Info VA - Enfin! Le parquet antiterro saisi après de grosses tensions avec l'exécutif - Selon nos infos, le pouvoir politique ne le souhaitait pas pour éviter de faire peur avant débat sur l'immigration. Paradoxe car la section autiterro et la dgsi concourraient deja à l enquête.
mercredi, 09 octobre 2019
Reportage de la Manif Pour Tous réalisé par "Nous voulons Vivre" avec Véronique Lévy
15:57 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Libère-toi Greta !
Olivier Piacentini
Mais elle n’est pas la seule à sembler perdre la raison. Alors que, le doigt accusateur, le sourcil froncé et la haine dans le regard, elle invectivait les membres de l’ONU, coupables de crimes contre la planète, la jeunesse, l’humanité et j’en passe, ceux-ci l’ont acclamée avec ferveur. Il faut croire que le réchauffement échauffe vraiment les esprits, entre la petite qui envoie des fatwas à des dirigeants devenus masochistes et acceptent de battre leur coulpe, s’autoflageller à la vue du monde entier…
Pourtant, si j’étais ambassadeur à l’ONU, chef d’État européen, parlementaire français ou commissaire à Bruxelles, j’aurais peur de la croiser dans un couloir… En revanche, curieusement, patrons de multinationales qui délocalisent à tour de bras ou dirigeants chinois qui se fichent comme d’une guigne de la qualité de l’air, des nappes phréatiques, du carbone et du reste n’ont, semble-t-il, rien à craindre : les colères de Greta les ont jusqu’à présent épargnés…
Mais même dans ses accès de fureur apparemment incontrôlable, Greta ne perd pas le fil de l’idéologie qui sous-tend son discours. Alors qu’elle pleurait, effondrée, sur la jeunesse sacrifiée autant que la nature, les mots clés de la pensée gaucho-écolo ont vite retrouvé leur place au milieu des jérémiades. « Vous continuez à me parler de croissance, d’argent, de développement, alors que nous entamons une extinction de masse. ». Ça ne vous rappelle rien ?
Discours du club de Rome de 1972 : il faut stopper la croissance pour éviter l’extinction des ressources naturelles. Rappelons que, si l’on avait écouté ses prévisions, la planète serait déjà morte depuis des années : il était question de la fin du gaz et du pétrole avant l’an 2000, par exemple…
Alors, Greta, écoute pour une fois un ancien qui en a vu d’autres, trou dans la couche d’ozone, SIDA, grippe aviaire, H1N1 et j’en oublie : retourne donc à l’école, profite de la vie avec tes copines ou tes petits amis, tu as encore de belles années devant toi, pourvu que tu oublies toutes ces folies que d’autres t’ont mises en tête…
12:22 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 08 octobre 2019
Il vaut mieux en rire... pendant que le pays s'effondre
Petite plongée dans les abysses du progressisme macronien. Le prochain débat sera consacré au sexe des anges. pic.twitter.com/TkPB9A1bPk
— Ridicule TV (@RidiculeTV) 23 septembre 2019
14:53 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MANIF POUR TOUS LE RETOUR !
Reportage réalisé par Le Cercle Richelieu sur "Marchons enfants" qui a eu lieu dimanche dernier.
Le retour de la manif pour tous contre la PMA et la GPA.
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lundi, 07 octobre 2019
Rouen explose – Les Reportages de Vincent Lapierre
L'explosion de l'usine Lubrizol a produit autant de pollution que de questions. Les Rouennais demandent toute la vérité sur cette affaire.
L'usine de pétro-chimie Lubrizol située à Rouen a explosé au matin du jeudi 26 septembre, provoquant un nuage de fumée toxique qui a survolé la ville durant de longues heures. A quels produits ont été exposés les Rouennais ? Pourquoi les autorités ne donnent aucune information concernant la procédure à suivre pour se protéger ? Pourquoi disent-elles qu'il n'y a aucun risque alors que tout indique le contraire ? C'est ce que sont allés demander les Rouennais à une réunion d'élus locaux avec le préfet.
Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient également sur place.
17:54 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Marchons enfants » contre la PMA… la foule des grands jours est de retour !
De Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire
Disons-le, personne ne s’y attendait. Personne n’imaginait la foule des grands jours de la Manif pour tous capable de se remobiliser, en tout cas pas dans ces proportions : l’usure du combat, le mépris, la brutalité et l’injustice patente avec lesquels elle avait été traitée en 2013 – Emmanuel Macron ne reconnaissait-il pas lui-même qu’elle avait été humiliée ? – et puis surtout le sentiment las et résigné que tout est déjà plié, acté…
Non, personne ne s’y attendait, ni manifestants venus par devoir, ni organisateurs ravis et éberlués, ni opposants, dont les commentaires dépités et acides grincent sur les réseaux sociaux, ni surtout préfecture de police, si l’on en croit l’itinéraire sous-dimensionné aux artères trop étroites et saturées, qui a forcé, après quelques cafouillages – dont l’ordre de rebrousser chemin ! -, à aiguiller dans un parcours de délestage une partie des manifestants, encore bloqués et serrés autour du Sénat alors que la tête de cortège arrivait à Montparnasse.
Les organisateurs revendiquent 600.000 manifestants, chiffre sans doute (c’est la loi du genre) un peu surévalué. Occurrence, un « cabinet de comptage indépendant » – l’est-il réellement ? Au vu des tweets émanant de certains de ses dirigeants, on peut en douter -, donne le chiffre de 74.500… mais son calcul repose sur l’installation préalable, en hauteur, de capteurs sur le chemin de manifestation ! Quid, donc, du deuxième parcours, décidé à la hâte au vu de la saturation du premier ?
Mais au-delà de la guerre des chiffres demeure une réalité palpable qui a fait l’unanimité sur le terrain : journalistes, policiers et manifestants présents ont constaté une affluence supérieure à la première Manif pour tous, laissant imaginer ce que pourrait être une montée en puissance, au fil des mois, du mouvement désormais regonflé d’espoir par ce premier succès, puisque déjà de nouvelles dates de rassemblement ont été données.
Bien sûr, les atouts et les faiblesses demeurent.
Faiblesse d’une France bien élevée qui ne fait pas peur, que l’on ne redoute en rien parce qu’elle n’est pas prête à tout. La fin, pour elle, ne justifie pas les moyens, et elle n’est pas agressive, elle est donc – c’est son honneur, et sur un plan cyniquement stratégique son erreur – inoffensive. Rien, bien sûr, n’a été cassé. Aucun débordement n’a été constaté. Des groupuscules provocateurs porteurs de rainbow flag ont arpenté et harangué le cortège sans réussir à s’attirer le moindre quolibet. Il serait intéressant de faire la même expérience avec un porteur de drapeau LMPT à la Gay Pride… si l’on trouve un kamikaze assez fou pour le tenter. Elle n’est pas la France du Grand Soir qui fait la révolution, elle est la France du Petit Matin qui ne connaît que la (re)construction. Alors, évidemment, la manifestation n’est pas son terrain de prédilection.
Atout d’une France bien élevée forte de sa jeunesse que l’on retrouve une nouvelle fois très nombreuse, structurée, gaie, endurante, aimant la vie et les amis qu’elle se plaît à retrouver ici et, parce que c’est de son âge, attirée par ce parfum de transgression dont, par un retournement des valeurs, ces manifestations dites conservatrices sont devenues porteuses.
Gagnera, gagnera pas ? L’avenir le dira. En tout cas, la PMA ne passera pas si simplement que ça.
17:21 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Christophe Castaner doit démissionner !
Le bidonnage des chiffres de la manifestation d’hier est le dernier scandale qui agite la place Beauvau. Mais celui sur l’identité de Mickaël Harpon, le terroriste infiltré dans la police, agite toutes les rédactions :
Après un hiver et un printemps marqué par les polémiques autour de son incapacité à maintenir un ordre public bousculé par les Gilets Jaunes, puis autour de la violence de la répression policière, y compris à Nantes dans l’affaire Steve Maia Caniço, voici une nouvelle épine dans le pied du gouvernement. Un attentat islamiste vient d’être commis dans les locaux de la Préfecture de police, par un fonctionnaire informaticien affectée à la direction du renseignement… Or, peu de temps après l’attentat, à l’unisson de la communication gouvernementale hasardeuse sur l’affaire Lubrizol, Christophe Castaner expliquait la bouche en coeur que rien ne permettait d’anticiper l’attentat.
Jeudi, peu après les faits, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, affirmait que l’adjoint administratif n’avait « jamais présenté de difficulté comportementale », ni « le moindre signe d’alerte ».
Malheureusement pour lui, la vérité est très différente.
Assez rapidement, les informations ont filtré sur le véritable profil de Mickaël Harpon, très éloigné de l’image rassurante que Castaner en a dressée.
Ainsi, dès le lendemain de l’attentat, le Parisien donnait des détails instructifs sur le mode opératoire du terroriste et surtout sur les signalements dont il avait fait l’objet de la part de ses collègues:
Sur procès-verbal lors des premières investigations, un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ». Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ». Pour autant, il restait inconnu des services de renseignement, ces alertes n’étant apparemment pas remontées.
Certes, on veut bien qu’il n’y ait pas plus mal chaussé qu’un cordonnier. Mais quand même… Que les services de renseignement soient si mal renseignés sur un informaticien dont il est précisé qu’il a « accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical », ça pose un petit problème.
Dès samedi, le procureur anti-terroriste donnait une conférence de presse précisant le profil du terroriste:
Les premières investigations ont relevé son «approbation de certaines exactions commises au nom de cette religion», «son souhait de ne plus avoir certains contacts avec des femmes», «sa justification» des attentats de Charlie Hebdo en 2015, «son changement d’habitude vestimentaire depuis quelques mois», a déclaré le procureur antiterroriste lors d’une conférence de presse.
Progressivement, on comprend que le discret informaticien était en contact par Telegram avec trois djihadistes dont on ne sait où ils se trouvent. Le ministère prend donc peu à peu conscience de la présence d’une taupe de Daesh dans ses rangs.
Toute la question est de savoir, comme Christophe Castaner et Laurent Nunez l’ont affirmé devant les caméras de télévision, pourquoi les signalements émis par les collègues d’Harpon n’ont pas été « remontés ». Sur ce point, qui risque de s’envenimer dans les jours à venir (Castaner sera auditionné mardi au Parlement, et cette audition vaudra son pesant de cacahuètes), il existe aujourd’hui un grand flou. Selon Laurent Nunez, interviewé ce midi sur BFM TV, la hiérarchie directe des policiers aurait refusé de faire « remonter » leur signalement. Selon Christophe Castaner, les deux collègues de Harpon ont refusé de faire le signalement:
Selon Christophe Castaner, «deux collègues de l’assaillant auraient, en juillet 2015, fait état d’un comportement anormal et d’un problème suite à l’attentat de Charlie Hebdo. Ils auraient décidé de ne pas faire de signalement, après avoir discuté avec leur collègue chargé des radicalisations». Selon le ministre de l’Intérieur, qui a déploré qu’aucun signalement ne soit remonté, «le dysfonctionnement se fait à ce moment-là». (…)
Deux mois plus tard, les mêmes collègues ont maintenu leur volonté de ne pas faire de signalement, arguant «ça va, on va gérer», toujours selon les propos de Christophe Castaner.
On ne sait pas encore tout des circonstances qui ont amené les collègues de Mickaël Harpon à ne pas formaliser leur signalement. De nouvelles péripéties sont sans doute à attendre sur ce sujet. D’ici là, on est bien obligé de mettre bout à bout les relations complexes de la Préfecture de Police avec le pouvoir exécutif.
Tout commence avec l’affaire Benalla. Selon ce qui ressort du dossier, ce sont des policiers gradés de la Préfecture de Police qui proposent à Alexandre Benalla de jouer au CRS, en dehors de toute couverture hiérarchique explicite, selon ce que l’on sait aujourd’hui. Lorsqu’une enquête parlementaire interroge Alain Gibelin, le directeur de l’ordre public et de la circulation (DOPC), on découvre qu’un policier de ce rang peut publiquement fragiliser la version de l’Élysée. Selon le Préfet de police, lui aussi auditionné, des fonctionnaires de la DOPC prennent des décisions sans en référer à leur hiérachie.
Quelques mois plus tard, le préfet de police est poussé à la démission au vu des désordres qui règnent dans Paris chaque samedi. Il prétend alors que les ordres qu’il donne ne sont pas appliqués dans les services. Une fois de plus, la police parisienne apparaît en roue libre.
On comprend progressivement que, avec l’arrivée de Macron au pouvoir, et plus singulièrement avec l’arrivée de Castaner à Beauvau, les policiers parisiens prennent seuls des décisions politiques qui concurrencent directement l’autorité des ministres. Jusqu’à considérer qu’ils n’ont pas à respecter des consignes de prévention du terrorisme sur leurs propres bancs. Ils forment un gouvernement profond qui s’émancipe de l’autorité démocratique. Visiblement, ceux-là ont poussé l’ambition jusqu’à mettre en danger leurs effectifs. La démocratie peut-elle tolérer longtemps ce genre d’écart ? La balle est dans le camp de Macron et de Castaner.
La peur du procès en islamophobie nous coûte des vies : on n’ose plus éloigner les islamistes des professions à risques. Nous sommes en présence d’une cinquième colonne, infiltrée dans nos rangs. C’est la rançon de l’idéologie du “vivre-ensemble”. Quand Eric Zemmour dénonce l’islamisme, l’idiot dénonce Zemmour. Nos 4 policiers ont perdu la vie car les bien-pensants ont perdu la raison.
Source: Le Salon Beige
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samedi, 05 octobre 2019
Mobilisation Générale: le 6 octobre dans les rues de Paris
22:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le gouvernement a délibérément masqué la radicalisation musulmane de Mickaël Harpon
Le parquet national antiterroriste s’est donc saisi seulement hier de l’enquête sur l’attaque meurtrière à la préfecture de police alors que les premiers indices étaient pourtant connus très tôt par l’administration.
Louis de Raguenel, spécialiste Police de Valeurs Actuelles, révèle que “le gouvernement a retardé cette saisine pour éviter de semer la panique avant le grand débat sur l’immigration.”
Louis de Raguenel@LouisDeRaguenelInfo VA - Enfin! Le parquet antiterro saisi après de grosses tensions avec l'exécutif - Selon nos infos, le pouvoir politique ne le souhaitait pas pour éviter de faire peur avant débat sur l'immigration. Paradoxe car la section autiterro et la dgsi concourraient deja à l enquête.
Peu après l’attaque, jeudi, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner avait indiqué que cet employé atteint de surdité “n’avait jamais présenté de difficultés comportementales” ni “le moindre signe d’alerte”.
Mickaël Harpon, 45 ans, était agent administratif depuis 2003. Selon les premiers éléments de l’enquête et malgré plusieurs alertes sur une possible radicalisation après sa conversion à l’islam en 2008 (et non 2018), un djihadiste en puissance était donc employé dans l’un des principaux services de renseignement français, en pointe dans la lutte contre l’islam radical.
Le jour de la tuerie, l’une des victimes décline l’invitation à déjeuner de ses collègues. Ce major, membre de la DRPP, reste à son bureau. C’est là, au premier étage, qu’il est égorgé. Les autres victimes sont, elles, frappées au niveau du thorax avec acharnement. L’enquête met très rapidement en évidence l’achat d’un couteau, muni d’une lame de 33 cm en céramique, une matière non détectable par les portiques de sécurité. Mickaël H. se l’est procuré le matin même à proximité de la préfecture. Peu avant de passer à l’action, il a envoyé à sa femme un SMS évoquant cet achat. L’épouse, qui se trouvait toujours en garde à vue vendredi, aurait répondu en substance : « Seul Dieu te jugera. Allahou akbar «.
Deuxième point central du début de l’enquête, l’analyse poussée du portable du meurtrier a démontré ses liens avec un prédicateur d’une mosquée du Val-d’Oise connu de la DGSI.
Mickaël Harpon, chargé de la maintenance des ordinateurs du millier de fonctionnaires du renseignement parisien, avait accès à des informations ultrasensibles, entre autres celles en lien avec l’islam radical. Il disposait d’une habilitation secret-défense, situation qui impose une enquête administrative approfondie. « Il disposait notamment des adresses de chaque fonctionnaire », s’inquiète un policier.
Ces quatre dernières années pourtant, le comportement de cet agent administratif avait plusieurs fois attiré l’attention :
- un des collègues de Harpon a indiqué qu’après l’attentat de Charlie Hebdo qui avait fait douze morts en janvier 2015, ce dernier s’était écrié : « C’est bien fait ! ».
- Le 30 août de la même année, Harpon relayait sur Facebook un article jugeant que « la France est classée en tête des pays les plus islamophobes d’Europe ».
Selon le Daily Mail, le téléphone de Mickael Harpon le relie à une organisation terroriste comme Isis ou Al-Qaeda.
Source: Le Salon Beige
22:35 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 01 octobre 2019
Discours d'Eric Zemmour à la Convention de la Droite
Magistrale intervention d'Eric Zemmour !
23:31 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 26 septembre 2019
Une semaine noire sans précédent se prépare !
La semaine noire qui s'annonce est un événement totalement inédit.
La convergence des mécontentements va se manifester dans la rue, pendant plusieurs jours. Il y a là comme la conclusion d’une pratique gouvernementale détestable, et une réponse au « en même temps » d’un système à bout de souffle après deux ans et demi à peine aux manettes.
Lire la suite dans le journal Présent de demain.
15:13 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Identité, pour quoi faire ?
La première n’est autre que l’inusable puritanisme américain. (...) Tout y est : la culture du soupçon tous azimuts, la chasse inquisitrice à la « masculinité toxique », forcément toxique, les procès d’intention, les repentis, les confessions publiques, la dénonciation des « porcs », les accusations sans preuves qui suffisent à ruiner une carrière. Partout l’oblation, la repentance, la contrition, la pénitence – en attendant le bûcher.
Qui sont les victimes ? Tout le monde. L’humour, les blagues, le second degré, la liberté d’expression. Tout récemment, le poète André Chénier a été dénoncé comme ayant fait l’« apologie du viol » (heureusement, on l’a guillotiné). Ne nous y trompons pas, de proche en proche, c’est la totalité des créations littéraires, artistiques, poétiques, théâtrales, des trente siècles écoulés qui finiront par être ainsi délégitimées par des procureurs formés à repérer partout le « racialisme » et le « sexisme ». Jusqu’à ce qu’on décrète l’abolition du passé, puisqu’il n’aura été qu’une suite de « crimes de haine » commis au nom du « patriarcat ». (...)
L’autre cause profonde du politiquement correct n’est autre que la métaphysique de la subjectivité, qui est comme la clé de voûte de la modernité. Descartes en est le grand ancêtre : « Je pense, donc je suis ». Je, je. En termes plus actuels : moi, moi. La vérité n’est plus extérieure au moi, elle se confond avec lui. La société doit respecter mon moi, elle doit bannir tout ce qui pourrait m’offenser, m’humilier, choquer ou froisser mon ego. Les autres ne doivent pas décider à ma place de ce que je suis, faute de faire de moi une victime. (...)
Au fond, je suis le seul qui a le droit de parler de moi. Ainsi s’alimente le narcissisme du ressentiment, tandis que la société se transforme en un empilement de susceptibilités.
Le symbole le plus fort du monde actuel, c’est le selfie. Le monde entier tourné vers le moi. « Le moi est haïssable », disait Pascal. Aujourd’hui, il serait en prison.14:19 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mobilisation Générale: le 6 octobre dans les rues de Paris
14:03 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 25 septembre 2019
Émue, Marion Sigaut réagit à la condamnation à la prison ferme d’Alain Soral
À l’occasion de son intervention au troisième forum eurasiste de Chișinău (Moldavie), l’historienne Marion Sigaut a tenu à signaler la condamnation à deux ans de prison dont dix-huit mois ferme et 171 000 euros d’amende d’Alain Soral pour le relais d’un clip de rap pro-Gilets jaunes et jugé « antisémite ».
Pour visionner l’intégralité de l’intervention de Marion Sigaut (ainsi que les interventions de Youssef Hindi, Iurie Roşca, etc.), cliquez sur l’image :
19:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La dictature En Marche... Les forces de police ne laissent rien passer
Les Gilets Jaunes battaient le pavé ce samedi 21 septembre 2019 à l’occasion du 45eme acte du mouvement. Black bloc, casseurs, factieux, le gouvernement annonçait un déferlement de violence sur la capitale, mobilisant pour l’occasion un impressionnant dispositif de sécurité. Vincent Lapierre et l’équipe du Média Pour Tous étaient sur place, de retour dans les nuages de lacrymogène, pour couvrir l’évènement.
19:38 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'illusion démocratique de la Vè république
Pour qui faut-il voter ? Tout simplement pour personne ! Ce n’est pas d’un vote dit « utile » dont nous avons besoin, mais d’un réel changement de régime politique. Mais ce changement ne se fera que tardivement si tous les contestataires cherchent encore vainement à mettre de l’essence pour alimenter le moteur d’une voiture qui n’a plus de roues… L’abstention c’est faire le jeu du système disent certains, car ça permet aux candidats traditionnels de perdurer. Certes, mais entre nous, si c’est seulement 2 millions de personnes qui votent pour un candidat accédant au pouvoir, sur une population de 65 millions d’habitants, il est clair que sa légitimité disparaîtra totalement, car on ne pourra plus parler de « loi de la majorité ». Et il suffira que le gouvernement de ce candidat-président fasse passer une mauvaise loi pour que cela tourne au vinaigre… Les démocraties ne sont donc pas faites pour servir les peuples, mais pour les asservir. D’ailleurs pour s’en convaincre, il suffit de constater que la logique de ce système veut qu’à l’âge de 18 ans nous ayons le droit d’aller voter, mais sans se soucier de savoir si oui ou non nous avons une réelle conscience politique ou si les enjeux mêmes nous sont connus. Nous entendons par conscience politique : « la présence chez un individu d’une culture, d’une expérience et d’une maturité politiques, autorisant, notamment en matière électorale, des choix réfléchis. » Ce qui est une bonne définition issue de l’encyclopédie universelle. Combien ne savent pas pour qui voter arrivé à 18 ans et souvent bien au-delà ? Avoir une conscience politique ou une culture politique n’apparaît pas du jour au lendemain.
11:47 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 24 septembre 2019
Le nouveau numéro de Conflits est consacré à la guerre du droit.
Le numéro de Conflits n°23, (septembre-octobre 2019) est consacré à la guerre du droit. Affaire Alstom, piège américain, amendes imposées à BNP PARIBAS, le droit est plus que jamais une arme de guerre. Une arme de la guerre économique. Et le droit est utilisé par les grandes puissances, notamment les Etats-Unis, pour faire valoir leur ordre du monde et pour s'imposer àleurs alliés et à leurs adversaires. Le droit entre ainsi dans une configuration plurielle : il y a la question de la fiscalité, qui est une arme géopolitique au service des Etats ; c'est évidemment la question monétaire et en premier lieu le dollar, concurrencé par le renminbi chinois, ainsi que par l'émergence des crypto monnaies. Le droit pose également la question de la guerre et du droit de la guerre, de cette conception militaire qui a été forgée avec le procès de Nuremberg et qui continue aujourd'hui de prévaloir dans un grand nombre de conflits : peut-on intervenir au nom du droit ? Peut-on faire la guerre pour préserver le droit ? Pour rétablir un droit qui a été aboli ? Cela pose aussi la question des différents territoires, notamment l'espace et la mer. Le droit est ainsi pluriel et dans cette guerre du droit, ce sont deux visions juridiques différentes qui s'opposent, une tradition anglo-saxonne et une tradition romaine ; deux visions géopolitiques qui montrent que les idées sont toujours à la conduite de la géopolitique et façonnent le monde qui est le notre. Nous avons aussi voulu montrer dans ce numéro consacré à la guerre du droit qu'il y a la question de l'outil militaire, la question du cyber espace, et qu'il y a aussi la possibilité de répondre à cette guerre du droit, de l'affronter, afin de la gagner.
16:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sentinelles : Début de l’examen de la révision des lois de Bioéthique
Ce mardi 24 septembre de 20 h - 23 h 30, place du Palais-Bourbon
Les Sentinelles sont debout depuis 2013 pour l’intérêt supérieur de l’enfant. Celui-ci est menacé par une nouvelle loi scélérate.
Scélérate par son objet : en ouvrant la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, elle réifie l’enfant et crée un droit à l’obtenir incompatible avec sa dignité intrinsèque, elle ouvre encore plus la voie à l’eugénisme et à la marchandisaton du corps
Scélérate par les méthodes employées : faire fi d’un consensus hostile clairement exprimé lors des états généraux de la bioéthique tenus en 2018 et laisser le Conseil Consultatif National d’Ethique conclure en posant des recommandations incohérentes avec toutes les objections clairement identifiées ; voir un député devenu secrétaire de la commission ad hoc’ insulter les opposants lors de la mission parlementaire d’information et prétendre aspirer à un débat apaisé et serein ; invoquer la démocratie et imposer une lecture chronométrée ; ne jamais répondre aux questions et aux objections formulées. Est-il nécessaire de poursuivre la litanie ?
Les Sentinelles ne peuvent s’y résoudre. Elles ont décidé de s’associer au collectif #MarchonsEnfants qui s’est constitué pour s’opposer à cette nouvelle dérive législative. Elles s’associent en outre aux divers collectifs « Appel des pères » et « Sentinelles des Pères » qui œuvrent et se rassemblent aussi dans quelques villes de provinces.
Toutes les Sentinelles peuvent veiller où bon leur semble (mais face à un lieu de pouvoir) et quand elles le peuvent.
Elle pourront veiller le mardi 24 septembre, à partir de 20:00 et toujours place du Palais-Bourbon.
Le samedi 5 octobre, veille de la grande journée de mobilisation, les sentinelles se retrouveront Place Vendôme à partir de 20 h 00.
Les amis de province qui rejoignent la capitale un peu avant la journée de grande mobilisation #MarchonsEnfants facebook seront bien sûr les bienvenus pour veiller sur le pavé parisien.
Le mode opératoire reste inchangé : se tenir debout et silencieux, respecter un espacement suffisant entre chaque Sentinelle afin de ne pas constituer une manifestation, ne porter aucun signe distinctif, n’afficher ou ne crier aucun slogan, ne pas troubler l’ordre public, répondre avec bienveillance aux questions des passants.
Vous êtes les bienvenus.
Des Sentinelles de Paris
11:00 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 20 septembre 2019
Serge Ayoub et ses amis ont défilé dans Paris avec plus de 200 motos en passant par Saint-Nicolas
Jan, trop jeune, comme beaucoup de motards, a été mis à l'honneur par notre ami Serge Ayoub, patron France de Gremium. Il a organisé un run Mémoire dans Paris avec 200 de ses copains.
Arrivée à Saint Nicolas pour une bénédiction des 200 Harleys par l'abbé Boubée.
22:55 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jacques Mayadoux est venu nous parler d'Ordre Nouveau sur Radio Libertés
16:25 Publié dans Radio Libertés Synthèse, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 17 septembre 2019
Pierre Jovanovic : "les banques sont en faillite totale"
23:51 Publié dans 02 - La 2e Journée nationale et identitaire, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 16 septembre 2019
Energie éolienne, le vent de la colère
Armel Joubert des Ouches
Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.
Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.
Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.
« Une affaire d’argent »
Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »
Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »
20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?
Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.
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15:58 Publié dans Combat anti-éoliennes, Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 06 septembre 2019
Stéphane Bern : “Oui, la France a un problème avec son identité chrétienne”
Interrogé dans Valeurs Actuelles, Stéphane Bern déclare :
[…] C’est toujours la France périphérique qui est abandonnée. Je suis convaincu qu’il faut sauver le Grand Palais, dont la rénovation coûtera plus de 400 millions d’euros. Mais on ne peut, au regard de ce chiffre, accepter que soient accordés seulement 22 millions d’euros pour les petites églises du reste du pays. Outre Notre-Dame de Paris, de nombreuses cathédrales sont en mauvais état. Même la Madeleine. Le curé m’a emmené dans les combles, au deuxième étage, ça peut prendre feu à tout instant ! Je ne sais pas si on se rend bien compte à quel point notre patrimoine est en mauvais état.
La loi Élan d’aménagement du territoire, voulue par Emmanuel Macron, va selon vous poser de gros problèmes. Lesquels ?
Elle souhaite accorder plus de pouvoir aux maires. Faut-il leur faire confiance ? Ah non, pas à tous ! Certains ont mauvais goût. Je le vois pour le Village préféré des Français : j’ai de plus en plus de mal à trouver des villages où il n’y a pas de verrue. C’est d’autant plus regrettable que les jolis villages sont souvent les plus florissants. Le patrimoine, ce n’est pas un coût, c’est un investissement. Nous sommes censés être en pleine période de sensibilité écologique, et on continue de défigurer notre patrimoine et nos sites naturels.
À ce propos, que pensez-vous de la prolifération des éoliennes ?
L’écologie n’est pas étanche à l’influence des lobbys. L’industrie des éoliennes paie des paysans pour qu’ils en installent dans leurs champs. Ces machines dégradent la flore et la faune, leurs pales tuent des oiseaux parfois rares. Au mois de mai, j’ai survolé la Beauce avec le président de la République. Je lui ai dit : « Regarde comme ce pays est couvert d’éoliennes. » Il m’a répondu : « Oui, je crois que les Français n’en veulent plus. » Les Français n’en peuvent plus de voir leurs paysages défigurés ! Veut-on devenir un pays laid ? […]
Ressentez-vous, au cours de votre mission, comme un petit malaise avec l’identité chrétienne de la France ?
Oui, on a un problème avec l’origine chrétienne de la France. La grande bêtise, c’est de ne pas avoir réussi à dire que l’Europe était chrétienne. Une fois que c’est dit, on peut avancer, mais nier son propre passé et sa propre histoire, cela empêche d’avancer. Je pense qu’on pourra avancer d’autant plus facilement que le port d’attache est solide. Le port d’attache, c’est l’identité judéo-chrétienne de la France. À partir du moment où on l’assume, on peut dire qu’on peut sauver toutes nos églises mais aussi d’autres monuments et d’autres édifices religieux. Moi, je n’appartiens à aucune communauté, et je déteste le communautarisme. La seule chose que je reconnais, c’est la communauté nationale et l’amour de mon pays. On sauve des églises, des églises protestantes, des synagogues, une mosquée à Mayotte…
Vous avez souvent été au contact d’hommes d’Église. Que vous disent-ils ?
Nous avons un problème en France, avec la loi de séparation des Églises et de l’État. Il y a une méfiance, on se regarde en chiens de faïence, tout cela est d’une hypocrisie folle. On dit qu’il ne faut pas faire payer l’entrée d’une cathédrale, mais ce que me disent les archevêques, c’est que si on entre par la porte de derrière, on paye un droit d’entrée pour visiter la tour, la sacristie, la crypte, le trésor… donc on trouve des dérogations. Soyons francs, en dehors des heures de messe, faisons un prix d’entrée ou une contribution volontaire, par exemple. Le recteur de Notre-Dame, Mgr Chauvet, avec qui j’ai beaucoup parlé, était en privé tout à fait d’accord avec mon idée. Mais j’ai compris son problème : si on fait payer un prix d’entrée, qui va percevoir l’argent ? C’est l’État, qui va le mettre dans cette grande caisse qu’est le Trésor public, et on ne le reverra plus jamais pour rénover. […]
Source: Le Salon Beige
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jeudi, 05 septembre 2019
Université de rentée de « Marchons Enfants ! »
A 15 jours de la grande mobilisation nationale du 6 octobre, c'est l'événement de la rentrée organisé par les 20 associations partenaires de Marchons Enfants au Port-Marly dans les Yvelines !
Inscriptions obligatoires : ICI
18:55 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Michel Sardou : « je hais cette époque... On n’a plus aucune liberté »
18:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Yves Rougeyron : Nul n'est libre dans un pays qui ne l'est pas
18:25 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Yvan Benedetti : « J’ai juré de dire le Vérité »
De retour du camp d'été de Jeune Nation, marqué par la visite des gendarmes, des journalopes et des antifas, Yvan Benedetti présente son ouvrage "J'ai juré de dire la Vérité". Paru au mois de juillet, ce livre reprend in-extenso le compte-rendu sténographique de l'audition de l'auteur devant la Commission d'enquête parlementaire de lutte contre l'Extrême droite censuré à la demande du Crif. Il expose l'historique de la création de cette commission par la députée de la France Insoumise Muriel Ressiguier et la lutte d'influence en son sein entre l'extrême gauche antisioniste et les représentants du judapo en les personnes d'Habib Meyer et Elise Fajgeles...
Pour commander le livre : ICI
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Marion Sigaut : La commune villageoise au regard de l'Histoire, des vérités que l'on vous cache
17:14 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 03 septembre 2019
Damien Viguier : Où en est la plainte contre Laurent Fabius ?
Maître Damien Viguier fait le point de situation de la plainte qu'il avait déposée devant la Cour de Justice de la République contre Laurent Fabius, alors ministre des affaires étrangères, au nom de ses clients syriens.
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Alain Escada : Des milliers de communes à reprendre par les catholiques lors des municipales 2020 !
Durant ce mois d’août, Civitas organisait sa deuxième université d’été du Pays Réel, consacrée cette année aux élections municipales de mars 2020.
Alain Escada a beaucoup insisté sur l’enjeu particulier que cette élection pouvait représenter pour les catholiques de France. Des milliers de communes peuvent être facilement prises par des listes d’intérêt municipal conduites par des catholiques dans un contexte expliqué en détail dans cette vidéo. Mais cette opportunité ne se représentera plus si les catholiques ne la saisissent pas en 2020, comme l’analyse le président de Civitas.
Il est aussi question ici du duel entre le localisme et le mondialisme. Et le président de Civitas rappelle, parmi les différentes bonnes raisons de vouloir prendre des mairies, la possibilité de lancer une monnaie locale à l’heure où les banques préparent la disparition de l’argent liquide pour faciliter la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.
10:07 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |