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samedi, 22 février 2020

De qui se moque-t-on ?

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Le billet de Patrick Parment

C’est reparti pour un tour ! Le ministre de l’Intérieur allemand affirme que la menace sécuritaire liée à l’extrême droite est « très élevée » et que cette dernière constitue « le principal danger » pour la démocratie allemande. On est à deux doigts du retour d’Adolf Hitler !

D’abord de quoi s’agit-il ? Tout simplement d’un individu isolé qui a buté neufs personnes dans deux bars à chicha – vraisemblablement des immigrés car dans ces lieux on y fume le narguilé – à Hanau, une ville de 95 000 habitants proche de Francfort. Le tueur en question a été retrouvé mort chez lui au côté de sa mère également décédé. D’une personne à un complot d’extrême droite, le pas est franchi par les médias teutons. La mère Merkel monte au créneau à son tour alors qu’elle est la grande responsable de la violence qui sévit au sein de la société allemande avec sa politique laxiste en matière d’immigration et la venue d’un million d’immigrés sans jamais avoir consulté le peuple allemand. C’est proprement de l’assassinat économique et politique doublé d’un colonialisme légal mais inversé.

Il ne se passe pas un seul jour en Allemagne – mais c’est aussi vrai aux quatre coins de l’Europe -,  où des immigrés, tous extra-européens, ne commettent crimes, viols, agression diverses et variées. En réponse, on constate le silence gêné de nos politiques tous morts de trouille. Ils crient au loup mais n'agissent pas !

Donc, partout s’élève la révolte des Européens qui en ont ras-le-bol de voir leurs gouvernants baisser leur froc devant les immigrés en général et les musulmans en particulier. De ces musulmans qui privilégient le Coran  aux lois de la République. Angela Merkel est largement responsable de la montée des partis nationalistes et identitaires, notamment l’AfD. Si le nationalisme c’est la guerre, alors il n’est jamais que la conséquence logique des erreurs, du laxisme moral et des faiblesses de la République. Nos libéraux-libertaires confondent le monde tel qu’il est avec celui des bisounours dont ils rêvent.

La réalité, c’est la guerre larvée qui mine nos banlieues autour des trafics de drogue et des prêches salafistes. C’est l’extension des zones de non droit qui échappent aux lois de la République. De la Suède à l’Espagne, de l’Europe centrale à la Grèce, c’est partout le même vent de révolte, car les mêmes causes produisent les mêmes effets.  Nous n’en sommes qu’aux prémices de changements politique radicaux. Les baltringues médiatiques qui enfilent les perlent à longueur de journée n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer, car l’heure viendra de régler la facture de leur veulerie.

10:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Sortie le 1er mars prochain du n°18 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Honoré d'Estienne d'Orves et à la résistance monarchiste en 1940

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Issu d’une vieille famille de la noblesse provençale de tradition catholique et légitimiste, sensible aux idées et aux actions du catholicisme social d’Albert de Mun, descendant des généraux vendéens d’Autichamp et Suzannet et filleul du commandant Driant (le gendre du général Boulanger), le capitaine de frégate Honoré d’Estienne d’Orves peut être rattaché à la droite nationale, monarchiste, catholique et sociale.

Dans le chaos de 1940, à l’heure où « l’occupation (força) les hommes à choisir explicitement leur allégeance » (Pierre Nora), cet officier de valeur, comme bien d’autres, fit son choix. Au nom des valeurs de sa famille, de sa foi chrétienne, de l’honneur, de la patrie…, il choisit de continuer la lutte sous le drapeau français, dans les rangs gaullistes. Mais sans pour autant retirer son respect au Maréchal Philippe Pétain ni vouer aux gémonies ceux qui firent au même moment un autre choix que le sien... Ambiguïtés d’une époque…

Dans ce nouveau numéro des Cahiers d’Histoire du nationalisme, Didier Lecerf, historien de formation et militant de la cause nationale, nous invite à partir à la découverte de ce Français exemplaire, de ce patriote ardent, premier agent de la France libre fusillé par les Allemands, en août 1941. Il nous convie aussi à découvrir le milieu et l’époque qui ont contribué à sa formation intellectuelle et morale ainsi que les exemples qui l’ont inspiré.

Cahier d'Histoire du nationalisme n°18, Honoré d'Estienne d'Orves, 1940 : des monarchistes dans la Résistance, Didier Lecerf, 200 pages, 20 euros (+ 5 euros de port).

Sortie le 1er mars 2020

Commandez-le dès maintenant : cliquez ici

Bulletin de commande

09:43 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien entre Jean-Marie Le Pen et Daniel Conversano sur Vive l'Europe

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vendredi, 21 février 2020

Rappel : demain samedi, Arnaud Menu dédicacera "C'est Roger" à la Librairie française

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16:18 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Rétablir l’Harmonie ou tout casser !

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Bernard Plouvier

Curieuse fin d’hiver que celle de l’An 2020. Grand Président Macron découvre les menus inconvénients de l’implantation de l’islam en France – bien élevé comme il l’est, il n’ose parler d’invasion !

En Italie, un courageux homme politique, le seul qui ait tenté de s’opposer à l’immigration-invasion, est sous le coup d’une procédure judiciaire déclenchée par cette activité de Protecteur de la Nation italienne contre les envahisseurs indésirables et probablement indésirés... mais, chi lo sa ?

Puisqu’aussi bien, en Italie comme en France, en Belgique, aux Pays-Bas ou partout ailleurs en Europe occidentale, aucun des « Démocrates » aux apparences du pouvoir n’a demandé son avis à la Nation quant à l’utilité d’importer massivement des non-Européens, majoritairement illettrés et sans la moindre qualification professionnelle, en une période de chômage massif !

Dans l’un ou l’autre cas, le français et l’italien (et l’on n’a même pas évoqué la succession de l’Oie grasse d’Outre-Rhin qui devrait prendre sa retraite après avoir importé massivement de l’inutilisable), tout est fait pour empêcher le triomphe électoral d’un chef populiste.

On comprend bien que les vrais puissants qui tirent les ficelles de nos pantins ne tiennent pas à voir se multiplier les Trump et Poutine, mais à trop ouvertement se moquer du Bon Peuple, les financiers, négociants, esclavagistes d’Asie et manipulateurs des media risquent fort de se retrouver avec quelques révolutions bien sanglantes et très destructrices.

Depuis deux ans, les Gilets Jaunes de France se sont manifestés pour des raisons fiscales absurdes. Le seul problème français n’est nullement l’excès (réel) d’impôts et de taxes, mais la mauvaise utilisation qui en est faite. Utiliser le Bien Commun pour stimuler une immigration inutile et parasitaire est pure ignominie. Elle ne sert que les intérêts de la distribution de masse, grâce à de multiples subventions aux ZZ (les Z’honorables Z’immigrés, que pourtant nul Français n’a demandé à recevoir), qui leur permettent de consommer sans travailler.

On comprend que, terrorisé par des élections de mi-mandat, Grand Président Macron change de discours en un virage que seul jusqu’à présent dans l’histoire contemporaine un « Staline » avait osé prendre : un virage politique à 180 degrés. Voilà, d’un coup, GPM décidé à « comprendre le petit peuple de France ». Au moins, pour une fois, au lieu de faire grincer des dents, Jeunot Ier fait rire.

On sait bien que les Français sont majoritairement des « veaux » (appellation gaullienne certifiée d’origine), mais la ficelle électorale est un peu grosse. Après cette couleuvre, GPM voudra nous faire croire – pour assurer sa réélection au Palais – qu’il n’est pas le Président des riches !  

Il est temps d’arrêter les sottises. Il faut rétablir l’harmonie entre la réalité des faits et les institutions. Il est nécessaire d’en revenir à la Démocratie : Égalité de tous les citoyens devant la Loi, totale Liberté d’expression (sauf calomnie et pornographie), Referendum obligatoire sur tous les grands sujets de société – immigration extra-européenne, stricte séparation des cultes et de l’État (et non plus un financement occulte de l’islam), lutte forcenée contre la corruption politique et administrative, interdiction des sectes maçonniques qui gangrènent l’État, interdiction du financement étranger des partis politiques et des syndicats, peine de mort, avortement de complaisance, durée légale du travail (un « âge de retraite » est en soi une absurdité... qui témoigne de l’amateurisme de Macron and Co), protection de l’agriculture, de l’industrie et du commerce français et, si besoin, le droit de dire... bien des choses aux clowns de Bruxelles.

De tout cela, c’est à la Nation de décider et non aux pitres, politiciens professionnels au casier judiciaire pas toujours vierge, mais à l’expérience professionnelle nulle ou fort mince.    

Au total, il faut rendre l’État à la Nation... sinon, l’on risque une véritable explosion et non des manifestations de rues, qui peuvent paraître effrayantes à de gentils cadres dynamiques qui ne sont jamais sortis de leurs beaux quartiers, mais qui ne sont rien à côté des excès de toute Révolution.    

16:14 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Louis 75 ans retraité, chassé de sa maison par des squatteurs !

Combien de temps allons nous supporter celà ?

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14:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 février 2020

Hommage à Roger Holeindre : « Ç’était Roger » lors de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés

Le 30 janvier dernier disparaissait l’une des figures les plus marquantes, et sans doute des plus attachantes, du mouvement national, Roger Holeindre. Cette nouvelle émission "Synthèse" lui est consacrée et pour en parler, Roland Hélie et Philippe Randa ont invité Jacques Casanova, l’ami de toujours, sans doute l’un de ceux qui connaissaient le mieux Roger, Eric Vieux de Morzadec, secrétaire général du Cercle National des Combattants, et Arnaud Menu qui est l’auteur d’un livre d’entretiens intitulé "C’est Roger" publié en octobre dernier par Synthèse nationale. Vous retrouverez aussi la chronique historique du professeur Pierre de Laubier.

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Pour se procurer ce livre cliquez ici

17:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tuerie d'Hanau : un coupable et des responsables.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Ne tentons de nous réfugier ni dans l'habileté sémantique ni dans la manœuvre sémiologique. Ce serait dérisoire et vide de sens.
 
La double tuerie de Hanau est bien un acte terroriste comme en entraînent toujours les guerres de civilisation. Aux yeux des chrétiens et vieux européens que nous sommes, l'action  aveugle est toujours une voie sans issue.
 
Mais la responsabilité première de ce massacre incombe aux organisations mondialistes, aux apprentis sorciers de la finance internationale et aux dirigeants occidentaux — singulièrement aux gouvernements européens de droite comme de gauche — qui ont voulu l'immigration, encouragé le communautarisme venu d'ailleurs, imposé le "vivre ensemble" et permis l'islamisation de notre continent sans en prévoir les conséquences destructrices. 
 
"Plus jamais cela", nous répètera-t-on à l'infini et à juste raison dans les prochains jours. 
 
Non, plus jamais cela !
 
Le seul moyen d'empêcher que de tels actes se reproduisent est que les Etats prennent les mesures nécessaires pour en finir avec l'immigration de peuplement.
 
Autrement dit que les forces nationales accèdent enfin aux responsabilités du pouvoir.

17:18 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

11/09, QUELQUES ARGUMENTS DE PHYSIQUE ORDINAIRE

A l’occasion du 18ème anniversaire des attentats du 11 septembre, l’équipe d’E&R Lille accueillait le physicien français François Roby le 28 septembre 2019, pour une conférence intitulée  «11/09 : QUELQUES ARGUMENTS DE PHYSIQUE ORDINAIRE».

Découvrez aujourd’hui cette conférence en vidéo.

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17:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

François Hollande exfiltré d'une librairie

Ce jeudi 19 février 2020, François Hollande venait présenter son livre pour enfant, "Leur République", à la librairie Folies d'Encre à Montreuil. Eh non, le peuple n'en voulait clairement pas. Il n'a pas été accueilli comme il l'avait prévu. Perturbé par les manifestants dans la librairie, il a préféré se laisser exfiltrer sous les huées des manifestants.

Ce n'était pas la première fois qu'une intervention publique de François Hollande se terminait ainsi.

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16:28 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La pédophilie, le dossier qui poursuit Cohn-Bendit

Ce qui ne l’empêche pas de parader sur tous les plateaux

Cohn-Bendit ne prendra plus jamais les transports en commun: ICI

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Soros cible les pro-vie

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Andrea Morigi

La fondation de George Soros prétend avoir prouvé qu'une association pro-vie diffusait des fausses nouvelles… mais sans fournir les preuves !

Heartbeat International est une organisation qui aide publiquement les femmes en détresse à ne pas interrompre leur grossesse et permet aux enfants qu’elles portent dans leur ventre de naître. Elle leur fournit des informations sur les conséquences de l’avortement volontaire, ne cachant pas qu’il s’agit d’un meurtre et non d’un droit.

Pour OpenDemocracy, la plateforme web détenue par la Fondation Open Society de George Soros, cet engagement apparaît au contraire comme une désinformation et l’attaque car il pose soi-disant «de graves risques pour les femmes et la démocratie».

Après avoir lâché dans le monde entier des journalistes faisant semblant d’être enceintes, mais en évitant de fournir plus de détails sur les méthodes de leur enquête, OpenDemocracy rapporte certaines déclarations attribuées à des bénévoles de l’association pro-vie, faisant valoir que les services offerts par le réseau Heartbeat dans 60 pays du monde , à travers 2.700 centres et le travail de plus de 81.000 opérateurs, provoquent des alarmes et des craintes injustifiées.

Pour s’assurer que l’accusation de diffusion de fausses nouvelles n’est pas en soi une fausse nouvelle, OpenDemocracy devrait fournir des preuves, fondées sur les questions classiques du journalisme: qui, quoi, où, pourquoi ? On ne peut en trouver aucune trace dans l’enquête publiée. Il est dès lors impossible de vérifier l’exactitude des informations. Cependant, uniquement sur la base de ces informations lacunaires, certains membres du Parlement européen ont dénoncé une prétendue violation des droits de l’homme – qui aurait été commise en essayant de sauver des vies humaines.

Dans un autre cas, concernant une enquête réalisée avec des caméras cachées en 2015, David Daleiden et Sandra Merritt ont été condamnés après avoir documenté la vente de morceaux de fœtus humain par l’organisation pro-avortement Planned Parenthood en Californie. Les accusés ont certainement le droit de faire appel, mais on peut légitimement douter que, en sens contraire, les auteurs du reportage sur Heartbeat subiront les mêmes conséquences judiciaires, même s’ils ont agi de manière totalement similaire, mentant sur leur propre identité et leurs propres objectifs. Peut-on en déduire que la lutte contre l’avortement et la contraception est devenue, sinon un véritable délit, du moins une circonstance aggravante devant les tribunaux et une cause d’ostracisme politique dans les assemblées législatives ? Jusqu’à présent, la seule chose qui s’est produite est un tollé à Bruxelles et à Strasbourg de la part des députés Vera Tax, Hilde Vautmans, Sylvie Guillaume, Gwendoline Delbos-Corfield et Fred Matić, contre les activités de Heartbeat.

Il n’y a pas encore de réaction de la part des autres députés. Les politiciens pro-vie semblent avoir disparu de la scène. L’absence d’une voix claire et sonore pour la défense de la vie au sein des institutions européennes est, en effet, inquiétante et favorise une atmosphère de persécution contre ceux qui luttent pour défendre les droits des enfants à naître. Pendant ce temps, en Europe, entre 2010 et 2014, 30% des grossesses se sont terminées par un avortement. En outre, plus généralement, l’Organisation mondiale de la santé ne se soucie que de donner une chance de pratiquer un avortement « sans risque », en tant que facteur de « santé reproductive », et tient l’objection de conscience des personnels de santé et les lois restreignant l’avortement pour une atteinte à la vie des femmes. Nous sommes à deux doigts d’une accusation de meurtre contre ceux qui n’encouragent pas un crime contre l’humanité !

 
 

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GRIVEAUX ?  UN  MEMBRE  ACTIF  D’UNE MACRONIE  ÉBRANLEE !

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Le bloc notes de Jean-Claude Rolinat

Il y a dans cette affaire, indépendamment de son côté grotesque « d’adolescent attardé », un véritable scandale. Tout observateur impartial aura remarqué qu’à part une exception ou deux, le monde politico-médiatique ne s’est pas indigné des « exercices » sexuels douteux d’un ancien ministre de la république, mais de la diffusion sur le net d’images scabreuses filmées par l’intéressé lui-même ! Aucune condamnation de ce stupide comportement, non, par contre une condamnation sans faille des « réseaux sociaux », coupables d’attenter à la vie privée de ce pauvre Grivaux. Mais de qui se moque-t-on ?

Un seul coupable, le « net » !

Nul n’a songé à s’inquiéter des lubies perverses de ce petit marquis bien en cour, jusqu’à présent, de la Macronie. Ah ces bons vieux réseaux sociaux responsables de tous nos maux qui répercutent des choses, disons, confidentielles, intimes, « circulez, il n’y a rien à voir ! ». Quelle sinistre plaisanterie. Si cet individu prétentieux, plein de morgue, un ancien de l’écurie de DSK, - ceci expliquant peut-être cela ? -, n’avait pas eu l’incroyable réflexe de se photographier et d’envoyer l’image à une potentielle dulcinée, rien ne serait sorti de cette écœurante intimité. Car, convenons-en, il faut être un peu tordu pour se filmer dans une attitude d’éjaculateur matinal, non ? Nous avons tous vu sur les écrans des chaines d’info type BFM, C-News ou LCI, des dinosaures du monde politique venir quasiment excuser le Griveaux, pour s’acharner sur celles ou ceux qui ont diffusé les images, comme le « philosophe » Luc Ferry, ancien ministre aussi, ou ce Cohn Bendit que l’on ressort à la moindre occasion, sans doute le plus mal placé pour parler d’un tel sujet !

Un étrange « citoyen », ce Piotr Pavlenski

Toute honte bue, le Benjamin a porté plainte contre Piotr Pavlenski, l’anarchiste russe réfugié politique, et sa complice Alexandra Taddeo, la destinataire des images, coupables d’avoir balancé cette scène sur ces fameux réseaux sociaux. Etait-ce un coup tordu pour faire plonger Griveaux et le faire renoncer à la mairie de Paris ? Certes, les sondages n’étaient pas bons, mais point n’était besoin de « tirer sur une ambulance ». Et son ancien collègue LREM comme lui, virtuel candidat pour 2022, Joachim Son-Forget, député des Français de l’extérieur, n’a pas non plus été étranger à la diffusion de cette scène, comme il l’a reconnu lui-même, tout en se félicitant de la mise en examen du couple par qui le scandale a été révélé. On aurait voulu carboniser l’ancienne tête de liste des « marcheurs » dans la capitale, que l’on ne s’y serait pas pris autrement. Car l’affaire remonte à 2018 ! Donc, le dossier était en attente d’opportunité, au « frigo ». Voilà qui en dit long sur les mœurs de cette société faisandée. Il s’est même trouvé un président de cette « république bananière », pour insinuer  que les Russes, manipulateurs habituels parait-il, sur la toile, seraient derrière tout ça. Tout cela au moment même où Macron semblait vouloir renouer avec Poutine pour améliorer les relations entre Paris et Moscou ! Était-il utile que  notre Chef de l’État encore pour deux ans, - patience ! -, lance pareil pavé dans la mare ? Il s’est même trouvé des politicards et des journaleux pour s’étonner que Pavlenski, bénéficiaire de l’asile politique, n’ait pas été déjà expulsé, alors qu’il se trouve à la merci de Thémis, sous le coup d’une autre affaire remontant à janvier dernier. Bien plus prompts à demander l’expulsion de cet indésirable, que l’application des OQTF frappant les clandestins déboutés du droit d’asile, mais jamais exécutées !

En cette Ve agonisante, chaque jour nous  nous enfonçons un peu plus dans la décadence.

11:02 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SAMEDI PROCHAIN, 22 FÉVRIER, ARNAUD MENU DÉDICACERA SON LIVRE "C'EST ROGER" À LA LIBRAIRIE FRANÇAISE À PARIS

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PARIS VAUT MIEUX QU’UN PETIT BRANLEUR ARROGANT ET PRETENTIEUX.

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Pieter Kerstens

Toute la classe politico-médiatique s’est offusquée de l’attaque contre le candidat de la majorité, pour les élections municipales dans la Ville Lumière. Celui-ci s’est quand même personnellement mis en scène et a diffusé sa vidéo scabreuse à une gente dame, autre que son épouse, en adulte responsable.

Et tous ceux qui dans un concert unanime ont pris sa défense « au nom du respect de la vie privée » et se sont plaints d’une « montée intolérable de la violence » font preuve d’une amnésie coupable.

Car, depuis des siècles, les moyens de déstabilisation et les opérations visant à éliminer des adversaires ou des concurrents en tout genre se sont multipliés et accélérés par les progrès techniques, de la simple rumeur populaire à l’utilisation actuelle des « réseaux sociaux » qui propagent une information à la vitesse de l’éclair.

Chacun sait que le numérique, les algorithmes, l’intelligence « artificielle » et l’utilisation des cartes plastiques munies de « puces électroniques » alimentent un Internet ouvert et par conséquence manipulable par des esprits mal intentionnés.

Il est donc naïf de croire que notre vie privée resterait un « jardin secret », d’autant plus que l’informatique permet une kyrielle d’effets spéciaux, et que d’autre part, la moindre trace que vous laissez au départ de votre téléphone mobile, de votre tablette ou d’une carte de paiement pourra être exploitée par un tiers, via des fichiers qui se promènent au gré des utilisations commerciales ou dans un but inavouable par certains « services ».

D’aucun exigent une transparence généralisée et clament une « République exemplaire », mais se plaignent quand leurs turpitudes sont étalées sur la voie publique. Il serait logique et de bon ton d’être irréprochable lorsqu’on occupe une haute fonction, qu’elle soit dans le secteur privé, l’administration publique ou que l’on soit élu par la souveraineté populaire.

Car à ces postes, à toutes époques et en tous lieux, on constate que « le Pouvoir corrompt et que beaucoup de Pouvoir corrompt énormément » puisque de nombreuses « affaires » ont parsemé la vie politique en particulier, qu’elles soient d’ordres financier ou sexuel ou bien l’objet de contraintes psychologiques. Souvenons-nous de trois dossiers différents qui ont alimenté les chroniques de la Ve République Française.

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00:35 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fessenheim : le totalitarisme vert contre la Nation.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La fermeture de la centrale de Fessenheim est un gage donné par le pouvoir au totalitarisme vert. Le Premier ministre, Édouard Philippe, l'avoue : "cette fermeture est une première étape vers le rééquilibrage en faveur des énergies renouvelables".
 
Rappelons le prix énergétique de cette "transition écologique" imposée par l'idéologie dominante: une hausse constante du prix de l'électricité depuis 2013, + 1,23 % en juin 2019, + 2,4 % en février 2020, en attendant la prochaine augmentation déjà programmée. Sans parler du coût social de l'abandon de nos centrales.
 
L'énergie nucléaire est non seulement propre, non productrice de carbone, génératrice d'emplois, mais elle est aussi bon marché. Elle est enfin un atout majeur de notre indépendance nationale.

00:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 février 2020

Grande journée d'Action Française "120 ans qui nous donnent raison" Paris Samedi 29 Février

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Il y a 120 ans, l'affaire du traître Dreyfus donnait naissance à un mouvement politique dont personne n'aurait imaginé qu'il deviendrait le fer de lance du nationalisme Français et qu'il serait encore bien vivant aujourd'hui. L'Action Française a été de tous les combats pour "préserver l'héritage en l'absence de l'héritier" : elle n'a cessé de se battre pour l'intégrité nationale et contre les puissances extérieures mais aussi intérieures qui voulaient sa perte. Elle n'a cessé de dénoncer l'imposture des Droits de l'Homme et de la démocratie tout en pratiquant le compromis nationaliste. 

Jamais autant que sous nos yeux ne se sont vérifiées les analyses politiques de l'Action Française : la monarchie ou la ruine de la France ! 

Samedi 29 février nous fêterons à Paris les 120 ans de notre mouvement : les membres du comité directeur seront présents : Gérard Bedel, André Charles, Élie Hatem, Marie Gabrielle Pujo, Clément Gautier. De nombreux amis ont d'ores et déjà répondu présent : le prince Sixte Henri de Bourbon Parme, Jérôme Bourbon, Marion Sigaut, Pierre-Antoine Plaquevent, Anne Brassié, Alain Escada, Yvan Benedetti, Stéphanie Bignon et d'autres...

Réservations obligatoires avant le 25 février en cliquant ici
ou par mail contact@lactionfrancaise.fr
ou en téléphonant au 06 46 33 56 95

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Tarascon : Valérie Laupies a déposé sa liste de rassemblement des patriotes

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10:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 février 2020

A Mulhouse, Macron prononce son discours de la méthode rustine pour sauver le "vivre ensemble".

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Par un paradoxe d'apparence, c'est Mulhouse, ville emblématique de l'islamisation de la France puisqu'elle abrite la mosquée-cathédrale An-Nour gérée par des proches des Frères musulmans, que Macron, a choisi pour inaugurer sa séquence "laïciste".
 
En se contentant de déplorer les maux du "communautarisme" (terme équivoque car tous les communautarismes ne se valent évidemment pas) et du "séparatisme" (ce qui suppose une appartenance préalable), au lieu de désigner clairement les menaces que fait peser sur la France l'offensive multimodale et polymorphe menée par l'islamisme, Emmanuel Macron a tenté, dans une intervention aussi incantatoire que décalée, de dissimuler son impuissance à faire face. Il a surtout peiné à légitimer, par avance, les seules mesurettes que ce régime décomposé soit encore vaguement capable de prendre, énième "plan de lutte contre la radicalisation" dont l'annonce sera faite dans une dizaine de jours mais que  chacun connaît déjà : renforcement de la laïcité, contrôle des fonds cultuels venus de l'étranger et organisation du culte musulman. Ce n'est pas un plan de combat contre l'islamisme, tout au plus un garde-fou contre ses effets les plus criants. C'est surtout une méthode de rafistolage du "vivre ensemble".
 
Ces dispositions légales ou réglementaires, en admettant même qu'elles soient un jour réellement appliquées, relèveraient de la politique de la rustine et aboutiraient, au final, à l'institutionnalisation définitive du salafisme et des Frères musulmans. Ce n'est ni l'abstraction communautariste, ni le trompe-l'œil séparatiste — concepts totalement étrangers aux organisations concernées qui visent bien plus haut et bien plus loin — qu'il s'agit de combattre, mais la réalité opérationnelle de la main mise sur des pans entiers de notre territoire par l'islam politique mais aussi par les caïds des cités dans un partage consenti et organisé des quartiers, dans l'intérêt bien compris de chacune des parties.
 
Une phrase devra être retenue de ce déplacement. Elle sonne comme un aveu : "face au communautarisme, la République doit tenir ses promesses car, quand elle ne le fait pas, d'autres cherchent à la remplacer (...) Il faut lutter contre les discriminations". Autrement dit, pour Macron, la menace ne vient pas de ceux qui veulent imposer la charia, mais de la réaction populaire qui peut en découler.
 
Seule une politique menée par une main de fer, d'arrêt immédiat et total de l'immigration dans ses composantes légales (immigration de travail et regroupement familial) comme dans ses filières clandestines ou liées au droit d'asile, suivie d'un vaste chantier de retour systématique au pays d'origine, couplée avec la mise en œuvre d'un nouveau code de la nationalité englobant la réforme des procédures de déchéance, et d'une législation d'exception permettant la relégation avant expulsion, pourra permettre à la France de sortir de la spirale mortelle dans laquelle elle s'enfonce, année après année.
 

20:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sexe : c’est pas Griveaux qu’il fallait piéger, c’est Zemmour !

Pierre Cassen revient sur les conséquences dévastatrices de la vidéo de Griveaux, et sur les accusations graves qui pèsent sur Juan Branco, suspecté d'avoir monté l'opération. Il explique que s'ils avaient piégé Zemmour, tout irait pour le mieux, dans le meilleur des mondes !

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Juan Branco, branché ou branquignole ?

Même l'extrême gauche se fout de sa gueule.

17:09 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le poisson pourrit toujours par la tête

jgm_0240 - copie.jpgJean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici

L'écœurante, et passablement ridicule, affaire Griveaux, le montage répugnant qui l'entoure, et l'unanimité tant soit peu factice de sa condamnation, nous prouvent une fois de plus une réalité paradoxale. L'action des pires crapules et autres déchets de l'humanité peut en effet se retourner contre leurs inspirateurs.

Coup de tonnerre, mais aussi coup double, en l'occurrence au sein de la Macronie en décrépitude : d'une part, la campagne électorale parisienne après avoir perdu un mauvais candidat, gagne une tête de liste improvisée, plan-plan mais bon genre, de nature à rassurer in extremis une partie des lecteurs du Figaro.

D'autre part ce ministre de la Santé largement dépourvue de pouvoirs, porte parole de la technocratie de Bercy, laisse la place à un des véritables promoteurs du projet de réforme des retraites, dont il faisait office de rapporteur.

Faisant retour sur image et remémorant le parcours de Griveaux, le Point ce 17 février parle d'une "malédiction des strauss-kahniniens" (cliquez ici). Griveaux, les « Mormons » qui ont organisé la conquête de Macron, Cahuzac, Le Guen… Quel proche de DSK, demande l'hebdomadaire,n'a pas été frappé du sceau de l'arrogance ?"

Et de remonter à 2006, année où Dominique Strauss-Kahn, ancien ministre socialiste, avant de se trouver propulsé en 2007 par la grâce de Sarkozy à la tête du Fonds monétaire international, s'oriente vers une candidature à l'élection présidentielle cuvée 2007.

Autour de cet ambitieux se regroupent de petits arrivistes. Frais émoulus de Sciences Po et de HEC, ils s'appellent Stanislas Guerini, Cédric O, Ismaël Emelien et Benjamin Griveaux, mains qui composeront la future Macronie.

Mais au-delà de Strauss-Kahn, au-delà de Macron, nous pouvons observer aujourd'hui à quel point ce sont les institutions de la cinquième république qui n'ont cessé de décliner.

Cela vient de loin. Et comme le poisson pourrit par la tête, le processus a commencé très tôt, par la démonétisation du personnage central.

Dès qu'en décembre 1965, il fut mis en ballottage, le rapport du fondateur, De Gaulle lui-même, à l'exercice de son propre pouvoir a changé de nature et de sens.

Lui-même mit fin, lors d'une entrevue avec le comte de Paris en janvier 1966, à un rêve monarchiste secret, aujourd'hui oublié, mais rêve caressé par les maurrassiens, rêve qui avait été encouragé par le général et imaginé par le prétendant depuis une entrevue, et un accord formel des deux hommes, remontant à 1954. Si l'un des deux principaux rédacteurs de la constitution René Capitant, républicain sincère, n'en avait jamais abordé l'hypothèse, son associé Michel Debré, au contraire, avait cultivé l'ambiguïté, en sa qualité de Maire d'Amboise dont le château appartenait encore, très bourgeoisement, à la famille d'Orléans. Premier ministre de 1959 à 1962 il jouait, tel un rôle de comédie, royaliste côté cour, jacobin côté jardin.

La réforme de l'article 7 fut validée par référendum en 1962. La procédure contredisait l'esprit et la lettre du texte fondamental de 1958. Elle fut dénoncée comme forfaiture par l'opposition, mais entérinée par un conseil constitutionnel alors docile. Or, ceci transforma un adoubement et un hommage par les notables en un scrutin plébiscitaire. Aux représentants supposés de la France réelle on avait substitué le concept abstrait du peuple dans ses profondeurs.

De moins en moins depuis lors, le chef de l'État n'a conservé la hauteur d'un arbitre, encore moins la prestance d'un conducteur de peuple.

Il est temps de réfléchir, et urgent d'agir, aux voies du rétablissement de la dignité de la nation.

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10:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 février 2020

Mercredi 19 février : l'émission Synthèse sur Radio Libertés (télévisée) en hommage à Roger Holeindre

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Les précédentes émissions cliquez ici

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Le livre "C'est Roger..." cliquez là

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22:48 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Elections, piège a c…

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Par Jarente de Sénac

L’affaire Griveaux, sur laquelle tout le Landerneau politique s’apitoie est l’expression d’un rien. Y-a-t-il quelque chose de plus que rien ? interrogeait le grand philosophe allemand Martin Heidegger. Oui, il y a Griveaux qui est moins que rien. C’est l’ectoplasme Serge July qui a finalement bien résumé la situation : « Griveaux est un con ». Pour la bonne raison que quand on est un homme politique ambitieux, et à l’heure des réseaux sociaux, on ne s’adonne pas à ce genre de plaisanterie, quand bien même est-on très fier d’exhiber un sexe érectile afin d’appâter une dame.

Paris n’est pas orphelin pour autant puisque les responsables de la République en marche ont désigné Agnès Buzyn qui avait déjà refusé toute investiture. Et pour cause, la dame n’a jamais affronté un quelconque suffrage. On se demande bien ce qui l’a poussé à accepter le job. A un mois de l’échéance, elle court au bide total avec une macronie qui prend l’eau de toute part. Cédric Villani fait la gueule, car nolens volens, elle va lui piquer des voix.

On semble donc bien d’acheminer vers un duel Rachida Dati/Anne Hidalgo. Qui l’eut cru ? Certainement pas cet hurluberlu de Philippe Goujon.

Mais, il n’y a pas qu’à Paris que c’est la confusion la plus totale. En province on assiste aussi à des alliances de la carpe et du lapin. Les étiquettes valsent. En fait, la plupart des candidats nouent des alliances en vue de figurer sur la possible liste gagnante. C’est particulièrement vrai à droite où centristes de toujours et gaullistes antédiluviens quand ce n’est pas le Modem, passent des accords faisant fi des consignes de leurs états-majors. Quant à l’Union des droites souhaitée par Robert Ménard, elle reste pour l’instant marginale.

A gauche, seuls les Insoumis font chambre à part. Les autres tentent de s’acoquiner avec les Verts qui ont le vent en poupe mais qui, surtout, recueillent tous les déçus du socialisme. Enfin, nul ne sait comment vont voter, s’ils votent, ces Gilets jaunes qui transcendent à eux seuls tous les partis et qui sont le reflet de cette France fracturée. Une chose semble certaine, ces élections seront plus le reflet d’une « municipalité » que d’un test national. Si ce n’est de confirmer la volatilité des partis.

Ces élections, vont-elles nous révéler une nouvelle géographie politique ? Une chose est sûre (enfin presque), ces élections n’anticiperont en rien la prochaine présidentielle. Et dans le désert actuel, si l’on s’en tient à ce que nous disent les sondages, on file droit vers un duel Macron/Le Pen. Or, comme le dit très justement Natacha Polony, la patronne du seul hebdomadaire lisible de la place de Paris, Marianne, de Marine Le Pen, les Français n’en veulent pas.

10:15 Publié dans Jarente de Senac | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'oeil et les crayons d'Ignace

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Avis aux collectionneurs : Il nous reste quelques exemplaires du livre de dessins d'Ignace Apocalypse Flamby sorti en 2017.

Vous pouvez en acheter en cliquant ici

09:54 Publié dans IGNACE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’autre droite polonaise

Confédération-Pol-174x174.jpgGeorges Feltin-Tracol

Quatre faits majeurs ont marqué les élections générales du 13 octobre dernier. La majorité gouvernementale constituée autour du PiS (Droit et Justice) de Jaroslaw Kaczynski est reconduite, ce qui est en soi un événement majeur depuis la fin du régime communiste en 1990.

Si le PiS et ses alliés remportent la majorité absolue des sièges à la Diète, cette entente ne dispose que de 48 sièges sur cent au Sénat désormais présidé par un opposant de centre-droit. Disparue à l’occasion des élections précédentes, l’Alliance de la gauche démocratique retrouve une représentation parlementaire de 49 sièges. Animée par les agrariens du Parti paysan qui sert souvent de force d’appoint aux gouvernements de droite comme de gauche, la Coalition polonaise (30 députés) réunit les centristes de l’Union des démocrates européens, les libéraux-sociaux du Parti démocratique, les régionalistes de Silésie ensemble et les anciens populistes de Kukiz’15 désormais ralliés à la démocratie directe, au conservatisme libéral et à l’intégration européenne.

Mais la surprise provient de la Confédération, véritable cauchemar de Kaczynski qui n’a pas empêché l’émergence sur sa droite d’un pôle authentiquement radical. Lancée le 6 décembre 2018, la Confédération Liberté et Indépendance avait récolté aux élections européennes de mai dernier 621 188 voix et 4,55 %. Aux législatives, ce cartel obtient 1 256 953 voix, soit 6,81 % et onze députés. Grâce à un usage massif et réfléchi des réseaux sociaux, il devient la troisième force politique chez les moins de trente ans. Pour le Sénat, en raison du mode de scrutin majoritaire uninominal à un tour, elle ne rassemble que 144 124 bulletins (0,79 %).

La Confédération Liberté et Indépendance soutient la sortie de la Pologne de l’Union européenne. Cet ensemble souverainiste s’oppose aussi à l’avortement, au féminisme et à la vague LGBTXYZ. Plutôt climatosceptique, il préconise l’emploi simultané du charbon et des énergie renouvelables. C’est enfin une alliance électorale de sept mouvements, trois majeurs et quatre mineurs. Parmi ces derniers, mentionnons l’Association nationale STOP NOP pour la connaissance de la vaccination qui rejette les campagnes de vaccination obligatoire, les protestataires anti-bureaucratiques relativement « poujadistes » du Parti des chauffeurs qui exige un code de la route moins répressif et des infrastructures routières plus sûres, l’Union des familles chrétiennes qui défend la vie et le catholicisme traditionnel, et, rassemblant d’anciens activistes de la Ligue des familles polonaises et de Samoobrona, la Ligue nationale, un temps proche du PiS, dont le discours se réfère à la doctrine sociale de l’Église et au solidarisme de troisième voie.

Examinons maintenant ses principaux piliers. Avec un élu, la Confédération de la Couronne polonaise dédiée à Dieu et à la Vierge Marie, est une formation monarchiste sans prétendant, car le royaume de Pologne fut jusqu’en 1772 une monarchie élective. Avec cinq députés chacun, le mouvement KORWIN et le Mouvement national en sont les deux moteurs. KORWIN est l’acronyme polonais de Coalition pour la restauration de la liberté et de l’espoir de la République, clin d’œil évident à son président-fondateur, l’ancien député européen loufoque Janusz Korwin-Mikke de sensibilité libertarienne minarchiste (un État réduit à ses seules prérogatives régaliennes). Lointain héritier du Parti national-démocrate du penseur nationaliste Roman Dmowski (1864 – 1939), le Mouvement national lutte pour une Pologne subsidiariste et ethniquement homogène.

La Confédération Liberté et Indépendance s’oppose avec force à la politique étrangère catastrophique, atlantiste et pro-occidentale, du PiS. Sur les traces du pro-russe Roman Dmowski, elle a proposé à la Russie de partager l’Ukraine : l’Est dont le Donbass reviendrait à Moscou, l’Ouest, y compris la Galicie, à la Pologne. Elle reprend à son compte la vision géopolitique du grand rival de Dmowski, le maréchal Pilsudski. Elle se justifie par le fait que la Pologne accueille déjà des centaines de milliers d’immigrants d’origine ukrainienne. Si pour certains, l’ukrainien ne serait qu’une variante dialectale du russe, la Confédération estime qu’il s’agit d’une variante paysanne du polonais. Aucun ne s’est demandé si l’ukrainien ne serait pas plutôt la langue-mère du polonais, du russe et du bélarussien…

Si la Confédération Liberté et Indépendance ne sombre pas dans de vaines querelles de personnes, elle pourra à terme vraiment représenter une alternative crédible à Jaroslaw Kaczynski. Encore faudrait-il qu’elle délaisse une bonne fois pour toute l’impression persistante d’amateurisme politique.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°159, mise en ligne sur TVLibertés, le 10 février 2020.

09:12 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 16 février 2020

Les illusions de Trump sur l’état réel de l’économie américaine

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Marc Rousset

Lors de son discours du 4 février sur l’état de l’Union au Congrès, Donald Trump aurait mieux fait d’être un peu moins sûr de lui et triomphant, d’en rabattre un peu sur « tout ce qu’[il a] créé », sur « les réussites les plus palpitantes à venir devant nous », sur l’état réel de l’économie américaine, qui est en fait portée par une croissance malsaine et artificielle.

Trump n’est pas à l’abri d’un retour de boomerang en pleine figure, d’un krach soudain à Wall Street, même s’il va tout faire dans les mois qui viennent, bien évidemment, pour ouvrir encore plus les vannes de la Fed, poursuivre sa politique de fuite en avant des dépenses publiques afin de passer au moins le cap des élections présidentielles en novembre 2020.

Suite au laxisme sans fin du « QE », aux diminutions d’impôts, aux diminutions des taux d’intérêt, l’économie américaine est en train de battre un record établi en 1857, soit 127 mois ininterrompus de croissance éternelle pour « God Save America » ! Le NBER (National Bureau of Economic Research) a pourtant calculé que, depuis 1945, les récessions et les périodes d’expansion n’ont duré respectivement que 11 mois et 58 mois. Wall Street vit donc une période d’euphorie qui rappelle les années 1920 avec, à la clé, le krach de 1929 et certains spéculateurs qui ont mis fin à leurs jours. L’ère triomphante du numérique, des GAFA et de Goldman Sachs a seulement remplacé l’ère triomphante du moteur à explosion, de Ford, de General Motors et de Rockefeller.

Jusqu’à présent, les causes des crises dans des économies occidentales gérées d’une façon rationnelle ont toujours été la hausse des taux d’intérêt ou une élévation subite du prix du pétrole. Mais, suite à la politique nouvelle des banques centrales, l’augmentation des taux d’intérêt à court terme est provisoirement écartée, tout comme l’augmentation des taux à long terme, suite aux rachats anormaux par ces dernières d’obligations sur le marché secondaire. Les banques centrales ne font que reporter la date des explosions à venir, ce qui, suite à une perte subite de confiance, ne pourra pas durer éternellement.

Continuer à imprimer des billets de banque et acheter des actions, voilà la nouvelle formule magique pour l’Occident en matière économique, les banques centrales étant là pour garantir que les arbres montent jusqu’au ciel ! Si les crédits et l’endettement provoquent, en Occident, la faible croissance artificielle d’un maximum de 2% depuis 2007, les revenus de la récession à venir devront rembourser les crédits et les dettes d’hier. Les bénéfices des entreprises doivent beaucoup plus à l’endettement accru, à l’effet de levier hyper-élevé en raison des taux d’intérêt ridicules, au rachat d’actions pour augmenter le bénéfice par action, qu’à la croissance des marchés.

Les courbes des valeurs des Bourses divergent de celles des taux de croissance de l’économie réelle. Si Trump n’avait pas provoqué un déficit public annuel énorme de 1.000 milliards de dollars aux États-Unis, l’Amérique serait déjà en récession ! L’économie américaine démarrera la prochaine récession avec un déficit public annuel qui sera, alors, de 2.000 milliards de dollars, une dette de 24.000 milliards de dollars et un sous-financement des retraites de 6.000 milliards de dollars.

Et si Trump regardait autour de lui, il devrait réaliser que ce n’est pas brillant non plus en Europe et dans le monde. L’industrie allemande souffre et certains redoutent une récession en Allemagne, tandis qu’en zone euro, la production industrielle a affiché une baisse prononcée de 4,1% en 2019. L’économie italienne, maillon faible de la zone euro, est à l’arrêt, avec une croissance de 0,2% en 2019 et une prévision de 0,3% en 2020.

Quant à la France, l’endettement des grandes entreprises explose. La dette des entreprises a augmenté de 27% depuis 2009 et, pour la Banque de France, il y aurait 187 milliards d’euros de crédits d’entreprise dits à risque dans l’économie française. On assiste, en fait, à une japonisation de l’économie française avec l’accélération de la dette publique (100,4% du PIB), mais aussi de celle des ménages et des entreprises, favorisée par les taux négatifs et le déversement des liquidités par la BCE. L’hyperendettement est le seul virus qui continue de menacer l’économie mondiale.

15:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 15 février 2020

LUNDI 24 FÉVRIER, À PARIS : DINER DÉBAT SUR LA TURQUIE AVEC JEAN-GILLES MALLIARAKIS ET GABRIELE ADINOLFI

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16:39 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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Benjamin Griveaux jette l’éponge à Paris : La République en marche s’ébranle…

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

C’est le gag matinal de ce vendredi 14 février. Benjamin Griveaux est l’invité d’Alba Ventura sur RTL. Et Yves Calvi d’annoncer que l’entretien a été annulé au dernier moment pour raison de « vidéo à caractère sexuel » impliquant l’ancien porte-parole du gouvernement et prétendant à la mairie de Paris.

Enquête faite dans les heures qui suivent, la vidéo existe bel et bien. Elle est très explicite. Mais, comment dire… Manifestement filmée sur téléphone portable, le principal incriminé, fort d’un réveil triomphant, s’y livre à un assez joli exercice de tirlipompon sur le chihuahua. Un polissage de chinois ; en plein coronavirus, ça tombe à pic. Un cinq contre un, si vous préférez. On n’y voit, certes, pas son visage, mais l’essentiel y est, dira-t-on.

D’ailleurs, son visage, on le voit en vignette, à gauche du cadre permettant de commenter l’action en direct. « Moi, ce matin au réveil, l’enfer… » Puis : « Tu me repasses ta vidéo d’hier, quelle poitrine ! » Et de conclure, toujours dans le registre de la carte de Tendre : « J’ai tellement envie… » Après tout, pourquoi pas ? De telles pratiques adolescentes sont le signe d’une indéniable jeunesse. Le problème est que ces petits mots doux ne sont pas adressés à son épouse mais à une tierce dame. Le jour de la Saint-Valentin, cet homme ne manque ni de tact et encore moins d’à-propos.

Bien sûr, le premier réflexe consiste à dire qu’il s’agit d’un fake ou d’un « complot », sûrement ourdi par le cabinet noir de l’hôtel de ville, à Paris. Mais si tel était le cas, pourquoi Benjamin Griveaux aurait-il jeté l’éponge – ou le Kleenex™ – quelques heures plus tard ? Là, l’exercice est déjà plus digne : « Je ne souhaite pas nous exposer davantage, ma famille et moi, quand tous les coups sont désormais permis, cela va trop loin. C’est pourquoi j’ai décidé de retirer ma candidature à l’élection municipale parisienne. Cette décision me coûte, mais mes priorités sont claires, c’est d’abord ma famille. » Il est seulement à craindre que le repas familial de ce soir ne se présente pas sous les meilleurs augures.

Entre-temps, la vérité finit par sortir nue du caleçon. Qui a balancé ? Même pas un concurrent, mais un artiste russe un peu fou (pléonasme) : Piotr Pavlenski, déjà condamné en Russie par Poutine et en France par Macron, pour avoir incendié une succursale parisienne de la Banque de France.

Le jeudi 13 février, il aurait expliqué au quotidien Libération pourquoi il allait rendre cette vidéo publique : « Benjamin Griveaux est quelqu’un qui s’appuie en permanence sur les valeurs familiales, qui dit qu’il veut être le maire des familles et cite toujours en exemple sa femme et ses enfants. Mais il fait tout le contraire. Ça ne me dérange pas que les gens aient la sexualité qu’ils veulent, ils peuvent même baiser des animaux, pas de problème, mais ils doivent être honnêtes. » Que l’ami Piotr soit rassuré, aucun animal ne semble avoir été maltraité durant le tournage de la vidéo en question.

À l’Élysée, on imagine que les cellules de crise sont en plein branle-bas de combat, sachant que tout cela fait malgré tout un peu tache. Bref, à un mois des élections municipales, comment dénicher un autre candidat plausible, capable de jouer collectif au lieu de s’amuser tout seul dans son coin ?

Pour le moment, les candidats ne se bousculent pas. Quelle ingratitude vis-à-vis d’un Emmanuel Macron censé emmener ses jeunes pousses loin des rives du vieux monde. Ainsi va la vie. O tempora, o mores. Onanisme. Sacré Benjamin Grivois !

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