à son arrivée au Théâtre du Rond Point
Lundi soir avait lieu au théâtre du rond point des Champs Elysées une soirée organisée par Jean-Michel Ribes « contre la haine ». L’invitée d’honneur de cette soirée très select était le Ministre de la justice, Christiane Taubira. Participaient aussi Aurélie Filipetti, Caroline Fourest, François Morel, et un tout un aréopage de célébrités bien-pensantes.
Plusieurs dizaines de personnes choquées par les déclarations récentes de ces personnalités voulant assimiler les sympathisants LMPT à de dangereux extrémistes ou à des racistes s’étaient spontanément rassemblées pour faire part de leur mécontentement face à de tels amalgames. Les propos totalement excessifs de Jean-Michel Ribes sur BFM TV avant la soirée en sont l’illustration. Il n’a pas hésité à qualifier les membres de Civitas de « neo-nazis. » Tout ce qui est excessif est insignifiant…
A l’arrivée de Christiane Taubira à 19h40 un concert de sifflets, de huées et de « Taubira ta loi on en veut pas » se sont fait entendre. Ont alors surgi des dizaines de policiers en uniforme qui ont immédiatement encerclés et repoussés avec violence les auteurs de ces sifflets. Sont aussi apparus une quinzaine de policiers en civil qui se sont éparpillés autour du théâtre pour arrêter tout autre présumé opposant et en ont capturés trois qu’ils ont ensuite relâchés après un contrôle d’identité.
Sous les cameras de télévision, dont BFM TV, les personnes encerclées ont été privées de leur liberté sans aucune explication pendant une heure à 50 mètres environ du théâtre. Un policier a pris à chacune des personnes du groupe sa pièce d’identité et est parti avec.
Vers 20h40 les personnes du groupe, chacune escortée plus ou moins fermement par un policier, ont été conduites le long du tristement célèbre GAV bus pour subir une palpation et une fouille des sacs, poches, etc. A 20h45 le GAV bus dans lequel avait été placé 21 personnes a démarré vers une destination inconnue. Escorté par quatre fourgons de CRS, le GAV bus a traversé Paris en faisant résonner sa sirène à de nombreuses reprises.
A 20h57 le groupe a été débarqué trois par trois pour ses rendre dans le commissariat du 5eme arrondissement (rue de la Montagne Sainte Geneviève). Chacune des personnes à une nouvelle fois été palpé et requis de vider ses poches, les effets personnels ont confisqués puis l’ensemble des personnes a été placé en cellule sans distinction de sexe ni de genre… Malgré les demandes d’explication répétées aucune explication n’a été donnée.
L’une des personnes plus insistantes s’est vu répondre par un policier « participation à une manifestation non déclarée. » Après 22h30 la première personne a été libérée, puis les autres ont suivi un par un. A 22h54 le dernier était libéré sans qu’aucune explication n’ait été fournie. A la sortie de la cellule, un policier était chargé de restituer à chacun ses effets personnels (dont téléphone) et de noter la profession pour compléter les fiches qu’il remplissait. Aucun document n’a été remis aux personnes illégalement arrêtées et détenues.
Plusieurs personnes déposeront plainte dans les jours qui viennent pour privation illégale de leurs libertés et exécution d’ordres illégaux.
Source La Salon beige cliquez là
10:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La marche : Debouzze fait un flop !
Ce devait être l’évènement cinématographique de la semaine, du mois, de l’année, la sortie du film tant attendu (par qui?) » la marche », réalisé par Nabil Ben Yadir et le propagandiste vedette Djamel Debouzze. Profitant d’un battage médiatique promotionnel digne d’une méga production hollywoodienne, le chef d’œuvre n’a pas déplacé les foules et risque fort de se retrouver en promotion dans les bacs des stations services très vite.
Quand le landernau bobo-gaucho finira par comprendre que le peuple a un cerveau qui fonctionne aussi bien sinon mieux que ceux des chroniqueurs de Canal chiotte ou France Telebidon, il s’évitera des déconvenues financières en produisant des tels navets de propagande grossière.
Les ficelles sont tellement grosses que cela devient ridicule. Je vous résume le film, tout ce qui est non-européen ethniquement est gentil, drôle plein de sensibilité…etc. Tout ce qui est européen est raciste, haineux, pas drôle…etc. SAUF si cet européen ethno-masochiste est encarté au PS, PCF, bref toute les officines qui représentent la future France universaliste.
J’ai vu le film et me suis forcé à le regarder jusqu’au bout (je vous rassure j’avais une invitation), c’est un tract politique transposé en film, pitoyable.
Bien sur le film ne fera pas date malgré le soutient sans faille des « élites »et je crois que l’effet escompté par ses auteurs sera exactement l’inverse, radicaliser un peu plus une France qui en a marre qu’on la traite de conne ou de raciste a tout propos, en quelque sorte l’histoire de l’arroseur arrosé.
Source 24 h actu cliquez ici
via Parti de la France cliquez là
09:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Thaïlande tournera-t-elle la page de la démocratie « à l’occidentale » ?
Eric Miné
La Thaïlande tournera-t-elle la page de la démocratie « à l’occidentale » ? C’est la question qui se pose au regard des récents développements de l’épreuve de force engagée depuis plusieurs semaines déjà dans le royaume par l’ancien vice-premier ministre Suthep Thaugsuban et ses alliés – les « jaunes » – contre le gouvernement de Yingluck Shinawatra, sœur du milliardaire en exil Thaksin, déposé lui-même par un coup d’État militaire en 2006. La radicalisation des dernières heures, qui ont vu les opposants prendre le contrôle à Bangkok de plusieurs ministères et de la télévision publique, ainsi que les premiers morts et les heurts violents qui ont eu lieu entre les affidés de la famille Shinawatra – les « rouges » – et les étudiants de l’université Ramkhamhaeng qui n’ont dû leur salut qu’à l’intervention de l’armée, pourraient bien faire basculer celle-ci en faveur d’un mouvement qui tourne à l’insurrection générale. La porte serait dès lors ouverte à une modification substantielle du régime. Là est le véritable enjeu.
Du complexe gouvernemental de Changwathana qu’occupent les chefs de la rébellion réunis sous la bannière du « Comité du Peuple pour la démocratie absolue thaïlandaise sous la monarchie constitutionnelle », Suthep Thaugsuban, avec le soutien du principal parti d’opposition parlementaire, a en effet clairement indiqué son objectif. Constatant que les élections étaient de plus en plus biaisées par les pratiques corruptives d’un capitalisme international sans scrupules abusant de populations naïves – les Shinawatra en étant l’avatar local –, il entend suspendre la démocratie électorale au profit d’institutions plus représentatives de la nation, reprenant en cela pour partie les revendications insatisfaites des ultra-royalistes du Pad qui avaient bloqué en 2010 les aéroports de la capitale et provoqué la chute d’un précédent gouvernement pro-Thaksin. Si ceux-ci voulaient alors tempérer le pouvoir des députés issus du vote par l’instauration à la chambre de corps désignés pérennes – aristocratique, militaire et religieux –, il semble que Suthep inclinerait davantage vers une expression plus corporatiste des volontés du peuple, mais dégagée tout autant d’une contrainte des urnes jugée aujourd’hui sous ces cieux fauteuse de troubles.
Si l’on en juge par l’élan général et l’enthousiasme suscité, nonobstant les médias occidentaux qui ne voudraient voir dans ces événements que la répétition d’une crise sociale récurrente qui verrait s’opposer des « élites citadines gravitant autour du palais » à des « masses rurales défavorisées du nord-est », il s’agit bien là d’une révolte populaire visant à sauver les intérêts vitaux et les valeurs fondatrices d’un pays qui a su jusque là s’accommoder de la mondialisation tout en préservant ses traditions et ses règles. Ce qui est condamné là-bas, c’est précisément notre modèle démocratique prétendument universel, mais de fait idéologique, daté et occidental.
Si l’entreprise de Suthep Thaugsuban devait être couronnée de succès, elle pourrait ainsi donner des idées à d’autres qui souffrent tout autant ailleurs d’un système n’engendrant plus qu’une représentation collective erronée des peuples pour mieux les soumettre à ses dérives financières, consuméristes et totalitaires.
La portée de ce qui se joue aujourd’hui à Bangkok va donc bien au-delà des frontières d’un royaume tropical prisé des touristes pour ses cocotiers et son sourire.
Article publié sur Breizh info cliquez ici
Le blog d'Eric Miné cliquez là
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SE REPENTIR ? VOUS POUVEZ TOUJOURS COURIR !
Parce que mon devoir de mémoire ne commence pas en 1789, ni ne s’arrête au 11 septembre 2001 à la Grande Pomme…
J’assume tout l’héritage de mes ancêtres, depuis 40 siècles, quand les premiers celtes développèrent un art exceptionnel dans le travail des métaux. Et, avec le témoignage de l’historien grec Polybe, c’est avec détermination que je défends la remarquable culture celte qui englobait pratiquement toute l’Europe occidentale.
NON, je ne renie en rien l’œuvre de civilisation que mes aïeux ont réalisé en 4.000 ans et qui, au travers des siècles et de par le monde a contribué à la diffusion des valeurs et de la grandeur de l’Europe. C’est bien grâce à Werner Von Braun, un ingénieur allemand, que les américains ont pu, en 1969, marcher sur la lune. En 2013, nous marchons sur la tête !
A l’opposée des laquais de la Police de la Pensée et des cloportes du « politiquement correct », j’affirme que le bilan des colonisations européennes dans d’autres continents et sous d’autres latitudes est très positif et que nombre de gouvernements exotiques en tirent toujours profit, 50 ans après leur indépendance. Il suffit de se rendre sur place pour s’en rendre compte, comme je l’ai fait en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud.
Les incompétents qui nous dirigent, et les journalistes à leurs bottes, doivent cesser d’occulter la réalité, stopper ce révisionnisme de l’Histoire version marxiste et arrêter de nous rendre responsables ou coupables des maux qui accablent la Terre entière.
Cependant avons-nous encore la possibilité de dire ou d’écrire librement ce que nous estimons être notre conviction ?
Devra-t-on toujours être d’accord avec les Gouvernants ?
Ne sommes-nous plus un pays où la liberté d’expression serait garantie ?
Y aurait-il des anathèmes ? Une police de la pensée ?
Des tabous ? Une Nouvelle Inquisition ? Un terrorisme « intellectuel » ?
Sans être raciste ou xénophobe, peut-on encore critiquer et combattre le laxisme des gouvernements et la générosité de notre législation sociale qui dépasse certaines bornes ?
N’est-il plus toléré de fustiger la politique des autorités concernant la drogue, l’insécurité, la violence dans les écoles, le droit de vote des étrangers, les goulags communistes au XXe siècle ou la dictature des mondialistes et l’arrogance sioniste ?
Parce que, franchement, depuis 60 ans, les pays sous-développés et « indépendants » devraient chacun ériger un monument en guise de remerciements aux acquis légués par la présence européenne sur leurs territoires : exploitations forestières ; plantations de café, thé, bananes, hévéas, etc.; industries diverses (papeteries, cimenteries, tissages, brasseries, etc.) ; mines (charbon, zinc, cuivre, tungstène, diamant, coltran, uranium, phosphate, etc.) ; exploitations pétrolières et gazières ; agriculture variée et élevage divers ; réseaux de communications (voies ferrées, ponts, routes, ports, aérodromes, canaux d’irrigation, barrages, etc.) ; systèmes éducatifs et sanitaires (écoles, lycées, universités, cliniques et hôpitaux ) ; éradication du choléra, du tétanos et autres maladies tropicales ; mais surtout : autosuffisance alimentaire, chassant le spectre de la famine ! Que reste-il de tout cela aujourd’hui ?
Des souvenirs, remplacés en 2013 par l’insoutenable présence des néo-colonialistes chinois qui pressurent sans vergogne l’Afrique (et d’autres pays, ailleurs).
OUI, ce que les Européens en général et les Français, en particulier, ont accompli dans les colonies durant plusieurs décennies (et souvent des siècles) mérite le respect et force l’admiration.
Il est intolérable que certains négationnistes prétendent aujourd’hui que les Occidentaux sont seuls à la source des calamités qui touchent nombre de pays en voie de régression.
A écouter ces saltimbanques de l’humanitarisme, avant l’arrivée des européens (au XVIe siècle) dans les pays tropicaux, tous les clans, tribus et peuplades auraient vécu dans un cadre paradisiaque avec une cohabitation pacifique chargée de relations conviviales, alors même que l’esclavage des noirs par les arabes dominait l’Afrique et qu’en Asie la Chine imposait sa culture, son administration et sa spiritualité !
Arrêtons de croire ces bonimenteurs socialo-marxistes
Il est grand temps, de rétorquer à tous les pays quémandeurs : « Avant de tendre la main, prenez-vous en main ! »,
Et qu’ils prennent donc exemple sur d’autres pays qui l’ont mis en pratique depuis longtemps et ont pu ainsi accéder au mieux-vivre (Thaïlande, Mexique, Argentine, Corée du Sud, Philippines, Malaisie, Formose etc.)
NON, l’homme blanc n’est pas responsable ni coupable « du-trou-de-l’ozone-qui-va-tous-nous-carboniser », de la faim dans le monde, du prétendu réchauffement de la planète, ni de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ou encore de la misère africaine qui pousse les immigrés hors-la-loi à embarquer sur des bateaux pourris, traverser les mers et venir s’installer clandestinement dans nos églises, à la recherche d’aides sociales inexistantes chez eux !
La volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60 et constitue LE véritable danger pour l’équilibre et l’identité de notre société, confrontée à l’Islam conquérant.
Les lois liberticides de 1974, 1981, 1989, 2000 et 2003 confirment une dérive totalitaire du Régime et ouvrent de nouveaux horizons aux ennemis de la Liberté. C’est pourquoi il faudra punir les responsables de ces législations et combattre les collaborateurs de l’invasion musulmane, qui par leur propagande et leur volonté d’imposer la Turquie en Europe nous conduisent vers un choc sanglant de civilisations.
Il faut le répéter sans cesses : LE danger pour notre civilisation et notre identité européennes, ce n’est pas la séparation, le confédéralisme ou l’indépendance des uns ou des autres, le vrai cancer qui menace l’avenir de nos enfants, c’est l’islamisation de nos quartiers, de notre mode de vie, de notre administration et de nos lois. Vidons les ordures politiques qui nous gouvernent.
02:58 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Voix de la Russie de cette semaine :
01:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 03 décembre 2013
Pauvre Mélenchon ! Il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie…
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire
Bon. Pour la révolution fiscale, il semblerait qu’il faille attendre un peu. Au box-office des manifs, les écharpes rouges seraient aux bonnets de la même couleur ce qu’un film d’auteur tchèque est à Hunger Games. Les prolos, de nos jours, n’en font qu’à leur tête, et Jean-Luc Mélenchon va devoir se résigner à rester un grand leader charismatique incompris. Il a beau courir comme un fou, s’accrocher au dernier wagon, remonter toute la rame en engueulant au passage les voyageurs qui traînent dans les couloirs, impossible de rejoindre la locomotive. Il a définitivement raté le train de la contestation.
Pour lui rendre justice, faut dire que les gens sont spécialement vaches. Il y a ce journaliste de France 24, qui regardait malencontreusement par la fenêtre et a pris aussi sec une photo quand, dans une rue quasi déserte, quelques figurants amateurs se sont gentiment dévoués pour se serrer derrière Mélenchon en agitant des drapeaux, laissant imaginer une foule monstre pour l’interview de TF1. Et pourquoi pas, aussi, un décor de carton-pâte, avec un trou pour que Jean-Luc passe sa tête ? Souris, le petit oiseau va sortir ! La photo, on s’en doute, a fait sournoisement le tour des réseaux sociaux.
Et puis, il y a la police. La police qui ne le gratifie que de… 7.000 manifestants. Quand il en revendique lui-même sans vergogne 100.000, et que les journalistes rompus à ce genre d’exercice évaluent quand même les effectifs à 15 ou 20.000 personnes.
Mélenchon dénonce des chiffres « farfelus » de la préfecture de police, « dictés » par le ministère de l’Intérieur. Preuve qu’il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie, et les petits trucs et astuces du gouvernement. C’est Frigide Barjot qui doit se tenir les côtes. Toi aussi, viens offrir des lunettes à la police.
Et « Vis ma vie » peut ne pas s’arrêter là. Dans la boîte à outils, il y a bien d’autres instruments de torture, largement éprouvés eux aussi. Dont Mélenchon risque de tâter s’il n’y prend pas garde. Ici et là, on commence à s’émouvoir d’une de ses récentes déclarations sur France 5, évoquant Hollande et son équipe de « rastaquouères »… terme péjoratif et xénophobe, s’il en est, désignant, selon le Larousse, un « étranger menant grand train et dont on ne connaît pas les moyens d’existence ».
Bien sûr, le même mot dans la bouche d’un homme de droite aurait fait l’effet d’une bombe atomique, et le coupable se promènerait déjà pieds nus dans les rues de Paris en se répandant des cendres sur la tête et en se frappant la poitrine pour clamer sa contrition.
Naturellement, un homme de gauche peut s’autoriser bien des privautés de langage. Mais à condition de ne pas trop balancer les copains. Mélenchon ferait bien de s’en souvenir…
10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Depuis quelques semaines un journal très incisif est distribué dans les rues :
Année zéro cliquez ici
00:59 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 02 décembre 2013
N'oubliez jamais que le Kosovo est serbe...
16:53 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |