dimanche, 09 juin 2013
Contre les prétentions du gouvernement de dissoudre les JNR : conférence de presse samedi après-midi à Paris...
Samedi après-midi, au Local, une conférence de presse a été organisée en quelques heures pour répliquer à l’annonce faite, le matin même, par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault de vouloir procéder à la dissolution des Jeunesses nationalistes révolutionnaires.
Devant un important parterre de journalistes, tant de la presse télévisée que de la presse écrite ainsi que plusieurs radios, Serge Ayoub, porte-parole du mouvement Troisième Voie et fondateur, dans les années 80, des JNR, et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale et membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, qui avait tenu à apporter son soutien aux JNR, ont dénoncé la grossière manœuvre liberticide du gouvernement.
D’emblée, Serge Ayoub a répondu aux prétentions de celui qui fait figure de Premier ministre de la France par un énorme éclat de rire montrant ainsi le mépris que les nationalistes et les solidaristes ont pour ce petit monsieur qui espère faire oublier la faillite de sa politique en s’auto-persuadant que les JNR seraient à l’origine de la mort du gauchiste Clément Méric.
La vérité c’est que les vrais responsables de cette tragédie, ce sont ceux qui poussent certains jeunes crédules à agresser les militants patriotes ; ce sont ceux qui, en leur bourrant le crane avec des âneries telles que l’antifascisme, ont conduit des pauvres naïfs à s’engager dans des groupes ultra-violents tels que celui auquel appartenait Méric. Ces groupes ne sont que les bandes armées de l’hyper-classe mondialiste qui veut détruire les nations et les identités afin de les remplacer par un ensemble de consommateurs déracinés justes bons à enrichir les multinationales et qui a besoin de ce type de groupes pour combattre la résistance nationale qui, partout, s'organise. Voilà à quoi servait un Clément Méric.
Le pouvoir veut dissoudre les JNR alors que les JNR ne sont en rien responsables de ce qui s’est passé mercredi soir à Paris. Il s’acharne sur ce mouvement en le faisant passer pour un mouvement violent. Mais, que le pouvoir nous prouve en quoi les JNR sont violents. Lorsque l’on affirme de telles choses, il faut des preuves ! La violence, il faut la chercher ailleurs et Serge Ayoub a montré, documents à l’appui, le vrai visage de la bande à Méric, le soi-disant gentil étudiant idéaliste. Un groupe armé qui entend, selon ses dires, « tuer des fascistes ».
Depuis des mois ce groupe, intitulé Action antifasciste, multiplie les attaques contre la résistance nationale : en novembre ils ont tenté de manifester contre la 6e journée de Synthèse nationale ; toujours en novembre, ils ont aussi tenté d’agresser des personnes qui, dans le Ve arrondissement, venaient d’assister à une messe dite à la demande du Cercle franco-hispanique. Quelques semaines plus tard, ils ont attaqué des vendeurs de l’Action française à Paris, blessant sauvagement l’un d’entre eux ; puis ils ont essayé de s’en prendre à une réunion organisée par l’hebdomadaire Rivarol en février de cette année. Ajoutons à cela les multiples provocations pendant les manifs contre la loi Taubira. Et puis, il y a quelques jours, ils ont tenté de sacager l'Espace Tribann à Lille... La liste de leurs exactions est longue mais qu’importe puisque le Système a besoin d’eux. Et cela à tel point que, comble de ridicule, les députés toutes tendances confondues, du PC au FN, se sont crus obligés d’observer une minute de silence en mémoire d’une petite frappe qui se croyait sans doute encore à Stalingrad ou peut être sur les plages de Normandie… « Lorsqu’un mouvement ou un militant nationaliste, quelle que soit son appartenance, est attaqué, c’est toute la résistance nationale qui est attaquée » a rappelé le directeur de Synthèse nationale.
Aujourd'hui, « il est évident (...) que ceux qui ont voulu cette bagarre sont les nervis, les petits amis de Clément Méric », a déclaré Serge Ayoub, ajoutant : « Il y a un proverbe québécois qui dit « quand tu mets des claques, attends-toi à en recevoir ». Je crois que c'est l'épitaphe de ce Clément, qui a voulu faire l'intéressant ».
Alors, dans ces conditions, notre compassion ne va pas vers celui qui voulait faire la « guerre aux fascistes » et qui en a payé le triste prix. Notre compassion va vers Estéban, Katia et ceux qui sont encore en prison parce qu’ils ont été agressés par cette bande de larbins du Système et qu’ils se sont, en Européens dignes de ce nom, défendus.
Pour conclure cette conférence de presse, laissons le mot de la fin à Roland Hélie : « Après tout, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Japonais et les Chinois, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés »…
Film sur la conférence cliquez ici
12:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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