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mercredi, 13 novembre 2019

L’aventure SOS Chrétiens d’Orient: Le 20 novembre à Bruxelles

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Charles de Meyer présentera l'aventure SOS Chrétiens d'Orient, le mercredi 20 novembre prochain, à 20h.

6 années au service des chrétiens d'Orient, Syrie, Irak, Liban; Jordanie, Egypte; Pakistan; Arménie. Des missions d'urgences absolues aux projets de construction et de reconstruction, venez entendre le témoignage de Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d'Orient et co fondateur de SOS Chrétiens d'Orient, écoutez son témoignage et posez lui vos questions.

Entrée libre, inscription recommandée pour pouvoir accéder à l'entrée 'coupe file'.

Inscriptions 'coupe-file' recommandéesICI

Lieu : Espace Lumen Chaussée de Boondael 32 Ixelles

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Mur des cons : l’audience de la Cour d’Appel de Paris se tiendra ces 13 et 14 novembre

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Communiqué des parents d’Anne-Lorraine Schmitt :

Le Tribunal de Grande Instance de PARIS avait condamné au terme de l’audience du 31 janvier 2019, Françoise Martres, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature (SM) poursuivie dans l’affaire du «mur des cons», pour «injure publique», à nous verser la somme de 5.000 euros à titre de dommages et intérêts, outre une somme de 10.000 euros pour frais de procédure en vertu des dispositions de l’article 475-1 du Code de Procédure Pénale. Françoise MARTRES, soutenu par son organisation syndicale, a décidé de faire appel de ce jugement de première instance.

L’audience de la Cour d’Appel de Paris se tiendra les 13 et 14 novembre 2019, à partir de 13h30, au palais de justice 10 Boulevard du Palais 75001 Paris. Cette audience est publique

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Conflits N24 - Djihadisme, mafias : la World Connection

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En kiosque actuellement 

plus d'info via le site de Conflits

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5ème Forum de la Dissidence, samedi 23 novembre à Paris

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Forum de la Dissidence, samedi 23 novembre à Paris, à partir de 14 heures.

Réservez sans tarder vos billets ici.

 
 

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Colloque à Paris le 30 novembre "La France et l'islam: état des lieux"

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Un Colloque organisé par le Centre Charlier, l'AGRIF, Chrétienté-Solidarité.

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Matteo Salvini se rend en Flandre

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Le dirigeant de la Ligue Matteo Salvini sera à Anvers en Belgique (Flandre) à l'invitation du Vlaams Belang ce 2 décembre à 20h.

Inscription obligatoire : salvini.be

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mercredi, 06 novembre 2019

Sibeth Ndiaye se demande si RT France est bien un média, elle veut un conseil de déontologie pour en être sûre

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Sibeth dans ses oeuvres

Le 4 novembre dernier, Sibeth Ndiaye était l’invité d’une émission de France Culture à la Maison de la Radio où elle a pu faire part aux auditeurs de sa définition très restrictive du journalisme : elle s’est notamment demandé si RT France était réellement un “média”. Le monde à l’envers.

On a tous vu que sur Youtube, lorsqu’on regarde une vidéo de RT France, il y a désormais un petit encart pour nous prévenir des risques que nous encourrons, comme pour les paquets de cigarettes. Alors certes, ce n’est pas encore : “Regarder RT France tue” mais l’idée est là : “RT est financée entièrement ou partiellement par le gouvernement russe.” suivi d’un petit lien Wikipédia. Le sous-entendu est clair : cette chaîne n’est pas une chaîne comme les autres : vous êtes susceptibles de vous faire manipuler par le méchant Poutine. Et lorsqu’on regarde une vidéo de France24 (l’équivalent français de Russia Today), curieusement, les termes sont différents, moins anxiogènes : “France 24 est une chaîne du service public français.”

C’est de cette différence de traitement entre les médias dont parle Sibeth Ndiaye sur France Culture pour en approuver le principe. Il y aurait en quelque sorte les “vrais” et les “faux” médias. Extrait (le passage commence à 27’16) :

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mardi, 05 novembre 2019

Entretien exclusif avec Alexander Tschugguel, le jeune homme qui a jeté les idoles Pachamama dans le Tibre

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Jeanne Smits

Corrispondenza Romana a révélé ce matin l'identité du jeune homme qui a jeté les idoles Pachama dans le Tibre le 21 octobre dernier après les avoir extraites de l'église Santa Maria in Traspontina où elles avaient été scandaleusement placées et honorées à l'occasion du synode sur l'Amazonie. Il s'agit d'un Autrichien, Alexander Tschugguel, 26 ans, militant pro-vie. Il a répondu à mes questions à propos d'un geste qui a été qualifié récemment par Mgr Athanasius Schneider d'« acte héroïque ».

Voici, en exclusivité , mon entretien de ce jour avec Alexander Tschugguel (retranscription traduite par mes soins).

Alexander Tschugguel, vous venez de révéler que vous êtes l’homme qui a jeté les idoles Pachamama dans le Tibre. Pourquoi avez-vous décidé de rendre cette information publique ?

Au moment où j’ai fait cela, je voulais vraiment que l’attention de tous soit focalisée sur cette action. Je voulais qu’on voie seulement ce qui s’était passé. Je ne voulais pas apparaître afin que le public se concentre sur ce que nous avons fait et pourquoi. Lorsque nous avons publié notre vidéo, nous ne voulions pas qu’on sache qui nous étions.

Mais maintenant, le synode étant désormais achevé, le Vatican et certains pères synodaux tentent déjà d’étouffer les sujets qui ont été soulevés lors du Synode : tout ce à quoi s’opposent les catholiques fidèles. C’est pourquoi nous avons pensé que le temps était peut-être venu de nous manifester, de dire qui nous sommes, et pourquoi nous avons agi ainsi, pour donner une nouvelle vigueur à tout cela. Nous voulons que les gens sachent vraiment ce qui s’est passé au moment du synode, nous voulons qu’ils sachent exactement ce qu’est une Pachamama, et ce qu’on en a fait lors du synode : les rituels qui ont eu lieu aux jardins du Vatican, le chemin de Croix et tous les autres événements de ce genre. Nous avons réellement voulu mettre en évidence que ce qui s’est produit au synode, en tout cas en ce qui concerne de nombreux points, est rejeté par les fidèles. Ce sont des choses que nous ne voulons pas voir se produire dans une église.

Je sais bien que l’objectif du Synode est de constituer un conseil pour le pape, de telle sorte que le pape puisse prendre des décisions pour l’avenir. Mais ayant vu que les pères synodaux ne disent que des choses que nous autres laïcs catholiques ne pouvons approuver, il nous a paru très important de hausser la voix afin que le pape sache ce que les fidèles pensent vraiment. C’est pourquoi j’ai pensé qu’il était très important de nous manifester et de montrer mon visage, car en tant que catholique, je veux me battre à visage découvert. En allemand nous disons : « A visière ouverte. »

Voilà qui fait penser aux chevaliers. Avez-vous fais ce geste à la manière de chevaliers médiévaux ?

C’est vous qui l’avez dit, pas moi ! En fait, ça a été quelque chose de très cool. Pendant que nous menions notre action, nous nous demandions comment les gens allaient réagir. Eh bien, la plupart des fidèles étaient complètement de notre côté, tout comme de nombreux évêque, et même quelques cardinaux et de nombreux prêtres qui ont déclaré que nous étions du bon côté.


Évidemment, tout cela peut nous faire penser à une action chevaleresque des temps modernes, mais je pense toujours au chevalier comme à celui qui sacrifie sa vie, sa santé – et je dois admettre que je suis en parfaite santé et que je me bats aujourd’hui sur les médias en ligne. Tout cela est donc bien différent. Pourrait-on parler d’un chevalier moderne ? À vrai dire je n’en sais rien.

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Pour « sauver la planète », l'industrie tue les campagnes

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Au nom de la transition énergétique, les campagnes s’industrialisent à grande vitesse. L’autrice de cette tribune raconte la métamorphose de la Haute-Marne, autrefois vivante et dorénavant colonisée par les éoliennes, les méthaniseurs, les plantations de biomasse

Il est minuit, ma maison vrombit, mon cœur est écrasé, mon crâne résonne. Les fenêtres fermées, les boules Quies ne font qu’empirer les choses. Où aller ? Au fond des bois ? Les infrasons des éoliennes industrielles ne connaissent pas les frontières. Elles sont partout. Mon corps est à bout.

Seules deux vallées ne sont pas encore attaquées à proximité de chez moi. Les mâts des éoliennes et les méthaniseurs poussent aussi vite que tombent les forêts ! Il n’y a plus de refuge. La campagne s’industrialise.

J’ai passé le week-end chez moi, face aux collines, dans mon village de 70 habitants, la maison dans laquelle mes enfants ont grandi, qu’on a restaurée ensemble. J’avais beaucoup à faire, je n’ai rien fait ou presque, je n’ai pas eu besoin de regarder la météo pour savoir d’où venait le vent. Mon corps n’avait qu’une tension, fuir ce lieu inondé par un poison vibratoire. Du sud au nord, en passant par l’ouest, plus de 70 éoliennes industrielles de 150 mètres. À l’Est, six, 183 m de haut, diamètre 150 m, bientôt 29. Partout, des centaines en projet ou prêtes à sortir de terre. Du haut de la colline, j’ai dit adieu aux couchers de soleil il y a neuf ans, et récemment aux levers. Adieu à la nuit pure. Les promenades sur le plateau rendent fou.

Les bois qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse 

À 200 m de la maison, deux fermes, « normales » il y a peu, incarcèrent désormais douze mois sur douze quelques centaines de vaches sous les tôles. Ventilateurs, tanks à lait, robots de traite, engins qui désilent, mélangent, transportent, paillent, distribuent, curent, et retransportent. Les bruits de moteur sont incessants. Vaches à méthane ou vaches à lait, toutes ont le même sort, les riverains aussi !

Marie, une riveraine, est à bout, sur sa petite route de campagne. Sept jours sur sept, les tracteurs passent pour alimenter le méthaniseur voisin en fumier collecté dans un rayon de 60 km, les prés ont été retournés pour planter le maïs qui servira à nourrir le méthaniseur et les vaches prisonnières qui fournissent la manne. La paille aussi voyage. Sous la canicule, les vaches enfermées hurlent, tapent nuit et jour dans la ferraille qui les enferme, l’ensilage pue.

Où aller ? Au fond des bois ? Quels bois ? Ceux qui n’ont pas encore été rasés sont dépouillés depuis qu’on ne parle plus de forêts, mais de biomasse. De mes fenêtres, je vois clair au travers des collines. Plus de sous-bois, des champs de troncs. Le long des chemins, les arbres trop jeunes, condamnés à ne pas devenir des chênes centenaires, s’alignent, en attendant d’être déchiquetés avec beaucoup d’énergie, recollés en pellets, voire transformés en carburant ! Il y a quelque temps, un bûcheron s’inquiétait : « Dans dix ans, il n’y aura plus rien ! » Sur les photos aériennes, une bande boisée au bord des routes, pour tromper le peuple, mais c’est une coquille vide. Dix ans, c’était optimiste. Qui ose encore signer les pétitions contre la déforestation de la forêt amazonienne ? Le poumon vert de la France, ça ne compte pas ?

Officiellement, on n’a plus le droit de retourner les prairies [pas pour leur flore et leur faune, on s’en moque, mais comme pièges à carbone, fixateurs de sol…] Jamais on n’en a retourné autant que depuis les débuts de la « transition énergétique » ! Pour le maïs des méthaniseurs, le colza des carburants… Qui ose encore signer les pétitions contre l’huile de palme ?

« C’est une violence inouïe ! » m’a dit ce citadin reconverti à l’agriculture bio. Pour moi, c’est un viol. Un viol de ce pays qui m’a vue grandir, que mes ancêtres paysans ont soigné, que j’ai parcouru jusque dans ses moindres recoins… Un viol de mon droit au silence, ce bien le plus précieux. Depuis bientôt dix ans, hormis quelques nuits glaciales sans vent, pas une heure sans bourdonnement de moteur ou d’éolienne, dans ma maison dont les murs tremblent de cette maladie galopante.

Je bondis en lisant une phrase de l’association NégaWatt : « Nous avons également de vastes zones peu peuplées qui permettent l’installation [d’éoliennes]. » Ben voyons ! Nos élus comptent aussi remplir ainsi la « diagonale du vide ». Mais le vide n’est pas vide, nous y vivons, la nature y vit. Nous ne sommes pas un territoire à coloniser ! Pour eux, nous sommes une poignée de sauvages qui empêchent l’expansion de projets, qu’ils n’osent plus appeler « progrès », mais ont rebaptisé « transition énergétique », et font passer pour une « reconversion écologique ». Nous préférions être abandonnés : au moins, on nous laissait tranquilles !

On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue 

L’écologie, c’est ce que nous avions, avant. Du silence, de vraies nuits, des forêts gérées avec sagesse en mode cueillette, avec respect pour leurs bêtes, grandes et petites. Celles qui ne peuvent pas fuir crèvent désormais au soleil de vastes étendues rasées, les autres ne savent plus où aller. L’écologie, ce n’est pas ce monde industriel qui se cache derrière des noms aguicheurs.

Ce monde, on nous l’impose sans démocratie, avec le plus profond déni de notre citoyenneté, des enquêtes publiques, qui sont des mascarades, les rares refus préfectoraux étant cassés par les tribunaux administratifs. Les enquêtes surviennent sans annonce claire, il faut surveiller les sites préfectoraux, qui ont changé de page sans l’annoncer clairement, supprimé les dates, lieux, natures d’activité ; certains se retrouvent avec des éoliennes derrière chez eux sans jamais en avoir entendu parler. Lors des plaintes, les promoteurs sont juge et partie, seules leurs conclusions sont retenues. La notion de conflit d’intérêts disparaît, les directives régionales sont piétinées, les lois faites sur mesure pour faciliter l’invasion…

Nous sommes dépossédés de notre territoire, sans droit à la parole, sans droit de nous défendre, la proie de lobbies qui manipulent le pouvoir. On nous accuse de « retarder la transition énergétique » avec nos vaines rébellions ; retarder, c’est tout, on se défend, mais on se fait quand même dévorer ! La démocratie est bafouée.

Ceux qui pleurent à cause du bruit, des acouphènes, du cœur qui s’emballe au rythme des pales osent rarement témoigner. Ils ont honte, ce ne serait pas politiquement correct, il faut accepter de souffrir pour « le bien de la planète ». On n’a pas le droit d’avouer que quelque chose cloche dans ce qui est présenté comme la seule issue. Ils ont peur, aussi. Alors que l’électrosensibilité peine à se faire reconnaître, on se gausse de la sensibilité aux infrasons, trop méconnue, qu’on fait passer pour une maladie psychique.

On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « bonnes intentions » 

« Les opposants retardent la transition énergétique. » Mais qui se penche sur nos vies brisées, nos investissements et nos projets tués ? Les vergers que nous ne plantons plus, la maison devenue invivable et invendable, nos promenades quotidiennes, les circuits de randonnée, le panorama d’une ville touristique… L’âme de nos campagnes, notre silence, notre sommeil, notre santé, notre capacité de concentration et celle des enfants des écoles, notre efficacité au travail, les étoiles, le noir de la nuit, nos forêts, nos prairies, la liberté des vaches, le relief, écrasé, ce qu’on n’a plus la force de faire. Tout est tué brutalement ou à petit feu.

Et les ressources ! Que de pétrole pour nourrir avec l’ensilage et l’enrubanné de l’an dernier des vaches qui il y a peu broutaient dehors, là où on cultive le maïs qu’elles ingurgiteront l’an prochain ; pour ériger ces monstres blancs trois fois plus hauts que nos collines, qui, ici, ne fonctionnent qu’à 18 % de leur capacité, de façon intermittente et aléatoire ; pour couper, transporter, déchiqueter nos trop jeunes arbres, cultiver le maïs et le colza. Pour fuir ! Que de sols détruits ! Nous sommes assez près de notre terre pour constater au quotidien cette tromperie que les citadins ne voient pas !

Si au moins tout cela servait à autre chose qu’engraisser sur nos deniers des lobbies et ceux qui leur ouvrent grand les portes. Nous sommes sacrifiés sur l’autel d’une idéologie capitaliste qui veut vendre les engins nécessaires à son accomplissement. Jamais nous n’avons vu autant de machines, entendu autant de moteurs dans nos campagnes, nos forêts, planer sur nos têtes… La « croissance verte » tue l’idée de décroissance, autant que nos territoires, pour justifier ses objectifs.

On assiste à un parfait écocide, discret, se cachant sous de pseudo « bonnes intentions », ou pire, sous une injonction de « sauver la planète ». Mais on s’est trompé de ministère, la production d’énergie pour le confort humain, ce n’est jamais de l’écologie, c’est de l’industrie !

Comme chaque fois que le vent vient du nord-ouest, ma maison vrombit plus que les autres jours. Mon corps ne sait où aller, je pleure. Dans quelques mois, le vent d’est sera lui aussi un poison. Arrêtez la torture ! Laissez-nous vivre ! VIVRE !

Blandine Vue  

https://reporterre.net/Pour-sauver-la-planete-l-industrie...

Blandine Vue est docteur ès lettres, diplômée en sciences du langage, lauréate de la Fondation Nicolas Hulot pour ses activités pédagogiques de terrain. Elle a publié plusieurs ouvrages, dont Histoire des paysages (éd. Errance) et un roman, La Colonie (éditions L’Harmattan).

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Nadia Remadna : "J'ai vu des élus négocier avec des intégristes"

Nadia Memadna, fondatrice de l'association la "Brigade des mères" qui lutte contre la montée de l'intégrisme islamique dans les banlieues est l'invitée d'André Bercoff sur Sud Radio.

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lundi, 04 novembre 2019

Terres de mission : Transcendance en terre d’islam

Guillaume de Thieulloy reçoit avec l’abbé Guy Pagès, prêtre du diocèse de Paris, Moïse, jeune converti de l’islam au christianisme. Ce dernier évoque son itinéraire, le rôle de Bernanos dans sa découverte du Christ et son accueil dans l’Eglise, après la découverte de la transcendance en terre d’islam.

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18:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 29 octobre 2019

Fabien Bouglé: La face noire de la transition écologique

Fabien Bouglé publie un nouveau livre ICI

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17:17 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’art contemporain ou le symptôme de la maladie mentale de notre société

La FIAC se déroule chaque année à Paris. Elle permet aux artistes du monde entier d'exposer leurs œuvres dans les rues de la ville lumière. Mais pas n'importe quelles œuvres : des œuvres d'art contemporain. Qu'est-ce que l'art contemporain ? Il est plus difficile de répondre à cette question qu'il n'y paraît... C'est ce que va découvrir Vincent Lapierre au contact de ces étranges réalisations artistiques.

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Source: Le Média pour Tous

12:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 28 octobre 2019

La vérité sur l'attentat de la gare de Bologne ?

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Dimanche dernier le 27 octobre, une journée militante a été organisée à Rome par Gabriele Adinolfi en collaboration avec le Centre d'étude Polaris, des historiens, avocats, journalistes et des députés, au sujet des massacres des années de plomb faussement attribués à la droite radicale.

La rencontre baptisée "Orchestre Rouge" a annoncé une contre-offensive historique-juridique qui sera articulée dans un jugement international au jugement de Bologne (ils sont en train de mettre en place la Cour qui en prendra la charge) et dans une série d'actions de contre-information locales et, espérons-le, dans des cadres institutionnels (Chambre des députés, Assemblées régionales).

21:54 Publié dans Rubrique d'Italie Gabriele Adinolfi, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les Brigandes: Concert entier au weekend Bleu Blanc Rouge de Synthèse Nationale

Pour terminer notre série de reportages du weekend Bleu Blanc Rouge nous vous proposons de finir en beauté avec ce concert de nos amies Les Brigandes !

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Les Brigandes - Monsieur Le Pen - Concert aux Bleu Blanc Rouge

Extrait du concert des Brigandes avec la chanson Monsieur Le Pen lors des 13ème journées Bleu Blanc Rouge organisée par Synthèse Nationale, le dimanche 13 Octobre 2019 à Rungis.

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Jean-Marie Le Pen : « Il n’est jamais trop tard pour bien faire »

Jean-Marie Le Pen dans Parade-Riposte sur Sputnik France, une émission dirigée par Édouard Chanot.

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17:40 Publié dans Sacha de Roye, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 26 octobre 2019

ANNE BRASSIÉ : LA PROPAGANDE IDÉOLOGIQUE DANS LE MONDE DE LA CULTURE.

Discours d’Anne Brassié, écrivain, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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vendredi, 25 octobre 2019

IRÈNE DIMOPOULOU-PAPPA : L’UNION DES PATRIOTES POUR VAINCRE L’ADVERSAIRE.

Discours d’Irène Dimopoulou-Pappa, journaliste et militante nationaliste grecque d’Aube dorée, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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L’injustice en marche !

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Emmanuel Macron a déclaré hier :

“Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire”.

On le comprend ! Il a déjà tellement d’affaires à gérer ! François Bayrou, Sylvie Goulard, Marielle De Sarnez, De Rugy, Françoise Nyssen, Laura Flessel, etc…

La dernière (?) concerne le scandale révélé par une note interne du ministère de la Justice indiquant que celui-ci envisage de maintenir ou supprimer des postes de juges en fonction des résultats électoraux de La République en marche aux prochaines municipales !

La chancellerie a sollicité une réunion avec un conseiller du Premier ministre et les experts des élections municipales du parti macronien pour connaître les villes potentielles « cibles électorales » et ainsi « différer les annonces » de la réforme de la carte judiciaire.

Le ministre Belloubet a tranquillement assumé l’existence de cette note, et en justifie la teneur par le fait que toute réforme doit « faire l’objet d’une acceptabilité ».

Mais les pays où les pouvoirs sont concentrés de façon exorbitante sont bien évidemment la Pologne, la Hongrie, la Russie…

Source: Le Salon Beige

11:37 Publié dans Revue de presse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 24 octobre 2019

GABRIELE ADINOLFI : IL FAUT CRÉER UNE CLASSE DIRIGEANTE RÉVOLUTIONNAIRE.

Discours de Gabriele Adinolfi, Institut Polaris, aux 13ème Journées de Synthèse Nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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AUBE DORÉE : SOLIDARITÉ ENTRE LES PEUPLES D’EUROPE.

Intervention de Athanasios Konstantinou, député européen grec de l’Aube dorée, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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ALBERTO MARTIN : LE PROBLÈME DE L’IMMIGRATION EN ESPAGNE.

Intervention d’Alberto Martin, nationaliste espagnol El Cadenazo, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL : L’EXEMPLE DE LA RÉPRESSION DU SYSTÈME SUR LES PATRIOTES.

Discours d’un ancien membre du Bastion social, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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mercredi, 23 octobre 2019

JEAN-EUDE GANNAT : « LA JEUNESSE FRANÇAISE ET EUROPÉENNE A SOIF D’ENRACINEMENT ET D’ACTION. »

Discours de Jean-Eude Gannat, Président de l’association l’Alvarium, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

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EXHUMATION DU GÉNÉRAL FRANCO : COMMENT LA GAUCHE VEUT FAIRE IMPOSER DES MENSONGES HISTORIQUES.

Discours de l’historien espagnol Jorge Alvarez, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

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mardi, 22 octobre 2019

YVAN BENEDETTI : L’ARME DE LA VÉRITÉ FACE À LA CENSURE ET À LA DESTRUCTION DES NATIONS.

Discours de Yvan Benedetti, Les Nationalistes, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

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ERNEST TIGORI DÉMONTE L’ESCROQUERIE DE LA REPENTANCE DE LA COLONISATION DES EUROPÉENS EN AFRIQUE.

Discours d’Ernest Tigori, écrivain ivoirien et homme politique, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

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François Bousquet « Sans courage, nous sommes morts à échéance 2050 »

Un demi-siècle de défaites et de renoncements : c’est le bilan accablant de la droite française selon François Bousquet. « Sans courage, nous sommes morts à échéance 2050 », dit-il, et c’est avec l’éthique que la droite française doit en premier lieu renouer.

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Source: Sputnik France

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SERGE AYOUB : LES PROPOSITIONS CONCRÈTES POUR DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DES PEUPLES EUROPÉENS.

Discours de Serge Ayoub, militant solidariste, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

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