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mercredi, 21 décembre 2022

LCI ? UNE CHAINE DE TÉLÉ À LA BOTTE DE KIEV, DE L’OTAN ET DES « YANKEES ». MON DIEU, EST-CE POSSIBLE ?

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Sans nuance aucune, matin, midi et soir,  les « journalistes » de LCi et leurs invités - généraux en retraite et blondes ukrainiennes - ces dernières les fesses bien au chaud , prêtes à se battre  jusqu’au dernier ukrainien vivant - se relaient sur le petit écran. Cette télé déverse sa « propagandanstaffel » en faveur exclusivement de l’Ukraine, jusqu’à plus soif ! Pas la moindre nuance ou tentative d’explication de la genèse des événements. Un sens unique absolu. Les spécialistes militaires défilent les uns après les autres – la plupart, compte- tenu de leur âge n’ayant pas combattu -  et déversent leur « science » du docte ton des « sachants ».

Un unique coupable  idéal

Le méchant Monsieur Poutine a tous les torts, et le bon Monsieur Zelensky est même qualifié de « Churchill ukrainien » ! On aura tout de même entendu de grosses bêtises, du genre de celle du bombardement de la plus grande centrale nucléaire d’Europe  par les Russes, alors que ce sont ces mêmes Russes qui occupent Zaporijjia ! Ou encore, focus sur ce missile tombé en Pologne ayant entrainé, hélas, le décès de deux agriculteurs. Pour s’apercevoir, finalement, qu’il s’agissait de débris de missiles anti-missiles tirés par la défense anti-aérienne ukrainienne, retombés du mauvais côté de la frontière. Pourtant, contrairement à Varsovie, ce « bon Monsieur Zelensky » accusait sciemment les Russes de l’avoir tiré. Ce Zelensky -  pas très net au demeurant question corruption -  ne rechignerait pas, semble-t-il, devant  une « bonne petite troisième guerre mondiale », pourvu que ça profite à l’Ukraine ! Et le secrétaire-général de l’OTAN, le norvégien Jans Stoltenberg, n’est pas le dernier à remettre de l’huile sur le feu, avec ses déclarations irresponsables. Les Américains ne contrôleraient plus leurs marionnettes ?

Garder son sang-froid

Il faut raison garder : ce conflit, éminemment regrettable, certes condamnable, a des sources multiples. Moscou n’est pas le seul coupable. L’Occident n’a pas respecté ses engagements de 1991 lors de la dissolution de l’URSS. Alors que le Pacte de Varsovie était heureusement dissout, il n’en pas été de même, symétriquement, de l’Alliance Atlantique. C’était pourtant l’occasion d’enterrer définitivement la hache de guerre avec Moscou, au lieu de profiter de la faiblesse de ses dirigeants d’alors. Pire, plein de pays de l’Est sont venus se blottir dans le giron américano-allemand, au sein de l’OTAN. Depuis 2014, des conseillers militaires anglo-saxons sont  en Ukraine pour  entrainer  et instruire l’armée ukrainienne, plaçant de fait cette dernière sous la coupe « NATO » .Le tout, bien sûr, sous les yeux du Kremlin qui a vu… « rouge » !

Zelensky : du « showbiz » à la présidence. C’était bon pour nous, ça ?

L’élection du « klown » Zelensky a accéléré les craintes de Moscou : suppression du russe comme deuxième langue nationale, et non-respect des accords de Minsk I et II qui prévoyaient un cessez-le-feu au Donbass avec une consultation des populations, et une « substantielle autonomie pour les oblats de Lougansk et Donetsk dans le cadre d’une Ukraine fédéralisée. Sans oublier  le rétablissement de la langue russe en Ukraine. Il n’en a rien été. Si cela avait été respecté, la Crimée serait toujours ukrainienne, avec Sébastopol, sa base russe.

L’aveu

« Cerise sur le gâteau » si je puis dire, madame Angéla Merkel - ci-devant chancelière d’Allemagne - a reconnu que ces accords devaient simplement permettre à l’Ukraine de gagner du temps afin d’être prête à toute éventualité ! Face au refus, à l’évitement ukrainien depuis 2014, que devait, que pouvait faire le « camarade » Poutine ? Un grand coup diplomatique ? Peut-être. C’eût été préférable à la « casse » méthodiquement et tragiquement organisée par l’armée russe. Bien préférable  à ce drame humain qui nous étreint, nous européen, où des citoyens d’une même civilisation tuent leurs frères , des blancs, une denrée trop rare par les temps démographiques qui courent !

Prière à LCi

Alors, de grâce, vous les (dés)informateurs » de LCi et d’ailleurs, cessez ce tropisme « kievien », prenez de la hauteur, pesez et repesez vos arguments, jaugez vos infos. Nuancez…relativisez ! À moins que vos maîtres, dispensateurs de la manne publicitaire, ne vous en empêchent ? Alors, dans ce cas, où serait votre déontologie de journaliste ? Pourtant, apparemment, vous êtes des professionnels de qualité. Faites-vous la différence entre « propagande » et « information » ? Pour l’instant, qu’il me soit  permis d’en douter. Mais, ne désespérons pas, c’est bien connu, l’espoir fait vivre !

20:59 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

France-Algérie, Macron et Darmanin baissent la garde

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Ancien ambassadeur à Alger, Xavier Driencourt, l’a été à deux reprises, entre 2008 et 2012 et de 2017 à 2020. Il est donc bien placé pour commenter les récentes décisions prises non seulement par Emmanuel Macron mais encore du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin et celui des Affaires étrangères, Catherine Colonna qui ont levé le pied sur la délivrance des visas entre les pays du Maghreb et la France. La porte à une immigration non justifiée de nouveau ouverte mais surtout sans contre-partie. Xavier Driencourt a retracé son expérience dans un livre, L’enigme algérienne. Chronique d’une ambassade à Alger (Ed. de l’Observatoire, mars 2022).

Lire la suite ICI `

Source : Le Figaro 21/12/2022

14:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Callac : la guérison miraculeuse de Laure-Line Inderbitzin, elle reprend son travail !

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Martine Chapouton

 Ce conseil municipal du lundi 5 décembre 2022 aura eu un avantage : faire redescendre sur terre l’âme damnée du maire à migrants de Callac, Laure Line Inderbitzin. Il faut dire que l’affaire devenait compliquée pour elle. Au départ, elle s’était faite connaître pour son engagement pour que des migrants arrivent, par centaines, dans son bourg. On pouvait la prendre pour une personne ayant le cœur sur la main. Sensible au malheur des gens, surtout s’ils étaient originaires d’un pays situé de l’autre côté de la Méditerranée. Pensez donc, l y a tant de malheur là-bas. Les choses ont commencé à se dégrader lorsque les gens ont vu, qu’aider les migrants, ça lui plaisait, mais aider les jeunes, les personnes âgées ou dans le besoin, à Callac son propre bourg, là c’était beaucoup moins sa tasse de thé.

 Dimanche un homme, français, de 47 ans est mort de froid à Nantes. Abandonné, tout seul dans une cabane par une nuit glaciale. Cela non plus n’intéresse pas Laure-Line. A Ploërmel, un couple vit dans une caravane avec 4 enfants, sur un terrain déclaré insalubre, parce qu’ils ne sont pas prioritaires pour obtenir un logement social, alors qu’ils ont payé toute leur vie jusqu’à ce jour des cotisations sociales. Ceux qui sont prioritaires ce sont des immigrés arrivants de l’autre bout du monde sans avoir jamais payé un euro de cotisation sociale. Cette famille de Ploërmel, ça n’intéresse toujours pas Laure-Line. A Callac, il y a des gens pauvres. Ce n’est pas le problème de Laure-Line. Et il y a tous les SDF français qui sont à la rue, ça n’intéresse pas non plus Laure-Line.c Le malheur ou les difficultés des habitants de son bourg ou de sa région, c’est inintéressant pour Dame Laure-Line. Sa compassion et sa volonté d’aider les autres est très sélective. C’est réservé à l’Afrique.

 Les habitants de Callac ont ensuite découvert que non seulement elle était très rétive à aider ses concitoyens, mais qu’en plus elle traitait de « fascistes » ceux qui lui reprochaient ce choix. Imaginez, il y a même eu des gens d’« extrême-droite », des « fascistes », des « salauds » en un mot pour venir le dire en manifestation les 17 septembre et 05 novembre devant la mairie. Imaginez la honte … ces manifestants ont osé réclamer qu’on vienne en aide d’abord aux français.

Quel scandale !

 Devant ce spectacle honteux, les petits nerfs de Laure-Line ont lâché. Après avoir bien chauffé les deux contre-manifestations des 17 septembre et 05 novembre, elle a « lâché les chiens » contre ces manifestants insupportables qui étaient devant la Mairie. A ces deux dates, ses nervis antifas ont tenté d’agresser la manifestation des « fascistes ». En vain. Les forces de l’ordre ont fait le nécessaire pour que leur violence ne puisse s’exercer contre les manifestants qui osent dire : « les français d’abord ! ». Tout cela s’est répandu dans le bourg et dans la presse, également sur internet. La pauvre Laure-Line est apparue aux yeux de tous pour ce qu’elle était : une personne indifférente au sort de ses concitoyens mais très préoccupée du sort de ceux qui vivent à l’autre bout du monde. Mais elle est sensible notre Laure-Line. Elle a craqué. Donc arrêt maladie, qui sera reconduit.

 Ce sont les parents de ses élèves qui étaient contents.Dans la série « les mauvais coups contre les habitants de Callac » elle en a ajouté un autre : abandon de ses élèves en rase campagne, si l’on ose dire.  Plus de cours pour eux. Madame est « malade ». Certains diront peut-être que c’est un mal pour un bien. Vu ce qu’elle doit leur mettre dans la tête avec son enseignement basé sur ses conceptions, cela leur a fait quelques jours sans bourrage de crâne « progressiste ». Mais, pour l’essentiel ils étaient fort mécontents.

 Là où ils ont été franchement en colère c’est lorsqu’ils ont appris que l’arrêt maladie était reconduit mais qu’ils ont découvert Laure-Line chantant le soir dans un bar (reportage passé sur TF1) et lorsqu’ils ont appris que Laure-Line était trop malade pour faire cours, mais pas assez malade pour participer aux travaux du conseil municipal le 5 décembre. Là, les gens étaient franchement énervés d’apprendre cela. Un citoyen lui a d’ailleurs demandé ce qu’elle faisait au conseil municipal le 5 décembre alors qu’elle est en congés maladie. Le conseil a bien essayé de faire taire ce citoyen, mais le bougre a refusé et a dit son fait bien en face à l’intéressée. Laure-Line était blême et s’enfonçait dans son siège au fur et à mesure que ce citoyen parlait.Laure-Line se croyait tout permis. Elle se pensait au dessus des Lois.Elle semble avoir subitement retrouvé le contact avec la terre.

 Le lendemain, elle était à son poste de travail. Est-ce par peur d’être poursuivie par la Sécurité Sociale (ce qui serait bien mérité) ? Est-ce parce qu’elle a compris qu’elle dépassait les bornes et qu’elle se devait de retrouver un comportement de citoyenne « normale », d’autant que quand on est une élue on se doit d’être exemplaire ? On ne le saura sans doute jamais …

Par contre cette évolution de Laure-Line nous amène à poser une question. Aura-t-elle été jusqu’à comprendre qu’il faut d’abord aider ses concitoyens alors qu’il y a déjà tant de malheurs et de détresse autour de nous ? Là, je n’y mettrais pas ma main au feu. Mais peut-être vais-je être surprise par l’ampleur de sa remise en cause ? Un accident est vite arrivé … En tout ce qui est sûr c’est que si elle se représente à une élection à Callac, elle risque d’avoir une désagréable surprise au moment du dépouillement.

Pauvre Laure-Line !

Source : site Riposte laïque

11:06 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 décembre 2022

Folie russophobe : l’excellente journaliste Anne-Laure Bonnel bannie des médias mainstream

Anne-Laure Bonnel paye pour son indépendance d’esprit. Le 12 septembre 2022, elle était reçue chez Putsch.

« Je ne suis pas là pour prendre le parti des Russes. Je ne suis pas anti-Ukraine ou pro-Russe ou anti-Zelensky. Je suis simplement là pour rééquilibrer ce débat parce qu’il est en train de nous mener dans une boucherie, une boucherie terrible » (Anne-Laure sur TPMP).

Le système médiatique ne lui pardonnera pas cette absence de parti pris, injustement pris pour de la russophilie, ou de l’ukrainophobie : son contrat à la Sorbonne n’a pas été renouvelé à cette occasion.

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Source et suite sur E&R

23:05 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Viviane Lambert, RIP

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Viviane Lambert, la mère de Vincent Lambert, est décédée. Elle était hospitalisée depuis quelques semaines.

Un an après la mort de son fils, elle témoignait :

On est profondément marqués. Moi, je suis en dépression et vous savez, notre santé est tombée bien bas. Je ne me tairai pas, je dirai les choses jusqu’au bout, jusqu’à mon dernier souffle s’il le faut. Ça a été fait dans de très, très, très mauvaises conditions. On a vu notre fils agoniser pendant ces nombreux jours, on l’a vu râler, on l’a vu suffoquer et ça, c’est abominable. J’en rêve toutes les nuits. Ça s’est un peu apaisé la nuit, mais c’est traumatisant. En plus, on a eu des obsèques en trois jours. Vincent est décédé le 11, il a été inhumé le 13 ! On n’a même pas pu assister à sa mise en bière, et ça, c’est insupportable. C’est injuste. On nous a toujours menti, on nous a méprisés même. Donc non, on ne peut pas aller bien. Que voulez-vous ? Moi, je n’arrive pas à rentrer dans mon deuil.

Vous ne parvenez pas à accepter l’arrêt des soins ?

Non, non, non ! On a supprimé mon fils, on l’a supprimé ! Il n’était pas en fin de vie ! Il n’était pas en mort cérébrale, mon fils ! Non, jamais, j'accepterai qu’on ait tué mon enfant. Vincent n’était pas en fin de vie. Pourquoi eux prennent la décision de le supprimer ? Même s’il n’y avait pas d’amélioration, on ne jette pas les gens comme un Mouchoir de papier ! Comment se permettent-ils de prendre la décision à sa place ? Vincent était infirmier, il aurait pu laisser des directives anticipées. Il le savait. Jamais, jamais.

La mort de Vincent vous apporte-t-elle cependant un peu d’apaisement ?

Aujourd’hui, je me dis qu’il est parti dans un meilleur monde. J’ai la foi, je n’ai pas honte de le dire. On nous a assez critiqué parce qu’on avait la foi. On nous a traité d’intégristes, mais voyez, j’ai l’espérance. […]

Moi, je suis prête à pardonner, mais pour pardonner, il faut qu’on nous demande pardon aussi. Mais je suis prête, ma porte est ouverte. Moi, je n’ai jamais coupé le fil. Je suis leur maman. Je les aime. Je souhaiterais bien, avant mon dernier voyage, les embrasser tous et être comme avant avec eux.

Source : Le Salon Beige

17:33 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Clémentine Torquemada et ses « ex » !

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La chronique de Philippe Randa

Il y a tout de même des moments où l’on peut à l’évidence se prendre de compassion pour des gens dont on ne partage guère de valeurs ; voire même que l’on peut avoir combattu – politiquement s’entend – et toujours combattre… La passion politique, comme la valeur des âmes bien nées, ne craignant point le nombre des années pour cent fois sur la place publique combattre hier le dinosaure communiste, aujourd’hui ses héritiers.

Ainsi de Clémentine Autain, toute chamboulée à propos de la nouvelle direction de son parti La France Insoumise : « Nous avons un problème de démocratie dans la vie du mouvement », se plaint-elle.

Qui l’eût cru ? Pas de chance pour cette députée de Seine-Saint-Denis et ses plus tout à fait « amis », tous néanmoins autoproclamés propriétaires de la démocratie et bien peu enclins à en partager ne serait-ce que des miettes avec quiconque… même et surtout s’ils sont membres de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES), certes utile électoralement, mais bien encombrante le reste du temps.

Les contrariétés politiques sont comme les emmerdements, comme le disait l’ancien président Jacques Chirac, fin connaisseur de la question : elles volent en escadrille !

En effet, la nomination de son « ex » (ex-kamarad, cela va de soi ; on ose imaginer, même par taquineries, plus si affinités) Manuel Bompard à la direction de LFI n’est pas la seule contrariété de cette blonde descendante du sémillant Torquemada…

C’est le retour annoncé au sein du groupe LFI à l’Assemblée nationale d’un autre « ex » (ex-kamarad encore une fois, précisons-le) Adrien Quattenens qui la chagrine… Rappelons qu’il fut en quelque sorte « mis au coin » – soit prié d’aller se faire oublier quelque temps loin de l’hémicycle parlementaire – pour avoir eu la main un peu trop lourde sur la joue de son « ex »… épouse (quant à elle, plus du tout kamarad de son mari) !

Ce rouquin mâle n’aurait pas su, d’après Clémentine Autain, faire suffisamment « profil bas », allant même jusqu’à accuser sa future ex-moitié de développer un « sentiment de pleine puissance et de plein pouvoir, qu’elle serait incohérente » (une femme incohérente ? Allons bon !), qu’elle en aurait été menaçante… et qu’elle agirait pour de l’argent !

Pauvre Clémentine, obligée de le recadrer pour cette « communication (qui) sonne comme une provocation. Il a récusé méthodiquement tous les principes féministes. Il n’a tenu aucun compte du point d’équilibre trouvé démocratiquement au sein de notre groupe et des mots que nous avons posés. »

On conçoit le désarroi de cette moderne gorgone passée es-dominante maîtresse dans la dénonciation tous azimuts du machisme, du patriarcat et de la mâle domination qu’elle sait comme à nulle autre pareille déceler dans la simple intonation d’une déclaration…

Et pauvres Insoumis – d’une France bien éloignée de celle mère des arts, des armes et des lois, comme la louait jadis Joachim Du Bellay – qui se déchirent les uns les autres, sans doute victimes d’un Jupiter facétieux qui n’a pas grand mal à rendre zinzins ceux qui n’en finissent décidément pas de distraire la galerie politique souvent pour le pire… et parfois le rire !

14:56 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 18 décembre 2022

L’ultra droite, repoussoir commode

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Un nouveau spectre médiatique hante la France : celui de l’ultradroite. A ce que l’on raconte de nombreuses villes françaises auraient été assiégées et menacées par ces bandes, ces milices même qui les condamnent à vivre sous le joug de la peste brune. Les journalistes de Libération sont en plein priapisme. Notre chroniqueur du Figaro, Mathieu Bock Côté s’en donne à cœur joie pour dénoncer ce fake news qui transforme Gérald Darmanain en Zorro de banlieue.

Lire la suit ICI

Source : Le Figaro 17/12/2022

10:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Production électrique, la transparence technique  contre la propagande écologiste

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Hier encore dans Le Télégramme, un media de la zone ouest de la Bretagne, journal peu avare de propagande pour toutes les causes à la mode : écologie et éoliennes, immigration, migrants, LGBTQ+, Poutine, Macron… nous assénait ses "vérités".

La chère Agnès Pannier-Rinacher, la ministre de la Transition énergétique clamait haut et fort, c'est dans le journal : « Le renouvelable doit devenir un réflexe ! »

L'autre soir, dans son émission L'heure des Pro, Pascal Praud s'était gentiment moqué des  "écolos" qui veulent remplacer l'électricité nucléaire par leurs miraculeuses énergies renouvelables. Pensez énergie éolienne et solaire. Et là, notre Pascal a annoncé quelques chiffres de la production électriques, en pourcentages par types de centrales, nucléaire, gaz, fioul, éolienne...

Et ces données, il les trouvait sur un site internet tout ce qu'il a d'officiel sur lequel, en toute transparence, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité français, publie en temps réel les données techniques en valeurs absolues et en pourcentages.

Et, en bon pro, il précisait l'adresse de ce site RTE :

En toute transparence, RTE précise dans la rubrique "Suivre et comprendre la production d’électricité en France" : cliquez ici

Le mix énergétique de l’électricité française est publié en temps réel grâce aux données issues de télémesures et d’estimations. Il est également disponible sous forme d’historiques.

Ce graphique vous présente la production d’électricité par filière (nucléaire, gaz, charbon, fioul, hydraulique, éolien, solaire et bioénergies) complétée des rubriques « pompage hydraulique » et « solde des imports/exports avec l’étranger ».

Un peu curieux, je suis allé explorer ce site et je n'ai pas été déçu ! Ah, pour ces pauvres écolos quelle claque ! Si ces rêveurs appliquaient pour eux-mêmes ce qu'il préconisent pour tous nos concitoyens, nous les retrouverions grelottant de froid dans leurs grottes préhistoriques ! Peut-être en serions-nous débarrassés...

Voyez un peu… En pleine période actuelle de froid précoce, comme illustré par l'entête ci-dessus, nous constatons la répartition suivante de la production d’électricité.

Résultats du samedi 17 décembre 2022, à 15 h 45. :

Fioul 0%         

Bioénergies 1 %         

Charbon 3%               

Éolien  3%      

Solaire 3%      

Hydraulique 10%

Gaz 13%

Nucléaire 66% 

Holà ! Les anti-nucléaires ! Vous avez bien lu : le nucléaire représente donc les 2 tiers de toute la production d'électricité en France métropolitaine ! Et Nucléaire + Gaz + Hydraulique = 89 % Record battu !

Alors, les écolos, votre propagande, allez l'accrocher sur un crochet d'ardoise, dans la cabane au fond du jardin, comme au bon vieux temps ! C'est très écolo !

F F

 

02:31 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 décembre 2022

MOINS D’EAU, PEU DE GAZ ET PAS D’ELECTRICITE ?

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Pieter Kerstens

Manque d’imagination, ignorance, défaut d’anticipation et incompétence ont conduit les divers gouvernements depuis des décennies à prendre des décisions contraires aux intérêts de la France, mais également ailleurs en Europe.

Tous ces décideurs politiques nous affirment que la sécheresse conséquence de la canicule était « imprévisible » alors même que notre continent avait subi de très nombreux réchauffements climatiques ces 10 derniers siècles, selon les archives des régions concernées. Dans les pays tropicaux ou désertiques, les populations ont prévu des réservoirs qui se remplissent lors des épisodes pluvieux et constituent une réserve lors des saisons arides. Et pourquoi pas chez nous ? 

Le gaz, le pétrole, la houille sont aussi des matières stratégiques et moyens de rétorsion.

Par des trains successifs de mesures d’embargo et d’interdiction, la Commission Européenne de Mme Von der Leyen a causé des préjudices incalculables aux pays européens en manque de combustibles qui pénalisent tous les secteurs d’activités économiques, financières, industrielles et sociales.

L’addition va être salée pour chacun d’entre nous.

Tout cela au titre d’une « responsabilité morale » envers l’Ukraine et son président corrompu qui subissent une agression de la part de la Russie depuis 10 mois.

Mais en analysant cette situation, on retrouve des antécédents parmi les visées hégémoniques des Etats-Unis et particulièrement dès 1982. A cette époque pour le Pentagone il fallait empêcher la construction d’un second gazoduc soviétique (North Stream 2) qui doublait la capacité d’exportation de la Russie vers l’Europe. Et ceci sur la base d’une interdiction américaine à tout acquéreur de leur technologie de réexporter celle-ci sans autorisation.

« Les Etats-Unis doivent faire preuve de constance et de fermeté, assumer leur rôle de leader, ne pas dévier d’une politique dont les alliés comprendront finalement le bien-fondé. »

Voilà pourquoi l’Europe achète maintenant du gaz et du pétrole de schiste américains à des prix prohibitifs pour le plus grand bénéfice des USA. Et ceci explique aussi en partie les sabotages des deux gazoducs en mer du nord…

Selon un entretien de Louis Gallois dans le quotidien Le Figaro du 25 novembre :

 « la crise énergétique actuelle fait qu’aux Etats-Unis, l’énergie coûte désormais cinq à dix fois moins chère qu’en Europe. Il y a un vrai risque de délocalisation. Pour protéger son industrie, l’Allemagne a prévu de mettre en place pour les entreprises un bouclier tarifaire, soumis à l’accord de la Commission Européenne. Il est fixé à 130 euros le Mégawatt/h pour 70% de l’électricité consommée. En France, le même bouclier est à 325 euros le MW/h. Notre industrie sera vite placée dans une situation critique. La France propose à juste titre de plafonner le prix du gaz en Europe et de réviser le mécanisme européen de fixation des prix. Celui-ci lie le prix de l’électricité au prix du gaz qui a explosé suite aux diktats de Mme Von der Leyen en mars 2022. Il faut donc d’urgence changer ce mécanisme ou s’en abstraire comme l’ont fait les Espagnols et les Portugais. »

Dans le conflit Russo-Ukrainien, les torts sont partagés. Cette guerre n’est pas la nôtre !

Parce que dans un entretien au quotidien Der Zeit du 7 décembre dernier, Angela Merkel -chancelière allemande de 2005 à 2021- avoue les dessous cachés des accords de Minsk de 2014 et 2015. C’était une tentative de donner du temps à l’Ukraine pour s’armer, recruter des soldats qui seraient formés par les anglo-saxons et reprendre les provinces du Donbass.

Cette déclaration de Merkel confirme ce que disait déjà l’ex-président de l’Ukraine Petro Porochenko en juin dernier, qu’il n’avait jamais eu l’intention de respecter les accords de Minsk :

« Notre tâche était tout d’abord d’écarter la menace, ou au moins de retarder la guerre.

Nous nous sommes donnés huit ans pour rétablir la croissance économique et renforcer la puissance des forces armées. C’était la première tâche et elle a été accomplie. Malgré le fait que la guerre ait duré huit ans, en ce qui concerne une opération militaire de grande envergure, je pense que les accords de Minsk ont rempli leur rôle. »

Donc, contrairement à ce que nous affirment les médias audio-visuels (en surtout LCI « la voix de Kiev), dans les accords de Minsk, les dés étaient pipés et que l’Ukraine ne respecterait pas ses engagements. Cette hypocrisie de l’Allemagne, de la France, de l’Union Européenne et des Etats-Unis a malheureusement obligé la Russie à intervenir militairement pour mettre fin à la tentative de l’OTAN d’encercler et d’étouffer son territoire. 

Les responsables du chaos économique et financier que nous vivons aujourd’hui sont donc identifiés : Sarközy, Merkel, Obama, Hollande, Stoltenberg (OTAN), Porochenko, Zelenski et Macron, parmi d’autres adversaires mondialistes de Vladimir Poutine.

Et tout ceci bien sûr pour le plus grand bonheur des banksters de Wall Street.

17:06 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence hier soir du Cercle Trégor et Goëlo prés de Tréguier

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Un public nombreux et attentif a assisté vendredi soir, près de Tréguier, à la conférence organisée par le Cercle Trégor et Goëlo pour présenter le nouveau livre de Bernard Germain, qui fut candidat de Reconquête ! dans la circonscription en juin dernier, "Callac, la mère des batailles" (Synthèse nationale).

Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque (cliquez ici), qui a préfacé ce livre, était l'invité d'honneur de cette conférence. Prirent avant lui la parole : Catherine Blein, présidente des Amis de Callac et ses environs, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et bien sûr, l'auteur du livre, Bernard Germain.

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Pour acheter ce livre cliquez là

12:56 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un quoi qu’il en coûte trop élevé pour le Covid, mais insuffisant pour la crise énergétique !

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Marc Rousset

Macron a l’art de faire pour tout exactement l’inverse de ce qu’il faut faire, de ce qu’a fait et de ce que ferait le général De Gaulle (immigration folle, vente de nos entreprises à l’étranger, désindustrialisation, libre-échange, politique familiale, politique étrangère, fermeture des centrales nucléaires, valeurs sociétales décadentes, etc. ! L’Allemagne a été beaucoup moins généreuse et dépensière que la France pour le Covid, mais elle s’apprête à défendre ses entreprises, quitte à dépenser 200 milliards d’euros afin de préserver leur compétitivité, quitte à payer des prix élevés sur les marchés pour essayer de remplacer le gaz russe qui est en fait irremplaçable en 2023, selon l’AIE, pour 55 milliards de m3 de gaz , soit la capacité d’un seul des deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui ont été sabotés d’une façon honteuse et machiavélique par l’Amérique et l’Angleterre ! D’où le refus de l’Allemagne de plafonner le prix du gaz dans l’UE !

Alors qu’il était inutile de confiner et, comme disait Pompidou, d « ’emmerder » tous les Français qui ont encore quelque chose dans le ventre, de gaspiller des sommes énormes pour empêcher les gens de travailler, Macron s’est lancé dans la politique d’un quoi qu’il en coûte pour le Covid qui a été le plus généreux de toute l’Europe, mais financé exclusivement avec de l’argent emprunté sur les marchés. Olivier Dussopt, le ministre des Comptes publics a déclaré que la pandémie avait en tout coûté entre 170 et 200 milliards d’euros à l’État. Ce chiffre correspondait à 70 milliards d’euros de dépenses exceptionnelles en 2020, plus de 70 Milliards d’euros en 2021, et « aux pertes de recettes car l’activité économique s’était arrêtée ». La dette publique française a donc été augmentée d’au minimum 170 milliards d’euros pour financer la crise du Covid ; il en résulte que le gouvernement Macron est maintenant encore plus coincé pour répondre à l’attente des ménages et de toutes les entreprises françaises, écrasées par l’augmentation stratosphérique du coût de l’énergie en 2022.

Que compte faire Macron face à la hausse des prix énergétiques ? Le coût global de l’explosion des prix du pétrole et du gaz est estimé par Bercy à 85 milliards d’euros par an, soit un prix équivalent au Covid. Mais cette fois-ci l’État aura pris en charge seulement 44 milliards d’euros en 2022 et 2023, soit seulement la moitié du coût de la crise énergétique. Et qui va trinquer plus particulièrement : pas les ménages pour des raisons électorales car ils ne paieront finalement que 5 milliards, alors que la facture supplémentaire des prix de l’énergie pour les ménages est de 32 milliards, un peu les grandes et moyennes entreprises qui bénéficient de l’amortisseur, chaque fois qu’elles seront capables de se défendre et d’augmenter leurs prix de vente, mais pas toujours (Arques, William Saurin).

Mais quid de nos boulangers, artisans, petits commerçants, petites entreprises qui ont moins de 10 salariés, moins de 10 millions d’euros de chiffres d’affaires, mais ont malheureusement une puissance électrique installée de plus de 36 Kw (fours, chambres froides, bacs surgelés, etc.) et sont donc soumis eux aussi au système de l’amortisseur et ne bénéficient pas du bouclier tarifaire, comme les ménages. Le fait d’avoir une puissance électrique installée de plus de 36 Kw fait que ces petites entreprises ne vont pas pouvoir bénéficier du bouclier tarifaire, mais seulement du système de l’amortisseur qui conduit à des augmentations délirantes et mortelles du coût de l’énergie ! Ça ne passera pas et des manifestations violentes sont à prévoir si le gouvernement ne modifie pas le système actuel !

Jacques Guillemain a déjà attiré notre attention sur ce site, sur le cas d’Alexandra, une boulangère en pleurs effondrée par le triplement de sa facture EDF. Finis demain le pain et la brioche, avec des factures d’électricité pour les boulangeries de 100 000 euros au lieu de 25 000 euros par an ! L’amortisseur tarifaire, comme son nom l’indique, ne fait qu’amortir, mais conduit les petites entreprises et quelques grandes à la faillite pure et simple ! 35 % de remise, si le prix de l’énergie est multiplié par 4, cela revient à multiplier le coût de l’énergie par 2,6 du jour au lendemain !

En fait, c’est l’Allemagne réaliste qui a raison ! Le système de l’amortisseur doit disparaître et tous les agents économiques doivent bénéficier comme les ménages du bouclier tarifaire, avec une faible augmentation de prix. Mais voilà… nous sommes en faillite et hyper-endettés avec tous les incapables du style Macron qui nous dirigent sans maîtriser les dépenses publiques et nous désindustrialisent depuis 40 ans. De plus, pour le Covid, on a trop dépensé ! La faillite de la France va se rapprocher encore davantage ! Il est peu probable que le gouvernement puisse maintenir le système de l’amortisseur sous peine de faillites trop nombreuses des commerçants, artisans et de délocalisation d’entreprises grosses et moyennes.
Ou sinon, il faut quitter le système actuel du prix de l’électricité dans l’UE, calculé sur le prix marginal de la dernière centrale électrique utilisant le gaz !

S’il veut faire passer la réforme des retraites, Macron n’a pas d’autre choix que de généraliser le bouclier tarifaire ! C’est lors de la crise du Covid et pendant 40 ans qu’il fallait faire des économies, mais surtout pas maintenant sur le dos des dernières entreprises énergivores délocalisables qui nous restent, ni sur le dos des boulangers, des commerçants et des artisans, sous peine de faire exploser la marmite !

12:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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vendredi, 16 décembre 2022

Sortie du nouveau numéro (n°40) de la revue littéraire Livr'arbitres

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François Ferré, militant fidèle de la cause nationale, nous a quitté...

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Quiconque a milité durant ces quarante dernières années pour la cause nationale a forcément croisé, à un moment ou à un autre, un des frères Ferré. En effet, la famille Ferré, ce n'est pas seulement une famille, c'est aussi (et surtout, diront certains) une fratrie militante. Ils ont été de tous les combats ; ils ont toujours répondu présents à l'appel ; ils ont, à eux quatre, chacun avec sa personnalité, marqué le mouvement nationaliste.

Hélas, à nouveau, l'un d'entre eux vient de nous quitter. Après Bernard, le plus jeune, décédé il y a une quinzaine d'années, c'est François qui est parti dimanche dernier.

François était, comme ses frères, un fidèle militant qui n'hésitait pas à s'engager. Il  avait une autre qualité : celle de savoir se servir de ses mains. Dès qu'il y avait un souci technique au local, c'est lui qu'on appelait et, très vite, le souci devenait un souvenir... et tout rentrait dans l'ordre.

Adieu et Merci à toi, bon camarade. Amitiés à Philippe, à Jean-Benoit et à toute la famille. Le combat continue...

Roland Hélie

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jeudi, 15 décembre 2022

Pr Christian Perronne : Ne jamais se taire face aux mensonges !

Le professeur Christian Perronne est infectiologue. Il a œuvré dans les plus hautes instances internationales, y compris l’OMS, jusqu’à ce que la gestion de la crise de la Covid-19 arrive. Face à l’incompétence et l’incurie du gouvernement et d’Emmanuel Macron, l’homme médecin n’a pas pu se taire. Il a dénoncé un à un avec opiniâtreté tous les mensonges d’un Système qu’il juge responsable de décès qui auraient pu être évités. Dans son 3ᵉ opus, "Les 33 questions auxquelles ILS n’ont toujours pas répondu", chez Albin Michel, le professeur Perronne revient sur ces années de crise où il a subi des attaques sans précédent, aussi bien sur ses compétences en tant que médecin que sur son intégrité. Poursuivi devant l’ordre et réhabilité, il revient sur TVL en toute liberté pour exprimer sa colère et parfois sa tristesse face à ce gâchis.

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VENDREDI 23 DÉCEMBRE : IGNACE DEDICACERA SON NOUVEL ALBUM À LA LIBRAIRIE DUQUESNE À PARIS

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Vendredi 16 décembre, à Tréguier (22), présentation du livre "Callac, la mère des batailles" organisée par le Cercle Trégor & Goëlo

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mercredi, 14 décembre 2022

France-Maroc, combien d’interpellations ?

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François Bousquet*

Ce soir, on ne va pas seulement commenter le résultat du match, mais le nombre de voitures brûlées et de vitrines fracassées

Vivement mercredi soir, France-Maroc. Je suis im-pa-tient d’être devant ma télé. Ça va être la grande fête du football et du vivre ensemble, Noël avant Noël. Nul doute que l’amitié franco-marocaine en sortira revivifiée, le dialogue interreligieux grandi et la concorde entre les peuples consolidée. Rien que du bonheur en perspective. Journée portes ouvertes dans les commissariats et ville ouverte pour la population. La foule en liesse descendra dans la rue, les supporters marocains en tête. Tout à leur joie, ils ne vont pas allumer des bougies ni brûler des cierges, mais des poubelles et des voitures. Pas illuminer les vitrines, mais les casser. Pas chanter « la Marseillaise », mais la siffler. Pas lancer des pétards, mais des mortiers. Pas faire rôtir des dindes, mais des poulets. La magie des fêtes, quoi ! Homo festivus dans sa version islamicus. Beaucoup moins drôle que le personnage de Philippe Muray.

Je ne me hasarderai pas à livrer un pronostic. L’équipe du Maroc est un bloc ultra-défensif aux contre-attaques létales avec des arrières supersoniques. Pour une fois, les Lions de l’Atlas n’ont pas volé leur surnom ! Mais c’est en dehors du terrain qu’il prend tout son sens : descendus de leur montagne, les lions deviennent belliqueux. Indifféremment franco-marocains, belgo-marocains, hollando-marocains, ils ont pourtant grandi ici. Que leur équipe perde ou gagne ne change rien. C’est le drame de certains binationaux : une partie d’eux fait le bien (au pays d’origine) et l’autre le mal (au pays d’accueil). Quelques mauvais esprits aimeraient bien qu’ils se cassent, mais eux ne veulent que casser. Casser ou se casser, tel serait alors le dilemme de la binationalité ! Malheureusement pour nous, il n’est pas que pronominal. La préfecture de police de Paris a prévu de mobiliser, ce soir, plusieurs milliers de policiers et gendarmes, n’en déplaise à Gérald Darmanin, qui nous explique qu’il n’y a eu, pour ainsi dire, aucun incident, samedi dernier, sur les Champs-Élysées, ce qui n’a pas empêché la police de procéder à une centaine d’interpellations (170 en France), une « majorité de Français », selon Darmanin. Au Stade de France, c’étaient des Anglais. Sur les Champs-Élysées, des Français. Pardi !

Le foot est grand et Mahomet est son prophète

« Désormais, les frontières de l’État passent à l’intérieur des villes », disait le maire de Philadelphie, il y a un demi-siècle, après plusieurs nuits d’émeute raciale dans sa ville. La France a découvert cette nouvelle géographie de la violence en 1979, à Vaulx-en-Velin. Depuis, les émeutes sont devenues endémiques. Le moindre match de football suffit à en déclencher une. Tapez « mortier », euphémisme journalistique pour « émeute », sur votre moteur de recherche. Si vous ne tombez pas sur une promo de Brico Dépôt, c’est une attaque contre un commissariat. La PQR est remplie de ces petites annonces. Comme après le match Espagne-Maroc. 13 policiers blessés à Lille. Un drapeau marocain accroché sur la façade d’une mairie, partout des heurts, parfois des coups de feu comme à Nice. Les mêmes scènes en Espagne, Pays-Bas, Italie, Belgique, avec, clou du spectacle, Bruxelles, capitale de toutes nos démissions, littéralement mise à sac au soir du match Belgique-Maroc. L’intifada à domicile, en somme. Ce sont les joueurs marocains eux-mêmes qui ont montré la voie, celle d’un djihad du ballon rond. Quand ils n’appellent pas à se convertir à l’islam, ils s’affichent sur Instagram avec l’épée à deux pointes de Mahomet. Dans ces conditions, le vivre ensemble ressemble à une déclaration de guerre. Et les supporters sont au diapason des joueurs. L’un d’eux a répondu à un journaliste de BFM TV qui n’en menait pas large sur les Champs-Élysées : « Ici, y a qu’des africains et des musulmans, on est tous ensemble. Nous, on a un truc, c’est Allah, c’est Allah, il a tout fait ! » Au journaliste qui lui demandait quelle équipe il aimerait affronter en demi-finale, le moudjahidin ceint du drapeau marocain a dégoupillé : « La France. Combattre la France ! » Dont acte.

(*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments

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mardi, 13 décembre 2022

François Asselineau : L‘ échec du « nouvel ordre mondial »

Pour ce nouveau numéro du Samedi Politique, et après un record d’audience pour son passage le 10 septembre dernier (émission disponible ICI), François Asselineau dresse un constat accablant des temps actuels.

Du côté de la politique nationale, le président de l’UPR revient sur le futur texte de loi Immigration et cloue au pilori les prétendues positions de fermeté du gouvernement. (à suivre sur UPR-TV) Il étrille également ce paradoxe du pouvoir politique qui se targue de vouloir enrayer l’immigration clandestine en donnant libre cours aux financements divers et variés aux associations immigrationnistes telles que SOS Méditerranée, propriétaire du Ocean Viking.

L’actualité française est en outre marquée par la crise énergétique engendrée par le sabotage au long cours de l’industrie du nucléaire et aggravée par les sanctions contre la Russie décidées par Ursula von der Leyen. Un domaine dans lequel l’UE et la France en particulier ont agi contre leurs intérêts, mais pour le plus grand bien des États-Unis qui vendent désormais à vil prix pétrole et gaz obtenus par la polluante fracturation hydraulique.

Le voyage officiel d’Emmanuel Macron a d’ailleurs démontré une nouvelle fois la relation de vassal à l’égard d’un Oncle Sam qui mène encore son ordre mondial, comme le théâtre ukrainien et l’omniprésence de l’OTAN en témoignent.

François Asselineau évoquera également les imbrications du scandale de FTX et Sam Bankman Fried, tranquillement installé aux Bahamas avec le parti démocrate américain et le gouvernement ukrainien de Volodymyr Zelensky.

Un numéro du Samedi Politique foisonnant !  

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Une première

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C'est dans le Times. Pour la première fois, un officier supérieur britannique reconnaît que l'armée britannique participe aux combats, en tant que telle, en Ukraine. Il s'agit du lieutenant-colonel Robert Magowan, chef d'état-major adjoint de la Défense : "Des Royal Marines ont été déployés dans des opérations secrètes à haut risque". Robert Magowan était encore en avril dernier le commandant général des Royal Marines…

L'OTAN fait donc la guerre en Ukraine, et pas seulement en envoyant des armes. On le savait déjà (il y a notamment des milliers de soldats polonais), mais aucune autorité ne l'avait encore reconnu.

Source : Yves Daoudal

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Ils sont cui cui

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Jean-Baptiste Noé : Le déclin de ce monde

Issu des recherches et des colloques de la Revue Conflits, voici un ouvrage qui souhaite présenter les affrontements et les guerres d’aujourd'hui, dans la diversité de leur nature et de leurs déroulements.

À l’heure de la guerre en Ukraine, la plupart des ouvrages se focalisent soit sur les conflits interétatiques, soit sur les conflits asymétriques, or, il existe beaucoup d'autres conflits : guerre économique (rivalités pour l’approvisionnement en minerais rares, cobalt, nickel, lithium), terrorisme, guerre du droit, guerre du soft power (entre pôles de l’islam sunnite et chiite), disputes autour des grandes routes maritimes de la mondialisation, guerre de l’espace et des armes de rupture (missiles hypersoniques), câblages sous-marins, etc.
C'est la marque de la revue Conflits de les étudier et de les analyser.
Il s’agit ici de comprendre les rivalités actuelles, mais aussi de tenter une prospective sur les cinq années à venir : quels sont les conflits qui vont s’aggraver et quels sont ceux qui risquent de se déclencher ?
Le livre est composé de 40 cartes et graphiques.

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Comment l’Allemagne et les écologistes ont poignardé la filière nucléaire française

Pénurie énergétique : Qui sont les responsables ?

CNews : Face à Rioufol : Fabien Bouglé

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Vous pouvez commander le livre ICI

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dimanche, 11 décembre 2022

Dans son Journal de Bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen évoque le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré aux 50 ans du Front national

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Pour acheter ce Cahier cliquez ici

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Poutine a déjà gagné son pari

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Il y a belle lurette que l’on prend avec des pincettes ce que narrent les médias du mainstream concernant l’Ukraine totalement phagocytés, pour ne pas dire obsédés, par une ligne d’attaque définie depuis Washington. Et que l’on peut résumer ainsi : l’Occident c’est le Bien et la Russie, le mal absolu.  L’Europe s’est laissée entraîner dans cette galère. On n’a cessé de le dénoncer. Ô stupeur, le directeur de la publication de VSD, Georges Ghosn met les pieds dans le plat et dénonce cette supercherie et démontre que Poutine a, bien au contraire, déjà gagné. Sans aller jusque-là, nous dirons qu’il n’a pas perdu tant l’issue de ce conflit demeure pour le moins flou.

Lire la suite ICI

Source : VSD, décembre 2022

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Zelensky, « homme de l’année » pour le Time : qui est-il vraiment ?

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Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire cliquez ici

C’est devenu un rituel depuis 1927, quand l’aviateur Charles Lindbergh est tenu pour « homme de l’année » par le prestigieux hebdomadaire américain. Une distinction dont seront ensuite gratifiées des personnalités aussi diverses que (liste non exhaustive) : Pierre Laval (1931), Adolf Hitler (1938), Joseph Staline (1939), Winston Churchill (1949), Charles de Gaulle (1958), l’ayatollah Rouollah Khomeini (1979), le pape Jean-Paul II (1994), Vladimir Poutine (2007) ou Elon Musk (2021).

À l’occasion du millésime 2022, le moins qu’on puisse prétendre est qu’Edward Felsenthal, rédacteur en chef du Time, ne lésine pas dans le lyrisme, justifiant ainsi ce choix éditorial : « Pour avoir prouvé que le courage peut être aussi contagieux que la peur, pour avoir incité les gens et les nations à s’unir pour défendre la liberté, pour avoir rappelé au monde la fragilité de la démocratie et de la paix, Volodymyr Zelensky et l’esprit de l’Ukraine sont la personnalité de l’année 2022. » Tout dans la nuance, en quelque sorte.

Il est vrai qu’en plein conflit fratricide entre Russie et Ukraine, l’heure serait plutôt au manichéisme ; même si, de fait, ce premier pays demeure l’agresseur alors que le second est l’agressé. De là à légitimer la furie guerrière d’une Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, ou le patriotisme à la Paul Déroulède d’une Sandrine Rousseau, défilant dans les rues parisiennes, enveloppée d’un drapeau ukrainien alors que le nôtre ne lui inspire finalement que répulsion, un minimum de sang-froid ne serait sûrement pas de trop.

Car au-delà de la rhétorique de l’agresseur et de l’agressé, il faut bien admettre que chacun a ses raisons, bonnes ou mauvaises, mais toutes plus ou moins légitimes.

Moscou ne voulait pas d’une Ukraine de plus en plus inféodée à l’Europe et à l’OTAN ; c’est-à-dire aux USA. Kiev, au moins dans sa partie occidentale, s’est toujours méfiée de la tutelle du Kremlin ; la grande famine orchestrée par Joseph Staline entre 1932 et 1933 a évidemment laissé des souvenirs.

Mais que la rédaction du Time fasse sienne une vision eschatologique qui opposerait « la démocratie et la paix » à la barbarie cosaque, voilà qui paraît à la fois bien léger et passablement irresponsable, même si cette sémantique est aujourd’hui reprise par la grande majorité du monde politico-médiatique. Avec quelques exceptions, toutefois. Ségolène Royal et Marine Le Pen, par exemple, qui appellent à négocier au plus vite et, dans une très très moindre mesure, Emmanuel Macron ; reconnaissons-lui au moins ça.

Pour le reste, une question se pose : qui est vraiment Volodymyr Zelensky ? Un chevalier blanc ayant défié une corruption endémique ? Un héraut devenu héros ? Comme toujours, la vérité se trouve à mi-chemin. Résumons.

Volodymyr Zelensky, c’est une sorte de Cyril Hanouna qui aurait réussi. Il se fait connaître à la télévision, non pour une émission de débats, mais par une série, Serviteur du peuple, dans laquelle il incarne le rôle d’un professeur intègre, Vasyl Holoborodko, parvenant à se faire élire président de la République contre des élites corrompues. La troisième saison est diffusée en 2019, juste avant l’élection présidentielle le voyant parvenir aux plus hautes fonctions de l’État ukrainien, battant largement le président sortant, Petro Porochenko, affairiste pro-européen.

Mais derrière le conte de fées, il y a la réalité. Serviteur du peuple est diffusée par la chaîne 1+1, propriété d’un des plus grands oligarques du pays : le multimilliardaire Ihor Kolomoïsky, personnage plus que trouble. Tout comme paraît tout aussi trouble le train de vie de Volodymyr, épinglé dans le scandale des Pandora Papers l’ayant obligé à s’expliquer sur l’acquisition de trois propriétés en plein cœur de Londres et d’une multitude de sociétés offshore. D’où l’interrogation, en 2020, d’Atlantic Council, centre d’analyse américain : « Volodymyr Zelensky, serviteur du peuple ou serviteur des oligarques ? »

Dans sa politique étrangère, notons que l’homme sait demeurer prudent. À la fois pour et contre le puissant voisin russe, entendant se rapprocher de l’Europe et de l’OTAN, mais pas trop. Bref, un ludion. Mais qui se révèlera lors des premiers jours du conflit. Alors que les USA lui proposent de l’exfiltrer en lieu sûr, il aura ces mots : « Le combat est ici, à Kiev. J’ai besoin de munitions, pas d’un chauffeur. » Quoi qu’on puisse penser de ce jeune président, que l’anecdote ait été mise en scène ou pas, voilà qui ne manquait pas d’une certaine classe.

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Surpopulation mondiale : ces lanceurs d’alerte qu’il faudra bien finir par entendre…

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La chronique de Philippe Randa

Elle avait forcément le visage de l’innocence. Sa naissance était pourtant effrayante. Symboliquement, bien sûr, car la petite fille de 2,5 kilos Danica May Camacho, née un dimanche d’octobre 2011 deux minutes avant minuit au Jose Fabella Memorial Hospital, un hôpital public de la capitale philippine, a fait à juste titre la joie de ses parents. N’a-t-on pas coutume d’assurer qu’une naissance est le plus beau des événements ?

Celle de Danica fut malheureusement la plus dramatique des annonces car elle a été désignée alors 7 milliardième habitante sur Terre : ses contemporains ont alors probablement accueilli cette nouvelle, annoncée par tous les médias, avec une parfaite indifférence… ou avec un sourire béat ! dans un cas comme dans l’autre, leur inconscience est effrayante !

D’autant que les Nations-Unies ont félicité les parents de la petite Danica, lui ont offert un « petit gâteau pour l’occasion », donné une bourse pour ses études et à ses parents un pécule pour ouvrir un magasin. On est heureux pour eux et leur existence future…

Pour celle de l’Humanité, en revanche, on ne peut guère féliciter les Nations-Unis de fêter ainsi une telle tragédie.

La surpopulation mondiale n’est pas un problème parmi d’autres – un « défi » comme disent la plupart des observateurs avec une lâche pudeur –, mais le drame mondial par excellence. Tous les autres « défis » – pandémies, guerres, pollutions,… – n’étant que les avatars de cette surpopulation apocalyptique.

Le simple bon sens permet de comprendre que sans les « excès de population », les maux – spécifiques ou communs, les uns étant souvent la conséquence des autres – qui frappent tous les pays du monde, qu’ils soient riches ou pauvres, n’existeraient pas, seraient de nature moins dramatiques ou bien même si certains existeraient tout de même sans cela, l’ampleur de leurs conséquences seraient sans commune mesure.

« Une mise en accusation de l’insouciance humaine commence à poindre. Ainsi en est-il de la conscience du double danger sur le plan mondial et sur celui des progénitures de la fécondité humaine inconsidérée, malgré le chant des sirènes économiques ou politiques acharnées à maintenir des expédients. S’y ajoutent des fruits de notre inconséquence : souci négligé de l’état de notre sol jusqu’à des effondrements du fond marin dits tsunamis, maîtrise hypothétique des effets de l’arme atomique contre un État prêt au terrorisme et inconsé­quence actuelle en présence des pandémies » : ces lignes sont de Francis Verdavoine-Bourget et extraites de son ouvrage : Surpeuplement, un drame planétaire !(1)

« Arrêtez le monde, je veux descendre », écrivait(2) avec humour de l’homme moderne Louis Pauwels, ancien co-fondateur (avec Jacques Bergier) de la revue Planète, puis fondateur du Figaro Magazine.

Ce n’est certes pas l’envie qui manque à beaucoup, conscients d’un inéluctable déraillement du train cosmopolite, mais il ne semble pas que soient annoncées pour cela de prochaines stations, fussent-elles en rase campagne. Reste alors le dilemme de sauter de celui-ci en marche… ou de braquer le conducteur. Si quelqu’un a le mode d’emploi, qu’il soit assez avisé pour l’adresser aux Nations-Unis !

*
*.  *

Les lignes qui précèdent

Elle sont extraites d’une chronique (« Descendre du monde moderne ») que j’avais écrite en 2011 et qui avait été assez largement diffusée sur internet.

Et depuis lors, quoi de nouveau ? 4 enfants de plus… par seconde ! comme l’indique le sous-titre du livre de Jean-Michel Hermans auquel n’aura forcément pas « échappé » l’« heureux » événement de la naissance de la petite Danica. Et pour cause ! Il réside régulièrement dans les Philippines où il possède une maison et même quelques arpents de rizières qui sont sa seconde patrie. Là-bas, il est confronté en permanence à la surpopulation. On construit aujourd’hui les maisons dans les rizières car il n’y a plus de place disponible pour de nouvelles maisons. Beau­coup des cousines de son épouse ont six ou huit enfants – une de ses tantes a… onze enfants ! – « C’est terrible car il n’y a pas de travail pour tout le monde et c’est la misère pour beaucoup… », constate-t-il.

La misère, oui… Une inévitable misère liée au surpeuplement qui ne date pas d’aujourd’hui : l’économiste Thomas Robert Malthus s’en alarmait déjà au xviiie siècle et insistait sur une nécessaire régulation des naissances ; ses livres connurent à l’époque de beaux succès de vente… en vain, hélas !(3)

Cette terrible menace n’a pas non plus échappé au romancier Dan Brown (auteur, entre autres, du livre à succès Da Vinci code) ; en 2013, il a publié Inferno (adapté ensuite au cinéma en 2016) dans lequel son héros tente d’empêcher un scientifique de déclencher une épidémie mortelle… pour répondre à la menace démographique dans laquelle il voit la fin de l’Humanité. Sans dévoiler la fin de ce thriller palpitant, que l’on sache seulement que les sentiments des personnages de Dan Brown évoluent au cours du récit et que les dernières pages laissent clairement percevoir leur malaise face à la véritable bombe à retardement que représente la surpopulation mondiale que leur « ennemi » tente de désamorcer de façon extrêmement… radicale !

Soyons donc reconnaissant – après Thomas Robert Malthus, Louis Pauwels, Francis Verdavoine-Bourget, Dan Brown et tant et tant d’autres tout de même et bien heureusement – à Jean-Michel Hermans de sonner lui aussi le tocsin avec ses propres expériences, ses propres réflexions, ses propres recherches…

Son livre est un cri d’alarme – aussi instructif qu’impitoyable – de plus, mais pas un cri inutile… « Le désespoir en politique est une sottise absolue », disait Charles Maurras… Le désespoir en l’Homme l’est tout autant. La preuve par de tels auteurs, du passé ou d’aujourd’hui, qui sont, et c’est tout à leur honneur, autant de courageux lanceurs d’alerte qui finiront bien un jour par se faire entendre… forcément !

*
*.  *

Les lignes qui précèdent (bis)…

Elles sont celles de la préface que m’avait demandée Jean-Michel Hermans pour la parution de son livre Surpopulation : l’alerte mondiale aux éditions Dualpha en… 2019 ! (4)

Et depuis lors, quoi de nouveau ? (bis)

« Seulement 12 ans après avoir passé la barre des sept milliards d’humains, la planète compte huit milliards d’habitants depuis la mi-novembre, selon les estimations des Nations unies, qui s’appuient sur ses meilleures projections démographiques » (https://www.nationalgeographic.fr, 2022).

Notes

(1) Éditions Dualpha, 654 pages, 2e édition réactualisée.

(2) Dans un article du Figaro à propos du livre Les Experts ou l’Art de se tromper de Jules Verne à Bill Gates de François-Bernard Huyghe (Plon).

(3) Jean-Michel Hermans a publié avec son frère Jean-Claude Réchauffement climatique : ces milliards d’hommes en trop ! aux éditions de l’Æncre, préfacé par Brigitte Bardot (Livre disponible sur www.francephi.com). Il a été décidé avec l’éditeur de rajouter le texte de Thomas Malthus Essai sur le principe de la population de Thomas Malthus (publié… en 1798), car il a été le premier à préconiser une régulation des naissances, à l’époque pour lutter contre la pauvreté. Le texte de Malthus est un plaidoyer contre la misère et pour la charité chrétienne.

(4) Livre toujours sur www.francephi.com : https://francephi.com/livre/surpopulation-lalerte-mondiale.

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samedi, 10 décembre 2022

Geoffroy Lejeune  a fait un rêve… et ça devrait vous plaire !

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« J’ai fait un rêve, comme dit l’autre. La nuit dernière, encore agacé par la dernière polémique née au sein de Science Po, notre prétendue « école de formation des élites de la Nation », mon inconscient m’a trahi et inspiré quelques pensées. Comprenez-le: des étudiants ont reproché à leur professeur de danse d’avoir voulu continuer à appeler un homme un homme et une femme une femme, au lieu de les désigner par les termes « leader » et « follower », ainsi que lui demandait l’administration de l’établissement. Certains élèves se sont élevés contre cette pratique rétrograde, humiliante et sexiste, ont cafté auprès des autorités compétentes, non sans avoir pleurniché sur les réseaux sociaux en se souvenant tout à coup que, quand même, cette prof avait l’air sacrément homophobe, lesbophobe, transphobe, queerphobe, quand on y pense.

J’ai rêvé, donc, qu’on me donnait une journée, rien qu’une journée, les rênes de l’école de la rue Saint-Guillaume. Mon souvenir est brumeux mais j’étais plus ou moins chargé de reprendre en main la pédagogie et de remettre à leur place les hommes soja qui croient y refaire le monde. Bienvenue dans mon rêve.

Arrivée sur zone à 5 h 45. Convocation des élèves à 6 heures. Filtrage à l’entrée, ne sont pas acceptés les chèches palestiniens ni les ponchos bariolés achetés au Pérou lors du dernier voyage éco-responsable à la découverte de peuples inconnus. Églantine, 20 ans, qui veut devenir chercheuse en sociologie pour analyser les comportements dominants chouine un peu. Enzo, son camarade qui porte une jolie tresse violette derrière l’oreille, ose même dire que c’est du « post fascisme ». T’es pas prêt, chaton.

Dans la cour, lever des couleurs. Marseillaise. J’ai fait venir d’Aubagne les légionnaires du 1er Régiment Étranger de Cavalerie pour donner le ton. Un adjudant-chef polonais est chargé de surveiller ceux qui ne chantent pas. Lorsqu’il s’approche d’eux, plissant l’œil et faisant gonfler une cicatrice menaçante sur l’arcade, tous retrouvent la mémoire et du souffle. Jules, 21 ans, responsable du comité Justice pour Adama dans le 7ème arrondissement, objecteur de conscience, a les larmes aux yeux. Comme c’est beau, le patriotisme. Ou est-ce de la peur ?

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16:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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Stupéfiante offensive sur les plats pays

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

En septembre dernier, une patrouille de la police belge interpellait quatre individus louches qui rôdaient autour du domicile privé du ministre fédéral belge de la Justice, Vincent Van Quickenborne. Leur intention visait à l’enlever ou à ravir l’un de ses proches. Courant octobre, la princesse héritière des Pays-Bas, Catharina-Amalia d’Orange-Nassau, se voit contrainte de délaisser son appartement d’étudiante à Amsterdam et de retourner vivre au palais royal parental bien mieux protégé. Quant au Premier ministre néerlandais Mark Rutte, il ne se déplace plus seul en vélo. Ces trois exemples montrent que la Belgique et les Pays-Bas entrent dans une « guerre moléculaire » larvée due à la montée en puissance sur notre continent des organisations de la drogue.

Utilisant pleinement les méfaits de la mondialisation marchande et le transport maritime par porte-conteneur, des groupes criminels belges et néerlandais tels la Mocro Maffia coopèrent avec les bandes organisées d’Amérique latine. Premiers ports d’Europe par le tonnage embarqué ou débarqué, Anvers et Rotterdam constituent les portes d’entrée idéales pour le trafic de drogue en Europe où, à la différence de l’Amérique du Nord au marché saturé, existe une forte demande pour cause de déchéance spirituelle totale. Le port français du Havre en Normandie bénéficie lui aussi de cette activité illégale fort lucrative, mais dans des proportions moindres. La zone portuaire d’Anvers s’étend sur 500 km², soit environ cinq fois la surface de Paris. Les rues de ce vaste complexe ne sont pas répertoriées, ni cartographiées, ni indiquées par satellite. Selon les dockers et des délinquants repentis, il est assez facile de livrer une grosse cargaison de drogue sans se faire remarquer.

Des reportages récents témoignent de l’inquiétante situation des ports de la Mer du Nord. Les trafiquants incitent les dockers à travailler pour eux, en les menaçant parfois. Les pressions sont terribles, d’autant que les organisations criminelles n’hésitent pas à tuer. Elles ont déjà assassiné en juillet 2021 le journaliste Peter Rudolf de Vries qui enquêtait sur leurs trafics. Auparavant, le 26 juin 2018, un attentat à la voiture bélier était commis contre le siège du journal De Telegraaf. Outre les journalistes trop curieux, ces nouvelles mafias transnationales visent d’autres groupes concurrents. Fusillades en pleine rue, jets de grenade, explosions à la bombe, exécutions sommaires rythment le quotidien de la cité flamande en proie à une insécurité grandissante.

Si les Pays-Bas et la Belgique ne sont pas encore des États en déshérence bien qu’il faille soupçonner l’insistance des nouvelles mafias auprès des principales formations politiciennes, ces deux pays entrent dans une phase chronique de violences publiques croissantes qui s’apparente à la situation chaotique de la Colombie dans les années 1980 – 1990 quand le gouvernement de Bogota affrontait le célèbre et redoutable cartel de Medellin de Pablo Escobar.

En dépit des saisies record de cargaisons illicites et le démantèlement répété des réseaux, police et justice, victimes des coupes budgétaires décidées au nom de l’ultra-libéralisme maastrichtien, n’endiguent plus le phénomène. Le déploiement de l’armée dans l’aire portuaire serait une possibilité que les autorités belges refusent pour l’heure d’envisager par crainte de favoriser encore plus le vote « populiste »… Le bourgmestre d’Anvers, le national-centriste indépendantiste Bart De Wever, chef de la NVA (Nouvelle Alliance flamande), critique la faible réactivité des gouvernement régional et fédéral qui lui sont hostiles. La hausse de la délinquance en Flandre, y compris à la campagne où se multiplient les points de deal, profiterait en priorité d’après les sondages au Vlaams Belang.

Par pruderie droit-de-l’hommiste, les reportages ne mentionnent pas la conjonction de deux phénomènes qui bouleversent en profondeur la physionomie générale de la Flandre belge et des Pays-Bas. Ces deux plats pays paient aujourd’hui cinquante ans d’immigration extra-européenne voulue et encouragée. Les dirigeants des bandes mafieuses ont des origines allogènes. Vit en Belgique et aux Pays-Bas une importante diaspora marocaine dont les meneurs proviennent de la région septentrionale du Rif, historiquement rétive à Rabat. Le dimanche 27 novembre 2022, les Bruxellois ont peut-être compris qu’un grand remplacement démographique s’effectuait avec les émeutes provoquées par des Marocains heureux de célébrer la victoire au Qatar dans le cadre de la Coupe du monde de balle au pied de leur équipe sur la Belgique (2 – 0).

Divisée en plusieurs clans, plus ou moins puissants et souvent rivaux, la Mocro Maffia ne forme toutefois pas un ensemble cohérent puisque les conflits tribaux de là-bas se cumulent aux contentieux « commerciaux » d’ici et maintenant. Divers accords se nouent au Surinam, l’ancienne Guyane néerlandaise, ainsi qu’avec des États africains en déclin en passe de devenir des narco-États.

Le second facteur concerne bien sûr la légalisation de la toxicomanie aux Pays-Bas à partir de 1976. La liberté laxiste de fumer un pétard sans se préoccuper d’ailleurs du bilan carbone émis à cette occasion n’entraîne pas la fin des réseaux, mais au contraire les renforce. Quant à la demande, loin de diminuer, elle augmente dans toutes les classes d’âge. Le 10 août 2022, une trentaine de sénateurs PS publiait dans Le Monde une tribune libre en faveur de la dépénalisation du cannabis en avançant des motifs les plus grotesques les uns que les autres. Honte à ces parlementaires fourriers de la décadence ! Parmi les signataires pour qui il serait plus grave de ne pas porter de masque que de fumer un joint, il y a l’actuelle vice-présidente du Sénat et élue de l’Oise, Laurence Rossignol, déplorable ministresse de la Famille de 2016 à 2017 sous Flamby, qui soutient par ailleurs la pénalisation de pauvres clients de braves prostituées alors qu’ils ne font que satisfaire un impératif naturel légitime, ce qui n’est pas le cas pour la drogue ! Dans Causeur de novembre 2022, le libertarien français Laurent Obertone prône lui aussi la légalisation de la fumette dans une perspective néo-darwiniste sociale assez aberrante.

Il importe non seulement de briser les réseaux de trafic de drogue en s’attaquant aux producteurs, aux distributeurs, aux transporteurs et aux guetteurs. Il faut aussi se montrer impitoyable envers les consommateurs. Plutôt que de les envoyer en prison, les plus aisés verraient leur fiscalité augmentée de 200 %. En cas d’insolvabilité, ils effectueraient pour une durée renouvelable de six à dix-huit mois une cure de désintoxication virile dans des chantiers du peuple en plein air.

Oui, il est probable que ces propos soient considérés dans quelques années comme « toxicophobes » et punissables par une future loi liberticide. Longtemps, la toxicophobie a signifié la crainte de l’empoisonnement. De nos jours, les milieux crasseux, jamais en retard dans l’abjection catagogique, parlent de « discriminations toxicophobes », à savoir un sentiment négatif que ressent une personne vis à vis la toxicomanie et les drogués. Cette détestation engendrerait chez les toxicomanes un sentiment d’humiliation incroyablement tenace. Pauvres choux ! Ainsi le voisinage devrait-il accepter de bon gré l’ouverture de dix salles de shoot dans sa rue près de l’école maternelle. La vieille dame devrait pour sa part donner sur le champ son sac et sa maigre pension au premier junkie venu. Les fumeurs de crack du cloaque parisien de Stalingrad devraient incarner la forme idéale de l’humanité. Pas sûr que ce discours satisfasse des riverains, découragés, fatigués et excédés…

L’ombre pesante de la « narco-guerre » plane sur toute l’Europe occidentale. Le recours aux drogues contribue à l’ethnocide en cours des Albo-Européens. La réponse, draconienne, doit être militaire et implacable. On n’est plus au temps des expériences élitistes relatées par Charles Baudelaire, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Théophile Gautier ou Eugène Delacroix ou même par Ernst Jünger dans Approches, drogues et ivresse (1970). La massification des drogues et leur démocratisation posent un évident problème social et sanitaire, psychologique et philosophique, économique, politique et géostratégique. L’indispensable salut public exigera par conséquent une ambitieuse politique de la « Grande Santé » physique et mentale résumé par cet adage fondamental, esthétique, altier, hygiénique et intemporel d’« un esprit sain dans un corps sain ».   

 « Vigie d’un monde en ébullition », n°54, mise en ligne le 6 décembre 2022 sur Radio Méridien Zéro.

10:40 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |