mardi, 31 janvier 2023
Vaincre ou mourir : le Puy du Fou et l’offensive des fous
La chronique de Philippe Randa
Jamais l’adage « Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre » ne semble avoir été aussi vrai qu’à l’occasion de la sortie en salle du film Vaincre ou mourir, retraçant l’engagement de François-Athanase de Charette de La Contrie contre les armées de la République ravageant sa terre natale, la Vendée, de 1793 à 1800…
De l’hebdomadaire Télérama qui titre « À fuir au galop ! » au quotidien Libération qui alerte sur « l’offensive conservatrice en cours », en passant par Le Monde n’y voyant qu’« une bouillie audiovisuelle qui égrène tous les poncifs les plus éculés du film historique, remuant son imagerie christique et viriliste à coups d’effets visuels d’un autre âge (qui) tente de réhabiliter le général Charette, figure de la résistance contre les Républicains et héros de l’extrême droite », toute l’intelligentsia médiatique autoproclamée bien-pensante est à la manœuvre pour dénoncer ce premier film produit par le Puy du Fou… avec tous les risques, bien évidemment, de déclencher un effet inverse à celui qu’elle escompte.
D’abord, cette intelligentsia participe par l’ampleur de cette campagne de dénigrements à informer nombre de spectateurs potentiels de l’existence de ce film, ce qui n’est pas rien, alors que l’offre de spectacles cinématographiques, via les multiples chaînes de télévision ou plates-formes de streaming, devient chaque jour quasi infinie…
Ensuite, en attirant sur Vaincre ou mourir l’attention d’un public sans opinion elle le pousse à découvrir par lui-même si « l’offensive conservatrice » est si dangereuse que cela et pourquoi ; nul doute que nombre de ces spectateurs-là seront quelque peu interpellés par l’évocation des massacres, crimes, viols et vols des « Bleus » sur une terre – la Vendée – qu’ils n’imaginaient pas avoir connu un passé si tragique. Et de s’interroger au passage sur la participation d’acteurs connus – Grégory Fitoussi, Francis Renaud, Damien Jouillerot, Gilles Cohen – voire renommés : Hugo Becker et Jean-Hugues Anglade ! Qu’ils aient accepté de figurer dans cette production rendra certainement sceptique plus d’un spectateur vis-à-vis de la dénonciation-diabolisation de ce film.
Enfin et surtout, comment pouvait-on mieux mobiliser cette terrible « France réactionnaire » – dont, en 2022, les quelque 2,34 millions de visiteurs du parc de Puy du Fou qui a ainsi battu son record historique de fréquentation – qu’en sonnant ainsi un tel tocsin de haine contre ce film… vérifiant cet autre adage devenu populaire et qu’on a prêté en leur temps aussi bien à l’acteur Pierre Fresnay qu’au journaliste Léon Zitrone : « Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi ! »
La haine est décidément une bien mauvaise conseillère.
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19:30 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fabien Bouglé - L’anti-écologisme des éoliennes
Fabien Bouglé, conseiller municipal de Versailles, est depuis dix ans un lanceur d'alerte écologiste. Il est l'auteur de Éoliennes : la face noire de la transition écologique (Rocher 2019). Son dernier ouvrage : Nucléaire, les vérités cachées (2021).
En pleine crise énergétique, il s'entretient avec Gabrielle Cluzel pour dévoiler les dessous du fiasco énergétique français et du projet de loi du gouvernement sur les énergies renouvelables (loi ENR). Ce projet de loi prévoit de faciliter l'implantation massive d'éoliennes en mer et sur terre. Fabien Bouglé dénonce une « loi scélérate et totalitaire » qui va faire sauter tous les verrous écologiques et juridiques. Il analyse les votes au Parlement qui ont déjà eu lieu et, pour lui, il y a encore un espoir, car il n'y a pas d'unanimité : « les choses ne sont pas faites ».
Surtout, il entre dans le détail des aspects anti-écologiques des éoliennes et des responsabilités de la crise de l'électricité en France : les « saboteurs » de notre système énergétique, selon lui.
17:45 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
APRÈS CALLAC, SAINT BRÉVIN LES PINS !
13:15 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’Europe est-elle sortie de l’Historie ?
Dans cette pertinente chronique, Renaud Girard, éditorialiste au Figaro nous démontre, preuves à l’appui, ce que nous ne cessons de dénoncer, à savoir la sortie de l’Histoire de ce que l’on appelle l’Europe. Disparition toute géopolitique s’entend, puisque sur tous les terrains diplomatiques, ce sont bel et bien les Américains qui mènent la danse et parlent pour nous. Triste vassalité d’une Europe qui, si elle s’érigeait en puissance, serait l’une des premières au monde. Où nous mène cette « disparition » de l’Europe, telle est la question !
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Source : Le Figaro 31/1/2023
12:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'ÉTAT PROFOND CONTRE LE PEUPLE avec Alexis Cossette
Analyse du travail de sape de L'État profond sur les institutions démocratiques et retour sur Trump et le vaccin.
Source : Radio-Quebec
12:01 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vaincre ou mourir : trouver une séance près de chez vous
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11:51 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ras le bol des "jamais contents" de service qui font la fine bouche à propos de "Vaincre ou mourir",
Amaury Soudarded De Perros
Ras le bol des "jamais contents" de service qui font la fine bouche à propos de "Vaincre ou mourir", film qu'ils n'ont d'ailleurs pas vu pour beaucoup.00:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retraite à 62 ou 64 ans : … une monumentale manipulation de masse !
Bernard Germain
J’en ai déjà vu des manipulation politiques, mais celle-là dépasse tout ce qu’on peut imaginer !
Les français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».
En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche -en fait l’extrême gauche- puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo (PS) … 1,74%), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.
Pourtant, les français avaient sous les yeux le bilan catastrophique de Macron pour son premier quinquennat (2017-2022). Cela aurait dû les alerter. Mais voilà, ils n’ont rien voulu voir ni entendre et ont accepté de se plier à ces directives qui amènent aujourd’hui à une monumentale manipulation.
Dans peu de temps, ils vont connaître le prix pour cette tragique absence de réflexion ! Et cette réforme des retraites n’est que le début de ce qu’ils vont subir.
Quelques éléments vont permettre de me faire comprendre.
Tout d’abord, Macron avait ouvertement dans son programme, annoncé la retraite à 65 ans.
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc, le savaient donc pertinemment.
Pourtant ils ont tous appelé à voter Macron. Pas un n’a manqué à l’appel.
Aujourd’hui Macron applique son programme. En quoi est-ce une surprise ?
Les syndicats, les partis de « gôche », les associations progressistes … etc sont confrontés aux conséquences de leur vote. Et ils s’indignent de cette réforme ?
00:54 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 30 janvier 2023
Reconquête pour l'union des patriotes dans l'Aisne
Romain Dumand
Délégué Départemental Reconquête Aisne
Laon, le 21 janvier 2023.
Merci à tous pour votre présence, merci d’avoir fait le déplacement et de nous soutenir. Notre Fédération est jeune. En effet, j’ai été nommé officiellement Délégué Départemental en septembre dernier. Tout était à faire. Il fallait constituer une équipe compétente, volontaire et représentative, c’est ce que nous avons fait. Je suis heureux de vous présenter Jessy Beaudon, Adjoint en charge de la trésorerie, Benoît Wiart, Responsable de la 1ʳᵉ circonscription, Jérôme Parsy, Responsable de la 2ᵉ circonscription, Patrice Wadbled, responsable de la 3ᵉ circonscription, et Jean-Paul Millet, responsable de la 4ᵉ circonscription.
Avec cette équipe dévouée, nous avons entrepris de créer et de structurer notre Fédération. Les réunions de bureau se sont succédé, avec des échanges toujours très constructifs dans les seuls intérêts de notre mouvement et de la France. Chacun a su trouver sa place et apporter sa personnalité. Je peux vous assurer que vous avez devant vous une équipe compétente, forte, soudée et qui ressent un réel plaisir à travailler ensemble, pour la France.
Notre 1er grand objectif était d’organiser une 1ʳᵉ grande réunion publique et nous l’avons fait, le 19 novembre lors du Beaujolais Nouveau avec la présence du courageux et talentueux Damien Rieu. Vous étiez alors plus de 80 adhérents et sympathisants présents.
Nous n’avons eu que des retours positifs, Damien Rieu a salué notre capacité d’organisation et nous avons reçu les félicitations du siège ! J’en profite pour remercier une nouvelle fois mon équipe pour son travail et son implication remarquable autour de cet évènement qui lançait définitivement la Reconquête dans l’Aisne.
Depuis, nous nous efforçons chaque jour de représenter notre Fédération de l’Aisne partout où nous le pouvons. Ainsi, une forte délégation était présente au Palais des sports en décembre pour fêter le 1er anniversaire de Reconquête. Nous étions déjà présents à Paris pour rendre hommage à Samuel Paty, ce professeur exécuté par un soldat de l’islam. Nous nous sommes également rendus dans le Var pour assister aux universités d’été et nous former politiquement. Ce mercredi, Benoît Wiart était présent dans la Marne pour soutenir la candidature de Marie Pace qui représentera Reconquête demain, lors des élections législatives partielles.
Chaque jour, nous travaillons à l’implantation locale de notre parti. Nous voulons être présents partout, car c’est très certainement de cette façon que nous scellerons les victoires à venir. Ainsi, nous voulons maintenant nous déployer à l’échelle des cantons, puis des communes.
C’est pourquoi nous recherchons des personnes volontaires pour prendre des responsabilités au niveau local et de cette manière augmenter notre capacité d’implantation et élargir considérablement notre niveau de visibilité.
Chaque personne peut nous aider, selon ses domaines de compétences. Nous aurons besoin de tout le monde.
Arriveront rapidement les élections sénatoriales, municipales, départementales, régionales et législatives et nous voulons être en mesure de présenter des candidats sur tout le territoire et imposer nos idées dans le débat politique lors de ces échéances futures.
Nous avons également décidé de nous investir dans le milieu associatif local afin de soutenir toute action qui nous semble juste et bonne pour le département de l’Aisne et ses habitants. Ce sera l’occasion aussi d’accroître notre réseau de connaissances.
En ce qui concerne les ré-adhésions, je suis heureux de vous annoncer que nous atteignons un taux de renouvellement extraordinaire de plus de 90 %. Nous sommes aujourd’hui plus de 100 000 adhérents à jour de cotisation. Oui, le 1er parti de France, c’est nous !
Cela confirme que la Reconquête est bien vivante et qu’elle a vocation à poursuivre son ascension. À tous ceux qui nous pensaient morts, prêts à nous enterrer, nous avons le regret de leur informer que nous venons seulement de naître !
Chaque jour, nous recevons des appels, des mails de soutien, des dons ou encore des propositions pour militer, coller des affiches ou encore distribuer des tracts.
Partout, nous progressons. En septembre dernier, Laurence Trochu, candidate aux élections législatives partielles à Versailles, progressait de 3 points en trois mois !
Il n’en sera pas autrement pour notre cher département de l’Aisne.
Nous nous implanterons, nous progresserons, nous nous imposerons et enfin, nous gagnerons.
Ce territoire, autrefois réputé pour la grandeur et la performance de son industrie, de son agriculture, ce véritable fleuron de la filature, accuse aujourd’hui un taux de chômage des plus élevés de France avec un score de 11,5 %, soit 3 points de plus que la moyenne nationale !
Il suffit de se déplacer à travers nos communes pour observer la misère et la détresse sociale se propager d’une manière fulgurante. Bien des personnes ne mangent plus à leur faim. Pensons à ces parents qui angoissent à l’idée de ne plus pouvoir subvenir convenablement aux besoins de leurs enfants.
Combien de nos aînés n’ont plus les moyens de se payer une mutuelle et refusent de se soigner ? Combien d’artisans et de commerçants mettent la clé sous la porte, étouffés par les charges ?
Combien d’honnêtes travailleurs peinent à faire le plein de leur voiture afin d’aller travailler ? Pendant ce temps, le département de l’Aisne brille par sa générosité envers les profiteurs, les fainéants et les mineurs isolés qui souvent ne sont ni mineurs, ni isolés.
Cette terre axonaise qui a offert à la France les illustres Jean de La Fontaine, Racine, Alexandre Dumas ou encore Ernest Lavisse se trouve sur le podium des départements où le taux d’illettrisme est le plus élevé avec ce score affligeant de 13% !
Ce département si riche en histoire, au patrimoine architectural hors du commun, semble en état d’abandon. Partout nos églises, nos calvaires, nos monuments tombent en ruine dans l’indifférence totale de nos dirigeants. La seule chose qu’ils paraissent vouloir construire et entretenir sont les éoliennes.
Ces monstres de béton qui brassent en réalité plus d’argent que de vent défigurent la beauté de nos paysages. Pensons aux propriétaires résidant à proximité de ces affreux engins.
17:58 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage du Parti de la France samedi à Roger Holeindre
Samedi 28 janvier 2023, le Parti de la France a rendu son traditionnel hommage à son Président d'honneur, Roger Holeindre, disparu depuis désormais 3 ans.
À l'issue de la cérémonie au cimetière qui a réuni une centaine de personne, un dîner, présidé par Jean-Marie Le Pen, s'est tenu à Versailles et différentes personnalités de la droite nationale (Bruno Gollnisch, Thomas Joly, Didier Rochart, Lorrain de Saint-Affrique, Pierre-Nicolas Nups) ont évoqué le souvenir de Roger Holeindre.
Plus de photos cliquez là
16:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mourir pour Kiev et l’Amérique ? Vers la guerre totale et nucléaire
Marc Rousset
Le 14 janvier 2023 est une date qui représente un tournant dans la guerre en Ukraine, les forces Wagner s’étant emparée de la ville de Soledar, ce qui pourrait entraîner une vaste offensive vers l’Ouest. Depuis lors, les Russes ont enregistré victoire sur victoire tout au long de la ligne de front. La Russie s’attaque maintenant d’une façon concomitante à douze points sensibles dont Vougledar, ville de 15 000 habitants à proximité de Donetz ; Moscou cherche à disperser les forces ukrainiennes afin de créer les conditions d’une offensive décisive. Face à l’échec de plus en plus visible de l’OTAN, les Européens atlantistes se déchaînent et n’ont trouvé rien de mieux que de fournir des chars lourds et des avions américains F16 à l’Ukraine, la course aux armements prenant un rythme effréné !
Sur le terrain, la situation de l’armée ukrainienne est catastrophique. L’Ukraine a commencé la guerre en février 2022 avec une « ligne Maginot » locale, soit quatre lignes défensives construites depuis le coup d’État de Maïdan en 2014, dans le cadre de la guerre civile du Donbass avec ses 14 000 morts, et pour préparer la guerre programmée par l’Amérique avec la Russie. La première ligne Lysychansk, Zolote, Popasna a déjà été prise au cours de l’été 2022 par les Russes. Les combats actuels ont lieu sur la deuxième ligne défensive Marinka, Piski, Avdiivka, et sur la Troisième ligne Siversk, Bakhmut, Toretsk, New-York au nord de la deuxième ligne.
Bakhmut représente une position stratégique clé que l’artillerie russe a transformée en « hachoir à viande de Verdun », car les Ukrainiens sont obligés de sacrifier un nombre exorbitant d’hommes pour tenir le plus longtemps possible. La Russie contrôle désormais les hauteurs au nord et au sud de Bakhmut. L’artillerie russe bénéficie d’un avantage de puissance de feu d’environ 9 contre 1. Si les lignes 2 et 3, déjà très fortement éprouvées et saignées, tombent, ce sera le tour ensuite de la quatrième et dernière ligne défensive Kramatorsk, Slavyansk.
Les Russes ont déjà en fait détruit deux armées ukrainiennes ; ils sont en train de détruire la troisième armée otano-kievienne à Bakhmut et ils s’apprêtent à faire face à une quatrième armée otano-kievienne équipée cette fois-ci de blindés modernes et de chasseurs américains F16. Dans les premiers mois qui ont suivi le début du conflit en février 2022, les Russes ont détruit l’essentiel des armes lourdes de l’Ukraine et tué un très grand nombre de militaires professionnels. Puis ils ont fait face à une deuxième armée avec plus de mobilisés et moins de professionnels, équipée de matériel lourd soviétique provenant des stocks des anciens membres du Pacte de Varsovie (Pologne, Bulgarie, République tchèque) ; fin juin 2022, cette armée a été aussi pulvérisée. L’OTAN a alors commencé à constituer une troisième armée otano-kievienne, cette fois-ci avec du matériel occidental tel que le Caesar français et les obusiers américains M777. C’est cette troisième armée que la Russie est en train de finir de détruire à Bakhmut.
15:50 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 29 janvier 2023
La vraie fausse arrestation de Greta Thunberg et les médias de grand chemin
Depuis sa percée médiatique en 2018, Greta Thunberg s’est hissée en égérie de la lutte contre le réchauffement climatique. La jeune Suédoise, souvent considérée comme une marionnette d’intérêts qui la dépassent, s’est illustrée à de nombreuses reprises dont la plus récente remonte au 17 janvier 2023.
Source EuroLibertés cliquez là
En ce mardi 17 janvier, l’activiste de 20 ans prenait part à un sit-in à l’ouest de l’Allemagne pour s’opposer à l’extension d’une mine à ciel ouvert de charbon. Situé dans le village de Lützerath, le site a vu se constituer, depuis près de deux ans, une ZAD. Une équipe de Reuters couvre l’événement. Soudain, voilà Thunberg, prise par les pieds et les mains par deux policiers et conduite un peu plus loin avec, sur son visage, une expression à mi-chemin entre le sourire narquois et une profonde sérénité.
Quelques secondes plus tard, revoilà notre héroïne remise sur pied par ces mêmes policiers se prêtant volontiers à une séance de photo. Tout sourire, elle semble parfaitement au courant qu’elle ne risque rien en présence des caméras. Finalement, tout le petit groupe est arrêté en même temps, et elle sera remise en liberté suite à un contrôle d’identité ayant pris quelques heures. Néanmoins, les sourires et la « douceur » de la maréchaussée lors de la manœuvre ont très vite amené une question : est-ce que cette arrestation ne serait pas une mise en scène ?
Retour en arrière
Pour tenter de répondre à cette question, revenons quelques jours en arrière. Le samedi 14 janvier, la police allemande procède à une évacuation musclée de la ZAD qui, depuis deux ans, donne du fil à retordre aux autorités locales. Le collectif Lützerath vit ! évoque des blessures pour des dizaines de ses militants, dont une vingtaine a dû être hospitalisée. Côté police, ce sont près de soixante-dix blessés, et cent-cinquante zadistes sont poursuivis pour des motifs variés. Des chiffres éloquents sur la violence des affrontements dont Greta Thunberg s’est d’ailleurs fait le relais sur sa page Twitter en diffusant des vidéos de la charge des policiers.
Notons le contraste entre cette violence, abondamment dénoncée par les opposants à la mine de charbon, et l’interpellation complaisante de Greta Thunberg. Sa notoriété, couplée à la présence des caméras, sont deux éléments qui expliquent la douceur de cette arrestation où la police peut montrer qu’elle agit avec tact et délicatesse. C’est d’ailleurs ce qu’a expliqué la police locale, en précisant avoir laissé les journalistes faire leur travail en réponse aux critiques reçues auparavant. Cette potentielle mise en scène aurait donc pu être l’occasion pour la police allemande de redorer son blason.
Ajoutons qu’au moment où Greta est venue sur les lieux, la situation était pratiquement pacifiée. Le risque d’échauffourée était nettement moindre que celui du samedi 14 janvier, et il s’agissait d’une prise de risque minime.
Mise en scène ?
Dans leurs déclarations diverses, journalistes et policiers étaient tous formels, la présence de Greta Thunberg n’était pas connue à l’avance. C’est l’un des éléments principaux qui rendrait impossible la mise en scène.
Cependant, celle-ci est loin d’être improbable puisque, comme le note Le Monde, Greta Thunberg faisait partie des organisateurs de la manifestation du 14 janvier. Il était donc possible et même probable qu’une organisatrice vienne participer à un moment ou à un autre à la manifestation.
Retour sur les écrans
Mais quel aurait été l’intérêt, pour Greta, d’une telle mise en scène ? Tout d’abord, il s’agirait de remettre un coup de projecteur sur une jeune fille que les tribulations n’ont pas permis de rendre visible dans le paysage de manière solide. Depuis un an, le phénomène Greta semble s’essouffler et cette arrestation a remis la lumière sur cette jeune Suédoise qui ferait trembler les grands. Ces grands, elle devait d’ailleurs les côtoyer au prochain forum de Davos qui se tenait quelques jours après l’arrestation. En outre, elle se drape d’une image de dissidente et permet à son combat d’être rangé dans la liste des combats qui vous font connaître les cellules de garde à vue.
D’ailleurs, elle n’a pas manqué de noter dans un tweet suite à son interpellation que celle-ci marquait la « criminalisation » de la lutte contre le changement climatique. Très vite, médias et politiques ont loué le courage de cette petite, confrontée à la police pour ses idées.
Pour finir, reposons la question : cette arrestation était-elle une mise en scène ? Des démentis ont été faits, par la police et par la presse. Dans tous les cas, il s’agit d’une opération de com rondement menée par celle qui, en quelques années, est devenue le visage de l’écologie mondialiste. Bien joué.
Article paru sur le site de l’OJIM
NDLR SN : sur Cretta Turnberg cliquez ici
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Dans Rivarol de cette semaine : un grand article sur le n°24 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au 50e anniversaire de la création du Front national
Robert Spieler Rivarol cliquez ici
La sortie du vingt-quatrième titre de la collection "Les Cahiers d'histoire du nationalisme", édité par Synthèse nationale, correspond au cinquantième anniversaire de la création du Front national au cours de l'automne 1972. Le titre de l'ouvrage est:"Le Front national. Avoir eu tellement raison". Le livre propose une chronologie fort intéressante et dépeint aussi quelques événements marquants tels, entre autres, la campagne présidentielle de 1974, l' "invention" des Fêtes des Bleu Blanc Rouge par Michel Collinot, le lancement de National Hebdo, l'entrée de députés FN à l'Assemblée nationale, et le "coup de tonnerre" du 21 avril 2002 avec la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la Présidentielle, mais aussi les différentes crises qui ont jalonné, du Parti des Forces nouvelles, en 1973, jusqu'à celle des Patriotes de Florian Philippot en 2017, l'histoire du Front.
Les débuts de l'aventure du Front national
L'aventure du Front national débute les 10 et 11 juin 1972 quand se tient dans les salons du Grand Hôtel, à Paris, le deuxième congrès d'Ordre Nouveau. Les délégués décident à une large majorité la participation du mouvement aux élections législatives de 1973, au sein d'une structure élargie nommée "Front national". La présidence du FN est proposée à Jean-Marie Le Pen, ancien député de Paris (1956-1962), retiré de la vie politique au lendemain de la campagne présidentielle de Tixier-Vignancour. Le Pen était alors directeur d'une société d'éditions de disques historiques appréciés, allant des chants de l'armée israélienne à ceux de la Waffen-SS. Le 5 octobre 1972 est créé le "Front national pour l'unité française" dont Le Pen et élu président et François Brigneau vice-président. Dans son premier comité directeur, on trouve des nationalistes issus d'Ordre nouveau et du mensuel Militant de Pierre Bousquet, des nationaux, dont Jean-Marie Le Pen et Roger Holeindre, mais aussi des centristes antigaullistes issus du mouvement de Georges Bidault. Le 7 novembre 1972, le Palais de la Mutualité à Paris est bondé pour le premier meeting du Front national.
12:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Callac : Bernard Germain adresse une lettre-ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc
Suite à l'agression dont a été victime samedi matin Danielle Le Men, présidente de l'Association des Amis de Callac et de ses environs cliquez ici, Bernard Germain, porte-parole du Comité d'organisation de la campagne contre le projet Horizon, vient d'adresser une lettre ouverte à M. Nicolas Heitz, Procureur de la République à Saint-Brieuc, Nous la publions donc ci-dessous.
Rappelons que la semaine dernière, suite aux élucubrations fantaisistes des élus immigrationnistes de Callac, plusieurs responsables de la résistance patriotique locale avaient été entendus par la gendarmerie.
Il est temps d'arrêter de confondre les agresseurs et les agressés...
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Lettre au procureur de Saint-Brieuc
Monsieur le Procureur,
J’ai eu, comme plusieurs autres personnes, à répondre devant les gendarmes que vous avez chargés de m’interroger, dans le cadre de 12 plaintes déposées contre l’association « Les amis de Callac et ses environs » dont je suis membre.
Comme vient de le reconnaître en public le maire de Callac, samedi 28 janvier, nous ne sommes en rien concernés par les accusations portées par ceux qui ont déposé ces 12 plaintes.
Alors pourquoi cet acharnement contre notre association les « amis de Callac et ses environs ».
Nos actions sont menées à visage découvert et « à la loyale ». Nos actions sont uniquement politiques et en aucune manière violentes.
Par contre, Monsieur le Procureur, étrangement, vous restez sans réaction contre les organisateurs de deux contre-manifestations tenues les 17 septembre et 5 novembre 2022.
Ces manifestations n’ont pas été déclarées. Ce qui est absolument illégal.
Elles ont, de plus, été l’occasion d’affrontements très violents de la part d’antifas, contre les gendarmes qui les ont empêchés d’accéder à la place de la mairie où se déroulaient nos deux rassemblements pacifiques contre le projet Horizon.
Samedi 28 Janvier 2023, à l’occasion des vœux du Maire, des antifas ont encore eu recours à la violence. Ils ont agressé Mme Le Men, Présidente de l’association, pour l’empêcher d’accéder à la salle des vœux dans l’enceinte de la mairie. Fort heureusement, elle n’est pas blessée.
Ils ont par ailleurs également agressé les gendarmes présents, blessant l’un deux et dégradant un véhicule de gendarmerie.
Deux interpellations ont eu lieu.
Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur, pour déclencher une enquête sur ces trois évènements où la violence des antifas s’est donnée libre cours à chaque fois ?
Qu’attendez-vous Monsieur le Procureur pour enquêter et poursuivre les membres de l’équipe municipale de Callac qui ont soutenus (voire organisé) les deux contre-manifestations illégales et « chauffé » les antifas pour qu’ils attaquent nos rassemblements pacifiques et à cette occasion agresser les gendarmes qui leur barraient la route ?
Combien de faits condamnables de ce type va-t-il falloir pour qu’enfin vous réagissiez et surtout que vous poursuiviez les responsables de ces faits et exactions ?
Enfin, un article du journal « Le Télégramme de Brest » paru ce jour, dimanche 29 janvier, m’amène à rajouter un paragraphe à cette lettre.
Cet article affirme, concernant les deux personnes appréhendées par les gendarmes :
« Inconnus de la police et de la justice, les jeunes interpellés ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont sortis ce dimanche 29 janvier. Ils ont été déférés à la permanence du parquet de Saint-Brieuc et ils seront jugés, le 9 mai, pour actes de vandalisme. « Le parquet requiert un placement sous contrôle judiciaire et une interdiction de paraître dans le département des Côtes-d’Armor », indique le procureur de la république de Saint-Brieuc. »
Si ce que rapporte cet article est vrai, ma stupeur est totale.
En effet, aucune charge ne semble être retenue par vous, à l’encontre de ces deux antifas, pour avoir agressé des gendarmes, dont l’un d’eux a même été blessé.
Seul l’acte de « vandalisme », sans doute s’agit-il de la dégradation du véhicule de gendarmerie, est retenu contre eux.
Ne pas retenir comme charge, les violences exercées à l’encontre des forces de l’ordre va envoyer un terrible message à la mouvance des antifas.
Ces derniers ne manqueront pas de l’interpréter de manière désastreuse ce qui les conduira certainement à en conclure que « casser du flic » n’est guère risqué.
Je ne peux, Monsieur le procureur, que vous exprimer ma totale désapprobation s’agissant de votre refus de poursuivre ces individus quant aux violences faites aux force de l’ordre.
Veuillez agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes salutations distinguées. »
Le 29 Janvier 2023
Bernard GERMAIN
Porte parole du Comité d’Organisation
Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici
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Samedi 4 février : Hommage parisien à Robert Brasillach
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Callac : les antifas agressent Danielle Le Men, Présidente des « Amis de Callac et ses environs »
Bernard Germain
Samedi matin, à Callac, avaient lieu les vœux du maire.
Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.
C’est Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environ » qui a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.
Ce matin, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.
Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.
Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.
Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.
Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.
Bilan :
- un gendarme blessé
- un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
- deux interpellations d’antifas
- une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.
Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des Amis de Callac.
Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.
Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».
Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! »
Fabuleuse réponse … !
Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».
C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.
De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.
Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».
En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.
Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.
Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !
Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.
Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.
Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.
Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022.
On retrouve partout ces comportements.
Il n’est pas possible qu’ils continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leur projets et ensuite chercher à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.
En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.
Et ce n’est pas en créant un climat délétère par leurs accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.
Pour comprendre l'affaire de Callac cliquez ici
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samedi, 28 janvier 2023
Premières nouvelles en provenance de La Flotte en Ré
Selon le quotidien régional Sud-Ouest (à 15 h 45 - cliquez ici) : "les catholiques sont venus en force".
300 personnes rassemblées au pied de la statue pour mettre à bas les prétentions de l'officine gauchiste "Libre pensée". Un succès...
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Mort de Tyre Nichols aux USA : … va-t-on nous demander de mettre un genou à terre ?
Bernard Germain
Nous sommes à Memphis dans l’État du Tennessee aux USA.
Le 7 janvier 2023 au soir, un groupe de policiers rattrape un automobiliste qui vient de commettre une infraction routière.
La vidéo des caméras embarquées des policiers a été publiée sur internet. On y voit le conducteur arrêté, se faire passer à tabac par ces policiers. C’est ultra violent. Et cela dure un long moment.
Insupportable !
Il se trouve que le conducteur arrêté est noir.
Oh là là,… ça y est, ça recommence.
C’est une nouvelle affaire Georges Floyd, ce noir qui fut tué par un policier blanc en 2020.
Suite à la mort atroce par étouffement de Georges Floyd, le policier blanc fut condamné à 20 ans de prison.
Pour protester contre ce crime « raciste », tout ce que la terre comptait de bien pensants a été invité à mettre un genou à terre, à toute occasion, comme par exemple au début de chaque match de football.
Le système « blanc » a été qualifié de système pratiquant un « racisme systémique ».
D’innombrables manifestations, dont beaucoup furent ultra violentes, se sont déroulées aux USA à l’appel de Black Lives Matter.
Ainsi que dans de multiples pays.
En France, le Comité Traoré s’était déchaîné, essayant de faire le lien entre ce crime aux USA et la mort d’Adama Traoré, suite à son arrestation par les gendarmes.
Et toute la gauche, l’extrême gauche et les médias « progressistes » se sont engouffrés pour dénoncer le prétendu « racisme d’État » qui existerait aux USA et en France.
Pour les Wokistes, et tous ceux qui veulent détruire notre société « blanche », ce fut une aubaine.
Depuis près de 3 ans, le « racisme systémique » de notre société est inlassablement dénoncé et quiconque refusa de mettre un genoux à terre fut impitoyablement dénoncé comme un épouvantable raciste.
Donc avec ce nouveau meurtre « raciste » d’un noir,… nous allons revivre pendant des mois une campagne à l’égale de celle qui fut menée pour Georges Floyd.
Moi, je vous dis que ce ne sera pas le cas.
Les bien pensants et leur presse vendue au wokisme n’appelleront pas à mettre un genoux à terre.
Ils n’appelleront pas à de multiples manifestations.
Il n’y aura pas d’indignation mondiale contre ce « crime raciste ».
Vous savez pourquoi ?
Parce que les 5 policiers, responsables de ce crime immonde, sont… noirs !
Même le chef de la police de Memphis, Cerelyn Davis, est noire.
Et là c’est très ennuyeux pour les wokistes, les bien pensants et tous les organes de presse complices.
En effet, dans ces conditions, comment faire pour présenter cette affaire et en me temps développer leurs thèses accablantes pour la société « blanche » ?
La lecture des organes de presse concernés est sur ce plan, fort édifiante
Le Monde fait un article qui commence ainsi :
« Le 7 janvier 2023, Tyre Nichols, un Afro-Américain de 29 ans, est arrêté par cinq agents de police suite à une infraction au code de la route violemment battu. Il est décédé trois jours plus tard, à l’hôpital. »
Dans le corps de l’article, le lecteur est informé que :
« Le 20 janvier, les cinq policiers impliqués ont tous été renvoyés, avant d’être arrêté le 26 janvier. »
Mais le lecteur ne trouvera nulle trace que tous les policiers incriminés sont noirs !
France info publie sur son site un article ou l’on peut lire :
« Aux États-Unis, les images de l'arrestation de Tyre Nichols, 29 ans, ont été publiées vendredi 27 janvier par la police de Memphis, deux jours après l'incarcération des cinq policiers qui l'ont battu au sol. Elles montrent l'insoutenable brutalité de l'arrestation de l'Afro-Américain, mort trois jours après les faits du 7 janvier. »
Les lecteurs ne sauront pas non plus que les policiers étaient tous noirs.
Libération publie aussi un article qui commence ainsi :
« Insupportable de violence et d’inhumanité, la vidéo du passage à tabac du jeune Noir américain par cinq policiers de Memphis a été diffusée vendredi soir. »
Une seule fois dans l’article, Libération reconnaît la situation embarrassante qui résulte de ce meurtre.
« Ces cinq policiers sont noirs, comme leur victime. Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial pour mettre en lumière une dérive policière américaine systémique »
Libération déclare ouvertement son embarras :
« Cette apparente exception met en sourdine l’argument racial... »
Zut alors,… Libération reconnaît que les bien pensants ne vont pas pouvoir nous resservir leurs thèses délirantes qui aboutissent toutes à la même conclusion… le responsable c’est l’homme blanc dont il faut détruire la société.
Effectivement, cela va être difficile dans ces conditions de faire mettre un genou à terre à la planète entière afin de demander pardon.
A noter qu’à ce jour, aucune réaction de SOS Racisme sur son site ou sur sa page Facebook … un silence pesant.
Ces faits permettent à toute personne, intellectuellement honnête, de constater que le meurtre Tyre Nichols n’est pas moins ni plus horrible que celui de Georges Floyd.
Il est simplement la preuve que la société américaine est devenue une société ultra violente, mais que ce n’est pas un problème de « racisme systémique ». Même si un racisme indéniable existe toujours aux USA, contrairement à la France et aux pays européens.
En menant constamment campagne en France, pour essayer de prouver que notre pays serait raciste, les wokistes et tous leurs complices essayent de détruire notre société.
Il est urgent de les combattre sans relâche et d’empêcher leurs thèses venimeuses de se répandre.
Cette affaire Tyre Nichols en est une nouvelle preuve.
Le wokisme est un cancer qu’il faut éradiquer !
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Journal du chaos
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Callac nous concerne tous, l’exemple de la politique éducative du Gouvernement
Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste
Source Polémia cliquez ici
Callac, paisible commune bretonne, était au cœur d’un débat d’ampleur nationale ces derniers mois. Un projet d’accueil de migrants voulu par la Mairie et un fonds de dotation parisien a rencontré une farouche opposition populaire. Et si ce projet a heureusement était annulé suite à une belle mobilisation, les leçons de cette affaire restent de première importance. En voici un nouvel exemple avec une analyse de Claude Meunier-Berthelot.
Polémia
Que tous les Français prennent très au sérieux et à leur compte l’affaire de Callac, car nous sommes tous concernés par la programmation de la submersion migratoire dans nos campagnes : un cancer généralisé avant la « muerte » !
Le sujet n’est pas sorti subitement du chapeau de Macron, il s’agit d’un projet mûri et préparé de longue date et notamment en matière scolaire.
Le scénario s’est déroulé en trois temps :
-
Fermeture des classes rurales
-
Signature de « conventions ruralité »
-
Constitution de « territoires éducatifs ruraux » (TER)
1 – Fermeture des classes rurales
Ces dernières décennies, les communes rurales avaient organisé des regroupements pédagogiques inter-communaux pour gérer leurs effectifs le plus rationnellement possible, regroupements consistant en ce que les élèves de tous les niveaux soient regroupés dans une même école ou bien par niveau sur différentes écoles de communes limitrophes, ce qui aboutissait dans tous les cas, à une moyenne de 23 élèves par classe.
A partir de 2014, sur décision préfectorale, une multitude de classes ont été fermées en milieu rural sous le prétexte que leur effectif était inférieur à 26 – au total, 808 fermetures à la rentrée 2019 – selon le principal syndicat du primaire, le SNUIpp-FSU – quand les postes supprimés ont été attribués aux REP* pour mettre en œuvre les dédoublements pour les élèves issus de l’immigration et aboutir à 12 élèves par classe !
2- Signature de « conventions ruralité »
De façon concomitante, ont été instaurées des « conventions ruralité », accords conclus entre l’Etat et les collectivités territoriales afin d’établir un schéma territorial pluri-annuel d’évolution de l’organisation scolaire en zone rurale dans le but, non seulement d’une restructuration de l’offre scolaire avec une mise en réseaux des établissements scolaires, mais également en vue d’une amélioration de l’offre scolaire et pour ce faire, les élus locaux ont dû accepter d’engager une démarche de travail avec l’Éducation nationale et entre eux.
Le 8/3/2018, le site du gouvernement titre « l’Education engagée en faveur d’une École rurale de qualité ».
Le 16/01/2019, invité de France-Info, JM. Blanquer déclare « développer une stratégie pour un rebond du monde rural, son but étant de LE RENDRE ATTRACTIF AFIN QUE DES FAMILLES S’Y INSTALLENT », mentionnant qu’un minimum de 2000 créations de postes par an serait nécessaire et 2300 postes créés dans cette optique dès la rentrée 2019.
Le 23/01/2019, sur LCI, au micro de JP Pernaud, avec son cynisme habituel, JM. Blanquer déclarait : « beaucoup de communes rurales craignent la suppression des classes…une crainte non fondée…ajoutant « si l’on se réfère à la nouvelle politique gouvernementale... » et …ce rebond passe par le développement des « conventions ruralité »
Un grand nombre d’écoles communales ont ainsi disparu au profit de réseaux, ce qui désespère non seulement les élus, mais aussi les populations rurales.
Cependant, le problème encore plus crucial est celui de savoir au profit de qui se fait cette « restructuration » et cette « amélioration de l’offre éducative » » (sic)
Sur le site du gouvernement du 8 mars 2018, le ministre mentionne le développement des classes bi-langues, l’enseignement du latin et du grec, l’implantation du dispositif « plus de maîtres que de classes » et cerise sur le gâteau, « la revitalisation de plus 2500 places à la rentrée 2018 des « internats d’excellence » en milieu rural.
Or, il faut savoir que tous ces dispositifs sont réservés uniquement aux élèves issus de l’immigration dans le cadre de la refondation de l’éducation prioritaire dans les REP et REP+ , refondation basée sur la recherche de l’excellence et qui a abouti à la création, par JM Blanquer, de « 200 cités de haute qualité éducative » bénéficiant à 1 million d’élèves issus de l’immigration, cités éducatives « sans mixité sociale » – entendez interdits à nos enfants- quand pour eux, l’École, basée sur des activités et non des cours, devient un simple lieu de vie, en conséquence de quoi, aucun de ces dispositifs ne se justifierait.
3 – Territoires éducatifs ruraux
Ces « conventions ruralité » ont abouti à la création de TER (territoires éducatifs ruraux) dont l’expérimentation a été lancée en janvier 2021 sur 23 territoires . A ce jour, ce dispositif concerne 88 collèges soit 26000 collégiens et 659 écoles, soit 20 000 élèves du primaire.
La réponse du ministre de l’Éducation nationale Pap N’Diaye à la question que lui posait un sénateur à ce sujet et publiée au JO du 24/11/2022 est éloquente :
« Ce dispositif entend renforcer l’accompagnement des élèves dans les TER, à l’instar des « cités éducatives » en zone urbaine…
« …Doté de plus de 100 millions d’euros pour prendre les mesures visant à augmenter le niveau général des élèves, encourager leur ambition et leur mobilité.
« … les projets portés par chacun des TER s’appuient en priorité sur des outils et dispositifs existants (ndlr. uniquement dans les REP et REP+) à savoir :
-
Stages de réussite,
-
École ouverte,
-
Devoirs faits,
-
Plan bibliothèque d’école,
-
Cordées de la réussite
-
Plan internats d’excellence.
Jamais aucun de ces dispositifs n’a été déployé dans l’École publique de nos enfants et ne le sera pas. Ces TER ne sont pas faits pour eux.
Dans le magazine du groupe « Caisse des dépôts », un éditorial du directeur général Eric Lombard, précise que « pour aider les élus des petites villes à accueillir de nouveaux arrivants et à revitaliser les petites communes, la caisse des dépôts participe activement au programme « petites villes de demain » lancé par le ministère de la cohésion des territoires en octobre 2020 »
La banque des territoires accompagne ainsi plus de 1600 communes rurales de moins de moins de 20 000 habitants
But : entre autres, rénover les écoles rurales !
La suppression des écoles communales a donc pour effet de pousser les populations autochtones vers les villes pour assurer la scolarisation de leurs enfants et les populations immigrées sont poussées à s’installer en milieu rural grâce, notamment, à ces dispositifs scolaires taillés sur mesure, « du cousu main » comme le disait à ce sujet Claude Allègre.
Voilà la politique du grand remplacement du ministre de l’Education en milieu rural : à la fois quantitatif et qualitatif : rien n’est trop beau pour les populations issues de l’immigration.
C’est le dispositif concocté par le gouvernement pour assurer la transition démographique de Monsieur Macron, c’est la politique qui avait été envisagée pour Callac, mais c’est aussi la politique voulue et préparée par le gouvernement sur tout le territoire français.
Callac s’est battu vaillamment avec l’aide d’associations valeureuses et a gagné.
Que cela soit, comme le souhaite et l’a écrit dans son livre Bernard Germain, « la mère des batailles » et que nous sachions, nous aussi, nous battre en connaissance de cause, car nous sommes tous concernés.
Notes :
* REP – Réseaux d’Education Prioritaire
Cf. ouvrages :
-
« Callac, la mère des batailles » – 186 p. – Bernard Germain – Synthèse Edition
-
« C’est l’identité française qu’on assassine » – Claude Meunier-Berthelot 148 p. Editions des trianons
-
« Blanquer le cynique » 182 p. -y (p.152 à 165) – Claude Meunier-Berthelot – Editions des trianons.
En vente dans toutes les libraires et sur le site de la « Librairie française ».
01:34 Publié dans Callac 22, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 27 janvier 2023
Tous samedi à La Flotte en Ré pour sauver la statue de la Sainte Vierge
Depuis quelques semaines, la mobilisation s'amplifie pour mettre fin aux prétentions d'une officine trotskiste intitulée La Libre pensée qui ne supporte pas de voir une statue de la Sainte Vierge à l'entrée du village de La Flotte en Ré situé sur l'Ile éponyme (17).
Demain samedi une grande manifestation est organisée sur place par les forces nationales et catholiques pour défendre ce magnifique symbole de notre civilisation. Tous nos amis sont invités à y participer !
Pour signer la pétition cliquez ici
Lire aussi cliquez là
18:53 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Joël Provansal, militant historique de la cause, est décédé
Depuis la Fédération des étudiants nationalistes, au début des années 1960, Joël Provansal (au premier plan sur la photo ci-dessus, lors d'une vente à la criée d'Europe Action à Paris) était une figure connue dans les milieux nationalistes et identitaires. Après la FEN, ce fut Occident, puis le GRECE...
Toute sa vie Joël a aussi voyagé à travers le monde... souvent de façon originale dans les endroits les plus insolites. Un jour, dans les années 1980, il s'est installé en Afrique du Sud. A cette époque, cela signifiait encore quelque chose...
Malgré son éloignement, il est resté fidèle à ses engagements de jeunesse et intéressé par tout ce qui se passait dans notre famille politique. Lors de ses séjours dans la Mère-Patrie, il assistait parfois à nos journées annuelles de Synthèse nationale, ou à nos conférences parisiennes. C'était toujours un plaisir de le retrouver.
L'an dernier, il est revenu définitivement en France. Hélas, ce fut pour une courte durée car il vient de nous quitter, entouré des siens, le 21 janvier dernier, terrassé par la maladie.
Toute la communauté militante le regrettera.
R H
18:50 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La « peste brune »… c’est POLITIS et leurs semblables !
Bernard Germain
Le moins qu’on puisse dire c’est que ce « journal » POLITIS n’y va pas avec le dos de la cuillère, je devrais employer un autre mot que « journal » mais ce serait grossier.
Sont cloués au pilori par ce « journal » : Cyril Hanouna (qui est « juif »), Pascal Praud (qui est un homme « hétéro » de plus de 50 ans), Christine Kelly (qui est « noire »), Mathieu Delormeau (qui est « homo » mais dénonce les « gays prides », les « folles », … etc.) ainsi que Jean-Marc Morandini (incarnation de la presse « poubelle »).
Eh bien, dites donc, en voilà une belle brochette… et pas du petit fretin. Et POLITIS d’annoncer benoîtement que l’objectif c’est de faire taire ces odieux personnages. Rien que ça … !
Mais au fait quel est leur crime, pour être ainsi victimes de cet authentique lynchage médiatique ?
C’est tout simple, ils refusent de baisser pavillon devant les bien-pensants, l’extrême gauche et tout ce que la France compte de wokistes.
Bref, ce sont donc des… « fascistes », des gens « d’extrême-droite » qu’il faut à tout prix détruire en commençant par leur réputation, puisqu’il n’est pas possible aujourd’hui de les détruire physiquement, sauf à passer en cour d’assise.
Pour tous les sujets, c’est invariablement la même méthode qui revient. Vous osez discuter, contester, vous opposer… alors vous êtes fasciste et d’extrême droite et vous êtes accusé d’utiliser des méthodes violentes pour imposer votre point de vue.
Ainsi, à Callac, douze plaintes ont été déposées par des membres du conseil municipal contre ceux qui ont mené la bataille contre le projet Horizon. De nombreux militants de l’Association « les Amis de Callac et ses environs » (dont moi) ont été ou sont convoqués à la gendarmerie qui mène l’enquête suite aux plaintes déposées.
Mais ce qui est extraordinaire c’est que la « gôche », c’est à dire principalement le conseil municipal, qui a organisé deux contre-manifestations les 17 et septembre et 5 novembre 2022, contre nos rassemblements devant la mairie… n’a pas déposé de demande de manifestation ! Pour notre part tout a été fait dans les règles et nos deux manifestations étaient déclarées et acceptées par la Mairie et la Préfecture.
De même lors de ces deux contre-manifestations, il y a eu des violences des antifas contre les gendarmes. Ces derniers ont fait le nécessaire pour empêcher ces nervis d’atteindre la place de la mairie et nous agresser. Mais c’est nous qu’on déclare des gens violents, alors qu’il n’y a eu aucun incident durant nos deux rassemblements.
Reste que… ni les non-déclarations des deux contre-manifestations, ni les violences des antifas contre les gendarmes n’ont fait l’objet d’enquêtes ni de poursuites par la Procureur de la République. Pourquoi ?
Vous ne trouvez pas cela bizarre … ?
Par contre, nous qui n’avons strictement rien fait de répréhensible, nous sommes convoqués à la gendarmerie et le Procureur dirige l’enquête en cours contre nous.
Et quels crimes nous sont reprochés ?
Des accusations gratuites, sans aucune preuve, énoncées par des élus qui n’acceptent pas que les habitants aient mené campagne avec nous pour faire échouer le projet Horizon.
Pour nos accusateurs, comme pour POLITIS, il faut… faire taire ceux qui ne veulent pas baisser pavillon et continuent à défendre la France et les Français.
Pour nous salir tout est bon. Un conseiller municipal a ainsi déclaré : « J’ai vu un homme cagoulé dans mon jardin durant la nuit ». La belle affaire ! Moi aussi je peux déclarer la même chose… est-ce pour autant un fait réel ?
Le maire se dit victime de menaces de mort, comme la célèbre Laure-Line… mais où sont les preuves ?
S’il s’agit de coups de téléphone, depuis le temps qu’ils racontent cette histoire, la gendarmerie à largement eu le temps d’identifier les auteurs des appels. Il lui suffit de demander à l’opérateur téléphonique l’identité du propriétaire de la ligne qui appelle.
Si ce sont des mails, avec l’adresse IP de l’expéditeur on peut l’identifier très facilement.
Et s’il s’agit de lettres papier, on peut facilement relever des traces ADN …
Donc tout cela, ce sont que des balivernes et des racontars qui ne résistent pas cinq minutes à la plus élémentaire critique.
Alors, pour quelles raisons agissent-ils ainsi ?
Tout simplement pour cacher qu’ils ne se remettent pas d’avoir été désavoués par les habitants et notre mobilisation. Ils ne supportent pas la démocratie. Ils ne supportent pas que les habitants s’opposent à leurs projets. Ils veulent pouvoir décider seuls et imposer leurs décisions à tous, sans discussion ! Ils ne sont que des petits bureaucrates ayant la haine du peuple et de la démocratie.
Alors face à leur défaite et à leur échec, ils ne savent qu’accuser et salir pour se dédouaner. Beaumarchais disait : « Calomniez, calomniez… il en restera toujours quelque chose ! »
Le plus pitoyable étant que l’essentiel de la presse reprend la fable des prétendues « violences » de l’extrême droite. Affirmant que c’est grâce à ces violences que nous aurions gagné à Callac. Il ne leur vient même pas à l’esprit que la mairie a caché son projet, qu’elle a ensuite refusé de faire un référendum parce que « 80 % de la population est contre », donc la population s’est levée contre ces méthodes anti-démocratiques et a imposé l’abandon du projet.
Nous menons notre combat à visage découvert et « à la loyale ». Pas avec des méthodes de voyous comme le fait la « gôche » et la mairie en utilisant notamment la violence des antifas. Les seuls qui devraient être dénoncés, accusés et condamnés, ce sont nos accusateurs. Pas nous !
Aujourd’hui, à St-Brévin, ce sont les mêmes méthodes qu’on voit apparaître.
La Directrice de l’école refuse de recevoir le Collectif qui lutte contre l’installation du CADA à côté de l’école. Par ailleurs, elle ne cache pas son soutien à l’installation du CADA. Nous avons dénoncé son attitude, parce que nous voulons protéger les enfants, mais… c’est le Collectif qui est accusé de faire pression sur elle et comme à Callac cette directrice prétend recevoir des menaces.
« Calomniez, calomniez…
il en restera toujours quelque chose ! »
Tous ces vendus à la politique immigrationniste doivent bien se mettre en tête que nous mènerons notre combat partout, au grand jour et à visage découvert, contrairement à eux qui ne cessent d’agir dans l’ombre et en cachant tout à la population.
Ce n’est pas la violence ou les méthodes troubles qui nous donneront la victoire, mais c’est la volonté de la population qui n’accepte pas leurs plans et projets pour détruire notre pays, qui finira par s’imposer grâce à nos mobilisations.
Qu’ils ne comptent pas sur leurs méthodes nauséabondes pour nous intimider. Nous ne lâcherons rien.
La « peste brune » c’est POLITIS ainsi que tous les médias du même acabit et leurs nombreux complices, élus ou pas.
À propos de Callac :
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Marion Maréchal était jeudi soir sur BFM...
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Coupable incurie
Yves Thréard
Si certaines réformes, comme celle des retraites, sont délicates à conduire, car elles rencontrent une vive opposition dans l’opinion, d’autres paraissent beaucoup plus simples, tant elles sont attendues. Ainsi en va-t-il de l’immigration en France. Régulière ou pas, elle a encore battu des records l’année dernière, sans même compter l’exode forcé des Ukrainiens. Depuis des décennies, le sujet ne cesse d’inquiéter. Pourtant, rien ne change, tout empire : les camps de fortune se multiplient, les tensions dans certains quartiers ou territoires montent dangereusement et les liens avec l’augmentation de la délinquance sont manifestes.
Dans ce contexte, il y a fort à parier que le projet de loi asile et immigration que doit présenter le gouvernement au printemps sera encore un coup d’épée dans l’eau. Il illustre, jusqu’à la caricature, l’incapacité des gouvernants à prendre le taureau par les cornes. Pour ne pas fâcher les gardiens de la bien-pensance, la prétention d’expulser davantage les clandestins sera compensée par la régularisation d’autres, dans les métiers en mal de main-d’œuvre. On peut déjà faire le bilan de l’opération...
Les explications ne manquent pas pour mas- quer cette coupable incurie. On connaît la petite musique sur la France terre d’asile, ouverte à tous les damnés de la planète. Au passage, les candidats à l’immigration connaissent aussi la générosité du modèle français. L’autre refrain consiste à tout mettre sur le dos de l’Union européenne, où il est impossible de s’entendre sur une politique commune. Pour l’affichage, une énième réunion des ministres de l’Intérieur a d’ailleurs eu lieu ce jeudi à Stockholm.
Même si elle n’a pas la même histoire, la France devrait s’inspirer du Danemark pour retrouver le chemin de la raison. Depuis vingt ans, ce pays a décidé de réduire drastiquement les flux migratoires et d’appliquer une politique exigeante d’intégration. Alors qu’il est aujourd’hui gouverné à gauche, membre de l’Union européenne et intégré à l’espace Schengen, quelle est donc sa recette? Ni plus ni moins que la volonté et le courage politique. A bon entendeur….
Le Figaro brosse un bref état des lieux ICI
Source : Figaro 27/1/2023
11:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’ombre de l’Algérie sur la France La chronique flibustière de
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Bien que passée inaperçue, elle a été la première polémique de l’année 2023. José Gonzalez, député RN de la 10e circonscription des Bouches-du-Rhône, accède à l’une des dix vice-présidences des Amitiés parlementaires France–Algérie. La gauche crie au scandale d’autant que le doyen de l’Assemblée nationale, originaire d’Oran, n’a jamais caché la déchirure de l’exil et la nostalgie pour la terre de ses ancêtres. Cette vaine querelle prouve encore l’intensité, la profondeur et la complexité des relations franco-algériennes. Or, malgré une indépendance acquise depuis soixante ans, l’Algérie continue à peser sur le devenir français.
En septembre 2021, le gouvernement français restreignait le nombre de visas accordés non seulement aux Algériens, mais aussi aux Tunisiens et aux Marocains. En 2019, Paris avait accordé environ 200 000 visas aux seuls Algériens ! Cette mesure de rétorsion répondait au refus habituel des trois États maghrébins de ne pas reprendre (ou bien peu) leurs ressortissants expulsés de l’Hexagone. En 2019, le taux de reconduction à la frontière ne représentait que 14,4 %. Le Figaro du 19 octobre 2022 signalait qu’« en 2021, les Algériens composaient la seconde nationalité la plus représentée en CRA (centre de rétention administrative) (1 687 personnes, 10,3 % du total), après les Albanais (1 521, 11,5 %), les Tunisiens (1 387, 9,4 %) et les Marocains (1 587, 8,6 %) suivaient ». La « crise des visas » s’achève en décembre 2022 par l’incroyable reculade du gouvernement français. A-t-il pris conscience du poids démographique algérien en France ? A-t-il tenu compte des impératifs énergétiques et économiques du moment ?
On recense entre 75 et 85 vols quotidiens entre la France et l’Algérie, soit quatre cents liaisons aériennes par semaine ! Un article du Monde du 25 août 2022 citait Christophe Castaner de sinistre mémoire évoquant « 1,2 millions de Français algériens qui votent ». Un parent faisant son service militaire en 1995 se souvient qu’un binational qui préférait effectuer dix mois de conscription en France plutôt que deux ans en Algérie, lui déclara avoir voté à l’élection présidentielle algérienne pour le candidat islamiste Mahfoud Nahnah…
L’octroi massif de visas aux Algériens est une exigence fréquente de la rue maghrébine. Dès qu’un président hexagonal parcourt Alger, Constantine, Tizi Ouzou, la foule lui hurle : « Des visas ! Des visas ! Des visas ! » Les autorités algériennes aimeraient que leur validité dure plus longtemps. L’actuel chef de l’État algérien, Abdelmadjid Tebboune, déclare au Figaro du 30 décembre 2022 : « Je me permets de paraphraser un ami qui, de manière anecdotique et ironique, me déclarait récemment que les Algériens devraient avoir des visas d’une durée de 132 ans. » Par-delà le ton sarcastique, les propos présidentiels ne peuvent qu’encourager les Harraga, ces jeunes Algériens désespérés par l’inertie du régime, son incompétence et sa kleptocratie, à émigrer en France. Ambassadeur de France en Algérie à deux reprises (2008 – 2012 et 2017 – 2020), Xavier Driencourt explique dans Le Figaro du 21 décembre 2022 que « les autorités algériennes n’ont pas intérêt à récupérer ces ressortissants, réfractaires, politiquement marginaux ou contestataires, souvent kabyles, qui fuient leur pays en raison du contexte politique ou pour des raisons économiques; ces migrants sont une variable d’ajustement dans un pays en crise ».
L’attrait migratoire de l’Hexagone se comprend pour la libéralité de ses prestations sociales supérieures à un modèle suédois dépassé qu’il délivre aux immigrés. Sans omettre d’autres facilités obtenues. Par exemple, Xavier Driencourt insiste sur « l’utilisation des passeports diplomatiques, qui permet à nombre de ressortissants algériens de venir en France sans visa et sans aucune forme de contrôle, la non-délivrance de titres de séjour aux Algériens qui ne résident pas en France mais qui profitent de leur carte de résident pour se faire soigner et/ou bénéficier des avantages sociaux du système français ». L’« envie de France » s’accroît au moment où le gouvernement algérien retire la langue française à l’école au profit de l’anglais. Le président Tebboune a beau déclaré qu’« en 2022, l’Algérie compte 27 millions de locuteurs qui maîtrisent le français sur 45 millions d’habitants », il estime néanmoins que son pays « ne s’est pas libéré pour faire partie d’un je ne sais quel commonwealth linguistique ». L’arrêt de l’apprentissage de la langue de Molière dans le système scolaire ne signifie pas la fin des flux migratoires. Bien au contraire !
Lors de la campagne présidentielle de 2012, alors conseiller de l’ombre de Nicolas Sarközy, Patrick Buisson suggérait au président-candidat d’abroger la partie encore en vigueur des accords d’Évian. L’ambassadeur Driencourt propose pour sa part « la dénonciation ou à tout le moins la renégociation des accords de 1968 ». « Ces accords du 27 décembre 1968, précise-t-il, portent sur les conditions d’arrivée et d’installation des Algériens en France. Ils comprennent de nombreuses dispositions dérogatoires par rapport aux autres nationalités, y compris les Marocains et les Tunisiens : certificat de résidence de dix ans, régularisation des sans-papiers facilitée, regroupement familial accéléré, conditions d’intégration dans la société française assouplies par rapport aux autres nationalités, visas étudiants assez généreux, etc. Beaucoup de facilités, donc, au bénéfice des Algériens. Négociés et signés dans la foulée des accords d’Évian, à une époque où la France voulait faire venir en France une main-d’œuvre algérienne francophone, ces accords n’ont plus de sens dans le contexte actuel ». Hélas ! on sait que le gouvernement macronien ne fera rien alors que les Algériens présents en France, quand ils ne militent pas en faveur de la cause kabyle, s’islamisent très rapidement. N’oublions jamais cette pancarte mal orthographiée brandie par une participante goguenarde à une manifestation contre le concept fallacieux d’islamophobie tenue à Paris le 19 octobre 2019 : « Française musulmane et voilée, si je vous dérange, je vous invite à quitter mon pays. »
Un lecteur de Valeurs actuelles du 7 juillet 2022 cite par ailleurs Léon Roches rapportant les commentaires de l’émir Abdel Kader dont il fut le secrétaire particulier de 1836 à 1840 : « Nous avons vendu notre âme à Dieu, nous méprisons la mort. C’est nous qui rendrons la Mitidja déserte et qui bloquerons l’infidèle dans Alger. Bientôt nous chasserons les Français d’Alger. Puis nous passerons la mer sur des barques. Nous prendrons Paris. Nous nous y assemblerons. Puis nous conquerrons les autres nations et nous leur apprendrons la vérité du vrai Dieu. » Après cinq années de détention et libéré par un homme qui a lui aussi connu l’emprisonnement, le prince-président Louis-Napoléon Bonaparte, l’émir s’installera à Beyrouth où il protégera des chrétiens persécutés. Quant à ses petits-fils, ils seront officiers de l’armée française.
Les réflexions d’Abdel Kader se comprennent à l’aune de l’histoire de la future Algérie. Elle fut du Moyen Âge jusqu’à la conquête de 1830 un puissant foyer de piraterie barbaresque. En 1541, l’empereur Charles Quint organisa le siège d’Alger sans pour autant pouvoir briser cette menace.
Détentrice de gisements considérables d’hydrocarbures, l’Algérie a les moyens de jouer sur l’activité économique et l’avenir énergétique de la France. L’importante communauté algérienne, binationale ou non, constitue un autre moyen de pression. En 2002, au mépris de la souveraineté nationale, l’Amicale des Algériens en Europe appelait à voter contre Jean-Marie Le Pen présent au second tour de l’élection présidentielle. Les prochaines décennies confirmeront peut-être la prédiction de Mohamed Larbi Ben M'hidi (1923–1957), l’un des six fondateurs du FLN (Front de libération nationale). Il lança aux soldats français qui venaient de l’arrêter : « Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque. Vous voulez l’Algérie française et moi je vous annonce la France algérienne. »
Salutations flibustières !
« Vigie d’un monde en ébullition », n°58, mise en ligne le 25 janvier 2023 sur Radio Méridien Zéro.
09:31 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 28 janvier, au Puy-en-Velay, concert de Fleur d'épine
01:04 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 janvier 2023
Le Cercle franco-hispanique se renforce avec la participation de Jean-Romé Charbonneau à la rédaction de son bulletin trimestriel
On ne soulignera jamais assez l'excellent travail réalisé par le Cercle franco-hispanique qui se fixe comme principal objectif de rétablir la vérité (tant décriée) par rapport à l'Espagne nationaliste. Créé il y a une quarantaine d'années par notre Cher Olivier Grimaldi, hélas décédé en 2014, le CFH est depuis présidé par son épouse Hélène.
Ces derniers mois, la rédaction du bulletin trimestriel du CFH, La Lettre des Amitiés franco-espagnoles, dont le n°113 vient de sortir, a été renforcée par l'arrivée d'un fin connaisseur de l'Espagne franquiste et phalangiste en la personne de Jean-Romé Charbonneau, ancien conseiller régional du Poitou Charentes.
Pour continuer et amplifier son action, le CFH a besoin de votre aide. Alors, n'hésitez pas à y adhérer.
S N
19:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vaincre ou Mourir : les séances près de chez vous...
18:44 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |