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mardi, 07 août 2018

Dans le nouveau numéro du Harfang, le magazine identitaire québécois, un article sur le CHN n°13 consacré à Ramiro Ledesma Ramos

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Le CHN 13 consacré à

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lundi, 06 août 2018

Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

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Bernard Plouvier

Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère avait été poignardé à mort par un psychotique dans une cité lorraine. Fin juillet 2018, un jeune homme est tué par deux rejetons de l’immigration extra-européenne. Depuis 2015, des assassins djihadistes ont tué plus de deux cents Français : à l’arme blanche, à l’arme à feu et à la voiture-bélier.

Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le peuple souverain de France (et celui d’autres pays européens, d’ailleurs) n’a jamais été consulté : l’injustice profonde représentée par l’abolition de la peine de mort.

Il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique, nantis pour l’occasion de l’étiquette « équilibrés », des fous dangereux : psychotiques enfermés pour cause de délire, sociopathes, psychopathes violents.  De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans lui, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui : ses proches, ses collègues de travail, etc.

Le psychopathe violent (tous ne le sont pas), le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, se contentant de celui, inexpert ou intéressé, d’avocats ou de médecins de papier, membres d’une secte, d’un parti politique ou piliers de salon parisien.

Quant aux terroristes, quelle que soit leur motivation – politique ou religieuse -, ce sont des adeptes de la pure joie de nuire. Leur foi ne sert que d’alibi moral à l’épanouissement de leur perversité.

De toute antiquité et dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », on admet comme légitime la défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie ainsi que le principe de la protection des citoyens honnêtes par les forces de l’ordre. C’est en grande partie pour que soit assurée la sécurité des personnes que l’on paie des impôts.

Il est parfaitement légitime de se moquer des éjaculations verbales d’avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - des comportements animaux, dont ceux des humains.

Qu’on veuille le reconnaître ou non importe peu : la récidive est génétiquement programmée chez les assassins et les violeurs, après qu’on les ait libérés de prison, souvent de façon anticipée pour raison de « bonne conduite ».

L’ego surdimensionné et les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et par la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (tels les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux ou politique.

On se moque d’une éventuelle « rééducation », illusoire du fait de leur génétique défavorable, des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort ou au dogme antique, mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». En période d’absurde expansion démographique, éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on dénommait une mesure de Salut public.  

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La Grèce toujours en faillite, mais le mensonge continue

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Marc Rousset

Français, on vous ment pour la gravité de l’invasion migratoire, comme on vous ment pour la dette grecque. Le FMI est l’exception qui confirme la règle pour la Grèce. Il dit la vérité : sans allègement réel de la dette grecque, c’est-à-dire sans renoncement au remboursement pur et simple de la dette publique grecque, et non pas avec un simple allongement des échéances, la Grèce tombera immanquablement en faillite à terme !

Le FMI répète que la dette grecque représente encore aujourd’hui 178 % du PIB du pays. L’accord de juin 2018 devrait permettre à Athènes d’avoir accès, à moyen terme, à des financements par les marchés, mais tout cela est théorique et repose sur du sable, car il sera impossible à la Grèce d’avoir une croissance de 3 % tout en maintenant un excédent budgétaire de 2,2 % du PIB, hors service de la dette.

Selon le FMI, la croissance n’a été que de 1,7 % en 2017 et atteindra difficilement 2 % en 2018 et les années suivantes, tandis que l’excédent budgétaire sera au maximum de 1,5 % du PIB et non pas 2,2 %.

Le reflux du chômage est tout à fait anecdotique, conjoncturel en Grèce et non pas structurel puisqu’en étant hyper-optimiste, il passerait de 21,5 %, en 2017, à 19,9 %, en 2018, et 18,1 %, en 2019. Les risques de banqueroute grecque sont, en fait, énormes si l’on songe à la moindre hausse des taux d’intérêt, au calendrier de politique intérieure grecque, à l’immigration clandestine extra-européenne, à une population à bout, fatiguée des réformes et du « demain, on rasera gratis » !

Le drame, c’est que ce n’est pas l’euro qui est la cause de la dette grecque, contrairement à ce que prétend Jacques Sapir, mais tout simplement l’inconscience laxiste d’un pays et de ses dirigeants qui ont tiré trop fort sur la corde de l’État-providence pendant des années jusqu’à ce qu’elle casse, tandis que Goldman Sachs truquait les comptes pour faire entrer la Grèce dans la zone euro, sans avoir à subir – ce qui est scandaleux – une amende gigantesque de l’Union européenne d’au moins 20 milliards d’euros et la condamnation de ses dirigeants à la prison ferme en Europe pour manipulation frauduleuse des comptes publics et montage d’opérations bancaires fictives.

Le drame, également, c’est que les banques, sur la demande de l’Allemagne et des pays de la zone euro, ont effectivement déjà allégé la dette grecque de 90 milliards en 2011. Merkel a voulu, à juste titre, que les banques qui avaient pris des risques inconsidérés paient une partie de la note. Le 27 octobre 2011, les banques européennes ont donc dû abandonner 50 % de la dette publique qu’elles détenaient sur la Grèce. De plus, alors que l’opinion publique allemande souhaitait le défaut de paiement et la mise en faillite pure et simple de la Grèce en 2011, Merkel a promis solennellement aux Allemands que les Grecs rembourseraient les nouveaux prêts accordés à la Grèce avec la garantie des États.

Merkel ne peut pas perdre la face, ayant déjà sur le dos l’entrée folle du million de clandestins immigrés sans contrôle aux frontières. Et (cerise sur le gâteau) si, demain, la Grèce ne paie pas – ce qui sera le cas -, les déficits publics annuels de la France et de l’Allemagne seront augmentés d’autant, d’où l’acharnement du Système pour reculer la date de faillite inexorable à venir de la Grèce.

La Grèce est le cancre de l’Union européenne et la France « une petite Grèce » quant au chemin décadent et laxiste parcouru depuis quarante ans. Alors que la situation de la France est catastrophique et demande des mesures draconiennes, structurelles, chirurgicales en matière de dépenses publiques, sociales et de réduction du nombre de fonctionnaires pour éviter la faillite à venir, l’action de Macron relève du traitement médical législatif homéopathique.

18:37 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 août 2018

À LIRE AU MOIS D'AOÛT :

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08:37 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 03 août 2018

Une politique énergétique fondée, non sur le retour en arrière, mais sur l’innovation

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Depuis les années soixante-dix la question énergétique s’affirme comme un défi majeur pour notre pays. La France y a répondu jusqu’à présent par le développement du nucléaire. Une démarche audacieuse et bénéfique mais qui est aujourd’hui remise en cause par les écologistes, partisans, de leur côté, de la bicyclette et des éoliennes. Dans ce débat important, Ligne droite considère qu’il est certes nécessaire de lutter contre les gaspillages et de multiplier les mesures d’économie. Mais elle estime que c’est dans l’innovation scientifique et technique que la France et l’humanité trouveront les solutions au problème de l’énergie et non dans un retour en arrière régressif et punitif.

Le besoin en énergie va croissant

L’importance de la consommation d’énergie dans le monde représente en effet une réalité incontournable qu’il serait vain de vouloir nier. D’autant qu’elle ne cesse d’augmenter en particulier dans les pays émergents qui, très légitimement, se préoccupent plus de croissance que d’environnement. La part de la Chine dans la consommation mondiale a ainsi doublé en dix ans tandis que le volume de ses rejets polluants annule à lui seul l’ensemble des efforts environnementaux réalisés par les pays européens. Les micros solutions écologistes, comme le développement de la circulation en vélo, sont dès lors dérisoires face à l’ampleur des besoins énergétiques mondiaux. Aussi l’avenir ne passe-t-il pas principalement par la réduction de la consommation d’énergie mais par de nouveaux modes de production énergétique plus respectueux de l’environnement et peu consommateurs de ressources naturelles.

Les écologistes sont déconnectés des réalités

Pour autant il convient d’être lucide sur la nature réelle des énergies dite renouvelables. Il est en effet convenu de les opposer aux énergies fossiles dont les ressources connues ne sont pas inépuisables, mais il ne faut pas oublier que la Terre étant finie les énergies renouvelables sont elles aussi limitées. Si elles apparaissent en effet inépuisables c’est parce qu’elles sont pour l’instant utilisées de façon marginale. Mais imaginons par exemple que toute l’énergie mondiale soit produite par des capteurs solaires. Ce serait alors une part significative de la chaleur reçue par la Terre qui serait détournée de son sol avec des conséquences catastrophiques sur la température de la Terre et sur la croissance des végétaux. Il en va de même en ce qui concerne la géothermie dont l’utilisation massive abaisserait la température du noyau terrestre. Quant à l’éolien généralisé, il modifierait le régime des vents ce qui aurait une incidence non négligeable sur la vitesse de rotation de la Terre. Les tenants de ces énergies balaient l’argument en avançant le faible poids de l’activité humaine à l’échelle de la planète. Mais ce sont les mêmes qui, sans crainte de la contradiction, expliquent que c’est cette même activité qui serait à l’origine du changement climatique.
Lorsqu’il s’agit d’énergie, la rationalité s’efface en effet bien souvent devant l’idéologie et la désinformation politiquement correcte devient quasi systématique. A cet égard, la palme de la fausse solution revient à la voiture électrique. Celle-ci est en effet présentée comme propre alors que l’électricité qu’elle consomme provient essentiellement des centrales que les écologistes voudraient démanteler. Un simple déplacement du lieu de pollution auquel s’ajouteraient les graves difficultés environnementales qui seraient engendrées par les déchets des batteries.

La solution passe par la science et la technologie

En réalité les progrès réalisés en matière énergétique n’ont été possibles que par les avancées de la science et de la technologie. Et ce sont de nouvelles innovations qui apporteront les solutions aux problèmes d’aujourd’hui. D’abord, elles assureront une augmentation des rendements énergétiques, amplifiant des améliorations déjà obtenues comme par exemple la réduction significative de la consommation des véhicules à carburant. Ensuite elles rendront possible l’utilisation de sources d’énergie alternatives et abondantes comme l’hydrogène. Autant de domaines où la science européenne est en pointe. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire d’encourager massivement la recherche privée et publique dans tous les secteurs de l’énergétique. La solution passe par le progrès scientifique et technique.

La sortie du nucléaire a conduit l’Allemagne au désastre

Pour s’en convaincre il suffit d’observer a contrario l’exemple de l’Allemagne où la fermeture des centrales nucléaires décidée pour des raisons idéologiques a créé une situation qui s’avère catastrophique. Nos voisins d’outre-Rhin ont du en effet relancer les centrales à charbon avec des conséquences désastreuses sur les rejets de gaz à effet de serre. En outre cette politique a provoqué une augmentation considérable du prix de l’électricité au point qu’il représente aujourd’hui le double du prix français. Enfin les allemands ont perdu leur autonomie énergétique et sont contraints d’acheter de l’électricité à l’étranger. Avec cette politique écologiste, les Allemands ont ainsi accru leur dépendance énergétique, augmenté le coût de leur électricité et affaibli leurs positions dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Le nucléaire s’affirme comme la clef de l’avenir

Ce fiasco allemand apparaît ainsi comme une réhabilitation du nucléaire, lequel s’avère être aujourd’hui la seule ressource inépuisable à l’échelle des besoins mondiaux. Certes cette source d’énergie n’est pas exempte de problèmes environnementaux et de risques pour la sécurité des populations. Mais, c’est une fois de plus la science qui peut résoudre ces problèmes. Pour les déchets, il est envisagé à terme de concevoir des centrales qui les « bruleront ». Et pour le reste, d’autres solutions ne manqueront pas de voir le jour. Encore faut-il que l’activité des chercheurs et des ingénieurs du nucléaire ne soit pas bridée.

Vers la fusion nucléaire

A cet égard, il convient de rappeler que la grande ressource d’avenir est celle de la fusion nucléaire. Une source d’énergie encore à l’étude, mais tellement prometteuse qu’elle justifie des efforts de recherche considérables dans lesquels la France joue d’ailleurs un rôle de premier plan. Notre pays est en effet leader mondial de la recherche en la matière que ce soit sur la fusion sous laser ou par confinement magnétique. C’est en France que la communauté internationale a décidé d’implanter le centre de recherche Iter consacré à la fusion nucléaire. Certes de nombreux obstacles sont encore à surmonter mais il ne faut pas douter du succès à terme de nos scientifiques. En réussissant à maitriser cette technique, ils nous apporteront, pour des effets secondaires très faibles, une indépendance énergétique totale et des réserves quasi inépuisables.

Une telle issue consacrera la prééminence scientifique de l’Europe en tant que grande puissance.

08:30 Publié dans Ligne Droite | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ignace du jour :

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08:27 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 août 2018

Bonne nouvelle : Tommy Robinson vient d'être remis en liberté

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Après deux mois de détention pour avoir simplement divulgué un reportage sur le procès d'une bande de Pakistanais violeurs et criminels qui sévissait en Grande Bretagne, le journaliste militant patriote Tommy Robinson vient d'être enfin remis en liberté. 

Depuis son incarcération scandaleuse, un mouvement populaire sans précédent s'est développé dans tout le Royaume Uni, ainsi que dans toute l'Europe, pour exiger la libération ce nouveau héros du peuple anglais. Le gouvernement britannique a donc été obligé de céder et c'est tant mieux...

Quelles que soient les divergences que l'on peut avoir avec certaines positions géopolitiques de Tommy Robinson, nous nous réjouissons de cette libération. 

S.N.

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REPRISE DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS : JEUDI 6 SEPTEMBRE

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ÉMISSIONS "SYNTHÈSE" CLIQUEZ LÀ

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Fréjus, Nice, les actes de guerre se multiplient : silence du pouvoir…

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Manuel Gomez Riposte laïque cliquez ici

De tous côtés, on n’entend plus que ça…

Un air nouveau qui nous vient de là-bas…

Ce là-bas, chez nous, ce sont les banlieues, les zones de non-droit, qui se situent dans chaque ville de notre pays.

Que l’on ne s’attende pas qu’un jour ce nouveau « peuple » de ces banlieues, de ces quartiers, se lance à l’assaut du palais de l’Elysée, que nenni, puisque sa protection vient justement de ce président, de ce gouvernement, pas question de l’attaquer, de le renverser, bien au contraire.

Nous ne sommes plus en période révolutionnaire, ces années de 1789 à 1793 où le bon peuple de France s’était lancé à l’assaut de Versailles et avait obtenu la tête du Roi, c’est tout le contraire qui se produit, ce sont les troupes, les bandes, les groupes, les « casseurs », la racaille, qui partent à l’assaut du « bon peuple de France », sous le regard impassible de ceux qui les gouvernent, qui les autorisent, qui les « laissent-faire ».

Et qui a reçu l’ordre de s’opposer à eux ? Que je sache, personne. Ni la police, ni les gendarmes, ni les CRS, ni l’armée, non personne.

Ils encaissent, ils contiennent comme ils peuvent, ils repoussent de moins en moins, mais ils n’interpellent plus, ils n’arrêtent plus et, bien entendu, ils ne tirent plus, d’ailleurs ils n’ont jamais tiré, même quand il fallait le faire, même quand ils étaient menacés de mort, attaqués, blessés, ni même quand ils étaient brûlés vifs.

Non, ce n’est pas une révolution qui se prépare, ni même une guerre civile (comme certains la prédisent !) car, pour qu’il y ait guerre civile il est nécessaire qu’il y ait deux camps, deux adversaires, deux combattants, et aujourd’hui il n’y a qu’un seul camp, une seule armée, celle qui nous attaque en toute impunité, à la moindre occasion, préparée, organisée, dirigée… et armée !

Dans le seul département de la Gironde, pourtant réputé comme l’un des plus calmes du territoire, depuis début 2018, 98 policiers ont été victimes d’agressions, ainsi que 80 gendarmes.

Sur un simple mot d’ordre, ils se rassemblent en quelques minutes et attendent les forces de l’ordre qui sont rapidement débordées. Le terrain leur est abandonné.

Depuis deux nuits à Nice (Alpes Maritimes), quartier des Moulins, les policiers et les pompiers sont « caillassés ». Des feux de poubelles, de matelas et de véhicules, place des Amaryllis et allée Sœur-Emmanuelle, et même des « barricades » construites d’un tas d’objets divers, à l’angle de l’avenue Martin-Luther-King et du Boulevard Paul Montiel.

Des émeutes provoquées par des bandes de jeunes « racailles », les visages cagoulés, qui bombardent policiers et pompiers d’un tas de projectiles.

Cela a débuté lundi vers 2h du matin, suite à un grave accident de scooter subi par un jeune homme de 25 ans, cherchant à s’échapper et refusant d’obtempérer à un ordre de la police municipale alors qu’il circulait sur la pelouse réservée à la ligne 2 du tramway.

Grièvement blessé, après avoir percuté un arbre dans sa fuite, et évacué par les pompiers vers l’hôpital Pasteur.

A Fréjus, dans le Var, intervenant sur un appel des habitants du quartier de la gabelle, qui protestaient contre le fracas et les bruits en provenance d’un bar, les policiers se sont trouvés confrontés à une centaine d’individus et n’ont pu rétablir l’ordre que vers une heure du matin. Trois policiers ont été blessés.

Lors de ces deux graves affrontements, comme d’ailleurs dans la plupart de ceux que nous dénonçons, aucune interpellation n’a été réalisée et c’est cette démobilisation, cet abandon de l’autorité, qui nous interpelle.

Cette capitulation devant l’ennemi entraînera tôt ou tard au minimum des risques de « bavures » et au maximum ? Seul l’avenir nous le dira !

15:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du 20 au 26 août à Sées (61) : université d'été d'Académia christiana

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Samedi 8 septembre : conférence de Jacques Bompard à Lyon

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